Le temps des généraux : Marius |
Les Cimbres et les Teutons |
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105 - 101 Résumé de la guerre |
PERIOCHAE : Tite-Live écrivit une Histoire Romaine en 142 livres. Nous ne possédons plus que les livres I-X et XXI-XLV. Pour les autres, nous avons des résumés ou Periochae. Ces résumés sont très inégaux de développement et de précision. |
Il n’existe pas chez les grands historiens latins de relation de la guerre de Marius contre les Cimbres et les Teutons. Les livres LXVII et LXVIII de Tite-Live sont perdus. Nous avons conservé le résumé de ces deux livres : les Periochae. |
M. Aurelius Scaurus, legatus consulis, a Cimbris fuso exercitu captus
est, et cum in consilium ab his advocatus deterreret eos ne Alpes
transirent Italiam petituri, eo quod diceret Romanos vinci non posse, a
Boiorige, feroci iuvene, occisus est. Ab isdem hostibus Cn. Manlius cos.
et Q. Servilius Caepio procos. victi proelio castris quoque binis exuti
sunt, militum milia LXXX occisa, calonum et lixarum XL (secundum Antiatem)
apud Arausionem. Caepionis, cuius temeritate clades accepta erat, damnati
bona publicata sunt, primi post regem Tarquinium imperiumque ei abrogatum.
In triumpho C. Mari ductus ante currum eius Iugurtha cum duobus filiis et
in carcere necatus est. Periocha LXVIII M. Antonius praetor in Ciliciam maritimos praedones -id est piratas -
persecutus est. |
Periocha LXVII
M. Aurelius Scaurus, légat du consul, fut capturé par les Cimbres après
la mise en déroute de l'armée. Il fut convoqué devant une assemblée et
essaya de les empêcher de traverser les Alpes pour attaquer l'Italie en
leur disant que l'armée romaine ne pouvait être vaincue. Il fut tué par
Boiorix, un farouche jeune homme. Le consul Cneius Manlius et le proconsul
Quintus Servilius Caepion furent vaincus au combat et perdirent aussi
leurs deux camps. 80.000 soldats et 40.000 valets et vivandiers furent tués
(selon Antias) près d'Orange. Les biens de Caepio, cause du désastre par
sa témérité, furent confisqués après sa condamnation. Pour la première
fois depuis Tarquin, son titre de commandant en chef lui fut supprimé.
Lors du triomphe de Marius, Jugurtha et ses deux fils furent amenés
devant son char et Jugurtha fut tué en prison. Marius vint au Sénat vêtu
de son habit de triomphe, ce qui n'était jamais arrivé auparavant. Son
consulat fut prorogé pendant plusieurs années à cause de la crainte
provoquée par la guerre contre les Cimbres. Il fut nommé consul pour la
seconde et la troisième fois en son absence. Il obtint le quatrième
consulat par des moyens détournés. Periocha LXVIII
Le préteur M. Antonius poursuivit les brigands de la mer - cad les
pirates - en Cilicie.
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11.
Mais cette envie et cette haine, ces invectives contre Marius, furent
bientôt assoupies et dissipées par le danger qui, du côté du couchant,
vint menacer tout à coup l'Italie. Rome n'eut pas plutôt senti le besoin
qu'elle avait d'un général habile, et cherché des yeux quel était le
pilote qui pouvait la sauver dans une guerre qui s'élevait sur elle comme
une affreuse tempête, que voyant les citoyens des maisons les plus nobles
et les plus riches refuser de se mettre sur les rangs pour demander le
consulat, Marius, quoique absent, y fut nommé tout d'une voix[7]. À
peine on savait à Rome la prise de Jugurtha, qu'on y porta la nouvelle de
l'invasion des Teutons et des Cimbres. Tout ce qu'on rapportait du nombre
et de la force de leurs armées parut d'abord incroyable ; mais ce qu'on
disait se trouva bientôt au-dessous de la vérité. Ils étaient trois
cent mille combattants, tous bien armés, et ils traînaient à leur suite
une multitude beaucoup plus nombreuse de femmes et d'enfants, pour qui ils
cherchaient des terres capables de nourrir cette multitude immense, et des
villes où ils pussent s'établir ; car ils savaient qu'avant eux les
Celtes avaient conquis sur les Toscans la contrée la plus fertile de
l'Italie. Comme ces Barbares avaient peu de commerce avec les autres
peuples, et qu'ils habitaient des pays très éloignés, on ignorait à
quelles nations ils appartenaient, et de quelles contrées ils étaient
partis, pour venir, comme une nuée orageuse, fondre sur les Gaules et sur
l'Italie. Leur grande taille, leurs yeux noirs, et le nom de Cimbres, que
les Germains donnent aux brigands, faisaient seulement conjecturer qu'ils
étaient de ces peuples de la Germanie qui habitent sur les bords de
l'océan Septentrional ; d'autres disent que la Celtique, contrée vaste
et profonde, s'étend depuis la mer extérieure et les climats
septentrionaux, situés à l'est, jusqu'aux Palus Méotides, et touche à
la Scythie Pontique ; que ces deux nations voisines, s'étant unies
ensemble, sortirent de leur pays, non en même temps et par une seule
émigration ; mais que chaque année, au printemps, elles se mettaient en
campagne, et attaquaient les peuples qui se trouvaient sur leur passage.
Bientôt, par des conquêtes successives, elles s'étendirent dans tout le
continent ; et quoique chaque peuple eût un nom différent, on donnait à
toute leur armée celui de Celto-Scythes. Selon d'autres enfin, une
portion de ces Cimmériens, qui furent les premiers connus des anciens
Grecs, portion peu considérable eu égard à la nation entière, prit la
fuite, ou fut chassée de son pays par les Scythes, à la suite de quelque
sédition, et passa des Palus-Méotides dans l'Asie, sous la conduite de
Lygdamis. Les autres, qui formaient la partie la plus nombreuse et la plus
belliqueuse de la nation, habitaient aux extrémités de la terre, près
de l'océan Hyperboréen, dans un pays couvert partout de bois et d'ombres
épaisses, presque inaccessible aux rayons du soleil, qui ne peuvent
pénétrer dans ces forêts, si vastes et si profondes qu'elles vont se
joindre à la forêt Hercynie. Ils étaient placés sous cette partie du
ciel où l'inclinaison des cercles parallèles donne au pôle une telle
élévation, qu'il est presque le zénith de ces peuples, et que les jours
étant, dans leur plus, longue comme dans leur plus courte durée,
toujours en égalité avec les nuits, y partagent l'année en deux
portions égales : ce qui a fourni à Homère l'idée de sa fable des
enfers.
12. Voilà d'où partirent pour se rendre en Italie ces Barbares appelés d'abord Cimmériens, d'où leur vint ensuite vraisemblablement le nom de Cimbres. Au reste, ces faits sont plus fondés sur des conjectures que sur des preuves historiques ; mais la plupart des auteurs conviennent que leur nombre, loin d'être au-dessous de ce que nous avons dit, était encore beaucoup plus considérable. Leur courage et leur audace, leur force et leur vivacité dans les combats, étaient comparables à la violence et à l'impétuosité de la foudre ; rien ne pouvait leur résister, ni s'opposer à leur marche : tous les peuples, sur leur passage, étaient entraînés comme une proie facile. Plusieurs généraux romains, envoyés avec des armées puissantes pour commander dans la Gaule Cisalpine, avaient été honteusement enlevés ; et ce fut la lâcheté que ces chefs montrèrent contre les premières attaques de ces Barbares qui les enhardit à marcher vers Rome, encouragés par la facilité de leurs victoires sur tous les généraux qu'ils avaient eu à combattre, et par les richesses immenses qu'ils avaient amassées. Ils résolurent de ne s'établir nulle part, qu'ils n'eussent détruit Rome et ravagé toute l'Italie. Les Romains, à qui la nouvelle de cette résolution venait de toutes parts, appelèrent Marius à la conduite de cette guerre, et le nommèrent consul pour la seconde fois, quoiqu'il fût défendu d'élire quelqu'un qui serait absent, et qui n'aurait pas mis entre les deux consulats l'intervalle prescrit par la loi. Ceux qui voulurent s'opposer à son élection, en alléguant cette défense, furent repoussés par le peuple. « Ce n'était pas, disait-on, la première fois que la loi cédait à l'utilité publique, et le motif qui y faisait déroger en cette circonstance n'était pas moins pressant que celui qui avait déterminé leurs ancêtres à nommer, contre les lois, Scipion consul ; et lorsqu'ils l'avaient élu, ils n'avaient pas à craindre la ruine de leur ville ; ils ne voulaient que détruire Carthage. » Le peuple donc passa outre, et confirma sa nomination. 13. Marius, ayant ramené son armée d'Afrique, prit possession du consulat le premier jour de janvier, jour où commence l'année romaine ; il entra dans Rome en triomphe, et fit voir aux Romains un spectacle qu'ils avaient peine à croire : c'était Jugurtha captif. Personne n'aurait osé se flatter de voir finir cette guerre du vivant de ce prince, tant il savait se plier avec souplesse à toutes les variations de la fortune ! tant son courage était secondé par sa finesse ! On dit que pendant la marche du triomphe il perdit le sens, et que, la pompe finie, il fut conduit dans une prison où les licteurs, pressés d'avoir sa dépouille, déchirèrent sa robe, et lui arrachèrent les deux bouts des oreilles pour avoir les anneaux d'or qu'il y portait. Jeté nu dans un cachot, ayant l'esprit aliéné, il dit en souriant : « par Hercule, que vos étuves sont froides ! » Après avoir lutté six jours entiers contre la faim, en conservant toujours le désir et l'espérance de vivre, il trouva enfin, dans une mort misérable, la juste punition de ses forfaits. On porta, dit-on, dans ce triomphe, trois mille sept livres pesant d'or, cinq mille sept cent soixante-quinze d'argent, et dix-sept mille vingt-huit drachmes d'espèces monnayées. 14. Marius, après son triomphe, assembla le sénat ; et, soit distraction, soit abus insolent de sa fortune, il entra dans la salle avec sa robe de triomphateur ; mais, s'étant aperçu sur-le-champ de l'indignation de tout le sénat, il sortit ; et ayant remis sa robe prétexte, il revint prendre sa place. Quand il partit pour son expédition, il exerça ses troupes jusque dans leur marche ; il les accoutuma à faire toutes sortes de courses, et des traites fort longues ; il les obligea de porter leur bagage, et de préparer eux-mêmes leur nourriture : aussi, longtemps après, les soldats qui aimaient le travail, et exécutaient paisiblement et en silence tout ce qu'on leur ordonnait, étaient-ils appelés les mulets de Marius. D'autres, il est vrai, donnent une origine différente à ce proverbe ; ils disent qu'au siège de Numance, Scipion ayant voulu visiter non seulement les armes et les chevaux de ses soldats, mais encore leurs chariots et leurs mulets, pour voir si chacun les tenait en bon état et toujours prêts à servir, Marius amena son cheval qu'il pansait lui-même, et qui était très bien tenu, ainsi que son mulet, qui par son embonpoint, sa force et sa douceur, effaçait tous les autres mulets de l'armée. Le général, charmé de l'état où il voyait les bêtes de service de Marius et en ayant depuis souvent parlé, il passa en proverbe de dire, pour louer avec raillerie un homme laborieux, assidu et patient au travail, que c'était un mulet de Marius. 15. Il semble que dans cette occasion ce fut pour Marius une grande faveur de la fortune que les Barbares, par une sorte de reflux, aillent d'abord inonder l'Espagne : ce retard lui donna le temps d'exercer ses soldats, de leur inspirer du courage et de l'audace : et, ce qui était encore plus important, de leur apprendre à connaître leur général. Sa dureté dans le commandement, sa rigueur inflexible dans les punitions, une fois qu'ils eurent pris l'habitude d'obéir et de ne plus manquer à leur devoir, leur parurent également justes et salutaires. Quand ils eurent vécu quelque temps avec lui, ils virent que sa colère et ses emportements, l'âpreté de sa voix, l'air farouche de son visage, n'étaient plus redoutables pour eux, et ne le seraient que pour les ennemis. Mais rien ne les charmait tant que sa droiture dans les jugements. suite Chronologie de l'arrivée des Cimbres et des Teutons 115
Consuls de 105 à 101 105 Cn. Mallius Maximus et P. Rutilius Rufus 104 C. Flavius Fimbria et C. Marius 103 L. Aurelius Orestes et C. Marius 102 Q. Lutatius Catulus et C. Marius 101 M' Aquilius et C. Marius
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a,
prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par abnuo, is, ere, abnui : faire signe que non, refuser accio, is, ire, acciui, accitum : faire venir, mander (accitus, a, um : importé, d'origine étrangère) adversus, a, um : contraire (prép. + acc. = contre) advoco, as, are : convoquer, appeler alius, a, ud : autre, un autre ambio, is, ire, ii, itum : aller à l'entour, entourer, solliciter amitto, is, ere, misi, missum : perdre animus, i, m. : le coeur, la sympathie, le courage, l'esprit antea, adv. : auparavant arcesso, is, ere, ivi, itum : faire venir, mander (arcessitus, a, um : cherché, peu naturel) arrigo, is, ere, arrexi, arrectum : 1. dresser, hérisser 2. relever, exciter at, conj. : mais atque, conj. : et, et aussi audeo, es, ere, ausus sum : oser aut, conj. : ou, ou bien auxilium, ii, n. : l'aide, le secours (auxilia, orum : les troupes de secours) bellum, i, n. : la guerre capio, is, ere, cepi, captum : prendre causa, ae, f. : la cause, le motif; l'affaire judiciaire, le procès; + Gén. : pour ceterum, adv. : du reste cognosco, is, ere, novi, nitum : 1. apprendre à connaître, étudier ; pf. : savoir 2. reconnaître 3. instruire (une affaire) cogo, is, ere, egi, actum : 1. assembler, réunir, rassembler, 2. concentrer, condenser 3. pousser de force, forcer consuesco, is, ere, suevi, suetum : s'habituer consul, is, m. : le consul consulatus, us, m. : le consulat contio, onis, f. : la tribune, l'assemblée cum, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que cupientissimus, a, um : superlatif de cupiens, entis : désireux de, avide de de, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de decerno, is, ere, crevi, cretum : décréter, décider deinde, adv. : ensuite dico, is, ere, dixi, dictum : dire, appeler dictito, as, are : répéter dissero, is, ere, servi, sertum : exposer, disserter, raisonner dolens, dolentis : qui cause de la douleur domus, us, f. : la maison ea, 1. ABL. FEM. SING - NOM-ACC. N. PL. de is, ea, id (ce, cette, le, la...) 2. adv. : par cet endroit ei, DAT. SING ou NOM. M. PL. de is,ea,id : lui, à celui-ci, ce,... emereo, es, ere, ui, itum : 1. mériter, gagner 2. achever de remplir son service militaire eo, is, ire, ivi, itum : aller eos, acc. m. pl. de is,ea,id : les, ceux-ci, ces et, conj. : et. adv. aussi etiam, adv. : encore, en plus, aussi, même, bien plus ex, prép. : + Abl. : hors de, de exagito, as, are : agiter, critiquer, harceler, inquiéter facio, is, ere, feci, factum : faire fama, ae, f. : la nouvelle, la rumeur, la réputation ferox, ocis : sauvage, féroce fore, infinitif futur de esse fortissimus, a, um : superlatif de fortis : courageux, fort frustra, adv. : en vain habeo, es, ere, bui, bitum : avoir (en sa possession), tenir (se habere : se trouver, être), considérer comme hic, haec, hoc : adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci homo, minis, m. : l'homme, l'humain hortor, aris, ari : exhorter, engager à huiusce, = huius (génitif de hic, haec, hoc) iam, adv. : déjà, à l'instant ille, illa, illud : adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ... infestus, a, um : ennemi, hostile (+dat.) insto, as, are, stiti, staturus : 1. se tenir sur 2. presser, insister 3. être sur le point de, être imminent 4. s'appliquer sans relâche à qqch. interim, adv. : pendant ce temps, entre-temps invado, is, ere, vasi, vasum : 1. faire invasion, se jeter sur 2. assaillir, attaquer 3. saisir iubeo, es, ere, iussi, iussum : 1. inviter à, engager à 2. ordonner laedo, is, ere, si, sum : 1. blesser, endommager 2. Outrager, offenser , nuire à laetus, a, um : 1. joyeux 2. agréable 3. favorable 4. plaisant 5. riche, abondant Latium, ii, n. : le Latium legio, onis, f. : la légion libido, dinis, f. : le désir, l'envie, la débauche locuples, etis : riche magnificus, a, um : 1. qui fait de grandes dépenses, fastueux 2. somptueux, grandiose 3. sublime , pompeux (style) Marius, i, m. : Marius miles, itis, m. : le soldat militia, ae, f. : l'armée, le service militaire modo, adv. : seulement ; naguère, il y a peu (modo... modo... tantôt... tantôt...) modus, i, m. : la mesure, la limite, la manière multus, a, um : en grand nombre (surtout au pl. : nombreux) : ici acharné (Gaffiot) nam, conj. : de fait, voyons, car negotium, ii, n. : l'affaire, la mission neque, adv. : et ne pas nobilitas, atis, f. : la réputation, la noblesse non, neg. : ne...pas Numidia, ae, f. : la Numidie omnis, e : tout opus, operis, n. : le travail (opus est mihi = j'ai besoin) oratio, onis, f. : le langage, la parole, l'exposé, le discours pauci, ae, a : pl. peu de paulum, adv. : un peu plebs, plebis, f. : la plèbe plerique, aeque, aque : la plupart populus, i, m. : le peuple postquam, conj. : après que postulo, as, are : demander, réclamer praeda, ae, f. : le butin, les dépouilles, la proie praeterea, inv. : en outre primus, a, um : premier pro, prép. : + Abl. : devant, pour, à la place de, en considération de proficiscor, eris, i, fectus sum : partir provincia, ae, f. : la province puto, as, are : 1. élaguer, émonder, apurer 2. supputer 3. estimer, penser, croire 4. supposer quae, 4 possibilités : 1. N.F.S. N.F.PL. N.N.PL., ACC. N. PL. du relatif = qui, que (ce que, ce qui) 2. idem de l'interrogatif : quel? qui? que? 3. faux relatif = et ea - et eae 4. après si, nisi, ne, num = aliquae quamquam, quanquam + ind. : bien que quia, conj. : parce que quisque, quaeque, quidque : chaque, chacun, chaque chose redeo, is, ire, ii, itum : revenir res, rei, f. : la chose, l'événement, la circonstance, l'affaire judiciaire; les biens rex, regis, m. : le roi scribo, is, ere, scripsi, scriptum : 1. tracer, écrire 2. mettre par écrit 3. rédiger 4. inscrire, enrôler se, pron. réfl. : se, soi secum, = cum se : avec soi sed, conj. : mais senatus, us, m. : le sénat sese, pron. : = se simul, inv. : adv. en même temps, conj : dès que singuli, ae, a : pl. chacun en particulier, chacun un socius, a, um : associé, en commun, allié (socius, ii : l'associé, l'allié) spero, as, are : espérer spolium, i, n. : la dépouille, le butin stipendium, ii, n. : 1. l'impôt 2. la solde militaire 3. (au pl.) le service militaire studium, ii, n. : 1. le zèle, l'ardeur 2. l'affection, l'attachement 3. l'intérêt, la passion, l'étude sum, es, esse, fui : être supplementum, i, n. : le supplément, le complément supra, adv : au dessus ; prép. + acc. : au dessus de, au delà de suus, a, um : adj. : son; pronom : le sien, le leur tantus, a, um : si grand ; -... ut : si grand... que traho, is, ere, traxi, tractum : 1. tirer 2. solliciter, attirer 3. traîner 4. extraire 5. allonger, prolonger 6. différer, retarder tum, adv. : alors ullus, a, um : un seul ; remplace nullus dans une tournure négative universus, a, um : tout entier usus, us, m. : l'usage, l'utilité ut, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que uti, = ut vero, inv. : mais victor, oris, m. : le vainqueur vinco, is, ere, vici, victum : vaincre volo, vis, velle : vouloir vulgus, i, n. : la foule, le commun des hommes (in vulgus : dans la foule, dans le public) |
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