Caius Gracchus

121

Assasiné comme son frère

VELLEIUS PATERCULUS : Velleius Paterculus fut préfet de cavalerie de Tibère. Il écrivit une Histoire romaine allant du retour de Troie au règne de Tibère.

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Velleius Paterculus n'est pas tendre pour Caius mais il n'accepte pas son assassinat parce que c'est l'assassinat d'un citoyen romain.

Hunc L. Opimius consul, qui praetor Fregellas exciderat, persecutus armis, unaque Fulvium Flaccum, consularem, ac triumphalem virum, aeque prava cupientem quem C. Gracchus in locum Tiberii fratris triumvirum nominaverat, eumdem socium regalis adsumpserat potentiae, morte afficit. Id unum nefarie ab Opimio proditum, quod capitis, non dicam Gracchi, sed civis Romani, pretium se daturum, idque auro repensurum proposuit. Flaccus in Aventino armatos ad pugnam ciens, cum filio maiore iugulatus est. Gracchus profugiens, cum iam comprehenderetur ab iis, quos Opimius miserat, cervicem Euporo servo praebuit, qui non segnius se ipse interemit, quam domino succurrerat. Quo die, singularis Pomponii, equitis Romani, in Gracchum fides fuit, qui more Coclitis, sustentatis in ponte hostibus, gladio se transfixit. Ut Tiberii Gracchi antea corpus, ita Gaii, mira crudelitate victorum, in Tiberim deiectum est.

VELLEIUS PATERCULUS, Histoire romaine, II,VI

  vocabulaire

Le consul Lucius Opimius, qui avait anéanti Frégelles lorsqu'il était préteur, le poursuivit en armes et le tua avec Fulvius Flaccus, ancien consul qui avait obtenu le triomphe et qui souhaitait les mêmes bouleversements. C. Gracchus l'avait nommé triumvir à la place de son frère Tibérius et il se l'était adjoint comme allié pour obtenir un pouvoir royal. Une chose abominable fut commise par Opimius : il proposa de donner une récompense et de la payer en or pour, je ne dirai pas, la tête de Gracchus mais celle d'un citoyen romain. Sur l'Aventin, Flaccus poussait au combat des gens en armes : il fut égorgé avec son fils aîné. Gracchus qui s'enfuyait, sur le point d'être attrapé par ceux qu'Opimius avait envoyé, présenta sa gorge à l'esclave Europus. Il se tua lui-même avec non moins d'énergie qu'il était venu en aide à son maître. Ce jour-là, on vit la loyauté remarquable de Pomponius, un chevalier romain, qui à la façon de Coclès, retenait les ennemis sur un pont puis se transperça de son glaive. Comme auparavant le corps de Tiberius Gracchus, celui de Caius fut jeté dans le Tibre avec une cruauté remarquable.

VELLEIUS PATERCULUS, Histoire romaine, II,VI.

 

 

 

Plutarque, vies parallèles

27 - 32

32.  Il rentra alors à Rome parce qu'il avait appris comment Drusus attaquait Fulvius et qu'il voyait que la conjoncture actuelle ne souffrait pas qu’il soit absent de la ville. Car Lucius Opimius, allié à la noblesse qui avait une grande autorité au sénat et qui avait autrefois essayé d’être consul mais avait échoué à cause de l’appui qu’avait donné Caius à Fulvius pour son élection devint consul à son tour. Il était soutenu par beaucoup de gens. On croyait que s’il devenait consul il ruinerait complètement Caius dont la puissance était déjà en baisse. Le peuple était moins porté à donner son appui à ses actes politiques comme il le faisait auparavant parce qu'il y en avait beaucoup d’autres qui chaque jour trouvaient de nouveaux moyens pour le satisfaire et le Sénat donnait volontiers son aval.

33. Après son retour à Rome, il quitta sa maison du mont Palatin pour aller vivre près du Forum.  Il essayait de se rendre plus populaire en vivant dans cette partie de la ville où vivaient la plupart des citoyens les plus humbles et les plus pauvres. Il exposa alors le reste de ses propositions de lois en espérant les faire ratifier par le peuple. Un grand nombre de personnes vinrent le soutenir. Mais le sénat persuada le consul Fannius de faire quitter la ville à tous ceux qui n’étaient pas Romains de souche. Il y eut à Rome une proclamation inaccoutumée qui interdisait aux alliés et aux confédérés de rester à Rome pendant les votes. Mais Caius fit un édit accusant le consul pour ce qu'il avait fait et disant qu’il prendrait la défense des alliés : s’ils restaient à Rome ils pouvaient être assurés de son aide et de sa protection. Cependant ses actes ne furent pas à la hauteur de ses paroles : bien qu'il ait vu un de ses propres amis, un familier, mené en prison par les licteurs de Fannius, il passa à côté de lui sans l'aider soit parce qu'il avait peur de tester sa puissance qui était déjà amoindrie, soit parce que, comme il l’a raconté lui-même, il était peu disposé à donner à ses ennemis l’occasion qu'ils désiraient d’en arriver à la violence et à de véritables combats. A ce moment se produisit un différent entre un de ses collègues et lui sur ce qui suit. Il devait y avoir un combat de gladiateurs sur le Forum. La plupart des magistrats firent ériger des estrades avec l'intention de les louer à leur avantage. Caius ordonna d’abattre ces estrades pour que les pauvres puissent voir le spectacle sans devoir payer quelque chose. Mais comme personne n’obéissait à ses ordres, il prit avec lui tous les ouvriers qui travaillaient pour lui et renversa toutes les estrades la nuit avant le spectacle. De sorte que le matin suivant le Forum était dégagé et la plèbe eut l’occasion d’assister au spectacle. En cela le peuple le considéra comme un homme mais il contraria ses collègues tribuns qui considérèrent cela comme une intervention violente et présomptueuse.  

On croit que c’est la principale la raison de son échec à son troisième tribunat : il eut la majorité des voix; mais ses collègues par vengeance manipulèrent les résultats. Mais dans ce cas-ci il y a polémique. Ce qui est certain c’est qu’il supporta mal cet échec et devint d’une arrogance inhabituelle envers ceux de ses adversaires qui se réjouissaient de sa défaite. Il leur disait qu’ils avaient un sourire sardonique mais qu’ils ne savaient pas que ses lois les avaient envoyés dans l’obscurité.

34. Dès qu'il fut nommé consul Opimius abrogea immédiatement plusieurs des lois de Caius et principalement il remit en question la colonie de Carthage. Il faisait tout ce qui était susceptible de l'irriter en espérant que l’effet de sa colère donnerait le prétexte valable de le mettre à la mort. Caius d'abord supporta ces choses avec beaucoup de patience mais ensuite, à l'instigation de ses amis et particulièrement de Fulvius, il résolut de prendre la tête de ses partisans pour s'opposer au consul par la force. On dit aussi qu’à cette occasion sa mère Cornélie s’associa à sa sédition et lui vint en aide en envoyant secrètement des étrangers dans Rome sous prétexte qu’ils venaient comme moissonneurs. On retrouve certains indices de cela dans ses lettres. Cependant d’autres affirment avec force que Cornélie n’approuvait pas les actions de Caius. Quand arriva le jour où Opimius avait décidé d’abroger les lois de Caius, les deux partis se réunirent très tôt au Capitole. Le consul fit les sacrifices habituels. Un certain Quintus Antyllius licteur du consul qui emportait les entrailles de la victime dit à Fulvius et à ses amis qui l’entouraient : "Vous les citoyens factieux, laissez passer les gens honnêtes". Certains rapportent qu’en plus de ces paroles provocantes il étendit son bras nu vers eux en signe de dédain et de mépris. Aussitôt il fut tué avec de solides stylets qui sont généralement employés pour écrire bien que certains indiquent qu'ils avaient été fabriqués uniquement à cette fin. Ce meurtre causa un soudaine consternation dans l'assemblée entière et les chefs de chaque faction réagirent différemment. Caius en fut fort affligé et réprimanda sévèrement ses propres partisans parce qu'ils donnaient à leurs adversaires pour les attaquer le bon prétexte qu’ils recherchaient depuis longtemps. Opimius saisit immédiatement la chance qui lui était offerte. En jubilant il invita le peuple à se venger mais à ce moment il se mit à pleuvoir ce qui mit un terme aux troubles de ce jour-là.

35. Tôt le matin suivant le consul rassembla le sénat et tandis qu'il discutait avec les sénateurs dans le sénat, on étendit le cadavre d'Antyllius sur un brancard et on le promena à travers le Forum exposé à la vue de tous jusqu’au sénat au milieu des pleurs et des lamentations. Opimius savait ce qui se passait.  Cependant il parut étonné et demanda la signification de tout cela. Les sénateurs sortirent alors pour se renseigner et s’approchèrent du cadavre en poussant des exclamations contre cet acte inhumain et barbare. Mais le peuple au contraire avait du ressentiment et de la haine pour les sénateurs en se rappelant comment ceux-ci avaient non seulement assassiné de leurs mains Tiberius Gracchus pendant son tribunat sur ce même Capitole mais avaient également jeté son corps mutilé dans le fleuve. Et maintenant ils voulaient par leur présence et leurs lamentations honorer dans le forum le cadavre d'un licteur qui, bien qu'il ait été tué à tort, en était cependant dans une grande mesure responsable. En faisant cela ils espéraient détruire le seul défenseur et sauveur qui restait au peuple.

Au bout d’un moment les sénateurs se retirèrent et décidèrent par vote de donner au consul Opimius des pouvoirs extraordinaires pour protéger l’Etat et supprimer tous les tyrans. Le décret pris, Opimius commanda aux sénateurs de s'armer et aux chevaliers romains de venir très tôt le matin suivant avec deux esclaves bien armés. Fulvius, de son côté, se prépara et rassembla le peuple. Caius à ce moment-là revenant du Forum s’arrêta devant la statue de son père et la fixa pendant un certain temps dans une profonde contemplation. Il se lamenta longtemps, il versa des larmes et repartit. Ceci fit une grande impression sur ceux qui le virent et ils se mirent à se reprocher d’avoir abandonné et trahi un homme si remarquable que Caius. Ils se rendirent donc directement à sa maison et montèrent la garde toute la nuit. Fulvius fut gardé d’une façon différente : ses gardes passèrent la nuit à crier et à boire et Fulvius lui-même fut le premier à être ivre. Il parla et fit beaucoup de choses peu seyantes pour un homme de son âge et son caractère. Ceux qui gardaient Caius restaient silencieux et appliqués, se reposaient chacun leur tour et essayaient de prévoir quelle allait être l’issue de tout cela. Dès que le jour parut on vit que Fulvius n'avait pas encore dormi et était toujours ivre. On prit les armes accrochées dans sa maison, armes prises autrefois aux Gaulois lorsqu’il était consul. Alors avec des menaces et des acclamations ils se dirigèrent vers l’Aventin.

36. On ne put persuader Caius de s’armer. Il mit sa toge comme s’il allait à l’assemblée du peuple avec la seule différence qu’il portait au côté un poignard court. Quand il sortit son épouse vint en courant devant la porte et le retint d'une main tandis que l’autre tenait son enfant en bas âge. Elle lui dit : "Hélas, Caius, je ne me sépare pas maintenant de toi pour te laisser t’adresser au peuple comme tribun ou législateur ni comme si tu partais pour une guerre honorable durant laquelle tu pourrais, si tu rencontrais le destin fatal qui peut arriver à tout le monde à n’importe quelle heure, me laisser un apaisement à ma douleur et respecter mon deuil. Non, tu vas t’attaquer aux meurtriers de Tibérius, sans arme, en choisissant plutôt de souffrir les pires dommages que d’agir par toi-même. Même ta mort ne sera pas utile à l’état. La discorde règne; la puissance et les armes sont maintenant les seuls étalons de la justice. Si ton frère était tombé à Numance, l'ennemi aurait rendu les restes de Tibérius. Mon destin me destine probablement à ce que je supplie humblement les inondations ou les vagues pour qu’elles me rendent tes restes. Puisqu’on n’a pas épargné Tibérius, quelle confiance peux-tu avoir dans les lois ou dans les dieux?" Malgré les pleurs de Licinia, Caius se détacha lentement de ses baisers et se retira silencieusement accompagné de ses amis. Elle essaya de le retenir par la toge et tombant sur le sol elle resta pendant un certain temps sans voix. Ses esclaves la relevèrent inanimée et la transportèrent chez son frère Crassus.

37. Quand le peuple fut rassemblé Fulvius, sur le conseil de Caius, envoya son plus jeune fils sur le forum avec une baguette de héraut à la main. C’était un très beau jeune homme. Il s’adressa aux sénateurs avec modestie, les larmes aux yeux et plein de timidité. Il fit des propositions de paix au consul et au sénat entier. La majorité de l'assemblée inclinait à accepter les propositions mais Opimius déclara qu’il ne fallait pas, pour convaincre le Sénat, envoyer des messagers mais qu’il fallait se rendre à la discrétion des lois, comme des citoyens fidèles, et essayer de mériter leur pardon en se soumettant. Il ordonna au jeune homme de ne plus revenir à moins que les conditions soient acceptées. Caius, à ce qu’on raconte, voulut aller discuter avec le sénat mais aucun de ses amis n’y consentit. Fulvius envoya son fils une deuxième fois avec les mêmes propositions. Mais Opimius résolu au combat fit arrêter le jeune homme et le mit sous bonne garde. Ensuite avec des fantassins et des archers crétois il marcha contre Fulvius. Ces archers par leurs tirs infligèrent tant de blessures qu’il s’ensuivit une débâcle et une déroute rapides. Fulvius se sauva dans un bain public abandonné. Peu de temps après il fut retrouvé ainsi que son fils aîné et ils furent massacrés ensemble. On ne vit pas Caius utiliser de violence contre quelqu’un. Réprouvant tous ces excès il se retira dans le temple de Diane. Là il tenta de se tuer mais il en fut empêché par ses amis fidèles Pomponius et Licinius. Ils lui retirèrent son épée et le pressèrent à s’enfuir. On raconte qu’il s’agenouilla et leva les mains pour prier la déesse de laisser toujours en esclavage les Romains en punition de leur ingratitude et de leur trahison. Car dès la proclamation de l’amnistie la plupart des gens l’avaient abaondonné.

(suivant)

Caius Gracchus

- Commissaire pour les lois agraires 133
- Questeur en Sardaigne 126-4
- Tribun 123

mesures populaires
- loi frumentaire
- loi agraire
- loi militaire de recrutement (plus de soldats de moins de 17 ans)


mesures constitutionnelles
- pas d=autre charge pour un fonctionnaire démissionnaire
- cours populaires pour juger seulement des cas capitaux

affaires étrangères
- provinces nommées pour des consuls (soutien à l'aristocratie)
- jury de chevaliers sur la concussion (soutien aux chevaliers)
- contrats d'impôts à laisser à Rome
- droit latin aux alliés

effets des lois
- affaiblissement du pouvoir sénatorial
- augmentation de la puissance des chevaliers
- soutien populaire aux chefs des populares

réélection, tribun 122
- Cn. Fulvius Flaccus, cos 122
- C. Opimius cos 121
- lois impopulaires de citoyenneté (droit romain aux Italiens, droit latin aux alliés)
- Caius part deux mois à l=étranger (colonies de Carthage (Junonia)
- tribun rival: Drusus

121 non réélu
- émeute à l'assemblée pour abroger la colonie Junonia
- Senatus Consultum Ultimum
- Opimius utilise la force à Rome
- la mort de Caius sur le mont Aventin

 

 

 

ab, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
ac, conj. : et, et aussi
ad, prép. : + Acc. : vers, à, près de
adsumo, is, ere, sumpsi, sumptum : prendre pour soi, s'approprier, joindre
aeque, inv. : également
afficio, is, ere, feci, fectum : 1. pourvoir de 2. affecter, disposer 3. affaiblir (affectus, a, um : pourvu de, disposé, affaibli)
antea, adv. : auparavant
arma, orum, n. : les armes
armatus, a, um : en armes, armé
Aventinum, i, n. : Aventin
aurum, i, n. : l'or
C, = Caius, ii, m. : abréviation.
caput, itis, n. :1. la tête 2. l'extrémité 3. la personne 4. la vie, l'existence 5. la capitale
cervix, icis, f. (svt au pl.) : la nuque, l'encolure
cieo, es, eren civi, citum : mettre en mouvement, provoquer, produire, émettre des sons, pousser des cris
civis, is, m. : le citoyen
Cocles, itis, m. : Horatius Coclès
comprehendo, is, ere, prehendi, prehensum : saisir, prendre, comprendre
consul, is, m. : le consul
consularis, e : consulaire, ancien consul
corpus, oris, n. : le corps
crudelitas, atis, f. : la cruauté
cum, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que
cupio, is, ere, ii ou ivi, itum : désirer
deicio, is, ere, ieci, iectum : jeter à bas, précipiter; abattre, abaisser, chasser
dico, is, ere, dixi, dictum : dire, appeler
dies, ei, m. et f. : le jour
do, das, dare, dedi, datum : donner
dominus, i, m. : le maître
eques, itis, m. : le chevalier, le cavalier
Euporus, i, m. : Euporus
excindo, is, ere, cidi, cissum : briser, détruire, anéantir
fides, ei, f. : 1. la foi, la confiance 2. le crédit 3. la loyauté 4. la promesse, la parole donnée 5. la protection
filius, ii, m. : le fils
Flaccus, i, m. : Flaccus
frater, tris, m. : le frère
Fregellae, arum, f. : Frégelles (ville des Volsques)
Fulvius, i, m. : Fulvius
Gaius, i, m. : Gaius, Caius
gladius, i, m. : le glaive, l'épée
Gracchus, i, m. : Gracchus
hostis, is, m. : l'ennemi
iam, adv. : déjà, à l'instant
id, NOM-ACC N. SING. de is, ea, is : il, elle, le, la, ....
idem, eadem, idem : le (la) même
iis, DAT-ABL. PL.de is, ea, id : le, la, les, lui... ce,..
in, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre
interimo, is, ere, emi, emptum : supprimer, tuer
ipse, a, um : (moi, toi, lui,...) même
ita, adv. : ainsi, de cette manière ; ita... ut, ainsi que
iugulo, as, are : égorger, tuer
L, abrév. : Lucius
locus, i, m. : le lieu, l'endroit; la place, le rang; la situation
maior, oris : comparatif de magnus. plus grand. maiores, um : les ancêtres)
mirus, a, um : étonnant
mitto, is, ere, misi, missum : I. 1. envoyer 2. dédier 3. émettre 4. jeter, lancer II. laisser aller, congédier
mors, mortis, f. : la mort
mos, moris, m. : sing. : la coutume ; pl. : les moeurs
nefarius, a, um : abominable
nomino, as, are : nommer, donner un nom
non, neg. : ne...pas
Opimius, i, m. : Opimius
persequor, eris, i, persecutus sum : 1. suivre jusqu'au bout, poursuivre 2. s'attacher à
Pomponius, i, m. : Pomponius
pons, pontis, m. : le pont
potentia, ae, f. : la puissance
praebeo, es, ere, bui, bitum : fournir
praetor, oris, m. : le préteur
pravus, a, um : de travers, difforme, mauvais
pretium, ii, n. : le prix, la valeur, la récompense, le salaire
prodo, is, ere, didi, ditum : publier, trahir, transmettre
profugio, is, ere, profugi, profugitum : fuir, abandonner ; s'échapper
propono, is, ere, posui, positum : exposer, raconter, offrir
pugna, ae, f. : la bataille, le combat, le pugilat
quam, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien
quem, 4 possibilités : 1. acc. mas. sing. du pronom relatif = que 2. faux relatif = et eum 3. après si, nis, ne num = aliquem : quelque, quelqu'un 4. pronom ou adjectif interrogatif = qui?, que?, quel?
qui, 1. N.M. S., N. M. PL. du pronom relatif = qui 2. faux relatif = et is - et ei 3. NMS ou N.M.PL. de l'interrogatif = qui? quel? 4. après si, nisi, ne, num = aliqui 6. en quoi
quod, 1. pronom relatif nom. ou acc. neutre singulier : qui, que 2. faux relatif = et id 3. conjonction : parce que, le fait que 4. après si, nisi, ne, num = aliquod = quelque chose 5. pronom interrogatif nom. ou acc. neutre sing. = quel?
quos, 1. ACC. MASC. PL. du relatif. 2. Idem de l'interrogatif. 3. après si, nisi, ne, num = aliquos. 4. faux relatif = et eos
regalis, e : royal, de roi, digne d'un roi
rependo, is, ere, pendi, pensum : payer en échange
Romanus, a, um : Romain (Romanus, i, m. : le Romain)
se, pron. réfl. : se, soi
sed, conj. : mais
segnius, adv. : comparatif de segniter : avec lenteur, avec indolence
servus, i, m. : l'esclave
singularis, e : seul, personnel, particulier, unique, extraordinaire
socius, a, um : associé, en commun, allié (socius, ii : l'associé, l'allié)
succurro, is, ere, succurri, cursum : affronter, venir à l'esprit, courrir au secours
sum, es, esse, fui : être
sustento, as, are : soutenir, maintenir, conserver en bon état
Tiberis, is, m. : le Tibre
Tiberius, ii, m. : Tibérius
tiumphalis, e : qui a reçu le triomphe
transfigo, is, ere, fixi, fixum : transpercer
triumvir, i, m. : le triumvir, le commissaire
una, adv. : ensemble, en même temps
unus, a, um : un seul, un
ut, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que
victor, oris, m. : le vainqueur
vir, viri, m. : l'homme, le mari
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