Le temps des généraux : Marius |
Les Cimbres et les Teutons |
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105 premiers désastres
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SALLUSTE : C. Sallustius Crispus se lança dans la politique dès sa jeunesse. Sa carrière fut brisée par l’assassinat de César. Suspecté d’avoir pactisé avec le parti populaire, il se retira dans ses célèbres jardins. Il écrivit de coniuratione Catilinae, Bellum Iugurthinum et Historiae (cette dernière oeuvre est perdue). |
En 106, la guerre contre Jugurtha se termine. De mauvaises nouvelles proviennent de Gaule. L'armée romaine, sous les ordres de Caepio, remporte la victoire du côté de Toulouse. Mais en 105, le consul Cn. Mallius et le proconsul Q. Servilius Caepio sont écrasés à Orange. Les Cimbres et les Teutons se divisent en trois parties : l'une part vers l'Espagne, l'autre s'apprête à rentrer en Italie par la Gaule, la troisième par le Brenner. |
106 - 101
Pendant l'année 106, Marius est proconsul,
et pareillement en 105. Cette année là voit la fin de la
guerre en Afrique : le 1er janvier 104, Marius célèbre
son triomphe. Il en retire un immense prestige ; sa popularité est à ce
moment considérable.
Rome est alors dans une situation critique : c'est la période de
l'invasion des Cimbres
et des Teutons qui ont
fait irruption en Gaule dès 120 et notamment dans la
Provincia. Servilius Caepio Servilius Caepio était un des chefs du parti de la noblesse. En 106, il réussit à faire supprimer la loi judiciaire de Caius Gracchus (pour plus d'amples renseignements, voir les fiches sur les "réformes judiciaires" et celles sur Caius Gracchus). Il était proconsul en Gaule, lorsqu'en 105 il perdit la bataille d'Orange contre les Cimbres et les Teutons. Les Romains avaient été incapables de se mettre d'accord avant la bataille. Le consul Mallius et le proconsul avaient chacun de leur côté voulu avoir les lauriers de la victoire présumée. Le désastre fut tel que les Romains accusèrent Caepion d'avoir détourné à son profit une partie du butin qu'il avait fait en Gaule lors de sa victoire sur les Tectosages. On prétendait que l'or qui avait été pris en 106 à Toulouse par Caepion provenait de Delphes où les Gaulois l'auraient pris quelques siècles plus tôt. Cet or avait "disparu" lors de son transfert à Rome. Caepion fut déchu de sa magistrature et exilé. Mallius subit le même sort. Le 6 octobre (jour de la bataille) fut considéré comme un jour néfaste. L’or de Toulouse Vers 200 avant J.-C. les Volques Tectosages (littéralement " chercheurs de terres ") arrivent dans le sud de la France. Ils arrivent d'Europe centrale, ils s'établissent près de la Garonne, au sud de Toulouse et y construisent un oppidum (site fortifié), signe définitif de leur volonté d'investir la contrée, et de faire de la ville son chef-lieu. En 106 avant J.-C., ils s’allient aux Cimbres. Servilius Caepio est envoyé par Rome. Il s’empare de Toulouse, pille la ville et met la main sur de fabuleuses richesses. Au fond des étangs sacrés qui recouvrent alors le quartier du Busca, il découvre d'incroyables quantités d'or et d'argent, que les Gaulois Tectosages enfouissaient sous les eaux pour les offrir aux dieux. D'où viennent ces trésors ? Du sanctuaire de Delphes pillé un demi-siècle plus tôt ou tout simplement des nombreuses rivières aurifères qui sillonnent la région ? Caepio ne s'en préoccupe pas et envoie le tout à Rome. L'or de Toulouse n'arrivera pas à destination. Que s'est-il passé ? Des brigands l'ont-ils dérobé en chemin ? Caepio s’en est-il emparé?. La bataille d'ARAUSIO (Orange) http://legioncavalerie.free.fr/fr/romains.htm Le 6 octobre 105 avant J.C, l'armée romaine est battue par les Germains à Arausio (Orange). Les Cimbres et les Teutons avaient envahis la Gaule vers 110 avant J.C. Rome, craignant l'invasion de l'Italie, envoie le Consul Gnaeus Mallius Maximus en 105 avant J.C, avec une armée, afin de renforcer celle du Consul Quintus Servillius Caepio. Leurs conduites déplacées des troupes, les amènent à la défaite désastreuse et coûteuse d'Arausio, puisque 80 000 légionnaires y trouvent la mort. Les Romains enregistrent là, les pertes les plus importantes depuis la bataille de Cannae (défaite devant les troupes d'Hannibal, dans la province d'Apulie en 216 avant J.C). Bien que les Germains n'aient pas attaqué l'Italie, le désastre et la nécessité de lever de nouvelles forces, ont mené le Général et politicien romain Gaius Marius (157 avant J.C/86 avant J.C) à réformer l'armée. Marius utilise les troupes fraîches levées par le Consul Rutilius Rufus pour battre les Teutons à Aquae Sextia (Aix en Provence) en 102 avant J.C. Les Cimbres et les Teutons Les causes de cette première invasion germanique ne sont pas très connues. On croit que les Cimbres venaient du Jutland (Danemark) et les Teutons du Mecklembourg (N.O. de Berlin, vers la Baltique). Ils se dirigèrent d'abord vers le sud mais furent arrêtés par les peuples qui bordaient le Danube. Ils obliquèrent alors vers l'Ouest, entrèrent dans le Norique. Une armée romaine envoyée au secours des Noriques (état client de Rome) fut détruite en 113. En 109, les Cimbres et les Teutons arrivent sur le Rhin. Une armée romaine venue à leur rencontre est battue sans doute du côté de Lyon. Par la vallée du Rhône, ils entrent en Aquitaine. 16. Ce jugement, connu à Rome, ne contribua pas peu à faire obtenir à Marius un troisième consulat ; d'ailleurs, comme on s'attendait à voir les Barbares se diriger sur l'Italie au printemps prochain, et comme les soldats ne voulaient pas s'exposer à combattre contre eux sous un autre général que Marius, on le porta pour la troisième fois au consulat ; mais ce consulat expira[10] avant qu'ils fussent arrivés. Quand le temps des comices approcha, la mort de l'autre consul obligea Marius de laisser le commandement de l'armée à Manius Acilius, et de se rendre à Rome. Plusieurs Romains des plus distingués s'étaient mis sur les rangs ; mais Lucius Saturninus, celui des tribuns qui avait le plus de pouvoir sur le peuple, gagné par Marius, haranguait dans toutes les assemblées, pour persuader les citoyens de continuer Marius dans le consulat ; et comme celui-ci faisait semblant de le refuser, qu'il affectait même de ne pas s'en soucier, Saturninus l'accusait de trahir sa patrie, en ne voulant pas, dans un danger si pressant, accepter le commandement de l'armée. On voyait bien que ce n'était qu'une feinte, dans laquelle Saturninus jouait assez adroitement son rôle ; mais le peuple, qui sentait que dans cette conjoncture on avait besoin de la capacité et de la fortune de Marius, lui décerna ce quatrième consulat[11], et lui donna pour collègue Catulus Lutatius, homme estimé des nobles, et qui n'était pas désagréable au peuple. Marius, informé que les ennemis approchaient, se hâta de repasser les Alpes ; et ayant placé son camp sur le bord du Rhône, il le fortifia, et le fournit d'une telle abondance de provisions de bouche que jamais la disette des vivres ne pouvait le forcer à combattre quand il n'y trouverait pas son avantage. Mais comme il fallait faire venir par mer toutes les provisions avec beaucoup de temps et de dépense, il trouva le moyen d'en rendre le transport prompt et facile. Les marées avaient rempli de vase et de gravier les embouchures du Rhône ; sa rive était couverte d'une bourbe profonde que les flots y déposaient, et qui en rendait l'entrée aussi difficile que dangereuse aux vaisseaux de charge. Marius, pour occuper son armée pendant ce temps de loisir, fit creuser un large fossé, dans lequel il détourna une grande partie du fleuve, et qu'il conduisit jusqu'à un endroit du rivage sûr et commode. Le fossé avait assez de profondeur pour contenir de grands vaisseaux, et son embouchure dans la mer était unie, et à l'abri du choc des vagues. Ce fossé s'appelle encore aujourd'hui la fosse Mariane. 17. Les Barbares s'étant séparés en deux armées, les Cimbres gagnèrent la haute Germanie, pour aller par la Norique forcer les passages que gardait Catulus ; les Teutons avec les Ambrons vinrent par la Ligurie, en côtoyant la mer, et marchèrent contre Marius. Les Cimbres retardèrent assez longtemps leur départ ; mais les Teutons et les Ambrons étant partis sans différer, et ayant bientôt franchi l'espace qui les séparait des Romains, parurent devant Marius. C'était un nombre infini de Barbares hideux à voir, et dont la voix et les cris ne ressemblaient pas à ceux des autres hommes. Ils embrassèrent dans l'assiette de leur camp une étendue immense ; et dès qu'il fut établi, ils provoquèrent Marius au combat. Ce général, qui s'inquiétait peu de leurs défis, retint ses soldats dans le camp, et fit de sévères réprimandes à ceux qui, témoignant une fierté déplacée, et n'écoutant que leur colère, voulaient aller combattre. Il les appelait traîtres à la patrie, et leur représentait que l'objet de leur ambition devait être, non d'obtenir des triomphes et d'élever des trophées, mais de dissiper cette nuée foudroyante qui les menaçait, et de sauver l'Italie. C'était le langage qu'il tenait en particulier aux capitaines et aux principaux officiers ; pour les soldats, il les plaçait les uns après les autres sur les remparts du camp, d'où ils pouvaient voir les ennemis, afin de les accoutumer à leur figure, au ton rude et sauvage de leur voix, à leur armure et à leurs mouvements extraordinaires. Il leur rendit ainsi familier, par l'habitude, ce qui d'abord leur avait paru si effrayant ; car il savait que la nouveauté fait souvent illusion et exagère les choses que l'on craint, au lieu que l'habitude ôte même à celles qui sont redoutables une grande partie de l'effroi qu'elles inspirent. Cette vue continuelle des ennemis diminua peu à peu l'étonnement dont ils avaient été d'abord frappés ; et bientôt leur colère, ranimée par les menaces et les bravades insupportables de ces Barbares, échauffa et enflamma leur courage. Car les ennemis, non contents de piller et de ravager tous les environs, venaient les insulter, jusque dans leur camp, avec une audace et une insolence si révoltantes, qu'indignés de leur inaction, ils se livrèrent à des plaintes qui parvinrent enfin jusqu'à Marius. « Quelle lâcheté, disaient-ils, Marius a-t-il donc reconnue en nous, pour nous empêcher de combattre ; pour nous tenir, comme des femmes, sous des clefs et des geôliers ? Osons lui faire voir que nous sommes des hommes libres, allons lui demander s'il attend d'autres soldats qui combattent pour la liberté, et s'il compte ne jamais nous employer que comme de simples travailleurs, pour creuser des fossés, nettoyer des bourbiers, ou détourner des rivières. C'est sans doute pour ces glorieux ouvrages qu'il nous a exercés à tant de travaux ; ce sont là les exploits de ses deux consulats qu'il se propose de présenter à ses concitoyens. Craint-il le sort de Carbon et de Cépion, que les ennemis ont vaincus ? Mais ces généraux étaient bien au-dessous de Marius en réputation et en courage, et leurs armées moins fortes que la sienne. Encore vaudrait-il mieux essuyer quelque perte en combattant, que de rester, dans l'inaction, spectateurs des dégâts que souffrent nos alliés. » 18. Marius, charmé de ces plaintes, s'étudiait cependant à les calmer, en les assurant qu'il était bien éloigné de se défier d'eux ; mais que, pour obéir à certains oracles, il attendait le temps et le lieu qui devaient lui donner la victoire. Il menait partout avec lui une femme de Syrie, nommée Marthe, qui passait pour avoir l'esprit prophétique. Il la faisait porter dans une litière, avec de grands témoignages de respect, et il n'offrait jamais de sacrifices que par son ordre. Elle avait d'abord voulu faire connaître ses prophéties au sénat, qui refusa de l'écouter ; s'étant donc tournée du côté des femmes, elle leur donna quelques preuves de sa connaissance de l'avenir ; elle persuada surtout la femme de Marius, un jour qu'étant assise à ses pieds à un combat de gladiateurs, elle lui annonça fort heureusement quel serait le vainqueur. La femme de Marius l'envoya tout de suite à son mari, qui en fut dans l'admiration, et, comme je viens de le dire, la mena toujours à sa suite dans une litière. Quand elle allait aux sacrifices, elle était vêtue d'une robe de la plus belle pourpre, attachée avec des agrafes, tenant à la main une pique entourée de bandelettes et de guirlandes de fleurs. Cette comédie fit douter à bien des gens si Marius, en produisant ainsi cette femme, était véritablement persuadé de sa science prophétique, ou s'il faisait seulement semblant d'y croire pour tirer parti de sa fourberie. Mais Alexandre le Myndien raconte une histoire de vautours vraiment admirable. Il dit que deux de ces oiseaux se montraient régulièrement dans le camp de Marius lorsqu'il devait gagner une bataille, et qu'ils suivaient constamment son armée. On les reconnaissait à des colliers d'airain que leur avaient mis des soldats qui les avaient pris et lâchés ensuite. Depuis ce jour-là ils reconnurent ces soldats, et semblaient les saluer de leurs cris : les soldats, de leur côté, étaient charmés de les voir, parce qu'ils étaient pour eux l'augure d'un heureux succès. II y eut alors plusieurs signes, dont la plupart n'avaient rien d'extraordinaire. Mais on apprit d'Améric et de Tuderte, deux villes d'Italie, qu'il avait paru la nuit, dans le ciel, des lances de feu et des boucliers, qui, d'abord séparés, s'étaient mêlés ensuite, et avaient figuré les dispositions et les mouvements de deux armées qui combattent ; que les uns ayant cédé, et les autres s'étant mis à leur poursuite, ils avaient tous pris leur direction vers le couchant. Dans le même temps on vit arriver de Pessinonte, Batabacès, grand prêtre de la mère des dieux, qui déclara que la déesse lui avait annoncé, du fond de son sanctuaire, que la victoire et l'honneur de cette guerre demeureraient aux Romains. Le sénat, ayant ajouté foi à ce rapport, ordonna qu'on bâtît un temple à la déesse qui leur promettait la victoire. Batabacès voulut se présenter au peuple, pour lui répéter la même promesse, mais le tribun Aulus Pompéius l'en empêcha, le traita d'imposteur, et le chassa ignominieusement de la tribune. Ce fut surtout cette violence qui fit croire à la prédiction du grand prêtre ; car, au sortir de l'assemblée, le tribun, à peine rentré chez lui, fut saisi d'une fièvre violente, dont il mourut le septième jour ; événement qui fut su et constaté dans toute la ville. suite
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ab,
prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par absens, entis : absent ad, prép. : + Acc. : vers, à, près de adduco, is, ere, duxi, ductum : 1. amener à soi, attirer 2. conduire vers, mener à adversus, a, um : contraire (prép. + acc. = contre) alius, a, ud : autre, un autre atque, conj. : et, et aussi bellum, i, n. : la guerre Caepio, ionis, m. : Quintus Servilius Caepio (proconsul en 105) certo, as, are : combattre, concourir civitas, atis, f. : la cité, l'état Cn, inv. : abréviation de Cnaeus conficio, is, ere, feci, fectum : 1. faire (intégralement) 2. réaliser 3. réduire 4. venir à bout de 5. accabler, épuiser consul, is, m. : le consul contremesco, is, ere, mui, - : commencer à trembler cum, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que decerno, is, ere, crevi, cretum : décréter, décider dux, ducis, m. : le chef, le guide ea, 1. ABL. FEM. SING - NOM-ACC. N. PL. de is, ea, id (ce, cette, le, la...) 2. adv. : par cet endroit ei, DAT. SING ou NOM. M. PL. de is,ea,id : lui, à celui-ci, ce,... et, conj. : et. adv. aussi facio, is, ere, feci, factum : faire Gallia, ae, f. : la Gaule Gallus, i : le Gaulois gloria, ae, f. : 1. la gloire, la réputation, le renom 2. le désir de gloire habeo, es, ere, bui, bitum : avoir (en sa possession), tenir (se habere : se trouver, être), considérer comme Ianuarius, a, um : de Janvier idem, eadem, idem : le (la) même ille, illa, illud : adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ... illinc, adv. : de là, par là in, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre inde, adv. : de là, donc is, NOM M SING de is,ea,id : ce, cette, celui-ci, il Italia, ae, f. : l'Italie Iugurtha, ae, m. : Jugurtha kalendae, arum, f. : les calendes (le premier jour du mois) magnus, a, um : grand male, adv. : mal, vilainement Mallius, i, m. : Cneius Mallius Maximus (consul en 105) Marius, i, m. : Marius memoria, ae, f. : 1. la mémoire 2. le souvenir 3. l'époque 4. la relation (d'une chose) metus, us, m. : la peur, la crainte non, neg. : ne...pas noster, tra, trum : adj. notre, nos pronom : le nôtre, les nôtres Numidia, ae, f. : la Numidie nuntio, a, are : annoncer omnis, e : tout ops, opis, f. : sing., le pouvoir, l'aide ; pl., les richesses per, prép. : + Acc. : à travers, par postquam, conj. : après que pro, prép. : + Abl. : devant, pour, à la place de, en considération de pronus, a, um : penché, en pente, incliné, enclin, facile, aisé (prona, orum, n. : les pentes) provincia, ae, f. : la province pugno, as, are : combattre Q, abr. pour Quintus quo, 1. Abl. M. ou N. du pronom relatif. 2. Abl. M. ou N. du pronom ou de l'adjectif interrogatif. 3. Faux relatif = et eo. 4. Après si, nisi, ne, num = aliquo. 5. Adv. =où ? (avec changement de lieu) 6. suivi d'un comparatif = d'autant 7. conj. : pour que par là Roma, ae, f. : Rome Romanus, a, um : Romain (Romanus, i, m. : le Romain) salus, utis, f. : 1. la santé 2. le salut, la conservation 3. l'action de saluer, les compliments sed, conj. : mais sic, adv. : ainsi ; sic... ut : ainsi... que situs, a, um : placé, situé spes, ei, f. : l'espoir sum, es, esse, fui : être suus, a, um : adj. : son; pronom : le sien, le leur tempestas, atis, f. : 1. le moment 2. le temps, le mauvais temps, la température 3. le trouble, le malheur, la calamité tempus, oris, n. : 1. le moment, l'instant, le temps 2. l'occasion 3. la circonstance, la situation triumpho, as, are : 1. obtenir les honneurs du triomphe 2. triompher, remporter un triomphe usque, prép. : usque ad, jusqu'à vinco, is, ere, vici, victum : vaincre virtus, utis, f. : le courage, l'honnêteté |
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