Le temps des généraux : Pompée

Guerre contre Mithridate

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66

Lucullus (74 -66)

FLORUS : On ne sait rien de Florus. Il écrit une Histoire romaine (-753 - +9). Son oeuvre est publiée à la fin du règne d'Hadrien.

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Les consuls de 74, L. Licinius Lucullus et M. Aurelius Cotta, obtiennent les nouvelles provinces pour eux-mêmes en Orient au lendemain de la succession. Cotta se contente de s’installer dans la nouvelle province de Bithynie pour s’enrichir, alors que Lucullus prend la Cilicie en prévision de marcher au nord contre le Pont. Les consuls sont toujours à Rome fin 74 et la guerre commence au printemps 73.

 Igitur ut exstincta parum fideliter incendia maiore flamma reviviscunt, ita ille de integro, auctis maiorem in modum copiis, tota denique regni sui mole, in Asiam rursus mari, terra, fluminibusque veniebat. Cyzicum nobilis civitas, arce, moenibus, portu turribusque marmoreis asiaticae plagae litora illustrat. Hanc ille, quasi alteram Romam, toto invaserat bello. Sed fiduciam oppidanis resistendi nuntius fecit, docens adventare Lucullum : qui, horribile dictu ! per medias hostium naves utre suspensus, et pedibus iter adgubernans, videntibus procul, quasi marina pristis, evaserat. Mox clade conversa, cum ex mora obsidii regem fames, et ex fame pestilentia urgeret, recedentem Lucullus assequitur, adeoque cecidit, ut Granicus et Aesapus amnes cruenti redderentur.
Rex callidus, romanaeque avaritiae peritus, spargi a fugientibus sarcinas et pecuniam iussit, qua sequentes moraretur. Nec felicior in mari, quam in terra, fuga. Quippe centum amplius navium classem, apparatu belli gravem, Pontico mari aggressa tempestas tam foeda strage laceravit, ut navalis belli instar efficeret, planeque ut Lucullus quodam cum fluctibus procellisque commercio, debellandum tradisse regem ventis videretur.

Florus, III, VI, partim

 vocabulaire

Comme des incendies mal éteints se raniment avec une flamme d'autant plus grande, Mithridate, comme si rien ne s'était passé, revient en Asie par terre, par mer, par fleuves avec des troupes beaucoup plus nombreuses et toutes les ressources de son royaume. Cyzique, ville bien connue par sa citadelle, ses murailles, son port et ses tours de marbre, donne du lustre au rivage asiatique. C'est celle-ci, comme si c'était une autre Rome, que Mithridate attaque avec toutes ses forces. Mais l'annonce de la résistance donna confiance aux assiégés quand ils apprirent l'arrivée de Lucullus. Chose surprenante ! Ce messager arriva à travers les navires ennemis, soutenu par une outre et dirigeant sa route de ses pieds. Ceux qui le virent de loin le prirent pour une baleine. Bientôt le désastre changea de camp. Par suite de la longueur du siège, la famine s'installa chez Mithridate et à la suite de celle-ci une épidémie. Lucullus attaqua Mithridate qui se retirait. Il fit un massacre tel que le Granique et l'Esape en furent teintés de sang.
Ce prince rusé, connaissant la cupidité romaine, ordonna aux fuyards de disperser les bagages et l'argent pour retarder les poursuivants. Sa fuite ne fut pas plus heureuse sur mer que sur terre. Sa flotte de plus de cent navires alourdie par du matériel de guerre, une tempête l'assaillit sur le Pont-Euxin et la réduisit en morceaux dans un désastre aussi terrible qu'une bataille navale. Il semblait que Lucullus, par un arrangement avec les flots et les tempêtes, avait transmis aux vents l'ordre de détruire le roi.

Florus, III, VI, partim

 

 

Tigran : Le Roi des Rois

http://www.netarmenie.com/histoire/annexes/tigran.php

TIGRAN A LA COUR DE PARTHES
Tigran II, fils de Tigran I est né en 14O avant JC. Il fut envoyé en 112 av. JC à la cour de Parthes en tant que Prince d'Arménie et représentant de ce pays. C'était un signe de pacification car Tigran I n'aurait pas risqué la vie de l'héritier du trône des Arthashesien en prenant les armes contre Parthes. D'ailleurs, à cette période, beaucoup de nobles de Parthes s'installèrent en Arménie. Pendant son séjour, le jeune prince a beaucoup appris de la stratégie de la guerre comme la flèche de Parthes qui avait déjà infligé aux Romains de lourdes défaites. Cette tactique a d'ailleurs fut reprise plus tard par Tigran II contre les Romains.

REUNIFICATION DE L'ARMENIE
En 95 avant J.C., après la mort de son père, Tigran II, devenu roi d'Arménie, commença par reconstruire et réorganiser la vie économique et politique du pays. Il réforma totalement l'armée et à son apogée, les différents corps comptaient 300 000 hommes. C'était une armée puissante, bien entraînée, unie et entièrement dévouée à ses chefs.

En 94 avant JC, l'expansion romaine à l'Ouest de l'Anatolie a amené Tigran à signer un traité d'alliance avec le roi Mithridates de Pontus. Tout d'abord, Tigran a focalisé son attention sur la province de Tsopk (Sophène) sur les rives Est de l'Euphrate. Les souverains de Tsopk se disaient les descendants de la maison royale de Yervandouni qui régnaient autrefois sur la grande Arménie, d'autres provinces et les anciens territoires du Royaume de Haiasa-Azzi. Le roi Artashes I avait marqué son époque car il unifia le gouvernement d'Arménie en abandonnant la confédération des états d'Arménie qui étaient sous le contrôle des familles nobles. Il fut également à l'origine de nombreuses réformes agraires. Si on se réfère aux historiens grecs, l'implantation géographique de la ville royale Artashat, qui se situait sur les rives de la rivière Yeraskh (Arax), aurait été choisi par le Général Hannibal qui était un hôte de la cour de Artashes le Bon, grand Père de Tigran le Grand.

TRAITE DE PONTUS
Après avoir repris l'état de Tsopk, en 93 avant JC., Tigran a lancé ses armées en Cappadoce qui était peuplé d'Améniens, de Grecs et autres peuples de culture hellénique. Il installa Gordios sur le trône, et cet état devint ainsi un allié de l'Arménie. Réalisant l'importance du contrôle des routes commerciales du Nord Est qui reliaient l'Asie Centrale à l'Anatolie et de Babylone à l'Egypte, il lança des campagnes militaires pour contrôler ces routes. Pour sceller le traité Ponto-Arménien, il épousa la fille de Mithridates, Cléopâtre. Ils eurent 4 fils : le premier fut tué au cours d'une bataille, le second organisa une révolte contre son père avec l'aide des nobles qui refusaient un pouvoir centralisé et voulaient retrouver une importance individuelle. Le complot échoua et Tigran condamna son fils Zareh à mort. Le troisième fils, Tigran le Jeune voulut continuer la révolte entâmée par son frère et c'est le 4ème, Artavard, connu pour son goût de la culture hellénique qui succèdera à son père. Par la suite, certains historiens ont pensé que Cléopâtre avait influencé la rébellion de ses fils contre leur père car elle trouvait que Tigran n'aidait pas assez Mithridates à repousser les Romains. Il faut dire que Tigran était déjà très occupé à garder ses frontières du Nord et du Sud de son empire. En 91 avant JC, comme un signe d'amitié, Tigran passa le protectorat du Cappadoce à Mithridates de Pontus qui avait besoin de matières premières et d'effectifs. Mithridates préparait une campagne militaire contre les Romains pour les repousser hors de l'Anatolie et peut-être même de Grèce. Tigran réalisa la puissance grandissante de Rome et crut qu'il serait sage de respecter une coéxistance neutre. Par contre, Mithridates pensait qu'il fallait unir le nouvel empire arménien, l'état de Parthes et les autres pays de l'Est pour arrêter l'avancée des légions romaines. Mais Tigran ne pouvait se permettre cette alliance car Parthes était hostile à cet état arménien qui devenait de plus en plus puissant.


L'ETABLISSEMENT DE L'EMPIRE ARMENIEN
Après plusieurs victoires des armées de Tigran, Parthes reconnut enfin, officiellement Tigran le Grand, et il prit le titre glorieux de Roi des Rois en 85 avant JC.. Il succéda également à la dynastie Seleucid en Syrie. Il y régna 18 ans et à la même période, les armées de Tigran avancèrent et conquirent les territoires de Commagène et de Cilicie, où vivaient beaucoup d'Arméniens.. Après avoir nommé le Général Bagrat, gouverneur de Syrie, Tigran prit personnellement le commandement militaire de l'expédition de Phénicie et de Palestine. Les Romains admiraient et respectaient l'armée arménienne de Tigran et notamment sa cavalerie dont la beauté des chevaux et de leur cavaliers fut décrite par Sallustius Crispus. Après avoir conquis la Phénicie et la Palestine, les armées de Tigran arrivèrent près de la frontière égyptienne et du Royaume de Nabataens qui avait promis son soutient à Tigran. Maintenant les villes comme Tarson, laodicea, Seleucia, Tyros, Sidon, Berithos(Beyrouth) et beaucoup d'autres villes du Cappadoce et de Cilicie appartenaient à l'empire Arménien.


LA GRANDE VILLE DE TIGRANAKAERT

Tigran admirait les grandes cités mais la capitale arménienne d'Artashat, fondée par le roi Artashes le Bon , était excentrée à l'Est et éloignée de la plupart des routes commerciales . Il eut envie de construire une nouvelle capitale qui représenterait le symbole de sa gloire et qui serait une table tournante pour l'Orient. Au début des années 7O avant JC., l'empire arménien était au zénith de sa puissance et c'est à ce moment qu'il décida de construire la ville de Tigranakaert dans la province d'Aghdznik (Alzini). Ce lieu avait été choisi parce qu'il était au carrefour des routes commerciales et au cœur de l'empire Arménien. Un mur épais de 25 mètres entourait la ville ; Les tours servaient d'étables, d'entrepôts pour les armes et les munitions. De magnifiques jardins entouraient la cité. Dés le début, Tigran a encouragé les familles nobles, les artisans et les paysans à s'installer dans cette nouvelle capitale. La population atteint 100 000 habitants de nationalités différentes, mais la plupart étaient arméniens, Grecs et Juifs. Cette nouvelle ville devint rapidement un centre culturel et commercial, non seulement pour l'Arménie, mais pour tout le Proche Orient. C'était un haut lieu de culture hellénique et d'après Plutarque beaucoup de savants grecs fréquentaient la cour de Tigran. La langue grecque était la langue officielle, utilisée par l'aristocratie arménienne. Tigran avait divisé l'Arménie en 4 régions ou royaumes dirigés par un gouverneur-roi. Mais, le rêve de Tigran tourna court en 69 avant JC., quand une invasion romaine, commandée par Lucullus démolit et brûla en partie la grande cité. Même si la destruction fut importante, la ville survécut jusqu'au Moyen Age. Mais elle ne retrouva jamais son importance et sa splendeur d'antan.

LES VICTOIRES DE TIGRAN CONTRE LUCULLUS ET LES ROMAINS
En 71 avant JC., Mitrhidates trouva refuge à la cour d'Artashat suite à ses défaites contre les Romains et la perte de son trône. Tigran se trouvait déjà dans une position difficile face aux révoltes intérieures menées par ses fils Zareh et Tigran , alors que les troupes de Parthes menaçaient au Sud, et les légions romaines à l'Ouest. La guerre entre Rome et l'Arménie devint inévitable. Lucullus entra en Arménie au printemps 69 avant JC. Il savait que la province de Tsopk qui avait une tendance indépendantiste était le point le plus vulnérable à l'Ouest. Tigran combattit aidé par ses alliés comme (Albanais, Ibériens…) et grâce à son armée entièrement dévouée. Les Arméniens utilisèrent la fameuse tactique de la flèche de Parthes et la cavalerie chargea en décimant et repoussant les légions romaines hors des frontières. Pendant ce temps, Mithridates avec un contingent de forces Arméno-Pontic, libéra Pontus et Cappadocia. Après ces défaites cuisantes, Lucullus fut rappelé à Rome.

LE TRAITE D'ARTSHAT AVEC POMPEE
Rome ayant compris qu'ils avaient affaire à un adversaire redoutable, organisa une gigantesque armée et le Consul Pompée pris la tête de l'expédition militaire. Les Romains souhaitèrent l'aide de Parthes pour anéantir les troupe de Tigran le Grand. Son fils Tigran le Jeune étant marié avec la fille du Roi de Parthes et espérant monter sur le trône de son père avec l'aide des Romains et de Parthes profita de l'occasion pour se joindre aux Romains. Le Roi des Rois réalisa pour la première fois que la situation était très sérieuse. Grâce à l'aide de Tigran le Jeune, les Romains arrivèrent très vite aux portes d'Artashat en 66 avant JC. Pour sauver ce qui restait de son territoire, Tigran proposa à Pompée de signer un traité de paix. Tigran le Jeune se sentant abandonné par les Romains devint fou de rage. Il fut arrêté et envoyé à Rome en tant que représentant du roi de Parthes, puisqu'il était son gendre. Il ne restait à Tigran que l'Arménie mais totalement indépendante, et l'unité du pays était maintenue puisque les provinces séparatistes de Tsopk et Korduk, qui espéraient leur indépendance, furent reconnues par Pompée comme faisant partie de la grande Arménie. Tigran restait le Roi des Roi. Après ce traité, Tigran régna encore 11 années qui furent une période de paix et de prospérité économique. Il vendit ses machines de guerre, démantela ses armées qui n'étaient plus nécessaires et coûtaient cher. Progressivement, il commença à développer l'agriculture et le commerce en attirant les grandes caravanes commerciales, en leur assurant des routes sûres en Arménie pour les marchés de l'Occident. Grâce à cette nouvelle stabilité, une large partie de la population devint riche et prospère. Dans les années 55, Tigran le Grand mourut à l'âge de 85 ans en paix avec lui-même, en paix avec le hommes et en paix avec le monde. Il fut vraiment un homme brillant sur le plan militaire, politique et aussi économique. Il marqua l'histoire de l'Arménie à jamais et il est toujours aimé et reconnu comme le défenseur des hommes, l'avocat et le supporter des sciences et de la culture.

a, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
adeo
, adv. : tellement ; adeo... ut + subj : tellement... que
adguberno, as, are
: diriger
adsequor, eris, i, secutus sum
: 1. atteindre, attraper 2. parvenir à, obtenir
advento, as, are
: approcher, arriver
Aesapus, i
, f. : l'Esape (fleuve)
aggredior, eris, i, agressus sum
: aller vers, s'approcher, attaquer
alter, era, erum
: l'autre (de deux)
amnis, is
, m. : la rivière, le fleuve
amplius
, adv. : plus
apparatus, us
, m. : les préparatifs, le luxe, la recherche, le matériel, les instruments, l'appareil
arx, arcis
, f. : la citadelle
Asia, ae
, f. : Asie
Asiaticus, a, um
: asiatique
avaritia, ae
, f. : la cupidité, l'avarice
augeo, es, ere, auxi, auctum
: augmenter, accroître, enrichir
bellum, i
, n. : la guerre
cado, is, ere, cecidi, casum
: tomber
callidus, a, um
: rusé
centum
, inv. : cent
civitas, atis
, f. : la cité, l'état
clades, is
, f. : la blessure, la perte, le dommage, le désastre militaire, la grave défaite
classis, is
, f. : la classe, la flotte
commercium, i
, n. : le trafic, le commerce; le droit de commercer, les rapports, les relations
converto, is, ere, verti, versum
: tourner complètement; se conuertere : accomplir une révolution
copia, ae
, f. : l'abondance, la possibilité, la faculté (pl. les richesses, les troupes)
cruentus, a, um
: sanglant, sanguinaire
cum
, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que
Cyzicus, i
, m. : Cyzique (en Turquie actuelle)
de
, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de
debello, as, are
: terminer la guerre par un combat, soumettre par les armes
denique
, adv. : enfin
dictu
, supin en u de dicere : dire
doceo, es, ere, cui, ctum
: enseigner (+ 2 acc.)
efficio, is, ere, effeci, effectum
: 1.achever, produire, réaliser 2. - ut : faire en sorte que
et
, conj. : et. adv. aussi
evado, is, ere, vasi, vasum
: s'échapper ; finir par devenir
ex
, prép. : + Abl. : hors de, de
exstinguo, is, ere, stinxi, strinctum
: éteindre, faire disparaître, faire mourir
facio, is, ere, feci, factum
: faire
fames, is
, f. : la faim
felicior, oris
: comparatif de felix, icis : heureux
fideliter
, adv. : d'une manière fidèle, sûre; fermement, solidement
fiducia, ae
, f. : la confiance
flamma, ae
, f. : la flamme
fluctus, us
, m. : le flot
flumen, inis
, n. : le cours d'eau, le fleuve, la rivière
foedus, a, um
: honteux, répugnant
fuga, ae
, f. : la fuite
fugio, is, ere, fugi
: s'enfuir, fuir
Granicus, i
, m. : le Granique (fleuve)
gravis, e
: 1. lourd, pesant 2. grave, puissant, forts, grave, dur, rigoureux, pénible, accablant 3. alourdi, embarrassé, accablé
hic, haec, hoc
: adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci
horribilis, e
: qui fait horreur, horrible, effrayant; étonnant, surprenant
hostis, is
, m. : l'ennemi
igitur
, conj. : donc
ille, illa, illud
: adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ...
illustro, as, are
: éclairer, illustrer, illuminer
in
, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre
incendium, ii
, n. : l'incendie
instar
, prép. : + Gén. = à la manière de
integer, gra, grum
: non touché, sain et sauf ; de integro : de nouveau; ex integro : de fonds en comble; integrum est mihi : j'ai les mains libres
invado, is, ere, vasi, vasum
: 1. faire invasion, se jeter sur 2. assaillir, attaquer 3. saisir
ita
, adv. : ainsi, de cette manière ; ita... ut, ainsi que
iter, itineris
, n. : le chemin, la route
iubeo, es, ere, iussi, iussum
: 1. inviter à, engager à 2. ordonner
lacero, as, are
: 1. mettre en morceaux, déchirer 2. railler 3. faire mal, faire souffrir
litus, oris
, n. : le rivage
Lucullus, i
, m. : Lucullus
maior, oris
: comparatif de magnus. plus grand. maiores, um : les ancêtres)
mare, is
, n. : la mer
marinus, a, um
: marin
marmoreus, a, um
: de marbre
medius, a, um :
qui est au milieu, en son milieu (medium, i, n. : le milieu)
modus, i,
m. : 1 - la mesure, la dimension, la proportion; l'étendue, l'extension; la quantité; la hauteur, la longueur; le contour, le tour, la circonférence. - 2 - la mesure (objet qui sert à évaluer les quantités). - 3 - la mesure, le rythme, la cadence (musicale, oratoire), la mélodie, le chant, le mode musical, la musique. - 4 - la mesure, la règle, la loi, la prescription; la juste mesure, la modération. - 5 - les bornes, les limites, la fin, le terme. - 6 - la manière, la façon, le procédé, la méthode, le genre, la sorte, le mode. - 7 - le mode, la forme (t. de gram.).
moenia, ium
, n. : les murs, les murailles
moles, is,
f. : la masse, la digue, le poids, la charge; l'effort, la difficulté
mora, ae
, f. : le délai, le retard, l'obstacle
moror, aris, ari
: s'attarder, demeurer (nihil - : ne pas se soucier de)
mox
, adv. : bientôt
navalis, e
: naval
navis, is,
f. : le navire
nec
, adv. : et...ne...pas
nobilis, e
: connu, noble
nuntius, ii
, m. : 1. le messager 2. la nouvelle
obsidium, i
, n. : le siège
oppidanus, a, um
: provincial, de la ville
parum
, adv. : peu
pecunia, ae
, f. : l'argent
per
, prép. : + Acc. : à travers, par
peritus, a, um
: expert, savant, connaisseur
pes, pedis
, m. : le pied
pestilentia, ae
, f. : la peste, l'épidémie; l'insalubrité
plaga, ae
, f. : le coup, la blessure; l'étendue, la région
plane
, adv. : vraiment, complètement, clairement
Ponticus, a, um
: du Pont (-Euxin)
portus, us
, m. : le port
pristis, is
, m. : la baleine
procella, ae
, f. : la tempête, la bourrasque, l'ouragan
procul
, adv. : loin
qua
, 1. ablatif féminin singulier du relatif. 2. Idem de l'interrogatif. 3. après si, nisi, ne, num = aliqua. 4. faux relatif = et ea 5. adv. = par où?, comment?
quam
, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien
quasi
, conj. : comme si; adv. : pour ainsi dire, environ
qui
, 1. nominatif masculin singulier ou nominatif masculin pluriel du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi
quidam, quaedam, quoddam/quiddam
: un certain, quelqu'un, quelque chose
quippe
, inv. : car, assurément (- cum + subj. : puisque)
recedo, is, ere, cessi, cessum
: repartir, s'en aller, se retirer
reddo, is, ere, ddidi, dditum
: 1. rendre 2. payer, s'acquitter de rapporter 3. retourner, traduire 4. accorder
regnum,
i, n. : le pouvoir royal, le trône, le royaume
resisto, is, ere, stiti
: 1. demeurer, s'arrêter 2. résister, faire face, tenir tête
revivisco, is, ere, vivi
: revivre, revenir à la vie
rex, regis
, m. : le roi
Roma, ae
, f. : Rome
Romanus, a, um
: Romain (Romanus, i, m. : le Romain)
rursus
, inv. : de nouveau, au contraire
sarcina, ae
, f. : le bagage (souvent au pluriel : les bagages, les effets)
sed
, conj. : mais
sequor, eris, i, secutus sum
: 1. suivre 2. poursuivre 3. venir après 4. tomber en partage
spargo, is, ere, sparsi, sum
: 1. jeter çà et là, répandre 2. disperser, disséminer 3. parsemer, joncher
strages, is
, f. : l'écroulement, le tas, le monceau; le désastre
suspendo, is, ere, di, sum
: suspendre
suus, a, um
: adj. : son; pronom : le sien, le leur
tam
, adv. : si, autant
tempestas, atis
, f. : 1. le moment 2. le temps, le mauvais temps, la température 3. le trouble, le malheur, la calamité
terra, ae
, f. : la terre
totus, a, um
: tout entier
trado, is, ere, didi, ditum
: 1. transmettre, remettre 2. livrer 3. enseigner
turris, is
, f. : la tour
urgeo, es, ere, ursi, -
: presser, accabler
ut
, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que
uter, ris
, m. : l'outre
venio, is, ire, veni, ventum
: venir
ventus, i
, m. : le vent
video, es, ere, vidi, visum
: voir (videor, eris, eri, visus sum : paraître, sembler)
texte
texte
texte
texte