Le temps des Généraux : Marius

91 - 88 : Guerre sociale

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origine lointaine

186
l'affaire des Bacchanales (10)
mesures drastiques

TITE-LIVE : : Tite-Live écrivit une Histoire Romaine en 142 livres. Nous ne possédons plus que les livres I-X et XXI-XLV. Pour les autres, nous avons des résumés ou Periochae. Ces résumés sont très inégaux de développement et de précision

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Les fêtes d’automne, consacrées à Bacchus, étaient appelées Bacchanales ; elles duraient depuis le 23 jusqu’au 29 octobre. On y voyait à peu près toutes les cérémonies pratiquées par les Grecs dans leurs Dionysiaques.

[17] Recitari deinde senatus consulta iusserunt, indicique praemium proposuerunt, si quis quem ad se deduxisset nomenve absentis detulisset. Qui nominatus profugisset, diem certam se finituros, ad quam nisi citatus respondisset, absens damnaretur. Si quis eorum, qui tum extra terram Italiam essent, nominaretur, ei laxiorem diem daturos, si venire ad causam dicendam vellet. Edixerunt deinde, ne quis quid fugae causa vendidisse neve emisse vellet; ne quis reciperet, celaret, ope ulla iuvaret fugientes.
Contione dimissa terror magnus urbe tota fuit, nec moenibus se tantum urbis aut finibus Romanis continuit, sed passim per totam Italiam, litteris hospitum de senatus consulto et contione et edicto consulum acceptis, trepidari coeptum est. Multi ea nocte, quae diem insecuta est, quo in contione res palam facta est, custodiis circa portas positis fugientes a triumviris comprehensi et reducti sunt: multorum delata nomina. Quidam ex iis viri feminaeque mortem sibi consciverunt. Coniurasse supra septem milia virorum ac mulierum dicebantur. Capita autem coniurationis constabat esse M. et C. Atinios de plebe Romana et Faliscum L. Opicernium et Minium Cerrinium Campanum: ab his omnia facinora et flagitia orta, eos maximos sacerdotes conditoresque eius sacri esse. Data opera, ut primo quoque tempore comprehenderentur. Adducti ad consules fassique de se nullam moram indicio fecerunt.

TITE-LIVE, XXXIX, 17

 vocabulaire              vocabulaire de la débauche

Les consuls firent lire à haute voix les résolutions du sénat et proposèrent une récompense à l’informateur qui leur livrerait un suspect ou leur donnerait le nom de quelqu’un d’absent. Si quelqu’un convoqué prenait la fuite, les consuls fixeraient un jour pour l'audition et si l’accusé ne se présentait pas lui-même ce jour-là, il serait condamnés en son absence. Si quelqu’un avait quitté l'Italie à ce moment-là, on prolongerait la date dans le cas où la personne souhaiterait venir pour plaider sa cause. Ensuite ils prirent un édit interdisant de vendre ou d’acheter quelque chose afin de s'échapper et interdisant d’héberger ou de cacher tout fugitif ou de les aider de quelque façon qui soit. Quand l’assemblée fut levée une grande terreur s’empara de toute la ville. Elle ne se confina pas dans les murs de la ville ni aux limites de Rome. La panique s’étendit de loin en loin dans toute l'Italie quand arrivèrent les lettres d’amis qui rapportaient le décret du sénat, l'assemblée et l'édit des consuls. Au cours de la nuit suivant le jour où l’affaire fut révélée au cours de l’assemblée, beaucoup de gens furent arrêtés et ramenés aux triumviri par des gardes postés aux portes de la ville. Les noms de beaucoup de suspects furent apportés aux autorités. Parmi ceux-ci, des hommes et des femmes se suicidèrent. On prétend que plus de 7.000 hommes et femmes furent impliqués dans cette conspiration. On convient généralement que les meneurs furent Marcus et Gaius Atinius, membres de la plèbe romaine, Lucius Opicemius de Faléries et Minius Cerrinius de Campanie. Ces hommes, dit-on, était les auteurs de tous les crimes et des actes immoraux : c’étaient les grands prêtres et les fondateurs du culte. Des mesures énergiques furent prises pour les arrêter le plus vite possible. Quand ils furent amenés devant le consul ils avouèrent immédiatement.

TITE-LIVE, XXIX, 17

 


DIONYSOS 

http://www.chez.com/suidhel/AgarthaMythologieDionysos.htm

DIONYSOS : Dionysos, appelé aussi Bacchus, et identifié, à Rome, avec le vieux dieu italique Liber Pater, est essentiellement, à l'époque classique, le dieu de la vigne, du vin, et du délire mystique. Sa légende est complexe, Car elle unît des éléments divers, empruntés non seulement à la Grèce, mais aux pays voisins.

Dionysos, par exemple, a absorbé en lui des cultes analogues originaires d'Asie Mineure, et ces identifications partielles ont donné naissance à des épisodes plus ou moins bien rattachés au reste de son histoire. Dionysos est le fils de Zeus et de Sémélé, la fille de Cadmos et d'Harmonie. Il appartient, par conséquent, à la seconde génération des Olympiens, comme Hermès, Apollon, Artémis, etc. Sémèlé, aimée de Zeus, lui demanda de se montrer à elle dans toute sa puissance. Ce que fit le dieu, pour lui complaire. Mais, incapable de supporter la vue des éclairs qui environnaient son amant, elle tomba foudroyée. Zeus s'empressa d'arracher l'enfant qu'elle portait dans son sein, et qui n'était encore qu'au sixième mois. Il le cousit aussitôt dans sa cuisse, et, lorsque le terme vint, il l'en sortit, parfaitement formé et vivant. C'était le petit Dionysos, le dieu " deux fois né ". L'enfant fut alors confié à Hermès, qui le donna à élever au roi d'Orcliomène, Athamas et à sa seconde femme mo. Il leur prescrivit de revêtir le petit Dionysos d'habits féminins, pour dérouter la jalousie d'Héra, qui cherchait à perdre l'enfant, fruit des amours adultères de son mari. Héra, cette fois, ne fut pas dupe, et frappa de folie la nourrice de Dionysos, mo, et Athamas lui-même. Sur quoi Zeus transporta Dionysos loin de Grèce, dans le pays appelé Nysa, que les uns situent en Asie, les autres en Ethiopie ou en Afrique, et le donna à élever aux nymphes de ce pays. Mais, pour éviter que Héra ne le reconnaisse, cette fois, il le transforma en chevreau. Cet épisode explique à la fois l'épithète rituelle de " chevreau " portée par Dionysos, et donne une étymologie approximative du nom de Dionysos, par un à peu près avec le nom de Nysa. Les nymphes nourrices de Dionysos devinrent plus tard les étoiles de la constellation des Hyades. Devenu adulte, Dionysos découvrit la vigne et son usage. Mais Héra le frappa de folie. Dans sa folie, le dieu erra à travers l'Egypte et la Syrie. Ainsi, remontant les côtes de l'Asie, il parvint en Phrygie, où il fut accueilli par la déesse Cybèle, qui le purifia et l'initia aux rites de son culte. Délivré de sa folie, Dionysos gagna la Thrace, où il fut fort mal reçu par le roi Lycurgue, qui régnait sur les bords du Strymon. Lycurgue essaya de faire le dieu prisonnier, mais il n'y réussit pas, car Dionysos se sauva chez Thétis, la Néréide, qui lui donna asile dans la mer. Mais Lycurgue réussit à capturer les Bacchantes qui escortaient le dieu. Alors, les Bacchantes furent miraculeusement délivrées, et Lycurgue lui-même frappé de folie. Croyant abattre la vigne, la plante sacrée de son ennemi Dionysos, il se coupa la jambe et il coupa également les extrémités de son fils. Revenu de son erreur, il s'aperçut également que son pays était frappé de stérilité. L'oracle, interrogé, révéla que la colère de Dionysos ne serait apaisée que si Lycurgue était mis à mort. Ce que firent ses sujets, qui l'écartelèrent, en le tirant à quatre chevaux. De Thrace, Dionysos gagna l'Inde, pays qu'il conquit au cours d'une expédition mi-guerrière, mi-divine, soumettant les pays par la force de ses armes (car il avait avec lui une armée), et aussi par ses enchantements et sa puissance mystique. C'est alors que l'on place l'origine du cortège triomphal dont il se faisait accompagner, le char traîné par des panthères et orné de pampres et de lierre, les Silènes et les Bacchantes, les Satyres, ainsi que d'autres divinités mineures, comme Priape, le dieu de Lampsaque. Revenu en Grèce, Dionysos gagna la Béotie, pays d'origine de sa mère. A Thèbes, où régnait Penthée, le successeur de Cadmos, il introduisit les Bacchanales, ses fêtes où le Peuple entier, mais surtout les femmes, était saisi d'un délire mystique, et parcourait la campagne en poussant des cris rituels. Le roi s'opposa à l'introduction de rites aussi dangereux, et il en fuit puni, ainsi que sa mère Agavé, la soeur de Sémélé, car Agavé le déchira de ses propres mains, dans son délire, sur le Cithéron. A Argos, où il alla ensuite, Dionysos manifesta sa puissance de façon analogue, en frappant de folie les filles du roi Proetos, ainsi que les femmes du pays, qui parcoururent la campagne en poussant des mugissements, comme si elles avaient été transformées en vaches et, dans leur égarement, allèrent jusqu'à dévorer leurs enfants au sein. Puis, le dieu voulut passer à Naxos, et pour cela il loua les services de pirates tyrrhéniens, leur demandant de le prendre sur leur navire pour passer dans cette ile. Mais les pirates, ayant feint d'accepter, se dirigèrent vers l'Asie, dans la pensée de vendre leur voyageur comme esclave. Quand il s'en aperçut, Dionysos transforma leurs avirons en serpents, remplit leur navire de lierre et fit retentir le son de flûtes invisibles. Il paralysa le navire dans des guirlandes de vigne, si bien que les pirates, devenus fous, se précipitèrent dans la mer, où ils devinrent des dauphins - ce qui explique que les dauphins soient les amis des hommes, et s'efforcent de les sauver, dans les naufrages, car ce sont des pirates repentis. A ce moment, la puissance de Dionysos fut reconnue par tout le monde, et le dieu put remonter au ciel, ayant achevé son rôle sur la terre et établi partout la domination de son culte. Auparavant, toutefois, il voulut descendre dans les Enfers, chercher l'ombre de sa mère Sémélé, pour lui rendre la vie. Ce qu'il fit en passant par le lac de Lerne, un lac sans fond, l'accès le plus direct, croyait-on, vers le monde infernal. Mais, comme il ne savait pas le chemin, Dionysos dut s'en enquérir auprès d'un nommé Prosymnos (ou Polyrnnos), qui lui demanda, quand il serait de retour, certaine récompense, que le dieu ne put lui donner quand il remonta, car Prosymnos était mort entre temps, mais il s'efforça de remplir sa promesse, à l'aide d'un bâton de forme appropriée qu'il planta dans sa tombe. Dans l'Hadès, Dionysos demanda au Dieu de relâcher sa mère. Hadès y consentit, à la condition que Dionysos donnerait en échange quelque chose à quoi il tenait beaucoup. Parmi ses plantes favorites, le dieu céda le myrte, et c'est là, dit-on, l'origine de l'habitude qu'avaient les initiés aux mystères de Dionysos de couronner leur front de myrte. C'est comme dieu, après sa montée au ciel, que Dionysos enleva Ariane, à Naxos. Dionysos figure aussi dans la lutte des Dieux contre les Géants il tue Eurytos d'un coup de thyrse (qui est une longue hampe ornée de lierre), son insigne ordinaire. Dionysos, dieu du vin et de l'inspiration, était fêté par des processions tumultueuses, dans lesquelles figuraient, évoqués par des masques, les génies de la terre et de la fécondité. Ces cortèges donnèrent naissance aux représentations, plus régulières, du théâtre, la comédie, la tragédie et le drame satyrique, qui garda plus longtemps la marque de ses origines. A l'époque romaine, et dès le second siècle avant notre ère, les Mystères de Dionysos, avec leur licence et leur caractère orgiastique, pénétrèrent en Italie, où ils trouvèrent une terre d'élection, parmi les populations encore peu civilisées des montagnes d'Italie méridionale et centrale. Le Sénat romain dut interdire la célébration des Bacchanales, en 186 av. J-C. Mais les sectes mystiques n'en gardèrent pas moins la tradition dionysiaque. Il est vraisemblable que César autorisa de nouveau les cérémonies bachiques, et le dieu joue encore un grand rôle dans la religion de l'époque impériale

a, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
ab
, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
absens, entis
: absent
ac
, conj. : et, et aussi
accipio, is, ere, cepi, ceptum
: recevoir, apprendre (acceptus, a, um : bien accueilli, agréable)
ad
, prép. : + Acc. : vers, à, près de
adduco, is, ere, duxi, ductum
: 1. amener à soi, attirer 2. conduire vers, mener à
Atinius, a, um
: d'Atinius (lex Atinia) Atinius, i : Atinius
aut
, conj. : ou, ou bien
autem
, conj. : or, cependant, quant à -
C
, = Caius, ii, m. : abréviation.
Campanus, a, um
: Campanien, de Campanie
caput, itis
, n. :1. la tête 2. l'extrémité 3. la personne 4. la vie, l'existence 5. la capitale
causa, ae
, f. : la cause, le motif; l'affaire judiciaire, le procès; + Gén. : pour
celo, as, are
: cacher
Cerrinius, ii
, m. : Cerrinius
certus, a, um
: 1. séparé 2. certain, sûr, dont on ne doute pas, avéré, clair, manifeste 3. arrêté, décidé, résolu (en parl. des choses); qui a pris une résolution (en parl. des personnes) 4. déterminé, fixé; qqf. un certain, quelque 5. sûr, digne de confiance, certain, solide, ferme, régulier, assuré, honnête 6.sûr de, certain de, informé de (en parl. des personnes)
circa
, prép + acc. : autour de
cito, as, are
: appeler, convoquer
coepio, is, ere, coepi, coeptum
: (plutôt avec rad. pf et supin) : commencer
comprehendo, is, ere, prehendi, prehensum
: saisir, prendre, comprendre
concisco, is, ere, ivi, itum
: 1 - arrêter en commun, décider. - 2 - être cause de, causer, effectuer, exécuter une chose résolue. -
consciscere (sibi) mortem
: se donner volontairement la mort.
conditor, oris
, m. : le fondateur
coniuratio, onis
, f. : la conjuration
coniuro, as, are
: conjurer, comploter
consto, as, are
: 1. se tenir d'aplomb, exister, se maintenir, être d'accord, coûter ; impers. constat+prop. inf. : il est établi
consul, is
, m. : le consul
consultum, i,
n. : le décret ; senatus - : le sénatus-consulte
contineo, es, ere, tinui, tentum
: contenir, maintenir
contio, onis,
f. : la tribune, l'assemblée du peuple convoquée par un magistrat (on n'y vote pas)
custodia, ae
, f. : la prison, la garde, les sentinelles
damno, as, are
: condamner
de
, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de
deduco, is, ere, duxi, ductum
: 1. faire descendre 2. conduire 3. fonder 4. détourner de
defero, fers, ferre, tuli, latum
: 1. porter d'un lieu élevé dans un lieu plus bas, emporter 2. présenter, accorder 3. révéler 4. dénoncer
deinde
, adv. : ensuite
dico, is, ere, dixi, dictum
: dire, appeler
dies, ei,
m. et f. : le jour
dimitto, is, ere, misi, missum
: 1. envoyer dans tous les sens 2. disperser 3. renvoyer, laisser partir 4. renoncer à, abandonner
do, das, dare, dedi, datum
: donner
ea
, 1. ablatif féminin singulier, nominatif ou accusatif neutres pluriels de is, ea, id (ce, cette, le, la...) 2. adv. : par cet endroit
edico, is, ere, edixi, edictum
: ordonner, déclarer que, fixer, assigner, proclamer, faire connaître
edictum, i
, n. : l'ordre, la proclamation, l'édit du préteur
ei
, datif singulier ou nominatif masculin pluriel de is, ea, id : lui, à celui-ci, ce,...
eius
, génitif singulier de is, ea, id : ce, cette, son, sa, de lui, d'elle
emo, is, ere, emi, emptum
: acheter
eorum
, génitif masculin ou neutre pluriel de is, ea, id = d'eux, leur, leurs
eos
, acc. m. pl. de is, ea, id : les, ceux-ci, ces
ex
, prép. : + Abl. : hors de, de
extra
, prép. + acc. : en dehors de, à l'exception de adv. : au dehors, à l'extérieur (extra quam : excepté que, à moins que)
facinus, oris,
n. : 1. l'action, l'acte 2. le forfait, le crime
facio, is, ere, feci, factum
: faire
Faliscus, a, um
: des Falisques. (Faliscum, i, n. : le territoire des Falisques)
fateor, eris, eri, fassus sum
: reconnaître, avouer
femina, ae
, f. : la femme
finio, is, ire, iui, itum
: délimiter, finir
finis, is
, f. : la limite, la fin ; pl., les frontière, le territoire
flagitium, ii
, n. :1. la réclamation bruyante, l'esclandre, le vacarme, le tapage 2. l'acte de débauche, la débauche, la dissolution, le libertinage, la prostitution. 3. l'action déshonorante, la faute honteuse, le crime 4. la honte, la flétrissure, l'opprobre, la turpitude, le scandale, l'ignominie, l'abomination
fuga, ae
, f. : la fuite
fugio, is, ere, fugi
: s'enfuir, fuir
hic, haec, hoc
: adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci
hospes, itis
, m. : l'hôte
iis
, datit ou ablatif pluriels de is, ea, id : le, la, les, lui... ce,..
in
, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre
index, icis
, m : l'indicateur, le dénonciateur; l'index, l'indication; l'index, le catalogue
indicium, ii
, n : l'indication, la révélation, la dénonciation
indico, is, ere, dixi, dictum
: notifier, prescrire, publier
insequor, eris, i, secutus sum
: suivre, poursuivre, continuer
Italia, ae
, f. : l'Italie
iubeo, es, ere, iussi, iussum
: 1. inviter à, engager à 2. ordonner
iuvo, as, are, iuvi, iutum
: aider ; quid iuvat : à quoi bon ?
L
, abrév. : Lucius
laxior, oris
: comparatif de laxus, a, um : détendu, lâche
littera, ae
, f. : la lettre
M
, inv. : abréviation de Marcus
magnus, a, um
: grand
maximus, a, um
: superlatif de magnus, a, um : grand
mille, ia
: mille
Minius, i
, m. : Minius
moenia, ium
, n. : les murs, les murailles
mora, ae
, f. : le délai, le retard, l'obstacle
mors, mortis
, f. : la mort
mulier, is,
f. : la femme
multus, a, um
: en grand nombre (surtout au pl. : nombreux)
ne
, 1. adv. : ... quidem : pas même, ne (défense) ; 2. conj. + subj. : que (verbes de crainte et d'empêchement), pour que ne pas, de ne pas (verbes de volonté) 3. adv. d'affirmation : assurément 4. interrogatif : est-ce que, si
nec
, adv. : et...ne...pas
nisi
, conj. : si... ne... pas ; excepté
nomen, inis,
n. : 1. le nom, la dénomination 2. le titre 3. le renom, la célébrité (nomine = par égard pour, à cause de, sous prétexte de)
nomino, as, are
: 1. nommer, appeler, désigner par un nom. 2. nommer, mentionner, citer (avec éloge) 3. appeler (qqn), prononcer son nom. 4. citer en justice, accuser, dénoncer 5. désigner pour une fonction, nommer à une fonction 6.déclarer formellement.
nox, noctis
, f. : la nuit
nullus, a, um
: aucun
omnis, e
: tout
opera, ae
, f. : le soin, l'effort (operam dare : se consacrer à)
Opicernius, i
, m. : Opicernius (nom d'homme)
ops, opis
, f. : sing., le pouvoir, l'aide ; pl., les richesses
orior, iris, iri, ortus sum
: naître, tirer son origine, se lever (soleil)
palam
, adv. : ouvertement, publiquement
passim
, adv. : en s'éparpillant; en tous sens; à la débandade, pêle-mêle, indistinctement
per
, prép. : + Acc. : à travers, par
plebs, plebis
, f. : la plèbe
pono, is, ere, posui, situm
: 1. poser 2. déposer 3. placer, disposer 4. installer 5. présenter, établir
porta, ae,
f. : la porte (d'une ville)
praemium, ii,
n. : 1. le gain, le profit; le butin (fait à la guerre); le capture (faite à la pêche ou à la chasse) 2. l'avantage, le bénéfice, la prérogative, le privilège, la faveur 3. la récompense, le prix, le salaire.
primus, a, um
: premier
profugio, is, ere, profugi, profugitum
: fuir, abandonner ; s'échapper
propono, is, ere, posui, positum
: exposer, raconter, offrir
quae
, 4 possibilités : 1. nominatif féminin singulier, nominatif féminin pluriel, nominatif ou accusatif neutres pluriels du relatif = qui, que (ce que, ce qui) 2. idem de l'interrogatif : quel? qui? que? 3. faux relatif = et ea - et eae 4. après si, nisi, ne, num = aliquae
quam, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien
quem
, 4 possibilités : 1. acc. mas. sing. du pronom relatif = que 2. faux relatif = et eum 3. après si, nisi, ne num = aliquem : quelque, quelqu'un 4. pronom ou adjectif interrogatif = qui?, que?, quel?
qui
, 1. nominatif masculin singulier ou nominatif masculin pluriel du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi
quid
, 1. Interrogatif neutre de quis : quelle chose?, que?, quoi?. 2. eh quoi! 3. pourquoi? 4. après si, nisi, ne num = aliquid
quidam, quaedam, quoddam/quiddam : un certain, quelqu'un, quelque chose
quis
, 1. pronom interrogatif N. M. S. 2. pronom indéfini = quelqu'un 3. après si, nisi, ne, num = aliquis 4. = quibus
quo, 1. Abl. M. ou N. du pronom relatif. 2. Abl. M. ou N. du pronom ou de l'adjectif interrogatif. 3. Faux relatif = et eo. 4. Après si, nisi, ne, num = aliquo. 5. Adv. =où ? (avec changement de lieu) 6. suivi d'un comparatif = d'autant 7. conj. : pour que par là
quoque
, adv. : aussi
recipio, is, ere, cepi, ceptum
: 1. retirer, ramener 2. reprendre 3. recevoir, accepter, admettre 4. se charger de
recito, as, are
: 1. lire à haute voix, donner lecture de 2. lire en public, prononcer, débiter, réciter, déclame. 3. citer, nommer, désigner.
reduco, is, ere, duxi, ductum
: 1. ramener, rétablir, restaurer, reconduire
res, rei
, f. : la chose, l'événement, la circonstance, l'affaire judiciaire; les biens
respondeo, es, ere, di, sum
: répondre
Romanus, a, um
: Romain (Romanus, i, m. : le Romain)
sacerdos, dotis
, m. : le prêtre
sacrum, i,
n. : la cérémonie, le sacrifice, le temple
se
, pron. réfl. : se, soi
sed
, conj. : mais
senatus, us
, m. : le sénat
septem
, adj. num. : sept
si
, conj. : si
sum, es, esse, fui
: être
supra
, adv : au dessus ; prép. + acc. : au dessus de, au delà de
tantum
, adv. : tant de, tellement ; seulement
tempus, oris,
n. : 1. le moment, l'instant, le temps 2. l'occasion 3. la circonstance, la situation
terra, ae
, f. : la terre
terror, oris,
m. : la terreur, l'effroi, l'épouvante
totus, a, um
: tout entier
trepido, as, are
: trembler, s'agiter, de démener
triumvir, i
, m. : le triumvir, le commissaire
tum
, adv. : alors
ullus, a, um
: un seul ; remplace nullus dans une tournure négative
urbs, urbis
, f. : la ville
ut
, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que
vendo, is, ere, didi, ditum
: vendre
venio, is, ire, veni, ventum
: venir
vir, viri,
m. : l'homme, le mari
volo, vis, velle : vouloir
texte
texte
texte
texte