Le temps des Généraux : Marius |
91 - 88 : Guerre sociale |
91 - 88 |
VELLEIUS PATERCULUS :
Velleius
Paterculus fut préfet de cavalerie de Tibère. Il écrivit une Histoire
Romaine allant du retour de Troie au règne de Tibère.
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Velleius Paterculus est le seul auteur latin qui nous donne quelques renseignements sur la guerre sociale. |
DIODORE DE SICILE LIVRE XXXVII.(fragments) I. La guerre Marsique a tiré son nom de la révolte du premier peuple d’Italie qui y donna lieu : car d’ailleurs l’Italie entière se joignit aux Marses contre les Romains. On dit que la première source de cette guerre fut le passage que les Romains firent de la tempérance et de la frugalité qui régnait en leur ancienne manière de vivre, et à laquelle seule ils devaient la grandeur et l’étendue de leur empire, à ce débordement prodigieux de luxe et de débauche auquel ils s’abandonnèrent dans la suite : car de fut là précisément la cause de la division qui s’introduisit dans la république entre le sénat et le peuple. Avant ce temps, le Sénat ayant besoin d’être soutenu dans ses entreprises militaires par les peuples de l’Italie, leur promit le droit de Bourgeoisie qui était devenu l’objet de leur ambition et de leurs voeux, et s’engagea de le leur confirmer par une loi. Mais comme ils ne se pressaient pas de tenir leur promesse ; ce fut des Italiens mêmes que naquit l’incendie de cette fâcheuse guerre contre les Romains. En la soixante et onzième Olympiade, L. Marcius Philippus et Sex. Julius Caesar étant consuls à Rome, commença la guerre appelée Marsique, dans laquelle il y eut de part et d’autre des défaites sanglantes et singulières, aussi bien que des prises funestes de villes. Il s’écoula un long espace de temps où la fortune paraissait balancer exprès entre l’un et l’autre parti, passait incessamment de l’un à l’autre, comme si elle n’eut voulu en favoriser aucun. Cependant après la perte d’une infinité d’hommes des deux côtés, les Romains au bout d’un temps assez long, et au prix de bien des soldats qu’il leur en coûta demeurèrent les maîtres et les souverains, comme ils l’étaient auparavant. Ils eurent à faire tout à la fois aux Samnites, aux habitants d’Asculum, aux Lucaniens, aux Picentins, à ceux de Nole, et de plusieurs autres provinces ou villes. La principale de ces dernières était Corfinum, que tous les peuples regardaient en quelque sorte, comme leur capitale commune, et qu’ils venaient de décorer de tous les édifices qui indiquent une grande ville, et qui en marquent la supériorité sur les autres. On y voyait un marché très vaste, et une grande maison de ville dans laquelle on gardait toutes les espèces d’armes et toutes les machines qui pouvaient servir à la guerre, mais surtout l’argent que l’on destinait à cet usage. Il y avait outre cela un sénat de cinq cents personnes, d’où l’on tirait tous ceux qui devaient être chargés des principales fonctions de la république, de la gloire de l’Etat, et de la sûreté des citoyens. Aussi ces magistrats exerçaient-ils chez eux l’autorité souveraine. Ils firent une loi selon laquelle ils devaient nommer chaque année deux consuls et douze commandants d’armées. Dans l’année dont il s’agit, leurs deux consuls furent Q. Pompaedius Silo, Marse de nation, le premier homme de sa province, et C. Aponius Motulus, Samnite d’origine et célèbre entre tous ses compatriotes par la gloire que ses actions lui avaient acquise. Ces deux consuls ayant partagé l’Italie comme en deux provinces consulaires, se chargèrent chacun de la sienne. On confia à Pompaedius le pays qui s’étend depuis Cercola jusqu’à la mer Adriatique du côté du Nord et du Couchant, en lui donnant six capitaines pour aides et pour conseil. Le reste de l’Italie, c’est-à-dire, les provinces situées à l’Orient et au Midi, furent commises à la garde de C. Motilus, auquel on donna de même six adjoints. Après avoir mis leur gouvernement sous cette forme, qui pour dire vrai était imitée des premiers temps de Rome et rappelait la première institution du sénat ; ils se livrèrent tout entiers au soins de la guerre qui se préparait, en donnant à toute l’Italie le nom de patrie et même de ville unique et commune. Ils firent en effet la guerre aux Romains avec tant de zèle et de courage, qu’ils leur furent presque toujours supérieurs ; jusqu’à ce que le consul Cnéius Pompée nommé général, et Sylla revêtu du même titre sous Caton l’autre consul, ayant vaincu et battu les Italiens à plusieurs reprises, les réduisirent au point de ne pouvoir plus se défendre. Ils ne laissèrent pourtant pas de fomenter la guerre encore quelque temps. Mais enfin C. Coscinius ayant été envoyé pour commandant dans l’Iapyge, ils furent battus plus d’une fois ; ainsi découragés par leurs défaites réitérées, ils abandonnèrent leur nouvelle ville de Corfinium ; d’autant plus que les Marses et les autres nations du voisinage se laissaient toutes entraîner dans le parti des Romains. Ainsi s’étant d’un commun accord transportés tous à Aesernic, ville des Samnites, ils se donnèrent cinq préteurs, à l’un desquels nommé Q. Pompaedius Silon, ils déférèrent l’autorité absolue, à cause de son expérience et de sa capacité dans la guerre. Celui-ci, du consentement de tous les préteurs ses associés, leva une grosse armée qui forma avec les vétérans un corps de trente mille hommes. Outre cela, affranchissant les esclaves, et leur donnant des armes telles qu’on put les trouver, il fit encore un corps d’environ vingt mille hommes d’infanterie et de mille cavaliers. Etant venu à la rencontre des Romains, commandés par Mamercus, il en mit à la vérité quelques-uns par terre ; mais il perdit plus de dix mille hommes des siens. Metellus s’avançant de son côté dans la Pouille avec une grosse armée assiégea et emporta Venusium, où il fit plus de trois mille prisonniers, et les Romains prenaient visiblement le dessus sur leurs ennemis. Ce fut en ce temps là que les peuples d’Italie firent une députation en forme à Mithridate roi du Pont, qui se distinguait alors par le nombre et par le bon ordre de ses troupes. Ils l’invitaient à passer incessamment en Italie pour y opprimer les Romains, dans l’espérance que cet ennemi étranger serait capable de détruire leur puissance. Mithridate leur répondit qu’il conduirait son armée chez eux, dès qu’il aurait soumis l’Asie, qui était alors son objet. Les rebelles déchus ainsi de leur espérance furent extrêmement découragés. Il restait peu de Samnites en état d’agir, les sabelliens se tenaient enfermés dans leur ville de Nole, et l’on ne voyait plus que Lamponius et Cleptius qui commandaient le peu qui restait de Lucaniens. Ainsi la guerre marsique, paraissait être sur sa fin, et devoir être bientôt suivie de celle qu’on attendait de la part de Mithridate ; les mouvements, les brigues et les partis dont on avait vu des exemples en d’autres temps, se renouvelèrent dans Rome pour le choix du commandant qu’on devait nommer pour une guerre de cette importance. La grandeur des récompenses qui devaient être attachées au succès contre un pareil ennemi, faisaient rechercher par les plus illustres citoyens de Rome la commission de le combattre. Les prétendants réduits enfin à deux C. Julius et C Marius dont le dernier avait été six fois consul, semblaient partager également les suffrages du peuple. Et ce ne fut pont même encore la le seul objet qui mit les esprits dans l’agitation et dans le trouble. Le consul Sylla partant de Rome se rendit à son armée déjà assemblée devant Nole, et par l’effroi qu’il causa à plusieurs villes des environs, il les obligea de se rendre ; mais ayant entrepris ensuite son expédition en Asie contre Mithridate, dans le temps que Rome était agitée par bien des séditions et des meurtres ; M Aponius et Tib. Cleptius, auxquels on peut ajouter encore Pompaedius, préteurs des peuples d’Italie non encore soumis, résidants tous dans la Brutie, assiégeaient toujours Isia, ville forte qu’ils ne pouvaient prendre. C’est pourquoi laissant une partie de leur armée devant cette place, ils en conduisent tout le reste devant Rhege ; espérant que s’ils pouvaient emporter cette dernière ville, ils feraient passer aisément de là leurs troupes dans la Sicile, et parviendraient bientôt à se rendre maîtres de cette île, la plus grande et la plus fertile qui soit éclairée par le soleil. Mais C. Urbanus qui la gouvernait alors de la part des Romains comme préteur, rassemblant son armée et toutes ses forces en grand appareil, fit trembler par ce seul préparatif les Italiens, et délivra en même temps la ville de Rheges qu’ils assiégeaient encore. Peu de temps après la guerre civile entre Sylla et Marius s’étant élevée, après une grande perte de citoyens de part et d’autre, ce qui restait de vaincus s’attacha à Sylla demeuré vainqueur. Ce fut la véritable fin de la guerre marsique, la plus forte qu’il y eut eu encore contre les peuples de l’Italie, et qui se termina avec une guerre civile entre les Romains mêmes. LIVRE XXXVII. (extraits) En ce temps-là Pompaedius Silo, chef des Marses se jeta dans une entreprise extraordinaire. A la tête de dix mille hommes qui craignaient les recherches de la justice, et qui cachaient leur épée sous leurs habits, il les fit marcher du côté de Rome. Son dessein était d’entourer le Sénat, et de demander pour lui et pour sa province le droit de Citoyens Romain ; et en cas de refus de ravager Rome et son territoire par le fer et par le feu. C. Domitius vint au devant de lui et lui demanda où il prétendait aller à la tête de tant de troupes. A Rome, dit-il, où les tribuns mêmes m’on fait espérer qu’on accorderait à moi et à ceux qui m’accompagnent, le titre de citoyens romains. Domitius lui répondit qu’il obtiendrait la demande bien plus sûrement et plus agréablement pour lui et pour les siens s’il ne se présentait pas en forme de guerre : d’autant que le titre auquel il aspirait était un gage de liaison et d’amitié qui ne s’acquérait point par les hostilités et par la violence. Pompaedius frappé de respect à la seule présence de cet homme, et cédant à la sagesse de son conseil, s’en retourna sur le champ. C’est ainsi que Domitius, par la prudence de ses discours, sauva la patrie d’une attaque dangereuse ; s’étant bien mieux conduit en cette rencontre que le proconsul Servilius à l’égard des Picentins. Car celui-ci agissant avec ces derniers, non comme avec des hommes libres et alliés de la République, mais comme avec des esclaves, et les aigrissant par les mences perpétuelles qu’il leur faisait, il s’attira des retours fâcheux pour lui-même et pour beaucoup d’autres. Au lieu que Domitius apaisa par sa modération la fougue insensée des Marses. Il y avait dans la ville d’Asculum un certain Agamemnon Cilicien d’origine que les Romains avaient fait mettre en prison, pour cause d’in brigandage, duquel s’était même ensuivi le meurtre de quelques-uns de leurs alliés. Le criminel tiré de là par quelques Picentins, se donna tout entier à leur service, et combattait vaillamment pour eux. Accoutumé de longue main à sa profession, il courait le pays ennemi de Picène, avec des brigands qu’il avait formés lui-même à cet exercice. Les habitants de Pinna tombèrent dans les plus grandes des calamités, pour avoir voulu garder la fidélité qu’ils avaient vouée aux Romains. Car n’ayant jamais voulu renoncer à l’alliance qu’ils avaient contractée avec eux, ils furent réduits à voir égorger leurs enfants à leurs propres yeux.
LA GUERRE
SOCIALE http://www.chez.com/clio/rome/sociale/intro_gs.htm je me permets de retranscrire le site, j'ai trop peur de sa disparition (c'est de loin le meilleur site sur la guerre sociale)
1. Une révolte sociale en fermentation. 1-1. Une mosaïque de territoires aux statuts politiques différents A Rome (Urbs) les citoyens
bénéficiaient du droit romain, et étaient appelés " citoyens
complets " (civis optimo jure) car ils possédaient l'ensemble
des droits civils et politiques. Il y avait aussi des droits politiques : les citoyens romains étaient exemptés
d'impôts. 1-2. Les tentatives de réformes Les lois des Gracques avaient rendu la
situation des italiens encore plus difficile puisqu'elle réservait la
distribution des terres aux seuls citoyens romains. Conscient des tensions
qui en résultaient, Caius Gracchus avait proposé l'année de sa mort,
(-121) d'étendre la citoyenneté aux latins et le droit latin à tous les
alliés. 2. Le soulèvement 2-1. Constitution de confédération italienne. Suite à l'assassinat de Marcus Drusus la
péninsule prit les armes. 2-2. La riposte de Rome. 2-2-1 Les campagnes du Nord P . Rutilius Lupus, consul en exercice en
90 fut envoyé mater le soulèvement des Marses dans le nord avec un grand
nombre d'hommes. Caius Marius légat et parent de Lupus lui conseilla
d'attendre l'arrivée des troupes de renfort. Mais ce dernier ne tint pas
compte du conseil ce qui entraîna une défaite de l'armée romaine et la
mort du consul. Les funérailles de Rutilius Lupus qui se déroulèrent à
Rome bouleversèrent tellement le peuple romain que le Sénat décida que
les commandants morts sur le champ de bataille seraient enterrés sur
place. Marius prit le commandement de l'armée de Lupus et renversa la
situation en faveur des Romains : il remporta des victoires significatives
sur les Marses. 2-2-2 Les campagnes du sud. L. Julius César (à ne pas confondre avec
C. Julius César d'une dizaine d'années) consul commença le long siège
de la Ville Aesernia qui faisait le lien entre la capitale de la
confédération Italica et la capitale des Samnites Beneventum. 3. Vers la paix. 3-1 Les réformes indispensables. C'est lorsque près de 300 000 hommes
furent tombés de part et d'autre que le Sénat se décida en –90 à
donner le titre de citoyens romains aux Etrusques et aux Ombres comme
récompense de leur fidélité : ce fut la Lex Julia. 3-2 Les Marses vaincus. L.Porcuis Cato qui avait prit le
commandement de l'armée de Marius et continua l'attaque du territoire des
Marses. 3-3 Le dernier sursaut des Italiens. Sylla qui commandait les armées romaines
en Campanie fit subir aux Italiens une première défaite au printemps –89.Il
avait été le questeur de Marius durant la guerre contre Jugartha et
avait récemment opéré avec succès comme préteur en Sicile. Il visait
maintenant de devenir consul. C'est en –88 que s'arrêta officiellement
cette guerre atroce. |
a,
prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par ab, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par abhinc, adv. : loin d'ici, à partir de maintenant; prép. (+acc. ou abl.) abunde, adv. : en abondance ac, conj. : et, et aussi ad, prép. : + Acc. : vers, à, près de adhuc, adv. : jusqu'ici, encore maintenant adsequor, eris, i, secutus sum : 1. atteindre, attraper 2. parvenir à, obtenir adversus, a, um : contraire (prép. + acc. = contre) Aeculanensis, e : d'Eculanum (ville du Samnium) aetas, atis, f. : 1. le temps de la vie, la vie 2. l'âge 3. la jeunesse 4. te temps, l'époque (in aetatem : pendant longtemps) alienus, a, um : 1. d'autrui, étranger 2. éloigné, déplacé, désavantageux alius, a, ud : autre, un autre amicio, is, ire, icui et ixi, ictum : - tr. - couvrir, voiler, vêtir, revêtir; habiller, envelopper. - amiciri : s'habiller, se draper, mettre de l'ordre dans ses vêtements. amplius, adv. : plus animus, i, m. : le coeur, la sympathie, le courage, l'esprit annales, ium : pl. les annales annus, i, m. : l'année ante, prép. : +acc., devant, avant ; adv. avant appello, as, are : 1 - aborder qqn, adresser la parole à, engager à. - 2 - invoquer comme appui, comme témoin; se pourvoir, faire appel (t. de droit). - 3 - sommer, réclamer, engager, solliciter; citer en justice, attaquer en justice. - 4 - nommer, déclarer, citer, proclamer. - 5 - prononcer. arma, orum, n. : les armes Asculanus, a, um : l'habitant d'Asculum (ville du Picenum) Asinius, i, m. : Asinius atavus, i, m. : le quatrième aïeul, le père du trisaïeul ou de la trisaïeule. atque, conj. : et, et aussi atrox, ocis : 1 - funeste, effrayant, dur, cruel, atroce, violent, impitoyable, farouche. - 2 - en bonne part : rigide, inflexible, rigoureux. - 3 - énergique, violent (style). auctoritas, atis, f. : l'avis, le prestige, l'autorité, la volonté (du Sénat), la décision aufero, fers, ferre, abstuli, ablatum : emporter aut, conj. : ou, ou bien autem, conj. : or, cependant, quant à - bellum, i, n. : la guerre biennium, i, n. : l'espace de deux ans C, = Caius, ii, m. : abréviation. Caesar, aris, m. : César, empereur Campanus, a, um : Campanien, de Campanie capio, is, ere, cepi, captum : prendre caput, itis, n. :1. la tête 2. l'extrémité 3. la personne 4. la vie, l'existence 5. la capitale Cato, onis, m. : Caton causa, ae, f. : la cause, le motif; l'affaire judiciaire, le procès; + Gén. : pour CCC, inv. : 300 celeberrimus, a, um : superlatif de celeber, bris, bre : très fréquenté, célèbre, très répandu civis, is, m. : le citoyen civitas, atis, f. : 1 - la qualité de citoyen, la condition de citoyen, l'état de citoyen, le droit de cité. - 2 - la réunion de citoyens, la ville, la cité, la nation, l'Etat. clarior, oris : comparatif de clarus, a, um : célèbre, illustre clarissimus, a, um : superlatif de clarus, a, um : célèbre, illustre claritudo, inis, f. : la clarté, l'éclat Cn, inv. : abréviation de Cnaeus cogitatio, onis, f. : 1. la pensée, l'imagination 2. la réflexion 3. le résultat de la réflexion 4. l'idée, le dessein cognomen, inis, n. : le surnom, le cognomen (partie du nom qui suit le gentilice) conscribo, is, ere, scripsi, scriptum : composer, rédiger conscriptus, a, um : 1 - inscrit ensemble, enrôlé. - 2 - décrit, écrit, composé; tracé, dessiné, marqué. - 3 - stipulé, convenu, signé. - (patres) conscripti, orum, m. : les sénateurs, les pères conscrits (inscrits ensemble sur la liste des sénateurs). consensus, us, m. : l'accord, l'assentiment consequor, eris, i, cutus sum : 1. venir après, suivre 2. poursuivre, rechercher 3. atteindre, obtenir, acquérir consul, is, m. : le consul consulatus, us, m. : le consulat continuo, adv. : incontinent, à l'instant, immédiatement après Corfinium, i, n. : Corfinium (ville des Paeligni) Cornelius, i, m. : Cornélius Cosa, ae, f. : Cosa (ville d'Etrurie) creo, as, are : 1. créer, engendrer, produire 2. nommer un magistrat cuius, 1. GEN. SING. du pronom relatif 2. idem de l'interrogatif 3. faux relatif = et eius 4. après si, nisi, ne, num = et alicuius cum, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que CXX, inv. : 120 de, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de Decius, ii, m. : Décius deinde, adv. : ensuite depono, is, ere, posui, positum : déposer, abandonner Didius, i, m. : Didius dilucide, adv. : avec éclat diu, adv. : longtemps do, das, dare, dedi, datum : donner domesticus, a, um : privé, domestique dono, as, are : alicui aliquod, ou aliquem aliqua re : donner qqch à qqun Drusus, i, m. : Drusus dum, conj. : 1. + ind. = pendant que, jusqu'à ce que 2. + subj. : pourvu que, le temps suffisant pour que duo, ae, o : deux duplex, icis : 1 - double. - 2 - qui est composé de deux parties, bifide, divisé en deux. - 3 - au plur. deux. - 4 - double, fort, gros, grossier; considérable. - 5 - fourbe, rusé, double. - 6 - à double sens. dux, ducis, m. : le chef, le guide eam, 1. accusatif féminin singulier de is, ea, id = la (pronom), ce, cette 2. 1ère pers. sing. du subjonctif présent de eo, is, ire : aller Egnatius, i, m. : m. : Egnatius ego, mei : je eius, génitif singulier de is, ea, id : ce, cette, son, sa, de lui, d'elle eminens, entis : qui s'élève, saillant, proéminent enim, conj. : car, en effet eo, 1. ABL. M-N SING de is, ea, is : le, la, les, lui... ce,..; 2. 1ère pers. sing. de l'IND PR. de eo, ire 3. adv. là, à ce point 4. par cela, à cause de cela, d'autant (eo quod = parce que) eo, is, ire, ivi, itum : aller eos, acc. m. pl. de is, ea, id : les, ceux-ci, ces eques, itis, m. : le chevalier, le cavalier et, conj. : et. adv. aussi eum, ACC M SING. de is, ea, id : il, lui, elle, celui-ci... ex, prép. : + Abl. : hors de, de exarmo, as, are : désarmer, dégréer excipio, is, ere, cepi, ceptum : 1. retirer de, excepter, stipuler expressément 2. accueillir, recevoir (une nouvelle) excito, as, are : 1 - appeler hors de, faire sortir. - 2 - éveiller, réveiller. - 3 - faire lever, faire quitter une place, chasser. - 4 - faire paraître, produire. - 5 - élever, bâtir, construire, ériger, faire pousser. - 6 - relever, remettre sur pied. - 7 - allumer (le feu). - 8 - au fig. allumer, enflammer, exciter, ranimer; provoquer, soulever. exercitus, us, m. : 1 - l'armée, le corps de troupes. - 2 - l'infanterie. - 3 - la foule, la troupe, la multitude, l'essaim (d'abeilles). - 4 - l'exercice. - 5 - la peine, le chagrin, le tourment, l'inquiétude. exilium, ii, n. : l'exil expello, is, ere, puli, pulsum : chasser externus, a, um : 1 - extérieur, externe, du dehors; extrinsèque. - 2 - étranger, du dehors; importé, exotique. - 3 - de l'étranger, de l'ennemi. facio, is, ere, feci, factum : faire familia, ae, f. : l'ensemble des esclaves de la maison, le personnel; la troupe, l'école fastidio, is, ire, i(v)i, itum : avoir du dégoût, de la répugnance, repousser avec dédain fastigium, ii, n. : 1 - le faîte, le frontispice, le pignon, le fronton; le comble; le terrasse. - 2 - le point culminant, la pointe, la tête, le sommet, la sommité, le haut, la crête (en parl. d'un lieu). - 3 - la pente, l'inclinaison, la profondeur, la cavité. - 4 - la superficie, la surface. - 5 - le faîte, le sommet, le comble, le plus haut point, l'élévation, le rang élevé, la grandeur. - 6 - le point principal, l'essentiel. - 7 - l'accent (écrit ou prononcé). - 8 - l'espèce, le genre. fidelissimus, a, um : superlatif de fidelis, e : fidèle fides, ei, f. : 1. la foi, la confiance 2. le crédit 3. la loyauté 4. la promesse, la parole donnée 5. la protection (in fide : sous la protection) filius, ii, m. : le fils finio, is, ire, ivi, itum : tr. - 1 - limiter, borner, délimiter. - 2 - déterminer, spécifier, assigner, prescrire, statuer, régler, décider. - 3 - finir, terminer, achever, mettre fin. - 4 - définir. - 5 - intr. - cesser de parler. finis, is, f. : la limite, la fin ; pl., les frontière, le territoire fluo, is, ere, fluxi, fluxum : couler, s'écouler Fonteius, i, m. : Fonteius fortuna, ae, f. : la fortune, la chance fundo, is, ere, fusi, fusum : fundo, fundere, fudi, fusum : - tr. - 1 - verser, répandre, jeter, lancer (au pr. et au fig.). - 2 - fondre des métaux, mettre en fusion, couler. - 3 - jeter à terre, terrasser, renverser, abattre. - 4 - disperser, mettre en déroute. - 5 - déployer, étendre. - 6 - laisser échapper de sa bouche, émettre. - 7 - lâcher; relâcher (t. de méd.). - 8 - mettre au jour, produire. - 9 - arroser, humecter. fungor, eris, i, functus sum : 1 - remplir (une fonction), exercer, s’acquitter de, accomplir, exécuter. - 2 - acquitter (une dette), s'acquitter envers, payer. - 3 - employer, jouir de. - 4 - souffrir, endurer. - 5 - sens passif : être payé. Gallia, ae, f. : la Gaule gens, gentis, f. : la tribu, la famille, le peuple gero, is, ere, gessi, gestum : tr. - 1 - porter, qqf. transporter. - 2 - produire, enfanter. - 3 - au fig. porter, contenir, avoir en soi, entretenir (un sentiment). - 4 - faire (une action); exécuter, administrer, gouverner, gérer, conduire, exercer; au passif : avoir lieu. - 5 - passer (le temps). - 6 - avec ou sans se : se conduire, se comporter; jouer le rôle de, agir en. gloria, ae, f. : 1. la gloire, la réputation, le renom 2. le désir de gloire gratia, ae, f. : la grâce, la reconnaissance (gratias agere = remercier) habeo, es, ere, bui, bitum : avoir (en sa possession), tenir (se habere : se trouver, être), considérer comme habitus, us, m. : la manière d'être, l'apparence, l'habit Herculaneum, i, n. : Herculanum (ville de Campanie) Herius, i, m. : Herius (nom d'homme) hic, haec, hoc : adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci Hirpini, orum, m. : les Hirpins (peuple du Samnium) homo, minis, m. : l'homme, l'humain honos, oris, m. : l'honneur, l'hommage, la charge, la magistrature, les honoraires Hortensius, i, m. : Hortensius hostis, is, m. : l'ennemi iampridem, adv. : depuis longtemps id, nominatif - accusatif neutre singulier de is, ea, is : il, elle, le, la, ce, .... idem, eadem, idem : le (la) même ille, illa, illud : adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ... illustro, as, are : éclairer, illustrer, illuminer imperator, oris, m. : le général, l'empereur imperium, ii, n. : 1 - le commandement, l'ordre, l'injonction, l'autorité. - 2 - le droit de commander, l'autorité suprême, la puissance, la domination, la souveraineté, l'hégémonie, la suprématie, la prééminence. - 3 - le pouvoir dans l'Etat : le commandement militaire. - 4 - le pouvoir monarchique, la royauté, l'empire. - 5 - l'empire, l'Etat. - 6 - l'ordonnance (du médecin). in, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre ineo, is, ire, ii, itum : entrer dans, se mettre à Insteius, i, m. : Insteius integer, gra, grum : non touché, sain et sauf ; de integro : de nouveau; ex integro : de fonds en comble; integrum est mihi : j'ai les mains libres inter, prép. : + Acc. : parmi, entre intermitto, is, ere, misi, missum : tr. - 1 - suspendre, interrompre (une action). - 2 - laisser passer (un intervalle de temps). - 3 - laisser libre, laisser inoccupé. - 4 - omettre. - intr. - 5 - cesser, discontinuer, laisser un intervalle, laisser de l'espace, faire une pause. ipse, a, um : (moi, toi, lui,...) même is, nominatif masculin singulier de is, ea, id : ce, cette, celui-ci, il, 2ème personne sing. de eo, is, ire : aller ita, adv. : ainsi, de cette manière ; ita... ut, ainsi que Italia, ae, f. : l'Italie italicus, a, um : italien iuro, as, are : jurer ius, iuris, n. : le droit, la justice iustissimus, a, um : superlatif de iustus, a, um : juste, équitable iuventus, tutis, f. : la jeunesse L, abrév. : Lucius laudo, as, are : 1. louer, approuver, vanter 2. prononcer un éloge 3. citer, nommer legatio, onis, f. la députation, l'ambassade, la fonction legatus, i, m. : 1 - l'envoyé, le député, l'ambassadeur. - 2 - le délégué, le commissaire, le légat. - 3 - le lieutenant (d'un général en chef); le commandant d'une légion. - 4 - le lieutenant de l'empereur, le légat de l'empereur, le gouverneur d'une province. - 5 - le légat, l'assesseur d'un préteur. legio, onis, f. : la légion lego, is, ere, legi, lectum : cueillir, choisir, lire (lectus, a, um : choisi, d'élite) lex, legis, f. : la loi, la (les) condition(s) d'un traité locus, i, m. : le lieu, l'endroit; la place, le rang; la situation Magius, i, m. : Magius (nom d'homme) magnus, a, um : grand malo, mavis, malle, malui : préférer malus, a, um : mauvais, malheureux, méchant (malum, i, n. : le mal, le malheur, les mauvais traitements) maneo, es, ere, mansi, mansum : rester Marius, i, m. : Marius Marsi, orum : les Marses (peuple du Latium ou peuple germain) maturius, adv. : fort à propos, de très bonne heure, plus tôt maxime, adv. : surtout maximus, a, um : superlatif de magnus, a, um : grand memoria, ae, f. : 1. la mémoire 2. le souvenir 3. l'époque 4. la relation (d'une chose) mereo, es, ere, rui, ritum (mereri, eor, itus sum) : mériter, gagner; merere ou mereri (stipendia) : toucher la solde militaire, faire son service militaire meritum, i, n. : le mérite, la conduite Metellus, i, m. : Métellus meus, mea, meum : mon miles, itis, m. : le soldat milia, ium : des milliers Minatius, i, m. : Minatius mors, mortis, f. : la mort multum, adv. : beaucoup multus, a, um : en grand nombre (surtout au pl. : nombreux) Mutilus, i : Mutilus natus, a, um : formé par la naissance, né pour, âgé de (natus, i, m. : le fils) nec, adv. : et...ne...pas nepos, otis, m. : le petit fils ; péj. : le dissipateur, le dépensier neque, adv. : et ne pas nisi, conj. : si... ne... pas ; excepté nobilis, e : 1 - connu. - 2 - bien connu, célèbre, illustre, renommé, noble, glorieux; fameux (péjoratif ou laudatif). - 3 - noble de naissance; de naissance illustre. - 4 - de bonne race (en parl. des animaux). Nolanus, a, um : de Nole nolo, non vis, nolle, nolui : ne pas vouloir, refuser non, neg. : ne...pas nullus, a, um : aucun numero, as, are : 1 - compter, énumérer, dénombrer, calculer, supputer, énumérer; passer en revue. - 2 - compter, payer. - 3 - compter parmi, mettre au nombre de, regarder comme, tenir pour. - 4 - parcourir en cadence (les cordes de l'archet). numerus, i, m. : 1 - le nombre, la quantité, la foule, la multitude. - 2 - la compagnie, la cohorte, la légion, la troupe. - 3 - l'ordre, l'arrangement, la règle. - 4 - la valeur, le compte, le titre. - 5 - la classe, la catégorie, la corporation, le rang, la considération, le titre, la qualité. - 6 - la mesure (t. de musique), la cadence, le rythme, l'ordre, le ton, l'air, l'harmonie; la convenance. - 7 - la partie d'un tout : le pied métrique, le mètre, le vers. Numidicus, a, um : le Numidique (surnom de Metellus) occido, is, ere, occidi, occisum : I. 1. tomber à terre 2. succomber, périr 3. se coucher II. couper, mettre en morceaux, tuer occupo, as, are : se saisir de, envahir, remplir, devancer, couper (la parole) omnis, e : tout oppugno, as, are : assiéger, attaquer (une ville) orior, iris, iri, ortus sum : naître, tirer son origine, se lever (soleil) P, abréviation de Publius paene, adv. : presque Papius, i, m. : Papius pars, partis, f. : la partie, le côté pater, tris, m. : le père, le magistrat paulatim, adv. : peu à peu penetro, as, are : faire entrer, pénétrer per, prép. : + Acc. : à travers, par pervenio, is, ire, veni, ventum : - intr. qqf. tr. - arriver (jusqu'à un but), parvenir à, atteindre, arriver (dans tel ou tel état), revenir en partage. peto, is, ere, i(v)i, itum : 1. chercher à atteindre, attaquer, 2. chercher à obtenir, rechercher, briguer, demander pietas, atis, f. : le respect, le patriotisme, l'affection pius, a, um : pieux, juste plebs, plebis, f. : la plèbe plenus, a, um : 1. plein 2. rassasié, entier, complet, abondamment pourvu Pompeius, i, m. : Pompée Pontidius, i, m. : Pontidius (nom d'homme) Pontius, i, m. : Pontius Popaedius, i, m. : Poppaedius (chef des Marses) populus, i, m. : 1. le peuple - 2. f. : le peuplier Porcius, a, um : (lex) Porcia possum, potes, posse, potui : pouvoir post, adv. : en arrière, derrière; après, ensuite; prép. : + Acc. : après praedico, is, ere, dixi, dictum : tr. - 1 - dire d'avance, dire auparavant. - 2 - prédire, pronostiquer, prophétiser, annoncer. - 3 - signifier, notifier, enjoindre, recommander. praesto, as, are : l'emporter sur, être garant, fournir (praestat : imp. : il vaut mieux) - ut : faire en sorte que praetor, oris, m. : le préteur praetura, ae, f. : la préture princeps, ipis, n. m. et adj. : premier, chef, empereur procumbo, is, ere, cubui, cubitum : intr. - 1 - se pencher en avant, s'incliner, tomber. - 2 - se coucher, s'étendre. - 3 - s'étendre (en parl. d'un lieu). - 4 - tomber de toute sa hauteur, se prosterner, s'affaisser, s’abattre, s'écrouler. - 5 - tomber (blessé ou mort), succomber. - 6 - fondre sur, s'abattre sur. publicus, a, um : public Pyrrhus, i, m. : Pyrrhus (roi d'Epire) Q, abr. pour Quintus qua, 1. ablatif féminin singulier du relatif. 2. Idem de l'interrogatif. 3. après si, nisi, ne, num = aliqua. 4. faux relatif = et ea 5. adv. = par où?, comment? quae, 4 possibilités : 1. nominatif féminin singulier, nominatif féminin pluriel, nominatif ou accusatif neutres pluriels du relatif = qui, que (ce que, ce qui) 2. idem de l'interrogatif : quel? qui? que? 3. faux relatif = et ea - et eae 4. après si, nisi, ne, num = aliquae quam, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien qui, 1. nominatif masculin singulier ou nominatif masculin pluriel du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi quidem, adv. : certes (ne-) ne pas même quippe, inv. : adv. : assurément, oui, bien sûr. conj. + ind. : en effet, c'est qu'en effet, car. quisquam, quaequam, quidquam (quic-) : quelque, quelqu'un, quelque chose quo, 1. Abl. M. ou N. du pronom relatif. 2. Abl. M. ou N. du pronom ou de l'adjectif interrogatif. 3. Faux relatif = et eo. 4. Après si, nisi, ne, num = aliquo. 5. Adv. =où ? (avec changement de lieu) 6. suivi d'un comparatif = d'autant 7. conj. : pour que par là quod, 1. pronom relatif nom. ou acc. neutre singulier : qui, que 2. faux relatif = et id 3. conjonction : parce que, le fait que 4. après si, nisi, ne, num = aliquod = quelque chose 5. pronom interrogatif nom. ou acc. neutre sing. = quel? recipio, is, ere, cepi, ceptum : 1. retirer, ramener 2. reprendre 3. recevoir, accepter, admettre 4. se charger de reditus, us, m. : le retour refero, fers, ferre, tuli, latum : 1. reporter 2. porter en retour, rapporter (refert : il importe) reficio, is, ere, feci, fectum : reconstruire, refaire, réparer, redonner des forces (refectus, a, um : réconforté) regio, onis, f. : la région, l'arrondissement reliquiae, arum, f. :1 - le reste, le restant, ce qui reste, les débris; ceux qui restent. - 2 - les restes (d'un repas), les reliefs. - 3 - les restes, les cendres. - 4 - les reliques. - 5 - les excréments. res, rei, f. : la chose, l'événement, la circonstance, l'affaire judiciaire; les biens restituo, is, ere, tui, tutum : remettre debout, reconstruire, restaurer; restituer, rendre Romanus, a, um : Romain (Romanus, i, m. : le Romain) Rufinus, i, m. : Rufinus Rutilius, i, m. : Rutilius sagum, i, n. : 1 - le sayon, la saie, la casaque militaire (vêtement des esclaves ou des soldats). - 2 - la couverture, la housse. (saga sumere = prendre les armes) sanguis, inis, m. : le sang, la vigueur satis, adv. : assez, suffisamment Saturninus, i, m. : Saturninus se, pron. réfl. : se, soi sed, conj. : mais senatus, us, m. : le sénat senex, senis, m. : le vieillard seni, ae, a : chacun six Servilius, i, m. : Servilius sextus, a, um : sixième (Sextus, i, m. : Sextus) Silo, onis, m. : Silon (surnom romain) simul, inv. : adv. en même temps, conj : dès que solvo, is, ere, ui, utum : 1. détacher, dénouer, détacher (- navem = lever l'ancre) 2. payer, acquitter 3. désagréger, rompre 5. relâcher, amollir solus, a, um : seul sub, prép. : + Abl. : sous subtraho, is, ere, traxi, tractum : tr. - 1 - tirer par-dessous, tirer de dessous. - 2 - soustraire, dérober, retirer, enlever, ôter, éloigner. successus, us, m. : le succès, la réussite suffragium, i, n. : le suffrage, le vote Sulla, ae, m. : Sylla sum, es, esse, fui : être sumo, is, ere, sumpsi, sumptum : 1. prendre, se saisir de 2. choisir 3. s'arroger, s'attribuer 4. admettre - sumptus, a, um : - 1 - pris, saisi. - 2 - reçu, emprunté. - 3 - employé, dépensé. - 4 - entrepris, assumé. suus, a, um : adj. : son; pronom : le sien, le leur T, n. pr. : abréviation de Titus tam, adv. : si, autant tantus, a, um : si grand ; -... ut : si grand... que Telesinus, i, m. : Telesinus (nom d'homme) tribunus, i, m. : le tribun ; tribunus pl. : le tribun de la plèbe tribuo, is, ere, bui, butum : accorder, attribuer triumphus, i, m. : le triomphe (entrée solennelle à Rome d'un général victorieux) tueor, eris, eri, tuitus sum : tr. - regarder fixement, regarder (avec attention, longuement); garder, défendre, protéger contre (ad ou adversus + acc., ou ab et abl.), maintenir, entretenir, prendre soin de; pratiquer avec soin, administrer, commander (une aile, le centre d'une armée). tum, adv. : alors tumesco, is, ere, tumui, - : 1 - enfler, se gonfler, s'enfler, grossir. - 2 - se gonfler de colère, s'irriter, s'emporter. - 3 - couver, fermenter, se préparer (en parl. de la guerre). undequinquagesimus, a, um : quarante-neuvième uniuersus, a, um : tout entier ut, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que varius, a, um : varié, tacheté, bigarré, divers, différent, fécond en idées, mobile, changeant, inconstant, capricieux. verecundia, ae, f. : 1. la retenue, la réserve, la pudeur,2. le respect 3. la honte, le sentiment de honte verus, a, um : vrai victoria, ae, f. : la victoire video, es, ere, vidi, visum : voir (videor, eris, eri, visus sum : paraître, sembler) vinco, is, ere, vici, victum : vaincre vir, viri, m. : l'homme, le mari vires, ium, f. : les forces viritim, adv. : par homme, individuellement virtus, utis, f. : le courage, l'honnêteté vitupero, as, are : blâmer, critiquer, faire le procès de |
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