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SIDOINE APOLLINAIRE
SIDOINE
APOLLINAIRE
POÉSIES
16
Oeuvre numérisée par Marc Szwajcer
Étude
sur Sidoine Apollinaire et sur la société gallo-romaine au cinquième siècle.
avant-propos
Notice sur Sidoine Apollinaire
lettres
livre I
lettres livre II
lettres livre III
lettres livre IV
lettres livre V
lettres livre VI
lettres livre VII
lettres VIII
poésies 1
poésies2
poésies 3 et 4
poésies 5
poésies 7
poésies 8
poésies 9
poésies 10-14
poésies 15
poésies 17-21
l
CARMEN XVI.
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XVI.
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EUCHARISTICUM AD
FAUSTUM, REIENSEM EPISCOPUM.
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REMERCIEMENTS A FAUSTUS, ÉVÊQUE DE
RIEZ.
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Phœbum
et ter ternas decima cum Pallade Musas,
Orpheaque, et laticem simulatum fontis equini,
Ogygiamque chelyn, quæ saxa sequacia flectens
Cantibus, auritos erexit carmine muros,
Sperne, fidis; magis ille veni nunc, spiritus, oro
Pontificem dicture tuum, qui pectora priscæ
Intrasti Mariæ, rapiens cum tympana siccus
Isræl appensi per concava gurgitis iret,
Aggeribus vallatus aquæ, mediasque per undas
Pulverulenta tuum clamaret turba triumphum;
Quique manum Judith ferientem colla Holofernis
Juvisti, exciso jacuit cum gutture truncus,
Et fragilis valido latuit bene sexus in ictu;
Expresso vel qui complens de vellere pellem,
Inficiensque, dehinc non tacto vellere, terram,
Firmasti Gedeona, tubis inserte canoris,
Spiritus, et solo venit victoria cantu;
18 Quique etiam assumptum pecorosi
de grege
Jesse
Afflasti regem, plaustro cum fœderis arcam
Imponens hostis, nullo moderante bubulco,
Proderet obscenum turgenti podice morbum;
Quique trium quondam puerorum in fauce sonasti,
Quos in Chaldæi positos fornace tyranni,
Roscida combusto madefecit flamma camino;
Quique volubilibus spatiantem tractibus alvi
Complesti Jonam, resonant dum viscera monstri
Introrsum psallente cibo, vel pondera ventris
Jejuni, plenique tamen vate intemerato,
Ructat cruda fames; quem singultantibus extis
Esuriens vomuit suspenso bellua morsu;
Quique duplex quondam venisti in pectus Elisei,
Thesbiten cum forte senem jam flammeus axis
Tolleret, et scissam linquens pro munere pellem
Hispidus ardentes auriga intraret habenas;
Quique etiam Eliam terris missure secundum,
Zachariæ justi linguam placate ligasti,
Dum faceret serum rugosa puerpera patrem,
Edita significans jusso reticere propheta,
Gratia cum fulsit, nosset se ut lex tacituram;
Quique etiam nascens ex virgine semine nullo,
Ante ullum tempus Deus, atque in tempore Christus,
Ad corpus quantum spectat, tu te ipse creasti.
Qui visum cæcis, gressum quoque reddere claudis,
Auditum surdis, mutis laxare loquelam
Suetus, ad hoc etiam venisti, ut mortua membra
Lecto, sandapila, tumulo consurgere possint;
Quique etiam pœnas suscepta in carne tulisti,
48 Sustentans alapas, ludibria,
verbera, vepres,
Sortem, vincla, crucem, clavos, fel, missile, acetum,
Postremo mortem, sed surrecturus, adisti,
Eripiens, quidquid veteris migraverat hostis
In jus, per nostrum facinus, cum femina prima
Præceptum solvens culpa nos perpete vinxit. |
Ce
n’est ni Phébus, ni les neuf Muses avec Pallas, ni Orphée, ni des
fontaines semblables à celle de Pégase, ni la lyre de Cadmus, qui, par
son harmonie, attirant les pierres à sa suite, vit les murs s’élever,
charmés de l’entendre; ce n’est point tout cela que je veux invoquer.
Viens plutôt, je t’en conjure, célébrer ton pontife, toi, Esprit-Saint,
qui enflammas jadis le cœur de Marie, lorsque Israël marchait à pied sec
au milieu des montagnes suspendues autour de lui, et qu’à travers les
ondes, au son du tympanum, il glorifiait ta puissance ;— toi qui
conduisais la main de Judith quand elle frappait la tête d’Holopherne,
quand ce guerrier tomba sous les coups puissants d’une faible femme toi
qui, emplissant une coupe avec la rosée exprimée d’une toison, et qui,
humectant la terre, sans que la toison fut mouillée, raffermis de la
sorte le courage de Gédéon; — toi qui, faisant retentir ta voix dans les
trompettes sonores, donnas au chant le secret de fixer la victoire ; —
toi qui inspiras aussi le prince choisi dans la race de Jessé, riche en
troupeaux, alors que l’ennemi, plaçant l’arche d’alliance sur un chariot
que ne conduisait aucun guide, révéla sa honteuse maladie; — toi qui
chantas jadis par la voix des trois jeunes enfants que le tyran chaldéen
avait jetés dans la fournaise, et que la flamme bienfaisante rafraîchit
an milieu du foyer brûlant ; — toi qui remplis le cœur de Jonas,
lorsqu’il errait dans les espaces mobiles du ventre de la baleine, qu’il
faisait retentir de ses chants les entrailles du monstre, et que ce
monstre, encore affamé, vomissait sur le rivage le prophète sain et
sauf; — toi qui descendis autrefois dans le cœur d’Elisée, quand le
vieillard de Thesbé s’élevait sur un char de feu, et que, après avoir
laissé son manteau pour héritage à son disciple, il prenait en main les
rênes flamboyantes ; — toi qui, devant envoyer un second Elie sur la
terre, enchaînas la langue du juste Zacharie, pendant que son épouse,
ridée par la vieillesse, le faisait père à la fin de sa vie, et donnas
ainsi à connaître, par le silence des prophètes, que tout était
accompli, et que, devant l’éclat de la grâce, la loi devait se taire; —
toi qui, naissant d’une vierge sans le secours de l’homme, Dieu de toute
éternité et Christ dans le temps, te créas toi-même pour ce qui regarde
le corps; — toi qui, rendant aux aveugles la vue, aux boiteux la faculté
de marcher, aux sourds l’ouïe, aux muets la parole, es venu aussi dans
ce monde pour que les membres glacés par la mort pussent se lever de
leur lit, de leur cercueil, de leur tombeau; — toi qui souffris, dans la
chair que tu avais revêtue, des tourments si cruels, les soufflets, les
dérisions, les coups, les couronnes d’épines, le partage au sort de tes
vêtements, les chaînes, la croix, les clous, le fiel, la lance, le
vinaigre, et enfin le trépas; mais pour ressusciter, après avoir
reconquis tout ce qui avait passé sous le domaine de l’antique ennemi,
par notre crime, alors que la première femme, en transgressant le
précepte, nous rendit pour jamais solidaires de sa faute. |
|
Qui cum te
interitu petiit, nec repperit in te
Quod posset proprium convincere, perdidit omne,
Quod lapsu dedit Eva suo; chirographon illud,
Quo pervasus homo est, hæc compensatio rupit.
Expers peccati, pro peccatoribus amplum
Fis pretium, veteremque novus vice fenoris Adam
Dum moreris de morte rapis. Sic mortua mors est,
Sic sese insidiis, quas fecerat, ipsa fefellit.
Nam dum indiscrete petit insontemque reosque,
Egit ut absolvi possent, et crimine nexi. |
Lorsque tu expiras, il ne put rien trouver
en toi qu’il eût à revendiquer; il perdit ainsi tout ce que lui avait
donné la chute d’Eve, et le fatal billet de mort qui enchainait les
hommes fut anéanti. Exempt de péché, tu fus la noble rançon pour les
pécheurs, et, nouvel Adam, tu nous délivras du trépas en mourant
toi-même. Ainsi mourut la mort; ainsi elle fut prise dans les pièges
qu’elle avait elle-même dressés, et, en revendiquant l’innocence comme
le crime, elle fit que les criminels eux-mêmes purent être absous. |
|
Quique etiam
justos ad tempus surgere tecum
Jussisti cineres, cum tectis tempore longo
Irrupit festina salus, infusaque raptim
Excussit tumulis solidatas vita favillas,
Da Faustum laudare tuum, da solvere grates
Quas et post
debere juvat. Te, magne sacerdos,
Barbitus hic noster, plectro licet impare, cantat. |
Toi qui fis, pour un temps, revivre les
cendres des justes, lorsqu’un salut inespéré vint luire dans leurs
sombres demeures, après une longue attente, et que la vie soudainement
rendue à la poussière arracha aux tombeaux des ossements animés,
accorde-moi de célébrer ton Faustus, et de lui payer un tribut de
reconnaissance qu’il me sera doux de lui devoir toujours. Mais toi,
illustre pontife, agrée le son de ma lyre, quoique je ne puisse en tirer
que des accords peu dignes de tes vertus. |
|
Hæc igitur
prima est vel causa, vel actio laudum,
72 Quod mihi germani, dum lubrica
volvitur ætas,
Servatus tecum domini per dona probatur,
Nec fama titubante, pudor. Te respicit istud
Quantumcunque bonum, merces debebitur illi,
Ille tibi. Sit laus, si labi noluit, ejus;
Nam quod nec potuit, totum ad te jure redundat. |
Le premier motif pour lequel je te dois
des actions de grâces, c’est que tu as su, avec l’aide du Seigneur,
conserver l’innocence et la réputation de mon frère, lorsqu’il se
trouvait sur la route glissante de la jeunesse. Ce bienfait immense,
c’est ton ouvrage; il en recueillera les fruits, et c’est à toi qu’il en
sera redevable. S’il n’a pas voulu tomber, à lui en revient la gloire;
s’il n’a pu le faire, c’est à toi qu’il peut le rapporter justement. |
|
Præterea, quod
me pridem Relos veniente,
Cum Procyon fureret, cum solis torridus ignis
Flexilibus rimis sitientes scriberet agros,
Hospite te, nostros excepit protinus æstus
Pax, domus, umbra, latex, benedictio, mensa, cubile;
Omnibus attamen his sat præstat, quod voluisti
Ut sanctæ matris sanctum quoque limen adirem.
Dirigui, fateor, mihi conscius, atque repente
Tinxit adorantem pavido reverentia vultum;
Nec secus intremui, quam si me forte Rebeccæ
Isræl, aut Samuel crinitus duceret Annæ.
Quapropter vel te votis sine fine colentes,
Affectum magnum per carmina parva fatemur. |
Et puis, lorsque j’étais à Riez, il y a
longtemps déjà, quand les ardeurs brûlantes de l’été entrouvraient la
terre altérée, tu me donnas l’hospitalité, et je trouvai chez toi une
retraite, un ombrage favorable, une table, un lit, des bénédictions. Une
autre faveur plus importante encore, c’est que tu as bien voulu me
conduire chez ta vertueuse mère. J’avoue qu’à son aspect mon âme fut
saisie d’émotion, et qu’une crainte respectueuse se peignit sur mon
visage ; je n’eusse pas éprouvé d’autres sentiments quand Israël m’eût
présenté à Rebecca, et Samuel le chevelu à sa mère Anne. C’est pourquoi,
te vouant une gratitude éternelle, je veux te témoigner la plus vive
affection dans mes faibles vers. |
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Seu te
flammatæ Syrtes et inhospita tesqua,
Seu cœno viridante palus, seu nigra recessu
Incultum mage saxa tenent, ubi sole remoto
Concava longævas asservant antra tenebras;
Seu te præruptis porrecta in rupibus Alpis,
Succinctos gelido libantem cespite somnos,
Anachoreta tremit, quæ, quanquam frigora portet,
Conceptum Christi nunquam domat illa calorem;
Qua nunc Elias, nunc te jubet ire Joannes,
100 Nunc duo Macarii, nunc et
Paphnutius heros,
Nunc Or, nunc Ammon, nunc Sarmata, nunc Hilarion
Nunc vocat in tunica nudus te Antonius illa,
Quam fecit palmæ foliis manus alma magistri;
Seu te Lirinus priscum complexa parentem est,
Qua tu jam fractus pro magna sæpe quiete
Discipulis servire venis, vixque otia somni
Vix coctos capture cibos, abstemius ævum
Ducis, et insertis pingis jejunia psalmis,
Fratribus insinuans, quantos illa insula plana
Miserit in cœlum montes, quæ sancta Caprasi
Vita senis, juvenisque Lupi: quæ gratia patrem
Mansit Honoratum; fuerit quis Maximus ille,
Urbem tu cujus monachosque antistes et abbas
Bis successor agis, celebrans quoque laudibus illis
Eucherii venientis iter, redeuntis Hilari;
Seu te commissus populus tenet, et minor audet
Te medio tumidos majorum temnere mores.
Seu tu sollicitus curas, qua languidus esca,
Quave peregrinus vivat, quid pascat et illum
Lubrica crura cui tenuat sub compede carcer;
Seu mage funeribus mentem distractus humandis,
Livida defuncti si pauperis ossa virescant,
Infastiditum fers ipse ad busta cadaver;
Seu te conspicuis gradibus venerabilis aræ
Concionaturum plebs sedula circumsistit,
Expositæ legis bibat auribus ut medicinam.
Quidquid agis, quocunque loci es,
semper mihi Faustus,
Semper Honoratus, semper quoque Maximus esto. |
Soit que tu vives dans les Syrtes
brûlantes, dans des lieux inaccessibles, dans des vallées marécageuses,
sur la pointe des noirs rochers, dont les cavernes profondes, ne
recevant jamais les rayons du soleil, sont plongées en d’éternelles
ombres ; — soit que sur le sommet escarpé des Alpes, séjour d’un froid
glacial, qui pourtant ne peut amortir en ton cœur l’ardent amour que tu
portes au Christ, je te voie prendre seulement quelques heures de
sommeil sur une terre nue, effrayer les anachorètes par tes austérités,
et suivre le chemin où t’appellent Elie, Jean, les deux Macaires,
Paphnuce, Or, Ammon, Sarmata, Hilarion et Antoine dépouillé de tout, et
portant cette tunique faite avec des feuilles de palmier par la noble
main du maître; — soit que tu rendes à Lérins son premier père, Lérins
où tu vas souvent, quoique brisé par la vieillesse, te délasser en
servant tes disciples ; où tu consacres à peine quelques moments au
sommeil, évitant de prendre des aliments cuits, ne buvant pas de vin,
jeûnant sans cesse et chantant des psaumes, rappelant à tes frères
combien de montagnes s’élancèrent jusques aux cieux du fond de cette
île; quelle fut la vie sainte du vieux Caprasius, du jeune Lupus; de
quelles grâces fut doué Honoratus, leur père; quelles vertus pratiqua ce
Maximus dont tu es le successeur à double titre, car tu gouvernes son
église en qualité de pontife, et tu gouvernes ses moines en qualité
d’abbé; enfin comblant d’éloges Euchérius, qui vint habiter parmi eux,
et Hilarius qui, les ayant quittés, alla les retrouver pour la seconde
fois; — soit que je te contemple au milieu du peuple confié à tes soins,
et qui se prend, d’après tes exhortations, à mépriser les mœurs de ses
ancêtres; — soit que je considère ton empressement à pourvoir aux
besoins des infirmes, des pèlerins et de ceux dont les jambes amaigries
fléchissent sous le poids des chaînes; — soit que, appliqué tout entier
à rendre aux morts les derniers devoirs, tu ne dédaignes pas d’escorter
toi-même vers la tombe les restes livides et infects du pauvre; — soit
que, placé sur les degrés des saints autels, tu parles devant le peuple,
qui se presse autour de toi pour écouter la loi de Dieu, et puiser les
remèdes salutaires qu’elle renferme; — quoi que tu fasses, en quelque
lieu que tu te trouves, tu seras toujours pour moi Faustus, Honoratus et
Maximus. |
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NOTES DU CARMEN XVI.
14. —
Expresso complens de vellere pellem. — On lit au livre des Juges,
VI, 36-40:
Et alors Gédéon dit à Dieu : Si tu veux sauver Israël par ma main, comme tu l’as
promis,
« Je mettrai cette toison dans l’aire, et si la rosée est sur la toison, et la
sécheresse sur toute la terre, je saurai que tu délivreras Israël par ma main.
« Et il fut ainsi; et Gédéon, se levant durant la nuit, pressa la toison et
remplit une coupe de la rosée qui en sortit.
« Et il dit encore à Dieu : Que ta colère ne s’allume pas contre moi, si je
demande un second signe sur la toison. Je te prie, Seigneur, que toute la terre
soit trempée de rosée, et que la toison seule demeure sèche.
« Et le Seigneur fit en cette nuit comme il avait demandé; la rosée tomba sur
toute la terre, et la toison seule demeura sèche.
18-19. —
Jesse afflasti regem — Sidonius confond ici les époques. David dansa,
en effet, devant l’arche, quand elle fut conduite de la maison d’Abinadab à
celle d’Obédédom, et ensuite au palais du roi; mais la plaie honteuse qui frappa
les Philistins est antérieure à ce fait. Voyez le IIe livre des
Rois, chap. 6.
70. …
debere juvat — On a dû remarquer, dans cette invocation d’une
longueur démesurée, que Sidonius confond l’Esprit-Saint avec le Christ.
97. —
Anachoreta. — Ou ce mot est au vocatif, ou bien il faut lire
anachoronta, leçon qui serait autorisée par quelques
manuscrits, suivant le P. Sirmond. Notre auteur a pu dire
anacwrounta,
de même qu’il a dit Chironomonta.
110. —
Miserit in cœlum montes. — Cette pensée, rendue à peu près dans les
mêmes termes, se trouve dans les homélies de St. Césaire. Voyez les Œuvres de
St. Vincent de Lérins et de St. Eucher de Lyon, p. 352; on peut consulter
aussi le même ouvrage pour les différents noms que présente la fin de cette
pièce.
124. —
Gradibus venerabilis aræ. — Du temps de Faustus, les évêques avaient
coutume de prêcher dans une chaire placée sur les degrés de l’autel. Plusieurs
auteurs font mention de cet usage, entre autres Prudentius,
de sajancti Hippolyti Ecclesia:
Fronte sub adversa gradibus sublime tribunal
Tollitur, antistes prædicat unde Deum.
Mais, par la suite, on plaça la chaire dans la nef, pour mieux faire entendre au
peuple la parole du Seigneur. Il faut observer aussi que, dans la primitive
Eglise, le peuple avait tant de respect pour la Divinité, qu’il assistait debout
aux sermons, et que c’était alors une indécence de s’asseoir, comme le
rapportent Eusèbe et St. Augustin.
127. —
Semper Faustus, etc. — Toujours des jeux de mots intraduisibles !
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