Le temps des Généraux : Marius

91 - 88 : Guerre sociale

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origine lointaine

186
l'affaire des Bacchanales (5)
interrogatoire d'Hispala Faecenia

TITE-LIVE : : Tite-Live écrivit une Histoire Romaine en 142 livres. Nous ne possédons plus que les livres I-X et XXI-XLV. Pour les autres, nous avons des résumés ou Periochae. Ces résumés sont très inégaux de développement et de précision

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Les fêtes d’automne, consacrées à Bacchus, étaient appelées Bacchanales ; elles duraient depuis le 23 jusqu’au 29 octobre. On y voyait à peu près toutes les cérémonies pratiquées par les Grecs dans leurs Dionysiaques.

[12] Satis exploratum de Aebutio ratus consul non vanum auctorem esse, Aebutia dimissa socrum rogat, ut Hispalam indidem ex Aventino libertinam, non ignotam viciniae, arcesseret ad sese: eam quoque esse quae percunctari vellet. Ad cuius nuntium perturbata Hispala, quod ad tam nobilem et gravem feminam ignara causae arcesseretur, postquam lictores in vestibulo turbamque consularem et consulem ipsum conspexit, prope exanimata est. In interiorem partem aedium abductam socru adhibita consul, si vera dicere inducere in animum posset, negat perturbari debere; fidem vel a Sulpicia, tali femina, vel ab se acciperet; expromeret sibi, quae in luco Stimulae Bacchanalibus in sacro nocturno solerent fieri. Hoc ubi audivit, tantus pavor tremorque omnium membrorum mulierem cepit, ut diu hiscere non posset. Tandem confirmata puellam admodum se ancillam initiatam cum domina ait: aliquot annis, ex quo manumissa sit, nihil quid ibi fiat scire. Iam id ipsum consul laudare, quod initiatam se non infitiaretur: sed et cetera eadem fide expromeret. Neganti ultra quicquam scire, non eandem dicere, si coarguatur ab alio, ac per se fatenti veniam aut gratiam fore; eum sibi omnia exposuisse, qui ab illa audisset.

TITE-LIVE, XXIX, 12

 vocabulaire           vocabulaire de la débauche

Après s'être rendu compte qu'Aebutius était un témoin fiable, le consul renvoya Aebutia et demanda à sa belle-mère d'inviter l'affranchie Hispala. Elle était également de l'Aventin et bien connue du voisinage. Il voulait lui poser également quelques questions. Hispala fut décontenancée de recevoir le message, parce que elle ne pouvait pas imaginer pourquoi elle était appelée chez une dame d'un tel rang et si respectée. Elle s'évanouit presque quand elle vit les licteurs dans son vestibule ainsi que l'entourage du consul et le consul lui-même. Postumius la conduisit dans la partie intérieure de la maison et en présence de sa belle-mère, il dit à Hispala que, si elle lui promettait de dire la vérité, elle ne risquait rien. Elle avait la parole de Sulpicia, femme importante et la sienne. Elle devait leur indiquer ce qui se passait habituellement durant les cérémonies nocturnes des Bacchanales dans le bois sacré de Stimula. En entendant cela la jeune femme fut prise de panique et un tel tremblement saisit chaque partie de son corps qu'elle ne put parler pendant un long moment. Quand enfin elle revint à elle, elle dit au consul que, quand elle était encore jeune fille et esclave, elle avait été initiée avec sa maîtresse; mais depuis quelques années, depuis qu'elle avait été affranchie, elle n'avait plus aucune idée de ce qui se passait lors de ces cérémonies. Le consul la félicita pour sa conduite jusque là et pour le fait de n'avoir pas nié qu'elle avait été initiée mais il lui demanda de raconter le reste de l'histoire en prenant les mêmes engagements. Elle nia savoir autre chose mais le consul l'avertit que si elle était confondue par un autre témoin, elle ne pourrait pas s'attendre au même pardon et à la même indulgence qu'elle aurait si elle faisait un confession volontaire. Il ajouta que l'homme qui lui avait raconté la chose lui avait donné un exposé complet des faits.

TITE-LIVE, XXXIX, 12

 


http://www.histoiredumonde.net/mythologie/grec/dyoni.htm



Dionysos, appelé aussi Bacchus et identifié, à Rome, avec le vieux dieu italique Liber Pater, est essentiellement, à l'époque classique, le dieu de la vigne, du vin, et du délire mystique. Sa légende est complexe, car elle unit des éléments divers, empruntés non seulement à la Grèce, mais aux pays voisins. Dionysos, par exemple, a absorbé en lui des cultes analogues originaires d'Asie Mineure, et ces identifications partielles ont donné naissance à des épisodes plus ou moins bien rattachés au reste de son histoire.

Dionysos est le fils de Zeus et de Sémélé, fille de Cadmos et d'Harmonie. Il appartient, par conséquent, à la seconde génération des Olympiens, comme Hermès, Apollon, Artémis, etc. Sémélé, aimée de Zeus, lui demanda de se montrer à elle dans toute sa puissance. Ce que fit le dieu, pour lui complaire. Mais, incapable de supporter la vue des éclairs qui environnaient son amant, elle tomba foudroyée.

Zeus s'empressa d'arracher l'enfant qu'elle portait dans son sein, et qui n'était encore qu'au sixième mois. Il le cousit aussitôt dans sa cuisse, et, lorsque le terme vint, il l'en sortit, parfaitement formé et vivant. C'était le petit Dionysos, le dieu deux fois né. L'enfant fut alors confié à Hermès, qui le donna à élever au roi d'Orchomène, Athamas et à sa seconde femme trio. Il leur prescrivit de revêtir le petit Dionysos d'habits féminins, pour dérouter la jalousie d'Héra, qui cherchait à perdre l'enfant, fruit des amours adultères de son mari. Héra, cette fois, ne fut pas dupe, et frappa de folie la nourrice de Dionysos, trio, et Athamas lui-même. Sur quoi Zeus transporta Dionysos loin de Grèce, dans le pays appelé Nysa, qui semble se situer en Asie, les autres en Ethiopie ou en Afrique, et le donna à élever aux nymphes de ce pays. Mais, pour éviter que Héra ne le reconnaisse, cette fois, il le transforma en chevreau. Cet épisode explique à la fois l'épithète rituelle de chevreau portée par Dionysos, et donne une étymologie approximative du nom de Dionysos, par un à peu près avec le nom de Nysa. Les nymphes nourrices de Dionysos devinrent plus tard les étoiles de la constellation des Hyades.

Devenu adulte, Dionysos découvrit la vigne et son usage. Mais Héra le frappa de folie. Dans sa folie, le dieu erra à travers l'Égypte et la Syrie. Ainsi, remontant les côtes de l'Asie, il parvint en Phrygie, où il fut accueilli par la déesse Cybèle, qui le purifia et l'initia aux rites de son culte. Délivré de sa folie, Dionysos gagna la Thrace, où il fut fort mal reçu par le roi Lycurgue, qui régnait sur les bords du Strymon. Lycurgue essaya de faire le dieu prisonnier, mais il n'y réussit pas, car Dionysos se sauva chez Thétis, la Néréide, qui lui donna asile dans la mer. Mais Lycurgue réussit à capturer les Bacchantes qui escortaient le dieu. Alors, lesbacchantes furent miraculeusement délivrées, et Lycurgue lui-même frappé de folie. Croyant abattre la vigne, la plante sacrée de son ennemi Dionysos, il se coupa la jambe et il coupa également les extrémités de son fils. Revenu de son erreur, il s'aperçut également que son pays était frappé de stérilité. L'oracle, interrogé, révéla que la colère de Dionysos ne serait apaisée que si Lycurgue était mis à mort. Ce que firent ses sujets, qui l'écartelèrent.

De Thrace, Dionysos gagna l'Inde, pays qu'il conquit au cours d'une expédition mi-guerrière, mi-divine, soumettant les pays par la force de ses armes (car il avait avec lui une armée), et aussi par ses enchantements et sa puissance mystique. C'est alors que l'on place l'origine du cortège triomphal dont il se faisait accompagner, le char trainé par des panthères et orné de pampres et de lierre, les Silènes et les Bacchantes, les Satyres, ainsi que d'autres divinités mineures, comme Priape, le dieu de Lampsaque.

Revenu en Grèce, Dionysos gagna la Béotie, pays d'origine de sa mère. A Thèbes, où régnait Penthée, le successeur de Cadmos, il introduisit les Bacchanales, ses fêtes où le peuple entier, mais surtout les femmes, était saisi d'un délire mystique, et parcourait la campagne en poussant des cris rituels. Le roi s'opposa à l'introduction de rites aussi dangereux, et il en fut puni, ainsi que sa mère Agavé, la soeur de Sémélé, car Agavé le déchira de ses propres mains, dans son délire, sur le Cithéron. A Argos, où il alla ensuite, Dionysos manifesta sa puissance de façon analogue, en frappant de folie les filles du roi Proetos ainsi que les femmes du pays, qui parcoururent la campagne en poussant des mugissements, comme si elles avaient été transformées en vaches et, dans leur égarement, allèrent jusqu'à dévorer leurs enfants au sein.

Puis, le dieu voulut passer à Naxos, et pour cela il loua les services de pirates tyrrhéniens, leur demandant de le prendre sur leur navire pour passer dans cette île. Mais les pirates,- ayant feint d'accepter - se dirigèrent vers l'Asie, dans la pensée de vendre leur voyageur comme esclave. Quand il s'en aperçut, Dionysos transforma leurs avirons en serpents, remplit leur navire de lierre et fit retentir le son de flûtes invisibles. Il paralysa le navire dans des guirlandes de vigne, si bien que les pirates, devenus fous, se précipitèrent dans la mer, où ils devinrent des dauphins - ce qui explique que les dauphins soient les amis des hommes, et s'efforcent de les sauver, dans les naufrages, car ce sont des pirates repentis. A ce moment, la puissance de Dionysos fut reconnue par tout le monde, et le dieu put remonter au ciel, ayant achevé son rôle sur la terre et établi partout la domination de son culte.

Auparavant, toutefois, il voulut descendre dans les Enfers, chercher l'ombre de sa mère Sémélé, pour lui rendre la vie. Ce qu'il fit en passant par le lac de Lerne, un lac sans fond, l'accès le plus direct, croyait on, vers le monde infernal. Mais, comme il ne savait pas le chemin, Dionysos dut s'en enquérir auprès d'un nommé Prosymnos qui lui demanda, quand il serait de retour, certaine récompense, que le dieu ne put lui donner quand il remonta, car Prosymnos était mort entre temps, mais il s'efforça de remplir sa promesse, à l'aide d'un bâton de forme appropriée qu'il planta dans sa tombe. Dans l'Hadès, Dionysos demanda au Dieu de relâcher sa mère. Hadès y consentit, à la condition que Dionysos donnerait en échange quelque chose à quoi il tenait beaucoup. Parmi ses plantes favorites, le dieu céda le myrte, et c'est là, dit-on, l'origine de l'habitude qu'avaient les initiés aux mystères de Dionysos de couronner leur front de myrte.

C'est comme dieu, après sa montée au ciel, que Dionysos enleva Ariane, à Naxos. Dionysos figure aussi dans la lutte des Dieux contre les Géants : il tue Eurytos d'un coup de thyrse (qui est une longue hampe ornée de lierre), son insigne ordinaire.

Dionysos, dieu du vin et de l'inspiration, était fêté par des processions tumultueuses, dans lesquelles figuraient, évoqués par des masques, les génies de la terre et de la fécondité. Ces cortèges donnèrent naissance aux représentations, plus régulières, du théàtre, la comédie, la tragédie et le drame satyrique, qui garda plus longtemps la marque de ses origines. A l'époque romaine, et dès le second siècle avant notre ère, les Mystères de Dionysos, avec leur licence et leur caractère orgiastique, pénétrèrent en Italie, où ils trouvèrent une terre d'élection, parmi les populations encore peu civilisées des montagnes d'Italie méridionale et centrale. Le Sénat romain dut interdire la célébration des Bacchanales, en 186 av. ,J.-C. Mais les sectes mystiques n'en gardèrent pas moins la tradition dionysiaque. Il est vraisemblable que César autorisa de nouveau les cérémonies bacchiques, et le dieu joue encore un grand rôle dans la religion de l'époque impériale.

a, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
ab
, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
abduco, is, ere, duxi, ductum
: emmener
ac
, conj. : et, et aussi
accipio, is, ere, cepi, ceptum
: recevoir, apprendre (acceptus, a, um : bien accueilli, agréable)
ad
, prép. : + Acc. : vers, à, près de
adhibeo, es, ere, ui, itum
: apporter, fournir, appeler, employer
admodum
, adv. : tout-à-fait, pleinement
Aebutia, ae
, f. : Ebutia
Aebutius, i
, m. : Ebutius (nom d'homme)
aedes, is,
f. : la maison, le temple
ait
, vb. irr. : dit, dit-il
aliquot
, dét. inv. : quelques, plusieurs
alius, a, ud
: autre, un autre
ancilla, ae
, f. : la servante
animus, i
, m. : le coeur, la sympathie, le courage, l'esprit
annus, i
, m. : l'année
arcesso, is, ere, ivi, itum
:1. faire venir, mander (arcessitus, a, um : cherché, peu naturel) 2. citer en justice, accuser
auctor, oris
, m. : 1. le garant 2. la source 3. le modèle 4. l'auteur, l'instigateur
audio, is, ire, ivi, itum
: 1. entendre (dire) 2. écouter 3. apprendre 4. bene, male audire : avoir bonne, mauvaise réputation
Aventinum, i
, n. : Aventin
aut
, conj. : ou, ou bien
Bacchanalia, ium
, n. : les Bacchanales (fêtes de Bacchus)
capio, is, ere, cepi, captum
: prendre
causa, ae
, f. : la cause, le motif; l'affaire judiciaire, le procès; + Gén. : pour
ceteri, ae, a
: pl. tous les autres
coarguo, is, ere, gui, gutum
: montrer clairement, démontrer de façon irréfutable; démontrer comme faux; démontrer la culpabilité de quelqu'un
confirmo, as, are
: affermir, confirmer, assurer
conspicio, is, ere, spexi, spectum
: apercevoir
consul, is
, m. : le consul
consularis, e
: consulaire
cuius
, 1. GEN. SING. du pronom relatif 2. idem de l'interrogatif 3. faux relatif = et eius 4. après si, nisi, ne, num = et alicuius
cum
, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que
de
, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de
debeo, es, ere, ui, itum
: devoir
dico, is, ere, dixi, dictum
: dire, appeler
dimitto, is, ere, misi, missum
: 1. envoyer dans tous les sens 2. disperser 3. renvoyer, laisser partir 4. renoncer à, abandonner
diu
, adv. : longtemps
domina, ae
, f. : la maîtresse
eam
, 1. Acc. fem. sig. de IS-EA-ID = la (pronom), ce, cette 2. 1ère pers. sing. du Subj. Présent de IRE : aller
et
, conj. : et. adv. aussi
eum
, ACC M SING. de is, ea, id : il, lui, elle, celui-ci...
ex
, prép. : + Abl. : hors de, de
exanimo, as, are
: être essoufflé, mourir, ôter la vie, tuer
exploro, a, are
: observer, examiner, explorer
expono, is, ere, posui, positum
: mettre dehors, exposer, montrer
expromo, is, ere, prompsi, promptum
: faire sortir
facio, is, ere, feci, factum
: faire
fateor, eris, eri, fassus sum
: reconnaître, avouer
femina, ae
, f. : la femme
fides, ei
, f. : 1. la foi, la confiance 2. le crédit 3. la loyauté 4. la promesse, la parole donnée 5. la protection (in fide : sous la protection)
fio, is, fieri, factus sum
: devenir
fore
, infinitif futur de esse
gratia, ae
, f. : la grâce, la reconnaissance (gratias agere = remercier)
gravis, e
: sérieux, triste, lourd, alourdi
hic, haec, hoc
: adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci
hisco, is, ere
: s'entrouvrir, ouvrir, parler, raconter
Hispala, ae
, f. : Hispala (nom d'affranchie)
iam
, adv. : déjà, à l'instant
ibi
, adv. : là
id
, NOM-ACC N. SING. de is, ea, is : il, elle, le, la, ....
idem, eadem, idem
: le (la) même
ignarus, a, um
: qui ne connaît pas, ignorant, inconnu
ignotus, a, um
: inconnu
ille, illa, illud
: adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ...
in
, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre
indidem
, adv. : du même lieu
induco, is, ere, duxi, ductum
: 1. conduire dans 2. faire avancer 3. appliquer sur (in animum - : se résoudre, se persuader, prendre sur soi)
infitior, aris, ari
: nier, contester
initio, as, are
: initier aux mystères
interior, oris
: plus en dedans
ipse, a, um
: (moi, toi, lui,...) même
laudo, as, are
: 1. louer, approuver, vanter 2. prononcer un éloge 3. citer, nommer
libertinus, a, um
: d'affranchi
lictor, oris
, m. : le licteur
lucus, i
, m. : le bois sacré
manumitto, is, ere, misi, missum
: affranchir
membrum, i
, n. (généralement au plur) : le membre, l'organe
mulier, is
, f. : la femme
nego, as, are
: nier
nihil
, indéfini : rien
nobilis, e
: connu, noble
nocturnus, a, um
: nocturne
non
, neg. : ne...pas
nuntius, ii
, m. : 1. le messager 2. la nouvelle
omnis, e
: tout
pars, partis
, f. : la partie, le côté
pavor, oris
, m. : la peur
per
, prép. : + Acc. : à travers, par
percunctor, aris, ari
: s'enquérir, questionner
perturbo, as, are
: bouleverser, troubler, inquiéter
possum, potes, posse, potui
: pouvoir
postquam
, conj. : après que
prope
, adv. près, presque ; prép + acc. : près de
puella, ae
, f. : la fille, la jeune fille
quae
, 4 possibilités : 1. N.F.S. N.F.PL. N.N.PL., ACC. N. PL. du relatif = qui, que (ce que, ce qui) 2. idem de l'interrogatif : quel? qui? que? 3. faux relatif = et ea - et eae 4. après si, nisi, ne, num = aliquae
qui
, 1. n N.M.S ou N.M.PL. du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. Faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi
quid
, 1. Interrogatif neutre de quis : quelle chose?, que?, quoi?. 2. eh quoi! 3. pourquoi? 4. après si, nisi, ne num = aliquid
quisquam, quaequam, quidquam (quic-)
: quelque, quelqu'un, quelque chose
quo
, 1. Abl. M. ou N. du pronom relatif. 2. Abl. M. ou N. du pronom ou de l'adjectif interrogatif. 3. Faux relatif = et eo. 4. Après si, nisi, ne, num = aliquo. 5. Adv. =où ? (avec changement de lieu) 6. suivi d'un comparatif = d'autant 7. conj. : pour que par là
quod
, 1. pronom relatif nom. ou acc. neutre singulier : qui, que 2. faux relatif = et id 3. conjonction : parce que, le fait que 4. après si, nisi, ne, num = aliquod = quelque chose 5. pronom interrogatif nom. ou acc. neutre sing. = quel?
quoque
, adv. : aussi
reor, reris, reri, ratus sum
: croire
rogo, as, are
: demander
sacrum, i,
n. : la cérémonie, le sacrifice, le temple
satis
, adv. : assez
scio, is, ire, scivi, scitum
: savoir
se
, pron. réfl. : se, soi
sed
, conj. : mais
sese
, pron. : = se
si
, conj. : si
socrus, us,
f. : la belle-mère
soleo, es, ere, solitus sum
: avoir l'habitude de (solitus, a, um : habituel, ordinaire)
Stimula, ae
, f. : Stimula (divinité)
Sulpicia, ae
, f. : Sulpicia
sum, es, esse, fui
: être
talis, e
: tel ; ... qualis : tel.. que
tam
, adv. : si, autant
tandem
, adv. : enfin
tantus, a, um
: si grand ; -... ut : si grand... que
tremor, oris
, m. : le tremblement
turba, ae
, f. : la foule, le désordre, le trouble, l'émoi
ubi
, adv. : où; conj. quand
ultra
, adv. : au delà, plus loin ; prép. + acc. : plus loin que, plus que
ut
, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que
vanus, a, um
: vide, creux, vain, sans consistance
vel
, adv. : ou, ou bien, même, notamment (vel... vel... : soit... soit...)
venia, ae
, f. : le pardon, la bienveillance, la faveur
verus, a, um
: vrai
vestibulum, i
, n. : le vestibule
vicinia, ae
, f. : le voisinage, le quartier
volo, vis, velle
: vouloir
texte
texte
texte
texte