Le temps des généraux : Pompée

Conjuration de Catilina

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63 - 62
Conjuration de Catilina
le 3 décembre : on avoue tout

CICERON : M. Tullius Cicero fut avocat, homme politique, écrivain. Durant les dernières années de sa vie, aigri par son divorce et par sa mise à l'écart de la vie politique, Cicéron va se consacrer à la rédaction d'ouvrages théoriques sur l'art oratoire et sur la philosophie. Au fil de ses lectures, Cicéron choisit son bien où il le trouve ; il est en philosophie, un représentant de l'éclectisme.

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Quand tout fut prêt, les Allobroges annoncèrent leur départ pour le 3 décembre au matin. Ils devaient suivre la voie Flaminienne, qui passe le Tibre sur le pont Mulvius (ponte Molle). Cicéron avait eu soin de prévenir deux préteurs qui lui étaient dévoués, L. Valerius Flaccus et C. Pomptinus...  les conjurés sont arrêtés.
Ac ne longum sit, Quirites, tabellas proferri iussimus, quae a quoque dicebantur datae. Primo ostendimus Cethego; signum cognovit. Nos linum incidimus, legimus. Erat scriptum ipsius manu Allobrogum senatui et populo sese, quae eorum legatis confirmasset, facturum esse; orare ut item illi facerent, quae sibi eorum legati recepissent. Tum Cethegus, qui paulo ante aliquid tamen de gladiis ac sicis, quae apud ipsum erant deprehensa, respondisset dixissetque se semper bonorum ferramentorum studiosum fuisse, recitatis litteris debilitatus atque abiectus conscientia repente conticuit. Introductus est Statilius; cognovit et signum et manum suam. Recitatae sunt tabellae in eandem fere sententiam; confessus est. Tum ostendi tabellas Lentulo et quaesivi, cognosceretne signum. Adnuit. 'Est vero', inquam, 'notum quidem signum, imago avi tui, clarissimi viri, qui amavit unice patriam et cives suos; quae quidem te a tanto scelere etiam muta revocare debuit.'
[10] Leguntur eadem ratione ad senatum Allobrogum populumque litterae. Si quid de his rebus dicere vellet, feci potestatem. Atque ille primo quidem negavit; post autem aliquanto, toto iam indicio eito atque edito, surrexit; quaesivit a Gallis, quid sibi esset cum iis, quam ob rem domum suam venissent, itemque a Volturcio. Qui cum illi breviter constanterque respondissent, per quem ad eum quotiensque venissent, quaesissentque ab eo, nihilne secum esset de fatis Sibyllinis locutus, tum ille subito scelere demens, quanta conscientiae vis esset, ostendit. Nam, cum id posset infitiari, repente praeter opinionem omnium confessus est. Ita eum non modo ingenium illud et dicendi exercitatio, qua semper valuit, sed etiam propter vim sceleris manifesti atque deprehensi inpudentia, qua superabat omnis, inprobitasque defecit.
[11] Volturcius vero subito litteras proferri atque aperiri iubet, quas sibi a Lentulo ad Catilinam datas esse dicebat Atque ibi vehementissime perturbatus Lentulus tamen et signum et manum suam cognovit. Erant autem sine nomine, sed ita: 'Quis sim, scies ex eo, quem ad te misi. Cura, ut vir sis, et cogita, quem in locum sis progressus. Vide, ecquid tibi iam sit necesse, et cura, ut omnium tibi auxilia adiungas, etiam infimorum.' Gabinius deinde introductus cum primo impudenter respondere coepisset, ad extremum nihil ex iis, quae Galli insimulabant, negavit.
[12] Ac mihi quidem, Quirites, cum illa certissima visa sunt argumenta atque indicia sceleris, tabellae, signa, manus, denique unius cuiusque confessio, tum multo certiora illa, color, oculi, voltus, taciturnitas. Sic enim ob stupuerant, sic terram intuebantur, sic furtim non numquam inter sese aspiciebant, ut non iam ab aliis indicari, sed indicare se ipsi viderentur.

Cicéron, Catilinaires, III, 9 - 12.

  vocabulaire

[3,5] V. Mais abrégeons ce récit. Je fais produire les lettres attribuées à chacun des accusés. Céthégus est le premier auquel je montre son cachet; il le reconnaît. J'ouvre la lettre, et j'en fais lecture. Elle était écrite de sa main. II y promettait au sénat et au peuple des Allobroges de tenir la parole qu'il avait donnée à leurs ambassadeurs. Il les priait de remplir de leur côté les engagements contractés par ceux-ci peu de moments auparavant. Céthégus, pour se justifier d'avoir eu chez lui un amas d'épées et de poignards, venait de répondre qu'il avait toujours été curieux de bonnes lames. Mais à la lecture de sa lettre, atterré, confondu, accablé par le témoignage de sa conscience, il reste muet. Statilius est introduit; il reconnaît son cachet et sa main. On lit la lettre; elle était conçue dans le méme esprit. Il avoue sans résistance. Je fais venir Lentulus, et lui montrant ta sienne ; je lui demande s'il en reconnaît le sceau. Sur son aveu : En effet, lui dis-je, cette empreinte est facile à reconnaître : c'est l'image de ton aïeul; l'image d'un grand homme, dévoué à sa patrie et à ses concitoyens. Elle aurait dû, toute muette qu'elle est, te détourner d'un si noir attentat. Sa lettre au sénat et au peuple des Allobroges est lue comme les précédentes. Je lui permets de parler, s'il a quelque chose à répondre. Il commence par nier. On lui met sous les yeux toutes les pièces à conviction. Alors il se lève, et demande aux Gaulois quelle affaire il avait avec eux, et pour quel motif ils étaient venus chez lui. Il fait la m^me question à Vulturcius. Ceux-ci répondent en peu de mots et sans se troubler. Ils disent le nom de leur introducteur, le nombre de leurs visites; ils demandent à Lentulus s'il ne leur a jamais parlé des livres sibyllins. A ce mot, le délire du crime égare sa raison, et révèle tout le pouvoir de la conscience. Il pouvait nier ce propos, et tout à coup, au grand étonnement de l'assemblée entière, il l'avoue. Effet irrésistible de l'évidence sur l'àme d'un coupable: il ne retrouve plus ou en ce moment critique ce talent oratoire qui le distingua toujours. Même cette impudence et cette effronterie qui n'eurent jamais rien d'égal,l'ont abandonné. En cet instant, Vulturcius demande qu'on produise et qu'on ouvre la lettre que Lentulus lui avait remise pour Catilina. Malgré le trouble violent qui l'agite, Lentulus reconnaît son cachet et sa main. La lettre sans signature était ainsi conçue: "Celui que je t'envoie t'apprendre qui je suis. Sois homme; songe quel pas tu as fait, et vois à quoi t'oblige désormais la nécessité. Aie soin de prendre partout des auxiliaires, même dans les rangs les plus bas."
Gabinius, amené à son tour, nie d'abord avec impudence, et finit par convenir de tout ce que lui imputaient les Gaulois. Voilà sans doute, citoyens, des preuves manifestes et des témoignages irrécusables du crime, les lettres, les cachets, l'écriture, l'aveu même de chacun des coupables. Mais j'en avais sous les yeux des indices encore plus certains, leur pâleur, leurs regards, l'altération de leur visage, leur morne silence. A voir leur consternation, leurs yeux baissés vers la terre, les regards furtifs qu'ils se lançaient mutuellement, ils semblaient moins des malheureux qu'on accuse que des criminels qui se dénoncent eux-mêmes.

Cicéron, Catilinaires, III,  9 - 12

La séance du Sénat ne fut presque qu'un long interrogatoire. On introduisit d'abord Volturcius avec les députés des Allobroges. Il tremblait de peur, mais on lui promit qu'il ne serait pas poursuivi, et il dit tout ce qu'on voulait savoir. Comme on l'envoyait chez Catilina pour prendre les dernières dispositions, il était au courant de tous les projets, et les fit connaître. Les députés, auxquels on n'avait rien caché, furent intarissables de détails. Quand vint le tour des inculpés, il ne fut pas difficile d'obtenir un aveu de Gabinius et de Statilius. Cethegus opposa plus de résistance. On avait fait une perquisition chez lui et on y avait trouvé une grande quantité de poignards et d'épées ; il prétendit, pour se justifier, qu'il avait toujours été amateur de belles lames. Mais quand on lui mit sous les veux sa lettre aux chefs des Gaulois, signée de sa main, il se troubla et cessa de nier. Lentulus s'était plus compromis que les autres par ses vantardises. Pour se donner de l'importance, il avait entretenu les députés d'un oracle sibyllin, qui annonçait que trois personnes de la famille des Cornelii occuperaient à Rome le pouvoir souverain. Cinna et Sylla avaient été les deux premiers ; il ne doutait pas qu'il dût être le troisième, d'autant plus que les haruspices, qu'il consultait aussi, lui affirmaient que le temps était arrivé où l'oracle allait s’accomplir. Dans la séance du Sénat, lorsqu'on lui présenta sa lettre aux Allobroges, il nia l’avoir écrite ; mais il fut bien forcé d'avouer que le sceau était le sien. "En effet, lui dit Cicéron, cette empreinte est facile à reconnaître : c'est l'image de ton aïeul, un grand homme de bien, qui aimait sa patrie avec passion. Toute muette, qu'elle est, elle aurait dû t'empêcher de commettre un crime si abominable". Confronté avec les députés, il le prit d'abord de très haut, et il eut l’air de ne pas les connaître. Mais quand ils lui demandèrent s'il ne se souvenait pas de leur avoir parlé des livres sibyllins, son assurance tomba tout d'un coup, et, à la surprise générale, il avoua en balbutiant tout ce qu’on lui reprochait. Il se reconnut même l'auteur d'une lettre qu'il avait remise, sans la signer, à Volturcius pour Catilina, et qui était ainsi conçue : "Tu sauras qui je suis par celui que je t'envoie. Sois homme de coeur ; songe à la situation où tu t'es mis, et vois à quoi la nécessité t'oblige ; prends des auxiliaires partout, même dans les rangs les plus bas. (Cette curieuse lettre est reproduite à la fois par Cicéron et par Salluste. Les deux versions, pour le fond, sont tout à fait semblables et ne diffèrent que par quelques expressions. Il est facile de voir à certains détails que c'est celle de Cicéron qui est la véritable. Salluste a été choqué de la répétition du verbe cura qui revient deux fois dans un si court billet, et il l'a supprimée. A la place de cette phrase : vide quid tibi sit necesse, qui lui a paru plate, il met : consideres quid tuae rationes postutent. Ces préoccupations de lettré sont ici assez singulières).
Cette lettre, presque impertinente, prouve qu'entre le chef et les complices il y avait des dissentiments graves. Elle faisait allusion à la répugnance qu'éprouvait Catilina à enrôler des esclaves parmi ses soldats ; Lentulus n'avait pas les mêmes scrupules. Après ces interrogatoires, aucun doute ne pouvait rester. Les lettres, les cachets, l'écriture, l'aveu des accusés fournissaient une preuve irrécusable du crime. Mais Cicéron ajoute que ceux qui assistaient à la scène en avaient sous les yeux des indices encore plus certains. "A voir la pâleur des coupables, leurs yeux baissés vers la terre, leur attitude morne, leur consternation, les regards furtifs qu'ils se lançaient mutuellement, ils semblaient moins des malheureux qu'on accuse que des criminels qui se dénoncent eux-mêmes" (Catilin. III, 5). La délibération fut courte. A l'unanimité, on décida que les neuf prévenus étaient coupables et que ceux qu'on avait pu saisir resteraient prisonniers jusqu'à leur condamnation définitive. Lentulus était préteur et, les magistrats étant inviolables, ne pouvait être légalement poursuivi qu'après qu'il serait sorti de charge. On venait de voir le consul, respectant jusqu'à la fin la dignité dont l'accusé était revêtu, le conduire au Sénat par la main, tandis que ses complices y étaient amenés entre des soldats. Pour supprimer toute apparence d'illégalité, Lentulus fut pressé d'abdiquer, et il y consentit. On vota ensuite des remerciements au consul "pour avoir préservé la ville de l'incendie, les citoyens du massacre, l'Italie e 1a guerre civile". Des éloges furent accordés aux préteurs pour leur conduite dans l'affaire du pont Milvius. Antoine lui-même, l'autre consul, eut aussi sa part : on ne pouvait pas le féliciter du bien qu'il avait fait ; on le remercia de s'être abstenu de faire du mal. Les Dieux ne furent pas oubliés ; on décida de leur adresser ces prières solennelles d'actions de grâces qu'on appelait des supplications. On ne les votait jusque là qu'après quelque victoire, et pour glorifier le général qui l’avait remportée ; c'était la première fois qu'on faisait cet honneur à un citoyen qui ne commandait pas des armées et n'avait pas cessé de porter la toge. On comprend que Cicéron ne manque pas de le faire remarquer.
Le jour baissait ; il était accablé de fatigue, et pourtant il lui restait quelque chose à faire. Il sortit du Sénat pendant qu'on achevait de rédiger les derniers décrets, et parut au Forum, où une foule immense était réunie elle attendait qu'on lui fît savoir ce qui venait de se passer. Remarquons à cette occasion à quel point la vie politique était intense dans ces républiques anciennes. Les communications ne cessaient jamais entre le peuple et ses magistrats.
Directement, sans intermédiaire, sans aucun retard, il était tenu par eux au courant de ce qui pouvait l'intéresser dans ses affaires. Rome, au moment même où elle devenait maîtresse du monde, était encore une ville municipale, comme les petites communes du Latium et de la Sabine, et elle en avait conservé toutes les habitudes. Pour contenter l'impatience des citoyens affamés de nouvelles, Cicéron monta immédiatement à la tribune et prononça la troisième Catilinaire.
Elle a le même intérêt que la seconde ; vivante, comme elle, passionnée, populaire, elle contient d'abord le résumé de la séance du Sénat qui vient de finir, résumé qui en reproduit le mouvement et en donne l'impression. L'orateur, dans un récit qui dut égayer l'assemblée, montre l'attitude piteuse des prévenus ; il insiste sur les maladresses qu’ils ont commises, sur les confidences qu’ils ont faites sans précaution à des inconnus, sur les lettres qu’ils leur ont remises et qui devaient servir contre eux de témoignages irrécusables. "Jamais, dit-il, des voleurs qui dévalisaient une maison bourgeoise ne se sont fait prendre plus sottement". La dernière partie du discours a un caractère tout religieux. Il faut se rappeler, pour la comprendre, que, chez les Romains, la religion était une partie de leur patriotisme. Ils étaient si persuadés que leurs dieux s'occupaient de leurs affaires et ne cessaient pas de travailler pour eux qu'ils ne pouvaient imaginer qu'il leur arrivât un événement heureux ou triste où ils ne seraient pas intervenus. Le peuple n'aurait pas cru à l’importance réelle de la conjuration s'il avait pensé que les dieux s'en fussent désintéressés. Aussi Cicéron a-t-il grand soin de rappeler tous les présages que les prêtres avaient notés, et par lesquels la république était prévenue des dangers qui la menaçaient. C’était, comme à l'ordinaire, des orages effrayants qui éclataient tout d'un coup, la terre qui tremblait, des voix merveilleuses qu'on croyait entendre, le ciel qui s'éclairait de lueurs sinistres. Mais, à ces prodiges auxquels on était accoutumé, il s’en joignait cette fois de plus significatifs. L'année précédente, la foudre avait plusieurs fois dévasté le Capitole, renversant la statue de Jupiter, frappant le groupe doré, objet de la vénération publique, qui représentait la louve allaitant les jumeaux divins. On avait célébré des sacrifices expiatoires et décidé de remplacer au plus vite la statue détruite par une autre qui serait plus grande et plus belle. Mais l'ouvrage marcha lentement. La statue ne fut prête que dans les derniers jours du consulat de Cicéron, et il se trouva qu'elle ne put être installée que le 3 décembre, le jour même où les conjurés comparurent devant le Sénat. Cette coïncidence était de nature à frapper le peuple ; Cicéron, quoiqu'il eût peu de confiance dans les présages et qu'il dût composer plus tard un livre contre la divination, ne négligea pas d'en tirer cette fois un grand effet oratoire, et nous pouvons être sûrs que ce fut un des passages les plus applaudis de son discours. Il le termina par ces quelques mots : "La nuit tombe, citoyens ; aller, adresser vos hommages à Jupiter, le gardien de cette ville et le vôtre. Retirez-vous ensuite dans vos maisons, et quoique le danger soit passé, ne laissez pas de veiller à votre sûreté comme la nuit précédente. Quant à vous délivrer de ces soucis et à vous permettre de jouir enfin d'une paix solide, fiez-vous à moi, Romains ; j'en fais mon affaire."

LA CONJURATION DE CATILINA PAR GASTON BOISSIER de l'Académie française, PARIS, LIBRAIRIE HACHETTE ET Cie, 79, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, 1905.

a, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
ab
, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
abiicio, is, ere, ieci, iectum
: jeter, rejeter
ac
, conj. : et, et aussi
ad
, prép. : + Acc. : vers, à, près de
adiungo, is, ere, iunxi, iunctum
: 1. joindre à, s'adjoindre 2. appliquer, appuyer, associer 3. ajouter
adnuo, is, ere, nui, nutum
: faire signe (oui) de la tête, consentir, acquiescer
aliquanto
, adv. : assez longtemps, trop longtemps
aliquis, a, id
: quelqu'un, quelque chose
alius, a, ud
: autre, un autre
Allobroges, um
, m. : les Allobroges
amo, as, are : aimer
, être amoureux
ante
, prép. : +acc., devant, avant ; adv. avant
aperio, is, ire, ui, apertum
: ouvrir, mettre au grand jour (apertus, a, um : 1 - découvert, ouvert; dégagé, libre. - 2 - qui se fait ouvertement, manifeste, évident; qui s'expose. - 3 - clair, intelligible. - 4 - franc, ouvert, sincère, candide; impudent.)
apud
, prép. : + Acc. : près de, chez
argumentum, i
, n. : 1. l'argument, la preuve 2. la chose qui est montrée, la matière, le sujet, l'objet, l'argument (sujet) d'une comédie
aspicio, is, ere, spexi, spectum
: regarder, examiner, considérer, voir
atque
, conj. : et, et aussi
autem
, conj. : or, cependant, quant à -
avus, i
, m. : l'ancêtre, l'aïeul, le grand-père
auxilium, ii,
n. : l'aide, le secours (auxilia, orum : les troupes de secours)
bonus, a, um
: bon (bonus, i : l'homme de bien - bona, orum : les biens)
breviter
, adv. : brièvement
Catilina, ae
, m. : Catilina
certior, oris
: compartif de certus, a, um : sûr, certain
certissimus, a, um
: superlatif de certus, a, um : sûr, certain
Cethegus, i,
m. : Cethegus (nom d'homme)
civis, is
, m. : le citoyen
clarissimus, a, um
: superlatif de clarus, a, um : célèbre, illustre
coepio, is, ere, coepi, coeptum
: (plutôt avec rad. pf et supin) : commencer
cogito, as, are : penser, réfléchir
cognosco, is, ere, novi, nitum
: 1. apprendre à connaître, étudier ; pf. : savoir 2. reconnaître 3. instruire (une affaire)
color, oris
, m. : la couleur, le teint du visage, l'éclat (du style)
confessio, ionis
, f. : l'aveu, la confession, la reconnaissance
confirmo, as, are
: affermir, confirmer, assurer
confiteor, eris, eri, fessus sum
: 1 - avouer, reconnaître. - 2 - confesser, faire profession de. - 3 - faire connaître dévoiler, indiquer.
conscientia, ae
, f. : 1 - la connaissance commune, la confidence, la complicité, la connivence. - 2 - l'opinion générale, la notion. - 3 - la connaissance intime, le sentiment intime, la conscience, la persuasion. - 4 - le for intérieur, le témoignage de la conscience, la conscience (bonne ou mauvaise); les remords.
constanter
, adv. : avec constance, fermeté, opiniâtreté; constamment
conticeo, es, ere, ui, - :
se taire
cum
, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que
curo, as, are
: se charger de, prendre soin de (curatus, a, um : bien soigné)
de
, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de
debeo, es, ere, ui, itum
: devoir
debilito, as, are
: affaiblir, éprouver
deficio, is, ere, feci, fectum
: faillir, faire défection; au passif : être privé de
deinde
, adv. : ensuite
demens, entis
: qui a perdu la tête, fou, insensé.
denique
, adv. : 1 - ensuite, alors, maintenant. - 2 - à la fin, finalement, enfin. - 3 - puis, ensuite (dans une énumération); finalement. - 4 - même, et même, au moins; en somme, en un mot, bref. - 5 - en conséquence, ainsi, aussi.
deprehendo, is, ere, di, sum
: 1 - prendre, saisir, arrêter au passage, intercepter; qqf. interrompre. - 2 - atteindre, surprendre (en parl. de la tempête). - 3 - trouver, surprendre, prendre sur le fait. - 4 - saisir (par les sens ou l'intelligence), comprendre, trouver, reconnaître, remarquer, s'apercevoir. - 5 - au passif : être gêné, être embarrassé, se trouver dans l'embarras.
dico, is, ere, dixi, dictum
: 1 - dire, affirmer, prononcer, exprimer; débiter, réciter. - 2 - dire le nom, nommer, appeler. - 3 - haranguer, plaider. - 4 - célébrer, chanter, raconter, décrire, composer, prédire. - 5 - fixer, assigner, établir, régler. - 6 - avertir, faire savoir, notifier. - 7 - signifier, vouloir dire. - 8 - nommer, élire, proclamer, élever au rang de.
do, das, dare, dedi, datum
: donner
domus, us
, f. : la maison
ecquid
, adv. : est-ce-que en quelque manière
edo, edis , edidi, editum
: I. mettre à jour, faire connaître, produire (editus, a, um : élevé, haut) II. edo, edis, edi, edum : manger
ego, mei
: je
enim
, conj. : car, en effet
eo
, 1. ABL. M-N SING de is, ea, is : le, la, les, lui... ce,..; 2. 1ère pers. sing. de l'IND PR. de eo, ire 3. adv. là, à ce point 4. par cela, à cause de cela, d'autant (eo quod = parce que)
eorum
, génitif masculin ou neutre pluriel de is, ea, id = d'eux, leur, leurs
et
, conj. : et. adv. aussi
etiam
, adv. : encore, en plus, aussi, même, bien plus
eum
, ACC M SING. de is, ea, id : il, lui, elle, celui-ci...
ex
, prép. : + Abl. : hors de, de
exercitatio, ionis
, f. : 1 - le mouvement, l'agitation. - 2 - l'exercice, l'entraînement. - 3 - l'usage, l'habitude, la pratique.
expono, is, ere, posui, positum
: mettre dehors, exposer, montrer
extremus, a, um
: 1. le plus à l'extérieur, extrême 2. dernier 3. le plus bas
facio, is, ere, feci, factum
: faire
fatum, i
, n. : 1 - la prédiction, l'oracle, la prophétie. - 2 - le destin, la destinée, la fatalité, la volonté des dieux. - 3 - le sort, la condition, la fortune. - 4 - la durée de la vie. - 5 - l'accident, le malheur, la calamité, la disgrâce. - 6 - la ruine, la destruction, la perte, le fléau, la peste. - 7 - la mort naturelle, la mort.
fere
, adv. : presque
ferramentum, i
, n. : 1 - l'outil en fer. - 2 - l'outil tranchant. - 3 - la faux. - 4 - la hache. - 5 - le rasoir. - 6 - l'instrument de chirurgie.
furtim
, adv. : en cachette, comme un voleur
Gabinius, i,
m. : Gabinius (nom d'homme)
Gallus, i
, m. : Gaulois
gladius, i
, m. : le glaive, l'épée
hic, haec, hoc
: adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci
iam
, adv. : déjà, à l'instant
ibi
, adv. : là
id
, nominatif - accusatif neutre singulier de is, ea, is : il, elle, le, la, ce, ....
idem, eadem, idem
: le (la) même
iis
, datif ou ablatif pluriels de is, ea, id : le, la, les, lui... ce,..
ille, illa, illud
: adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ...
imago, inis
, f. : l'imitation, l'image, le portrait d'ancêtres
impudenter
, adv. : impudemment, effrontément
in
, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre
incido, is, ere, cidi
: I. de cadere : tomber dans, arriver, se présenter II. de caedere : entailler, couper, graver
indicium, ii
, n : l'indication, la révélation, la dénonciation
indico, as, are
: tr. - 1 - révéler, dénoncer, dévoiler, découvrir. - 2 - montrer, faire voir, indiquer (au pr. et au fig.). - 3 - mettre à prix, évaluer.
infimus, a, um
: le plus bas, le dernier
infitior, aris, ari
: 1 - nier (un dépôt, une dette). - 2 - refuser (une chose promise). - 3 - nier. - 4 - désavouer, renier.
ingenium, ii
, n. : les qualités innées, le caractère, le talent, l'esprit, l'intelligence
inprobitas, atis
, f. : 1 - la mauvaise qualité d'une chose, le mauvais état. - 2 - la méchanceté, la perversité, l'iniquité, la malice. - 3 - la hardiesse, l'audace, la témérité. - 4 - l'effronterie, l'impudence, la corruption des moeurs.
inpudentia, ae,
f. : l'impudence, l'audace, l'effronterie
inquam
, v. : dis-je
insimulo, as, are
: 1 - accuser faussement. - 2 - accuser. - 3 - reprocher, blâmer.
inter
, prép. : + Acc. : parmi, entre
introduco, is, ere, duxi, ductum
: faire entrer, introduire
intueor, eris, eri, itus sum
: - regarder attentivement, regarder vers, jeter les yeux sur, observer, considérer. - 2 - au fig. considérer, envisager, faire attention à, songer à, étudier. - 3 - regarder, être tourné vers (en parl. d'un lieu).
ipse, a, um
: (moi, toi, lui,...) même
ita
, adv. : ainsi, de cette manière ; ita... ut, ainsi que
item
, inv. : de même
iubeo, es, ere, iussi, iussum
: 1. inviter à, engager à 2. ordonner
legatus, i,
m. : 1 - l'envoyé, le député, l'ambassadeur. - 2 - le délégué, le commissaire, le légat. - 3 - le lieutenant (d'un général en chef); le commandant d'une légion. - 4 - le lieutenant de l'empereur, le légat de l'empereur, le gouverneur d'une province. - 5 - le légat, l'assesseur d'un préteur.
lego, is, ere, legi, lectum
: cueillir, choisir, lire (lectus, a, um : choisi, d'élite)
Lentulus, i
, . : Lentulus (nom d'homme)
linum, i
, n. : 1 - le lin (plante). - 2 - le fil. - 3 - la ligne (pour la pêche). - 4 - le vêtement de lin, toile, linge. - 5 - la voile (de navire). - 6 - la corde, le cordage. - 7 - le filet.
littera, ae
, f. : la lettre
locus, i
, m. : le lieu, l'endroit; la place, le rang; la situation
longus, a, um
: long
loquor, eris, i, locutus sum
: intr. et tr. - parler, dire, discourir, raconter, parler sans cesse de.
manifestus, a, um
: clair, évident; + Gén. : convaincu de, pris en flagrant délit
manus, us
, f. : la main, la petite troupe
mitto, is, ere, misi, missum
: I. 1. envoyer 2. dédier 3. émettre 4. jeter, lancer II. laisser aller, congédier
modo
, adv. : seulement ; naguère, il y a peu (modo... modo... tantôt... tantôt...)
multo
, adv. : beaucoup, de beaucoup
mutus, a, um
: muet
nam
, conj. : de fait, voyons, car
ne
, 1. adv. : ... quidem : pas même, ne (défense) ; 2. conj. + subj. : que (verbes de crainte et d'empêchement), pour que ne pas, de ne pas (verbes de volonté) 3. adv. d'affirmation : assurément 4. interrogatif : est-ce que, si
necesse
, adj. inv. : inévitable, inéluctable, nécessaire
nego, as, are
: dire non, nier, refuser, ne pas vouloir.
nihil
, indéfini : rien
nomen, inis
, n. : 1. le nom, la dénomination 2. le titre 3. le renom, la célébrité (nomine = par égard pour, à cause de, sous prétexte de)
non
, neg. : ne...pas
nos, nostrum
: nous, je
notus, a, um
: connu, fameux, familier
numquam
, inv. : ne... jamais
ob
, prép. : + Acc : à cause de
oculus, i
, m. : l'oeil
omnis, e
: tout
opinio, onis,
f : 1 - l'opinion, l'idée préconçue, le préjugé, la croyance, l'illusion. - 2 - l'attente, l'espérance. - 3 - la bonne opinion, la haute idée, l'estime, la réputation. - 4 - le bruit, la rumeur publique. - 5 - l'opinion, l'avis.
oro, as, are
: 1 - parler, dire. - 2 - parler en qualité d'ambassadeur, négocier. - 3 - parler en public, être orateur. - 4 - prier, demander, solliciter, implorer.
ostendo, is, ere, tendi, tentum
: 1 - étendre devant, exposer. - 2 - présenter, montrer, faire voir, exhiber, mettre en évidence, manifester, annoncer, exposer, dire, signifier.
patria, ae
, f. : la patrie
paulo
, adv. : un peu
per
, prép. : + Acc. : à travers, par
perturbo, as, are
: bouleverser, troubler, inquiéter
populus, i,
m. : 1. le peuple - 2. f. : le peuplier
possum, potes, posse, potui
: pouvoir
post
, adv. : en arrière, derrière; après, ensuite; prép. : + Acc. : après
potestas, atis
, f. : 1. la puissance, le pouvoir 2. le pouvoir d'un magistrat 3. la faculté, l'occasion de faire qqch.
praeter
, adv. : sauf, si ce n'est prép. : devant, le long de, au-delà de, excepté
primo
, adv. : d'abord, en premier lieu
profero, fers, ferre, tuli, latum
: présenter, faire paraître, remettre, reporter
progredior, eris, i, gressus sum
: 1 - marcher en avant, avancer, s'avancer, sortir. - 2 - avancer, faire des progrès, progresser.
propter
, prép + acc. : à cause de, à côté
qua
, 1. ablatif féminin singulier du relatif. 2. Idem de l'interrogatif. 3. après si, nisi, ne, num = aliqua. 4. faux relatif = et ea 5. adv. = par où?, comment?
quae
, 4 possibilités : 1. nominatif féminin singulier, nominatif féminin pluriel, nominatif ou accusatif neutres pluriels du relatif = qui, que (ce que, ce qui) 2. idem de l'interrogatif : quel? qui? que? 3. faux relatif = et ea - et eae 4. après si, nisi, ne, num = aliquae
quaero, is, ere, si(v)i, situm
: chercher, demander
quam
, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien
quantus, a, um
, pr. excl et interr : quel (en parlant de grandeur)
quas
, 1. ACC. FEM. PL. de pronom relatif. 2. ACC. FEM. PL. de l'adjectif ou du pronom interrogatif. 3. Après si, nisi, ne, num = aliquas 4. Faux relatif = et eas.
quem
, 4 possibilités : 1. acc. mas. sing. du pronom relatif = que 2. faux relatif = et eum 3. après si, nisi, ne num = aliquem : quelque, quelqu'un 4. pronom ou adjectif interrogatif = qui?, que?, quel?
qui
, 1. nominatif masculin singulier ou nominatif masculin pluriel du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi
quid
, 1. Interrogatif neutre de quis : quelle chose?, que?, quoi?. 2. eh quoi! 3. pourquoi? 4. après si, nisi, ne num = aliquid
quidem
, adv. : certes (ne-) ne pas même
Quiris, itis
, m. : Quirite = citoyen romain. Rare au sing.
quis
, 1. pronom interrogatif N. M. S. 2. pronom indéfini = quelqu'un 3. après si, nisi, ne, num = aliquis 4. = quibus
quisque, quaeque, quidque
: chaque, chacun, chaque chose
quoque
, adv. : aussi
quotiens
, inv. : combien de fois? que de fois! (souvent avec ... totiens)
ratio, onis
, f. : l'évaluation d'une chose, sa nature, son espèce, sa manière d'être, ses modalités - le système, le procédé, la méthode, le plan
recipio, is, ere, cepi, ceptum
: 1. retirer, ramener 2. reprendre 3. recevoir, accepter, admettre 4. se charger de
recito, as, are
: 1. lire à haute voix, donner lecture de 2. lire en public, prononcer, débiter, réciter, déclame. 3. citer, nommer, désigner.
repente
, adv. : soudain
res, rei
, f. : la chose, l'événement, la circonstance, l'affaire judiciaire; les biens
respondeo, es, ere, di, sum
: répondre
revoco, as, are
: rappeler, faire revenir, faire replier (une armée), ramener, rapporter, revenir, écarter, détourner de, revenir sur, rétracter
scelus, eris
, n. : le crime, l'attentat, les intentions criminelles, le malheur, le méfait, le scélérat
scio, is, ire, scivi, scitum
: savoir
scribo, is, ere, scripsi, scriptum
: 1. tracer, écrire 2. mettre par écrit 3. rédiger 4. inscrire, enrôler
se
, pron. réfl. : se, soi
secum, = cum se
: avec soi
sed
, conj. : mais
semper
, adv. : toujours
senatus, us
, m. : le sénat
sententia, ae,
f. : 1. l'opinion 2. l'avis (donné par le Sénat) 3. le vote, le suffrage 4. l'idée, la pensée
sese
, pron. : = se
si
, conj. : si
Sibyllinus, a, um
: sybillin (se dit des livres Sibyillins)
sic
, adv. : ainsi ; sic... ut : ainsi... que
sica, ae
, f. : le poignard
signum, i,
m : 1 - la marque, le signe, l'empreinte. - 2 - le sceau, le cachet. - 3 - la marque (qui fait reconnaître), le signe, l'indice, la preuve. - 4 - le signe, le présage, le pronostic; le symptôme. - 5 - le signe, le geste. - 6 - le signal (militaire), le signe de ralliement, le point de repère. - 7 - le mot d'ordre, la consigne, l'ordre. - 8 - l'enseigne, l'étendard, le drapeau. - 9 - la statue. - 10 - le signe (du zodiaque), la constellation.
sine
, prép. : + Abl. : sans
Statilius, i,
m. : Statilius (nom d'homme)
studiosus, a, um
: appliqué à, qui s'intéresse à, appliqué à l'étude
stupeo, es, ere, stupui : A - intr. - 1 - être engourdi, être immobile, rester fixe, s'arrêter. - 2 - être immobilisé par l'effet d'un sentiment violent (étonnement, admiration, douleur, joie), rester interdit, être ébahi, être étonné. B - tr. - voir avec étonnement, s'extasier sur, admirer.
subito
, inv. : subitement, soudain
subitus, a, um
: soudain, subit
sum, es, esse, fui
: être
supero, as, are
: 1. s'élever au-dessus 2. être supérieur, l'emporter 3. aller au-delà, dépasser, surpasser, vaincre
surgo, is, ere, surrexi, surrectum
: tr. et intr. - 1 - lever, élever. - 2 - se lever, s'élever, se dresser, surgir. - 3 - grandir, croître. - 4 - se produire (en parl. des pers. et des choses), naître, paraître, commencer.
suus, a, um
: adj. : son; pronom : le sien, le leur
tabella, ae,
f. : 1 - la planchette, la petite planche, l'ais. - 2 - la tablette de jeu, l'échiquier. - 3 - la tablette de vote, le bulletin de vote. - 4 - au plur. la tablette à écrire; l'écrit, la lettre, le billet, la pièce officielle, l'acte officiel, le testament, le contrat, la convention écrite. - 5 - la tablette votive, l'ex-voto. - 6 - le tableau peint sur bois, la peinture. - 7 - l'éventail, l'écran.
tamen
, adv. : cependant
tantus, a, um
: si grand ; -... ut : si grand... que
terra, ae,
f. : la terre
totus, a, um
: tout entier
tu, tui
: tu, te, toi
tueor, eris, eri, tuitus sum
: tr. - regarder fixement, regarder (avec attention, longuement); garder, défendre, protéger contre (ad ou adversus + acc., ou ab et abl.), maintenir, entretenir, prendre soin de; pratiquer avec soin, administrer, commander (une aile, le centre d'une armée).
tum
, adv. : alors
tuus, a, um
: ton
unice
, adv. : d'une manière unique, tout particulièrement
unus, a, um
: un seul, un
ut
, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que
valeo, es, ere, ui, itum
: avoir de la valeur, être fort +inf. : avoir la force de
vehementissimus, a, um
: superlatif de vehemens, entis : emporté, impétueux
venio, is, ire, veni, ventum
: venir
vero
, inv. : mais
verus, a, um
: vrai
video, es, ere, vidi, visum
: voir (videor, eris, eri, visus sum : paraître, sembler)
vir, viri
, m. : l'homme, le mari
vis, -
, f. : la force
volo, vis, velle
: vouloir
Volturcius, i
, m. :Volturcius
voltus, us,
m. : = vultus, us, m. : regard
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