APPENDICE - INDEX - TABLE DES MATIERES
LA MÉTAPHYSIQUE D’ARISTOTE.
APPENDICE - INDEX - TABLE DES MATIERES
APPENDICE. ────────── Nous profitons avec empressement de diverses observations qui nous ont été faites à l'occasion du premier volume de ce travail, pour rétablir quelques faits que nous avions mal présentés, ou sur lesquels nous avions été induits en erreur. C'est à tort que nous avons attribué à M. Cousin Introd., p. VII, en note, le rapport sur le concours où fut couronné l'ouvrage de M. Barthélémy Saint-Hilaire, De la Logique d'Aristote, etc. ; c'est M. Damiron, notre ancien et digne maître, qui a été, dans cette circonstance, l'organe de la section de philosophie. À ces mots : La légitimité des conclusions de l'effet à la cause n'a jamais été mise en doute dans l'antiquité, qu'on lit dans notre Introduction, p. LXXXIV, en note, il faut ajouter, pour être dans le vrai : avant Aristote, et jusqu'à Ænésidème. En effet, la gloire de ce fameux sceptique c'est précisément d'avoir inventé, il y a tantôt deux mille ans, cette argumentation sur la causalité, à laquelle Hume devait donner depuis tant d'éclat. Et à propos d'Ænésidème nous renverrons le lecteur à la belle thèse, ou plutôt au bel ouvrage que vient de consacrer à ce philosophe, M. Emile Saisset, un des élèves les plus distingués de notre École normale. Nous avons oublié, en citant d'après Néander cette phrase élégante : « Tamdiu discendum est, quamdiu nescias, et, si proverbio credimus, quam diu vivas, » t.1, p. 257, d'ajouter que cette phrase était de Sénèque, et que Néander, comme il l'indique lui-même, et comme Sturtz le note formellement, à sa page 495, n'avait fait que la lui emprunter. Voyez Sénèque, lettre 76e, p. 266, Schweighœuser. Nous avons reconnu par nous-mêmes que notre découverte à propos du prétendu vers d'Homère sur Hector, t.1, p. 260, n'était rien moins qu'une découverte. Trendelenburg l'avait faite avant nous, dans son commentaire sur le De Anima, à propos d'un passage de ce traité, liv. I. 2, où Aristote commet la même erreur que dans la Métaphysique, et attribue à Hector ce qu'Homère ne dit que du seul Epéus. Dans cette phrase au sujet d'un vers d'Empédocle : La correction est incomplète : il faut ajouter τ' ou γ', ut legibus consulatur, comme dit Sturtz, nous avons omis par inadvertance un mot sans lequel la citation n'a presque plus aucun sens. Nous devions transcrire : ut versus legibus consulatur, comme a réellement écrit Sturtz. Enfin les amateurs verront ici, nous en sommes sûrs, avec un véritable plaisir, quelques observations philologiques qui nous ont été adressées par M. Boissonnade. Nous demandons au célèbre helléniste la permission de reproduire les termes mêmes de sa lettre, dans ce qu'elle a de purement scientifique. « Dans les vers d'Empédocle, p. 158, ὅσσον ἀλλοῖοι μετέφυν… vous remarquez que la correction ὅσσον pour ὅσον est incomplète ; qu'il faut suppléer une particule, τ' ou γ' ; vous ajoutez que ὅσον peut rester, le vers n'ayant pas été cité tout entier. Cette opinion a peu de vraisemblance. C'est ὅσσον τ' ou ὅσσον δ' que le poète a probablement écrit. Ὅσσον même, ὅσσον ἀλλοῖοι pourrait à la rigueur commencer un vers dactylique. Car la lettre ny peut se prononcer avec un redoublement, une sorte de prolongement qui rend la syllabe longue. Les mots συνεχές, συνεχέως, σύνευνος, ont la première longue dans Homère, Callimaque, Nicandre, dans l'Anthologie. Homère a fait longue la syllabe μιν devant une voyelle. Théocrite fait ce choriambe σὺν ὀλίγῳ. Et dans Manéthon σύν est long : Ἄρης σὺν ἡελίῳ. Euripide a ce vers anapestique dans les Héraclides (611) : Εὐτυχίᾳ παρά δ' ἄλλον ἄλλα. La correction ἄλλον γ' est maintenant rejetée ; ἄλλον est un spondée. On prononçait ἄλλον νάλλα. Cet particule γ' était une véritable cheville. Αἶαν commence dans l'Iliade Ψ, le vers 493 : Αἶαν τ' Ἰδομενεῦ τε. On y avait mis aussi une cheville, Αἶαν τ' Ἰδομενεῦ τε. Je pourrais vous montrer le le même prolongement dans d'autres liquides. Mais sans aller plus loin, vous voyez que ὅσσον pourra légitimement être pris pour un spondée. On prononcera ὅσσον ναλλοῖοι… « Dans les vers de Parménide, p. 259, Ὡς γὰρ ἕκαστος ἔχει κρᾶσιν… Vous dites que πᾶς τις; se trouve chez les meilleurs prosateurs ; ajoutez : et chez les meilleurs poètes, Pindare, par exemple, Sophocle, Euripide, Eschyle, Théognis. Votre explication de παντί dans le sens de ἑκάστῳ est bien plausible. Πᾶσιν καὶ παντί, πᾶσιν καὶ ἑκάστῳ reviendra à notre gallicisme suranné : à tous et un chacun. Les Grecs disaient anssi εἷς ἕκαστος, πᾶσιν καὶ ἑκάστῳ. Sophocle a mis πᾶς dans le sens de ἕκαστος, en ce vers de l'Œdipe à Colone (599) : Οὐ δῆτ' ἐπεὶ πᾶς τοῦτό γ' Ἑλλήνων θροεῖ. FIN DU TOME DEUXIÈME ET DERNIER. INDEX HISTORIQUE DE LA MÉTAPHYSIQUE D’ARISTOTE. Alcméon de Crotone, t.1, p. 26. Anaxagore de Clazomène, t.1, p. 16,18, 20,33, 34, 39, 40, 47,123, 129, 131, 143 ; t. II, p. 140,174, 205, 218, 238, 259, 309. Anaximandre, t. Il, p. 205. Anaximène, t. I, p. 15. Antisthène, t. I, p. 204. Ecole d’Antisthène, t. II, p. 74. Aristippe [l’ancien], t. I, p. 73, 253. Archytas, t. II, p. 71. Callippe, t. II, p. 229. Cratyle, t. I, p. 30, 133. Démocrite, t.1, p. 22, 129, 131 ; t. II, p. 51, 68, 206, 285. Diogène [d’Apollonie], t. I, p. 15. Empédocle, t. I, p. 15,16, 20, 21, 33, 34, 38, 56, 70, 81, 89, 90, 91,93, 131 ; t. II, p. 205, 219, 237, 309. Epicharme, t. I, p. 132 ; t. Il, p. 284. Eudoxe, t. I, p. 47 ; t. II, p. 227, 229, 259. Eurytus, t. II, p. 314. Heraclite d’Éphèse, t. I,p. 15, 30, 115, 133,143 ; t. II, p. 169, 174, 189, 254. Hermotisie de Clazomène, t. I, p. 18. Hésiode, t. I, p. 19, 38, 88. Hippase de Métaponte, t.1, p. 15. Hippon, t.1, p. 15. Homère, t. I, p. 132 ; t. II, p. 240, citation d’un vers de l’Iliade. Homérides (les), t. II, p. 318. 378 Italique (École), t. I, p. 28,30, 34. Leucippe, t.1, p. 22 ; t. II, p. 218, 219. Lycophron. t. II, p. 83. Mages (les), t. II, p. 309. Mégarique (École), t. II, p. 91. Mélissus, t. I, p. 27, 28. Parménide, t. I, p. 17, 19, 27, 28, 94, 131 ; t. II, p. 297. Pason, t. II, p. 107. Phérécyde, t. Il, p. 309. Phrynis, t. I, p. 59. Physiciens (les [φυσιόλγοι, φυσικοί, l’École Ionienne]), t. I, p. 27, 41, 52, 113, 195 ; t. II, p. 170, 189, 217, 239. Platon, t. I, p. 30, 34, 42, 70, 93, 135 ; t. H, p. 8, 12», 179, 208, 218 ; le Phédon est cité, t. 1, p. 48 ; t. II, p. 260. Aristote fait perpétuellement allusion à Platon et à son école ; mais nous ne notons ici que les passages où il y a une indication nominale. Polus, t. I, p. 3. Protagoras, t. I, p. 123,128 ; t. It, p. 93, 124, 170. Pythagore, t. I, p. 26. Pythagoriciens, t. I, p. 23, 23, 26, 29, 31, 32, 4l, 42, 70, 93 ; t. II, p. 40, 125, 223, et passim dans les deux derniers livres. Simonide, t. I, p. 10 ; t. II, p. 306. Socrate, t. I, p. 30 ; t. Il, p. 254. Socrate le jeune, t. Il, p. 41. Speusippe, t. Il, p. 5, 223. Théologiens ( les [ οἱ θεολογήσαντες, οἱ θεόλογοι, Orphée, Musée, les anciens poètes religieux]), t. I, p. 14, 88 ; t. II, p. 239. Timothée, t.1, p. 58. Xénocrate, t. Il, p. 263. Xénophane, t.1, p. 27, 28, 132. Zenon d’Élée, t.1, p. 95. ____________________
TABLE DES MATIÈRES. TOME PREMIER. INTRODUCTION. Observations préliminaires. I Objet de la Métaphysique. XI Me’thode d’Aristote. XIII La Philosophie première est, selon Aristote, la science des premiers principes. XXIII Histoire de la Philosophie première avant Aristote. XXVIII Limites de la science de l’être. XLIV Valeur et autorité du principe de contradiction. L ONTOLOGIE. LXI THÉOLOGIE. LXXIX De l’authenticité de la Métaphysique d’Aristote. XCII Recherches sur le véritable inventeur de l’expression Μετὰ τὰ Φυσικά C De la composition de la Métaphysique. CIII De l’authenticité des divers livres de la Métaphysique. CXIII De l’ordre des livres de la Métaphysique. CXVIII TRADUCTION De La MÉTAPHYSIQUE. CXXVI Boèce. CXXVI Les Arabes. CXXVII Guillaume de Moërbeka. CXXIX Bessarion. CXXXII Argyropoulo. CXXXOOO Taylor.ld. 80 Hengstenbrrg cxxxiv M. Cousin (liv. I et XII) cxxxv COMMENTAIRES SDR LA MÉTAPHYSIQUES Id. Aspasius, Eudoxe, Evharmoste, etc Id. Alexandre d’Aphrodisée Id. Jean Philopon . cxxxviii Thémistius cxxxix Asclépius de Tralles Id. Syrianus Philoxenus Id. Michel d’Ephèse, George Pachymère, etc cxl Averroès, et les autres commentateurs arabes Id St. Thomas d’Aquin cxli Albert-le-Grand, Jean Duns Scot, etc cxlii Patrizzi. cxliii Ramus, Charpentier, etc Id. Gassendi cxlv Commentateurs contemporains cxlvii ÉDITIONS DE LA MÉTAPHYSIQUE. cxlviii Les Aldes, Érasme, Id. Sylburg Id Casaubon cxlix Du Va ! Id. Brandis. cl Bekker. clx 381 MÉTAPHYSIQUE. LIVRE PREMIER. (Ἄλφα τὸ μεῖζον) I. Nature de la science ; difference de la science et de l’expérience. 1 II. La philosophie s’occupe surtout de la recherche des causes et des principes. 7 III. Doctrine des anciens touchant les causes premières et les principes des choses. Thalès, Anuximène, etc. Principe découvert par Anaxagore, l’Intelligence. 12 IV. De l’Amour, principe de Parménide et d’Hésiode. De l’Amitié et de la Discorde d’Empéilocle. Empédocle a, le premier, reconnu quatre éléments. De Leucippe et de Dérntx rite qui ont donné le plein et le vide comme les causes de l’être et du non-être. 19 V. Des Pythagoriciens. Doctrine des nombres. — Parménide, Xénophane, Mélissus. 23 VI. Platon. Ce qu’il a emprunté aux Pythagoriciens ; en quoi son système diffère du leur. Récapitulation. 30 VII. Réfutation des opinions des anciens touchant les principes. 30 LIVRE DEUXIÈME. (Ἄλφα τὸ ἔλαττον) I. L’étude de la vérité est en partie facile, en partie difficile. Différence qu’il y a entre la philosophie et les sciences pratiques : elle a surtout pour objet les causes. 37 382 II. Il y a un principe simple, et non pas une série de causes qui se prolonge à l’infini. 60 II !. Méthode. Il ne faut pas appliquer la même methode à toutes les sciences. La Physique ne s’accommode pas de la méthode mathématique. Conditions préliminaires de l’étude de la nature. 64 LIVRE TROISIÈME. (B) I. Avant d’aborder une science, il faut déterminer quelles questions, quelles difficultés on va avoir à résoudre. Utilité de cette reconnaissance. 66 II. Solution de la première question qui se présente à l’examen : L’étude de tous les genres de causes dépend-elle d’une science unique ? 71 III. Les genres peuvent-ils être considérés comme éléments et comme principes ? Réponse négative. 81 IV. Comment la science peut-elle embrasser l’étude de tous les êtres particuliers ? Autres difficultés qui se rattachent à celle-là. 85 V. Les nombres et les êtres mathématiques, à savoir, les solides, les surfaces, les lignes et les points, peuvent-ils être des eléments ? 97 VI. Pourquoi le philosophe doit-il étudier d’autres êtres que les êtres sensibles ? Les éléments sont-ils en puissance ou en acte ? Les principes sont-ils universels ou particuliers ? 99 LIVRE QUATRIÈME. I. De l’être en tant qu’être. 103 II. L’étude de l’être en tant qu’être et celle de ses propriétes sont l’objet d’une science unique. 104 II !. C’est à la philosophie qu’il appartient de traiter des axiomes 383 mathématiques et de l’essence. 112 IV. Il n’y a pas de milieu entre l’affirmation et la negation. La même chose ne peut pas être et n’être pas. 116 V. L’apparence n’est pas la vérité. 128 YI. Réfutation de ceux qui prétendent que tout ce qui paraît est vrai. 137 VII. Développemeat de ce principe, qu’il n’y a pas de milieu entre l’affirmation et la négation. 140 VIII. Du système de ceux qui prétendent que tout est vrai, que tout est faux. Refutation. 143 LIVRE CINQUIÈME. Des diverses acceptions des termes philosophiques : I. Principe. 146 II. Cause. 149 III. Elément. 133 IV. Nature. 155 V. Nécessaire. 160 VI. Unité. 160 VII. Être. 166 VIII. Substance. 169 IX. Identité, Hétérogénéité, Différence, Ressemblance. 170 X. Opposé et Contraire. 172 XL Antériorité et Postériorité. 174 XII. Puissance, Puissant, etc. 177 XIII. Quantité. 181 XIV. Qualité. 183 XV. Relation. 184 XVI. Parfait. 187 XVII. Terme. 189 XVIII. En quoi, ou Pourquoi. 190 XIX. Disposition. 191 XX. État. 192 384 XXI. Passion. Id. XXII. Privation. 193 XXIII. Possession. 193 XXIV. Être ou Provenir de. 196 XXV. Partie. 197 XXVI. Tout. 198 XXVII. Tronqué. 200 XXVIII. Genre. 203 XXIX. Faux. 203 XXX. Accident. 203 LIVRE SIXIÈME. (E)
I. C’est la science théorétique qui
traite de l’être. II y a trois sciences théorétiques : la Physique,
la Science mathématique, la Théologie. 208 III. Les principes et les causes de l’accident sont d’une autre nature que les autres principes et le» autres causes. 217 NOTES. Notes du livre premier. 224 — du livre deuxième. 245 — du livre troisième. 248 — du livre quatrième. 252 — du livre cinquième. 262 — du livre sixième. 268 Errata du tome premier 275 385 TOME DEUXIÈME. LIVRE SEPTIÈME. I. De l’être premier. 1 II. Difficultés relatives à la substance . 4 III. De la substance . 6 IV. De la forme substantielle. 8 V. Suite 14 VI. Suite . 16 VII. De la production. 20 VIII. La forme et l’essence de l’objet ne se produisent pas. 25 IX. Pourquoi certaines choses proviennent de l’art ou du hasard. 29. X. La de’finition des parties doit-elle entrer dans celle du tout ? les parties sont-elles antérieures au tout, ou le tout aux parties ? 32 XI. Des parties de l’espèce. 39 XII. Conditions de la définition. 44 XIII. Rien d’universel n’est substance. 48 XIV. Réfutation de ceux qui admettent les ide’es comme des substances, et qui leur attribuent une existence independante. 48 XV. Il ne peut y avoir ni définition, ni démonstration de Ja substance des êtres sensibles particuliers. 82 XVI. Il n’y a pas de substance composee de substances. 88 XVII. Quelques observations sur la substance et la forme substantielle. 60 LIVRE HUITIÈME. (H) I. Recapitulation des observations relatives à la substance. Des substances sensibles 65 386 II. De la substance en acte des êtres sensibles. 68 III. Le nom de l’objet désigne-t-il l’ensemble de la matière et de la forme, ou seulement l’acte, la forme ? Considérations suc la production et la destruction des substances. Solution des difficultes soulevées par l’École d’Antisthène. 72 IV. De la substance materielle. Des causes. 76 V. Des contraires. Questions diverses.. 79 VI. Causes de la forme substantielle. 80 LIVRE NEUVIÈME. (Θ) I. De la puissance et dela privation. 85 II. Puissances irrationnelles Puissances rationnelles. 89 III. Réfutation des principes de l’Ecole de Mégare, d’après lesquels il n’y aurait puissance que quand il y a acte, et alors seulement 91 IV. Une chose possible est-elle susceptible de n’être jamais, ni dans le présent, ni dans l’avenir ? 94 V. Conditions de l’action de la puissance. 95 VI. Nature et qualité de la puissance. 97 VII. Dans quel cas il y a, et dans quel cas il n’y a pas puissance. 101 VIII. L’acte est ante’rieiir à la puissance et à tout principe de changement 104 IX. L’actualité du bien est supérieure à la puissance du bien : c’est le contraire pour le mal. C’est par la réduction à l’acte qu’on met au jour les proprie’te’s des êtres. 111 X. Du vrai et du faux. 113 LIVRE DIXIÈME. (I) I. De l’unite, de son essence . 117 II. L’unité est dam chaque genre une nature particulière ; l’u- 387 nité ne constitue par elle-même la nature d’aucun être. 124 III. Des divers modes d’opposition entre l’unité et la multitude. Hétérogénéité ; Difference.. 127 IV. De la contrariété. 135 V. Opposition de l’égal avec le grand et le petit .135 VI. Difficulté relative à l’opposition de l’unité et de la multitude. 139 VII. Il faut que les intermédiaires entre les contraires soient de même nature que les contraires. 142 VIII. Les êtres différents d’espèce appartiennent au même genre. 146 IX. En quoi consiste la différence d’espèce. 148 X. Différence du périssable et de l’impérissable. 150 LIVRE ONZIÈME. (K) I. Difficultés relatives à la philosophie. 153 II. Autres difficultés. 188 III. Qu’une science unique peut embrasser un grand nombre d’objets, et d’espèces différentes. 162 IV. La recherche des principes des êtres mathématiques est du ressort de la philosophie. 166 V. Il est impossible que dans le même temps la même chose soit et ne soit pas. 167 VI. De l’opinion de Protagoras, que l’homme est la mesure de toutes choses. Des contraires et des opposés. 170 VII. La Physique est une science théorétique, et comme elle, la Science mathématique et la Théologie. 175 VIII. De l’être accidentel. 178 IX. Le mouvement est l’actualité du possible en tant que possible. 182 X. Un corps ne peut pas être infini. 186 XI. Du changement 192 XII. Du mouvement 195 LIVRE DOUZIÈME. (Λ) I. De l’essence. 202 II. De l’essence susceptible de changement, et du changement. 204 III. Ni la matière, ni la forme ne deviennent. 207 IV. Des causes, des principes et des éléments.. 209 V. Des principes des êtres sensibles. 212 VI. Il faut qu’il existe une essence éternelle, cause première de toutes choses... 216 VII. Du premier moteur. De Dieu. 220 VIII. Des astres et des mouyements du ciel. Traditions de la plus haute antiquité touchant les dieux. 221 IX. De l’Intelligence suprême. 233 X. Comment l’Univers renferme le souverain bien. 236 LIVRE TREIZIÈME. (M.) I. Y a-t-il, oui ou non, des êtres mathématiques ? 241 II. Sont-ils identiques aux êtres sensibles, ou en sont-ils sépares ? 244 III. Leur mode d’existence. 250 IV. Il n’y a pas d’idées au sens où l’entend Platon 254 V. Les idées sont inutiles. 258 VI. Doctrine des nombres 260 VII. Les unités sont-elles compatibles entre elles, oui ou non ? et si compatibles, comment ? 264 VIII. Différence du nombre et de l’unité. 271 IX. Le nombre et les grandeurs ne peuvent avoir une existence indépendante. 280 X. Difficultés touchant les idées. 280 LIVRE QUATORZIÈME. (N) I. Nul contraire ne peut être le principe des choses .... 290 II. Les êtres éternels ne sont pas composés d’éléments . . . 296 III. Réfutation de la doctrine des nombres 303 IV. Suite 308 V. Le nombre n’est pas la cause des choses 311 VI. Diverses autres objections contre la doctrine des nombres et celle des idées 315 NOTES. Notes du livre septième 323 — du livre huitième 339 — du livre neuvième 343 — du livre dixième 349 — du, livre onzième 332 — du livre douzième 357 — du livre treizième 367 — du livre quatorzième 371 Appendice 374 Index historique.. 277 Table des matières. 379
FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.
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