Le temps des généraux : Pompée |
Mort de Crassus |
Guerre contre les Parthes |
FLORUS
: On ne sait rien de Florus. Il écrit une Histoire romaine (-753 -
+9). Son oeuvre est publiée à la fin du règne d'Hadrien.
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Crassus, associé à César et à Pompée dans le premier triumvirat, périt en 53 avec les trois quarts de son armée dans une expédition imprudente contre les Parthes. |
Dum Gallos per Caesarem in septemtrione debellat, ipse interim ad orientem grave vulnus a Parthis populus romanus accepit. Nec de fortuna queri possumus: caret solatio clades. Adversis et diis et hominibus, cupiditas consulis Crassi, dum parthico inhiat auro, Xl strage legionum, et ipsius capite mulctata est. Et tribunus plebis Metellus exeuntem ducem hostilibus diris devoverat; et cum Zeugma transisset exercitus, rapta subitis signa turbinibus hausit Euphrates; et cum apud Nicephorium castra posuisset, missi ab Orode rege legati nuntiavere, percussorum cum Pompeio foederum Syllaque meminisset Regiis inhians ille thesauris, nihil, ne imaginario quidem iure, sed Seleuciae se responsurum esse respondit. Itaque dii foederum ultores nec insidiis, nec virtuti hostium defuerunt. De Carrhes jusque la mort Iam primum, qui solus et subvehere commeatus, et munire poterat a tergo, relictus Euphrates, dum simulato transfugae cuidam Mazarae Syro creditur. Tum in mediam camporum vastitatem eodem duce ductus exercitus, ut undique hosti exponeretur. Itaque vixdum venerat Carras, cum undique praefecti regis, Sillaces et Surena, ostendere signa auro sericisque vexillis vibrantia. Tum sine mora circumfusi undique equitatus, in modum grandinis atque nimborum densa pariter tela fuderunt. Sic miserabili strage deletus exercitus. Ipse in colloquium sollicitatus, signo dato, vivus in hostium manus incidisset, nisi tribunis reluctantibus, fugam ducis Barbari ferro occupassent. Sic quoque relatum caput ludibrio hosti fuit. Filium ducis, paene in conspectu patris, eisdem telis operuere. Reliquiae infelicis exercitus, quo quemque rapuit fuga, in Armeniam, Ciliciam, Syriamque distractae, vix nuntium cladis retulerunt. Caput eius recisum cum dextera manu ad regem reportatum ludibrio fuit, nec indigno. Aurum enim liquidum in rictum oris infusum est, ut cuius animus arserat auri cupiditate, eius etiam mortuum et exsangue corpus auro ureretur. III, XII vocabulaire |
De Rome jusque l'Euphrate Pendant que le peuple romain soumettait par les armes grâce à César les Gaulois dans le nord, en orient, ce même peuple reçut des Parthes une grave blessure. Mais nous ne pouvons nous plaindre de la fortune, ce désastre n'a pas besoin de consolation. A l'encontre des dieux et des hommes, le désir du consul Crassus de s'emparer de l'or des Parthes fut puni par le désastre de onze légions et la perte de sa propre vie. Le tribun du peuple Métellus l'avait, à son départ, maudit en lui adressant des présages funestes et hostiles ; après avoir traversé Zeugma, l'Euphrate engloutit ses enseignes, emportées par un tourbillon soudain. Alors qu'il avait placé son camp près de Nicéphore, des ambassadeurs du roi Orode vinrent lui rappeler les traités conclus avec Pompée et Sylla. Mais Crassus, avide de posséder les trésors du roi, ne se prévalut même pas d'un droit imaginaire et répondit qu'il répondrait à Séleucie. Aussi les dieux, vengeurs des traités, favorisèrent les ruses et le courage des ennemis. De Carrhes jusque la mort Tout d'abord, il abandonna l'Euphrate qui, seul, pouvait transporter les vivres et le protéger ses arrières en faisant confiance à un prétendu transfuge, le Syrien Mazara. Alors, l'armée fut dirigée par ce même guide au milieu de vastes plaines, afin de l'exposer de partout à l'ennemi. A peine était-il arrivé à Carres, que les généraux du roi, Sillace et Suréna montrèrent de toutes parts leurs enseignes étincelantes d'or et de soie. Aussitôt ils furent entourés de partout par la cavalerie parthe qui lancèrent des traits comme de la grêle ou des nuages. Ainsi notre armée fut détruite dans un affreux carnage. Notre général lui-même, sollicité pour une entrevue, serait, à un signal donné, tombé vivant aux mains de l'ennemi, si les tribuns ne s'y étaient pas opposés et si les barbares n'avaient pas arrêté par le fer la fuite du général. Sa tête emportée par l'ennemi fut objet de plaisanterie. Ils couvrirent des mêmes traits le fils du général, presque sous les yeux de son père. Les restes de cette malheureuse armée, fuyant au hasard, se dispersèrent en Arménie, en Cilicie, en Syrie, et c'est à peine s'il resta quelqu'un pour aller annoncer la nouvelle du désastre. La tête coupée ainsi que la main droite de Crassus furent apportées au roi pour une plaisanterie méritée. Il lui versa dans la bouche de l'or fondu afin que, même après sa mort, l'or consumât le corps déjà mort et exsangue de celui dont le coeur avait brûlé de la soif de cet or. III, XII |
Imprécations d'un tribun XX. Atéius, l'un des tribuns du peuple, voulait s'opposer à son départ, et il était appuyé par un grand nombre de citoyens, qui voyaient avec indignation qu'on allât porter la guerre chez des nations alliées du peuple romain et desquelles l'on n’avait pas à se plaindre. Crassus, qui craignit les suites de cette opposition, eut recours à Pompée, et le pria de l'accompagner hors de la ville. Ce dernier jouissait auprès du peuple d'une telle considération, que cette multitude, qui s'était attroupée pour s'opposer au départ de Crassus et l'arrêter par ses clameurs, n'eut pas plutôt vu Pompée marcher devant lui avec un visage serein et un air riant, qu'adoucie par sa présence elle lui laissa le passage libre. Atéius, sans se déconcerter va au-devant de Crassus, lui défend de sortir de Rome et proteste contre son entreprise. Il commande ensuite à un huissier de le saisir et de l'arrêter. Les autres tribuns s'y étant opposés, l'huissier le lâcha ; Atéius, ayant couru à la porte de la ville, met à terre un brasier plein de feu, et lorsque Crassus arrive il jette des parfums dans le brasier, y répand des libations, et, prononçant des imprécations horribles, il invoque par leurs noms des divinités étranges et terribles. Les Romains prétendent que ces imprécations, qui sont très secrètes et très anciennes, ont toujours un effet inévitable sur ceux qui en ont été l'objet ; qu'elles sont même funestes à ceux qui les prononcent ; d'où vient que peu de personnes osent les employer, et qu'ils ne le font que dans des occasions extraordinaires. Aussi blâme-t-on Atéius d'avoir compris dans un anathème si terrible Rome elle-même, dont l'intérêt était le seul motif de son indignation contre le consul. Mauvais présage à Zeugma XXIV. Crassus faisait passer l'Euphrate à ses troupes sur le pont qu'il avait construit près de la ville de Zeugma, lorsqu'il survint tout à coup des tonnerres affreux et des éclairs redoublés qui donnaient dans le visage des soldats. Il s'éleva en même temps un vent impétueux et un nuage épais d'où la foudre s'élançant avec violence tomba sur le pont et en abattit une grande partie. Le lieu où il devait camper fut deux fois frappé de la foudre. Un de ses chevaux de bataille, couvert du plus riche harnais, emporta son écuyer et se précipita avec lui dans le fleuve, où il fut englouti. Quand on enleva l'aigle de la première compagnie, pour donner le signal de la marche, elle se tourna d'elle-même en arrière. Lorsque après le passage du fleuve, on distribua les vivres aux soldats, on commença par le sel et les lentilles, que les Romains regardent comme des signes de deuil et qu'ils font servir pour les funérailles. Crassus, dans le discours qu'il fit aux troupes, laissa échapper une parole qui jeta le trouble dans toute l'armée ; il dit qu'il avait fait rompre le pont, afin que personne ne pût retourner sur ses pas ; et quand il eut senti combien cette parole était inconsidérée, au lieu de la corriger et de l'expliquer, pour rendre la confiance aux timides, son opiniâtreté naturelle elle la lui fit négliger. Enfin, dans le sacrifice d'expiation pour l'armée, il laissa tomber les entrailles de la victime, qu'il prenait des mains du devin ; et s'étant aperçu de l'impression fâcheuse que cet accident avait fait sur les assistants : "Voilà, dit-il en souriant, ce que fait la vieillesse ; du moins les armes ne me tomberont point des mains." Après le sacrifice, il se mit en marche le long de l'Euphrate avec sept légions d'infanterie, un peu moins de quatre mille chevaux, et à peu près autant de troupes légères. Quelques-uns des coureurs qu'il avait envoyés reconnaître le pays lui rapportèrent qu'ils n'avaient pas trouvé un seul homme dans la campagne, mais qu'ils avaient vu les traces d'un grand nombre de cavaliers qui paraissaient avoir pris la fuite, comme s'ils étaient poursuivis. Ce rapport lui donna encore plus de confiance, et les soldats eux-mêmes conçurent du mépris pour les Parthes, en se persuadant qu'ils n'oseraient jamais en venir aux mains avec eux. Mais Cassius représenta de nouveau à Crassus qu'il devait laisser reposer son armée dans une des villes où il avait mis garnison, jusqu'à ce qu'il eût pris des informations plus sûres des ennemis : que s'il n'approuvait pas cet avis, il fallait, en suivant l'Euphrate, gagner Séleucie, où il serait à portée de tirer des vivres en abondance de ses vaisseaux de charge, qui suivraient toujours son camp ; que l'Euphrate les empêchant d'être enveloppés, ils auraient toujours l'ennemi en face, et le combattraient sans désavantage. pour la suite de l'histoire : vie de Crassus de Plutarque |
a,
prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par ab, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par accipio, is, ere, cepi, ceptum : recevoir, apprendre (acceptus, a, um : bien accueilli, agréable) ad, prép. : + Acc. : vers, à, près de adversus, a, um : contraire (prép. + acc. = contre) animus, i, m. : le coeur, la sympathie, le courage, l'esprit apud, prép. : + Acc. : près de, chez ardeo, es, ere, arsi, arsurus : brûler (ardens, entis : brûlant, étincelant, ardent) Armenia, ae, f. : l'Arménie atque, conj. : et, et aussi aurum, i, n. : l'or barbarus, a, um : barbare Caesar, aris, m. : César, empereur campus, i, m. : la plaine, le champ (Campus, i, m. : le champ de Mars) caput, itis, n. :1. la tête 2. l'extrémité 3. la personne 4. la vie, l'existence 5. la capitale careo, es, ere, ui, iturus : manquer de, être débarrassé de Carrae, arum, f. : Carrhes (ville d'Asie Mineure) castra, orum, n. pl. : le camp militaire Cilicia, ae, f. : la Cilicie circumfundo, is, ere, fudi, fusum : répandre autour clades, is, f. : la blessure, la perte, le dommage, le désastre militaire, la grave défaite colloquium, i, n. : l'entretien, la conférence, la conversation commeatus, us, m. :le passage; le congé militaire; le convoi; les approvisionnements, les vivres conspectus, us, m. : la vue, le regard consul, is, m. : le consul corpus, oris, n. : le corps crassus, a, um : épais, grossier (Crassus, i, m. : Crassus) credo, is, ere, didi, ditum : I. 1. confier en prêt 2. tenir pour vrai 3. croire II. avoir confiance, se fier cuius, 1. GEN. SING. du pronom relatif 2. idem de l'interrogatif 3. faux relatif = et eius 4. après si, nisi, ne, num = et alicuius cum, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que cupiditas, atis, f. : le désir de, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de debello, as, are : terminer la guerre par un combat, soumettre par les armes deleo, es, ere, evi, etum : détruire densus, a, um : épais, dense desum, es, esse, defui : manquer devoveo, es, ere, vovi, votum : 1. vouer, dédier, consacrer 2. maudire 3. soumettre à des sortilèges deus, i, m. : le dieu dextra, ou dextera, ae, f. : la main droite dies, ei, m. et f. : le jour dirus, a, um : sinistre, de mauvaise augure, effrayant (dira, orum : les présages funestes) distraho, is, ere, traxi, tractum : rompre en morceaux, partager do, das, dare, dedi, datum : donner duco, is, ere, duxi, ductum : I. tirer 1. tirer hors de 2. attirer 3. faire rentrer 4. compter, estimer II. conduire, emmener, épouser dum, conj. : 1. + ind. = pendant que, jusqu'à ce que 2. + subj. : pourvu que, le temps suffisant pour que dux, ducis, m. : le chef, le guide eisdem, D.PL ou ABL. PL. de idem, eadem, idem : le même eius, génitif singulier de is, ea, id : ce, cette, son, sa, de lui, d'elle enim, conj. : car, en effet equitatus, us, m. : la cavalerie et, conj. : et. adv. aussi etiam, adv. : encore, en plus, aussi, même, bien plus Euphrates, is, m. : l'Euphrate exeo, is,ire, ii, itum : 1. sortir de, aller hors de 2. partir exercitus, us, m. : l'armée expono, is, ere, posui, positum : mettre dehors, exposer, montrer exsanguis, e : qui n'a pas de sang, blême ferrum, i, n. : le fer (outil ou arme de fer) filius, ii, m. : le fils foedus, deris, n. : le traité fortuna, ae, f. : la fortune, la chance fuga, ae, f. : la fuite fundo, is, ere, fusi, fusum : étendre, répandre, disperser Gallus, i, m. : Gaulois grando, inis, f. : la grêle gravis, e : 1. lourd, pesant 2. grave, puissant, forts, grave, dur, rigoureux, pénible, accablant 3. alourdi, embarrassé, accablé haurio, is, ire, hausi, haustum : puiser, boire complètement homo, minis, m. : l'homme, l'humain hostilis, e : de l'ennemi hostis, is, m. : l'ennemi iam, adv. : déjà, à l'instant idem, eadem, idem : le (la) même ille, illa, illud : adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ... imaginarius, a, um : qui n'existe en imagination, imaginaire in, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre incido, is, ere, cidi : I. de cadere : tomber dans, arriver, se présenter II. de caedere : entailler, couper, graver indignus, a, um : indigne infelix, icis : malheureux infundo, is, ere, fudi, fusum : verser dans, répandre inhio, as, are : convoiter, avoir la bouche ouverte insidiae, arum : l'embuscade, le guet-apens interim, adv. : pendant ce temps, entre-temps ipse, a, um : (moi, toi, lui,...) même itaque, conj. : c'est pourquoi, aussi, par conséquent ius, iuris, n. : le droit, la justice legatus, i, m. : le légat, l'envoyé, l'ambassadeur legio, onis, f. : la légion liquidus, a, um : liquide, fluide, coulant, clair, limpide ludibrium, i, n. : le jeu, la plaisanterie, la moquerie, l'outrage manus, us, f. : la main, la petite troupe Mazara, ae, m. : Mazara, nom d'homme medius, a, um : qui est au milieu, en son milieu (medium, i, n. : le milieu) memini, isse, impér. memento : se souvenir Metellus, i, m. : Métellus miserabilis, e : pitoyable, pathétique mitto, is, ere, misi, missum : I. 1. envoyer 2. dédier 3. émettre 4. jeter, lancer II. laisser aller, congédier modus, i, m. : 1 - la mesure, la dimension, la proportion; l'étendue, l'extension; la quantité; la hauteur, la longueur; le contour, le tour, la circonférence. - 2 - la mesure (objet qui sert à évaluer les quantités). - 3 - la mesure, le rythme, la cadence (musicale, oratoire), la mélodie, le chant, le mode musical, la musique. - 4 - la mesure, la règle, la loi, la prescription; la juste mesure, la modération. - 5 - les bornes, les limites, la fin, le terme. - 6 - la manière, la façon, le procédé, la méthode, le genre, la sorte, le mode. - 7 - le mode, la forme (t. de gram.). mora, ae, f. : le délai, le retard, l'obstacle mortuus, a, um : mort mulcto, (multo), as, are : punir, punir de (+ abl) munio, is, ire, ivi, itum : fortifier, construire, abriter, protéger (munitus, a, um : défendu, fortifié, protégé) ne, 1. adv. : ... quidem : pas même, ne (défense) ; 2. conj. + subj. : que (verbes de crainte et d'empêchement), pour que ne pas, de ne pas (verbes de volonté) 3. adv. d'affirmation : assurément 4. interrogatif : est-ce que, si nec, adv. : et...ne...pas Nicephorium, i, n. : Nicéphore, ville de Mésopotamie sur l'Euphrate nihil, indéfini : rien nimbus, i, m. : le nuage nisi, conj. : si... ne... pas ; excepté nuntio, a, are : annoncer nuntius, ii, m. : 1. le messager 2. la nouvelle occupo, as, are : se saisir de, envahir, remplir, devancer, couper (la parole) operio, is, ire, perui, pertum : couvrir, fermer oriens, entis : le soleil levant, l'orient, le levant, l'est Orodes, is, m. : Orode, roi des Parthes os, oris, n. : le visage, la bouche, l'entrée, l'ouverture ostendo, is, ere, tendi, tentum : tendre, montrer paene, adv. : presque pariter, adv. : également; comme, à la manière de, ensemble, à la fois, en même temps parthicus, a, um : des Parthes Parthus, i, m. : Parthe pater, tris, m. : le père, le magistrat per, prép. : + Acc. : à travers, par percussor, oris, m. : l'assassin plebs, plebis, f. : la plèbe Pompeius, i, m. : Pompée pono, is, ere, posui, situm : 1. poser 2. déposer 3. placer, disposer 4. installer 5. présenter, établir populus, i, m. : le peuple possum, potes, posse, potui : pouvoir praefectus, i, m. : le gouverneur, l'administrateur, le commandant primum, adv. : d'abord, pour la première fois queror, eris, i, questus sum : se plaindre qui, 1. nominatif masculin singulier ou nominatif masculin pluriel du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi quidam, quaedam, quoddam/quiddam : un certain, quelqu'un, quelque chose quidem, adv. : certes (ne-) ne pas même quisque, quaeque, quidque : chaque, chacun, chaque chose quo, 1. Abl. M. ou N. du pronom relatif. 2. Abl. M. ou N. du pronom ou de l'adjectif interrogatif. 3. Faux relatif = et eo. 4. Après si, nisi, ne, num = aliquo. 5. Adv. =où ? (avec changement de lieu) 6. suivi d'un comparatif = d'autant 7. conj. : pour que par là quoque, adv. : aussi rapio, is, ere, rapui, raptum : 1. emporter 2. ravir, voler, piller 3. se saisir vivement de recido, is, ere, recidi, recasum : retomber; is, ere, cidi, cisum : ôter en coupant, retrancher *refero, fers, ferre, tuli, latum : 1. reporter 2. porter en retour, rapporter (refert : il importe) regius, a, um : royal relinquo, is, ere, reliqui, relictum : laisser, abandonner reliquiae, arum, f. : les restes reluctor, atis, atus sum: lutter contre, opposer une résistance reporto, as, are : ramener, rapporter respondeo, es, ere, di, sum : répondre rex, regis, m. : le roi rictus, us, m. : l'ouverture de la bouche, la bouche ouverte Romanus, a, um : Romain (Romanus, i, m. : le Romain) se, pron. réfl. : se, soi sed, conj. : mais Seleucia, ae f. : Séleucie (nom de plusieurs villes d'Asie) septemtrio, ionis, m. : les sept étoiles de la grande ou petite Ourse; le septention, le vent du nord, les régions du nord sericus, a, um : de soie sic, adv. : ainsi ; sic... ut : ainsi... que signum, i, m : le signe, l'enseigne, l'oeuvre d'art Sillaces, is, m. : Sillace (nom d'homme) simulo, as, are : 1. rendre semblable 2. simuler, feindre, faire semblant sine, prép. : + Abl. : sans solatium, i, n. : la consolation sollicito, as, are : 1. remuer, agiter, ébranler 2. troubler 3. exciter à, provoquer à 4. solliciter, attirer solus, a, um : seul strages, is, f. : l'écroulement, le tas, le monceau; le désastre subitus, a, um : soudain, subit subveho, is, ere, vexi, vectum : transporter de bas en haut sum, es, esse, fui : être Surena, ae, m. : Surena (nom d'homme) Sylla, ae, m. : Sylla Syria, ae, f. : la Syrie Syrus, a, um : Syrien telum, i, n. : le trait (javelot ou flèche) tergum, i, n. : le dos thesaurus, (thens-), i, m :le trésor, le dépôt, le magasin transeo, is, ire, ii, itum : passer, traverser transfuga, ae, m. : le transfuge tribunus, i, m. : le tribun ; tribunus pl. : le tribun de la plèbe tum, adv. : alors turbo, onis, f. : le tourbillon, le tourbillonnement ultor, oris, m. : le vengeur undique, adv. : de toutes parts, de tous côtés uro, is, ere, ussi, ustum : brûler ut, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que vastitas, atis, f. : le désert, la solitude; la dévastation, la ruine; la grandeur démesurée venio, is, ire, veni, ventum : venir vexillum, i, n. : l'étendard, le drapeau vibro, as, are : agiter, secouer virtus, utis, f. : le courage, l'honnêteté vivus, a, um : vivant vix, adv. : à peine vixdum, inv. : à peine vulnus, eris, n. : la blessure XI inv. : onze zeugma, atis, n. : le zeugma (figure de grammaire) (Zeugma, atis, Zeugma, ville de Coelé-Syrie, sur l'Euphrate) |
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