Le temps des Généraux : Marius |
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TITE-LIVE : : Tite-Live écrivit une Histoire Romaine en 142 livres. Nous ne possédons plus que les livres I-X et XXI-XLV. Pour les autres, nous avons des résumés ou Periochae. Ces résumés sont très inégaux de développement et de précision |
Les fêtes d’automne, consacrées à Bacchus, étaient appelées Bacchanales ; elles duraient depuis le 23 jusqu’au 29 octobre. On y voyait à peu près toutes les cérémonies pratiquées par les Grecs dans leurs Dionysiaques. |
http://www.chez.com/suidhel/AgarthaMythologieDionysos.htm DIONYSOS : Dionysos, appelé aussi Bacchus, et identifié, à Rome, avec le vieux dieu italique Liber Pater, est essentiellement, à l'époque classique, le dieu de la vigne, du vin, et du délire mystique. Sa légende est complexe, Car elle unît des éléments divers, empruntés non seulement à la Grèce, mais aux pays voisins. Dionysos, par exemple, a absorbé en lui des cultes analogues originaires d'Asie Mineure, et ces identifications partielles ont donné naissance à des épisodes plus ou moins bien rattachés au reste de son histoire. Dionysos est le fils de Zeus et de Sémélé, la fille de Cadmos et d'Harmonie. Il appartient, par conséquent, à la seconde génération des Olympiens, comme Hermès, Apollon, Artémis, etc. Sémèlé, aimée de Zeus, lui demanda de se montrer à elle dans toute sa puissance. Ce que fit le dieu, pour lui complaire. Mais, incapable de supporter la vue des éclairs qui environnaient son amant, elle tomba foudroyée. Zeus s'empressa d'arracher l'enfant qu'elle portait dans son sein, et qui n'était encore qu'au sixième mois. Il le cousit aussitôt dans sa cuisse, et, lorsque le terme vint, il l'en sortit, parfaitement formé et vivant. C'était le petit Dionysos, le dieu " deux fois né ". L'enfant fut alors confié à Hermès, qui le donna à élever au roi d'Orcliomène, Athamas et à sa seconde femme mo. Il leur prescrivit de revêtir le petit Dionysos d'habits féminins, pour dérouter la jalousie d'Héra, qui cherchait à perdre l'enfant, fruit des amours adultères de son mari. Héra, cette fois, ne fut pas dupe, et frappa de folie la nourrice de Dionysos, mo, et Athamas lui-même. Sur quoi Zeus transporta Dionysos loin de Grèce, dans le pays appelé Nysa, que les uns situent en Asie, les autres en Ethiopie ou en Afrique, et le donna à élever aux nymphes de ce pays. Mais, pour éviter que Héra ne le reconnaisse, cette fois, il le transforma en chevreau. Cet épisode explique à la fois l'épithète rituelle de " chevreau " portée par Dionysos, et donne une étymologie approximative du nom de Dionysos, par un à peu près avec le nom de Nysa. Les nymphes nourrices de Dionysos devinrent plus tard les étoiles de la constellation des Hyades. Devenu adulte, Dionysos découvrit la vigne et son usage. Mais Héra le frappa de folie. Dans sa folie, le dieu erra à travers l'Egypte et la Syrie. Ainsi, remontant les côtes de l'Asie, il parvint en Phrygie, où il fut accueilli par la déesse Cybèle, qui le purifia et l'initia aux rites de son culte. Délivré de sa folie, Dionysos gagna la Thrace, où il fut fort mal reçu par le roi Lycurgue, qui régnait sur les bords du Strymon. Lycurgue essaya de faire le dieu prisonnier, mais il n'y réussit pas, car Dionysos se sauva chez Thétis, la Néréide, qui lui donna asile dans la mer. Mais Lycurgue réussit à capturer les Bacchantes qui escortaient le dieu. Alors, les Bacchantes furent miraculeusement délivrées, et Lycurgue lui-même frappé de folie. Croyant abattre la vigne, la plante sacrée de son ennemi Dionysos, il se coupa la jambe et il coupa également les extrémités de son fils. Revenu de son erreur, il s'aperçut également que son pays était frappé de stérilité. L'oracle, interrogé, révéla que la colère de Dionysos ne serait apaisée que si Lycurgue était mis à mort. Ce que firent ses sujets, qui l'écartelèrent, en le tirant à quatre chevaux. De Thrace, Dionysos gagna l'Inde, pays qu'il conquit au cours d'une expédition mi-guerrière, mi-divine, soumettant les pays par la force de ses armes (car il avait avec lui une armée), et aussi par ses enchantements et sa puissance mystique. C'est alors que l'on place l'origine du cortège triomphal dont il se faisait accompagner, le char traîné par des panthères et orné de pampres et de lierre, les Silènes et les Bacchantes, les Satyres, ainsi que d'autres divinités mineures, comme Priape, le dieu de Lampsaque. Revenu en Grèce, Dionysos gagna la Béotie, pays d'origine de sa mère. A Thèbes, où régnait Penthée, le successeur de Cadmos, il introduisit les Bacchanales, ses fêtes où le Peuple entier, mais surtout les femmes, était saisi d'un délire mystique, et parcourait la campagne en poussant des cris rituels. Le roi s'opposa à l'introduction de rites aussi dangereux, et il en fuit puni, ainsi que sa mère Agavé, la soeur de Sémélé, car Agavé le déchira de ses propres mains, dans son délire, sur le Cithéron. A Argos, où il alla ensuite, Dionysos manifesta sa puissance de façon analogue, en frappant de folie les filles du roi Proetos, ainsi que les femmes du pays, qui parcoururent la campagne en poussant des mugissements, comme si elles avaient été transformées en vaches et, dans leur égarement, allèrent jusqu'à dévorer leurs enfants au sein. Puis, le dieu voulut passer à Naxos, et pour cela il loua les services de pirates tyrrhéniens, leur demandant de le prendre sur leur navire pour passer dans cette ile. Mais les pirates, ayant feint d'accepter, se dirigèrent vers l'Asie, dans la pensée de vendre leur voyageur comme esclave. Quand il s'en aperçut, Dionysos transforma leurs avirons en serpents, remplit leur navire de lierre et fit retentir le son de flûtes invisibles. Il paralysa le navire dans des guirlandes de vigne, si bien que les pirates, devenus fous, se précipitèrent dans la mer, où ils devinrent des dauphins - ce qui explique que les dauphins soient les amis des hommes, et s'efforcent de les sauver, dans les naufrages, car ce sont des pirates repentis. A ce moment, la puissance de Dionysos fut reconnue par tout le monde, et le dieu put remonter au ciel, ayant achevé son rôle sur la terre et établi partout la domination de son culte. Auparavant, toutefois, il voulut descendre dans les Enfers, chercher l'ombre de sa mère Sémélé, pour lui rendre la vie. Ce qu'il fit en passant par le lac de Lerne, un lac sans fond, l'accès le plus direct, croyait-on, vers le monde infernal. Mais, comme il ne savait pas le chemin, Dionysos dut s'en enquérir auprès d'un nommé Prosymnos (ou Polyrnnos), qui lui demanda, quand il serait de retour, certaine récompense, que le dieu ne put lui donner quand il remonta, car Prosymnos était mort entre temps, mais il s'efforça de remplir sa promesse, à l'aide d'un bâton de forme appropriée qu'il planta dans sa tombe. Dans l'Hadès, Dionysos demanda au Dieu de relâcher sa mère. Hadès y consentit, à la condition que Dionysos donnerait en échange quelque chose à quoi il tenait beaucoup. Parmi ses plantes favorites, le dieu céda le myrte, et c'est là, dit-on, l'origine de l'habitude qu'avaient les initiés aux mystères de Dionysos de couronner leur front de myrte. C'est comme dieu, après sa montée au ciel, que Dionysos enleva Ariane, à Naxos. Dionysos figure aussi dans la lutte des Dieux contre les Géants il tue Eurytos d'un coup de thyrse (qui est une longue hampe ornée de lierre), son insigne ordinaire. Dionysos, dieu du vin et de l'inspiration, était fêté par des processions tumultueuses, dans lesquelles figuraient, évoqués par des masques, les génies de la terre et de la fécondité. Ces cortèges donnèrent naissance aux représentations, plus régulières, du théâtre, la comédie, la tragédie et le drame satyrique, qui garda plus longtemps la marque de ses origines. A l'époque romaine, et dès le second siècle avant notre ère, les Mystères de Dionysos, avec leur licence et leur caractère orgiastique, pénétrèrent en Italie, où ils trouvèrent une terre d'élection, parmi les populations encore peu civilisées des montagnes d'Italie méridionale et centrale. Le Sénat romain dut interdire la célébration des Bacchanales, en 186 av. J-C. Mais les sectes mystiques n'en gardèrent pas moins la tradition dionysiaque. Il est vraisemblable que César autorisa de nouveau les cérémonies bachiques, et le dieu joue encore un grand rôle dans la religion de l'époque impériale |
a,
prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par ab, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par absens, entis : absent ac, conj. : et, et aussi accipio, is, ere, cepi, ceptum : recevoir, apprendre (acceptus, a, um : bien accueilli, agréable) ad, prép. : + Acc. : vers, à, près de adduco, is, ere, duxi, ductum : 1. amener à soi, attirer 2. conduire vers, mener à Atinius, a, um : d'Atinius (lex Atinia) Atinius, i : Atinius aut, conj. : ou, ou bien autem, conj. : or, cependant, quant à - C, = Caius, ii, m. : abréviation. Campanus, a, um : Campanien, de Campanie caput, itis, n. :1. la tête 2. l'extrémité 3. la personne 4. la vie, l'existence 5. la capitale causa, ae, f. : la cause, le motif; l'affaire judiciaire, le procès; + Gén. : pour celo, as, are : cacher Cerrinius, ii, m. : Cerrinius certus, a, um : 1. séparé 2. certain, sûr, dont on ne doute pas, avéré, clair, manifeste 3. arrêté, décidé, résolu (en parl. des choses); qui a pris une résolution (en parl. des personnes) 4. déterminé, fixé; qqf. un certain, quelque 5. sûr, digne de confiance, certain, solide, ferme, régulier, assuré, honnête 6.sûr de, certain de, informé de (en parl. des personnes) circa, prép + acc. : autour de cito, as, are : appeler, convoquer coepio, is, ere, coepi, coeptum : (plutôt avec rad. pf et supin) : commencer comprehendo, is, ere, prehendi, prehensum : saisir, prendre, comprendre concisco, is, ere, ivi, itum : 1 - arrêter en commun, décider. - 2 - être cause de, causer, effectuer, exécuter une chose résolue. - consciscere (sibi) mortem : se donner volontairement la mort. conditor, oris, m. : le fondateur coniuratio, onis, f. : la conjuration coniuro, as, are : conjurer, comploter consto, as, are : 1. se tenir d'aplomb, exister, se maintenir, être d'accord, coûter ; impers. constat+prop. inf. : il est établi consul, is, m. : le consul consultum, i, n. : le décret ; senatus - : le sénatus-consulte contineo, es, ere, tinui, tentum : contenir, maintenir contio, onis, f. : la tribune, l'assemblée du peuple convoquée par un magistrat (on n'y vote pas) custodia, ae, f. : la prison, la garde, les sentinelles damno, as, are : condamner de, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de deduco, is, ere, duxi, ductum : 1. faire descendre 2. conduire 3. fonder 4. détourner de defero, fers, ferre, tuli, latum : 1. porter d'un lieu élevé dans un lieu plus bas, emporter 2. présenter, accorder 3. révéler 4. dénoncer deinde, adv. : ensuite dico, is, ere, dixi, dictum : dire, appeler dies, ei, m. et f. : le jour dimitto, is, ere, misi, missum : 1. envoyer dans tous les sens 2. disperser 3. renvoyer, laisser partir 4. renoncer à, abandonner do, das, dare, dedi, datum : donner ea, 1. ablatif féminin singulier, nominatif ou accusatif neutres pluriels de is, ea, id (ce, cette, le, la...) 2. adv. : par cet endroit edico, is, ere, edixi, edictum : ordonner, déclarer que, fixer, assigner, proclamer, faire connaître edictum, i, n. : l'ordre, la proclamation, l'édit du préteur ei, datif singulier ou nominatif masculin pluriel de is, ea, id : lui, à celui-ci, ce,... eius, génitif singulier de is, ea, id : ce, cette, son, sa, de lui, d'elle emo, is, ere, emi, emptum : acheter eorum, génitif masculin ou neutre pluriel de is, ea, id = d'eux, leur, leurs eos, acc. m. pl. de is, ea, id : les, ceux-ci, ces ex, prép. : + Abl. : hors de, de extra, prép. + acc. : en dehors de, à l'exception de adv. : au dehors, à l'extérieur (extra quam : excepté que, à moins que) facinus, oris, n. : 1. l'action, l'acte 2. le forfait, le crime facio, is, ere, feci, factum : faire Faliscus, a, um : des Falisques. (Faliscum, i, n. : le territoire des Falisques) fateor, eris, eri, fassus sum : reconnaître, avouer femina, ae, f. : la femme finio, is, ire, iui, itum : délimiter, finir finis, is, f. : la limite, la fin ; pl., les frontière, le territoire flagitium, ii, n. :1. la réclamation bruyante, l'esclandre, le vacarme, le tapage 2. l'acte de débauche, la débauche, la dissolution, le libertinage, la prostitution. 3. l'action déshonorante, la faute honteuse, le crime 4. la honte, la flétrissure, l'opprobre, la turpitude, le scandale, l'ignominie, l'abomination fuga, ae, f. : la fuite fugio, is, ere, fugi : s'enfuir, fuir hic, haec, hoc : adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci hospes, itis, m. : l'hôte iis, datit ou ablatif pluriels de is, ea, id : le, la, les, lui... ce,.. in, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre index, icis, m : l'indicateur, le dénonciateur; l'index, l'indication; l'index, le catalogue indicium, ii, n : l'indication, la révélation, la dénonciation indico, is, ere, dixi, dictum : notifier, prescrire, publier insequor, eris, i, secutus sum : suivre, poursuivre, continuer Italia, ae, f. : l'Italie iubeo, es, ere, iussi, iussum : 1. inviter à, engager à 2. ordonner iuvo, as, are, iuvi, iutum : aider ; quid iuvat : à quoi bon ? L, abrév. : Lucius laxior, oris : comparatif de laxus, a, um : détendu, lâche littera, ae, f. : la lettre M, inv. : abréviation de Marcus magnus, a, um : grand maximus, a, um : superlatif de magnus, a, um : grand mille, ia : mille Minius, i, m. : Minius moenia, ium, n. : les murs, les murailles mora, ae, f. : le délai, le retard, l'obstacle mors, mortis, f. : la mort mulier, is, f. : la femme multus, a, um : en grand nombre (surtout au pl. : nombreux) ne, 1. adv. : ... quidem : pas même, ne (défense) ; 2. conj. + subj. : que (verbes de crainte et d'empêchement), pour que ne pas, de ne pas (verbes de volonté) 3. adv. d'affirmation : assurément 4. interrogatif : est-ce que, si nec, adv. : et...ne...pas nisi, conj. : si... ne... pas ; excepté nomen, inis, n. : 1. le nom, la dénomination 2. le titre 3. le renom, la célébrité (nomine = par égard pour, à cause de, sous prétexte de) nomino, as, are : 1. nommer, appeler, désigner par un nom. 2. nommer, mentionner, citer (avec éloge) 3. appeler (qqn), prononcer son nom. 4. citer en justice, accuser, dénoncer 5. désigner pour une fonction, nommer à une fonction 6.déclarer formellement. nox, noctis, f. : la nuit nullus, a, um : aucun omnis, e : tout opera, ae, f. : le soin, l'effort (operam dare : se consacrer à) Opicernius, i, m. : Opicernius (nom d'homme) ops, opis, f. : sing., le pouvoir, l'aide ; pl., les richesses orior, iris, iri, ortus sum : naître, tirer son origine, se lever (soleil) palam, adv. : ouvertement, publiquement passim, adv. : en s'éparpillant; en tous sens; à la débandade, pêle-mêle, indistinctement per, prép. : + Acc. : à travers, par plebs, plebis, f. : la plèbe pono, is, ere, posui, situm : 1. poser 2. déposer 3. placer, disposer 4. installer 5. présenter, établir porta, ae, f. : la porte (d'une ville) praemium, ii, n. : 1. le gain, le profit; le butin (fait à la guerre); le capture (faite à la pêche ou à la chasse) 2. l'avantage, le bénéfice, la prérogative, le privilège, la faveur 3. la récompense, le prix, le salaire. primus, a, um : premier profugio, is, ere, profugi, profugitum : fuir, abandonner ; s'échapper propono, is, ere, posui, positum : exposer, raconter, offrir quae, 4 possibilités : 1. nominatif féminin singulier, nominatif féminin pluriel, nominatif ou accusatif neutres pluriels du relatif = qui, que (ce que, ce qui) 2. idem de l'interrogatif : quel? qui? que? 3. faux relatif = et ea - et eae 4. après si, nisi, ne, num = aliquae quam, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien quem, 4 possibilités : 1. acc. mas. sing. du pronom relatif = que 2. faux relatif = et eum 3. après si, nisi, ne num = aliquem : quelque, quelqu'un 4. pronom ou adjectif interrogatif = qui?, que?, quel? qui, 1. nominatif masculin singulier ou nominatif masculin pluriel du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi quid, 1. Interrogatif neutre de quis : quelle chose?, que?, quoi?. 2. eh quoi! 3. pourquoi? 4. après si, nisi, ne num = aliquid quidam, quaedam, quoddam/quiddam : un certain, quelqu'un, quelque chose quis, 1. pronom interrogatif N. M. S. 2. pronom indéfini = quelqu'un 3. après si, nisi, ne, num = aliquis 4. = quibus quo, 1. Abl. M. ou N. du pronom relatif. 2. Abl. M. ou N. du pronom ou de l'adjectif interrogatif. 3. Faux relatif = et eo. 4. Après si, nisi, ne, num = aliquo. 5. Adv. =où ? (avec changement de lieu) 6. suivi d'un comparatif = d'autant 7. conj. : pour que par là quoque, adv. : aussi recipio, is, ere, cepi, ceptum : 1. retirer, ramener 2. reprendre 3. recevoir, accepter, admettre 4. se charger de recito, as, are : 1. lire à haute voix, donner lecture de 2. lire en public, prononcer, débiter, réciter, déclame. 3. citer, nommer, désigner. reduco, is, ere, duxi, ductum : 1. ramener, rétablir, restaurer, reconduire res, rei, f. : la chose, l'événement, la circonstance, l'affaire judiciaire; les biens respondeo, es, ere, di, sum : répondre Romanus, a, um : Romain (Romanus, i, m. : le Romain) sacerdos, dotis, m. : le prêtre sacrum, i, n. : la cérémonie, le sacrifice, le temple se, pron. réfl. : se, soi sed, conj. : mais senatus, us, m. : le sénat septem, adj. num. : sept si, conj. : si sum, es, esse, fui : être supra, adv : au dessus ; prép. + acc. : au dessus de, au delà de tantum, adv. : tant de, tellement ; seulement tempus, oris, n. : 1. le moment, l'instant, le temps 2. l'occasion 3. la circonstance, la situation terra, ae, f. : la terre terror, oris, m. : la terreur, l'effroi, l'épouvante totus, a, um : tout entier trepido, as, are : trembler, s'agiter, de démener triumvir, i, m. : le triumvir, le commissaire tum, adv. : alors ullus, a, um : un seul ; remplace nullus dans une tournure négative urbs, urbis, f. : la ville ut, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que vendo, is, ere, didi, ditum : vendre venio, is, ire, veni, ventum : venir vir, viri, m. : l'homme, le mari volo, vis, velle : vouloir |
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