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PLATON

Timée

Oeuvre numérisée par Marc Szwajcer

texte grec

Oeuvres de Platon

Victor Cousin

 

 

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(01) De Locres en Italie, philosophe pythagoricien que Platon loue fréquemment dans ce dialogue et avec lequel il avait beaucoup vécu, à ce que dit Cicéron, de Finibus, V. 29; de Republ. I. 10. Le petit écrit sur l'âme du monde qui porte aujourd'hui le nom de Timée, est évidemment apocryphe. Voyez Gelder, Tim. Loc. Lugd. Batav. 1836.

(02) M. Van-Heusde suppose qu'il est ici question de Platon lui-même. Init. phil. plat., t. 3, p.233.

(03) République, liv. II.

(04) Ibid.

(05) Ibid.

(06) République  III.

(07) Ibid., V.

(08) Ibid.

(09) République, V.

(10) République, V.

(11) C'est-à-dire dans la classe des guerriers. République, III.

(12) Le scholiaste donne Hermocrate comme le général syracusain de ce nom, que loue Thucydide (VI, 72 ), et qui finit par être exilé (Id., VIII, 85), comme attaché au parti aristocratique. Est-ce dans cette circonstance qu'il était venu chercher l'hospitalité à Athènes, chez Critias?

(13) Celui dont il est fait mention si souvent dans Platon, et qui, égaré par l'orgueil de sa naissance et la haine de la démagogie, devint un des trente tyrans.

(14) Peut-être dans les Élégies à Critias dont parle Aristote, Rhetor. I, 15.

(15)  Fête athénienne qui durait trois jours, dont le dernier, appelé Curéotis, était consacré à l'inscription des enfants dans les différentes tribus.

(16) Hérodote, II.

(17) Pallas, Minerve.

(18)  Hérodote, II. 164. Diodore, I, 73. Strabon, XVII.

(19) Strabon, II. Proclus, p. 24.

(20) Petit. Legg. Att., p. 50.

(21) Il y a en grec, entre εἰκόνος et εἰκότας, un rapport verbal qui rend plus frappante la pensée de Platon, et qui est intraduisible en français.

(22)  Pour tout ce passage, voyez les notes de la fin du volume.

(23) Voyez plus bas, pag. 127 et 128.

(24)  Voyez les notes de la fin du volume.

(25) Les planètes.

(26) Les étoiles fixes.

(27) Une carte céleste.

(28) Il faut rapporter ceci à Linus, Musée et Orphée. Proclus, page 291-298.

(29) Les astres.

(30) Sur cette théorie des miroirs, voyez Schneider, Eclog. phys., t. II, p. 210. Voyez aussi le passage du Sophiste, p. 318 du t. 11.

(31) Contre Anaxagoras. Voyez le Phédon, t. 1er, p. 277.

(32) République, VII.

(33)  Les parties dont les syllabes se composent s'appelaient aussi éléments, τὰ στοιχεῖα.

(34) Le triangle rectangle isoscèle, et te triangle rectangle scalène.

(35) Pyramide à base triangulaire équilalérale.

(36) Octaèdre régulier à face triangulaire équilatérale.

(37) Icosaèdrc régulier.

(38) Le triangle scalène.

(39) Le dodécaèdre régulier, image de l'univers.

(40) Contre Démocrite, Diog. de Laërte, IX. 44. Cicer. Acad. IV. 17. De nat. deor. I. 24- De fin. I. 6.

(41) Parce que la terre est formée par des cubes, dont l'élément générateur est le triangle isocèle. L'élément commun des trois autres espèces est le scalène.

(42) Le triangle isocèle et le triangle scalène.

(43) Voyez, vers le commencement du dialogue, la distinction entre la nature du même et la nature du divers, et plus bas la cause de la variété.

(44) Aristote, de Sensu, § 88. Pline, H. N. XIX. 3, et Saumaise.

(45) Le basalte, d'après Lindau.

(46) Contre Anaxagoras, Diog. de Laerte, II, 8.

(47) Voyez le Philèbe et la République, l. IX.

(48) Page 145.

(49) Les conditions de la sensation et de la douleur sont très différentes : pour la sensation, il suffit de la rencontre de l'organe et de l'objet; quand cette rencontre existe, la sensation peut être extrêmement vive, sans que pour cela il y ait douleur. Pour la douleur, il faut de plus qu'il y ait violence faite à l'organe. Voilà pourquoi les sensations les plus vives de la vue, quand elles sont tellement instantanées qu'elles ne font pas violence à l'organe, n'entraînent pas nécessairement la douleur.

(50) Opinion qui paraît empruntée à Alcméon ( Théoph. de causis plantarum, VI, § 25 : Plutarch. de placitis philos. IV, 16 ) et à Diogène d'Apollonie (Plutarch., ibid.).

(51)  Page 145.

(52) Le monde.

(53) Voyez l'Alcibiade et le Charmide.

(54) La partie de la moelle qui doit renfermer l'intelligence a le nom de cerveau, d'encéphale, ἐγκέφαλον, parce qu'elle est enfermée dans la tête, qui s'appelle κεφαλή. Le français ne peut reproduire ce rapprochement de mots et d'idées. Sur le fond de cette doctrine, voyez Aristote, qui met l'âme dans le cœur et non dans la tête, De partibus animalium, c. 7, ainsi que Galien, De usu partium, c. 8.

(55) Voyez ici les observations de Galien, De placitis Hippoc. et Platon. VI.

(56) Ce filet est le poumon; les deux bourses sont l'œsophage et la trachée-artère, laquelle se divise près du poumon en deux rameaux ou bronches.

(57) Par la trachée-artère et les veines du poumon

(58) Par l'œsophage.

(59) Le poumon.

(60) De l'air, c'est-à-dire du filet, qui est aussi composé d'air.

(61) Sur cette théorie de la respiration, voyez les critiques d'Aristote, De partib, animal. III, 6.

(62) Voyez encore Aristote, De respiratione, 5 ; et Galien, De placitis Hippoc. et Plat. VIII, 8.

(63) C'est ici le passage célèbre d'où Stalbaum conjecture que Platon connaissait la loi universelle de l'attraction et de la répulsion. Voyez le commentaire de Plutarque, Quaest. Platon. VI. Voyez aussi dans Alexandre d'Aphrodise, Quaest, natur. II, 23, l'opinion d'Empédocle et celle de Démocrite; enfin Galien, De nat. facult. I, 14.

(64) Voyez, sur l'aimant, le passage classique de l'Ion.

(65) Apulée, Apol. de la magie, cite ce passage. Il parait que l'opinion ici exprimée par Platon était celle d'Alcméon (Plutarque, De Placit. philos., V, 30) et d'Hippodame, dont Galien rapporte un fragment ( Galien, De dogm., Hippoc. et Plat. VIII, et De divers, morb. I ).

(66) Galien, De dogm. Hippoc. et Plat.

(67) Tension des nerfs en général.

(68) Tension des nerfs du dos, de ces nerfs qui, suivant Galien (De l'usage de la respiration), partent du cou et du dos pour aboutir au poumon, au diaphragme, etc.

(69) Parce que son siège est la tête, qu'habité la partie divine de l'âme.

(70) L'épilepsie.

(71) Voyez sur cette maxime platonicienne le Protagoras et la République, liv. IX.

(72) La tête, la poitrine et le ventre.

(73) La matière primitive.

(74) Sur ces trois sortes d'exercices et de mouvements, voyez les Lois, I. VII. Celsus, IV, 5 : Utilis exercitatio,gestatio, navigatio, frictio.

(75) Hippoc. Aphor. II, 9.

(76) Cette partie de la doctrine platonicienne a été reprise et développée par le stoïcisme. Voyez Marc-Aurèle, V, 27. Ed. Gataker..

(77) Celte opinion du sperme venant du cerveau semble empruntée à Alcméon, Aristote, De générat. anim., III, 2 ; De hist. anim.,VII, 1. Voyez quelle était aussi 'l'opinion d'Empédocle, Arist., De gen. an.,l, 8; Galien, De semine, II, 3, 10, etc.

(78) Le système du germe, comme renfermant déjà l'animal entier, était répandu dans l'antiquité. Voyez, par exemple, Sénèque, Quaest. natur., III, 29. In semine omnis futuri hominis ratio comprehensa est; saint Augustin, De civitat. Dei, XXII, 14. Ipsa jam membra omnia sunt latenter in semine.