ALLER A LA TABLE DES MATIERES DE PLATON PLATON République LIVRE 2 Oeuvre numérisée par Marc Szwajcer Autre traduction : Robert BaccouOeuvres de Platon Victor Cousin
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(01) Sur les diverses sortes de biens, voyez le Philèbe ainsi que l'argument. (02) Les anciens croyaient que les serpents se laissaient charmer et adoucir par les chants. Virgile, Eclog. VIII, v. 71. (03) Crésus. Cette fable est racontée différemment par Hérodote, I, 8. (04) Les Sept devant Thèbes, v. 577. (05) Les Sept devant Thèbes, v. 577-579. (06) Hésiode, Les œuvres et les jours, v. 230. (07) Hom., Odyss., XIX, 109. Le vers 110 des éditions est omis ici ainsi que dans Plutarque, ad Principem ineruditum. Edit. de Reiske, t. 9, p. 122. (08) Sur la vie de Musée et sur son fils Eumolpe, qui fonda les Mystères d'Éleusis, voyez Passow, Musœos, p. ai,/?r«?-fat., et Creuser, Symbolik, t. IV, p. 34a, sqq. (09) Hésiode, Les œuvres et les jours, v. a8a. (10) Les oeuvres et les jours, 285-90. (11) Iliade, IX, 493. (12) Voyez sur les livres de Musée et d'Orphée, Gesner, Prœf. ad Orph., p. 47; Fabricius Bibiioth. graec., t.1, p. 120, et Passow, Mus., p. 21 et 40. (13) Τελεταί (14) Voyez Heyne, t. III, p. 81, et Boeckh, Pindari, fragmenta, CCXXXII, p. 671. (15) Simonidis Fragmenta, CXXIII, édit. de Gaisford, t. I, p. 394. (16) C'est-à-dire : en apparence la vertu, en réalité la ruse. Archiloque avait fait une ou deux pièces de vers où le renard joue le rôle d'un personnage faux et rusé (Archilochi Fragmenta, XXXVI et XXXIX, Gaisford, t.1, p. 307 et 308; Anthologia Grœca de Jaoobs, t.1, p. 46, et Comment. in Anthol, t .1, p. 174). D'où le proverbe, le Renard d'Archiioque. (17) Bataille livrée près de Mégare par les Athéniens contre les Corinthiens, Olymp. 80, 4. Thucydide, I, 105 ; Diodore, XI, 79. (18) Voyez la critique très peu fondée qu'Aristote a faite de ce passage, Politiq. IV, 4, p. 146. Ed. de Schneider, et les justifications faciles qu'en ont donné Patricius, Discussiones peripateticœ, t. III, lib.8, p. 356, et Morgenstern, de Plat. Répub., p. 165. (19) Hésiode, Théogonie, v. 154 et sqq., v. 178 et sqq. (20) Allusion aux mystères d'Éleusis, où il fallait immoler un porc avant d'être initié. Voyez Aristophane, La Paix, v. 373 et seq. et les Acharniens, v. 747 et 764, ainsi que le Scholiaste. (21) Voyez le commencement de l'Euthyphron, t. Ier, p. 19-21. (22) Ceci n'est pas dans Homère, où c'est Jupiter lui-même qui enchaîne Junon, Iliade, XV, 18; mais Suidas, au mot Ἧρα, nous apprend que le mythe rapporté ici était dans Pindare, et qu'on le trouvait aussi dans une comédie d'Épicharme. (23) Iliade, I, 588. (24) Iliade, XXIV, v. 527, et seq. (25) Ibid., v. 530. (26) Ibid. v. 532. (27) On voit ici ordinairement une simple variante du vers célèbre de l'Iliade, XIX, 224 ; IV, 84. En ce cas, la variante est bien forte. (28) Iliade, IV,55. (29) Iliade, XX, 130. (30) Ces vers ïambiques sont probablement tirés de la tragédie de Niobé, qui est perdue. Voyez Wyttenbacb, sur Plutarque, t.1, p. 134 et seq. (31) Odyssée, XVII, 485. (32) Odyssée, IV, 364, sq. On croit que Platon fait aussi allusion à un drame satirique d'Eschyle, qui était intitulé Protée. (33) Thétis prit plusieurs formes pour échapper aux embrassements de son époux Pelée. Voyez Pindare, Ném. III, 60. Il était question des métamorphoses de Thétis dans le Ttroïle, drame satirique de Sophocle, Hésiode avait fait aussi, dit-on, un poème des noces de Thétis et de Pelée. (34) Vers tiré d'un drame satirique d'Inachus; que les critiques attribuent à Sophocle, à Eschyle ou à Euripide. Voyez Runhken adTimœum, p. 9, et Walkenaer, de Fragm. Eurip. (35) Iliade, II, 6. (36) Fragment d'une pièce perdue d'Eschyle, intitulée Psyckostasie. Voyez Wyttenbach, Select, princip. histor., p. 388. |
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