Le temps des généraux : Pompée

Sédition de Lépidus

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79 - 77

Sédition de Lépide

FLORUS : On ne sait rien de Florus. Il écrivit une histoire romaine (-753 - +9). Son oeuvre est publiée à la fin du règne d'Hadrien.

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Abrégé de la sédition de Lépide
XXIV. --- BELLUM ClVlLE SUB LEPIDO

Marco Lepido, Quinto Catulo consulibus, civile bellum paene citius oppressum est quam inciperet: sed quantulacumque fax illius motus ab ipso Syllae rogo exarsit. Cupidus rerum novarum per insolentiam Lepidus acta tanti viri rescindere parabat; nec immerito, si tamen posset sine magna clade rei publicae. Nam cum iure belli Sylla dictator proscripsisset inimicos, qui supererant, revocante Lepido, quid aliud quam ad bellum vocabantur? Cumque damnatorum civium bona, addicente Sylla, quamvis male capta, iure tamen teneremur, repetitio eorum procul dubio labeiactabat compositae civitatis statum. Expediebat ergo quasi aegrae sauciaeque rei publicae requiescere quomodocunque, ne vulnera curatione ipsa rescinderentur.
Ergo, cum turbidis concionibus, velut classico, civitatem terruisset, profectus in Etruriam, arma inde et exercitum Urbi admoverat. Sed iam Milvium pontem collemque Ianiculum Lutatius Catulus, Cnaeusque Pompeius, Syllanae dominationis duces atque signiferi, alio exercitu insederant. A quibus primo statim impetu retro pulsus, hostisque a senatu iudicatus, incruenta fuga in Etruriam, inde Sardiniam recessit, ibique morbo et poenitentia interiit. Victores quoque, quod non temere alias in civilibus bellis, pace contenti fuerunt.

Florus, III.

  vocabulaire

XXIV. -- GUERRE CIVILE DE LÉPIDUS

Sous le consulat de Marcus Lépidus et de Quintus Catulus, il s'éleva une guerre civile, qui fut éteinte presque avant d'éclater. Mais si courte que fût sa durée elle ne s'en alluma pas moins au bûcher même de Sylla. Avide de nouveautés, Lépidus eut la présomption de vouloir abolir les actes d'un si grand personnage. Il n'aurait pas eu tort, s'il avait pu le faire sans grand dommage pour la république. Le droit de la guerre avait permis à Sylla, alors dictateur, de proscrire ses ennemis. En rappelant ceux qui survivaient, Lépidus ne les appelait-il pas aux armes ? Sylla avait vendu aux enchères les biens des citoyens condamnés ; cette vente, si injuste fût-elle, était légale. Les restituer, c'était sans aucun doute ébranler l'État enfin rendu à la paix. Malade et blessée, la république avait avant tout besoin de repos et, en voulant soigner ses blessures, on risquait de les rouvrir.
Après que les harangues séditieuses de Lépidus eurent jeté dans la ville la même terreur que la trompette guerrière, Lépidus partit en Étrurie et y leva une armée qu'il fit marcher sur Rome. Mais déjà le pont Milvius et le Janicule avaient été occupés par une autre armée que commandaient Lutatius Catulus et Cnéus Pompée, chefs et porte-drapeaux du parti de Sylla. Ils le repoussèrent dès le premier choc, et le sénat le déclara ennemi public. Lépidus s'enfuit sans verser de sang et se retira en Étrurie, puis en Sardaigne, où il mourut de maladie et de regret. De leur côté, les vainqueurs, donnant un exemple rare dans les guerres civiles, se contentèrent d'avoir rétabli la paix.

Florus, III. (traduction Pierre Hainsselin et Henri Watelet, Garnier)

 

traduction du texte anglais du site http://www.ualberta.ca/~csmackay/CLASS_366/70s.html

La décennie après Sylla

Les années 70 se caractérisent par l'agitation résultant de la constitution de Sylla. Beaucoup de gens, comme les enfants de proscrits qui ont perdu leurs droits et ceux qui ont perdu leurs terres, souhaitent faire casser ces dispositions. Mais ces dispositions sont soutenues non seulement par ceux qui en ont directement bénéficié mais aussi par ceux qui voient en elles l'établissement d'un régime sénatorial permanent. Le résultat final de cette période est l’émergence de Cn. Pompeius (Pompée) qui devient la personnalité principale de la vie publique.

M. Aemilius Lepidus

L'attaque contre la constitution de Sylla a déjà commencé durant la vie de celui-ci. Alors qu’il est toujours dictateur en 79, Sylla préside aux élections consulaires pour l'année suivante. Les deux candidats sont apparemment des défenseurs de la constitution de Sylla. Q. Lutatius Catulus est certainement un partisan de Sylla. Son père homonyme a été le collègue de Marius comme consul en 102 et s’est suicidé en 87 après la prise de Rome par Marius. En 82 son fils (c'est-à-dire le futur consul de 78) a fait torturer à mort M.. Marius Gratidianus, le neveu de Marius, comme offrande funéraire à son père. Son collègue, M. Aemilius Lepidus, appartient à une grande famille patricienne. Lépide a résidé à Rome durant les années 80 et s'est marié à un parent de L. Saturninus. Il s’est rallié à Sylla lors du retour de celui-ci en Italie et a divorcé de son épouse "Marianiste". On croit qu’Aemilius Lepidus fut légat de Sylla pendant la guerre civile. Il est sûr qu’il devient préteur durant la dictature de Sylla. Il s’est également enrichi lors des proscriptions. Il y a donc tout lieu de penser que, comme Catulus, il soutiendra la constitution de Sylla. Ce n’est pas le cas.
En 78 Sylla meurt de mort naturelle. Il est sans doute évident que déjà avant sa mort Lépidus ait agi quelques fois d’une façon qui déplaisait à Sylla. Certainement au moment de la mort de Sylla Lépidus commence à mener une politique contraire à l’héritage de celui-ci. Les partisans de Sylla souhaitent que le corps de celui-ci soit ramené à Rome et qu’il ait un enterrement public (Sylla est le premier Cornélius patricien à être incinéré, sans doute pour empêcher que l’on fasse à ses restes ce qu’on avait fait à ceux de Marius). Alors que Catulus soutient ce projet, Lépidus s'y oppose. Les partisans de Sylla ont le dessus et il est incinéré en grande pompe. C’est de là le début du désaccord constant entre les deux consuls.
Au début, Lépide ne s’oppose pas aux nouvelles dispositions constitutionnelles. Quand les tribuns réclament la restitution de leur puissance, il est le premier à affirmer lors d’une assemblée que leur réclamation est valable. Il fait alors voter une loi frumentaire. Il propose également l'abolition d'un certain nombre d'initiatives de Sylla affectant les particuliers :
- rappel des exilés;
- annulation de certaines mesures prises par Sylla lors de la guerre
- abolition des concessions de terre faites par Sylla
- restitution des propriétés confisquées.
Il semble que plus tard il soutient activement la restauration du tribunat.
Il n’est pas étonnant que Catulus s'oppose à toutes ces mesures. Il y a des troubles dans la ville, il n’est pas évident de savoir ce que prévoyait Lépide pour l’avenir. Il reçoit comme province la Gaule Cisalpine et gouverne celle-ci par un légat, M. Junius Brutus (père de celui qui devait assassiner César). Un ancêtre avait préparé la voie en colonisant la région un siècle plus tôt, ainsi Lépide hérite d’une grande clientèle. Lépide contrecarre sans doute les élections de 77, de sorte que l'année commence avec un interroi.
La déclaration de guerre est en 78 quand Lépide soutient un soulèvement spontané en Etrurie. C’est là que Sylla avait causé beaucoup de destructions en 82 et avait confisqué de grandes quantités de terre pour les distribuer à ses vétérans. Quand les habitants de Faesulae attaquent les colons de Sylla, le sénat ordonne de réprimer le soulèvement. Lépide joint ses forces aux révoltés et fait venir à ses côtés les enfants des proscrits (ils n’avaient plus aucun droit politique). Ceci se passe à la fin de l’année, puisque c'est sur une proposition de l’interroi de 77 que le sénat vote le sanatus consultum ultimum. Celui-ci charge Q. Lutatius Catulus comme proconsul de réprimer Lépide.
Lépide alors marche sur Rome, espérant obtenir un second consulat. Pendant ce temps Catulus envoye vers le Nord Pompée comme légat pour attaquer Brutus, le légat de Lépide en Gaule Cisalpine. Brutus tombe aux mains de Pompée. On ne sait pas si Brutus trahit son armée ou si c’est son armée qui le trahit. Pompée fait assassiner Brutus de façon déloyale. Quand ces nouvelles arrivent à Rome, la résolution de Lépide (ou ses appuis) s'effondrent et il se sauv en Sardaigne, où il meurt un peu plus tard de mort naturelle. Ce n'est pas la fin des ennuis : un partisan de Lépide, M. Perperna Veiento, fils du consul de 92 et petit-fils de l'homme qui battit Aristonicus (le chef de la révolte contre le legs d'Attalus de son royaume au peuple romain) en 130, emmène le reste des troupes en Espagne : cette région est commandée par Q. Sertorius, un opposant à Sylla depuis la guerre civile.

a, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
ab
, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
ad
, prép. : + Acc. : vers, à, près de
addico, is, ere, dixi, dictum
: attribuer, adjuger, vendre, dévouer ; être favorable
admoveo, es, ere, movi, motum :
1 - approcher une chose d'une autre, mouvoir vers, appliquer à; employer, faire pénétrer jusqu'à. 2 - faire avancer qqn, approcher de, pousser vers; réconcilier
aeger, gra, grum
: malade (aegrum, i, n. : la maladie)
ago, is, ere, egi, actum
: 1 - chasser devant soi, faire marcher, conduire, pousser, amener (en parlant des êtres animés ou personnifiés) 2. faire, traiter, agir
alias
, adv. : une autre fois, à un autre moment
alius, a, ud
: autre, un autre
arma, orum
, n. : les armes
atque
, conj. : et, et aussi
bellum, i,
n. : la guerre
bonus, a, um
: bon (bonus, i : l'homme de bien - bona, orum : les biens)
capio, is, ere, cepi, captum
: prendre
catulus, i
, m. : le petit d'un chien, ou d'un animal quelconque (Catulus, i, m. : Catulus)
citius
, adv. : plus rapidement
civilis, e
: civil
civis, is
, m. : le citoyen
civitas, atis
, f. : la cité, l'état
clades, is,
f. : la blessure, la perte, le dommage, le désastre militaire, la grave défaite
classicum, i,
n. : la sonnerie de la trompette
Cnaeus, i
, m. : Cnéus
collis, is
, m. : la colline
compono, is, ere, posui, positum
: mettre ensemble, disposer, enterrer (compositus, a, um : disposé, préparé; en bon ordre)
concio, ionis
, f. : l'assemblée
consul, is
, m. : le consul
contentus, a, um
: content de, satisfait de
cum
, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que
cupidus, a, um
: 1 - qui désire, qui aime, passionné, désireux de. - 2 - avide d'argent, cupide. - 3 - épris d'amour, amoureux. - 4 - partial.
curatio, ionis,
f. : 1 - l'action de soigner, le soin. - 2 - la charge, l'office, l'administration, l'emploi. - 3 - la curatelle. - 4 - la cure, le traitement (pour se soigner).
damno, as, are
: condamner (damnatus, a, um : 1 - condamné (judiciairement), tenu de, obligé de. - 2 - condamné, rejeté.)
dictator, oris
, m. : le chef, le dictateur
dominatio, onis
, f. : la domination, la souveraineté, le pouvoir absolu
dubius, a, um
: douteux (dubium, i, n. : le doute)
dux, ducis
, m. : le chef, le guide
eorum
, génitif masculin ou neutre pluriel de is, ea, id = d'eux, leur, leurs
ergo
, conj. : donc
et
, conj. : et. adv. aussi
Etruria, ae
, f. : Etrurie
exardesco, is, ere, arsi, arsum
: s'enflammer, brûler, éprouver un sentiment violent
exercitus, us,
m. : l'armée
expedio, is, ire, i(v)i , itum
: se débarrasser, se préparer, expliquer
fax, facis
, f. : la torche, le flambeau, le brandon
fuga, ae
, f. : la fuite
hostis, is
, m. : l'ennemi
iam
, adv. : déjà, à l'instant
Ianiculum, i
, n. : le Janicule
ibi
, adv. : là
ille, illa, illud
: adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ...
immeritus, a, um
: qui n'a pas mérité, injuste
impetus, us
, m. : le mouvement en avant, l'élan, l'assaut
in
, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre
incipio, is, ere, cepi, ceptum
: 1 - commencer. - 2 - entreprendre, faire, tenter, essayer. - 3 - intr. - commencer, être à son commencement.
incruentus, a, um
: non ensanglanté; qui n'a pas versé son sang, non blessé
inde
, adv. : de là, donc
inimicus, a, um
: ennemi, de l'ennemi (inimicus, i, m. : l'ennemi)
insido, is, ere, sedi, sessum
: s'asseoir, s'installer
insolentia, ae,
f. : 1 - l' inexpérience, la nouveauté, l'étrangeté, la bizarrerie. - 2 - l'orgueil, l'insolence, l'impertinence, le mépris. - 3 - la prodigalité, le faste.
intereo, is, ire, ii, itum
: 1 - mourir. - 2 - périr (en parl. des ch.), se perdre, être perdu, disparaître.
ipse, a, um
: (moi, toi, lui,...) même
is
, nominatif masculin singulier de is, ea, id : ce, cette, celui-ci, il, 2ème personne sing. de eo, is, ire : aller
iudico, as, are
: 1. juger, faire office de juge 2. rendre un jugement 3. requérir 4. décider
iure
, inv. : à bon droit
labefacto, as, are
: faire chanceler, renverser ; secouer, renverser, faire croulet, ruiner
lepidus, a, um
: plaisant, charmant, agréable (Lepidus, i, m. : Lépide)
Lutatius, i,
m. : Lutatius (Quintus Lutatius, consul en même temps que Marius)
magnus, a, um
: grand
male
, adv. : mal, vilainement
Marcus, i,
m. : Marcus
Milvius, pons
: le pont Mulvius à Rome
morbus, i
, m. : la maladie
motus, us
, m. : 1.le mouvement 2. le mouvement de l'âme 3. le mouvement de foule
nam
, conj. : de fait, voyons, car
ne
, 1. adv. : ... quidem : pas même, ne (défense) ; 2. conj. + subj. : que (verbes de crainte et d'empêchement), pour que ne pas, de ne pas (verbes de volonté) 3. adv. d'affirmation : assurément 4. interrogatif : est-ce que, si
nec
, adv. : et...ne...pas
non
, neg. : ne...pas
novus, a, um
: nouveau
opprimo, is, ere, pressi, pressum
: tr. - 1 - presser, comprimer, serrer. - 2 - écraser, étouffer, accabler, charger, abattre, opprimer, réduire, anéantir, détruire (au pr. et au fig.). - 3 - tomber, s'abattre, s'écrouler. - 4 - prendre au dépourvu, surprendre, assaillir. - 5 - renfermer, cacher, dissimuler.
paene
, adv. : presque
paro, as, are
: préparer, procurer (paratus, a, um : prêt, préparé à, bien préparé, bien fourni)
pax, pacis
, f. : la paix
pello, is, ere, pepuli, pulsum
: chasser
per
, prép. : + Acc. : à travers, par
poenitentia, ae
, f. : 1 - le repentir, le regret. - 2 - la repentance, la componction, la contrition
Pompeius, i
, m. : Pompée
pons, pontis
, m. : le pont
possum, potes, posse, potui
: pouvoir
primus, a, um
: premier
procul
, adv. : loin
proficiscor, eris, i, fectus sum
: partir
proscribo, ere, o
: faire savoir par affiche ; proscrire, mettre sur des listes de proscription (proscriptus, i, m. : le proscrit)
publicus, a, um
: public
quam
, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien
quamvis
, conj. : bien que
quantuluscumque
, : si petit
quasi
, conj. : comme si; adv. : pour ainsi dire, environ
qui
, 1. nominatif masculin singulier ou nominatif masculin pluriel du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi
quibus
, 1. datif ou ablatif pluriel du relatif 2. Idem de l'interrogatif 3. faux relatif = et eis 4. après si, nisi, ne, num = aliquibus
quid
, 1. Interrogatif neutre de quis : quelle chose?, que?, quoi?. 2. eh quoi! 3. pourquoi? 4. après si, nisi, ne num = aliquid
quintus, a, um
: cinquième (Quintus, i, m. : Quintus)
quod
, 1. pronom relatif nom. ou acc. neutre singulier : qui, que 2. faux relatif = et id 3. conjonction : parce que, le fait que 4. après si, nisi, ne, num = aliquod = quelque chose 5. pronom interrogatif nom. ou acc. neutre sing. = quel?
quomodocunque
, adv. : de quelque manière que ; de toute manière
quoque
, adv. : aussi
recedo, is, ere, cessi, cessum
: repartir, s'en aller, se retirer
repetitio, is
, f. : la réclamation, la répétition
requiesco, is, ere, quievi, quietum
: se reposer
res, rei
, f. : la chose, l'événement, la circonstance, l'affaire judiciaire; les biens
rescindo, is, ere; scidi, scissum
: déchirer à nouveau, couper (un pont), ouvrir (une brèche dans une palissade), abroger, casser, enfreindre
retro
, adv. : en arrière, par derrière
revoco, as, are
: rappeler, faire revenir, faire replier (une armée), ramener, rapporter, revenir, écarter, détourner de, revenir sur, rétracter
rogus, i
, m. : le bûcher
Sardinia, ae,
f. : Sardaigne
saucius, a, um
: 1. blessé 2. atteint, endommagé, maltraité 3. atteint au moral
sed
, conj. : mais
senatus, us
, m. : le sénat
si
, conj. : si
signifer, eri
, m. : le porte-enseigne
sine
, prép. : + Abl. : sans
statim
, adv. : aussitôt
status, us
, m. : l'attitude, la position, la forme de gouvernement, le bon état
sum, es, esse, fui
: être
supersum, es, esse, fui
: être en excédent, être en surplus, rester, survivre à. - quod superest : au reste, au surplus. - superest (+ inf., ou ut et subj.) : il reste à, il reste que
Sylla, ae,
m. : Sylla
Syllanus, a, um
: de Sylla
tamen
, adv. : cependant
tantus, a, um
: si grand ; -... ut : si grand... que
temere
, adv. : à la légère, au hasard
teneo, es, ere, ui, tentum
: 1. tenir, diriger, atteindre 2. tenir, occuper 3. tenir, garder 4. maintenir, soutenir, retenir 5. lier 6. retenir, retarder, empêcher
terreo, es, ere, ui, itum :
1. effrayer, épouvanter 2. mettre en fuite, chasser
turbidus, a, um
: 1. troublé, agité, confus 2. bouleversé, désemparé
velut
, inv. : comme
victor, oris
, m. : le vainqueur
vir, viri
, m. : l'homme, le mari
voco, as, are
: tr. - appeler (pour faire venir), convoquer, provoquer; invoquer (qqn), implorer (qqch); amener, réduire à.
urbs, urbis
, f. : la ville
vulnus, eris
, n. : la blessure
texte
texte
texte
texte