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POLITIQUE D'ARISTOTE, TRADUITE EN FRANÇAIS D'APRÈS LE TEXTE COLLATIONNÉ SUR LES MANUSCRITS ET LES ÉDITIONS PRINCIPALES PAR J. BARTHÉLEMY-SAINT HILAIRE, DEPUTÉ A L'ASSEMBLÉE NATIONALE, MEMBRE DE L'INSTITUT (ACADÉMIE DES SCIENCES MORALES) , TROISIÈME ÉDITION, Revue et corrigée), PARIS, LIBRAIRIE PHILOSOPHIQUE DE LADRANGE, 41, RUE SAINT-ANDRE-DES-ARTS, 41, MDCCCLXXIV.
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La Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen est le résumé de toute la science politique. - Utilité et méthode de cette science. - Platon ; vérité et grandeur de sa politique à la fois rationnelle et historique ; ses erreurs. - Aristote ; sa méthode, presque entièrement historique ; ses défauts et ses mérites. - Montesquieu ; sa méthode est plus historique encore que celle d'Aristote ; l'Esprit des Lois; ses lacunes et sa grandeur. - Polybe. - Cicéron. - Machiavel. - Hobbes. - Spinosa. - Rousseau. - Conclusion ; devoirs de la science politique. - Postscriptum de la troisième édition. APPENDICE : DE L'ORDRE DES LIVRES DE LA POLITIQUE D'ARISTOTE. LIVRE I (bilingue) DE LA SOCIÉTÉ CIVILE. - DE L'ESCLAVAGE. - DE LA PROPRIÉTÉ. - DU POUVOIR DOMESTIQUE. CHAPITRE PREMIER. De l'État ; origine de la société ; elle est un fait de nature. - Éléments de la famille ; le mari et la femme, le maître et l'esclave. - Le village est formé de l'association des familles. - L'État est formé de l'association des villages ; il est la fin de toutes les autres associations ; l'homme est un être essentiellement sociable. - Supériorité de l'État sur les individus ; nécessité de la justice sociale. CHAPITRE II. Théorie de l'esclavage naturel. - Opinions diverses pour ou contre l'esclavage ; opinion personnelle d'Aristote ; nécessité des instruments sociaux ; nécessité et utilité du pouvoir et de l'obéissance. - La supériorité et l'infériorité naturelles font les maîtres et les esclaves ; l'esclavage naturel est nécessaire, juste et utile ; le droit de la guerre ne peut fonder l'esclavage. - Science du maître ; science de l'esclave. CHAPITRE III De la propriété naturelle et artificielle. - Théorie de l'acquisition des biens ; l'acquisition des biens ne regarde pas directement l'économie domestique, qui emploie les biens, mais qui n'a pas à les créer. - Modes divers d'acquisition : l'agriculture, le pacage, la chasse, la pêche, le brigandage, etc. ; tous ces modes constituent l'acquisition naturelle. - Le commerce est un mode d'acquisition qui n'est pas naturel ; double valeur des choses, usage et échange ; nécessité et utilité de la monnaie ; la vente ; avidité insatiable du commerce ; réprobation de l'usure. CHAPITRE IV Considérations pratiques sur l'acquisition des biens ; richesse naturelle, richesse artificielle ; l'exploitation des bois et des mines est une troisième espèce de richesse. - Auteurs qui ont écrit sur ces matières : Charès de Paros et Apollodore de Lemnos. - Spéculations ingénieuses et sûres pour acquérir de la fortune ; spéculation de Thalès ; les monopoles employés par les particuliers et par les États. CHAPITRE V Du pouvoir domestique; rapports du mari à la femme, du père aux enfants. - Vertus particulières et générales de l'esclave, de la femme et de l'enfant. -- Différence profonde de l'homme et de la femme ; erreur de Socrate ; louables travaux de Gorgias. - Qualités de l'ouvrier. - Importance de l'éducation des femmes et de celle des enfants. FIN DU LIVRE PREMIER. LIVRE II (bilingue) EXAMEN CRITIQUE DES THÉORIES ANTÉRIEURES ET DES PRINCIPALES CONSTITUTIONS. CHAPITRE PREMIER Examen de la République de Platon ; critique de ses théories sur la communauté des femmes et des enfants. - L'unité politique, telle que la conçoit Platon, est une chimère, et elle détruirait l'État, loin de le fortifier ; équivoque que présente la discussion de Platon. - Insouciance ordinaire des associés pour les propriétés communes ; impossibilité de cacher aux citoyens les liens de famille, qui les unissent ; dangers de l'ignorance où on les laisserait à cet égard ; crimes contre nature ; indifférence des citoyens les uns pour les autres. - Condamnation absolue de ce système. CHAPITRE II Suite de l'examen de la République de Platon ; critique de ses théories sur la communauté des biens ; difficultés générales qui naissent des communautés, quelles qu'elles soient. - La bienveillance réciproque des citoyens peut, jusqu'à un certain point, remplacer la communauté, et vaut mieux qu'elle ; importance du sentiment de la propriété ; le système de Platon n'a qu'une apparence séduisante ; il est impraticable, et n'a pas les avantages que l'auteur lui trouve. - Quelques critiques sur la position exceptionnelle des guerriers et sur la perpétuité des magistratures. CHAPITRE III Examen du traité des Lois, de Platon ; rapports et différences des Lois à la République. Critiques diverses : le nombre des guerriers est trop considérable, et rien n'est préparé pour la guerre extérieure ; limites de la propriété trop peu claires et précises ; oubli en ce qui concerne le nombre des enfants ; Phidon de Corinthe n'a pas commis cette lacune ; le caractère général de la constitution proposée dans les Lois est surtout oligarchique, comme le prouve le mode d'élection pour les magistrats. CHAPITRE IV Examen de la constitution proposée par Phaléas de Chalcédoine ; de l'égalité des biens ; importance de cette loi politique ; l'égalité des biens entraîne l'égalité d'éducation ; insuffisance de ce principe. Phaléas n'a rien dit des relations de sa cité avec les États voisins ; il faut étendre l'égalité des biens jusqu'aux meubles, et ne point la borner aux biens-fonds. - Règlement de Phaléas sur les artisans. CHAPITRE V Examen de la constitution imaginée par Hippodamus de Milet ; analyse de cette constitution ; division des propriétés ; tribunal suprême d'appel ; récompense aux inventeurs des découvertes politiques ; éducation des orphelins des guerriers. - Critique de la division des classes et de la propriété ; critique du système proposé par Hippodamus pour les votes du tribunal d'appel ; question de l'innovation en matière politique ; il ne faut pas provoquer les innovations, de peur d'affaiblir le respect dû à la loi. CHAPITRE VI Examen de la constitution de Lacédémone. - Critique de l'organisation de l'esclavage à Sparte ; lacune de la législation lacédémonienne à l'égard des femmes. - Disproportion énorme des propriétés territoriales causée par l'imprévoyance du législateur ; conséquences fatales ; disette d'hommes. - Défauts de l'institution des éphores ; défauts de l'institution du sénat ; défauts de l'institution de la royauté. - Organisation vicieuse des repas communs. Les amiraux ont trop de puissance. - Sparte, selon la critique de Platon, n'a cultivé que la vertu guerrière. - Organisation défectueuse des finances publiques. CHAPITRE VII Examen de la constitution Crétoise. Ses rapports avec la constitution de Lacédémone, qui cependant est supérieure ; admirable position de la Crète; serfs, Cosmes, sénat ; l'organisation des repas communs vaut mieux en Crète qu'à Sparte. - Moeurs vicieuses des Crétois autorisées par le législateur ; désordres monstrueux du gouvernement crétois. CHAPITRE VIII Examen de la constitution de Carthage ; ses mérites prouvés par la tranquillité intérieure et la stabilité de l'État ; analogies entre la constitution de Carthage et celle de Sparte.- Défauts de la Constitution Carthaginoise : magistratures trop puissantes ; estime exagérée qu'on y fait de la richesse ; cumul des emplois ; la constitution carthaginoise n'est pas assez forte pour que l'État puisse supporter un revers. CHAPITRE IX Considérations sur divers législateurs. - Solon ; véritable esprit de ses réformes. - Zaleucus, Charondas, Onomacrite ; Philolaüs, législateur de Thèbes ; loi de Charondas contre les faux témoins ; Dracon, Pittacus, Androdamas. - Fin de l'examen des travaux antérieurs. FIN DU LIVRE II LIVRE III : (bilingue) DE L'ÉTAT ET DU CITOYEN. - THÉORIE DES GOUVERNEMENTS ET DE LA SOUVERAINETÉ. - DE LA ROYAUTÉ. CHAPITRE PREMIER De l'État et du citoyen ; conditions nécessaires du citoyen ; le domicile ne suffit pas ; le caractère distinctif du citoyen, c'est la participation aux fonctions de juge et de magistrat ; cette définition générale varie suivant les gouvernements, et s'applique surtout au citoyen de la démocratie ; insuffisance des définitions ordinaires. - De l'identité ou du changement de l'État dans ses rapports avec les citoyens; l'identité du sol ne constitue pas l'identité de l'État; l'État varie avec la constitution elle-même. CHAPITRE II Suite : la vertu du citoyen ne se confond pas tout à fait avec celle de l'homme privé; le citoyen a toujours rapport à l'État. La vertu de l'individu est absolue et sans rapports extérieurs qui la limitent. Ces deux vertus ne se confondent même pas dans la république parfaite ; elles ne sont réunies que dans le magistrat digne du commandement ; qualités fort diverses qu'exigent le commandement et l'obéissance, bien que le bon citoyen doive savoir également obéir et commander : la vertu spéciale du commandement, c'est la prudence. CHAPITRE III Suite et fin de la discussion sur le citoyen ; les ouvriers ne peuvent être citoyens dans un État bien constitué. Exceptions à ce principe ; position des ouvriers dans les aristocraties et les oligarchies ; nécessités auxquelles les États doivent parfois se soumettre. - Définition dernière du citoyen. CHAPITRE IV Division des gouvernements et des constitutions. - Idée générale et but de l'État ; amour instinctif de la vie et sociabilité dans l'homme ; le pouvoir, dans la communauté politique doit toujours avoir en vue lé bien des administrés. Ce principe sert à diviser les gouvernements en gouvernements d'intérêt général : ce sont les bons ; et en gouvernements d'intérêts particuliers : ce sont les gouvernements corrompus, dégénération des autres. CHAPITRE V Division des gouvernements : gouvernements purs, royauté, aristocratie, république ; gouvernements corrompus, tyrannie, oligarchie, démagogie. - Les objections faites contre cette division générale ne reposent que sur des hypothèses, et non sur des faits. - Dissentiment des riches et des pauvres sur la justice et le droit politiques ; les uns et les autres ne voient qu'une partie de la vérité ; notion exacte et essentielle de la cité et de l'association politique, qui ont surtout en vue la vertu et le bonheur des associés, et non pas seulement la vie commune. Solution générale du litige entre la richesse et la pauvreté. CHAPITRE VI De la souveraineté; le gouvernement de l'État peut être profondément injuste ; prétentions réciproques et également iniques de la foule et de la minorité. Arguments divers en faveur de la souveraineté populaire, et énumération des objets auxquels elle peut s'étendre ; objections contre ces arguments et réponse à ces objections. La souveraineté doit appartenir autant que possible aux lois fondées sur la raison ; rapports intimes des lois avec la constitution. CHAPITRE VII Suite de la théorie de la souveraineté ; pour savoir à qui elle appartient, on ne peut tenir compte que des avantages vraiment politiques, et non des avantages quels qu'ils soient : la noblesse, la liberté, la fortune, la justice, le courage militaire, la science, la vertu. Insuffisance des prétentions exclusives ; l'égalité est, en général, le but que le législateur doit se proposer, afin de les concilier. CHAPITRE VIII Suite de la théorie de la souveraineté ; exception au principe de l'égalité en faveur de l'homme supérieur ; origine et justification de l'ostracisme ; usage de l'ostracisme dans les gouvernements de toute espèce ; l'ostracisme n'est pas possible dans la cité parfaite ; l'État doit se soumettre à l'homme supérieur; apothéose du génie. CHAPITRE IX Théorie de la royauté. De l'utilité ou des dangers de cette forme de gouvernement. Cinq espèces diverses de la royauté, qui doit toujours être légale ; la première espèce n'est guère qu'un généralat viager ; la seconde est celle de certains peuples barbares, et se rapproche de la tyrannie par ses pouvoirs illimités; la troisième comprend les aesymnéties, ou tyrannies volontaires, consenties pour un temps plus ou moins long ; la quatrième espèce est la royauté des temps héroïques, souveraine maîtresse à. la guerre et dans les procès de tout genre ; la cinquième enfin est celle où le roi est maître de tous les pouvoirs, à peu près comme le père les possède tous dans la famille. CHAPITRE X Suite de la théorie de la royauté; les cinq espèces peuvent être réduites à deux principales. - De la royauté absolue ; vaut-il mieux remettre le pouvoir à un seul individu qu'à des lois faites par des citoyens éclairés et honnêtes ? Arguments pour et contre la royauté absolue ; l'aristocratie lui est très préférable ; causes qui ont amené l'établissement et ensuite la ruine des royautés. - L'hérédité du pouvoir royal n'est pas admissible. - De la force publique mise à la disposition de la royauté. CHAPITRE XI Suite et fin de la théorie de la royauté absolue. Supériorité de la loi ; bien qu'elle dispose toujours d'une manière générale, elle vaut mieux que le pouvoir arbitraire d'un individu ; auxiliaires obligés que le monarque doit toujours se donner pour pouvoir exercer l'autorité ; condamnation générale de la royauté absolue. Exception maintenue en faveur du génie. - Fin de la théorie de la royauté. CHAPITRE XII Du gouvernement parfait, ou de l'aristocratie.... (lacune). FIN DU LIVRE III LIVRE IV (bilingue)(Ordinairement placé le septième.) THÉORIE GÉNÉRALE DE LA CITÉ PARFAITE. CHAPITRE PREMIER. Théorie de la république parfaite. Recherche préliminaire de la vie la plus parfaite ; division des biens dont l'homme peut jouir ; biens extérieurs, biens de l'âme ; supériorité de ces derniers ; le bonheur est toujours en proportion de la vertu ; les faits et la raison le prouvent. CHAPITRE II Suite ; le bonheur a-t-il les mêmes éléments pour l'État que pour l'individu ? Des avantages et des inconvénients de la domination ; exemples divers de quelques peuples qui l'ont toujours ambitionnée ; condamnation de ce système politique ; la conquête ne doit pas être le but de la cité. CHAPITRE III Suite : examen des deux opinions opposées qui recommandent ou qui proscrivent la vie politique ; l'activité est le véritable but de la vie, aussi bien pour les individus que pour l'État ; la véritable activité est celle de la pensée, qui prépare et gouverne les actes extérieurs. CHAPITRE IV Suite. De la juste grandeur que l'État parfait doit avoir ; il y a des limites en plus et en moins qu'il ne faut point dépasser ; sans fixer un nombre précis de citoyens, il faut que ce nombre soit tel qu'il puisse suffire à tous les besoins de la vie commune, et qu'il ne soit pas assez considérable pour que les citoyens puissent échapper à la surveillance ; dangers d'une trop grande population. CHAPITRE V Suite. Du territoire de l'État parfait ; conditions militaires qu'il doit remplir ; la cité doit avoir une position maritime ; moyens assurés de tirer parti du voisinage de la mer ; dangers de la préoccupation exclusive du commerce maritime ; précautions que le législateur doit prendre, afin que les relations maritimes soient sans inconvénients pour le bon ordre de la cité. CHAPITRE VI Suite. Des qualités naturelles que doivent avoir les citoyens dans la république parfaite ; caractères divers des peuples suivant les climats qu'ils habitent ; diversité de leurs institutions politiques. - Supériorité incontestable de la race grecque ; un peuple doit avoir à la fois intelligence et courage ; rôle considérable que joue le coeur dans la vie humaine. CHAPITRE VII Suite. Des éléments indispensables à l'existence de la cité ; ils sont de six espèces : les subsistances, les arts, les armes, les finances, le sacerdoce, et enfin la gestion des intérêts généraux et la décision des jugements ; sans ces éléments, la cité ne peut subsister et être indépendante. CHAPITRE VIII Suite. Réduction des éléments politiques de la cité à deux seulement dans le gouvernement parfait ; les citoyens sont uniquement ceux qui portent les armes et qui ont droit de voter à l'assemblée publique ; exclusion de tous les artisans ; les biens-fonds ne doivent appartenir qu'aux citoyens ; parmi les citoyens, les armes doivent être remises à la jeunesse, les fonctions politiques à l'âge mur, et le sacerdoce aux vieillards. CHAPITRE IX Suite. Antiquité de certaines institutions politiques, et spécialement de la division par castes et des repas communs ; exemples de l'Égypte, de la Crète et de l'Italie ; de la division des propriétés dans la république parfaite ; du choix des esclaves. CHAPITRE X Suite. De la position de la cité ; conditions qu'il faut rechercher, la salubrité, les eaux ; des fortifications de la cité ; il lui faut des murailles qui puissent aider au courage de ses habitants ; fausses théories répandues à ce sujet ; les progrès de l'art des sièges exigent que les cités sachent se défendre aussi habilement qu'on les attaque. CHAPITRE XI Suite. Des édifices consacrés au culte dans la république parfaite ; des repas communs des magistrats ; des places publiques et des gymnases ; de la police de la ville ; la police des champs doit être organisée à peu près de la même façon. CHAPITRE XII Suite. Des qualités que les citoyens doivent avoir dans la république parfaite ; conditions générales du bonheur ; influence de la nature, des habitudes et de la raison ; union nécessaire de ces trois conditions pour constituer le bonheur de l'individu et de la cité ; il faut supposer qu'elles se réunissent dans la cité parfaite. CHAPITRE XIII Suite. De l'égalité et de la différence des citoyens dans la cité parfaite ; subordination naturelle des âges divers. Les occupations de la paix sont la vie véritable de la cité ; il faut savoir user convenablement du repos ; la culture de la raison doit être le principal objet que l'homme se propose dans la vie; et le législateur, dans l'éducation des citoyens. CHAPITRE XIV Suite. De l'éducation des enfants dans la cité parfaite ; soins que le législateur doit donner à la génération ; de l'âge des époux ; conditions indispensables pour que l'union soit tout ce qu'elle doit être ; dangers des unions trop précoces ; soins à prendre pour les femmes enceintes ; abandon des enfants difformes et en surnombre ; avortement ; punition de l'infidélité. CHAPITRE XV Suite. De l'éducation de la première enfance ; soins hygiéniques ; exercices corporels. La société des esclaves est à éviter; il faut proscrire toute parole et toute action déshonnêtes devant les enfants ; importance des premières impressions. De cinq à sept ans, les enfants doivent assister aux leçons sans y prendre part ; il y a deux époques dans l'éducation : de sept ans à la puberté, de la puberté à vingt et un ans.
LIVRE V
texte grec
LIVRE VI :
texte grec
LIVRE
VII. (Ordinairement placé le sixième.) DE L'ORGANISATION DU POUVOIR DANS LA
DÉMOCRATIE ET DANS L'OLIGARCHIE.
LIVRE VIII.
(Ordinairement placé le cinquième.) THÉORIE GÉNÉRALE DES RÉVOLUTIONS. (texte
grec)
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