Le temps des Généraux : Marius |
91 : Drusus |
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VELLEIUS PATERCULUS
:
Velleius Paterculus fut préfet de cavalerie de Tibère. Il écrivit une Histoire
Romaine allant du retour de Troie au règne de Tibère.
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Nous sommes en 91. Drusus est élu tribun de la plèbe. Il veut reprendre les lois agraires des gracques et donner le droit de cité aux Italien. |
Deinde interiectis paucis annis,
tribunatum iniit M. Livius Drusus, vir nobilissimus, eloquentissimus,
sanctissimus, meliore in omnia ingenio animoque, quam fortuna usus. lex repetundarum
: la loi sur les réclamations des sommes indûment enlevées, la loi sur
la concussion VELLEIUS PATERCULUS, II, XIII - XIV |
Ensuite, quelques années plus tard, Marcus
Livius Drusus fut nommé tribun. C’était un homme de très haute
noblesse, d’une éloquence remarquable et d’une rectitude absolue.
Dans tous les domaines il montra un esprit et un courage meilleur que son
destin. Celui-ci voulut rendre au Sénat ses anciennes prérogatives et
recéder à cet ordre les pouvoirs judiciaires que possédaient les
chevaliers (en effet les chevaliers avaient obtenu ce pouvoir judiciaire
par les lois des Gracques. Après s’être attaqué à une foule de gens
illustres et complètement innocents, ils avaient alors condamné pour
concussion le meilleur des hommes, non pas de son siècle mais de tous les
temps, Publius Rutilius, et cela à la grande
douleur de toute la ville). Il eut comme adversaire le sénat pour des
réformes qu’il réalisait pour le sénat. Celui-ci ne comprenait pas
que s’il entreprenait quelque chose pour la plèbe, il le faisait pour
appâter et séduire la foule afin qu’elle accepte de grandes réformes
tout en recevant peu d’avantages. Tel fut en définitive le sort de
Drusus : le Sénat approuva les méfaits de ses collègues alors qu’il
avait pris les meilleures décisions; il méprisa l’honneur que Drusus
lui rendait, il accepta avec indifférence les injustices que les autres
lui portaient; il envia l’immense gloire de celui-ci tout en supportant
la gloire médiocre de ses adversaires. Puisque ses bonnes intentions ne se concrétisaient pas, Drusus changea de tactique et décida de donner le droit de cité aux Italiens. Il y travaillait, quand, en rentrant du forum, accompagné de cette foule immense et désordonnée, qui l’accompagnait partout, il fut frappé dans la cour même de sa maison d’un coup de couteau. L’arme se planta dans son flanc et y resta. Il mourut dans les heures qui suivirent. En rendant le dernier souffle, il regarda la foule en larmes qui l’entourait et prononça une parole qui convenait à merveille à son honnêteté : "Proches et amis, quand l’Etat aura-t-il de nouveau un citoyen semblable à moi?" Telle fut la fin de cette illustre jeune homme. Ne passons pas sous silence cet autre trait de son caractère: il faisait bâtir une maison sur le Palatin, à cet endroit même où habita jadis Cicéron, puis Censorinus et où habite maintenant Statilius Sisenna. Son architecte lui promit qu'il construirait une maison d'où il pourrait voir tout autour de lui et où il serait à l'abri de tous les indiscrets, sans qu'aucun voisin y pût plonger ses regards. "Eh bien, dit-il, si tu es si habile, dispose ma maison pour que tout ce que je ferai puisse être aperçu de tout le monde." Parmi les lois de Gracchus, je compterai au nombre des plus dangereuses celle qui établit des colonies hors d'Italie. C'est une chose que nos ancêtres avaient évitée avec soin: car ils avaient remarqué combien Carthage l'emportait en puissance sur Tyr sa métropole, Marseille sur Phocée, Syracuse sur Corinthe, Cyzique et Byzance sur Milet, et toujours ils avaient fait revenir en Italie, pour les opérations du cens, les citoyens romains établis dans les provinces. La première colonie qui fut fondée hors d'Italie fut Carthage. VELLEIUS PATERCULUS, II, XIII - XIV |
Appien, guerres civiles I 34. Pendant ce temps éclata ce qu’on appela la Guerre Sociale qui impliqua beaucoup de peuples italiens. Elle commença inopinément, se développa rapidement, prit de grandes proportions. C’est une nouvelle terreur qui assoupit pendant longtemps les guerres civiles romaines. Son achèvement provoqua immédiatement de nouvelles guerres civiles avec des chefs plus puissants qui ne se préoccupèrent plus de faire voter de nouvelles lois ni de jouer aux démagogues mais qui mirent face à face des armées entières. J’en parle dans mon livre parce qu'elle a son origine dans la guerre civile à Rome et que le résultat fut encore pire. Voila son origine. Durant son consulat Fulvius Flaccus encouragea de plus en plus les Italiens à désirer la citoyenneté romaine afin de devenir associés de l'empire au lieu de n’être que des sujets. Quand il présenta cette idée et qu’il persista, le sénat, pour cette raison, l’envoya au loin à la tête de l’armée. Durant son commandement, son consulat prit fin mais il obtint ensuite le tribunat et trouva le moyen d’avoir le plus jeune des Gracques comme collègue. Avec son aide il proposa d'autres mesures en faveur des Italiens. Quand tous les deux furent tués, comme je l’ai raconté plus haut, les Italiens s’agitèrent de plus en plus. Ils ne pouvaient pas accepter d’être considérés comme des sujets mais voulaient l’être comme des égaux et ne supportaient pas que Flaccus et Gracchus, alors qu’ils se battaient pour leur obtenir des avantages politiques, aient souffert de tels malheurs.
35. Après eux le tribun Livius Drusus, un homme de haute naissance,
promit, à la demande pressante des Italiens, de proposer une nouvelle loi
pour leur donner la citoyenneté. Ils le souhaitaient tout
particulièrement parce que de cette façon ils deviendraient des
dirigeants et non plus des sujets. Afin de faire accepter à la plèbe
cette mesure il installa plusieurs colonies hors de l'Italie et en Sicile
: il y avait déjà eu vote pour ces colonies mais elles n’avaient
jamais été installées. Il tenta d’obtenir l’accord du sénat et de
l'ordre équestre qui étaient alors absolument opposés entre eux pour la
possession des jurys. Comme il ne pouvait rétablir les jurys aux
sénateurs, voici l’artifice qu’il eut pour les réconcilier. Comme
les sénateurs avaient été réduits à 300 à peine lors des guerres
civiles, il proposa une loi qui stipulait qu'un nombre égal de
chevaliers, choisis selon leur mérite, y serait ajouté et que les jurys
seraient composés de l’ensemble. Il ajouta une clause à cette loi :
elle devrait s’occuper des affaires de corruption (cette d’accusation
était presque inconnue auparavant puisque la coutume du pot-de-vin était
la règle). 36. Le résultat c’est l’union sacrée du Sénat et des Chevaliers (malgré leur opposition) contre Drusus. Seule la plèbe obtint des colonies. Même les Italiens, alors que Drusus avait conçu ses propositions dans leur propre intérêt, étaient inquiets de la loi sur les colonies, parce qu'ils considéraient que le domaine public romain (qui n’était pas encore divisé et qu’ils cultivaient, certains de force et d'autres clandestinement) leur serait immédiatement enlevé et que dans de nombreux cas on pourrait même leur enlever leurs possessions privées. Les Etrusques et les Ombriens avaient les mêmes craintes que les Italiens et quand on les appela à Rome, c'était, de la part des consuls, pour se plaindre ouvertement contre la loi de Drusus, mais aussi pour le tuer. Ils se plaignirent publiquement de la loi et attendirent le jour des comices. Drusus s’aperçut du complot, sortit le moins possible et traitait des affaires quotidiennes dans l’atrium de sa maison qui était mal éclairée. Un soir qu’il avait renvoyé la foule, il hurla soudainement qu'il avait été et il s’écroula en poussant un cri. On trouva un couteau de cordonnier dans sa hanche. |
ab,
prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par ac, conj. : et, et aussi ad, prép. : + Acc. : vers, à, près de adfigo, is, ere, fixi, fixum : attacher adversarius, ii, m. : adversaire aedifico, as, are : construire aequus, a, um : égal, équitable (aequum est : il convient) (ex aequo : à égalité) aevum, i, n. : l'époque, la durée, l'âge ago, is, ere, egi, actum : 1. mettre en mouvement, pousser 2. faire, traiter, agir alius, a, ud : autre, un autre amicus, a, um : ami (amicus, i, m. : l'ami) animus, i, m. : le coeur, la sympathie, le courage, l'esprit annus, i, m. : l'année arbiter, tri, : le témoin oculaire, l'arbitre architectus, i, m. : l'architecte area, ae, f. : le sol libre et uni, l'aire à battre le blé, la place publique, la cour, le vestibule argumentum, i, n. : argument, sujet ars, artis, f. : 1. le talent, l'habileté 2. le métier, la profession 3. la connaissance technique, l'art atque, conj. : et, et aussi autem, conj. : or, cependant, quant à - bene, adv. : bien Byzantius, i, f. : Byzance Carthago, inis, f. : Carthage causa, ae, f. : la cause, le motif; l'affaire judiciaire, le procès; + Gén. : pour cedo, is, ere, cessi, cessum : 1. aller, marcher 2. s'en aller, se retirer 3. aller, arriver 4. céder, concéder censeo, es, ere, censui, censum : estimer, être d’avis, décider, faire le recensement Censorinus, i, m. : Censorinus Cicero, onis, m. : Cicéron cingo, is, ere, cinxi, cinctum : ceindre, entourer circumsto, as, are, steti, - : se tenir autour, être autour civis, is, m. : le citoyen civitas, atis, f. : la cité, l'état clarissimus, a, um : superlatif de clarus, a, um : célèbre, illustre cogito, as, are : penser, réfléchir collega, ae, m. : le collègue colonia, ae, f. : la ferme, la colonie comitor, aris, ari : accompagner commodus, a, um : convenable, approprié, bienveillant (commodum, i, n. : la facilité, la commodité) compono, is, ere, posui, positum : mettre ensemble, disposer, enterrer (compositus, a, um : disposé, préparé; en bon ordre) condo, is, ere, didi, ditum : cacher, enfermer, enterrer (condere urbem : fonder une ville) conscientia, ae, f. : la pleine connaissance, le sentiment intime conspectus, us, m. : la vue, le regard convenientissimus, a, um : superlatif de conveniens, entis : conforme converto, is, ere, verti, versum : tourner complètement Corinthus, i, f. : Corinthe cuius, 1. GEN. SING. du pronom relatif 2. idem de l'interrogatif 3. faux relatif = et eius 4. après si, nisi, ne, num = et alicuius cultellus, i, m. : le petit couteau cum, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que cupio, is, ere, ii ou ivi, itum : désirer Cyzicus, i, m. : Cyzique (en Turquie actuelle) damno, as, are : condamner de, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de decedo, is, ere, cessi, cessum : partir, se retirer, mourir decus, oris, n. : la gloire, l'honneur defero, fers, ferre, tuli, latum : 1. porter d'un lieu élevé dans un lieu plus bas, emporter 2. présenter, accorder 3. révéler 4. dénoncer denique, adv. : enfin despicio, is, ere, spexi, spectum : regarder d'en haut, mépriser diligenter, adv. : attentivement, scrupuleusement do, das, dare, dedi, datum : donner domus, us, f. : la maison Drusus, i, m. : Drusus e, prép. : + Abl. : hors de, de ea, 1. ABL. FEM. SING - NOM-ACC. N. PL. de is, ea, id (ce, cette, le, la...) 2. adv. : par cet endroit eam, 1. Acc. fem. sig. de IS-EA-ID = la (pronom), ce, cette 2. 1ère pers. sing. du Subj. Présent de IRE : aller ecquando, est-ce que jamais, si jamais effundo, is, ere, fudi, fusum : répandre, disperser ei, DAT. SING ou NOM. M. PL. de is,ea,id : lui, à celui-ci, ce,... eius, Gén. Sing. de is, ea, id : ce, cette, son, sa, de lui, d'elle eloquentissimus, a, um : superlatif de eloquens, entis : éloquent eo, 1. ABL. M-N SING de is, ea, is : le, la, les, lui... ce,..; 2. 1ère pers. sing. de l'IND PR. de eo, ire 3. adv. là, à ce point 4. par cela, à cause de cela, d'autant (eo quod = parce que) eques, itis, m. : le chevalier, le cavalier et, conj. : et. adv. aussi eum, ACC M SING. de is, ea, id : il, lui, elle, celui-ci... ex, prép. : + Abl. : hors de, de extra, + acc. : en dehors de facio, is, ere, feci, factum : faire fero, fers, ferre, tuli, latum : porter, supporter, rapporter finis, is, f. : la limite, la fin ; pl., les frontière, le territoire fio, is, fieri, factus sum : devenir fortuna, ae, f. : la fortune, la chance forum, i, n. :le marché, le forum frequentia, ae, f. : l'affluence, l'afflux gemitus, us, m. : le gémissement, la plainte genitalis, e : génital, natal, de naissance gloria, ae, f. : 1. la gloire, la réputation, le renom 2. le désir de gloire Gracchanus, a, um : des Gracques Gracchus, i, m. : Gracchus habeo, es, ere, bui, bitum : avoir (en sa possession), tenir (se habere : se trouver, être), considérer comme hic, haec, hoc : adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci honos, oris, m. : l'honneur, l'hommage, la charge, la magistrature, les honoraires hora, ae, f. : l'heure id, NOM-ACC N. SING. de is, ea, is : il, elle, le, la, .... iis, DAT-ABL. PL.de is, ea, id : le, la, les, lui... ce,.. ille, illa, illud : adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ... illicio, is, ere, lexi, lectum : engager, entraîner à immensus, a, um : immense immunis, e : libre (de tout impôt) in, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre incipio, is, ere, cepi, ceptum : commencer inconditus, a, um : non enseveli; confus, en désordre ineo, is, ire, ii, itum : entrer dans, se mettre à inesco, as, are : appâter, amorcer ingenium, ii, n. : les qualités innées, le caractère, le talent, l'esprit, l'intelligence iniuria, ae, f. : l'injustice, la violation du droit innocentissimus, a, um : superlatif de innocens, entis : inoffensif, innocent inquit, vb. inv. : dit-il, dit-elle intellego, is, ere, lexi, lectum : comprendre intendo, is, ere, tendi, tentum : tendre, diriger vers inter, prép. : + Acc. : parmi, entre intericio, is, ere, ieci, iectum : placer entre interrogo, as, are : interroger intra, prép. : + acc. : à l'intérieur de intueor, eris, eri, itus sum : regarder, considérer invideo, es, ere, vidi, visum : être jaloux, envier ipse, a, um : (moi, toi, lui,...) même ita, adv. : ainsi, de cette manière ; ita... ut, ainsi que Italia, ae, f. : l'Italie iudicium, ii, n. : le jugement, la décision iuvenis, is, m. : le jeune homme latus, eris, n. : le côté lex, legis, f. : la loi, la (les) condition(s) d'un traité liber, era, erum : libre Livius, i, m. : Live locus, i, m. : le lieu, l'endroit; la place, le rang; la situation M, inv. : abréviation de Marcus maereo, es, ere : s'affliger, être triste, déplorer magis, adv. : plus maior, oris : comparatif de magnus. plus grand. maiores, um : les ancêtres) male, adv. : mal, vilainement malefactum, i, n. : la mauvaise action Massilia, ae, f. : Marseille maximus, a, um : superlatif de magnus, a, um : grand melior, oris : comp. de bonus : meilleur meus, mea, meum : mon Miletus, i, m. : Milet (ville d'Asie mineure) minime, adv. : très peu minor, oris : plus petit (comp. de parvus) modicus, a, um : moyen, modéré, en quantité modérée molior, iris, iri, itus sum : mettre en mouvement, bâtir, entreprendre mos, moris, m. : sing. : la coutume ; pl. : les moeurs mox, adv. : bientôt multitudo, dinis, f. : la foule, le grand nombre multus, a, um : en grand nombre (surtout au pl. : nombreux) nanciscor, eris, i, nactus sum : trouver, rencontrer neque, adv. : et ne pas nobilissimus, a, um : superlatif de nobilis, e : noble non, neg. : ne...pas numero, as, are : compter nunc, adv. : maintenant omitto, is, ere, misi, missum : abandonner, laisser aller (omissus, a, um : négligent, insouciant) omnis, e : tout optimus, a, um : très bon, le meilleur. superlatif de bonus ordo, inis, m. : le rang, l'ordre, la file (de soldats), la centurie Palatium, ii, n. : le mont Palatin, le palais pauci, ae, a : pl. peu de percipio, is, ere, percepi, perceptum : recueillir, saisir percutio, is, ere, cussi, cussum : frapper permitto, is, ere, misi, missum : permettre, lâcher entièrement, remettre, abandonner, confier perniciosissimus, a, um : superlatif de perniciosus, a, um : funeste, fatal perspicio, is, ere, spexi, spectum : examiner Phocaea, ae, f. : Phocée (ville d'Ionie qui fonda Marseille) plebs, plebis, f. : la plèbe pono, is, ere, posui, situm : 1. poser 2. déposer 3. placer, disposer 4. installer 5. présenter, établir possum, potes, posse, potui : pouvoir potentior, oris : comparatif de potens, entis : puissant potestas, atis, f. : 1. la puissance, le pouvoir 2. le pouvoir d'un magistrat 3. la faculté, l'occasion de faire qqch. primus, a, um : premier priscus, a, um : vieux, ancien pro, prép. : + Abl. : devant, pour, à la place de, en considération de probo, as, are : éprouver, approuver, prouver promitto, is, ere, misi, missum : lâcher en avant, envoyer à, promettre, accepter une invitation (promissus, a, um : qu'on a laissé pousser, qui pend) propinquus, a, um : proche provincia, ae, f. : la province publicus, a, um : public Publius, i, m. : Publius qua, 1. ABL. FEM. SING. du relatif. 2. Idem de l'interrogatif. 3. après si, nisi, ne, num = aliqua. 4. faux relatif = et ea 5. adv. = par où?, comment? quae, 4 possibilités : 1. N.F.S. N.F.PL. N.N.PL., ACC. N. PL. du relatif = qui, que (ce que, ce qui) 2. idem de l'interrogatif : quel? qui? que? 3. faux relatif = et ea - et eae 4. après si, nisi, ne, num = aliquae quam, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien quamvis, conj. : bien que quando, adv. : quand; après si, nisi, ne, num = aliquando = parfois; conj. : quand, puisque qui, 1. n N.M.S ou N.M.PL. du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. Faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi quid, 1. Interrogatif neutre de quis : quelle chose?, que?, quoi?. 2. eh quoi! 3. pourquoi? 4. après si, nisi, ne num = aliquid quippe, inv. : car, assurément quisquam, quaequam, quidquam ou quic- : quelque, quelqu'un, quelque chose quisquis, quidquid ou quicquid : quiconque quod, 1. pronom relatif nom. ou acc. neutre singulier : qui, que 2. faux relatif = et id 3. conjonction : parce que, le fait que 4. après si, nisi, ne, num = aliquod = quelque chose 5. pronom interrogatif nom. ou acc. neutre sing. = quel? quondam, adv. : jadis, un jour recipio, is, ere, cepi, ceptum : 1. retirer, ramener 2. reprendre 3. recevoir, accepter, admettre 4. se charger de reddo, is, ere, ddidi, dditum : 1. rendre 2. payer, s'acquitter de rapporter 3. retourner, traduire 4. accorder relinquo, is, ere, reliqui, relictum : laisser, abandonner repeto, is, ere, ivi/ii, titum : 1. chercher de nouveau, chercher à récupérer 2. ramener 3. reprendre par la pensée, évoquer 4. revendiquer, réclamer res, rei, f. : la chose, l'événement, la circonstance, l'affaire judiciaire; les biens restituo, is, ere, tui, tutum : remettre debout, reconstruire, restaurer; restituer, rendre reverto, is, ere, i, sum : retourner, revenir (revertor, eris, i, versus sum : le même sens) revoco, as, are : rappeler Romanus, a, um : Romain (Romanus, i, m. : le Romain) Rutilius, i, m. : Rutilius saeculum, i, n. :1. la génération, l'âge 2. durée d'une génération humaine (33 ans 4 mois) 3. l'époque, l'âge 4. le siècle saevio, is, ire, ii, itum : être en fureur, se déchaîner sanctissimus, a, um : superlatif de sanctus, a, um : sacré, inviolable, saint se, pron. réfl. : se, soi sed, conj. : mais semper, adv. : toujours senatus, us, m. : le sénat si, conj. : si similis, e : semblable Sisenna, ae, m. : Sisenna (nom d'homme) solum, i, n. : le sol sperno, is, ere, sprevi, spretum : dédaigner, rejeter spiritus, us, m. : 1. l'air 2. le souffle 3. la vie 4. l'inspiration 5. la suffisance, l'arrogance, l'orgueil Statilius, i, m. : Statilius (nom d'homme) sum, es, esse, fui : être summus, a, um : superlatif de magnus. très grand, extrême suus, a, um : adj. : son; pronom : le sien, le leur Syracusae, arum, f. : Syracuse (ville de Sicile) tanto, adv. : suivi d'un comparatif = autant, d'autant transfero, fers, ferre, tuli, latum : transporter, transférer, transcrire tribunatus, us, m. : le tribunat tu, tui : tu, te, toi tum, adv. : alors Tyrus, i, m. : Tyr (au Liban actuel) ubi, adv. : où; conj. quand ultimus, a, um : dernier ut, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que uti, = ut utor, eris, i, usus sum : utiliser veluti, adv. : comme, comme si vero, inv. : mais video, es, ere, vidi, visum : voir (videor, eris, eri, visus sum : paraître, sembler) vir, viri, m. : l'homme, le mari vita, ae, f. : la vie vito, as, are : éviter vox, vocis, f. : 1. la voix 2. le son de la voix 3. l'accent 4. le son 5. , la parole, le mot |
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