Le temps des Généraux : Marius |
99 - 92 : Marius simple citoyen |
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VALERE-MAXIME
: Valerius
Maximus est l'auteur de Faits et dits mémorables, rédigés au début
de l'époque impériale. Son ouvrage a été résumé par Iulius Paris et
par Ianuarius Nepotianus.
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Naissance
: 158 Sert sous Scipion-Emilien devant Numance Sert sous Métellus lors de la guerre contre Jugurtha (Salluste, Guerre contre Jugurtha, L, LII, LXXXVI) Elu consul en 105 Légat de Scaevola en Asie. S’attaque aux publicani. En 92 accusé à tort de concussion. Se retire à Smyrne et y reste malgré la demande de Sylla. Il y écrit sa biographie et une histoire de Rome en Grec. |
CHRONOLOGIE 99 Et Marius? On attendait à Rome, voir
Marius se présenter à la censure, couronnement normal d'une carrière
exceptionnelle. Mais Marius n'a pu s'opposer au retour de Q.
Caecilius Metellus, et il part avec sa
femme et son enfant pour un voyage en Orient (Délos, Mithridate au Pont).
A son retour, il fait un rapport au sénat sur la situation en Asie. Après
cela, il vit à Rome
en simple particulier, usant de son prestige uniquement pour favoriser ses
amis, permettre l'ascension à la citoyenneté romaine à des soldats
italiens ou leur inscription au rang équestre. Rutilius et Saevola DIODORE (extraits) Le peuple romain qui s’était fait et qui
avait suivi jusqu’alors les lois les plus sages, s’acquit par cette voie
l’empire le plus grand et le plus célèbre qui ait jamais été. Mais
dans la suite la soumission même et l’obéissance de tant de nations, lui
ayant procuré une longue paix, il passa de son ancienne discipline à des
moeurs déréglées et corrompues. La jeunesse que la guerre n’occupait
plus, et qui avait de quoi satisfaire tous ses désirs, commença à
préférer la dépense à la sobriété, le luxe à la modération, et les
plaisirs aux travaux de la guerre. On en vint à mesurer le bonheur de la
vie, non à l’assemblage des vertus, mais par l’abondance des voluptés.
Là commencèrent les repas somptueux et la recherche des parfums exquis,
des ameublements superbes, des ouvrages d’or, d’argent et d’ivoire,
où l’art surpassait la matière. Les vins ordinaires furent abandonnés :
on ne les voulait que de Falerne, de Chio ou d’autres cantons en petit
nombre ; les poissons mêmes et les autres mets devaient être exquis et
rares. Les jeunes gens ne voulaient paraître en public qu’avec des habits
de laines fines et transparentes comme les robes de femmes. Tous ces indices
ou tous ces accompagnements de luxure et de volupté étant recherchés par
tout le monde avec un empressement égal, le prix en était monté très
haut. La cruche de vin de Falerne allait à cent deniers, une jatte de
saumure de la mer du Pont se vendait quatre cents. Un excellent cuisinier
coûtait quatre talents. Cependant pour remédier à ces excès, quelques préfets des provinces se trouvant dans une place exposée à la vue de tout le monde, se proposèrent de ramener par leur exemple à la sagesse et à la vertu des nations si corrompues. Q. Mucius Scaevola se distingua entre tous les autres dans un projet si louable. Car ayant été désigné et envoyé proconsul en Asie, il choisit pour son lieutenant le plus fidèle de ses amis P. Rutilius, qu’il consulta toujours dans l’administration des affaires de sa province, et dans tous les jugements qu’il y rendit. Il se fit d’ailleurs une loi de ne tirer que de ses propres revenus, toute la dépense qu’il ferait pour lui et pour toute sa suite ; ce qui l’obligea à vivre dans une grande frugalité : et suivant d’ailleurs les lois de l’équité la plus parfaite, il délivra sa province des calamités dont elle était accablée. Car les proconsuls d’Asie ses prédécesseurs, qui s’entendaient avec les publicains, entre les mains desquels les jugements étaient alors à Rome, avaient rempli la province d’Asie de toute espèce de brigandage et de crimes. L. Scaevola prononçant toujours des jugements équitables, délivra sa province non seulement des entreprises des calomniateurs, mais aussi des recherches et des vexations des publicains. Car rendant exactement justice à tous ceux à qui ces derniers avaient fait tort, c’étaient ordinairement les publicains qu’il condamnait à tous les frais, et il ne leur épargnait pas même les jugements de mort, quand ils tombaient dans ce cas. Un certain d’entr’eux et même le plus considérable qui avait traité avec son maître de sa liberté, fut saisi par l’ordre de Scaevola et mis en croix avant que de l’avoir obtenue. Le même Scaevola après avoir condamné les publicains coupables les livrait à ceux qu’ils avaient offensés. Ainsi ces mêmes hommes qui peu auparavant exerçaient toutes sortes de violences et d’injustices, se voyaient alors menés souvent eux-mêmes devant les juges. Mais d’ailleurs comme Scaevola faisait toujours de son propre fonds les frais de ses routes ou de ses entrées dans les villes étrangères, il procura bientôt aux Romains l’affection de tous les alliés. L. Asellius dont le père avait été questeur envoyé dans la Sicile comme préteur, trouva cette province ravagée, ou par la guerre des esclaves, ou par les magistrats précédents. Mais il la remit bientôt dans son ancienne splendeur, par les sages règlements qu’il lui donna. Car prenant pour second, à l’exemple de Scaevola, le meilleur de ses amis C. Sempronius Longus, il admit aussi dans tous ses conseils Publius qui demeurait à Syracuse et l’un des plus illustres d’entre les chevaliers romains. Celui-ci joignait à de grands biens de fortune de grandes vertus de l’âme. Les temples des dieux qu’il a réparés, les dons qu’il a faits et les sacrifices qu’il a établis sont un témoignage de sa piété et l’on peut donner pour preuve de sa tempérance la santé parfaite et l’usage de ses sens qu’il a conservé toujours égal jusqu’à la fin de ses jours. Savant lui-même, il faisait de grands biens à tous ceux qui se distinguaient dans les sciences ou dans l’exercice des beaux-arts. Asellius se faisant donc assister dans tous les jugements qu’il portait, des deux hommes que nous venons de nommer, Sempronius et Publius, s’appliqua sans relâche à remettre la Sicile dans l’état heureux où elle s’était vue dans ses premiers temps. Asellius toujours attentif à l’utilité publique, entreprit de bannir du barreau la calomnie et sa principale attention fut de soutenir les gens sans appui. Ainsi au lieu que les préteurs qui l’avaient précédé, donnaient des tuteurs aux veuves et aux orphelins délaissés, il se chargea lui-même de leur tutelle et réglant toutes leurs affaires avec toute l’attention dont il était capable, il les garantit de l’oppression à laquelle ils étaient exposés. En un mot ayant veillé pendant le cours de sa magistrature à réprimer les malfaiteurs publics ou particuliers, il rendit à la Sicile son ancienne félicité.
http://www.ualberta.ca/~csmackay/CLASS_366/Drusus.html Après la mort de Saturninus, la première moitié des années 90 fut un moment de calme relatif à l’intérieur. La principale note discordante eut lieu pendant le consulat de L. Licinius Crasssus (le grand orateur, l'homme qui a obtenu la condamnation de C. Papirius Carbo en 120 et qui a fondé Narbo Martius en 118) et Q. Mucius Scaevola (fils de P. Scaevola consul en 133). Comme consuls en 95 ils font passer une loi (lex Licinia et Minucia) qui établit une quaestio dont le but était d’enlever la citoyenneté romaine aux latins et aux alliés qui avaient usurpé le statut romain et de les remettre dans statut original. Bien que cette loi soit complètement irréprochable d'un point de vue purement légal, elle eut des conséquences politiques désastreuses. En effet beaucoup de non-Romains désiraient devenir des citoyens et en avaient apparemment obtenu l’autorisation. Il était maintenant clair pour les habitants non-Romains de l'Italie que le Sénat de Rome était complètement réticent ou incapable d’étendre la citoyenneté à l’Italie. Il y eut une dernière tentative de la part d'un politicien romain d’étendre la citoyenneté et son échec mena à une révolte importante des alliés contre Rome. Cette dernière tentative faisait partie d'un effort important pour reformer les nombreuses anomalies perçues dans l'état et était fondée sur la conviction de P. Rutilius Rufus en 92. P. Rutilius Rufus Les impôts perçus par le peuple romain dans la province de l'Asie étaient collectés par les publicani (fermiers d’impôt). Des chevaliers romains constituèrent des compagnies pour permettre à Rome sous le couvert de la lex Sempronia de Gaius Gracchus de collecter les impôts. Bien que théoriquement les gouverneurs romains de l'Asie dussent protéger les indigènes, dans la pratique il leur était plus facile de coopérer avec les publicani pour les opprimer (et naturellement ces mêmes equites [ ou leurs amis ] fournissaient les jurys pour les tribunaux de concussion à Rome). Dans les années 90 il devint évident que les demandes excessives des publicani engendraient du désordre dans la province. Q. Mucius Scaevola fut envoyé pour faire le ménage. Scaevola devint alors le modèle du gouverneur honnête. (quand Cicéron gouverna la Cilicie il modela manifestement son comportement sur celui de Scaevola.) Scaevola s’attaqua aux pratiques des publicani. Il y a désaccord sur l’année du gouvernement de Scaevola en l’Asie. On prétend qu’il a reçu une province à la fin de son consulat de 95 . Mais il est probable qu’il ait vraisemblablement servi en Asie comme préteur en 98. En effet à cette époque normalement les consuls n’étaient pas nommés proconsuls à moins d’avoir déjà obtenu un commandement provincial (c'est-à-dire que ceux qui étaient restés à Rome pendant leur consulat n'étaient pas en règle générale prorogés). Mais son célèbre légat (voir ci-dessous) était lui-même consul en 105. Il est très peu probable qu'un ancien consul ait servi de légat à un préteur (sa dignité ne le permettait pas). Mais si le gouvernement de Scaevola sur l'Asie date de 98 ou de 97, il est difficile de voir pourquoi qu’il fallut attendre 92 pour qu’une action judiciaire soit lancée. En conclusion, alors qu'il est vrai que l'Asie normalement était une province prétorienne (gouvernée par un préteur), la nomination de Scaevola était extraordinaire (il appartenait à une famille connue pour ses capacités juridiques et pour son honnêteté. On l’a choisi particulièrement pour remettre de l’ordre). Finalement, il est plus que probable que Scaevola reçut une province quand il était préteur en 98 et qu’il gouverna l’Asie comme proconsul en 94. Scaevola ne resta en Asie que 9 mois. Il fut aidé par P. Rutilius Rufus cos 105 (comme consul Rufus avait levé l'armée que Marius allait mener contre les Germains). Quand Scaevola revint à Rome, il laissa Rufus comme legatus pro praetore (quand un gouverneur meurt ou quitte une province, un subalterne assume l'imperium prétorien jusque l’arrivée d’un successeur. Le délégué subalterne de cette façon pouvait être l’ancien questeur du gouverneur ou un légat et recevait la désignation de pro praetore [ "à la place du préteur" ].) Comme legatus pro praetore Rufus était couvert par la lex de pecuniis repetundis (loi de concussion) qui normalement couvre seulement les magistrats élus. En 92 les equites en colère s’attaquent à lui plutôt qu’à Scaevola devant le tribunal pour concussion. Une pratique normale devant un tribunal romain c'était pour les accusés de pleurer et de demander l’indulgence : Rufus, qui n'était absolument pas coupable, refusa cette façon de faire. En effet, il était adepte du stoïcisme et son modèle était Socrate qui fut accusé en 399 (du moins selon Platon). Les jurés condamnèrent Rufus. Il partit en exil à Smyrne, une ville d’Asie, la province qu'il était supposé avoir dépouillée. Il s’ensuivit une indignation contre le comportement des jurés. Il était évident que les membres de l’ordre équestre abusaient de leur pouvoir en condamnant un gouverneur honnête qui s'était opposé aux chevaliers fermiers d’impôt et qui avait essayé de limiter leurs abus. C'est cet événement qui fut plus tard "re-lu" dans l'histoire, quand on accusa Gaius Gracchus d’avoir eu cette intention dès le début. Il fallut 30 ans aux chevaliers pour abuser de leur pouvoir à ce point.
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a,
prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par ad, prép. : + Acc. : vers, à, près de adimo, is, ere, emi, emptum : ôter, enlever admirabilis, e : admirable adversus, a, um : contraire (prép. + acc. = contre) aeque, inv. : également aestimo, as, are : estimer, juger aliquis, a, id : quelqu'un, quelque chose amicitia, ae, f. : l'amitié amicus, a, um : ami (amicus, i, m. : l'ami) an, conj. : est-ce que, si (int. ind.), ou (int. double) annus, i, m. : l'année ante, prép. : +acc., devant, avant ; adv. avant arcesso, is, ere, iui, itum :1. faire venir, mander (arcessitus, a, um : cherché, peu naturel) 2. citer en justice, accuser arma, orum, n. : les armes ars, artis, f. : 1. le talent, l'habileté 2. le métier, la profession 3. la connaissance technique, l'art Asia, ae, f. : Asie assigno, as, are : assigner, attribuer atque, conj. : et, et aussi atqui, inv., et pourtant, eh bien auctoritas, atis, f. : l'avis, le prestige, l'autorité Aurelius, i, m. : Aurelius autem, conj. : or, cependant, quant à - cautior, ioris : comparatif de cautus, a, um : prudent civitas, atis, f. : la cité, l'état Cn, inv. : abréviation de Cnaeus cognomen, inis, n. : le surnom, le cognomen (partie du nom qui suit le gentilice) collega, ae, m. : le collègue consentaneus, a, um : d'accord avec, conforme à, conséquent avec conspiratio, ionis, f. : 1. l'accord, l'union 2. la conspiration, le complot consul, is, m. : le consul cui, 4 possibilités : 1. datif singulier du pronom relatif : à qui, pour qui 2. datif singulier de l'interrogatif : à qui? à quel? 3. faux relatif = et ei 4. après si, nisi, ne num = alicui culpa, ae, f. : la faute cum, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que damnatio, ionis, f. : la condamnation depono, is, ere, posui, positum : déposer, abandonner dico, is, ere, dixi, dictum : dire, appeler dissensio, ionis, f. : la divergence, le désaccord, la dissension doctor, oris, m. : le maître efficio, is, ere, effeci, effectum : 1.achever, produire, réaliser 2. - ut : faire en sorte que ego, mei : je ei, DAT. SING ou NOM. M. PL. de is,ea,id : lui, à celui-ci, ce,... eius, Gén. Sing. de IS-EA-ID : ce, cette, son, sa, de lui, d'elle enim, conj. : car, en effet ergo, conj. : donc et, conj. : et. adv. aussi etiam, adv. : encore, en plus, aussi, même, bien plus ex, prép. : + Abl. : hors de, de exemplum, i, n. : l'exemple experimentum, i, n. : la preuve, l'essai, l'épreuve exsilium, ii; n. : l'exil exsulo, as, are : être exilé facio, is, ere, feci, factum : faire factum, i, n. : le fait, l'action, le travail, l'ouvrage felix, icis: heureux fio, is, fieri, factus sum : devenir fortior, oris : comparatif de fortis, e : courageux genu, : le genou gladiator, oris, m. : le gladiateur gravissimus, a, um : superlatif de gravis, e : lourd gravitas, atis, f. : la pesanteur, la sévérité, la dignité, la majesté, la maladie hic, haec, hoc : adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci hic, adv. : ici humilius, adv. : comparatif neutre ou adverbial de humilis, e : humble, de basse naissance ictus, us, m. : le coup, le choc ille, illa, illud : adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ... immo, inv. : pas du tout, non, au contraire impedimentum, i, n. : l'empêchement, l'obstacle ; au pl. : les bagages imperator, oris, m. : le général, l'empereur impetus, us, m. : le mouvement en avant, l'élan, l'assaut impotens, entis : 1. impuissant, faible 2. incapable, irresponsable 3. immodéré, déchaîné, emporté in, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre indignatio, ionis, f. : l'indignation induo, is, ere, dui, dutum : revêtir, couvrir infero, es, ferre, tuli, illatum : porter dans, servir ingenero, as, are : faire naître dans, créer, produire, enfanter inhonestus, a, um : sans honneur, déshonnête, honteux; laid, repoussant iniustus, a, um : injuste insignis, e : remarquable, extraordinaire (insigne, is, n. : la marque, le signe, l'insigne, la décoration) insum, es, esse : être dans is, NOM M SING de is,ea,id : ce, cette, celui-ci, il is, ea, id : ce, celui-ci iudex, icis, m. : le juge iustius, adv. : du comparatif de iustus, a, um : juste legatus, i, m. : le légat, l'envoyé, l'ambassadeur legio, onis, f. : la légion lex, legis, f. : la loi, la (les) condition(s) d'un traité ludus, i, m. : le jeu, l'école, la troupe de gladiateurs magis, adv. : plus Mallius, i, m. : Mallius manus, us, f. : la main, la petite troupe meditatio, ionis, f. : 1. la préparation 2. la réflexion, la méditation mereo, es, ere, rui, ritum (mereri, eor, itus sum) : mériter, gagner; merere ou mereri (stipendia) : toucher la solde militaire, faire son service militaire miles, itis, m. : le soldat misceo, es, ere, ui, mixtum : mélanger miser, a, um : malheureux mitto, is, ere, misi, missum : I. 1. envoyer 2. dédier 3. émettre 4. jeter, lancer II. laisser aller, congédier mos, moris, m. : sing. : la coutume ; pl. : les moeurs nam, conj. : de fait, voyons, car ne, 1. adv. : ... quidem : pas même, ne (défense) ; 2. conj. + subj. : que (verbes de crainte et d'empêchement), pour que ne pas, de ne pas (verbes de volonté) 3. adv. d'affirmation : assurément 4. interrogatif : est-ce que, si nec, adv. : et...ne...pas nescio, is, ire, ivi, itum : ignorer non, neg. : ne...pas nullus, a, um : aucun obsoletus, a, um : négligé, usé, délabré, vulgaire obviam, adv. : sur le chemin, en route offero, fers, ferre, obtuli, oblatum : offrir, donner omnis, e : tout opus, operis, n. : le travail (opus est mihi = j'ai besoin) ordo, inis, m. : le rang, l'ordre, la file (de soldats), la centurie P, abréviation de Publius patria, ae, f. : la patrie per, prép. : + Acc. : à travers, par percello, is, ere, culi, culsum : renverser, culbuter periculum, i, n. : 1. l'essai, l'expérience 2. le danger, le péril peto, is, ere, i(v)i, itum : 1. chercher à atteindre, attaquer, 2. chercher à obtenir, rechercher, briguer, demander praesto, as, are : l'emporter sur, être garant, fournir (praestat : imp. : il vaut mieux) - ut : faire en sorte que praeteritus, a, um : écoulé, passé prius, inv. : avant, auparavant ; ... quam : avant que propter, prép + acc. : à cause de, à côté provincia, ae, f. : la province publicanus, i, m. : le publicain, le fermier d'impôt quam, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien quapropter, rel. : pour le/laquelle ; adv. : c'est pourquoi quid, 1. Interrogatif neutre de quis : quelle chose?, que?, quoi?. 2. eh quoi! 3. pourquoi? 4. après si, nisi, ne num = aliquid quidam, quaedam, quoddam/quiddam : un certain, quelqu'un, quelque chose quidem, adv. : certes (ne-) ne pas même quis, 1. pronom interrogatif N. M. S. 2. pronom indéfini = quelqu'un 3. après si, nisi, ne, num = aliquis 4. = quibus quisquam, quaequam, quidquam ou quic- : quelque, quelqu'un, quelque chose quod, 1. pronom relatif nom. ou acc. neutre singulier : qui, que 2. faux relatif = et id 3. conjonction : parce que, le fait que 4. après si, nisi, ne, num = aliquod = quelque chose 5. pronom interrogatif nom. ou acc. neutre sing. = quel? rapio, is, ere, rapui, raptum : 1. emporter 2. ravir, voler, piller 3. se saisir vivement de ratio, onis, f. : la raison, le raisonnement, le compte reditus, us, m. : le retour remaneo, es, ere, mansi, mansum : rester resisto, is, ere, stiti : demeurer, résister à, s'arrêter respondeo, es, ere, di, sum : répondre reus, i, m. : l'accusé robur, oris, n. :1. le rouvre 2. le bois de chêne 3. la dureté, la solidité 4. la vigueur, l'élite rogatio, ionis, f. : 1. la demande 2. la proposition de loi 3. la prière rogo, as, are : demander rursus, inv. : de nouveau, au contraire Rutilius, i, m. : Rutilius Scaurus, i, m. : Scaurus scientia, ae, f. : la connaissance se, pron. réfl. : se, soi secessus, us, m. : la séparation, la retraite sed, conj. : mais senator, oris, m. : le sénateur sequor, eris, i, secutus sum : 1. suivre 2. poursuivre 3. venir après 4. tomber en partage si, conj. : si splendor, oris, m. : l'éclat, le brillant; la splendeur, la magnificence subtilior, oris : comparatif de subtilis, e : fin, menu, délicat Sulla, ae, m. : Sylla Sullanus, a, um : de Sylla sum, es, esse, fui : être summus, a, um : superlatif de magnus. très grand, extrême supplex, plicis : suppliant suus, a, um : adj. : son; pronom : le sien, le leur tendo, is, ere, tetendi, tensum : tendre tracto, as, are : toucher; manier, prendre soin, ; se comporter trado, is, ere, didi, ditum : 1. transmettre, remettre 2. livrer 3. enseigner triumpho, as, are : 1. obtenir les honneurs du triomphe 2. triompher, remporter un triomphe tu, tui : tu, te, toi tuus, a, um : ton ullus, a, um : un seul ; remplace nullus dans une tournure négative ut, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que uterque, utraque, utrumque : chacun des deux valeo, es, ere, ui, itum : avoir de la valeur, être fort verbum, i, n. 1. le mot, le terme, l'expression 2. la parole 3. les mots, la forme vestis, is, f. : le vêtement victoria, ae, f. : la victoire vir, viri, m. : l'homme, le mari virtus, utis, f. : le courage, l'honnêteté vito, as, are : éviter vox, vocis, f. : 1. la voix 2. le son de la voix 3. l'accent 4. le son 5. , la parole, le mot |
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