Constantion Porphyrogénète

CONSTANTIN VII PORPHYROGÉNÈTE

De Administrando Imperio. CHAPITRE XL

Oeuvre mise en page et traduite  par Marc Szwajcer

chapitres 37-39-

 

 

 

 

 

Περὶ τῶν γενεῶν τῶν Καβάρων καὶ τῶν Τούρκων.

Πρώτη ἡ παρὰ τῶν Χαζάρων ἀποσπασθεῖσα αὕτη ἡ προρρηθεῖσα τῶν Καβάρων γενεά, δευτέρα τοῦ Νέκη, τρίτη τοῦ Μεγέρη, τετάρτη 〈τοῦ〉 Κουρτουγερμάτου, πέμπτη τοῦ Ταριάνου, ἕκτη Γενάχ, ἑβδόμη Καρῆ, ὀγδόη Κασῆ. Καὶ οὕτως ἀλλήλοις συναφθέντες, μετὰ τῶν Τούρκων οἱ Κάβαροι εἰς τὴν τῶν Πατζινακιτῶν κατῴκησαν γῆν. Μετὰ δὲ ταῦτα παρὰ Λέοντος, τοῦ φιλοχρίστου καὶ ἀοιδίμου βασιλέως, προσκληθέντες διεπέρασαν, καὶ τὸν Συμεὼν πολεμήσαντες κατὰ κράτος αὐτὸν ἥττησαν, καὶ ἐξελάσαντες μέχρι τῆς Πρεσθλάβου διῆλθον, ἀποκλείσαντες αὐτὸν εἰς τὸ κάστρον τὸ λεγόμενον Μουνδράγα, καὶ εἰς τὴν ἰδίαν χώραν ὑπέστρεψαν. Τῷ δὲ τότε καιρῷ τὸν Λιούντικα, τὸν υἱὸν τοῦ Ἀρπαδῆ εἶχον ἄρχοντα.

Μετὰ δὲ τὸ πάλιν τὸν Συμεὼν μετὰ τοῦ βασιλέως τῶν Ῥωμαίων εἰρηνεῦσαι καὶ λαβεῖν ἄδειαν διεπέμψατο πρὸς τοὺς Πατζινακίτας, καὶ μετὰ αὐτῶν ὡμοφώνησεν τοῦ καταπολεμῆσαι καὶ ἀφανίσαι τοὺς Τούρκους. Καὶ ὅτε οἱ Τοῦρκοι πρὸς ταξίδιον ἀπῆλθον, οἱ Πατζινακῖται μετὰ Συμεὼν ἦλθον κατὰ τῶν Τούρκων, καὶ τὰς αὐτῶν φαμιλίας παντελῶς ἐξηφάνισαν, καὶ τοὺς εἰς φύλαξιν τῆς χώρας αὐτῶν Τούρκους ἀπ´ ἐκεῖσε κακιγκάκως ἀπεδίωξαν. Οἱ δὲ Τοῦρκοι ὑποστρέψαντες καὶ τὴν χώραν αὐτῶν οὕτως εὑρόντες ἔρημον καὶ κατηφανισμένην, κατεσκήνωσαν εἰς τὴν γῆν, εἰς ἣν καὶ σήμερον κατοικοῦσιν, τὴν ἐπονομαζομένην κατὰ τὴν ἀνωτέρω, ὡς εἴρηται, τῶν ποταμῶν ἐπωνυμίαν. Ὁ δὲ τόπος, ἐν ᾧ πρότερον οἱ Τοῦρκοι ὑπῆρχον, ὀνομάζεται κατὰ τὴν ἐπωνυμίαν τοῦ ἐκεῖσε διερχομένου ποταμοῦ Ἐτὲλ καὶ Κουζοῦ, ἐν ᾧ ἀρτίως οἱ Πατζινακῖται κατοικοῦσιν.

Οἱ δὲ Τοῦρκοι παρὰ τῶν Πατζινακιτῶν διωχθέντες ἦλθον καὶ κατεσκήνωσαν εἰς τὴν γῆν, εἰς ἣν νῦν οἰκοῦσιν. Ἐν αὐτῷ δὲ τῷ τόπῳ παλαιά τινα ἔστιν γνωρίσματα· καὶ πρῶτον μέν ἐστιν ἡ τοῦ βασιλέως Τραϊανοῦ γέφυρα κατὰ τὴν τῆς Τουρκίας ἀρχήν, ἔπειτα καὶ ἡ Βελέγραδα ἀπὸ τριῶν ἡμερῶν τῆς αὐτῆς γεφύρας, ἐν ᾗ καὶ ὁ πύργος ἐστὶν τοῦ ἁγίου καὶ μεγάλου Κωνσταντίνου, τοῦ βασιλέως, καὶ πάλιν κατὰ τὴν τοῦ ποταμοῦ ἀναδρομήν ἐστιν τὸ Σέρμιον ἐκεῖνο λεγόμενον, ἀπὸ τῆς Βελεγράδας ὁδὸν ἔχον ἡμερῶν δύο, καὶ ἀπὸ τῶν ἐκεῖσε ἡ μεγάλη Μοραβία, ἡ ἀβάπτιστος, ἣν καὶ ἐξήλειψαν οἱ Τοῦρκοι, ἧς ἦρχε τὸ πρότερον ὁ Σφενδοπλόκος.

Ταῦτα μὲν τὰ κατὰ τὸν Ἴστρον ποταμὸν γνωρίσματά τε καὶ ἐπωνυμίαι, τὰ δὲ ἀνώτερα τούτων, ἐν ᾧ ἐστιν ἡ πᾶσα τῆς Τουρκίας κατασκήνωσις, ἀρτίως ἐπονομάζουσιν κατὰ τὰς {τοῦ} τῶν ἐκεῖσε ῥεόντων ποταμῶν ἐπωνυμίας. Οἱ δὲ ποταμοί εἰσιν οὗτοι· ποταμὸς πρῶτος ὁ Τιμήσης, ποταμὸς δεύτερος 〈ὁ〉 Τούτης, ποταμὸς τρίτος ὁ Μορήσης, 〈ποταμὸς〉 τέταρτος ὁ Κρίσος, καὶ πάλιν ἕτερος ποταμὸς ἡ Τίτζα. Πλησιάζουσι δὲ τοῖς Τούρκοις πρὸς μὲν τὸ ἀνατολικὸν μέρος οἱ Βούλγαροι, ἐν ᾧ καὶ διαχωρίζει αὐτοὺς ὁ Ἴστρος, ὁ καὶ Δανούβιος λεγόμενος ποταμός, πρὸς δὲ τὸ βόρειον οἱ Πατζινακῖται, πρὸς δὲ τὸ δυτικώτερον οἱ Φράγγοι, πρὸς δὲ τὸ μεσημβρινὸν οἱ Χρωβάτοι. Αἱ δὲ ὀκτὼ γενεαὶ τῶν Τούρκων αὗται πρὸς τοὺς οἰκείους ἄρχοντας οὐχ ὑπείκουσιν, ἀλλ´ ὁμόνοιαν ἔχουσιν εἰς τοὺς ποταμούς, εἰς οἷον μέρος προβάλλει πόλεμος, συναγωνίζεσθαι μετὰ πάσης φροντίδος τε καὶ σπουδῆς.

Ἔχουσι δὲ κεφαλὴν πρώτην τὸν ἄρχοντα ἀπὸ τῆς γενεᾶς τοῦ Ἀρπαδῆ κατὰ ἀκολουθίαν καὶ δύο ἑτέρους, τόν τε γυλᾶν καὶ τὸν καρχᾶν, οἵτινες ἔχουσι τάξιν κριτοῦ· ἔχει δὲ ἑκάστη γενεὰ ἄρχοντα.

Ἰστέον, ὅτι ὁ γυλᾶς καὶ ὁ καρχᾶς οὐκ εἰσὶ κύρια ὀνόματα, ἀλλὰ ἀξιώματα.

Ἰστέον, ὅτι ὁ Ἀρπαδής, ὁ μέγας Τουρκίας ἄρχων, ἐποίησεν τέσσαρας υἱούς· πρῶτον τὸν Ταρκατζοῦν, δεύτερον τὸν Ἰέλεχ, τρίτον τὸν Ἰουτοτζᾶν, τέταρτον τὸν Ζαλτᾶν.

Ἰστέον, ὅτι ὁ πρῶτος υἱὸς τοῦ Ἀρπαδῆ, ὁ Ταρκατζοῦς ἐποίησεν υἱὸν τὸν Τεβέλη, ὁ δὲ δεύτερος υἱός, ὁ Ἰέλεχ ἐποίησεν υἱὸν τὸν Ἐζέλεχ, ὁ δὲ τρίτος υἱός, ὁ Ἰουτοτζᾶς ἐποίησεν υἱὸν τὸν Φαλίτζιν, τὸν νυνὶ ἄρχοντα, ὁ δὲ τέταρτος υἱός, 〈ὁ〉 Ζαλτᾶς ἐποίησεν υἱὸν τὸν Ταξίν.

Ἰστέον, ὅτι πάντες 〈οἱ〉 υἱοὶ τοῦ Ἀρπαδῆ ἐτελεύτησαν, οἱ δὲ ἔγγονοι αὐτοῦ, ὅ τε Φαλῆς καὶ ὁ Τασῆς καὶ ὁ ἐξάδελφος αὐτῶν, ὁ Ταξίς, ζῶσιν.

Ἰστέον, ὅτι ἐτελεύτησεν ὁ Τεβέλης, καὶ ἔστιν ὁ υἱὸς αὐτοῦ ὁ Τερματζοῦς, ὁ ἀρτίως ἀνελθὼν φίλος μετὰ τοῦ Βουλτζοῦ, τοῦ τρίτου ἄρχοντος καὶ καρχᾶ Τουρκίας.

 Ἰστέον, ὅτι ὁ Βουλτζοῦς, ὁ καρχᾶς ἐστιν ὁ υἱὸς τοῦ Καλῆ, τοῦ καρχᾶ, καὶ ὅτι τὸ μὲν Καλῆ ἐστιν ὄνομα κύριον, τὸ δὲ καρχᾶς ἐστιν ἀξίωμα, ὥσπερ καὶ τὸ γυλᾶς, 〈ὅ〉 ἐστιν μεῖζον τοῦ καρχᾶ.

40. Les tribus des Kabars et des Turcs.

La première est la tribu précitée des Kabars[1] [qui se composait de trois clans distincts, et] qui se sépara des Khazars, la seconde, la tribu des Nyék, la troisième, celle des Megyer [d'où le nom Magyar], la quatrième, celle des Kürtgyarmat, la cinquième, celle des Tarján, la sixième, celle des Jenő, la septième, celle des Ker, et la huitième, celle des Keszi.[2] S’étant ainsi associés les uns aux autres, les Kabars s’installèrent avec les Turcs dans le pays des Petchenègues. Après cela, à l'appel du pieux et inoubliable Léon ; ils franchirent le Danube[3] et combattirent Siméon qu’ils vainquirent ; en le pourchassant ils arrivèrent jusqu’à Preslav, l’encerclèrent dans la forteresse de Mundraga,[4] après quoi ils s’en retournèrent chez eux. A cette époque, ils avaient pour prince Liuntika, fils d'Arpad.

Mais après que Siméon eut de nouveau conclu la paix avec l’empereur des Romains, se sentant en sécurité, il envoya des émissaires aux Petchénègues, et conclut une alliance avec eux afin qu’ils exterminent les Turcs. Et quand les Turcs entrèrent en guerre, les Petchénègues les combattirent aux côtés de Siméon, ils exterminèrent leurs familles et chassèrent cruellement ceux qui étaient restés en arrière pour garder le pays. Et quand les Turcs à leur retour trouvèrent le pays dévasté et dépeuplé, ils s’installèrent sur le territoire où ils vivent encore aujourd’hui et qui est appelé, comme je l’ai indiqué ci-dessus du nom des rivières. L’endroit que les Turcs occupaient d’abord, est situé entre les rivières Ethel et Kuzu,[5] où les Petchénègues séjournent à présent.

Mais les Turcs, chassés par les Petchenègues, vinrent s'installer dans le pays où ils habitent maintenant. Dans cet endroit existent divers repères d'autrefois: il y a d'abord le pont de l'empereur Trajan, où la contrée turque commence, puis, à trois jours de ce même pont, il y a Belgrade où se trouve la tour du saint et grand Constantin, l'empereur, puis, à nouveau, en remontant la rivière se trouve la cité renommée de Sirmium,[6] en voyageant deux jours on arrive à Belgrade, et au-delà se trouve la Grande Moravie païenne, que les Turcs ont dévasté, mais sur laquelle Sphendoplokos régnait dans des temps anciens.

Ces anciens bâtiments et les noms de domaines le long du fleuve Ister,[7] au-dessus, couvrent toutes les habitations des Turcs, où aujourd'hui coulent des rivières. Ces rivières sont les suivantes: la première est le Temes,[8] la seconde la Tisza,[9] la troisième le Morisis,[10] la quatrième la Tutis et une autre rivière le Köros.[11] Les Turcs sont séparés à l'est des Bulgares par l’Ister, également appelé Danube, au nord les Petchénègues, à l'ouest, les Francs, au sud la Croatie. Ces huit tribus de Turcs ne sont pas soumises à leur prince, elles sont indépendantes sur ces rivières, mais quel que soit la tribu qui soit en guerre elles se regroupent pour lutter ensemble[12] avec rapidité et zèle.

Les Hongrois ont pour tête première, le prince qui descend par succession de la famille d’Árpád, et deux autres dirigeants, le gylas et le karchas,[13] qui remplissent des fonctions judiciaires, chaque tribu ayant un prince.

Il faut savoir que gylas et karchas ne sont pas des noms propres, mais des dignités.

Il faut savoir qu’Arpad, le grand archonte des Turcs, donna naissance à quatre fils: le premier fut Tarkatzus,[14] le second Jelekh,[15] le troisième Jutotzas,[16] le quatrième Zaltas.[17]

Il faut savoir que le premier fils d'Arpad, Tarkatzus,[18] engendra un fils Teveli,[19] son second fils, Jelek, donna naissance à un fils Ezelek,[20] son troisième fils, Jutotzas, donna naissance à un fils Falitzi,[21] le prince actuel, et son quatrième fils, Zaltas, donna naissance à un fils Taksony.[22]

Il faut savoir que tous les fils d’Árpád moururent,[23] mais ses petits-fils, Falitzi, Tas[24] et leur cousin, Taksony, vécurent.

Il faut savoir quand Teveli mourut il laissa un fils Termatzous[25] qui est venu récemment en ami, en compagnie de Boultzous,[26] le troisième prince et le karchas des Turcs.

Le karchas Boultzous est le fils du karchas Kalis,[27] et Kalis est un nom propre, mais karchas est une dignité, comme gylas, qui es supérieure à karchas.


 

 
 

[1] Encore écrit Kavars.

[2] Les noms des tribus sont écrits ici sous la forme hongroise. Il n’existe que deux sources pour les noms de tribus hongroises : Constantin porphyrogénète et l’ensemble des toponymes issus des noms de tribus du territoire de la Hongrie historique.

[3] Probablement en 895. « Une flotte byzantine les transporta de la rive gauche du Danube jusqu’à la Bulgarie ». Cf. G. Kristo, Histoire de la Hongrie médiévale, PUR, 2000.

[4] Ce pourrait être Madara, petite ville située dans le nord de la Bulgarie.

[5] C’est le pays d’Etelköz, d’où l’incompréhension des byzantins.

[6] Sremska Mitrovica, est une ville et une municipalité de Serbie situées dans la province autonome de Voïvodine. La ville portait le nom de Sirmium au temps de l'Empire romain.

[7] Le Danube.

[8] Le Timiş (en serbe Tamiš ; en allemand Temesch ; en hongrois Temes ; en latin Tibiscus ou Tibisis) est une rivière roumaine et serbe, affluente droite du Danube.

[9] En allemand « T(h)eiss ». Affluent du Danube.

[10] Le Mureş (en roumain : Mureş, en hongrois : Maros, en allemand : Mieresch en dace: Maris en latin : Marisus) est une rivière de près de 725 km de long, qui prend sa source à Izvoru Mureşului dans les Carpates Orientales, en Roumanie. Il rejoint la Tisza à Szeged dans le sud-est de la Hongrie. C'est un sous-affluent du Danube.

[11] Une rivière de l’est de la Hongrie. Le Körös se jette dans la Tisza.

[12] Le sens du passage signifie qu'en temps de paix les huit tribus de les Hongrois sont chacune soumises leur prince les siens, mais que s’il y a menace de guerre, apparemment, ils se rassemblent pour combattre.

[13] Gyula = chef militaire et Horka = autorité judiciaire. Toutefois, dans d'autres sources le terme Horka a été appliqué à un chef militaire (comme Bulcsú qui dirigea les forces Magyar à la bataille de Lechfeld, voir les notes de fin de chapitre. Ces deux types d’autorité durent devenir similaires pendant la première moitié du Xe siècle.

[14] Tarkatzus ou Tarhos, on ne sait rien de lui à part ce que dit ici Constantin.

[15] Jelekh l'Épicurien ou Üllő.

[16] Ou Jutas, on ne sait rien de lui à part ce que dit ici Constantin.

[17] Zaltas (ou Soltan, Zolta, Zoltán, Zulta) († 948), duc de Hongrie (907-948). Il apparaît dans les ouvrages historiques du royaume de Hongrie

[18] Est-ce Liuntika, est-ce Tarkatzus ? Sont-ils deux personnages ?

[19] Tevel n’est mentionné qu’ici.

[20] Ou encore Osel, on ne sait rien de lui.

[21] Fausz, ou Falichi, ou Fajsz, tué peut-être le 10 août 955, fut duc de Hongrie de 948 à 955. Il est le fils de Jutotzas, le quatrième fils d'Árpád. En 948, il demanda l'aide de Bulcsú pour attaquer les Byzantins afin d'envahir la Pannonie. Il s'ensuivit la bataille du Lechfeld en 955 au cours de laquelle les Hongrois furent écrasés.

[22] Père du grand-prince Géza. On s’accorde à peu près sur l’orthographe de ce nom. Taksony (latin : Toscus) (v. 905 - v. 970) fut prince souverain de Hongrie de 955 à sa mort. Il est le fils de Zaltas (ou Zoltan). On connaît assez peu de choses sur sa vie. Vers 960 Taksony demanda au pape Jean XII un évêque mais Othon Ier le Grand s’y opposa. Taksony accueillit également les « Bulgares » de la Volga, musulmans, et leur attribua des territoires.

[23] Rappelons qu’Árpád mourut en 907.

[24] Inconnu par ailleurs.

[25] Tormás ou Termatzous ou Termács († 955), vivait à Byzance.

[26] Ou encore Bulcsú. Vers 948, l’empereur byzantin devint le parrain de Boultzous et lui attribua le titre de patrice. Celui-ci oublia bien vite ce baptême en retournant dans son pays; Bulcsú fut pendu par décision d’Othon le Grand après la bataille du Lechfeld.

[27] Ou Kalé, Kahle. Il n'est pas mentionné dans des textes écrits.