Le temps des généraux : Pompée |
Guerre contre Mithridate |
page suivante page précédente retour à l'entrée du site
Situation en Asie Mineure |
CICERON : M. Tullius Cicero fut avocat, homme politique, écrivain. Durant les dernières années de sa vie, aigri par son divorce et par sa mise à l'écart de la vie politique, Cicéron va se consacrer à la rédaction d'ouvrages théoriques sur l'art oratoire et sur la philosophie. Au fil de ses lectures, Cicéron choisit son bien où il le trouve ; il est en philosophie, un représentant de l'éclectisme. |
Au début de 66, un autre tribun, un certain Manilius, un homme de paille lui aussi, déposa un projet de loi, la loi Manilia, d'après laquelle le commandement en chef des provinces d'Asie, Bithynie, Cilicie, avec la direction de la guerre contre Mithridate, était transféré à Pompée. Celui-ci devait conserver d'ailleurs, dans toute la Méditerranée, les pouvoirs qu'il tenait de la loi Gabinia et qui, après la disparition de la piraterie, n'avaient plus de raison d'être. Le commandement extraordinaire de Pompée se trouvait donc, au point de vue territorial, accru de tout l'Orient, et de plus, cette fois, aucune limite précise de temps n'était assignée à sa durée. La proposition, combattue par l'oligarchie sénatoriale, rencontra encore, et pour les mêmes raisons, l'appui de César et, en outre, celui de Cicéron, qui fit alors ses débuts à la tribune aux harangues. Malgré l'intervention véhémente de Catulus, cette fois encore le parti oligarchique fut vaincu et la loi passa à une majorité considérable." |
[4]
Atque,--ut inde oratio mea proficiscatur, unde haec omnis causa
ducitur,--bellum grave et periculosum vestris vectigalibus ac sociis a
duobus potentissimis regibus infertur, Mithridate et Tigrane, quorum alter
relictus, alter lacessitus, occasionem sibi ad occupandam Asiam oblatam
esse arbitrantur. Equitibus Romanis, honestissimis viris, adferuntur ex
Asia cotidie litterae, quorum magnae res aguntur in vestris vectigalibus
exercendis occupatae: qui ad me, pro necessitudine quae mihi est cum illo
ordine, causam rei publicae periculaque rerum suarum detulerunt: Cicéron, pro lege Manilia, II. (4 - 6) |
II. Et, d'abord, partons du fait qui
donne lieu à toute la discussion présente : une guerre terrible et
pleine de dangers est déclarée aux alliés et aux peuples tributaires de
Rome par deux rois très puissants, Mithridate et Tigrane ; l'un, que vous
avez laissé pour vaincu, l'autre, que vous avez attaqué, croient avoir
trouvé une occasion favorable pour s'emparer de l'Asie. Il arrive, tous
les jours des lettres de ce pays, adressées à des chevaliers romains,
hommes très-honorables, qui ont de grandes sommes engagées dans le
recouvrement de vos impôts ; les liens qui m'attachent à l'ordre
équestre les ont décidés à me confier la défense de la république et
de leurs intérêts. Ces lettres leur apprennent que plusieurs bourgs de
la Bithynie, qui est aujourd'hui une de vos provinces, ont été
incendiés ; que le royaume d'Ariobarzane, qui touche aux pays tributaires
de Rome, est tout entier au pouvoir des ennemis ; que Lucullus, après
avoir fait de grandes choses dans ce pays, quitte la direction de cette
guerre ; que celui qui lui a succédé n'a point tout ce qu'il faut pour
conduire une si grande expédition ; que les alliés et les citoyens ne
désirent, ne demandent pour général qu'un homme ; que ce même homme
est le seul aussi que redoutent les ennemis, et qu'ils n'en craignent pas
d'autre. Vous voyez quelle est la question qui vous est soumise ; examinez
maintenant ce que vous avez à faire. Je crois devoir vous parler d'abord
de la nature de la guerre, puis de son importance, et enfin du général
qu'il vous faut choisir. Cette guerre est du nombre de celles qui doivent le plus vivement intéresser et échauffer vos coeurs : il s'agit de la gloire du peuple romain, gloire qui vous a été transmise par vos ancêtres, éclatante dans tous les genres, mais surtout dans les armes ; il s'agit du salut de peuples alliés et amis, pour lequel vos pères ont entrepris plusieurs guerres importantes et dangereuses ; il s'agit des revenus les plus sûrs et les plus considérables du peuple romain, revenus dont la perte vous rendrait la paix moins honorable et la guerre moins facile ; il s'agit enfin de la fortune d'un grand nombre de citoyens, à qui vous devez aide et protection, tant pour eux-mêmes que pour l'intérêt de la république. Cicéron, pro lege Manilia, II. (4 - 6)
|
LE DISCOURS DE CICÉRON texte tiré de l'introduction de J. VAN OOTEGHEM, S. J. au de imperio Cn. Pompei ad Quirites oratio. Cicéron avait, comme
Pompée, 40 ans, lorsqu'il prononça le De imperio Cn. Pompei.
Plusieurs procès avaient illustré sort nom : l'affaire de Sextus Roscius
d'Amérie (80), où il avait plaidé, non sans courage, contre L.
Cornelius Chrysogsonus, le tout-puissant favori de Sylla ; dix ans plus
tard, le procès de Verrès, coupable d'exactions et de vols pour quarante
millions de sesterces. Mais il n'avait jamais encore abordé la tribune
aux harangues (§§ 1-2). 1° But de ce discours Cicéron proteste, au § 70, de ses
intentions pleinement désintéressées : il n'a cédé, dit-il, à la
sollicitation de personne, ne veut plaire à personne, ne cherche à
s'assurer aucun appui ; il agit dans le seul intérêt de l'Etat. Cet
intérêt voulait que l'on en terminât une bonne fois avec les
difficultés que Mithridate suscitait sans fin en Orient : "Rome,
écrit L. Laurand, soutenait contre Mithridate une série de guerres qui
duraient depuis une génération ; on voulait en finir. Lucullus avait
remporté de brillants succès ; mais les soldats refusaient de le suivre
; il s'était rendu impossible. Quant à Glabrion, il avait complètement
échoué. On pouvait craindre un désastre. Un seul homme inspirait
confiance à tous : c'était Pompée. Avec lui, pensait-on, les soldats
marcheraient. Et l'on avait raison ; ils ont marché triomphalement. La
question essentielle était celle-ci : il fallait "gagner la
guerre". Or Pompée, comme Cicéron le remarque (§§ 28 et 42),
était précisément l'homme qui avait terminé toutes les guerres dont on
l'avait chargé. On lui a confié encore celle-là, qui durait depuis bien
longtemps, et il l'a terminée, comme les autres." 2° Préoccupations éthiques de Cicéron Si le but de Cicéron dans ce
discours fut surtout politique : faire nommer Pompée et servir ainsi,
pour le bien de l'État, les intérêts financiers de ta classe équestre,
il ne pouvait oublier l'amélioration morale de ses concitoyens lui le
préoccupait toujours. "Cicéron, a écrit feu le professeur E. Remy
a voulu rendre meilleurs ses compatriotes, et cette volonté a été non
seulement consciente, mais une sorte de programme de vie, dont la pensée
ne l'a jamais quitté, ni dans l'agitation de la politique ni dans la
retraite." Dans le discours qui nous occupe, il a mis en lumière ce
que le même admirateur de Cicéron appelle fort justement "la morale
de l'imperium, c'est-à-dire les devoirs que la conquête du monde impose
à l'État romain et à ceux qui le représentent devant les peuples
conquis". En énumérant les qualités guerrières, mais surtout les
qualités humaines - servantes et compagnes des premières (§ 36) - qui
recommandaient Pompée au choix du peuple, en célébrant cette lumière
bienfaisante de la civilisation que par lui l'imperium apportait au monde
(§ 41), Cicéron a tracé du même coup le portrait du général parfait,
idéal - summus imperator (§ 28). Bien rares, hélas étaient à
Rome les généraux possédant les qualités qui distinguaient Pompée :
utinam virorum fortium atque innocentium copiam haberetis, dit
l'orateur (§ 27). C'était généralement en vue de s'enrichir que l'on
convoitait la direction d'une guerre ou le gouvernement à l'étranger :
l'histoire de l'administration des provinces sous la république est
l'histoire d'une longue exploitation et d'un impitoyable pillage. Cicéron
l'avoue sans réticence : "Nous envoyons en province des hommes dont
l'arrivée dans les villes ne diffère guère d'une prise d'assaut par
l'ennemi " (§ 13) ; "qui peut ignorer les misères que cause la
cupidité de nos généraux et que nos armées apportent partout où elles
vont ?" (§ 37) ; "on aurait de la peine à dire, Quirites, de
quelle haine nous sommes l'objet chez les peuples étrangers à cause des
convoitises et des injustices de ceux que nous avons envoyés dans ces
contrées avec un commandement pendant ces dernières années" (§
65) ; "quelle cité d'Asie peut suffire à la passion insolente, je
ne dis pas d'un général en chef ou d'un légat, mais d'un seul tribun
militaire ?" (§ 66). Aussi l'orateur prêche-t-il avec une
insistance particulière la pratique de l'innocentia, de la temperantia,
de la facilitas, de l'humanitas, vertus qui devraient être
comme l'apanage des représentants de Rome auprès des nations de
l'imperium. La Cappadoce http://glux.ifrance.com/glux/anatolie/cap_hitoire/ Préhistoire On trouve des traces d'occupation humaine dont le début remonterait au néolithique et au chalcolithique. On trouva en effet des foyers, des statuettes et des outils lithiques, principalement en obsidienne, que l'on trouve très facilement en zone volcanique, ou en os.
Période Hittite
D'autres traces humaines concernent l'âge du bronze, puis la période
hittite ( 3000 – 1750 av. J.C). Le sol de cette région étant pauvre en
étain, mais riche en d'autres minerais (or, argent, cuivre), le troc se développa
donc avec les Assyriens vivant en Mésopotamie, qui fondèrent des
comptoirs commerciaux dans la région. On prouva l'existence de l'écriture
en
Période Perse
D'autres peuples prirent le contrôle de la région : les Kimmers, puis
les Mèdes et ensuite les Perses. Ceux-ci baptisèrent cette région «
Katpatuka », qui veut dire Pays des chevaux de race. Adeptes du culte du
feu, les volcans de la région étaient sacrés.
Période Romaine
Puis les Romains envahirent la région qui fut rattachée à Rome et,
comme la région était une des limites de l'Empire, fortifièrent la
ville de Kayseri et déplacèrent des légionnaires. Période Byzantine
Après la division de l'Empire romain en deux, la
|
a,
prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par ab, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par ac, conj. : et, et aussi ad, prép. : + Acc. : vers, à, près de adfero, fers, ferre, attuli, allatum : apporter administro, as, are : gouverner, administrer ago, is, ere, egi, actum : 1. mettre en mouvement, pousser 2. faire, traiter, agir alter, era, erum : l'autre (de deux) amicus, a, um : ami (amicus, i, m. : l'ami) amitto, is, ere, misi, missum : perdre animus, i, m. : le coeur, la sympathie, le courage, l'esprit arbitror, aris, ari, atus sum : 1. être témoin de 2. penser, juger (arbitro, as, are : archaïque) Ariobarzanes, is, m. : Ariobarzane (roi de Cappadoce) Asia, ae, f. : Asie atque, conj. : et, et aussi bellum, i, n. : la guerre Bithynia, ae, f. : la Bithynie (Asie Mineure) bonus, a, um : bon (bonus, i : l'homme de bien - bona, orum : les biens) causa, ae, f. : la cause, le motif; l'affaire judiciaire, le procès; + Gén. : pour certissimus, a, um : superlatif de certus, a, um : sûr, certain civis, is, m. : le citoyen complures, ium : pl. nombreux considero, as, are : considérer, examiner consulo, is, ere, sului, sultum : 1. délibérer, prendre des mesures, avoir soin de, veiller à 2. consulter cotidie, inv. : (et quo-) chaque jour cum, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que de, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de debeo, es, ere, ui, itum : devoir defero, fers, ferre, tuli, latum : 1. porter d'un lieu élevé dans un lieu plus bas, emporter 2. présenter, accorder 3. révéler 4. dénoncer deinde, adv. : ensuite deligo, is, ere, legi, lectum : choisir deposco, is, ere, depoposci, - : réclamer, demander avec insistance, exiger dico, is, ere, dixi, dictum : 1 - dire, affirmer, prononcer, exprimer; débiter, réciter. - 2 - dire le nom, nommer, appeler. - 3 - haranguer, plaider. - 4 - célébrer, chanter, raconter, décrire, composer, prédire. - 5 - fixer, assigner, établir, régler. - 6 - avertir, faire savoir, notifier. - 7 - signifier, vouloir dire. - 8 - nommer, élire, proclamer, élever au rang de. discedo, is, ere, cessi, cessum : se séparer, s'éloigner duco, is, ere, duxi, ductum : I. tirer 1. tirer hors de 2. attirer 3. faire rentrer 4. compter, estimer II. conduire, emmener, épouser duo, ae, o : deux ego, mei : je eius, génitif singulier de is, ea, id : ce, cette, son, sa, de lui, d'elle eo, 1. ABL. M-N SING de is, ea, is : le, la, les, lui... ce,..; 2. 1ère pers. sing. de l'IND PR. de eo, ire 3. adv. là, à ce point 4. par cela, à cause de cela, d'autant (eo quod = parce que) eques, itis, m. : le chevalier, le cavalier et, conj. : et. adv. aussi ex, prép. : + Abl. : hors de, de excito, as, are : exciter, réveiller, dresser, inciter exerceo, es, ere, cui, citum : 1. ne pas laisser en repos, travailler sans relâche 2. tourmenter, exercer, pratiquer expeto, is, ere, ii, itum : désirer vivement, souhaiter, convoiter, réclamer, revendiquer exuro, is, ere, ussi, ustum : brûler entièrement finitimus, a, um : voisin genus, eris, n. : la race, l'origine, l'espèce gero, is, ere, gessi, gestum : 1. porter 2. exécuter, faire gestio, is, ire, i(v)i : exulter, avoir des transports de joie, ou d'un autre sentiment, gesticuler, être impatient de gloria, ae, f. : 1. la gloire, la réputation, le renom 2. le désir de gloire gravis, e : 1. lourd, pesant 2. grave, puissant, forts, grave, dur, rigoureux, pénible, accablant 3. alourdi, embarrassé, accablé hic, haec, hoc : adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci honestissimus, a, um : superlatif de honestus, a, um : honnête hostis, is, m. : l'ennemi id, nominatif - accusatif neutre singulier de is, ea, is : il, elle, le, la, ce, .... idem, eadem, idem : le (la) même ille, illa, illud : adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ... imperator, oris, m. : le général, l'empereur in, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre inde, adv. : de là, donc infero, es, ferre, tuli, illatum : porter dans, servir inflammo, as, are : 1. allumer incendier 2. enflammer, irriter, échauffer ipse, a, um : (moi, toi, lui,...) même L, abrév. : Lucius lacesso, is, ere, ivi, itum : harceler, exciter, attaquer littera, ae, f. : la lettre Lucullus, i, m. : Lucullus magnitudo, dinis, f. : la grande taille, la grandeur magnus, a, um : grand maior, oris : comparatif de magnus. plus grand. maiores, um : les ancêtres) maxime, adv. : surtout maximus, a, um : superlatif de magnus, a, um : grand metus, us, m. : la peur, la crainte meus, mea, meum : mon militaris, e : militaire Mithridas, atis, m. : Mithridate modus, i, m. : 1 - la mesure, la dimension, la proportion; l'étendue, l'extension; la quantité; la hauteur, la longueur; le contour, le tour, la circonférence. - 2 - la mesure (objet qui sert à évaluer les quantités). - 3 - la mesure, le rythme, la cadence (musicale, oratoire), la mélodie, le chant, le mode musical, la musique. - 4 - la mesure, la règle, la loi, la prescription; la juste mesure, la modération. - 5 - les bornes, les limites, la fin, le terme. - 6 - la manière, la façon, le procédé, la méthode, le genre, la sorte, le mode. - 7 - le mode, la forme (t. de gram.). multus, a, um : en grand nombre (surtout au pl. : nombreux) necessitudo, inis, f. : la nécessité, l'obligation, le lien (d'amitié, de parenté,...) nemo, neminis : personne, nul... ne, personne non, neg. : ne...pas nunc, adv. : maintenant occasio, onis, f. : l'occasion, le moment favorable occupatus, a, um : pris, investi, occupé occupo, as, are : se saisir de, envahir, remplir, devancer, couper (la parole) offero, fers, ferre, obtuli, oblatum : offrir, donner omnis, e : tout oratio, onis, f. : le langage, la parole, l'exposé, le discours ordo, inis, m. : le rang, l'ordre, la file (de soldats), la centurie ornamentum, i, n. : 1. l'appareil, l'équipement 2. l'ornement, la parure paratus, us, m. : la préparation, l'apprêt, le préparatif pax, pacis, f. : la paix periculosus, a, um : dangereux, périlleux periculum, i, n. : 1. l'essai, l'expérience 2. le danger, le péril persequor, eris, i, persecutus sum : 1. suivre jusqu'au bout, poursuivre 2. s'attacher à suivre obstinément, de bout en bout - parcourir par écrit, exposer, raconter populus, i, m. : le peuple potentissimus, a, um : superlatif de potens, entis : puissant potestas, atis, f. : 1. la puissance, le pouvoir 2. le pouvoir d'un magistrat 3. la faculté, l'occasion de faire qqch. praeterea, inv. : en outre primum, adv. : d'abord, pour la première fois pro, prép. : + Abl. : devant, pour, à la place de, en considération de proficiscor, eris, i, fectus sum : partir provincia, ae, f. : 1 - la province romaine, le pays réduit en province. - 2 - la charge de gouverneur, le gouvernement d'une province, l'administration d'une province; la conduite d'une guerre. - 3 - la charge, l'emploi, la fonction, la mission, la tâche, le soin. publicus, a, um : public qua, 1. ablatif féminin singulier du relatif. 2. Idem de l'interrogatif. 3. après si, nisi, ne, num = aliqua. 4. faux relatif = et ea 5. adv. = par où?, comment? quae, 4 possibilités : 1. nominatif féminin singulier, nominatif féminin pluriel, nominatif ou accusatif neutres pluriels du relatif = qui, que (ce que, ce qui) 2. idem de l'interrogatif : quel? qui? que? 3. faux relatif = et ea - et eae 4. après si, nisi, ne, num = aliquae qui, 1. nominatif masculin singulier ou nominatif masculin pluriel du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi quibus, 1. datif ou ablatif pluriel du relatif 2. Idem de l'interrogatif 3. faux relatif = et eis 4. après si, nisi, ne, num = aliquibus quid, 1. Interrogatif neutre de quis : quelle chose?, que?, quoi?. 2. eh quoi! 3. pourquoi? 4. après si, nisi, ne num = aliquid quo, 1. Abl. M. ou N. du pronom relatif. 2. Abl. M. ou N. du pronom ou de l'adjectif interrogatif. 3. Faux relatif = et eo. 4. Après si, nisi, ne, num = aliquo. 5. Adv. =où ? (avec changement de lieu) 6. suivi d'un comparatif = d'autant 7. conj. : pour que par là quod, 1. pronom relatif nom. ou acc. neutre singulier : qui, que 2. faux relatif = et id 3. conjonction : parce que, le fait que 4. après si, nisi, ne, num = aliquod = quelque chose 5. pronom interrogatif nom. ou acc. neutre sing. = quel? quorum, 1. GEN. MASC. ou N. PL. du relatif. 2. GEN. MASC. ou N. PL. de l'adjectif ou du pronom interrogatif. 3. Après si, nisi, ne, num = aliquorum. 4. Faux relatif = et eorum. regnum, i, n. : le pouvoir royal, le trône, le royaume relinquo, is, ere, reliqui, relictum : laisser, abandonner requiro, is, ere, quisivi, quisitum : 1. rechercher, être à la recherche de 2. réclamer, désirer, demander res, rei, f. : la chose, l'événement, la circonstance, l'affaire judiciaire; les biens rex, regis, m. : le roi Romanus, a, um : Romain (Romanus, i, m. : le Romain) salus, utis, f. : 1. la santé 2. le salut, la conservation 3. l'action de saluer, les compliments satis, adv. : assez, suffisamment se, pron. réfl. : se, soi socius, a, um : associé, en commun, allié (socius, ii : l'associé, l'allié) studium, ii, n. : 1. le zèle, l'ardeur 2. l'affection, l'attachement 3. l'intérêt, la passion, l'étude subsidium, ii, n. : la troupe de réserve, l'aide, le secours succedo, is, ere, cessi, cessum : aller sous, gravir, monter, aller aux pieds de, succéder sum, es, esse, fui : être summus, a, um : superlatif de magnus. très grand, extrême suus, a, um : adj. : son; pronom : le sien, le leur tantus, a, um : si grand ; -... ut : si grand... que Tigranes, is, m. : Tigrane (roi d'Arménie) totus, a, um : tout entier trado, is, ere, didi, ditum : 1. transmettre, remettre 2. livrer 3. enseigner tum, adv. : alors unde, adv. : d'où? unus, a, um : un seul, un ut, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que vectigalis, e : soumis à l'impôt, tributaire (vectigal, alis, n. : l'impôt) vester, tra, trum : votre vicus, i, m. : le quartier, le village video, es, ere, vidi, visum : voir (videor, eris, eri, visus sum : paraître, sembler) vir, viri, m. : l'homme, le mari vos, uestrum : vous |
texte |
texte | |
texte | |
texte |