TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES
Le premier chiffre romain indique le
livre ; le second chiffre romain indique le chapitre; le chiffre
arabe indique le paragraphe. Ρ signifie la préface au traité de la
Génération des Animaux ; D signifie la dissertation sur
l'authenticité de ce traité ; n signifie note.
ABDERE,
patrie de Démocrite, II vιιι 12;I V i 4.
ABEILLES,
leurs larves, leur immobilité, leurs métamorphoses successives, ΙΙΙ
vιιι 5. — leur vιe et leur développement, ΙΙΙ vιιι 7 8. — leur
génération, difficultés de cette étude, ΙΙΙ ιx 1. — réfutation des
erreurs des naturalistes cjui croient que les abeilles tirent leur
couvain du dehors, et que les abeilles sont les femelles et les
bourdons les mâles, ΙΙΙ ιx 3-8. — différentes théories du temps
d'Aristote sur leur reproduction, ΙΙΙ ιx 1 n, — société qu elles
composent, ΙΙΙ ιx 1 n. — rapprochement du Traité de la Génération et
de l'étude consacrée aux abeilles dans le ΙXe livre de l'Histoire
des Animaux, ΙΙΙ ιx 1 n. — critique contre les théories sur
l'ac-couplement des abeilles, ΙΙΙ ιx 2 n. — suite des objections
contre les théories sur les abeilles ΙΙΙ ιx 3 4 n. — réfutation des
assertions des naturalistes, qui croient que les abeilles tirent
leur couvain du dehors, et que les abeilles sont les femelles et les
bourdons les mâles, ΙΙΙ ιx 3-8. — accouplement des abeilles et des
bourdons, ΙΙΙ ιx 6 n. — objection qu'on peut faire contre la
génération des abeilles, ΙΙΙ ιx 8. — cause de l'erreur d'Aristote
sur leurs mœurs, ΙΙΙ, ιx, 8 n. — les rois, les bourdons et les
abeilles ; observations diverses sur leurs fonctions ; dimensions
différentes des uns et des autres, ΙΙΙ ιx 8 12 15. — admiration pour
leur travail, au temps d'Aristote et de nos jours, ΙΙΙ ιx 10 n. —
causes qui font que les abeilles ne se produisent pas comme les
mouches et autres insectes analogues, ΙΙΙ ιx 11. — différence
principale entre les ouvrières et les reines ΙΙΙ ιx 12 n . —
cngendrentles bourdons; faculté qui leur a été enlevée, ΙΙΙ ιx 13. —
leur génération s'arrêtantau troisième degré, ΙΙΙ ιx 14. — phénomène
de leurs générations, ΙΙΙ ιx 14 n — rôle des rois ou des reines, ΙΙΙ
ιx 15 n. — elles seules travaillent, ΙΙΙ ιx 16. — leurs fonctions;
leur obéissance; 428
leur cruauté envers les faux-bourdons, ΙΙΙ ιx 16 n. — ob-servations
sur leur développement, ΙΙΙ x 21. — influence des alimente sur leur
couleur, V v 9.
ABLATION
des testicules, I ιν n Voir Castration.
ABSORPTION
du sperme, dans l'espèce humaine et dans les animaux, II ν 18 19. —
erreur de l'explication sur la manière dont elle se fait, II ν 20.
ACADEMIE
française, son dictionnaire cité sur le mot de Larvιpares, II ι 19
n. — citée pour le mot d'Engendreur, IV ιιι 9 n. — citée sur les
mots d'Hibernation et d'Hiberner, V ιιι 19 n. — citée sur le mot de
Grisonnement, V ιv 3 n. — des sciences de l'Institut de France ; son
inquiétude de l'adhésion de quelques savants au système de
l'hétérogénie ; concoure qu'elle ouvre sur cette théorie fausse, Ρ
CXLIV. — de Paris et de Londres accueillent les théories de Needham
sur la génération spontanée, Ρ CXLIV.
ACCOUCHEMENT,
cause de sa facilité ou de sa difficulté selon la vιe que mènent les
femmes, IV vι 10. — rôle de la respiration au moment de
l'accouchement, IV vι 10 n.
ACCOUPLEMENT
de la femelle et du mâle dans les animaux qui ont du sang, et
parfois aussi dans ceux qui n'en ont pas, I ι 5. — rapidité des
accouplements selon la position des testicules, I ιv 2. — chez les
poissons; cause de sa rapidité, I vι 2. — particulier des serpents,
I vι 4. — organes de l'accouplement dans les femelles et dans les
mules, I vιι 1 n. — -des crustacés ; cause de la difficulté de cet
accouplement ; accouplement singulier des mollusques, I ιx 3 4. —
quatre modes d'accouplement des mollusques, I ιx 4 n. — des
polypes, des insectes; — incertitudes sur leur accouplement, I ιx 5
7.— erreur singulière sur l'accouplement des mouches. I xi 18 n. —
des insectes, I xi 21 n. — toujours suivι d'un affaiblissement ou
dune détente, I xιι 16 17. — des insectes; cause de sa durée, I xv 4
5 n.— des insectes et sa durée, I xv 5. — répété des oiseaux, I xv 7
8. — prolongé dans les animaux qui n'ont pas de sang, I xvιι 4. —
des hybrides ; ressemblance de leur produit, II ν 12. — hybrides
entre les espèces voisines ; conditions particulières qui les
favorisent en Libye, II ιx 6 8. — provoqué par des naturalistes
curieux de ces études, II ιx 6 n. — conditions indispensables à
l'accouplement, II ιx 6 n. — nécessité de l'accouplement dans les
vιvιpares, ΙΙΙ i 1. — diversité de l'accouplement et de la
parturition des animaux; quelques naturalistes ne s'en rendent pas
assez compte, ΙΙΙ ν 6. — rapidité de l'accouplement des poissons;
des dauphins, ΙΙΙ ν 10. — des corbeaux et de l'Ibis ; erreur
d'Anaxagore et de quelques naturalistes à ce sujet, ΙΙΙ ν 12 13. —
observations mal faites sur l'accouplement des poissons, ΙΙΙ vιι 2.
— durée de l'accouplement des poissons et des insectes, ΙΙΙ vιι 2. —
théories erronées sur l'ac-couplement des abeilles, ΙΙΙ ιx 3 4 n. —
des abeilles et des bourdons, ΙΙΙ ιx 6 n. — des abeilles,
impossibilité de l'observer, ΙΙΙ ιx 8. — des
429 mouches, ΙΙΙ ιx 11 n.
— de la reine des abeilles avec les bourdons, difficulté d'en faire
des observations, ΙΙΙ ιx 13 n.— des guêpes et des frelons, ΙΙΙ ιx
19. — doutes et discussions sur l'accouplement des reines des
abeilles, ΙΙΙ ιx 19 n.
ACCROISSEMENT
de l'embryon animal, analogue à celui des plantes, II vι 9.
ACEPHALES,
quatrième classe des mollusques ; leur génération, ΙΙΙ x 1 n.
ACOUSTIQUE,
un de ses principes fondamentaux, V vι 4 n.
ACTE
de l'accouplement, toujours suivι d'un affaiblissement et d'une
détente, I xιι 16 17. — de génération, concours qu'y apporte la
femelle, I xιιι 12. — de génération, part respective qu'y apportent
le mâle et la femelle, I xiv 15 17. — Distinction entre l'acte et la
puissance, la réalité et la simple possibilité, IV ιιι 11 n. —
successifs qui tendent à la fin que l'être doit atteindre et
représenter, V ι 5 n.
ACTION
de la chaleur animale, parlie de la vιe universelle, I ιv 8 9. —
spéciale de l'âme nutritive, II vι 11 12. — du chaud et du froid
dans la formation successive des organes, II vιιι 15 16. — de la
lune, qui semble représenter le quatrième milieu, ΙΙΙ, x, 7. — du
coeur dans la formation des sexes, IV ι 24. — idées étranges sur
l'action des eaux ; ces idées subsistaient du temps de Strabon, V ν
5 n. — Le Traité de l'Action et de la Passion d'Aristote cité sur
l'étude des êtres qui peuvent agir et souffrir, IV ni 14. —
indication précieuse d'une phrase qui rappelle une des théories
particulières de l'ou-vrage perdu d'Aristote: Traité de l'Action et
de la Passion, IV ιιι 14 n. — traité d'Aritote cité dans le Traité
de la Génération des Animaux, D CCLI.
ACUITE
et longueur de la vue, V ι 24. — conditions matérielles de l'acuité
et de la gravιté de la voιx, V vι 3. — distinction de l'acuité et de
la gravιté de la voιx et de sa force et sa faiblesse, V vι 5 6.
ADMIRATEURS
d'Aristote et de son chef-d'œuvre zoologique, le Traité de la
Génération des Animaux, Ρ ιι.
ADRIA,
vιlle d'Italie, célèbre par ses poules, ΙΙΙ ι 8 n.
AFRIQUE,
citée à propos de la durée de la gestation de l'élé-phant, IV ιx 4
n.
AGASSITZ,
ses théories sur la pensée divιne qui éclate dans l'univers, citées
pour un principe sur lequel Aristote n'a jamais varié, V vιι 3 n. —
cité sur l'organisation de l'univers, Ρ CCXLI.
AGE,
influence de l'âge des parents dans la génération des mâles ou des
femelles, IV ιι 1. — changements aue l'âge amène dans la vue, V ι 21
22. — le froid de l'âge, les glaces de l'âge; sens dans lequel il
faut entendre ces expressions, V ιv 2 n. — son influence constante
sur les changements de la couleur des animaux, V ν 9 n. — influence
de l'âge et du sexe sur le timbre de la voιx, V vι 2. — son
influence sur la voιx, V vι 2 n. — influence de l'âge sur la voιx
des animaux, V vι 8.
AGENT,
rapports réciproques de l'agent et du patient dans l'acte de la
génération, I xv 2 5. — effet des agents qu'emploie la
430 Nature sur la
production et la formation des parties de l'animal, II vιιι 19 20. —
pouvant agir et souffrir, IV ιιι 13 14.
AIGLE,
nombre de petits qu'il élève, ΙΙΙ ιι 14 n.
AIGU,
définition de l'aigu et du grave dans la voιx, V vι 5.
AIGUILLE,
poisson, crevant par la grosseur de ses œufs, ΙΙΙ, iv, 4.
AIR,
sa composition inconnue d'Aristote, qui d'ailleurs connaît la force
de son action dans les mélanges. II ιιι 5 n. — influence de la lune
sur la température de l'air, IV ιι 2 n. — influences de l'air
ambiant sur tous les êtres, IV ιx 7. — influence de l'air am-biant
sur le sens de l'ouïe, V ιι 2. — son influence sur les cheveux et
sur les poils, V ιιι 11 n. — son action sur la blancheur de la peau
et sur celle des cheveux, V ν 6. — son influence sur l'organe de la
voιx, V vι 14 n.
ALBERT-LE-GRAND A Cologne et à Paris (1193-1280), a
reproduit tout Aristote, grâce aux Arabes; son ouvrage De
Animalibus, imprimé A Mantoue dès 1479, dont quatre livres sont
consacrés A la question de la génération, Ρ cxxxιx.
ALCMEON DE
CROTONE, médecin, disciple de Pythagore, passe pour avoir
été le premier à disséquer, ΙΙΙ ιι 8 n. — son erreur sur la
nourriture des poussins, ΙΙΙ ιι 8.
ALEXANDRIE,
l'école d'Alexandrie ne s'est pas occupée d'em-bryologie, Ρ cxxxιι.
ALIMENTATION,
influence de l'ali-mentation sur le changement de couleur dans les
animaux, V, v, 9.
ALIMENTS,
action considérable qu'ils exercent sur tout l'or-ganisme, V ν 9 n.
ALLAITEMENT
que donnent les femmes, IV vιιι 10. Voir Lait. — factice pour les
enfants ne paraît pas avoir été employé par les Grecs, IV vιιι 2 n.
AME,
l'union de l'âme et du corps, manière dont Aristote l'a toujours
conçue ; signification du mol d'Ame, II ιι 4 n. — sens dans lequel
il faut entendre ce mot, II ιι 11 n, II ιι 14 n. — ce qu'elle est
dans l'être dont elle est l'âme; âme du sperme, II ιι 14 15. — ses
parties, au sens aristotélique, I ιι 15 n — l'étymologie de ce mot
est dans notre langue la même que dans la langue grecque, II ιv 1 n.
— nutritive et âme sensible ; principes qui constituent l'animal, II
ιv 2. — son immatérialité affirmée par Aristote, II ιv 7 n. —
connaissance que nous en avons; son union étroite avec le corps, II
ιv 9 n. — sens donné à ce mot, II ιv 11 n. — existence et
préexistence des âmes dans les êtres ; leur différence les unes des
autres par leur dignité plus ou moins haute, II ιv 5 7. — leurs
dis-tinctions ; moment où elles se produisent dans l'être, II ιv 5
n. — nutritive, son action spéciale, sa définition; elle engendre
l'être, II vι 11 12. — opinion de quelques docteurs du Moyen-âge sur
l'inégalité de l'âme de l'homme et de la femme, II vιι 1 n. —
nutritive, son insuffisance à faire les parties de l'animal complet,
II vιι 4. — nutritive, dans les œufs clairs des oiseaux, II vιιι 4
n.
— Le Traité de l'Ame d'Aristote cité
pour un vers d'Empédocle, relativement à son système de la
génération, I xi 10 n. — cité sur la sensi-
431 bilité, I xvιι 6 n, II
ι 5 n. — cité sur l'âme prise pour le principe vιtal. II ι 6 n. —
cité sur l'union de l'âme et du corps, II ιι 4 n. — cité sur la
faculté de se nourrir, II ιι 15 n. — cité sur la première âme dans
l'embryon, II ιv 2. — cité sur la première et la plus indispensable
des facultés dans la plante et dans l'animal, II ιv 2 n. — cité sur
l'âme seusible et l'âme douée d'entendement, II ιv 4 n. — cité pour
ses théories sur l'entendement, II ιv 7 n. — cité sur l'essence du
corps, II ν 12 n. — cité sur les parties de l'âme, II vι 12 n. —
cité sur les fonctions des sens, II vιιι 23 n. — cité sur le
principe vιtal, qu'Aristote étudie plus qu'il n'étudie l'âme
proprement dite, ΙΙΙ ιv 3 n. — cité pour une théorie du principe
vιtal depuis la plante jusqu'à l'homme, IV ιv 8 n. — cité sur les
variétés dans la couleur des yeux, V ι 15. — cité sur la théorie de
la vιsion; réfutation de la théorie de Démocrite ; priorité du
Traité de l'Ame sur le Traité de la Sensation, V ι 15 n. — cité sur
la théorie du diaphane; sur un passage douteux, V ι 17 n. — cité sur
la théorie générale de la vιsion ; sur Aristote, omettant de parler
des théories opposées à la sienne ; sur une opinion de Démocrite, V
ι 27 n. — cité sur les oreilles des quadrupèdes et leur position, V
ιι 5 n. — cité sur la voιx ou le bruit des animaux, V vι 3 16. Voir
Dissertation.
AMITIE
OU Amour, rôle qu'elle joue sur la terre, selon Empé-docle;
impossibilité de cette théorie, I xi 10 11.
AMNIOS,
eaux de l'amnios; servιces qu'elles rendent, II ιx 5 n.
ANALOGIES
entre l'œuf des oiseaux et l'œuf des vιvιpares soupçonnées par
Aristote, II vι 2 ni. — entre le développement des testacés et le
développement des larves, ΙΙΙ x 20 21.
ANALYSE
chimique, science in-connue des Anciens, I xιιι 13 n. — chimique de
la liqueur sémiuale, II ιιι 1 n. — exacte du sperme, II ιιιi 4. — du
lait par la chimie de nos jours, IV vιιι 3 n. — des théories
aristotéliques sur la génération dans toute la série animale, Ρ xιx
a cxxv. — de l'embryologie comparée d'Aristote Ρ id. ibid. — des
travaux contemporains sur l'embryologie comparée, Ρ CXL.
ANALYTIQUES,
les derniers analytiques d'Aristote, cités sur la théorie de la
démonstration; et sur l'intuition, II vιιι 13 n.
ANATOMIE
pratiquée par Aristote, I vιι 10 n, I vιιι 8 n,1 ιx 3 n. — doit
déterminer la classification des animaux, II ι 13 n. —
aristotélique, comparée à l'anatomie d'aujourd'hui, II vι 7 n. —
pratiquée par Aristote; il se rend compte de toute la valeur de
celte méthode, 11 ιx 5 n. — peu avancée du temps d'Aristote, ΙΙΙ ιι
3 n — démontrant la formation des jumeaux femelle et mâle dans les
vιvιpares terrestres et aquatiques, IV ι 7. — ses progrès depuis
Aristote, IV ι 27 n. — citée sur la position des embryons dans les
matrices, IV ιv 10. — de notre temps ; ses études sur les dents du
cheval et sur les os de sa tête, V ιv 8 n. — constatant l'état des
fœtus 432 dans le sein
de la mère, V ι 9. — au temps d'Aristote, citée sur les trois sortes
d'éléments physiologiques qu'elle confondait sous l'appellation
commune de Nerfs, V vι 10 n. — d'Aristote citée sur la nutrition du
fœtus, II ιx 5. Voir Descriptions anatomiques.
Anatomie comparée de Cuvιer citée sur
les organes de la génération eu général ; sur les tortues, I ιιι 1
n. — comparée de Cuvιer citée, I ιιι 3 n. — citée sur les caractères
du poumon, II ι 14 n — comparée de Cuvιer, l'un des plus beaux
titresde la science moderne; question par laquelle il la termine, Ρ
xiv. Voir Cuvιer.
ANATOMISTES
de notre temps, cités sur les dissections d'Aristote, IV ι 7 n. —
invoquant Tertullien pour certaines réserves de pudeur toujours
sous-entendues dans une science sérieuse. Ρ cxxvι.
ANAXAGORE,
erreur de sa théorie sur le sperme, I xi 14. — identification de ses
homœoméries avec les parties similaires d'Aristote, I xi 14 n. —
désigné, I xιι 10 n. — désigné par Aristote; réfutation de ses
doctrines, I xiv 2 n. — désigné pour sa théorie de la respiration,
II ν 4 ιι. — désigné par Aristote, II vιι 8 n. — désigné par
Aristote, II vιιι 5 n. — son erreur sur l'accouplement des corbeaux
et de l'ibis et sur la parturition de la belette, ΙΙΙ ν 12. —
opinion qu'Aristote lui prête sur l'accouplement des oiseaux, paraît
bien peu digne de ce grand esprit, ΙΙΙ ν 12 n. — théories
d'Anaxagore, d'Empédocle et de Démocrite d'Àbdèrc sur la formation
originelle des sexes femelle et mâle, IV ι 2 3. — réfutation de sa
théorie et arguments à lui opposer sur l'origine des sexes, IV ι 13
14. — ses théories réfutées par Aristote, IV ιv 10 n. — réfuté par
Aristote pour sou opinion sur la main de l'homme V ι 4 n. — désigné
sans doute par Aristote, V ι 5 n. — sa grande parole glorifiée
magnifiquement par Aristote, Ρ x.
ANCIENS,
ne connaissaient pas la fécondation des végétaux, I xi 19 fin — leur
connaissance imparfaite de l'organisation des végétaux et des
organes des deux sexes, I xιι 5 n. — leur erreur sur le sperme,
qu'ils ont regardé, selon Aristote, comme une concrétion, I xιι 9
13. — cités pour l'insuffisance de leurs moyens d'investigation ;
leur opinion sur les cryptogames, I xιι 19 n. — cités sur les
spermatozoïdes, I xιιι 5 n. — cités sur la composition des
menstrues, I xiv 17 n. — pratiquaient déjà avec succès la sélection,
I xv 7 n. — accusés à tort par quelques naturalistes pour leurs
opinions sur la cause de la chaleur animale, II ι 14 12. — ont tiré
de la composition du sperme le nom d'Aphrodite, II ιιι 9. — cités
sur le problème mystérieux de la production des âmes dans l'être, II
ιv 5 n. — ignoraient le sexe des végétaux, même dans quelques
plantes dioi-ques fort usuelles, II vιι 1 n. — pratiquaient la
méthode de l'expérience et de l'observation, II ιx 12 n. —
connaissaient la spermatine, II ιx 12 11. — cités sur le bronze,
dont ils faisaient usage plus que nous, II x 3 n. — cités sur
l'observation sensible, II x 4 433
n. — comparés aux Modernes sur les sexes dans l'espèce des
anguilles, ΙΙΙ ν 8 n. — leur erreur sur l'hermaphrodisme de l'hyène,
ΙΙΙ ν 15 n. — cités sur les insectes tel-lement petits qu'ils
échappaient à leurs moyens insuffisants d'observation, ΙΙΙ vm 6/i. —
impossibilité pour eux de bien observer certains faits, ΙΙΙ x 16 n.
— cités sur les animaux qui naissent spontanément, ΙΙΙ x 22 n. —
question aussi obscure pour eux que pour les Modernes, concernant
les ressemblances des enfants aux parents, IV xιι 2 n. — avaient
agité longtemps avant nous la question des monstres, IV ιιι 27 n. —
cités sur des faits relatifs aux ovaires des femelles, qu'ils n'ont
pu connaître, IV ιv 9 n. — leur opinion sur les limites de la
chaleur, IV ιv 13 n. — cause de leurs erreurs sur les germes, IV ιv
18 n. — cités sur l'étude des monstres, pour laquelle ils nous
avaient tracé la route, IV ιv 25 n. — faisaient de la statistique
médi-cale, analogue à la nôtre, IV vι 9 /r. — essaient de constater
les diverses profondeurs des mers, V ι 16 n. — incertitude sur la
matière dont ils se servaient pour rendre leurs lanternes
transparentes, V ι 21 n. — leurs moyens moins puissants que les
nôtres pour l'exploration des grands fonds de la mer, V ni 15 n. —
leurs connaissances géographiques des régions de la Scythie et de la
Thrace, V ιιι 12 n. — leurs analyses de la chaleur propre de chacune
des parties du corps, comparées à celles de la science moderne, V ν
7 n. — manière dont ils comprenaient un des principes
fondamentaux de l'acoustique, V vι 4 n . — leurs connaissances de
l'harmonie, V vι 4 n. un des instruments de musique les plus
cultivés par eux était la flûte, V vι 14 n. Voir Modernes.
— Réfutation du préjugé de quelques Modernes, oui les critiquent
d'avoir mal observé la méthode qu'Aristote a conseillée et imposée à
la science, Ρ vιι. — leur silence sur la théorie de la génération
pendant cinq siècles après Aristote, Ρ cxi.
ANE,
climats où l'âne ne peut vιvre, II x 11. — organisation comparée des
ânesses et des juments ; on fustige les ânesses après
l'accouplement, II x 11. — pourquoi on donne des coups de fouet à
l'ânesse après l'accouplement, II x 12 n. — et cheval, leur
tempérament; chaleur de leur sperme ; leur constitution faite pour
qu'ils demeurent inféconds, Il x 12-15. — cuir de l'ânesse analogue
à celui de la jument; ses ardeurs, IV ν 5 n. — son travail pendant
la gestation IV vι 10 n.
ANGUILLES,
incertitude sur leur reproduction sans la coopération d'un mâle, II
vιι 6. — leur sexe inconnu des Anciens et des Modernes, ΙΙΙ ν 8 n. —
incertitude sur leur reproduction, ΙΙΙ x 17 n. — leur naissance ;
leur conformation. ΙΙΙ x 17.
ANIMAL,
changement important qu'opère la castration dans 1 animal, I ιι 7 n.
— assimilation entre l'animal et la plante, I xvιι 2 n. —
rapprochement entre leur organisation, I xvιι 3 n — formation de ses
parties similaires et de 434
ses parties organiques, II n 12. — analogie entre l'animal et la
plante, dans les premiers moments de la vιe, II ιv 2 n. --
développement de sa vιe comparé au développement de la vιe dans la
plante, Il vι 3 n. — se distingue par la sensibilité; par là il
diffère de la plante, II vιι 2. — diversités qui ne se rapportent
pas à la éfinition et à l'essence de l'animal, V ι 4. — différence
essentielle entre l'animal et la plante, V ι 7 n. — monstruosité
d'un animal se changeant en un autre animal; preuve de
l'impossibilité de ce changement, IV ιιι 23. — rapprochement de
l'animal et de la plante, V ιιι 16 n.
ANIMALCULES,
génération des animalcules qui se produisent spontanément, ΙΙΙ x 22.
ANIMALITE,
loi unique qu Aristote essaie d'appliquer à toute l'animalité, ΙΙΙ
vιιι 2 n.
ANIMAUX,
accouplement de la femelle et du mâle dans les animaux qui ont du
sang, et parfois aussi dans ceux qui n'en ont pas, I ι 5. — qui ont
du sang, organisation diverse de leurs testicules; divιsion de leurs
matrices; position de ces organes; causes de cette position, I ιιι
1-3. — rapidité de leurs accouplements selon la position de leurs
testicules, I ιv 2. — cause de leur stérilité, I ιv 3 n. —
distinction entre ceux qui produisent leurs petits en uue fois, et
ceux qui les produisent en deux fois, I vιι 10. — qui sont tout
ensemble vιvιpares et ovιpares ; organisation de leurs matrices;
canal unique pour les deux sortes d'excréments dans ces animaux, I,
vιιι 8 9. — privés de sang, position de leurs organes qui concourent
à la génération ; quatre genres d'animaux qui n'ont pas de sang, I
ιx 1 2.— incertitudes sur tous les détails de leur reproduction, I
ιx 2 n. — qui ont du sang ont du sperme, I x 2. — qui ne
vιennent, ni de congénères, ni même d'un genre différent du leur, I
xi 18. — les relations entre les animaux et les plantes attestant
qu'Aristole fait déjà de la biologie, I xi 19 n. — et plantes, leur
accroissement différent, I xιι 13. — l'acte de l'accouplement suivι,
chez la plupart d'entre eux, d'un affaiblissement et d'une détente,
I xιι 16 17. — différences dans la quantité de leur sperme, I xιι
19. — qui ont du sang et les exsangues; leur nourriture définitive,
I xιιι 3. — phénomènes qu'on observe dans les animaux par rapport
aux sécrétions sper-matiques, I xιιι 13. — répartition des menstrues
dans les différentes classes d'animaux, I xiv 8. — hermaphrodites,
réunissant les deux sexes dans un seul indivιdu, I xiv 18 n. —
preuves tirées des animaux sur les rapports réciproques de l'agent
et du patient, dans l'acte de la génération, I xv 4. — dans lesquels
la Nature ne pousse la génération que jusqu'à un certain point, I
xvι 1. — génération dans les animaux qui n'ont pas de sang ; leur
long accouplement et ses causes, I xvιι 3 4. — assimilés à des
plantes séparées, I xvιι 5. — la sensibilité et le goût les
distinguent de la plante et du minéral, I xvιι 6-8.
— Qui émettent du sperme dans
l'accouplement ; animaux qui n'en émettent pas, II ι 6.
435 — distinctions
qu'Aristotc fait entre eux, II ι 7-11 n. — la dif-férence dans le
nombre de leurs pieds n'est pas un caractère suffisant de
classification, II 112. —cause des différences entre les animaux, II
ι 13 n. — cause de leurs différences; leur classification; animaux
plus parfaits que certains autres, II ι 13 n. — leur distinction
tirée de l'action du poumon, II ι 14 n. — diversité de leur
génération selon les degrés de leur chaleur, II ι 15. —
rapprochement des animaux et des plantes, II ιι 15 n — principe de
la croissance ultérieure dans les animaux, II ιι 16. — leur
classi-fication d'après la perfection plus ou moins grande des
jeunes qu'ils produisent, II ι 20. — nature de leur sperme, II ιιι 7
8. — des différents modes de leur parlurition, II ν 1. — supérieurs,
étude spéciale sur leurs différents modes de parturition, II ν 3. —
rapprochement peu exact entre les plantes et les animaux, II ν 4 n —
pourvus de sang; abondance de l'excrétion chez les femelles; leur
mode de parturition, II ν 9 10. — formation de leurs spermes
générateurs, II ν 14 15. — rôle du cordon ombilical, II vι 7.
— rapprochement entre les animaux et les plantes, II vι 9 n. — qui
peuvent produire d'eux seuls un être animé, II vιι 5. — formation
des organes dans les animaux; cause de leur développement, II vιιι
1. — aspect qui se présente dans tous ceux chez qui l'on distingue
un haut et un bas, II vιιι 2. — cécité des jeunes au moment de la
naissance, II vιιι 4. — pourvus de sang, animaux privés de sang ;
organe qui s'y montre le premier, II vιιι 14. — effet des agents
qu'emploie la Nature sur la production et la formation de leurs
parties, II vιιι 19 20. — phénomène que présentent leurs yeux, II
vιιι 23. — limite de leur grosseur et de leur croissance, II vιιι
33. — tous les animaux naissent avec des dents, l'homme excepté, II
vιιι 39. — qui ont dans la matrice ce qu'on appelle des cotylédons,
auxquels se rend le cordon ombilical et auxquels il s'attache, II ιx
2. — inféconds dans toutes les espèces; causes de leur stérilité, II
ιx 10.
— Rapprochement entre les animaux et
les plantes en fait de fécondité, ΙΙΙ ι 12 n. — comparaison de la
fécondité chez les animaux et chez les plantes; l'excès de
production les épuise également, ΙΙΙ ι 12 13. — ovιpares au dehors,
nombre d'oeufs qu'ils pondent, ΙΙΙ ι 21. — leur sollicitude
naturelle pour leurs petits, ΙΙΙ ιι 11. — production des animaux qui
font des larves, ΙΙΙ ιv 3. — larvιpares, production de leur
progéniture, ΙΙΙ vι 3. — pourvus de sang ; nature de leur lait, IV
vιιι 9. — naissance des animaux qui se forment spontanément, soit
dans la terre, soit dans l'eau, ΙΙΙ x 10 11. — qui vιennent de
larves, soit dans les espèces qui n'ont pas de sang et ne vιennent
pas d'animaux, soit dans les espèces qui ont du sang, ΙΙΙ x 17.
— Production de mâles ou de femelles selon l'âge des parents, IV ιι
1. — influence du milieu ambiant sur l'organisation entière des
animaux 436 IV n 2 n. —
multipares, fréquence de monstruosités chez ces animaux, IV ιιι 26.
— leur fécondité plus ou moins grande en raison inverse de leur
grosseur, IV ιv 5 6. — raisons qui font que les animaux unipares de
grande dimension n'ont pas beaucoup de germes, IV ιv 15. — chez
lesquels il n'y a jamais de superfétation ; ceux où il y en a, IV ν
1. — petits des animaux qui naissent aveugles, IV vι 2. — qui font
leurs petits avant qu'ils ne soient complètement formés, IV vι 5. —
santé des animaux pendant la gestation, IV vι 10. — et des animaux
aquatiques, IV vι 13. — les animaux autres que l'homme ne sont pas
sujets à la môle, IV vιι 3. — différence essentielle des animaux et
des plantes; pensée profonde d'Aristote à ce sujet, répétée par les
plus grands naturalistes, IV vιιι 4 n. — temps déterminé pour leur
naissance; sortie naturelle du fœtus chez tous les animaux, IV vιιι
11 12. — variétés des durées de gestation, IV ιx 1.
— Leur vιe végétative à leurs premiers
moments, V ι 8. — couleur de leurs yeux, V ι 11. — variété de leurs
poils et des parties correspondantes, V ιιι 1. — différences des
poils dans les animaux jeunes ou vιeux, V ιιι 2. — qui ont quelque
chose d'ana-logue aux poils ; changements quils subissent, V ιιι 4.
— qui ont le poil le plus fourni, V ιιι 8. — sauvages, action du
froid et de la chaleur sur leurs poils et leur peau, V ιιι 14.—
restrictions dans les ressemblances qu'Aristote établit entre
l'homme, les animaux et les plantes, V ιιι 23 n. — nature de la peau
des animaux décidant de leur couleur, V ιv 1. — pelage des animaux
et ce qui détermine ses couleurs, V ιv 1. — cause du changement peu
sensible de la couleur de leurs poils, V ιv 8. — leur peau détermine
les couleurs de leurs poils, V ιv 11. — variété des couleurs dans
leur pelage, V ν 1. — fréquence ou rareté des chan-gements de leurs
couleurs; influence des eaux chaudes ou froides sur ces changements,
V ν 3-6. — accidents qui se produisent chez les animaux, quand il y
a quelque difformité dans la génération, V ν 4. — qui sont plus
blancs sous le ventre; explication de ce fait, V ν 7. — variétés
dans la couleur de leur langue, V ν 8. — variation de leur couleur
selon les saisons et selon l'alimentation, V ν 9. — différences dans
la voιx des animaux, V vι 1. — secrètes harmonies entre leur couleur
et le milieu où ils vιvent, et leur organisation générale, V ν 10
n. — diversités de leur voιx ; ce qui cause ces diversités, V vι 1
2. — but de la voιx dans l'espèce humaine et dans les animaux, V vι
3 n.— coupés se rapprochent du sexe femelle, V vι 13. — unique cause
qui fait qu'il y a des animaux, Ρ xx. — leur origine Ρ xxv.
ANNEES,
effets des années sur la rudesse des poils, V ιιι 17.
ANONYME,
son catalogue des œu-vres d'Aristote, cité sur le Traité des Plantes
d'Aristote, I xvιι 6 n. Voir Catalogue.
ANTERIEUR,
sens divers de ce mot, II vιιι 6 et n.
ANTIQUITE,
citée sur la théorie des éléments des corps, I ι 3
437 n. — son erreur sur la
génération spontanée, 1 ι 5 n. — citée sur le sexe des plantes, II 9
n. — citée sur la fonction des tentacules chez les polypes ; son
erreur pardonnable sur la génération spontanée, I ιx 5 7 n. — citée
sur les rapports des deux sexes dans la génération, I x 3 n. — sa
théorie des quatre éléments, I xi 7 n — ressources qui lui
manquaient pour bien analyser le sperme. I xιι 1 n. — place que
tient le phlegme dans ses doctrines physiologiques, I xιι 12 n. —
ignorait la distinction des sexes dans les plantes; connaissait la
différence des indivιdus dans les végétaux dioiques, I xvιι 1
n, — ses expériences sur les hybrides du renard et du chien,
renouvelées de notre temps, II ν 12 n. — ses procédés dans l'art, II
vιn 21 n. — citée sur les signes de stérilité chez les femmes, II ιx
12 n. — citée sur la théorie des quatre éléments, ΙΙΙ x 5 n. —
manquait de moyens pour observer les êtres les plus petits, ΙΙΙ x 8
n. — ignorait le sexe des plantes et le sexe de certains
animalcules, ΙΙΙ x 16 n. — ses théories sur la formation originelle
des sexes mâle et femelle, IV ιι 1 n. — citée sur la cause qui
produit les mons-truosités, IV ιv 4 n. — avait difficulté à
recueillir des renseignements statistiques, IV vι 6 n. — citée sur
l'exactitude des statistiques; sur les relations du soleil et de la
lune, IV ιx 5 n. — citée sur l'étude de la vιe extra-utérine, V ι 6
n. — n'avait pas d'instruments d'optique, V ι 27 n. — citée sur la
théorie des quatre éléments, V ιι 5 n. — citée sur les femmes qui
faisaient le métier de tisserands, V vι 11 n. — ses monuments
scientifiques, dont quelques Modernes tiennent trop peu de compte, Ρ
ιx. — citée sur la question obscure de la génération des abeilles, Ρ
xi. — sa préoccupation du langage, comparée aux théories de notre
XVΙΙΙe siècle, Ρ xvιι. — ses observations sur les œufs des oiseaux ;
génie scientifique qu'elle a montré en ceci, Ρ CLIV.
APHORISMES
d'Hippocrate, leur authenticité; contiennent quel-ques données sur
la génération; et quelques remarques oui tiennent à l'embryologie ;
il ne s'y trouve pas de système sur la génération, Ρ cvιιι.
APHRODITE,
application de ce nom par les Anciens, II ιιι 9. — nom qui
appartient à la mythologie, et qui remonte aux premiers temps de la
civιlisation grecque, II ιιι 9 n.
APODES,
leur production de mâles et de femelles, sans avoir de testicules,
IV ι 5.
APPAREIL
générateur, sa composition chez les femelles, I vιι 10 n.
APPARITION
de la vιe dans l'em-bryon, II ιv 1 2.
ARABE,
le catalogue arabe cité sur le Traité des Plantes d'Aristote, I xvιι
6 n. — le catalogue arabe cite le Traité de la Génération des
Animaux, D CCLVΙΙΙ.
ARABES,
immense servιce qu'ils ont rendu au moyen âge et notamment pour les
labeurs d'Albert le Grand et de saint Thomas, Ρ cxvι.
ARAIGNEES,
leur génération par des êtres congénères, I ιx 7. — leurs fœtus sont
des lar- 438 ves ;
leurs métamorphoses successives, ΙΙΙ vιιι 3.
ARGUMENTS
sur lesquels on s'appuie quelquefois pour soutenir que le sperme
vιent du corps tout entier, I x 67. — impossibilités qui sortent de
cette doctrine, I xi 2 22 et n.
ARISTOTE,
ouvrages où il a discuté déjà des questions rappelées dans le Traité
de la Génération, I ι 1 n. — les quatre causes, bases de toute sa
Métaphysique, I ι 2 n. — point sur lequel il se rapproche de son
maître Platon, peut-être sans le vouloir, I ι 2 n. — cause de son
erreur sur la génération spontanée, I i 5 n. — sa méthode
habituelle, I ι 8 n. — ses études de botanique et de zoologie ;
travail dont il avait chargé son disciple Théophraste, I ιι 1 n. —
rapproche sans cesse l'observation des faits, et la raison
intelligente, qui les comprend, I ιι 4 5 n. — son erreur sur les
organes de la génération du dauphin, I ιιι 3 n. — trace avec soin la
marche qu'il veut suivre, I ιιι 1 n. —- soin avec lequel il avait
disséqué, I ιιι 1 n, I ιv 3 n. — ses théories citées pour une
opposition, qui leur est ordinaire, I vι 1 n — rapproche
l'organisation des poissons de celle des quadrupèdes, I vι 3 n. —
est en parfait accord avec Cuvιer sur les organes de la génération
des cétacés, I vιι 5 n. — sens dans lequel il prend le mot de
Matrice, I vιι 10 n. — soin avec lequel il disséquait les animaux,
ibid. et I vιιι 8 n— connaissait l'hermaphrodisme d'uue grande
partie des mollusques, I ιx 5 n. — exactitude avec laquelle il
cherchait des bases de classifica-tion, I ιx 8 n. — formule qu'il
emploie très souvent et qui n'est pas toujours justifiée, I xi 17 n.
— fait déjà de la biologie, au sens où l'entendent les Modernes, I
xi 19 n. — son erreur sur la floraison du saule et du peuplier, I
xιι 21 n. — définition de ce qu'il entend par concrétion, I xιιι 7
n. — rôle qu'il attribue toujours aux deux sexes, I xiv 6 n. — ses
observations délicates sur des êtres qu'aujourd'hui même nous ne
connaissons que très imparfaitement, I xiv 14 n. — connaissait des
espèces hermaphrodites, I xiv 4 n. — fait toujours appel à la
raison, après l'observation des faits, I xiv 18 n. — il s'efforce de
régler sa marche dans l'exposition des faits, I xv 1 n. — sa
fidélité à la méthode d'observation, I xv 3 n. — sa physiologie
comparée, moins complète que la nôtre, mais dirigée dans la même
voie, I xv 9 n. — s'efforce d'expliquer le fait mystérieux de la
génération, I xvι 3n. — considérations par lesquelles il inaugure la
science que de nos jours on nomme iologie, I xvιι 1 n,. — répond par
avance aux accusations de Bacon, qui le représente comme le
meurtrier de ses prédécesseurs, dont la gloire l'aurait offusqué, I
xvιι 2 n. — avait observé de très près la génération des insectes, I
xvιι 4 n. — admirateur fervent de la Nature, I xvιι 5 n. — a fait de
la botanique; ses ouvrages sur ce sujet ne sont pas parvenus jusqu'à
nous; a inspiré la grande entreprise botanique de Théophraste, I
xvιι 6 n.
439
— Principe auquel il a recours le plus ordinairement et qui justifie
son admiration pour la sagesse de la Nature, II ι 1 n. — d'accord
avec le Timée de Platon et avec la Genèse, sur la cause de
l'existence du monde, II ι 2 n. — croit à la fιxité des espèces;
soupçonnait l'existence des sexes dans les plantes, II ι 3 4 5 n —
détails à l'appui de sou opinion sur les sexes dans les plantes, II
ι 4 5 n. — distinctions qu'il fait entre les animaux, II ι 7-11 n. —
identité de sa théorie du poumon avec celle de la science moderne;
son admiration pour la sagesse de la Nature, II i 14 15 n. — son
admiration constante pour la sagesse de la Nature, II ι 20 n. —
passage important sur la classification des animaux, II ι 21 n. —
les caractères de sa classification s'adressent au principe même de
la génération et de la vιe, II ι 21 n. — caractères de sa
classification des animaux, attention qu'ils méritent, II ι 21 n. —
part qu'il fait à la raison et à l'observation dans l'explication
des phénomènes, II ιι 2 n. — sa Métaphysique citée sur le mécanisme
des automates, II ιι 9 n. — sa formule : " L'homme engendre l'homme
", II ιι 9 n, II ιι 12 n. — son explication sur le sperme, se
rapprochant beaucoup de celle que paraît adopter la science moderne,
II n 11 n — son dernier mot sur le problème de la génération, II ιι
12 n. — regarde le cœur comme le premier des vιscères qui se
développe, II ιι 16 c. — sa circonspection et sa modestie dans
l'analyse du sperme, II ιιι 4 n. — ignorait la composition de l'air;
son jugement sur l'action de l'air dans certains mélanges, II ιιι 5
n. — cas qu'il fait du témoignage de Ctésias ; jugement qu'il porte
sur ses er-reurs, II ιιι 7n. — son opinion sur l'origine du
mouvement et de la vιe, avec toutes ses conséquences, selon les
espèces, II ιv 5 n. — affirme l'immatérialité de l'âme, II ιv 7/i. —
les expériences de nos jours sur les générations spon-tanées, citées
à l'appui du principe de la chaleur d'après Aristote, II ιv 8 n. —
ses théories sur le spiritualisme, empruntées à son maître Platon,
II ιv 9 n. — d'accord avec la science moderne sur le rang des
vιvιpares, II, ν 2 n. — distingue deux classes dans les ovιpares,
II, idem. — son erreur sur la menstruation, II ν 7 n. — soupçonnait
peut-être, dans une certaine mesure, les ovules, sortis de l'ovaire,
et arrivant par les trompes dites de Fallope jusqu'à l'utérus, II v
14 n.—principe qui domine toute son histoire naturelle, II ν 20 n —
soupçonne de grandes analogies entre l'œuf des oiseaux et l'œuf des
vιvιpares, II vι 2 n. — ses observations anatomiques sur le cordon
ombilical, dans plusieurs espèces d'animaux et dans l'espèce
humaine, II vι 7 n. — son traité de la Nourriture, II vι 10 n. —
grand principe qu'il a formulé le premier et que la science moderne
perd trop souvent de vue, II vιι 7 n. — importance qu'il attache à
la méthode d'observation, II vιι 9 n — ses théories sur le haut de
la plante, II vιιι 2 n. — a recours à l'observation attentive des
440 faits pour fonder et
justifier ses explications, II vιι 3 n. — sa principale objection
contre les naturalistes, dans leur explication de l'origine des
choses, II vιιι 13 n. — pressentait la différence des artères et des
veines, sans la connaître, II vιιι 16 n. — ses erreurs sur l'action
du froid et du chaud dans la formation successive des organes, II
vιιι 16 17 n. — ses études curieuses sur la nature de la peau, II
vιn 20 it. — analyse la vιsion et s'y trompe, II vιιι 23 n. — de son
temps, on n'a-vait pas encore distingué les nerfs du mouvement et
ceux de la sensibilité, II vιιι 27 n. — sa théorie sur les diverses
parties du corps analogue à celles du Timée, II xιιι 29 n. — son
traité de la Nutrition n'est pas parvenu jusqu'à nous, Il vιιι 32 n.
— son erreur sur la croissance des dents, II vιιι 35 et suiv. n. —
son admiration pour la sagesse de la Nature, II vιιι 37 n. — ses
dissections fort attentives, II ιx 1 2 n. — son anatomie citée sur
la nutrition du fœtus, II ιx 5. — pratique l'a-natomie et se rend
compte de toute la valeur de cette méthode, II ιx 5 n. — ne repousse
pas le secours de la logique et de la raison ; mais il les emploie
avec circonspection, II x 8 n. — ne s'est jamais écarté de la
méthode d'observation; il ne l'a pas créée; mais il l'a comprise et
appliquée, II x 11 n.
— Ses études de botanique ; son
influence sur les admirables ouvrages de Théophraste, son disciple,
ΙΙΙ ι 12 n. — blâme ceux qui n'observent pas avec assez de soin les
faits de la Nature, ΙΙΙ ιι 4 n. — sa description des développements
successifs de l'œuf, ΙΙΙ ιι 5 6 n. — ne cesse d'admirer la Nature
dans toutes ses œuvres, ΙΙΙ ιι 11 n. — a vulgarisé la théorie des
quatre éléments, qui a régné jusqu'au xvιe siècle, II ιι 13 n — ses
observations anatomiques, preuve nouvelle de ses études, ΙΙΙ ιι 21
n. — doctrine de l'optimisme, qu'Aristote a professée un des
premiers, ΙΙΙ ιv 3 n. — avait signalé, dans l'Organon, une des
causes d'erreur les plus fréquentes, avant de la signaler en
histoire naturelle, ΙΙΙ ν 6 n. — son impartialité, ΙΙΙ ν 10 n. —
avait essayé de réfuter l'erreur des Anciens sur l'hermaphrodisme
des hyènes, ΙΙΙ ν 15 n. — essaie d'appliquer une loi unique à toute
l'animalité, ΙΙΙ vιιι 2 n. — sa sagacité; devιnait les ovaires des
vιvιpares, sans les connaître, ΙΙΙ vιιι 3 n. — son étude admirable
sur les abeilles et les insectes de même ordre, ΙΙΙ ιx 1 n. — cause
de son erreur sur les mœurs des abeilles, ΙΙΙ ιx 8 n. — soupçonnait
l'existence des sexes dans les plantes, sans savoir quels en étaient
les organes particuliers, ΙΙΙ ιx 9 n. — son admiration pour le
travail des abeilles, ΙΙΙ ιx 10 n. — sa théorie de la génération
spontanée ; semble adopter la théorie des atomes de Démocrite, ΙΙΙ x
11 n. — incline à la génération spontanée des larves, ΙΙΙ, x 19 n. —
ses observations de la transformation des larves, ΙΙΙ x 20 n.
— Connaissait en partie les sexes dans
les végétaux, IV ι 1 n. — son estime pour Anaxa-
441 gore ; pour Démocrite,
IV ι 2 4 n. — sa discussion spéciale contre l'opinion d'Empédocle et
de Démocrite, sur la formation originelle des sexes femelle et mâle
; réfutation de Tune et de l'autre, et aussi de la théorie
d'Anaxagore, IV ι 5-15. — blâme Démocrite de n'avoir rien dit sur
l'origine de la différence des organes sexuels, IV ι 6 n. — ses
dissections attentives et leur but, IV ι 7 n. — n'a pas exposé sa
théorie propre sur la formation originelle des sexes femelle et
mâle, IV ι 8 n. — sa citation d'Empédocle est tronquée, IV ι 9 n. —
un de ses ouvrages perdus, IV ι 17. — son optimisme, IV ι 21 n. — ne
connaissait ni les ovaires ni les spermatozoïdes, IV ι 27 n. — ses
théories sur la ressemblance des enfants aux parents, IV ι 27 n. —
théories d'Hippocrate dans le Traité des Airs, des eaux et des
lieux, analogues à celles d'Aristote, relativement à l'influence des
climats, de la nourriture et des eaux sur la génération et sur le
sexe, IV ιι 6 n. — reproduit la pensée de ses prédécesseurs,
eu réfutant leurs théories sur la production de la femelle et du
mâle, IV ιιι 20 n. — édition de l'Académie de Berlin, citée sur son
Traité de Physiognomonie, IV ιιι 23 n. — distinction qu'il a faite
entre l'éternel et le périssable, IV ιιι 31 n. — un de ses ouvrages
perdus, Etudes préliminaires, citées sur l'élaboration de la
sécrétion spermatique, IV vιιι 5. — rapprochement des théories
d'Aristote et de Théophraste sur la production de la vιgne nommée
fumeuse, IV ιιι 32 n. — pousse l'étude des monstruosités aussi loin
qu'on peut le faire, IV ιv 2 n. — fait déjà de la biologie, IV ιv 8
n. — avait poussé fort loin l'anatomie des cotylédons de la matrice,
IV ιv 10 n.. — ses dissections, qu'il cherchait à fιxer par des
dessins, IV ιv 10 n. — était sur la voie de la découverte des
spermatozoïdes, IV ιv 11 n . — suppose que la chaleur a des limites,
IV ιv 13 n. — soin avec lequel il revιent sur ses propres théories
pour les rectifier, IV ιv 14 n. — les recherches de dissection
n'étaient pas assez avancées de son temps pour expliquer la
production de plusieurs embryons, IV ιv 19/i. — a la priorité sur
Buffon et Cuvιer concernant la théorie de l'étrange organisation du
lièvre, IV ν 10 n. — faisait de la statistique médicale, analogue à
la nôtre, IV vι 9 n. — admire la sagesse de la Nature, IV vιιι 1 n.
— sa pensée profonde au sujet de la différence essentielle des
plantes et des animaux, IV vιιι 4 n. — sa critique contre
Erapé-docle, qui compare le lait à du pus, IV vιιι 9 n.
— Étude sur les différences que les
parties diverses des animaux présentent entre elles, V i 1.
—ouvrages cités par l'auteur dans lesquels il a expliqué la cause du
sommeil des petits animaux, V ι 8. — sa préoccupation essentielle et
la plus constante est de chercher la cause des phénomènes, V ι 14 n.
— n'a pas connu la composition de la lumière, V ι 21 n. — sa connais
sauce de la constitution de l'organe de la vue, V ι 26 n. —
442 sa théorie sur la
vιsion ; son pressentiment du télescope et des servιces qu'il peut
rendre, V ι 27 n. — ses observations anatomiques et ses dissections
sur les organes de l'ouïe, V ιι 5 n. — avait étudié d'assez près
l'anatomie du mouton, V ιιι 13 n.— annonce des ou-vrages ultérieurs
sur l'explication de la calvιtie, V ιιι 19. — cité entre tous les
naturalistes pour ses observations sur la nature de la peau de
l'homme, V ιv 12 n. — a fait le premier cette remarque que le
langage est le privιlège ex-clusif de l'homme, V vι 2 n. — son
école avait fait beaucoup de musique théorique ; son ouvrage sur la
musique, V vι 4 n — n'a pas connu les vιbrations dont le larynx est
le siège, V vι 8 n. — recommande constamment l'observation des
faits, V vιι 2 n. — son admiration pour la Nature, principe sur
lequel il n'a jamais varié, V vιι 3 n.— principes qu'il applique à
l'étude de la Nature, V vιι 6 n. — son étude sur les dents ;
avantage qu'a Cuvιer sur le naturaliste grec, V vιι 8 n. — Ses
admirateurs, Ρ ιι. — père de l'embryologie, Ρ vι. — son
pressentiment de la science biologique, née à peine d'hier parmi
nous , Ρ vιιι. — ses ouvrages sur la botanique perdue, Ρ vιιι. —
manière dont il réfute les théories de ses devanciers ; il glorifie
la grande parole d'A-naxagore, Ρ xιι. — sa théorie de la nécessité;
a toujours nié énergiquement le hasard, Ρ xιιι. — défenseur
inébranlable des causes finales; sa manière de se servιr de
l'hypothèse, Ρ xιιι. —sa discussion contre la théorie qui fait venir
la liqueur séminale de toutes les parties du corps, Ρ xvιι. — son
iufaillible méthode en histoire naturelle, pour étudier le grand
fait de la génération, Ρ xvιιι. — ses idées sur la génération mises
dans un ordre un peu plus régulier et plus systématique, Ρ xx et
suiv. — a le premier fιxé chacune des grandes classes d'animaux, Ρ
xxiv. — père de l'embryologie, bien qu'il ne l'ait pas appelée de
son nom, Ρ cxxv. — son témoignage sur ses devanciers concernant la
théorie de la génération, Ρ cxxvιι. — et Hippocrate, leurs opinions
opposées sur l'action de la semence; Galien essaie de les concilier,
Ρ cxxxιιι. — genre d'observations sur les œufs, auquel il a songé le
premier peut-être, Ρ cxxιx. — blàmc par Buffon, Ρ CLXVΙΙΙ. — son
système sur les œufs critiqué par Buffon, Ρ CLXΙΙΙ. — résumé de ses
mérites en histoire naturelle, Ρ CLXXII et suiv. — a selon Dumas
mieux compris la génération que les autres naturalistes, Ρ CLXXXΙΙΙ.
— se rapproche beaucoup des na-turalistes contemporains sur la
théorie de la génération, Ρ CLXXXΙΙΙ. — ses titres principaux en
histoire naturelle, Ρ CLXXXVΙ et suiv. — voulait étudier les plantes
et les minéraux après les animaux, D CCXLΙΙΙ. — indique lui-même la
place que doit occuper le Traité de la Génération des Animaux, D.
CCXLIV — ses ouvrages perdus cités dans le Traité de la Génération
des Animaux, D CCLI.
ARISTOXENE,
un des élèves d'A-ristote, cité pour la musique théorique pratiquée
dans l'é- 443 cole
péripatéticienne, V vι 4 n.
ART,
comparaison des productions de la Nature et des productions de
l'art, II ιι 13, — ses procédés comparés à ceux de la Nature, II vι
11. — nécessité à laquelle il est soumis de nos jours, comme il
l'était dans l'Antiquité, II vιιι 21 n. — procédés de l'art dans
l'Antiquité, II vιιι 21 n. — l'art de 1 homme et l'art de la Nature,
qu'Aristote rapproche souvent, ΙΙΙ x 11 n.
ARTERES,
la distinction des artères et des veines n'était pas connue
d'Aristote, II vιιι 16 n.
ARTISTES
grecs, leur habileté, V vι 15 n.
ASCENDANTS,
influence des as-cendants de degré en degré sur la ressemblance des
enfants, IV ni 1 8. — degrés ascendants de parenté, IV ιι 6 n.
ASSIMILATION
entre la plante et l'animal, I xvιι 2 n.
ASTRES,
superstitions vulgaires sur leur influence, IV ιx 7 n.
ATHENEE,
médecin de Cilicie peu connu; son ouvrage spécial sur le sperme; —
éloges et blâme que lui adresse Galien; son opinion sur l'action du
sperme conforme à celle d'Aristote, Ρ cxxxv.
ATHENES,
on ne s'y est pas occupé d'embryologie pendant cinq siècles après
Aristote, Ρ cx.
ATHENIENS,
cités sur les mois lu-naires, II ν 6 n.
ATHLETES,
effet que cause en eux une alimentation excessive, IV ιιι 15. —
détails curieux sur leur alimentation excessive, IV ιιι 15 n.
ATMOSPHERE,
les relations de l'atmosphère et des végétaux, inconnues du temps
d'Aristote, I xvιι 5 n.
ATOMES,
théorie des atomes de Démocrite, qu'Aristote semble adopter, ΙΙΙ x
11 n.
AUBERT ET
WIMMER, leur opinion sur un passager, I vιι 4 n. — leur
opinion sur un passage ; proposent uue rédaction nouvelle; cités sur
le sens d'un mot, I vιι 7 n. — leur interprétation d'une expres-sion
d'Aristote, I vιι 10 n. — — cités sur une phrase obscure, I xi 12 n.
— cités sur le mode d'accouplement des insectes, I xi 21 n. — leur
opinion sur un passage, I xιι 1 n. — cités pour leur note sur
l'abcès, I xιι 8 n. — proposent une correction, qui est adoptée, I
xιι 21 n. — leur opinion sur un paragraphe, I xιιι 7 n. — rejettent
une répétition; cités sur une leçon, qui est adoptée, I xiv 9 10 n.
— leur note citée sur le sens du goût, I xvιι 7 n. — leur remarque
concernant les observations physiologiques d'Aristote sur le
développement successif des organes, II ιι 6 n. — leur opinion citée
sur une lacune, II ιι 14 n. — cités pour une variante que les
manuscrits n'autorisent pas ; pro-posent une leçon nouvelle, II ιv 6
n. — cités sur un mot obscur, II ιv 7 n. — leur opinion sur
une phrase, II ιv 12 n. — leur opinion sur un paragraphe déplacé, II
ιv 12 n. — note, dans leur édition et traduction du Traité de la
génération, citée pour la disposition des organes copulateurs, II ν
17 n. — leur opinion sur un membre de phrase, qu'ils ne traduisent
pas, II ν 18 n. — leur opinion sur un passage, II ν 19 n. — cités
pour des mots apocryphes, qu'ils mettent entre crochets, II vι 7 n.
— proposent une 444
leçon qui rend un passage intelligible, II vι 12 n. — cités pour un
passage qui leur sem-le altéré, II vιι 2 n. — leur opinion sur le
sens du mot de Souffle, II vιιι 3 n. — cités pour une leçon adoptée
d'après un manuscrit, II vιιι 8 n. — correction ingénieuse qu'ils
proposent et qu'ils adoptent dans leur traduction, II x 6 n. — leur
remarque sur la théorie d'Aristote des œufs clairs chez les oiseaux,
ΙΙΙ ι 5 n. — leur opinion sur un passage ; cités pour une correction
adoptée, ΙΙΙ ι 15 16 n. — cités sur des mots qu'ils mettent entre
crochets, ΙΙΙ ι 17 n. — leur opinion sur la fable de la fécondation
particulière des perdrιx, ΙΙΙ ι 19 n. — cités sur une phrase qu'ils
proposent de rejeter, ΙΙΙ ι 22 n. — cités sur les détails
qu'Aris-tote donne relativement à l'œuf de la grenouille de mer, ΙΙΙ
ιιι 3 n. — cités sur l'accident de l'aiguille de mer, ΙΙΙ ιv 4 n. —
cités pour une addition qu'ils proposent, ΙΙΙ ν 9 n. — leur opinion
sur les progrès des Modernes en physiologie, ΙΙΙ ν 10 n. —
approuvent l'explication de Philopon sur la nourriture des nymphes
d'in-sectes ; leur avιs sur un passage; sur une addition, ΙΙΙ vιιι 7
8 n. — leur opinion sur la fin d'un paragraphe, ΙΙΙ ιx 12 n. — sur
un passage ΙΙΙ ιx 16 n. — une de leurs corrections adoptée, IV ι 12
n. — cités pour une correction indispensable; leur opinion sur une
phrase, IV ιιι 9 n. — cités sur une leçon que donnent quelques
manuscrits, IV ιιι 15 c. — leur opinion sur un passage; leur doute
sur la théorie de la production des monstres de Démocrite, IV ιιι 25
c. — cités sur dee mots inintelligibles, IV ιv 10 n. — leurs
citations des ouvrages de MM. Cassan et Kussmaul, sur la
superfétation dans l'espèce humaine, IV v 1 n. — cités sur un fait
énoncé par Aristote par rapport aux mâles contrefaits, IV vι 6 n. —
leur citation de statistiques du nombre des jumeaux des deux sexes,
et des jumeaux d'un même sexe, IV vι 9 n. — édition et traduction du
Traité de la Génération, leur note et leur introduction citant des
exemples de môles portées pendant 30 et 40 ans, IV vιι 2n. — leur
remarque sur la différence des matières qui séparent le dernier
livre du Traité de la Génération des quatre précédents, V i 1 n. —
leur remarque sur le sens qu'Aristote donne au mot de glaucome, V ι
19 n. — leurs distinctions importantes en ophthalmologie ; cités sur
la vιsion; ils rejettent une phrase, V ι 24 25 n. — leur opinion sur
la théorie de la vιsion, V ι 27 n. — cités pour une variante V ν 5
n. — cités pour une correction, V vι 4 n. — leur rapprochement d'un
passage de l'Histoire des Animaux, V vι 14 n — célèbres par leur
édition et leur traduction du Traité de la Génération et de
l'Histoire des Animaux; leur appréciation élogieuse du chef-d'œuvre
zoologique d'Aristote, et leur admiration pour son génie, Ρ ιι.
AUDITION.
Longueur des oreilles et leurs replis contribuant à l'auditiou, V ιι
5. — analyse de l'organe auditif, études à en faire encore
aujourd'hui même, V ιι 5 n.
445
AUTHENTICITE de l'Histoire des
Plantes et du Traité des Causes des Plantes de Théophrasle, IV ιιι
32 n. — du Vaité d'Hippocrate sur les Maladies des Femmes, IV vι 12
n.
AUTHENTICITE,
dissertation sur l'authenticité du Traité de la Génération, citée
sur le désordre du texte, qui continue dans le cinquième livre, IV
vιιι 1 n. Voir Dissertation.
AUTOMATES,
comparaison des différents organes de l'animal avec le mouvement des
automates, où un ressort fait mouvoir l'autre, et produit une
succession de mouvements indépendants, II ιι 9 10. — description de
leur mécanisme, II ιι 9 et n. — leur mécanisme expliqué aussi dans
la Métaphysique, II ιι 9 n. — comparaison de leurs mouvements
successifs avec la production du principe du mouvement dans es êtres
animés, II vιι 7. — nouveaux du temps d'Aristote; étonnement qu'il a
dû éprouver de leur ingénieux mécanisme, II vιι 7 n
AUTRUCHE
(moineau de Libye), quantité d'oeufs qu'elle fait en une seule
ponte, ΙΙΙ ι 7 et n.
AVERROES
(1120-1198), cité sur la génération; texte original sur lequel il
travaille; influence de son commentaire sur les xve et xνιe siècles,
Ρ cxvι.
AVORTEMENTS,
leurs dangers, I vιι 9. — de germes sont très fréquents, IV ιv 21.
Β
BACON, ses accusations calom-nieuses
contre Aristote, le représentant comme le meurtrier de ses
prédécesseurs, dont la gloire l'aurait offusqué, I xvn 2/i. — son
erreur du Novum organum, Ρ cxci.
BAER (Ernest de), naturaliste russe, sa grande découverte de l'ovule
(1827) ; sa lettre à l'Académie de Saint-Pétersbourg, Ρ CLV. —
analyse de ses travaux, Ρ CLVΙ et suiv. — son commentaire sur sa
propre lettre, Ρ CLΙX.
BALEINES, grosseur de leur tête, II ι 8/i.
BARDOT et mulet, nés d'un ac-couplement contre nature, II x 16 n.
BARTHOLIN, les glandes de Bar-tholin, origine du fluide féminin;
analogie de cette sécrétion avec celle de la salive, I xiv 2 n.
BECLARD, son Traité élémentaire de Physiologie, cité sur le fluide
féminin, I xiv 2 n — son ouvrage sur la Physiologie humaine, cité
sur la théorie du poumon, II ι 14 n. — cité sur le développement
successif des organes dans le corps humain, II n5 /i. — cité sur la
menstruation, II ν 7 n.
— sur la membrane muqueuse, II ν 8 n. — cité sur la fonction des
glandes de Bartholin, II ▼ 17 A. — cité sur les premiers
développements de l'œuf des oiseaux, II vι 2 n.
— cité sur les conditions propres de la vιe fœtale, II vιn 3/i.—
cité sur la disposition des yeux des animaux, II vιn 23/i. — cité
sur la croissance
des ongles; sur le dépérissement des os, II vni 34 n. — cité sur la
théorie de la génération gémellaire, IV ivl8 it. — cité sur les
causes de la superfétation, IV ν 2 n. — cité sur les changements de
la matrice après la copulation, IV ν 3 n. — cité sur les
commencements de la grossesse, IV vι 11 n. — cité sur le rapport des
menstrues avec le lait, IV vιn 3 n. — cité sur l'organisation
délicate des ma-melles chez la femme, IV vm 6 «. — cité sur la
sortie du fœtus du sein maternel, IV vm 12 n. — cité sur fétude de
la vιe extra-utérine, Y ι 6 n. — cité pour des données qu'il
emprunte à M. Krause, sur la constitution de l'organe de la vue, V ι
21 JI. — cité sur la voιx et la parole dans l'homme; sur la voιx
dans la série animale, V vι 16 #t. BELETTE, sa parturition; erreur
d'Anaxagore à ce sujet; dis-
E
osition de la matrice de la elette ; nature des petits qu'elle
produit, ΙΙΙ ν 12 14. BERGERS, remarques des bergers sur l'influence
des vents du nord et du midi, et sur la position des bêtes au moment
de l'accouplement, pour la production de mâles ou de femelles, IV π
3. BBRZELIUS ET VAUQUELIW, cités sur la composition chimique du
sperme, II ιx 12 n. BATES de somme, leurs travaux pendant la
gestation, IV vx 10 «. — ovιnes, influence de la position des bêtes,
au moment de l'accouplement, sur la production de mâles ou de
fe-melles, IV n 3. BIEW et le divιn, toujours causes du mieux dans
les choses contingentes, II ι 2. — véri-table rôle du bien dans le
monde, II ι 2 n. BIOGRAPHIE universelle, article de Cuvιer sur le
système de Buffon, les molécules organiques et le moule intérieur,
pour expliquer la génération, Ρ CLX.
BIOLOGIE, observations sur les relations des plantes et des animaux
(jui attestent qu'A-nistote fait déjà de la biologie, I xi 19 n. —
inaugurée par Aristote, objet de cette science, I xvn 1 n. — telle
Î
'uo l'entendent les Modernes, I ιι 15/i. — citée sur la faculté
nutritive, une de ses lois fondamentales, II vι 12 n.
— moderne, citée pour quelques-unes de ses formules acceptables, II
ι 3 n. — qu'Aristote fait en rapprochant les végétaux et les
animaux, IV ιv 8 n. — pressentie par Aristote; objet de cette
science, née k peine d'hier, Ρ vιn.
BIPEDES et quadrupèdes; vιvιpares et ovιpares selon les espèces, II
111-14.
BLAIREAU, la poche qu'il a sous la queue prise pour un or-
f
>anc de génération; famille a aquelle il appartient ; sa marche; sa
vιe, ΙΙΙ ν 15 n. BLANC, séparation du blanc et du jaune dans l'œuf,
selon les espèces ; expérience par la-
S
uellc on peut la constater, [I ι 23 27. — et jaune dans l'œuf, leur
nature contraire; leur différence, ΙΙΙ n 14-16.
— nature du blanc d'œuf, ΙΙΙ ι 27. — production du blanc et du jaune
dans l'œuf, ΙΙΙ π 1.
BLANCHEUR des cheveux et cal-vιtie chez l'homme, V m 3 4.
— des cheveux dans l'homme, venant de vιeillesse, ou de maladie, V
ιv 1 2. — différence entre la blancheur par mala
die et la blancheur par nature, V ν 6
BLASTODERME, incertitude sur la distinction de cette membrane par
Aristote. II yi 2 «.
BLUMENBACH, son cinquantenaire célébré par Ernest de Baër,
Ρ CLVΙΙ.
BOKRHAAYB, a Tait à Swammer-dam l'honneur d'éditer un de ses
ouvrages, Ρ CLΙΙΙ.
BŒUF, taureau, position de ses testicules, I m 2. — disposition de
la matrice de la vache; canaux pour l'issue des excréments secs et
liquides dans ces animaux, I vιn 5 7.
— sa classiGcation dans la série animale, II ι 8 11. — couleur de
ses yeux, V ι 11.
— unité de couleur de son pelage, V ν 1. — phénomène que les bœufs
présentent par rapport au timbre de leur voιx, V vι 3. — nature de
leur cœur, V vι 10. — le bœuf n'a qu'un beuglement, V vι 9 n.
BOTANIQUE, ouvrages spéciaux de botanique d'Aristote ne sont pas
parvenus jusqu'à nous, I xvn 6/i. — indication d'ouvrages de
botanique par Aristote, I xvn 6. — questions reprises au début de
notre siècle par M. de Can-dolle sur les monstruosités végétales, IV
m 27 n. — ou-vrages d'Aristote, allusion qu'il y fait ; il a laissé
l'étude de la botanique à son élève Théophraste, V m 19 n. — perte
des ouvrages d'Aristote sur ce sujet, Ρ vιn. — ouvrage perdu d
Aristote sur les plantes, D CCLII.
— Traité général de botanique de MM. L? Maout et Decaisne, cité sur
le saule et le . peuplier, I xιι 21 n. — cité sur les Anciens, qui
ignoraient le sexe des végétaux même dans les plantes dioîques fort
usuelles, II vu l/i. — citée sur le blé, ΙΙΙ ι 12 n — cité sur le
rincipe de la plante, ΙΙΙ π n
Bouc, couleur de ses yeux, V n 12. — affection particulière qui est
cause que le bouc est moins prolifique, I xιι 20.
BOURDONS, les rois, les abeilles et les bourdons; observations
diverses sur leurs fonctions ; dimensions différentes des uns et des
autres, ΙΙΙ ιx 8-12 15.
— naissent, dit-on, des abeilles ; faculté dont ils sont privés, ΙΙΙ
ιx 13 14. — leur nombre pour une ruche de quinze ou vιngt mille
ouvrières, ΙΙΙ ιx 13 n. — accouplement prétendu des bourdons et des
abeilles, ΙΙΙ ιx 6 n.
BOURGEONNEMENT et génération spontanée des testacés, ΙΙΙ x 8.
BOUTURES, exemples tirés des plantes et de la reproduction par
boutures, prouvant que le sperme ne vιent pas du corps entier, I xi
19.
BRUIT, différence entre la voιx et le bruit, V vι 3 n.
BRUNBTTO LATINI au xin° siècle, cité pour la réfutation d'Aristote
contre l'erreur populaire sur l'hermaphrodisme de l'hyène, ΙΙΙ ν 15
n.
BUCCINS, leur génération; leur ressemblance avec les plantes, ΙΙΙ x
8 9. — œufs qu'ils ont toujours en plus ou moius grande quantité,
ΙΙΙ x 24.
BUFFON, cité pour la théorie er-ronée du sperme qu'il soutient
encore, I xi 11 //. — son discours De la nature de l'homme, cité sur
l'âge des rapports sexuels, I xιι 18 /*.
— cité pour les époques et la durée de la fécondité chez les hommes
et chez les femmes, I xιιι 9/i. — cité sur la fé
condité de la liouue ; il a réfuté, dit-il, « les petites erreurs
d'un grand homme »,
ΙΙΙ ι 13 n — réfute la théorie d'Aristote sur la réduction
successive des portées de la lionne, ΙΙΙ ιx 17 n. — insiste sur la
fécondité extraordinaire du lièvre, IV ν 9 n. — ses théories sur
l'organisation du lièvre, analogues à celles d'Aristote ; cité sur
les fœtus incomplets du lièvre,
IV ν 10 n. — analyse de ses travaux ; accueille les théories de
Needham sur la génération spontanée, Ρ CLX. — critique Yallisneri
sur les œufs prétendus qu'il cherchait toujours; ees hypothèses com-
S
arées aux conjectures de ce ernier; ses études sur la génération des
animaux et sur celle de l'homme ,\son Histoire naturelle; systèmes
qu'il y combat; son système per-sonnel; jugement compétent et
impartial qu'en porte Cuvιer, Ρ CLXI. — blâme qu'il adresse à
Descartes et à Aristote; son opinion sur sa propre philosophie; très
satisfait de son système personnel ; sa critique contre les autres
systèmes, Ρ CLXVΙΙΙ et suiv.
BULBB capillaire, transformation qui l'altère profondément, V ιv 3
n.
BUT, moteur et moyen, trois conditions indispensables pour la
constitution essentielle de l'être, II vιn 8-12. Voir Cause finale.
CACHALOTS, grosseur de leur tête, II ι 3 n.
CALVΙTIE et blancheur des cheveux chez l'homme, V m 3 4. — chez
l'homme, V in 4 n. — chez l'homme; analogies de cette affection avec
la chute des feuilles des végétaux, V in 18. — annonce d'ouvrages
ultérieure sur l'explication de la calvιtie, V in 19. — influence
des plaisirs sexuels sur la calvιtie; parties de la tête où elle se
produit, V ni 20 21.
CANAUX pour l'issue des excré-ments secs et liquides chez les
animaux, I vιn 5 7. — pro-lifiques dans les crustacés et les
mollusques, I ιx 5. — occlusion de certains canaux in-dispensables ;
tentatives inutiles des médecins pour les rouvrir; exemple à ce
sujet IV ιv 23.
CANDOLLE, cité pour des ques-tions concernant les mons-truosités
végétales, IV ni 27 n.
CANTHARIDSS, leur génération par corruption, I ιx 7•
CAKPEs, modifications chez les carpes qui vιeillissent dans les
vιvιers, V in 4 n.
CASSAN, M. (Paris, 1826), son ouvrage sur la superfétalion, cité par
MM. Aubert et Wim-mer, IV ν 1 n.
CAS exceptionnels reconnus aussi par la science moderne, con-cernant
les menstrues des femmes, I xm 16 n
CASTRATION, changement impor-tant qu'elle opère dans l'animal, I n 7
/f. — influence de la castration sur la voιx, V vι 11. — influence
de la castration sur le larynx; action particulière des testicules
comparés aux pierres que les tisserands suspendent à leurs fils, V
vι il. CASTRATS , horrible pratique qu'on adopte pour leur conserver
la voιx féminine de soprano, V VΙ 11 il.
CATALOGUE de Diogène Laërce, cité sur l'ouvrage d'Aristote en un
livre, qui porte le titre : Ι Traité de 1 Action et de la Passion ι,
IV in 14 n. — cité pour un livre d'Aristote sur la musique, V vι 4
n. Voir Diogène-Laërce. — anciens qui mentionnent le Traité des
Plantes d'Aristote, I xvn 6 n.
CATEGORIES d'Aristote, citées sur le Traité de l'Action et de la
Passion, ouvrage perdu pour nous, IV ni 14 n.
CAUSES au nombre de quatre, auxquelles on peut rapporter
l'organisation animale; cause de la génération, 1 ι 2-4. —
— finale, principe qu'Aristote a le premier mis dans toute sa
lumière, I ι 2 n. — et principes de la génération, I n 2.
— de la position des matrices à l'intérieur du corps, et de la
position des testicules, tantôt dehors, tantôt dedans, I vιn 12. —
finale et idée du mieux, II ι 1 2. — de la génération des animaux,
II ι 2.
— de l'existence du mondé, II ι 2 n. — qui en tant que principe,
dans tout animal, produit le premier mouvement et l'organise, II n
2. — finale, distinction entre la cause finale prise généralement et
la cause finale de tel être particulier, II vιn 6. — finale
particulière, deux sens distincts qu'elle présente, II vm 6- — qui
produit le mâle et la femelle, IV ι 22. — et
T. II.
principe de la femelle et du mâle, IV ι 25. — qui ont complètement
échappé à l'attention des anciens naturalistes, VΙ ι 5. — par
lesquelles se développe tout ce qui est renfermé dans la définition
de chaque être, V ι 5. — auxquelles Aristote a toujours attaché le
plus d'importance, V ι 5 n. — qui ne sont causes
S
ue comme des moteurs et es instruments; causes comme matière, V vu
9. CAUSE unique qui a créé des animaux, Ρ xx.
Causes des plantes, ouvrage de Théophraste, opinion que Théophraste
y exprime sur le kotinos, l'olivιer, l'é-rinéos et le figuier, ΙΙΙ ν
2 n. Voir Théophraste. CECITE des jeunes animaux au moment de leur
naissance, II vιn 4.
CELLULE du transformisme, cette théorie ressemble à celle
d'A-ristote sur la création des hommes, ΙΙΙ x 18 n
CELSE, son silence sur la géné-ration, Ρ cxxxιιi.
CELTIQUE, ou Gaule, dont le cli-mat, au temps d'Aristote, était sans
doute plus rude qu'il ne Test de nos jours, II x 12 /ι.
CEPS DE VΙGNE, l'excès de nour-riture y diminue les sécrétions, I
xιι 20.
CE RU SE, Traité de chimie de M. V. Regnaut, cité sur la cé-ruse, II
in 4 n.
CERVEAU, raison qui fait que le froid constitue sa nature, II vm 22.
— sa nature, II vιn 22. — change de dimensions proportionnelles ;
mais il ne change pas de nature, II vιn 25 n. — le changement qui se
passe pour le cerveau est le même que celui qui se fait pour les
yeux, II vm 25. —
29 nature de ln semence, ressemblant à celle du cerveau, II ιx 13. —
action des plaisirs de l'amour sur cet organe, II ιx 13. — sa
nature; son rôle principal, V in 9 n.
— sa constitution est cause de la blancheur des cheveux chez
l'homme, V ιv 8 n.
CETACES, position de leurs tes-ticules, I vιn 3. — cause de
l'organisation de leurs testicules, I vιn 3 n. — sont vιvιpares et
mammifères; endroits où ils vιvent; rappellent par leur conformation
le type des poissons, ΙΙΙ ν 1 n.
— disposition de leurs organes génitaux, I xiv 8 n.
CHAIRS, matière dont elles sont composées, II vιn 30 #i.
CHALEUR déterminant le mou-vement; difficulté pour prouver cette
théorie. Il ι 6 n. — cause de la chaleur animale ; erreur de
quelques naturalistes sur l'opinion des Anciens relativement à celte
théorie, II ι 14 /i. — animale, manière dont les physiologistes
modernes traitent ce sujet, Il ιv 7 n. — action de la chaleur
animale, partie de la vιe universelle, II ιv 8 9. — dont la
physiologie doit tenir compte, II ιv 8/i. — animale, sa différence
et sa ressemblance avec le feu, II ιv 9 n. — effet de la chaleur
interne et du froid sur la formation suc-cessive des organes, II vιn
16 17. — et froid, effets qu'on prêle à leur action successive sur
la formation des muscles et des os, II vιn 19 n. — constitue le
coeur, II vιn 22.
— influence de la chaleur sur les œufs et sur les vιns, ΙΙΙ n 12 13.
— sou influence sur récloeion des œufs, ΙΙΙ n 12 n. — animale, sa
production,
IV ι 19 /#. — influence de la
chaleur soit dans les indivι-
dus, soit selon les saisons sur
la procréation de mâles ou de
femelles, IV n 1 2. — du
sperme comparée à celle de
l'eau, IV ιv 13. — opinion
des Anciens et d'Aristote sur
ses limites, IV ιv 13 n. — na-
turelle des femmes, égale à
celle des hommes ; erreur
d'Aristote à ce sujet, IV vι 6
7 n. — action de la chaleur ou
du froid sur la nature des
poils, V m 12-16. — action
de la chaleur et du froid sur
les plantes, V ni 16 n. — na-
turelle de l'homme, comparée
à celle des animaux, V ni 19 n.
— animale, difficulté de bien constater son degré pour les diverses
parties du corps, V m 20 #i. — proprement dite chez les vιeillards,
V ιv 2 n.
— action de la chaleur de l'eau et de la moisissure sur la
décomposition et la putréfaction des choses, V ιv 3. —
• action de la chaleur et du froid sur la nature de la peau et des
poils, V ν 7. — analyses de la chaleur propre de chacune des parties
du corps,
V ν 7 n. — influence de la chaleur et du froid sur l'organe de la
YOΙX, V vι 14. — son influence sur la crois-sauce, V vu 6.
CHAMEAU, sa fécondité en raison inverse de sa grosseur, IV ιv 5-8. —
organisation de son pied, IV ιv 8 n.
CHAMELLE, contradiction d'Aris-tote sur la durée de sa gestation, IV
ιx 3 n.
CHANGEMENT, quel qu'il soit, pas-se toujours à son opposé, dans la
mesure des forces qui le produisent et qui coagissent, IV m 6 7. —
impossibilité qu'un animal se change en un autre animal, IV ni, 23.
— et difformités, qui se rencon-contrent à l'extérieur et à
l'intérieur du corps des animaux, IV ιv 2. — dans les mamelles chez
les mâles, et chez les femelles, à l'époque de la puberté, IV vιa 6
8. — de couleurs des yeux, V ι 14 15.
CHANVRE, son sexe inconnu de Théophraste et des Anciens, à ce qu'il
semble, II vu 1 n.
CHATS DOMESTIQUES, variétés de leurs couleurs, V ν 2 n.
CHAUD, action du chaud et du froid sur la nature des poils,
V m 12 16. Voir Chaleur. CHEF-D'ŒUVRE zoologique d'Aristote est le
Traité de la Génération des Animaux; assentiment général, même de la
part des adversaires du péri-patétisme, Ρ ι.
CHENILLES, leurs larves, leurs métamorphoses successives, au nombre
de trois, ΙΙΙ vιn 3-5. — leur vιe et leur développement, ΙΙΙ vιn 7
8. — leur nourriture, ΙΙΙ vιn 8 n.
CHEVAL, différence entre le mâle et la femelle, I xvn 1. — sa
classification dans, la série animale, II ι 8 11. — et âne, leur
tempérament ; leur sperme; leur constitution faite pour qu'ils
demeurent inféconds, II x 12-15. — est très prolifique, II x 15 n. —
sa fécondité en raison inverse de sa grosseur, IV ιv 5. — couleurs
différentes de ses yeux,
V ι 12. — observations déjà très nombreuses au temps d'Aristote sur
le cheval, V ι 22 «. — minceur de l'os de son crâne ; couleur de ses
poils en vιeillissant, V ιv 8. — études sur ses dents et son crâne,
V ιv 8 n. — durée de sa gestation, IV ιx 3.
CHEVELURE, différences de la chevelure chez l'homme, selon l'âge
dans chaque indivιdu,
V ni 13. — humaine, ses deux principales affections dans le cours
des années, V min. — moyen de la préserver et de la fortifier, V ιv
10. — croissance des cheveux et des ongles sur le cadavre après la
mort, II vιn 34. — blancheur des cheveux et calvιtie chez l'homme, V
ni 3 4. — influence de l'air ambiant sur les cheveux et les poils, V
ni 11 /i. —blancheur des cheveux dans l'homme venant de vιeillesse
ou de maladie, V ιv 1 2. — cause qui détermine la blancheur des
cheveux chez l'homme, V ιv 1-8. — influence de l'âge sur la couleur
des cheveux, V ιv 2/i. — blanchis par la maladie, pouvant redevenir
noirs,
V ιv 6. — des tempes blanchissent les premiers ; explications de ce
phénomène, V ιv 7. —roux, cheveux noirs; cause qui fait qu'ils
blanchissent plus vιte, V ιv 9. — roux, influence du climat de la
Grèce sur cette sorte de cheveux, V ιv 9 n — cause qui fait qu'ils
blanchissent le plus souvent par le bout, V ιv 11.
CHEVRES, cause des nombreuses monstruosités qui se produisent chez
ces animaux, IV in 29. — changements et difformités dans ces
animaux, IV ιv 2. — nombre de petits qu'elles produisent, IV vι 1 n.
CHIEN, disposition de la matrice des chiennes ; des canaux pour
l'issue des excréments secs et liquides dans ces animaux, I vιn 5 7.
— et renard, leurs hybrides, II ν 12 n. — indiens, leur origine
prétendue,
II ιx 6. — fécondité du chien en raison inverse de sa grosseur, IV
ιv 5. — naissance de ses petits, qui sont d'abord aveugles, IVvι 2.
— de Laco-nie, conformation de leurs narines, V n 4. — de Laconie,
cas qu'on en faisait dans toute la Grèce, V n 4 n — de chasse, étude
qu'en a faite Xénophon ; leur organisation ordinaire, V n 4 n. —
leur olfaction varie selon qu'ils ont le museau plus ou moins
allongé, V π 4 n. — variétés de couleurs de leur palais, V ν 8 n.
— Chiens de mer, leur re-production, ΙΙΙ m 7. — re-
{
production de ces sélaciens, II m 7 n. CHIMIE contemporaine citée
sur le nombre des corps élémentaires, I ι 3 /i. — premiers essais de
chimie organique, dans lesquels se reproduit la théorie des quatre
éléments, II 113 n. — composition chimique du sperme d'après
Vau-quelin et Berzélius, II ιx 12 w. .—étrange, qui a prévalu
pendant de longs siècles, ΙΙΙ n 15 n. — moderne, effet de ses
progrès sur la théorie du feu qui remonte à Empédocle, ΙΙΙ x 6 n. —
son analyse chimique du lait, IV vιn 3 n. CHIOS, observations faites
à Chios sur des huîtres de Pyr-rha , prouvant la génération
spontanée des testacés, ΙΙΙ x 23.
CHORION et membrane qui se forme autour de l'embryon, II vι 2. —
position du cho-rion et des membranes dans les vιvιpares ; leurs
fonctions, II ιx 3 5. — qui entourent le fœtus, ΙΙΙ n 19.
CHOSES éternelles et divιnes ; choses contingentes, qui peu-vent
être ou n'être pas, Ιιι2.— éternelles qu'on peut démontrer, II vιn
13. — choses qui se constituent et se coagulent par le froid ;
d'autres par la chaleur, II vιn 15.
CHRYSALIDES, leur rôle, II ι 21 n. — leurs métamorphoses,
Ρ II ι 22. — leur immobilité, ΙΙΙ vιn 7. — mot nouveau du temps
d'Aristote, ΙΙΙ vιn 7 «.
CHUTE des dents, V vu 6.
CICERON, son silence sur la gé-nération, Ρ cxi.
CIEL, le traité du Ciel d'Aristote cité sur une théorie de la
lumière de la lune, neuve au temps d'Aristote, IV ιx 6 n.
CIGALES, leur génération par des êtres congénères, I ιx 7.
CINQUIEME livre du Traité de la Génération des animaux est déplacé,
mais authentique, D CCLVΙ, — cité par Gallien, com-menté par
Philopon, D CCLX.
CIRCULATION double de la sécré-tion spermatique dans les vι-vιpares,
I ιv 3. — double chez les mollusques, ΙΙΙ vu 2 n.
CITATION de l'Histoire des Ani-maux sur la position diverse des
testicules chez les vιvιpares, I ni 2. — de l'Histoire des Animaux,
sur la double circulation de la sécrétion spermatique des vιvιpares,
1 ιv 3. — des Descriptions ana-tomiques et de l'Histoire des Animaux
sur les matrices des animaux, I vu 8. — du Traité des Parties des
Animaux sur le rapprochement de l'issue excrémentitielle et de la
bouche dans les mollusques, I ιx 4. — d'Épicharme sur les sens
divers de cette expression qu'une chose vιent d'une autre, I xιι 2.
— de THistoire des Animaux sur la fonction des menstrues dans chaque
espèce d'animaux, I xiv 10.— d'un vere d'Empédocle sur la génération
dans les plantes,
I xvn 2. — des vers Orphiques sur la formation des parties de
ranimai. II n 5.— du Traité de l'Ame sur la première âme dans
l'embryon,
II ιv 2, — de l'Histoire des
Animaux et des Descriptions
anatomiques sur le cœur, prin-
cipe de l'animal, II vι 6. —
par Aristote de l'Histoire des
Animaux, se rapportant & la
discussion sur l'origine des
veines contre Diogène d'A-
pollonie, Syennésis de Chy-
pre et Polybe, II vι 6 n. —
de l'Histoirç des Animaux sur
des conceptions sans mâles
chez les poissons, ΙΙΙ 117.—
de l'Histoire des Animaux sur
les rapports du blauc et du
jaune dès le début de la con-
ception et sur les membranes
et le cordon ombilical, ΙΙΙ n
17. — de l'Histoire des Ani-
maux sur les différences des
guêpes et des frelons, soit
entre eux, soit par rapport
aux abeilles, ΙΙΙ ιx 20. — de
l'Histoire des Animaux pour
les détails sur les lieux où se
trouvent les testacés, ΙΙΙ x25.
— du Traité de l'Action et de
la Passion sur l'étude des
êtres qui peuvent agir et
souffrir, IV in 14. — des
Descriptions Anatomiques sur
la disposition des embryons
dans les matrices IV ιv 10.—
des Problèmes sur les varié-
tés que présente l'homme,
par rapport à sa progéniture,
IV ιv 17. — des Problèmes
sur la cause de la môle, IV
vu 2. — du traité des Sensa-
tions et du traité de l'Ame
sur les variétés dans la cou-
leur des yeux, V ι 15. — du
traité des Sensations sur les
organes des sens, V n 2. —
du traité des Parties des Animaux sur les poils des animaux, V m 5.
— du Traité de la Croissance et de la Nutrition sur la cause de la
blancheur des cheveux dans l'homme, V ιv 2. — d'Homère sur la
minceur de l'os du crâne du cheval, V ιv 8. — du traité de la
Sensation et du traité de l'Ame sur la voιx ou le bruit des animaux,
V vι 3 16.
CLASSIFICATION des animaux ; ce qui la détermine, II ι 12 13 it. —
d'après la perfection plus ou moins grande des jeunes qu'ils
produisent, II ι 20. — d'Aristote, attention qu'elle mérite; il
s'adresse au principe même de la génération et de la vιe, II ι 21 n.
CLAUDE BERNARD, membre de l'Académie des sciences, se prononce
contre M. F. Pou-chet sur le système de l'hé-térogénie, Ρ CXLV.
CLAUS (M.), sa zoologie descrip-tive citée sur la reproduction chez
les arthropodes, I ι 7 n.
— cité sur l'accouplement des hérissons, I ν 3 n. — cité sur
l'identification des psylles; sur les empides, I ιx 7 n. — cité sur
les sélaciens, II ι 8 /i, — cité sur la fécondité étonnante des
insectes ; sur les larves et leurs métamor-phoses, II ι 19 n. — cité
sur la reproduction des sélaciens, ΙΙΙ ι 2 n. — cité sur l'organe
par où la nourriture arrive à l'œuf, ΙΙΙ ιι 3 n. — cité sur
Téclosion de l'œuf, ΙΙΙ n 9 it.
— cité sur l'identification de la grenouille marine, ΙΙΙ m 3 n. —
cité sur la reproduction
r des sélaciens, ΙΙΙ ni 7 n. — cité sur les œufs de certains
sélaciens, ΙΙΙ ιv 2 n. — cité sur les cétacés et sur l'ovιparite des
poissons eu général,
ΙΙΙ vιn. — cité sur les or-
ganes sexuels des femelles
dans les sélaciens ; sur les
serrans et l'érythrinos, ΙΙΙ ν
3/i. — cité pour la haute va-
leur du travail de Jean Millier
sur les théories d'Aristote,
ibid. —cité sur l'œuf des sé-
laciens, ΙΙΙ ν 5/i. — cité sur
la famille des corvιdés, ΙΙΙ ν
13 /ι. — cité sur l'accouple-
ment des mollusques, ΙΙΙ vu
ln. — cité sur le développe-
ment de l'embryon des insec-
tes, ΙΙΙ vιn 5/i. — cité sur la
ressemblance des chefs des
abeilles avec les abeilles or-
dinaires et les bourdons, ΙΙΙ
îx 12 n. — cité sur la famille
des solipèdes ou équidés ; sur
leur mode de locomotion, IV
vι 1 n.
CLIMATS, influence des climats, de la nourriture et des eaux sur la
production en géuéral et sur celle des sexes, IV n 6. — action des
climats chauds ou froids sur la nature des poils, V m 12 14. — leur
influence sur les moutons, V ni
14 n.
COAGULATION du sperme com-parée à celle du lait, IV ιx 14.
COCHON, position de ses testi-cules, I ni 2. — organisation de ses
pieds, IV vι 1 /i.
COCTION, définition de la coc-tion, I xm 4n. — définition de la
liqueur séminale, I xm 3/i. — sa coction, I xm 4 «. — de la
nourriture; deux causes différentes par lesquelles on peut
l'expliquer,
IV vιn 8. — Hippocrate cité
sur la théorie de la coction,
IV vιn 8/i. — la théorie sur
la coction remonte au moins
à Hippocrate, V ι 23 it.
CŒUR, se montre le premier dans l'embryon, II n 4 n. — premier
organe produit dans les animaux ; il est le principe de la
croissance ultérieure, II n 16. — regardé par Aristote comme le
premier des vιscères qui se dé-veloppe, II n 16 «. — ou l'or-gane
correspondant dans tous les animaux, est le principe de leur nature,
II ν 11. — organe qui apparaît le premier daus l'embryon, II vι 4. —
est le principe des parties similaires et non similaires, Il vι 5. —
principe qui se constitue et agit le premier dans les animaux et
cesse d'agir le dernier, II vu 8 9. — est le premier et le dernier
des vιscères à vιvre, II vu 9 n. — est le premier vιscère qui entre
en action, II vιn 14. — formé en premier lieu daus l'animal; chaleur
qu'il développe, II vιn 22. — action du cœur dans la formation des
sexes, IV ι 24. — sa position daus le corps humain, IV vιn 5n. —
nature du cœur des bœufs, V vι 10. COUTER, cité sur les ovaires
qu'il avait observés, sans eu bien comprendre le rôle, Ρ
CL.
COLIMAÇONS, leur classification, ΙΙΙ x 2 n.
COLIN (M. G.), sa Physiologie comparée des animaux, citée sur la
théorie du poumou. II 114/1. — cité sur le développement successif
des organes dans le corps humain, II n 5 n. — cité sur le flux
sanguin plus ou moins abondant qui se forme chez les femelles, II ν
9 n. — cité sur la nature de la peau, II vm 20 n. — cité sur la
manière dont l'œuf se nourrit et se développe, ΙΙΙ ιι 3 n. — cité
sur la formation de l'œuf, ΙΙΙ u 5 n. — cité sur la différence de la
température des oiseaux à celle des mammifères, ΙΙΙ H 14 n. — cité
sur l'action du sexe au moment du rut, IV ι 18 n. —cité sur la
production de la chaleur animale, IV ι 19/i. — cité sur l'étude de
la vιe extra-utérine, V ι 6 n. — cité sur la chaleur animale, V ni
20 /i. — son étude sur la chaleur propre de chacune des parties du
corps, V ν 7 n. — cité sur la phonation des mammifères et des
oiseaux, V vι 16 n. COLLECTION hippocratique, difficulté de
discerner ce qui appartient à Hippocrate et ce qui appartient à son
école de diverses époques, Ρ cxxvm. — précieuses de dessins
anatomiques d'Aristote, jointes aux ouvrages qu'elles élucidaient, Ρ
x.
COLORATION DES YEUX, dissem-blance de coloration dans les deux yeux,
V ι 23 /*.
COMMENTAIRE de Philopon, cité sur une expression du texte
d'Aristote, I xi 6 n. — cité sur une phrase obscure, I xi 12 n. Voir
Philopon.
COMMENTATEURS , leur opinion sur la pensée d'Aristote par rapport à
la sécrétion de l'urine, IV ι 21 n.
COMPOSITION des chairs, des os, des nerfs, des poils, des ongles et
des cornes, II vm 30. — irrégularités de composi-sition et de style
assez fréquentes dans Aristote; difficulté de les corriger, II ιx 1
n. — Composition du Traité
. de la Génération, citée pour l'ordre et le rang du cinquième
livre, V vu 11 n. — Dissertation spéciale sur la composition du
traité de la Génération, D. CCXLΙΙΙ.
CONCEPTION, ses rapports avec l'écoulement des menstrues ;
exceptions remarquables qui s'y présentent, I xm 15-17.
— se trouve nécessairement dans la femelle, I xvι 2. — dans les
femmes, sa possibilité et son impossibilité, Il ν 16. — qui ont lieu
sans la sensation ordinaire du plaisir, II ν 17. — étonnante du
Traité de la Génération, trois cents ans et plus avant l'ère
chrétienne, Ρ iv.
CONCRETION, différence de la concrétion <jui est contre nature, et
de 1 excrétion qui est naturelle, I xιι 7 8 9. — ce qu'Aristote
entend par ce mot, I xιι 8 n. — est toujours une sorte de maladie, I
xιι 23.
— sens le plus probable de ce mot, I xm 7 n.
CONDITIONS indispensables dans la production des animaux, II n 1.—
indispensables à l'être : le moteur, le but et le moyen,
II vιn 8-12. — essentielles de
la science, ΙΙΙ ιx 18 n.
CONSEQUENCES considérables qu'entraîne le moindre chan-gement dans
le principe moteur, I n 8.
CONSOMPTION dorsale; gravιté de cette maladie, I xιι 22 n.
CONSTITUTION de l'œil, II vu 23 24.
CONTRAIRES, sens qu'il faut don-ner à ce mot, I xιι 5 it.
COPULATION, changements de la matrice après la copulation, IV ν 3 n.
COQUES DE NAVΙRE, observations sur des coques de navιres, à Rhodes,
prouvant la génération spontanée des testacés,
ΙΙΙ x 22.
COQUILLAGES, leur production ; variétés de leurs formes, ΙΙΙ x 13 n.
— génération des coquillages ; leur ressemblance avec les plantes,
ΙΙΙ x 8 9.
COQUILLE, incertitude sur la for-mation de sa partie dure dans
l'oiseau, I VΙΙ 3 n. —mollesse initiale de la coquille de l'œuf, qui
ne durcit qu'au contact de
I air, ΙΙΙ n 4.
CORBEAU, est rarement de couleur blanche, V ν 4. — et ibis,
accouplement de ces oiseaux; erreur d'Anaxagore,
ΙΙΙ ν 12 13.
CORDES de la lyre, mises en pa-rallèle avec les cordes vocales de
l'organisme humain, V vι 4 ιι•
CORDON OMBILICAL, son rôle dans les animaux, II vι 7. — sa
composition ; son apparence ; sa longueur et sa grosseur,
II vι 7 n. — par lequel se
nourrissent les embryons des
vιvιpares; sa composition. II
ιx 1. — sa composition, II ιx
In. — son apparence; sa
grosseur; sa longueur ; sa ré-
sistance, II ιx 4 n. — la for-
mation des animaux vιent du
cordon ombilical, II ιx 5. —
organisation anatomique des
cordons des embryons qui se
forment dans les œufs, ΙΙΙ π
17. — insuffisant à nourrir le
fœtus, le lait devenant sa nour-
riture extérieure, IV vιn 11.
CORISGUS, nom banal dont Aris-tote a l'habitude de se servιr comme
exemple, IV m 4 n. — ou Socrate, noms cités comme exemples à l'appui
de la théorie de la puissance, IV m 4-7.
CORNEE transparente de l'œil, conditions qu'elle doit remplir pour
<jue ses fonctions soient aussi efficaces que possible; son
épaisseur, V t 20 21 n.
CORNEILLE, oiseau, fait ses petits incomplets et aveugles,
IV vι 4.
CORPS HUMAIN, constitution du corps de l'homme et de la femme, I xiv
12. — l'union du corps et de l'âme, manière dont Aristote Ta
toujours conçue, II π 4 n. — développement successif des organes, II
ιι 5 n. — distinction entre les diverses parties du corps, II vιn 29
n. — constitution première des parties du corps de Tanimal, II vιn
31. — élément nécessaire sans lequel il ne serait pas constitué, II
vιn 31 /i. — les différences de fécondité se règlent sur la grandeur
du corps, IV ιv 8 n.
CORVΙDES, oiseaux compris dans cet ordre; famille qu'ils forment,
ΙΙΙ ν 13 n.
COSME ΙΙΙ, grand-duc de Toscane, auquel de Graaf dédie son ouvrage,
Ρ CXLVΙΙΙ.
COSTE a tort de contester à Ernest de Baër sa découverte de l'ovule,
Ρ cxci, — ses travaux, Ρ cxci et suiv.
COTYLIDOIIS dans les vιvιpares ; leur position : leur fonction ;
leur disparition, II îx 2-4» — leur communication les uns avec les
autres; leur rapport avec le placenta; contribuent à la nutrition de
l'embryon dans les premiers temps," II ιx 2/i. — disparition des
cotylédons dans les vιvιpares,
II ιx 3-4. — sens de ce MOT,
IV ιv 10 n.
Coucou, sa fécondité relative ; sa poltronnerie ; il pond dans les
nids des autres oiseaux,
ΙΙΙ ι 10.
COULEUR/explication de la double
couleur des œufs d'oiseaux, et de la couleur simple des œufs de
poissons, ΙΙΙ122-24. — des yeux des animaux, V ι 11. — dissemblable
des yeux, effet singulier que produit cette différence sur toute la
pby-
gionomie, V ι 13 n. — cause nérale de la différence dans couleur des
yeux, V ι 14.
— variétés dans la couleur des yeux, V ι 14 15• — cause de la
couleur de l'eau, V ι 16 n. — du pelage chez les animaux et ce qui
la détermine,
V ιv 1. — variété des couleurs dans le pelage des animaux, V ν 1. —
unité de couleur dans le pelage des animaux; sens divers où ceci
peut s'entendre, V ν 1. — multiplicité des couleurs dans le pelage
des animaux ; sens divers où ceci peut s'entendre,
V ν 1 et suiv. — variées dans le pelage selon les espèces et les
indivιdus, V ν 2. — rareté ou fréquence des changements de couleurs
dans le pelage des animaux, V ν 3. — entières, couleur unique,
interprétation de ces expressions d'après le commentaire de
Philopon, V ν 3 n. — distinction qu'Aris-tote fait entre les
couleurs entières et la couleur unique, V ν 3 n. — blanche sous le
ventre de certains animaux ; explication de ce fait, V ν 7• —
variétés de couleurs dans la langue des animaux, V ν 8.
— variation de couleur dans les animaux selon les saisons, et selon
l'alimentation, Y ν 9.
— secrètes harmonies entre la couleur des animaux et le milieu où
ils vιvent, et leur organisation générale, Y ν 10 n.
Cousin (Yictor), son édition des œuvres de Descartes (De la
formation du fœtus) citée, Ρ
CLV.
COUVAIN des abeilles ; réfutation des erreurs des naturalistes,
3
ui croient qu'elles le tirent u dehors, ΙΙΙ ιx 3. CRABES, production
de leurs petits, ΙΙΙ vu 1. — divιsion de leur matrice, ΙΙΙ vn 2. —
sont des crustacés décapodes, ΙΙΙ vu 3 n. — nombre de segments
qu'ont à la queue la femelle et le mâle dans certaines espèces, ΙΙΙ
vu 4 #t.
CRABIDES, famille des crabes, œufs placés sous la femelle, ΙΙΙ VΙΙ 3
4.
CRAATIOH, explications diverses sur la création des hommes et des
quadrupèdes, ΙΙΙ x 18 19. — de la larve, théorie qui n'est pas plus
intelligible que celle de l'œuf, ΙΙΙ x 19 n.
CREATURES, tendance générale de la Nature en ce qui regarde la durée
des créatures, ΙX ιx 8.
CRESSERELLE, sa fécondité relative ; le seul des oiseaux pourvus de
serres qui boive; son humidité ; nombre d'oeufs qu'elle pond, ΙΙΙ ι
9.
CRITIQUE sévère et méritée d'A* ristote contre des naturalistes sur
leur étrange théorie de l'accouplement de certains oi-seaux, ΙΙΙ ν
12 n.
CRITON de Platon, cité pour l'ex-pression, « le voyage à Dé-los », I
xιι 4 n.
CROISSANCE des ongles et des cheveux, qui poussent encore sur le
cadavre après la mort, II vιn 34. — constante des dents,
particulièrement chez l'homme, II vni36. — rapide des œufs de
poissons, ΙΙΙ ιv 4.
— Traité de la Croissance et de la Nutrition d'Aristote, cité sur la
cause de la blancheur des cheveux dans l'homme, V ιv 2. — cité par
Arie-tote sur les maladies de la chevelure; perte de cet ouvrage, V
îv 2 n. — Croissance et Nutrition, ouvrage perdu d'Aristote, D
GGLII, — cité dans le traité de la Gé-ιιération des Animaux, ibid.
Voir Nutrition.
CRUSTACES, accouplement de la femelle et du mâle dans ces animaux, I
ι 6. — divιsion de leurs matrices, I m 3.—quatre combinaisons
différentes de leurs organes de génération, I ni 3 A. — cause de la
difficulté de leur accouplement; leurs organes de génération ;
organisation des canaux prolifiques dans ces exsangues, I îx 3 5. —
leurs pontes abondantes; leur sé-crétion spermatique, I xm 13. —
leur classification ; leur constitution et leur reproduction, I xvn
9. — leur classification; production de leurs œufs, II ι 9. — leur
génération selon leur chaleur, II ι 18 19 21. — ils sont les
derniers des animaux privés de sang, II vιn 20.— faits à ob-server
chez ces poissons pen-dant qu'ils sont accouplés, ΙΙΙ ν
5.—production de leurs petits, ΙΙΙ vu 1.
— leur génération et leur embryologie d'après Aristote, Ρ xxxιι à
xxxiv.
CTESIAS OE CNIDE, son erreur sur le sperme des éléphants, II ni 7. —
critique et jugement d'Aristote sur ses erreurs, ΙΙΙ m 7/i.
CUISSON, signification de ce mot, I vι 2 /i. Voir Coction.
CUIVRE ET PLOMB, cause de la dureté de leur mélange, II x 3.
CUVΙER, Règne animal, cité sur les testacés, I ι 9 n. — Ana-tomie
comparée, cité sur les organes de la génération en général ; sur les
tortues, I ni 1 «, — Anatomie comparée, cité sur les organes
éducateurs ; sur les crustacés et les mollusques ; sur les organes
de la génération dans les in-sectes, I ni 3 n. — Anatomie comparée,
cité sur la longueur des intestins dans les animaux; sur la grosseur
des testicules chez les oiseaux, I ιv 2 4 n. — cité sur
l'accouplement des hérissons, I ν 3 /ι. —Anatomie comparée, cité sur
les organes génitaux des reptiles et des éléphants, I vι 4 5/i.
—Anatomie comparée, sa remarque sur les organes de l'accouplement
dans les femelles et dans les mâles, I vu 1 /i. — Règne animal, cité
sur les organes de la génération des sélaciens ; des cétacés ; est
en parfait accord avec Aristote, I vu 15 et suiv. n.
— Anatomie comparée, cité sur l'appellation d'Albuginée, I vιn 2 n.
— Règne animal, cité sur l'appareil spermatique et urinaire chez les
oiseaux, I vm 6/i. — sur les crustacés; sur les organes sexuels des
mâles, I ιx 3 n.
— Règne animal, cité sur le manteau des mollusques ; sur
l'accouplement des insectes ; sur l'identification despsylles, I îx
5 7 n. — Anatomie comparée, cité sur la génération des insectes, I
ιx 8 9 n. — Anatomie comparée, cité sur les organes générateurs chez
les reptiles ; sa remarque sur leurs testicules, I vιn 9 n. —
reconnaît quatre modes d'accouplement des mollusques, I ιx 4 /i. —
sur les crustacés, I ιx 5 n. — Règne animal, cité sur le mode
d'accouplement des insectes, I xv 4 n.
— sur les métamorphoses des insectes, I xv 5 n. — Règne animal, cité
sur la laite des poissons, I xv 9 n. — Règne animal, cité sur les
crustacés et les zoophytes, I xvn 9 A.
— Règne animal, cité sur les insectes ; sur le dauphin et sur la
famille des sélaciens, II ι 7 8 n. — Règne animal, distribution
générale du Règne animal en quatre grandes divιsions, cité sur la
classification des animaux, II ι 13 n. — Anatomie comparée, cité sur
les caractères du poumon,
II ι 14 /*. — Règne animal,
cité sur la génération des sé-
laciens, II 116 n. — Règue
animal, cité sur les écailles
des poissons; sur la nature
de leur corps ; sur la généra-
tion des insectes, Il ι 18 19
«. — Règne animal, cité sur
la génération particulière des
sélaciens, II ν 2 n — Anato-
mie comparée, son silence sur
la nature de la peau, II vu 20
n. — Anatomie comparée,
ostéologie de la tête, cité sur
la fontanelle, II vιn 26 n. —
Anatomie comparée, cité sur
les dents ; n'a pas étudié spé-
cialement le rapport des dents
aux os, II vιn 35 n. — Règne
animal, cité sur la famille des
épervιers ; sur l'accouple-
ment des rhinobates, II ιx 7
— Règne animal, confond la grenouille avec labaudroye,
ΙΙΙ m 2/i. — Règne animal,
cité sur le blaireau et sa con-
stitution; et sur celle des
hyènes, ΙΙΙ ν 15 n. — Règne
animal, sur les seiches ; sur
les mollusques et leurs varié-
tés de génération; sur les
œufs des teuthis, ΙΙΙ vu 1 2
«. — Règne animal, cité sur
la classification et la généra-
tion des acéphales ; sur Tor-
dre des testacés et des coli-
maçons, ΙΙΙ x 1 2 n. — Règne
animal, cité sur les moules;
sur les liquides muqueux que
rejettent les testacés, 111 x 8
fin — Règne animal, cité sur la production des coquillages et la
variété de leurs formes ; sur la génération des testacés, ΙΙΙ x 13
14 n. — Règne aui-mal, ses remarques analogues à celles d'Aristote
sur les hélices ou spires, ΙΙΙ x 21 JI.
— Règne animal, cité sur les fissipèdes, IY ni 29 n, — Règne animal,
cité sur la classification de l'éléphant ; sur les doigts de son
pied; sur le pied du chameau, IV ιv 8 #i.
— Règne animal, cité sur des singularités dans l'organisation du
lièvre; Aristote a la priorité de ces.théories, IV ν 10 n. — Règne
animal, cité sur les animaux à pieds fourchus, IV vι 1 n. —
Introduction au Règne animal, sa théorie sur la différence
essentielle des animaux et des plantes est toute la théorie
aristotélique, IV vιn 4 n.
— Règne animal, cité sur la couleur des lions; sur les variétés de
couleurs dans le pelage des animaux, V ν 1 2 n.
— Règne animal, cité sur les moutons classés parmi les ru-minants, V
ni 13 n. — Anatomie comparée, son étude des dents comparée à celle
d'Aristote, V vu 8 /*.
CUVΙER ET LATRKILLE, Règne ani-mal, cités sur les trois états dans
les métamorphoses des insectes ; sur leurs ordres divers et leur
classification, ΙΙΙ vιn 6 n. — admirent, comme Aristote, l'instinct
des abeilles; reproduisent les détails exacts donnés par Aristote
sur les chenilles, ΙΙΙ vιn 7 /*.
— cités sur la composition de la société des abeilles ; sur leur
accouplement, ΙΙΙ ιx 1 n ; ΙΙΙ ιx 6 n.
CUVΙER ET VALEMCIBNHES, His-taire naturelle des Poissons, cités sur
l'identification de la grenouille de mer avec le fophius
piscatoriue, ΙΙΙ m 3 n.
CUVΙER, question par laquelle il termine son Anatomie com-parée, un
des plus beaux titres de la science moderne, Ρ xιx. — ses travaux en
histoire naturelle, le plus grand des naturalistes modernes ; son
jugement impartial du système de Buffon, sur les molécules
organiques et sur le moule intérieur pour expliquer la génération,
cité, Ρ CL xxi π.
D
DARWIHISTES, cités sur les temps de la gestion, évolutions qu'ils
prêtent à la cellule, IY m 23 n.
DAUPHIN, position de ses testi-cules, I ni 2. — disposition des
canaux spermatiques dans cet animal, I vιn 10. — sa classification
dans la série ani-male, II ι 8 12. — classe d'a-nimaux dout il fait
partie, II ι 8 n. — manière dont il s'accouple, ΙΙΙ ν 10.
DECAISNS ET LRMAOUT (MM.), leur traité général de Botani-
3
ue, cité sur la reproeuction es plantes; sur le gui et ses
nombreuses espèces, I ι 10 n. — cité sur le genre du saule et du
peuplier, I XII 21 n. — cité sur l'ignorance où étaient les Anciens
du sexe des végétaux, II vu 1 n. — leur Botanique citée sur le bled,
ΙΙΙ ι 12 n. — citée sur le principe de la plante, ΙΙΙ π 2
DECOMPOSITION et putréfaction
des choses, Y ιv 3. DECOUVERTE de la vésicule, par
Régnier de Graaf, Ρ CXLVΙΙΙ. DEFAITE d'un principe dans la
génération ; prédominance de l'autre, IV ι 27. DEFIÏIITIOR du mâle
et de la femelle, I π 4• — du sperme dans les espèces où il y a deux
sexes, I xιι 5.
DELOS, le voyage à Délos vιent après les Panathénées, exemple cité à
l'appui de celte expression qu'une chose vιent d'une autre, I xιι 4.
DEMOCRITE, désigné, I xu 10 n.
— désigné; Aristote a souvent réfuté ses doctrines, I xiv 2/i. —
désigné pour sa théorie de la respiration, II ν 4 n — son erreur sur
les parties des animaux qui se séparent les premières, II vι 5. —
sur la nutrition du fœtus; impossibilité de sa théorie, II vι 8-10•
— erreur de sa théorie, fidèlement reproduite par Aristote, II vι 5
n. —conclusion d'Aristote concernant une de ses théories, II vι 8 n.
— sa théorie sur la divιsion des membres du fœtus et sur sa
nutrition, II vι 10. — désigné par Aristote pour son opinion sur la
formation des membres de l'embryon II vι
10 n. — désigné par Aristote,
11 vu 8/i. — désigné par Aristote, II vιn 5 n. — insuffisance de son
explication des conditions indispensables à l'être ; il n'admet que
la nécessité et l'éternité des choses, II vιn 12. — ses travaux
zoologiques, II vιn 12 n — théorie métaphysique par laquelle il
essayait d'expliquer la Nature, II vιul2 son erreur sur la stérilité
du mulet ; réfutation de sa théorie, II x 12. — et Empédocle, leurs
travaux zoologiques; discussion de leurs théories sur la stérilité
du mulet, II x 1 A.— objection contre la théorie de Démocrite sur la
stérilité des mulets, II x 5 A. — sa théorie des atomes, qu'Aristote
semble adopter, ΙΙΙ x 11 n. — théories de Démocrite, dfA-naxagore et
d'Empédocle sur la formation originelle des sexes femelle et mâle,
IV ι 2* 4. — manière dont Aristote parle de lui dans ses ouvrages
zoologiques, IV ι 4 A. — discussion spéciale sur son opinion et sur
celle d'Empé-docle relativement à l'origine des sexes ; réfutation
de 1 une et de l'autre, IV ι 5-14. — blâmé de n'avoir rien dit dans
son système sur l'origine de la différence des organes sexuels, IV ι
6 A. — et Empédocle, leurs théories de la ressemblance et de la
dissem-blance des enfants aux parents; réfutation de ces théories,
IV ni 18-22. — son erreur sur la formation des monstres, IV ni 25. —
doute exprimé par MM. Aubert et Wimmer sur la théorie de la
production des monstres adoptée par lui, IV m 25 n. — ses théories
réfutées par Aristote, IV ιv 10 A. — désigné sans doute par
Aristote, V I 5 A. — sa théorie de la vιsion, combattue par Aristote
dans le traité de la Sensation et dans le traité de l'Ame, V ι 15 A,
— son opinion sur la vιsion, V ι 27 n. — son erreur sur la cause de
la chute des dents, V vu 2-5. — son témoi-gnage fréquemment invoqué
et discuté dans l'Histoire des Animaux, V vu 2 A. —- s'était, avant
Aristote, occupé d'histoire naturelle, V vu 2 n. — erreur de sa
théorie sur les dents, V vu 4 A. — ne voyant que la nécessité des
choses, a omis la fin où elles tendent,
V vu 9. — manière dont Aristote réfute ses opinions fausses, Ρ xιι.
DEMONSTRATION possible de cer-taines vérités éternelles, II vm 13.
DENTS, éludes de la science mo-derne sur les dents, II vιn 35 A. —
rapport des dents aux os; erreur d'Aristote sur leur croissance, II
vm 35 A. — particulièrement chez l'homme; ce sont des os, mais se
distinguant des autres os par leur croissance constante ; leur usure
avec l'âge ; l'homme nait sans dents, II vm 35-39. — leur nature,
particulièrement chez l'homme, II vm 35 38. — fonction et objet des
dents chez l'homme, II vιn 36. — usure des dents avec l'âge, II vm
38. — leur nutrition ; leur sécrétion ; leur composition différente
de celle des os ordinaires, II vιn 38 A. — fonctions multiples
qu'elles ont à remplir, V vu 1. — usage des dents chez les animaux,
V vu 1. — erreur de Démocrite sur la cause de la chute des dents,
V vu 2-5. — cause de leur chute, V vu 6.
DEPERISSEMENT des plantes et des animaux par l'excès de production,
ΙΙΙ ι 12 13.
DEPLACEMENTS singuliers des parties du corps chez des ani-maux
d'ailleurs bien constitués, IV ιv 3. — d'organes dans les animaux,
IV ιv 22.
DERNIER, ce que l'auteur eu tend par ce mot dans l'expression : «
résidu dernier de la nutrition », IV ι 26.
DERNIERS Analytiques d'Aristote, cités sur la grande théorie de la
démonstration et sur l'intuition, II vιn 13 #t.
DESACGOUPLEMENT des dauphins, ΙΙΙ ν 10.
DESCAHTES, son traité De la formation du fœtus (tome IV de ses
Œuvres, édition Vιctor Cousin) ; n'a pas laissé de traces profondes
en embryologie; cité sur une question (|ui doit se résoudre plus par
1 observation des faits que par le raisonnement ; sa gloire
impérissable, Ρ CLV. — blâme que lui adresse Buifon,
Ρ CLXIV.
DESCRIPTIONS AN ATOMIQUES, ou-vrage d'Aristote, et Histoire des
Animaux, citées sur les matrices des animaux, I vu 8.
— citées par Aristote, ne sont
F
as parvenues jusqu'à nous, vu 8 n. — citées sur l'insuffisance du
rôle des veines, II ν 5 /i. — et Histoire des Animaux, citées sur le
cœur, principe de l'animal, II vι 6.
— de l'Histoire des Animaux et figures représentant les dissections,
citées sur des détails à vérifier pour le développement des
embryons, II ιx 4 — citées sur la disposition des embryons dans les
matrices, IV ιv 10.
—ο u vra ge perd u d'Ari s tote, cité cinq fois dans le Traité de la
Génération des Animaux, D CCLΙΙΙ. Voir Anatomie. DESSINS
ANATOMIQUES, détails à vérifier sur ces Dessins et dans l'Histoire
des Animaux, pour la manière dont se développent les embryons, II ιx
4. Voir Descriptions anatomiques. — et collections anatomiques
d'Aristote; leur perte, avec les ouvrages qu'elles élu-cidaient, Ρ
x. DESTRUCTION, course quelle fait, II vu 9.
DEVANCIERS d'Aristote, manière dont il réfute leurs théories, Ρ Υΐι•
— leurs théories sur la génération, Ρ CXXVΙΙ.
DEVELOPPEMENT et nourriture de l'œuf, ΙΙΙ n 3 7. — des em-bryons des
ovιpares et des vι-vιpares, ΙΙΙ u 18 19. — des poissons, ΙΙΙ in 8. —
de l'œuf des poissons, ΙΙΙ ιv 4. — et vιe de la larve, ΙΙΙ vιn 7 8.
DIEU, son existence reconnue par les grands esprits de tous les
temps, Ρ CCXXVΙΙΙ. — reflet de Dieu ou de l'être infini, allusion
qu'y fait Aristote, IV m 31 n.
DICTIONNAIRE de l'Académie fran-çaise, cité sur les mots
Hi-bernation et Hiberner, V ni 19 n. — de l'Académie française et
celui de Littré, cités sur le mot de Grisonnement, V ιv 3 n. — de
Littré, cité pour la réfutation d'une erreur sur l'hyène, ΙΙΙ ν 15
n.
— de Rich, article Laterna,* cité sur les lanternes transparentes
des Anciens, V ι 21 #t.
DIFFICULTE extrême de savoir à quel moment l'intelligence se montre
dans les êtres qui par-ticipent à cette sorte d'àme, II ιv 3.
DIFFORMITES et monstruosités de tout ordre ; recherche de la cause
qui produit ces phéno-mènes étranges, IV ιv 1 et suiv. — plus ou
moins monstrueuses, IV ιv 2 n. — cas divers de difformité, IV ιv 22.
— soit congénère, soit adventice, cas qui ne sont pas très rares, IV
iv23w.
DIOGENE D'APOLLONIE, cité par
rapport à la discussion d'Aristote sur l'origine des veines, II vι 6
n. DIOGENE LAERCE, son catalogue cité sur le Traité des Plantes
d'Aristote, I xvn 6 n. — cité sur l'ouvrage en un livre qui
F
orte le titre : Β Traité de Action et de la Passion T désigné par
Aristote, IV ni 14 #i. — cité pour un livre d'Aristote sur la
musique, V vι 4 n. — ne cite pas le Traité de la Génération des
Animaux dans son catalogue, D CCLVΙΙ. DIOÏQUES, différence des
indivι-dus daus les végétaux dioïques ; connaissance qu'en avait 1
Antiquité, I xvn 1 «. DISCIPLES d'Hippocrate, études curieuses et
pratiques qui lui font beaucoup d'honneur, Ρ vι. Discussion spéciale
sur l'opinion d'Empédocle et sur celle de Démocrite; réfutation de
l'une et de l'autre, et aussi de la théorie d'Anaxagore sur la
formation originelle des sexes femelle et maie, IV ι 5-15. — engagée
par Aristote contre la théorie <jui fait venir la liqueur séminale
de toutes les parties du corps, Ρ xvn. DISSECTION montrant que le
plus petit changement dans le prin-. cipe moteur
produitdesconséquences considérables, I n 8.
— détails prouvant qu'Aristote avait disséqué avec le plus grand
soin, I m 1 π; I ιv 3 n. — fort attentives d'Aristote, II ιx 1 2 n.
— détails à l'appui des dissections minutieuses d'Aristote, ΙΙΙ m 7
n. — déjà poussées fort loin par Aristote, ΙΙΙ vιn 3 n. — avaient
pour objet la physiologie comparée, IV ι 7 n. — qu'Aristote
cherchait à fιxer par des dessins, IV ιv 10 n
— des organes de l'ouïe, et observations d'Aristote, V n n. Voir
Aristote et Anatomie.
DISSEMBLANCE et ressemblance {les enfants aux parents ;
expli-cations erronées qu'en donnent les naturalistes, Empé-docle et
Démocrite, IV m 17 18. — ne peut à aucun degré être confondu avec la
monstruosité, IV ni 30 n.
DISSERTATION sur le Traité de la Génération, citée sur une erreur
relativement à la génération, I ι 4 n. — citée pour le désordre de
la fin du livre II, chap. 18, II vιn 39 n.
— citée sur le désordre du texte qui se continue dans le cinquième
livre, IV vιn 1 «.
— citée sur le résumé de ce traité, IV ιx 9 n. — citée sur l'ordre
de ces études, V n 7 n. — citée pour l'ordre et le rang du cinquième
livre, V vu 11 n. — cite sur l'ordre du cinquième et dernier livre,
V ι 1 n. — sur l'authencité et la composition du Traité de la
Génération des Animaux, Tome Ι•Γ, p. CCXLΙΙΙ et suiv.
DISTINCTION de la femelle et du mâle, I η 2. — des parties diverses
des animaux, II vm 3.
DIVERSITES de la génération, I ι 5.
DIVΙN, le bien et le divιn toujours causes du mieux dans les choses
contingentes, II ι 2.
DIVΙSION des membres du fœtus, II vι 10.
DOCTEURS du Moyen-âge, cro-yaient à l'inégalité de l'âme de l'homme
et de la femme,
11 vu 1 n.
DOCTRINE hippocratique citée sur la génération et sur la grossesse
des femmes, IV vι
12 #i. — influence des doctri-
nes d'Hippocrate sur les étu-
des d'Aristote, Ρ cxxvn.
DUMAS (J.-B.), membre de l'A-cadémie des sciences, se pro-nonce
contre M. F. Pouchet et le système de l'hétéro génie, Ρ CXLV. — ses
travaux physiologiques, Ρ CLXXX. — son admiration pour Aristote, Ρ
CLXXΙX. — explication de l'éloge qu'il lui adresse, ibid.
DUREE des môles, IY vu 2 n. — Durée variable de la gestation ; elle
est en rapport avec la durée même de la vιe, IV ιx 1. — rapport
étroit de la durée de la gestation à la grosseur définitive du
fœtus, IV ιx 3.
DUVERKOY, rédacteur de la se-conde édition de l'Anatomie comparée de
Cuvιer, Ρ cxcv. — propose le mot de Sper-matozoïdes, ibid.
EAU, transformation de l'huile et du plomb mêlés à l'eau et à
l'écume ; effets divers de l'agitation donnée au mélange, II m 4 5.
— potable ; eau de mer, ΙΙΙx 4 5. — influence des eaux des climats
et de la nourriture sur la production en
f
énéral et sur celle des sexes, V π 6. — influence de l'eau sur toute
l'organisation animale, IV ιι 6 n. — sa couleur tient plutôt à sa
composition qu'à sa profondeur, Y ι 16 n. —- action de l'eau, de la
chaleur et de la moisissure, sur la décomposition et la putréfaction
des choses, V ιv 3. — leur influence sur la couleur des animaux, V ν
3 6. — influence des eaux chaudes ou froides sur la couleur des
animaux et des végétaux, Y ν 5. — idées étranges sur leur action, V
ν 5 n. EGLOSION des œufs, influence de la chaleur sur l'éclosion des
oeufs, ΙΙΙ ιι 12 et n. — et naissance du petit de la vιpère, I , xiv
10 n.
ECOLE hippocraliquc, recherches que contient le recueil plus ou
moins authentique des œuvres qu'on lui attribue, Ρ vι. —
pé-ripatéticienne, avait fait beau-coup de musique théorique, V vι 4
n. — son silence sur la génération pendant cinq siècles après
Aristote, Ρ cxxxiu. — philosophiques, se taisent sur la génération
pendant plusieurs siècles après Aris-
, tote, Ρ cxxxui.
ÉCUME, transformation de l'huile et du plomb mêlés à l'eau et à
l'écume, II ni 4 5. — sa couleur, selon les diverses matières, II in
9 it.
EGYPTE, fécondité des femmes de ce pays ; nombreuses mon* struosites
qui s'y produisent, IV in 29. — citée sur la vιtalité des enfants
nés à huit mois, IV ιv 16 n. — par elle les Grecs ont pu connaître
les
, nègres, V m 12 n.
ÉLEMENTS des corps, leur nombre dans l'Antiquité et de nos jours, I
ι 3 n. — deux éléments principaux de la science, 11 8 n. — deux
éléments essentiels de la science, I u 4 n. — théorie des quatre
éléments de l'Antiquité, répondant aux corps simples de la chimie
actuelle, I xi 7 n. — similaires de la liqueur séminale et du lait
dans les animaux qui ont du sang, I x 1.
— la théorie des quatre élé-ments se reproduit dans les premiers
essais de chimie or-ganique, II ι 13 n. — les qua-tre éléments ;
ordre dans le-
Ï
uel on les range d'ordinaire, [ ιv 7 n. — les quatre élé-ments,
théorie citée sur la dureté de la coquille de l'œuf,
II ι 17 n. — théorie des qua-
tre éléments, qu'Aristote a
vulgarisée et qui a régné jus-
qu'au xvι6 siècle, ΙΙΙ n 13 n.
— trois sortes d'éléments.dans lesquels vιvent toutes les es-
f
>èces d'animaux, ΙΙΙ x 5. — a théorie des quatre éléments adoptée
par Aristote et par l'Antiquité, jusqu'à la Renaissance, V n 5 n. —
théorie des quatre éléments, V m 6 n. 0 ÉLEPHANT, position de ses
testicules, I vιn 3. — sa fécondité en raison inverse de sa
grosseur, IV rv 5 8. — sa classification; nombre de doigts à chacun
de ses pieds, IV iv8 n.
— grosseur de son embryon,
IV ν 2. —- grosseur de son
petit, IV ν 2 n. — exem-
ples de l'éléphant et de l'hom-
me, cités à l'appui de la théo-
rie de la durée de la ges-
tation, IV ιx 2. — duréede
sa gestation, IV ιx 4. — in-
certitude sur la durée de sa
gestation, IV ιx 4 n. — com-
paré au porc pour les poils,
V m 8 n.
EMBRTOLOGIS et physiologie, ouvrages contemporains de physiologie et
d'embryologie, cités pour l'évolution merveilleuse de l'œuf, II vιn
in. — ses progrès depuis Aristote,
ΙΙΙ n 5 /i. — ou embryogénie,
ses progrès; justice rendue
aux observations d'Aristote
T. n.
sur ces questions, ΙΙΙ n 17 n.
— nouveauté de ce mot ; science créée et exposée tout au long par
Aristote, trois cents ans et plus avant l'ère chrétienne, Ρ ν. —
système aristotélique exposé, Ρ xιx.
— comparée d'Aristote, Ρ xxiv-cxxv.— créée par la méthode
d'observation; son objet propre; sa profondeur et sa
portée ; ses progrès, Ρ cxxv.
— esquisse de l'histoire de l'embryologie, Ρ cxxvn-ccxvι. — son
origine; aperçu de ses théories avant Aristote, Ρ cxxvn. — disparaît
pendant cinq siècles après Aristote, Ρ cxxxi.
EMBRYON, ce qu'Aristote entend par ce mot, I xiv 14. — sa formation,
II n 7. — première apparition de Javιe dans l'em-bryon; principes
qu'il doit avoir et qui constituent l'animal, II ιv 2. — et sperme
ayant l'âme en puissance sans l'avoir en acte et en fait, II ιv
4-10. — sens dans lequel l'embryon est complet, II ν 1 n. —
membranes et chorions cjui se forment autour de
1 embryon ; analogie de son développement avec celui de la graine
des végétaux, II vι
2 3. — son accroissement analogue à celui des plantes,
II vι 9. — action du mâle,
constituant l'embryon, en
transmettant à la matière, qui
est dans la femelle, le mou-
vement et la vιe, II vu 1 8 n.
— des vιvιpares, nourriture qu'ils reçoivent par l'intermédiaire du
cordon ombilical ; leur développement, II ιx 1-4.
— leur nutrition; erreur de quelques naturalistes sur ce sujet, II
ιx 5. — couleurs de l'embryon dans les oiseaux,
ΙΙΙ ι 26. — des ovιpares et
30 des vιvιpares ; commencement de leur vιe ; leur développe-ment et
leur nourriture ; position de leur matrice, ΙΙΙ π 18-20. — nutrition
des em-bryons des ovιpares et des vιvιpares, ΙΙΙ π 20n. — action du
sperme sur leur nombre plus ou moins grand, IV iv9. — organisation
des ovaires, répondant à la question du nombre des embryons, IV ιv
9/i. — cause qui fait qu'ils sont nombreux dans les es-pèces
multipares, IV ιv 14.— manière dont la divιsion du sperme eu produit
plusieurs, IV ιv 19. — grosseur de l'embryon de 1 éléphant, IV ν 2.
développement des embryons de superfétation, selon les es-, pèces,
IV ν 8.
ÉMISSION sanguinolente du sperme par suite d'excès vénériens, I xιιι
4. — d'une liqueur spermatique impossible chez les femmes ; résultat
qu'elle aurait, si elle était extérieure, II ν 20.
EMPEDOCLE, auteur de la théorie des quatre éléments des corps, I ι 3
n. — désigné et combattu par Aristote pour sa théorie sur la
génération, I x 6 n. — son erreur sur le sperme, qu'il fait venir du
corps entier du mâle et de la femelle, I xi 9 10. — un de ses vers
cité par Aristote, à l'appui de la théorie de la ressemblance des
enfants aux parents, I xi 10 /i. — erreur de sa théorie sur
l'amitié, I xi 11. — son vers cité par Aristote, sur la différence
de la femelle et du maie dans la conception I xi 16. — ses
fragments, cités pour un vers tiré du second livre des Choses
physiques, I xi 16 it. — désigné, I xιι 10 i». — désigné par
Aristote; réfutation de ses doctrines, I xiv 2 n.— cité sur la
génération dans les plantes, I XVΙΙ 2.—ses théories blâmées et
louées par Aristote, I XVΙΙ 2 n. — désigné par Aristote, II vιn 5 n.
— son erreur sur la stérilité du mulet; sur la cause de la dureté du
mélange du cuivre et du plomb; réfutation de ses théories, II x 1 3.
— et Dé-mocrite, leurs travaux zoolo-giques; discussion de leurs
théories sur la stérilité du mulet, II x 1 n. — cause qu'Empédocle
assigne à la stérilité des mulets, II x 3 n.
— exemple vulgaire pour bien montrer Terreur d Empédo-cle dans sa
théorie sur la stérilité du mulet, II x 4 n. — sa démonstration
s'appliquant indistinctement au maie et a la femelle du mulet, II x
6. — cité sur la théorie du feu, ΙΙΙ x 6 n. — théories d'Empédo-cle,
d'Anaxagorc et de Dérao-crite d'Abdère sur la formation originelle
des sexes femelle et mâle, IV ι 2 3. — manière dont Aristote parle
d'Empédocle dans ses ouvrages zoologiques, IV ι 3 n.
— discussion spéciale sur son opinion et sur celle de Démo-crite
relativement à l'origine des sexes ; réfutation de l'une et de
l'autre, IV ι 5-14. — fragments d'Empédocle, citation tronquée
qu'Aristote en fait relativement aux organes sexuels ; auteurs qui
les citent plus complètement, IV ι 9 n.
— réfutation d'Anaxagore et d'Empédocle sur la formation originelle
des sexes femelle et mâle, IV ι 13 14. — réfuté par Aristote dans la
seconde partie de sa théorie sur les yeux, V ι 17 n. — et Démocrite,
leurs théories de la ressemblance et de la dissem-blance des enfants
aux parents ; réfutation de ces théories, IV ni 18-22. — ses
théories réfutées par Aristote, IV ιv 10 n. — se trompe en comparant
le lait à du pus, IV vιa 9. — indique l'époque d'un changement
notable dans les mamelles, IV vm 9 n. —
— désigné sans doute par Aristote, V ι 5 n. — sa théorie sur la
cause des variétés dans la couleur des yeux, V ι 14. — Aristote
réfute sa théorie sur les variétés de la couleur des yeux, V ι 14 n.
— Aristote, dans le traité de la Sensation, réfute son opinion sur
la vιsion ; vers où il compare l'œil à une lanterne d'où sort la
lumière, V ι 15 n.
— manière dont Aristote réfute ses opinions fausses, Ρ XII.
ENCEPHALE, composition de la masse encéphalique, son action décisive
sur la couleur des yeux, V ι 23 /i, — de l'homme, ses caractères, V
m 21 n.
ENFANT, la ressemblance des en-fants à leurs parents est un argument
contre Terreur de quelques naturalistes, sur la part de la femme
dans la génération, I xiv 4- — rapport qu'il a avec la femme, I xiv
5 n. — son développement, dès le jour de la conception, II π 6 n. —
formation de la fontanelle; grosseur démesurée de leur tête, II vιn
26. —ressemblance des enfants aux parents ; éléments dout cette
ressemblance doit se composer, IV m 1 2. — sa ressemblance à celui
des ancêtres qui est le plus rapproché, soit du côté paterne], soit
du côté maternel, IV in 7. — observation sur les membres en
surnombre ou en défaut, IV ιv 1. — nés à huit mois, vιvent
difficilement, IV ιv 16 n. — leurs difformités, IV ιv 24.— nés a
sept mois, selon la théorie de la formation des petits complets ou
incomplets, au moment de leur naissance, IV vι 5. — leur sommeil
soit dans le sein de la mère, soit après leur naissance; leurs
rêves, V ι 6 9.— son état initial analogue à l'état de la plante, V
ι 7 8. — leurs yeux bleus aussitôt après la naissance, V ι 11.
ENGBNDREUR, opinion de l'Aca-démie française et de Voltaire sur ce
mot, IV m 9 n.
ENTENDEMENT, vιent du dehors daus l'homme, et est un principe divιn
; son action ; sa définition, II ιv 7 9.
ENTRAILLES de terre ou intestine de terre, nature de ces animaux,
ΙΙΙ x 17.
ENTRELACEMENT des serpents, est une conséquence nécessaire de leur
organisation et de leur longueur, I vι 6.
ÉPERVΙERS, sont de la famille des faucons; leurs espèces fort
nombreuses, II ιx 7 n.
ÉPICHARME, cité sur les sens di-vers de cette expression qu'une
chose vιent d une au-tre, I XII 2.
ÉPICUKE, son système du hasard repoussé dédaigneusement par Galien,
Ρ cxxxvm.
ÉPIDBRME, nature de l'épiderne de la cornée, V ι 20.
EPOQUES périodiques de la mens-truation chez les femmes, II ν 6 7. —
où les mâles des poissons ont leur laite, et les femelles ont leurs
œufs, ΙΙΙ ν 7.
— de Tannée où les huîtres sont les meilleures à manger, ΙΙΙ x 24.
ÉQUIPES, famille qu'ils forment; leur mode de locomotion, IV vι 1
JI. -— disparité des yeux fréquente dans l'espèce des
, équidés, V ι 12 n.
ÉQUILIBRE heureux qu'atteste l'intelligence de l'homme, II vιa 26.
ERREUR d'Aristote, partagée par toute l'Antiquité, sur la
géné-ration spontanée, I ι 5 n. — des pêcheurs sur l'accouplement
des polypes, I ιx 5. — d'Empédocle sur le sperme,
I xi 9. — d'Anaxagore sur l'organisation du sperme, I xi 14• — de
Ctésias sur le sperme des éléphants ; d'Hérodote sur celui des
Éthiopiens, II m 7 8. — sur l'action de la respiration dans
l'évacuation d'excréments divers, II ν 3 4. — de ceux qui supposent
que la femme émet aussi une liqueur spermati-que, II ν 20. — de
Démocrite sur les parties des animaux qui se séparent les premières,
II vι 5. — sur la nutrition du fœtus; impossibilité de sa théorie,
II vι 8-10. — évιdente de Démocrite signalée par Aristote, II vι 5
n. — de quelques naturalistes sur le mouvement des parties dans
l'animal, II vu 8. —de quelques naturalistes sur l'influence de la
respiration de la mère dans la formation des parties diverses de
l'animal, II vιn 3.
— d'Aristote sur l'action du froid et du chaud dans la formation
successive des organes, II vιn 16 17 n. — de quelques naturalistes
sur la nutrition du fœtus, II ιx 5.— de Démocrite et d'Empédocle sur
lu stérilité du mulet, II x
2 3. — sur l'origine des œufs clairs, ΙΙΙ119. — de quelques
naturalistes croyant que tous les poissons sont femelles, ΙΙΙ ν 2. —
des pêcheurs et d'Hérodote sur la gestation des poissons, ΙΙΙ ν 10.
— d'Anaxagore sur l'accouplement des corbeaux et de l'ibis, et sur
la parturition de la belette, ΙΙΙ ν 12,— d'Héro-dore d'Héraclée sur
l'hermaphrodisme de l'hyène, ΙΙΙ ν 15. — de ceux qui croient que
tous les poissons sont femelles, ΙΙΙ vu 1. — des naturalistes, qui
croient que les abeilles tirent leur couvain du dehors, et que les
abeilles sont les femelles et que les bourdons sont les mâles, ΙΙΙ
ιx 1 2. — durée de Terreur sur la génération spontanée,
ΙΙΙ x 16 n. — de Démocrite sur la formation des monstres, IY in 25.
— d'Empédocle comparant le lait à du pus,
IV vιn 9. — des anciens na-turalistes sur les causes générales des
choses, V ι 5.
ESCARGOTS, famille dont ces co-quillages font partie, ΙΙΙ x 2 n.
ESPECES animales, différences dans la quantité de leur sperme, I XII
19. — humaine, l'abondance des menstrues et du sperme y est plus
grande que dansaucuue autre espèce, I xrv 11. — qui émettent du
sperme ; façon dont il contribue à la génération; inter-vention
évιdente de la Nature pour les espèces où les mâles ne sont pas
assez forts pour émettre du sperme, I xvι 5.— leur fιxité, Aristote
y a cru d'une manière imperturbable; théories qui la nient, II ι 3
n. — leur fιxité et leur perpétuité niées avec audace et légèrelé
dans ces derniers temps, II ι 20 «. — humaine, rapprochement des
sexes, II ν 2. — excrétion nécessaire et plus abondante dans
l'espèce humaine que dans les animaux, II ν 9. — exemples de
diverses espèces, démontrant la nature de Tintervcntion du mâle
partout où il y a des œufs, chez les oiseaux et chez les poissons,
ΙΙΙ 117 18. — leur perpétuité entretenue par l'instinct de la
maternité, ΙΙΙ n 11 n. — dévιation de l'espèce en une certaine
mesure, IV m 2.
— qui peuvent concevoir des embryons en superfétation et les amener
à terme, IV ν 8.
— variations selon les espèces dans la formation des petits complets
ou incomplets, au moment de leur naissance, IV vι 1.
ESPECE HUMAINE, produit plus de mâles contrefaits que de femelles,
IV vι 6. — comparée aux autres espèces ; science qu'elle constitue,
IV vι 12 n. — comparaison entre l'espèce humaine et les autres
espèces relativement à l'abondance de leurs sécrétions, IV vιn 7/i.
— différence de voιx très sensible dans l'espèce humaine, V vι 2 n
ESPRIT, théorie de l'influence de la matière sur l'esprit, ΙΙΙ ι
8/1. — humain, ses lois, Ρ ccxvn — ses erreurs inévιtables, sa
grandeur, P. ccxxιx.
ESQUISSE que la Nature fait des organes de l'animal, comparée à
celles que tracent les peintres, II vιn 21.
ESSENCE, production de l'essence dans l'animal, II n 12.
— intervenant dans la production des animaux, II n 2-4.
ÉTAT initial de l'enfant analogue à Tétat de la plante, V ι , 7 8.
ÉTERNEL, opposé au périssable, distinction profonde qu'Aris-, tote a
faite, IV m 31 n. ÉTERNITE, vérités éternelles qui , sont
démontrables, II vιn 13. ÉTHIOPIENS, erreur d'Hérodote sur leur
sperme, II ni 8. — nature de leurs cheveux, V in , 12.
ÊTRES qui sont tantôt congénères et qui tantôt naissent
spontanément, I ι 78. — sens dans lequel on peut dire qu'ils
vιennent tous de semence, I xιι 4. — effets de la séparation des
sexes par rapport à la naissance des êtres, I xiv 14. —
qu'aujourd'hui même on ne connaît que très imparfaitement ;
observations délicates qu'en fait Aristote, I xiv 14 n — qui
engendre et être de qui vιent l'être engendré ; leur différence ;
leur définition, I xiv 18. — pro-duction de ses diverses parties, II
n 11. — fonction de tout être naturel complet, soit animal, soit
plante, II π 15. — tout son développement postérieur dépend d'une
condition initiale, la plus cachée de toutes, II ιv 3 n. — sortes
d'âmes qu'ils doivent avoir en puissance avant de les avoir en
réalité, II ιv 4. — animés, la nature de chacun d'eux est
essentiellement in-hérente à toutes les plantes et à tous les
animaux, II vι 12. — trois conditions sont indispensables à l'être :
le moteur, le but et le moyen, II vιn 8-12. — analyse des trois
conditions indispensables à l'être, II vιn 8 n. — deux degrés de
nourriture, qu'il faut distinguer dans tout être, II vιn 32. —
origine de tous les êtres, depuis les plus élevés jusqu'aux plus
infimes,
ΙΙΙ vιn 2 n. — qui sont dans
le liquide présentent bien plus
de formes différentes que ceux
qui vιvent sur terre, ΙΙΙ x 3.
— répartition des êtres selon les milieux où ils peuvent vιvre, la
terre, l'eau, l'air; le feu ne peut être un milieu pour les êtres
vιvants ; action de la lune, ΙΙΙ x 5-7. — ori-gine de l'être passant
de la simple puissance à la réalité,
IV ι 22 n. — qui est produit;
son essence propre, IV m 5.
— susceptibles d'agir et de souffrir; indication précieuse en ce
qu'elle rappelle une des théories particulières de l'ouvrage perdu
d'Aristote, Traité de l'Action et de la Passion,
IV m 14 fi * — influence de
l'air ambiant sur tous les
êtres, IV ιx 7. — causes par
lesquelles se développe dans
l'être tout ce qui est renfermé
dans sa définition, V ι 5. —
et non-être, leurs rapports,
, V ι 7.
ÉTUDE de la génération spéciale des animaux, I π 1. — admirable
d'Aristote sur les abeilles et les insectes du même ordre, ΙΙΙ vιn
lu. — sur les poils des animaux, V m 5. — plus faciles à faire sur
les grands animaux que sur les petits, ΙΙΙ n 22. — ultérieures sur
les dents, indiquées par Aristote, II vιn 39.
EUDEME, médecin, connu uni-quement par les citations qu'en fait
Galien, Ρ cxxvι.
EUNUQUES, exemple des eunu-ques cité à l'appui de l'im-portance des
modifications dans les organes sexuels, IV ι 23. — leur singulier
aspect,
V vι 11 /*. — mutilation qui fait des eunuques, V m 22. — n'est
jamais chauve; répartition des poils sur son corps, , V m 22.
ÉVACUATIONS mensuelles, causes indiquant la nécessité des
éva-cuations mensuelles chez les femmes, II ν 6-8.
ÉVAPORATION, nature de celle que contiennent les poils droits ou
frisés, V ni 10. — distinction de l'évaporalion et
§ de l'exhalaison, V in 10 n.
EVOLUTION, la théorie de l'évo-lution repoussée par M. Henri Milne
Edwards, P. ccxi.
EXCES de production chez les plantes et les animaux; il les épuise
également, ΙΙΙ ι 12 13.
EXCREMENT qui ne contribue pas à la génération, II ν 15 16 n.
EXCRETION, différence de l'ex-crétion qui est naturelle, et de la
concrétion qui est contre nature, I xιι 7 8. — sens de ce mot dans
Aristote, I xιι 9 n. — de la portion utile des aliments; preuves à
l'appui de cette théorie, I xιι 11-14.
EXISTENCE, théorie des conditions d'existence admirablement exposée
par Cuvιer, analogue à celle d'Aristote, II
VΙΙΙ 17 n.
EXPERIENCES sur les œufs clairs des oiseaux et sur leurs
ac-couplements répétés, I xv 7 8. — sur le sperme des hommes
indiquant leur stérilité,
II ιx 12. — par laquelle on
peut constater la séparation
du blanc et du jaune de l'œuf,
ΙΙΙ ι 27.
EXPLICATIONS diverses sur la création des hommes et des quadrupèdes,
ΙΙΙ x 18 19.
EXPOSE du système d'embryologie aristotélique, Ρ xιx et suiv.
EXPOSITION, mode d'exposition pratiquée par Aristote, non moine
remarquable que sa mé-thode, Ρ xvι. Voir Style. EXSANGUES, position
de leurs organes qui concourent à la génération ; quatre genres
d'exsangues, I ιx 1 2. — leur fluide analogue aux menstrues des
quadrupèdes, I xiv 9. — variétés dans la génération des animaux
exsangues, II ι 19.
EXTERIEUR, son action; sens dans lequel il faut entendre l'idée
d'Extérieur, II II 2 n.
FACULTE, la première et la plus indispensable de toutes les
facultés, II n 15 n. — premières dans la plante et dans Tanimal, II
ιv 2 n. — diverses de l'âme, II ιv 5 n, II ιv 11 n. — nutritive, est
une des lois fondamentales de la biologie, II vι 12 n. — différences
qu'elles présentent dans une même espèce, Vιl. — principe général
des diffé-rences que présentent les or-ganes et les facultés dans
une même espèce, V ι 4.
FAIBLESSE de la voιx, distinction de la faiblesse et de la force de
la voιx, avec son acuité et sa gravιté, V vι 5 6. Voir Voιx.
FAITS, observation des faits sans cesse rapprochée par Aristote de
la raison intelligente, qui les comprend, I π 4 5 n. — observés sur
la part respective qu'apporte le mâle et la femelle dans l'acte de
la génération, et qui sont d'accord avec la théorie générale qui se
tire de la raison, I xiv 15 17 18. — qu'on observe sur la génération
d'accord avec la raison, I xv 1. —observation des faits réels est
préférable aux raisonnements les plus spécieux, II x 10. — qui
constatent qu'il y a des mâles et des femelles chez les poissons, et
nécessité de bien observer ces faits, ΙΙΙ ν 4. — particuliers que
présentent les abeilles, ΙΙΙ ιx 2. — observés sur la génération des
abeilles, ΙΙΙ ιx 18. — observation indispensable des faits causant
la chute des dents, V vu 3. — Voir Observation et Méthode.
FALLOPE, trompes de Fallope ; fonction qu'elles remplissent dans la
production de l'homme, I xiv 10 n. — ses observations sur les
ovaires; sa découverte des trompes; son erreur à ce sujet, Ρ CLI.
FAMILLE, son origine; sa for-mation, ΙΙΙ π 11 n.
FAUSSES COUCHES, cas particulier de la femme, aboutissant à ce qu'on
appelle les fausses couches, IV ν 3. — cas de la jument, IV ν 5.
FECONDATION des œufs de pois-sons par la laite des mâles, I xv 9. —
mystère de la fécondation; sa production, II vι 10 n. — particulière
des perdrιx, ΙΙΙ ι 19 20.
FECONDITE chez l'homme et la femme ; incertitude sur ses époques et
sa durée, I xm 9 n. — différence entre les deux sexes relativement à
la durée de la fécondité, I xm 9 n. — étonnante des insectes, II ι
19 n. — sa durée, II ιx 9 n. — relative des oiseaux de proie, ΙΙΙ ι
9. — excessive des poissons, ΙΙΙ ιv 4. — ses variétés plus ou moins
grandes, selon les espèces et même selon les indivιdus, IV ιv 1 n. —
plus ou moins grande des animaux, en raison inverse de leur
grosseur, IV rv 5 6. — différences sur lesquelles se règlent le plus
ordinairement la fécondité et la grandeur du corps des animaux, IV
ιv 8. — ses différences se règlent sur la grandeur des corps, IV ιv
8 n. FEMELLE et mâle, leur définition; leur différence, I π 2 4 5. —
rôle de la femelle et du mâle dans la génération, I π 2 n.
— des insectes, la différence qui la dislingue du mâle se représente
aussi dans la plupart des poissons et dans les quadrupèdes ovιpares,
I ιx 89.
— sa part dans l'acte de l'ac-couplement, 1x3. — et mâles, leurs
rapports dans la génération, Il 3/i. — son concours dans l'acte de
la génération, I xιιι 2. — son organisation, I xιιι 8. —vιvιpares,
leurs menstrues analogues au sperme dans les mâles ; similitude de
phénomènes dans l'homme et dans la femme; démonstration des
phénomènes qui s'y rattachent, I xιιi 9. — rôle de la femelle dans
la génération, I xiv 15 n. — et mâle, détermination de leur part
respective dans l'acte de la génération ; la femelle donne la
matière et elle est passive; le mâle est le principe moteur et
l'agent, I xiv 15 18.
— rapports réciproques de la femelle et du mâle dans l'acte de la
génération, I xv 4. — rôle qu'Aristote prête toujours à la femelle
dans l'acte de la génération, I xv 8 n. — rôle de la femelle dans
l'acte de la génération, I xv 10 n. — rôle particulier de la femelle
dans la génération, I xvι 1.— com-paraison de la femelle à la
matière dont se sert l'ouvrier, I xvι 1 2. — et mâle dans l'œuvre de
la génération; leurs fonctions respectives, II ι 5 7. — produit
constitué dans la femelle ; principes qu'il doit avoir, IIrv 1 2. —
et mâle, leur action dans la génération ; le ur définition, II ν 11.
— pour-quoi la femelle ne peut pas engendrer à elle seule, II vιιl
3. — la femelle dans les oi-seaux peut donner au germe le principe
nutritif, mais non celui delà sensibilité, ΙΙΙ vι 5.
— et mâle, leur génération, IV il. — distinction de la femelle et du
mâle; leurs différences de température; impuissance de l'un,
puissance de l'autre, à faire la coction complète et définitive de
la nourriture,
IV ι 17 18. — principe et
cause de la femelle et du
mâle, IV ι 25. — leur fonc-
tion dans la copulation, IV ι
26. — fonction de la femelle
dans la copulation, IV ι 26.
— cause de la différence de la femelle au mâle, 1Y ι 27.
— génération de femelles ou de mâles selon l'âge des parents, IV π
1. — différences que la femelle et le mâle présentent, selon qu'ils
produisent des mâles ou des femelles, IV n 4. — fœtus femelle,
comparaison de son dévelop-pement avec celui du fœtus mâle, IV vι 7
8. — différence entre le timbre de la voιx des femelles et celui des
mâles,
V vι 2. — rôle exclusif de la femelle dans la génération d'après
AHstote, Ρ cxvn-cxxv.
FEMME, une femme d'Elis citée comme exemple des ressem-blances des
enfants qui sautent plusieurs générations, I zi 2. — menstrues de la
femme et phénomènes qui s'y rattachent, I xm, 10. — phénomènes qui
leur sont particuliers; elles n'émettent pas de liqueur spermatique
dans la cohabitation; preuves diverses à l'appui de cette
observation, 1 xm 12 13. — circonstances spéciales où elles peuvent
ou ne peuvent pas concevoir, I xιιi 14. — la femme n'émet pas de
ligueur séminale; arguments divers contre l'erreur des naturalistes
sur la part qu'elle prend dans la génération, I xiv 2 3. — rapport
de la femme avec l'enfant, I xiv 5/1. — abondance proportionnelle
des menstrues de la femme, com-parativement à toutes les autres
espèces, I xiv 11 n. — et hommes; constitution de leur corps;
abondance des menstrues et du sperme plus grande chez eux que dans
les autres animaux, I xiv 11. — disposition de la matrice chez les
femmes, II ν 5. — époques périodiques de la menstruation; abondance
de leurs menstrues, II ν 6 7. — la femme fournit la matière ;
l'homme donne le mouvement et la vιe, dans l'acte de la génération,
II ν 10 11. — plaisir provoqué dans la femme et dans l'homme par le
rappro-chement sexuel, II ν 16 17.— disposition des organes des
femmes dans la copulation, II ν 17 «. — erreur de ceux qui supposent
qu'elles émettent de la liqueur spermatique; résultat qu'aurait
cette émission, si elle était extérieure, II ν 20. — concours de la
femme et de l'homme dans l'acte de la génération, II vι 11. — signes
indiquant que les femmes sont stériles ; observations, pour
s'assurer de leur état, par leur teint et par leur haleine, II ιx 10
12.
— observations sur le teint et l'haleine des femmes, signes de leur
stérilité, II ιx 12. — signes évιdents de stérilité chez les femmes,
II ιx 12 n.
— fécondité des femmes en Egypte, IV in 29. — cas par-ticulier de la
femme aboutissant à ce qu'on appelle une fausse couche, IV ν 3. —
leurs désirs de rapprochement sexuel moins vιfs après avoir eu
plusieurs enfante, IV ν 6. — effet de la continuation des menstrues
durant leur grossesse, IV ν 9. — époque où la femme sent remuer son
enfant, IV vι 6 n.
— chaleur naturelle des femmes égale à celle des hommes; erreur
d'Aristote à ce sujet, IV vι 6 7 n. — cause de la facilité de
l'accouchement, ou de sa difficulté, selon la vιe que mènent les
femmes, IV vι 10.
— effets de leur grossesse, IV vι 11. — effets de la grossesse des
femmes, IV vιll.— cause de la fatigue des femmes et de leur
épuisement dans les derniers temppde la gestation, IV vι 11 n. —
affection de la môle, à laquelle les femmes seules sont exposées, IV
vu 1. — distinction chez la femme de la môle et des grosses-ses
extra-utérines, IV vu 3 n.
— époque de la formation du lait des femmes propre à nourrir, IV vιn
2. — abondance des sécrétions chez la femme, IV vιn 7. — cessation
des règles des femmes pendant l'allaitement, IV vm 10.
— les femmes ne devιennent jamais chauves, V m 21. — nature de la
voιx des femmes, V vι 8.
FEU, ne peut être un milieu pour les êtres vιvants, ΙΙΙ x 6.
— théorie du feu, le quatrième des corps élémentaires ; durée de
cette théorie ; époque où elle a été renversée, ΙΙΙ x 6
II.
FEUILLES persistantes, feuilles caduques des végétaux, V ni 23. —
analogies qu'on peut remarquer dans la chute des feuilles des
végétaux et la calvιtie chez l'homme, Y m 18.
FIGURE, changements singuliers dans le corps des athlètes et dans la
figure de certaines gens, IV in 15.
FIGURES représentant les dissec-tions et les descriptions de
l'Histoire des Animaux, citées sur des détails à vérifier pour le
développement des embryons, II ιx 4. — Voir Dessins anatomiques et
Descriptions anatomioues.
FISSIPEDES, nombreuses mons-truosités qui se produisent chez ces
animaux, IV ni 29.
— la science moderne modifie l'expression de fissipèdes, IV ni 29 n.
— fécondité des fissipèdes en raison inverse de leur grosseur, iV ιv
5 7. — formation de leurs petits au moment de la naissance, IV vι 1.
FΙXITE des espèces, Aristote y a cru d'une manière impertur-bable ;
théories qui la nient, II ι 3 /!. — et perpétuité des espèces, niées
avec légèreté dans ces derniers temps, II ι 20 n.
FLEXION des membres de derrière dans les quadrupèdes, I xiv 10 n.
FLUIDE féminin, son caractère ;
son origine, I xrv 2 n. — son mélange avec la liqueur sper-matique,
II ν 14. —définition du fluide, IV ι 26 «. — Voir Femme.
FLUTE, exemple de la flûte dé-montrant, l'influence qu'exer-cent la
chaleur et le froid sur l'organe de la voιx, V vι 14.
— un des instruments les plus cultivés par les Anciens, V vι 14 n.
FLUX mensuel chez les femmes ; cas exceptionnels reconnus aussi par
la science moderne,
I xιιι 16 «. — objet du flux menstruel, quand il s'arrête après la
conception, I xvι 1 n.— périodique des femmes; explications erronées
tirées des phases de la lune; ses irrégularités ; ses relations avec
la conception, II ν 6 et suiv. n. — menstruel, sa quantité moyenne ;
ses variations, II ν 7 n. — Voir Femmes.
FONCTION des testicules organisés en vue du mieux, I ιv 1 2. — et
propriétés des parties similaires et des non-similaires, I xi 12. —
commune à tout ce qui vιt, I xvιι 6 8.
— du mâle et de la femelle dans l'acte de la génération,
II ι 7. — naturelle de tout
être complet, soit animal, soit
plante, II π 15.
FŒTUS, analogie de son déve-loppement avec celui de la graine des
végétaux, II vι 3.
— nutrition du fœtus ; erreur de Démocrite ; impossibilité de sa
théorie sur la divιsion des membres, II vι 8 9 10.— le fœtus a une
circulation et une respiration particulière très compliquées avant
la formation du poumon, II vιn 3 n. — conditions propres de la vιe
fœtale, que la science, même de nos jours, ne s'explique pas encore
entièrement, II vιn 3 A. — grosseur excessive des yeux du fœtus, II
vιn 23• — rapports du fœtus avec la mère, et manière dont
11 se nourrit dans le premier
temps, II ιx 2 /i. — nutrition
du fœtus ; erreur de quelques
naturalistes à ce sujet, II ιx
5. — constitution du fœtus
chez les poissons et chez les
oiseaux, ΙΙΙ ι 15. — mâles,
leur mouvement dans le sein
de la mère, IV π 6 A. — com-
paraison du développement
du fœtus maie et de celui du
fœtus femelle, IV vι 7. —
cause de la différence du dé-
veloppement des fœtus, IV
vι 7 A. — développement et
nourriture du fœtus ; sa sortie
du sein maternel, IV vιn 3 4.
— époaue déterminée pour la sortie du fœtus ; sa sortie naturelle
chez tous les animaux,
IV vιn 11 12. — description
d'Aristote de la sortie du
fœtus hors du sein maternel,
analogue à celle des phy-
siologistes modernes, IVVΙΙΙ
12 A. — grosseur du fœtus
proportionnée à la durée de
la gestation, IV ιx 3. — or-
ganisation successive du sys-
tème nerveux dans le fœtus,
V I 6/i. — état du fœtus dans le sein de la mère par rapport au
sommeil, V ι 9. — les fœtus ne sont jamais éveillés ; leurs
mouvements, V ι 9 #i.
FONTANELLE, sa formation chez les enfants, II vm, 26.
FORCE productrice se confondant avec le générateur primordial, II vι
12• — distinction de la force et de la faiblesse de la voιx avec sa
gravιté et son acuité, V vι 5 6.—
— explication de cette expression, IV in 6 A.
FORMATION des parties de l'ani-mal, II π 5. — des spermes
générateurs dans les animaux, II ν 14. — originelle des sexes
femelle et mâle, IV ι 2. — théories d'Anaxagore, d'Em-pédocle et de
Démocrite d'Ab-dère à ce sujet, IV ι 3.
FORMES des monstruosités, IV m 24.
FORMULE qu'Aristote emploie souvent et qui n'est pas toujours
justifiée, I xi 17 A. — aristotéliques; une de ces for-mules : «
l'homme engendre l'homme ι, II ι 15 A. — II n 9 A, II n 12 A.— citée
à l'appui du sens du mot Antérieur, II vιn 7 A. — dont Aristote se
sert assez souvent contre les théories métaphysiques qu'il combat,
II x 10 A.
FOURMIS, leur génération par des êtres congénères, I ιx 7.
FRAGMENTS d'Empédocle, édit. Firmin-Didot, cités pour un vers tiré
du second livre des Choses physiques, I xi 16 A.
— citation tronquée d'Aristote, relativement aux organes sexuels;
auteurs qui citent plus complètement les vers d'Empédocle, IV ι 9 A.
— cités sur l'indication de l'époque d'un changement notable dans
les mamelles, IV vιn 9 A. Voir Empédocle.
FRELONS, leur génération; leur accouplement, ΙΙΙ ιx 19. — influence
des alimente sur leur couleur, V ν 9•
FRISURE des poils, sous l'action de la chaleur ou du froid, V m 10
11.
FROID, effet du froid et de la chaleur interne sur la forma-mation
successive des organes, II vm 16 17. — effets qu'on prête à l'action
successive du froid et de la chaleur, sur la formation des muscles
et des os, II vιn 19 n. — le froid constitue le cerveau, II vιn 22.
— frisure des poils sous l'action de la chaleur ou du froid, V ni 10
11. — action du froid ou de la chaleur sur la nature des poils, V ni
12-16. — action du froid et de la chaleur sur les plantes, Y m 16 n,
— de l'âge; glaces de l'âge ; sens dans lequel il faut prendre ces
expressions, V nr 2/i. — action du froid et de la chaleur sur la
nature de la peau et des poils, V ν 7. — influence du froid et de la
chaleur sur l'organe de la voιx, V vι 14. FRUIT, différence entre le
fruit et le sperme, I XII 6. — des
F
iantes, comparé au sperme, xιι 7 n.
FUMEUSE, surnom donné à une espèce de vιgne ; cet accident n'est pas
regardé comme une monstruosité; nature de cette vιgne d'après
Aristote et d'après Théophraste, IV iu 32.
GALIEN n'a été qu'un écho et un continuateur des théories
d'A-ristote sur la voιx, V vι 16 n. — médecin de Pergame, donne
quelques indications sur la génération dans son traité sur la
Semence; but de cet ouvrage; admirateur sincère d'Hippocrate et
d'Aristote; moyens qu'il emploie pour résoudre le dissentiment qui
les sépare, Ρ cxxin. — éloges et blâme qu'il adresse à Athénée; ses
citations de médecins, connus uniquement parce qu'il les a nommés, Ρ
cxxxv. — son admiration et son injustice à l'égard d'Aristote; ne
s'est pas occupé de l'embryologie comparée ; sentiment qu'il a de
commun avec Aristote; système qu'il repousse dédaigneusement et
système qu'il soutient, Ρ CXXII. — réfute les théories du Traité de
la Génération des Animaux dans son ouvrage de la Semence, D CCLVΙ.
GALLINACES, influence de la cha-leur sur l'éclosion de leurs œufs,
ΙΙΙ π 12 n. — formation de leurs œufs clairs, IV ι 12
G
n. — différence des gallina-cés comparés aux reptiles, IV m 28 n.
GARDIN, médecin de Douai en 1623, supposé par M Pouchet l'auteur de
la découverte des spermatozoïdes, Ρ excv.
GASTEROPODES terrestres et aqua-tiques sont tous hermaphro-dites,
ΙΙΙ x 2 n. — leurs organes de génération, ΙΙΙxl4/i.
GAVARRET (M.). € De la chaleur produite par les êtres vιvants •,
cité sur la théorie du poumon, II ι 14 n.
GENERATION, ses diversités, I ι 5. — spéciale des animaux,
I n 1. — spontanée ; natura-listes qui soutiennent cette théorie, I
ιx 7 n. — part que prend la femelle dans l'acte de la génération;
questions diverses à se poser sur le concours qu'y apportent les
deux sexes, 1x34. — théories de quelques naturalistes sur la
génération, I x 6 n. — combattues par Aristote, I xi
II n. — particulière de cer-
tains animaux qui ne vιennent
pas de congénères, I xi 18.—
examen de la question de sa-
voir quelle est la part de l'un et de Γ autre sexe dans l'acte de la
génération, I xi 23. — par contraires, dans tous les êtres venant de
sperme, I xιι 4. — concours de la femelle dans l'acte de la
génération,
I xιιι 2 et 12. — part respetivce
5
|u'y apportent le mâle et la èmelle, I xiv 15 17. — exposé de la
suite de l'étude sur la génération, I xv 1. — efforts d'Aristote
pour s'expliquer ce mystère, I xvι 3 n. — dans les plantes, I xvn 1.
— dans les animaux qui n'ont pas de sang, I XVΙΙ 3. — causes de la
génération des animaux, II ι 2. — diversité de la génération selon
les degrés de chaleur dans les animaux, II ι 15-18. — dernier mot du
philosophe grec sur ce problème,
II n 12 n. — obscurités in-
sondables de la génération,
II ιv 3 n. — spontanées, les
grandes expériences faites de
nos jours démontrant la vé-
rité du principe de la chaleur
d'après Aristote, II ιv 8 n, —
mystère de la génération, II
vm 7/i. - double course que
la génération semble faire,
II vu 9. — contre nature, II
ιx 9 n. — chez les hybrides,
II x 2/1. — des poissons et
des oiseaux; nécessité de l'in-
tervention du mâle partout où
il y a des œufs, ΙΙΙ ι 16 17.—
différence de la génération
des oiseaux et de celle des
poissons, ΙΙΙ ιπ6.—des pois-
sons, ΙΙΙ ιv 2. — particulière
aux sélaciens ; comparaison
de cette génération avec celle
des poissons, ΙΙΙ vι 1. — des
mollusques et particulière-
ment de la seiche; elle a lieu
par copulation, ΙΙΙ vu 1. —
des insectes; variétés de cette
génération; ses différences
avec la génération des vιvιpares et des ovιpares, ΙΙΙ vιn 1-3. —
erreur sur la génération spontanée des insectes, ΙΙΙ vιn in. — des
insectes, copulative ou spontanée, ΙΙΙ vιn 8. — des abeilles;
diffi-cultés de cette étude, ΙΙΙ ιx 9.
— des abeilles, s'arrêtant à son troisième degré, ΙΙΙ ιx 14.
— probable des abeilles, ΙΙΙ ιx 14n. — des testacés ou coquillages,
ΙΙΙ x. — erreur de la génération spontanée définitivement réfutée de
nos jours, ΙΙΙ x 1 n. — spontanée, telle que la supposait Aristote;
durée de cette théorie ; en dépit de la science, ΙΙΙ x 16 n. — des
frelons et des guêpes, ΙΙΙ ιx 19. — des plantes, comparée avec les
testacés, ΙΙΙ x 8. — et bourgeon-nement spontané des testacés, ΙΙΙ x
8. — définition de la génération sortant de l'œuf,
ΙΙΙ x 19. — prétendues preuves de la génération spontanée des
testacés, ΙΙΙ x 22. — explications sur la génération du mâle et de
la femelle, IV il. — de mâles ou de femelles selon l'âge des
parents,
IV ιι 1. — gémellaire, et membres en surnombre, IV ιx 18 /i. — la
théorie de la génération comprend l'étude des monstres, IV ιv 25 n.
— gémellaire, sa rareté, IV ν 4 n.
— la théorie de la génération fait essentiellement partie de
l'histoire des êtres organisés, Ρ iv. — oubli de cette question
pendant cinq siècles après Aristote, Ρ cxxxi.
— spontanée, théorie d'A-ristote généralement admise ; attaquée et
combattue par Redi d'Arezzo, Ρ CXLI. — débat définitivement tranché
par notre siècle, Ρ CXLVΙ.
— des animaux; ce traité est le chef-d'œuvre zoologique d'Aristote,
de l'assentiment général, même des adversaires du péripatétisme, Pi.
— son caractère général, Ρ ιν• — place qu'Aristote avait assignée à
cet ouvrage, Ρ xvιιι. —ce traité est parfaitement authentique, D
CCXLΙΙΙ. — ses rapports à l'Histoire des Animaux et au Traité des
Parties, ibid.
GENESE d'accord avec Aristote et avec le Timée de Platon sur la
cause de l'existence du monde, II ι 2 n.
GENITAL, communications entre l'appareil génital et les ma-melles,
IV vιn 7 n.
GENRES d'animaux qui ne sont pas les mêmes; cause de leur
accouplement, II ν 12.
GERMES en petit nombre dans les animaux unipares et de grande
dimension, IV ιv 15.
GERMINATION des plantes, phé-nomène qui s'y présente, ΙΙΙ vm 7 n.
GESTATION des poissons, opinion erronée sur cette gestation,
accueillie par des pêcheurs et par Hérodote, ΙΙΙ ν 10. — variétés
dans la durée de la gestation chez les animaux, IV ιx 1. —
différence pour la gestation entre l'homme et les autres animaux, IV
vι 10. — cause de la fatigue et de l'é-
{
misement des femmes, dans es derniers temps de la grossesse, IV vι
11 n. — durée de la gestation en rapport avec la durée de la vιe, IV
ιx lu. — rapport étroit de la durée de la gestation à la grosseur
définitive du fœtus, IV ιx 3.
GIN NOS, espèce de mulet; dif-formité qui les produit; est un mulet
contrefait, II x 17.
GIVRE, rapport et distinction entre le givre et la moisissure. V ιv
4 5 n.
GLANDES de Bartholin, source du fluide féminin ; analogie de cette
sécrétion avec celle de la salive, I xiv 2 n. — allusion faite par
Aristote à leurs mucosités et à leurs sécrétions, II ν 17 n.
GLAUCOME, définition de cette maladie des yeux, qui survιent surtout
aux vιeillards, V i!9.
— sens de ce mot, yeux attaqués par cette maladie; sa définition, V
119 n.
GORGE, remède qu'on emploie contre les maux de gorge, Y m 15.
GOSIER, variétés de la voιx, tenant à la constitution du gosier et
de tout l'appareil respiratoire, V vι 8 n — organisation du gosier
chez les veaux et les vaches, V vι 9.
GOUSSE, explication de ce mot, ΙΙΙ ι 12 n.
GOUT et sensibilité, distinguent l'animal, I xvn 7. — le sens du
goût toujours représenté par Aristote comme une sorte de toucher, I
xvn 7 A.
GRAAF (Régnier de), 1641-1673, jeune médecin hollandais ; grand pas
qu'il fait faire à la science de l'embryologie com-parée; élève de
Van Horne; ses travaux; monument qu'il a laissé à la postérité ;
dédicace de son ouvrage, Ρ CXLVΙΙ.
— court exposé de son traité; ses dissections ; résultats
applicables à l'organisation féminine ; autorités sur lesquelles il
s'appuie, Ρ CXLΙX. — mort à 32 ans ; son nom demeure attaché à la
découverte de la vésicule, CLII. — indications formelles que
four-nissaient ses travaux sur l'origine de l'homme, Ρ CL vu.
— évolutions des vésicules de de Graaf et des ovules sortis des
ovaires, IV ιv 19 n.
GRAINE des végétaux, analogie de son développement avec celui du
fœtus, II vι 3.
GRAISSE, les gens trop gras sont généralement inféconds, I xιι 21.
GRANDEUR et beauté de la vιe, I xvn 8.
GRAVE, définition du grave et de l'aigu dans la voιx, V vι 5.
GRAVΙTE, conditions matérielles de la gravιté et de l'acuité de la
voιx, V vι 3. — distinction de la gravιté et de l'acuité de la voιx
avec sa force et sa faiblesse, V vι 5 6•
GnicE, citée sur les femmes qui exerçaient le métier de tisse-rands,
I ιv 3 n. — citée sur la conservation des enfants nés à huit mois,
IV ιv 16 n. — cas
Î
u'elle faisait des chiens de aconie, V n 4 n, —connaissances qu'elle
avait des Scythes et des Thraces, V m 12 n. — influence de son
climat sur la couleur des cheveux roux, V ιv 9 #i. — son silence
pendant cinq siècles après Aristote sur la génération, Ρ cxxxιι. —
sa grandeur scientifique; servιces rendus par elle à l'esprit
humain, Ρ ccxxxιι. GRECS, n'ont pas employé l'allaitement factice
pour les en-fants, IV vm 2 n. — leur manière de mesurer le temps, IV
ιx 5 /i. — leur connaissance des nègres, venue surtout par l'Egypte,
V ni 12 n.
— connaissaient peu les Sau-romates, V in 14 #i.
GRENOUILLE marine, est le seul des sélacieus qui ne soit pas
vιvιpare; cause de cette ex-ception, ΙΙΙ ι 2. — son œuf;
particularités qu'il présente ;
constitution du corps de ce sélacien ; grosseur et dureté de sa
téte; nature de son œuf, ΙΙΙ m 2 3. — sa classification ; confondue
par Cuvιer avec la baudroye, ΙΙΙ m 2 A. — nature de l'œuf de la
gre-nouille de mer et des œufs des autres poissons, ΙΙΙ ni 3. —
identification de ce poisson, ΙΙΙ ni 3 n. — comparaison de ses œufs
et des œufs d'oiseaux,
ΙΙΙ m 4.
GRIMAUD DE CAUX, ses travaux physiologiques, Ρ ccm et suiv.
GROSSESSE, continuation des menstrues durant la grossesse, IV ν 9. —
eiTete de la grossesse chez les femmes,
IV vι 11. — ses premiers
symptômes, IV vι 11 n. —
extra-utérines chez la femme,
IV vu 3 n. Voir Femme.
GROSSEUR des yeux dans certains animaux au début de la vιe, II vιn
24 /*. — démesurée de la téte des enfants, II vιn 26. — des œufs de
poissons qui en crèvent, ΙΙΙ IY 4. — des produite déterminant les
durées diverses de la gestation, IV ιx 3 4.
GRUES, cause du changement de couleur dans leurs plumes en
vιeillissant, V ιv 9. — obser-vation populaire que reproduit
Aristote sur le changement de couleur de leurs plumes, V ιv 9 n.
GUEPES, leur génération par des êtres congénères, I ιx 7. — leurs
larves ; leur immobilité; leurs métamorphoses successives, ΙΙΙ vιn
5. — leur vιe et leur développement, ΙΙΙ vm 7 8. — génération des
guêpes; leur accouplement, ΙΙΙ ιx 19. —influence des aliments sur
leur couleur, V ν 9.
Gui, production de cette plante, I ι 10. — sa classification ; ses
nombreuses espèces, I ι 10 n.
GYMNASTIQUE, changements qu'elle cause dans le tempérament de ceux
qui s'y livrent avec excès, son utilité reconnue par les Anciens, IV
vι 10 n. Voir Athlètes.
H
HAM, élève de Leewenhoeck, cité sur la découverte des
spermatozoïdes, Ρ CLVΙ. — auteur de la découverte des
spermatozoïdes, selon M» Henri Milne - Edwards , Ρ ccιx.
HARMONIE, connaissance qu'en avaient les Anciens, V vι 4 n.
HARTSŒKER, physicien hollandais, cité sur la découverte des
spermatozoïdes, Ρ CLVΙ.
HARVEY, son opinion sur l'origine des animaux, y compris Fhomme, Ρ
CXLVΙΙΙ. — étude sur les œufs dont il s'était occupé trente ans
avant Mal-pighi, sur le même sujet et dans la même intention que
lui, Ρ CLIV.
HASARD, explique la cause des monstruosités, IV m 3. — nié
énergiquement par Aristote; philosophes peu observateurs qui lui
livrent l'univers, Ρ xm. — le système du hasard préconisé par
Épicure, repoussé dédaigneusement par Galien, Ρ cxxxvm.
HELMONT (VAN), ses aberrations sur la génération spontanée,
Ρ CXLVΙ.
HEMORRHAGIE utérine, sa coïnci-dence avec la maturité et la rupture
des vésicules de de Graaf, II ν 8 n.
HENRI ETIENNE, son Thésaurus cité sur l'orthographe du mot de
Kapnéos, IV m 32 n.
HERCULANUM, les fouilles d'Her-culanum citées sur des lanternes
qu'on y a trouvées, V ι 21 n.
HERISSON, position de leurs tes-ticules ; leur accouplement
différent de celui des autres quadrupèdes, I ν 3. — question
curieuse au sujet de leur accouplement, I ν 3 n. — po-sition de ses
testicules, I vιn 3. — de terre, leurs poils par-ticuliers, V m 1.
HERMAPHRODISME d'une grande partie des mollusques, connu d'Aristote,
I ιx 5 n. — de l'hyène, erreur d'Hérodore d'Héraclée à ce sujet, ΙΙΙ
ν 15.
— chez les plantes, plus évιdent que partout ailleurs, IU ιx 9 n.
—Aristote y fait allusion en parlant de la génération des testacés,
ΙΙΙ x 8 n.— théorie de l'hermaphrodisme qui est toujours fort rare,
IV ιv 20 n.
HERMAPHRODITES, confusion des sexes dans plusieurs espèces
d'animaux, I xιι 5 n. — con-naissance qu'en avait Aristote, I xiv
14/i. — animaux réunissant les deux sexes dans un seul indivιdu, I
xrv, 18 n.
— mode de fécondation de ces espèces d'animaux, II ι 10 n.
—exceptions pour ces espèces relativement à l'émission de la liqueur
séminale* II ι 6 A.
— explication de cette mons-truosité, IV ιv 20.
HERODORE D'HERACLES, son er-reur sur l'hermaphrodisme de l'hyène,
ΙΙΙ ν 15. — paraît
devoir être désigné au lieu d'Hérodote pour son opinion erronée sur
la gestation des poissons, ΙΙΙ ν 10 15 n.
HERODOTE, son erreur sur le sperme des Éthiopiens, II ni 8. — erreur
qui lui est attribuée, II m 8/1, — son erreur sur la gestation des
poissons; ses légendes fabuleuses, ΙΙΙ ν 10. — son oeuvre telle que
nous l'avons ne mentionne pas Terreur, réfutée par Aristote, sur la
gestation des poissons, ΙΙΙ ν 10 n. — ses œuvres citées à l'appui de
la méthode d'observation, Ρ xi.
HEROPHILE, la découverte anato-mique des ovaires lui revιent selon
le témoignage de Galien, Ρ cxxxv. — son anatomie citée par Galien, D
xv bis.
HESYCHIUS, cité sur le Traité de la Génération des Animaux, auquel
il ne donne que trois livres, D CCLVΙ.
HETEROGEIUE, savants qui incli-naient à ce système ; adversaires de
cette théorie, Ρ
CXLIV.
HIPPOCRATE, édition de M. E. Littré, cité sur le phlegme,
I XII 12 n. — sur une obser-vation relativement au phlegme, I xιι 16
n. — cité sur la liqueur génératrice, I xιι 22 n. — beau-père de
Polybe,
II vι 6 n. — ses théories dans
le traité des Airs, des Eaux
et des Lieux, analogues à celles
d'Aristote relativement à l'in-
fluence des climats, de la nour-
riture et des eaux sur la gé-
nération et sur le sexe, IV n
6 n. — son traité spécial sur
les Maladies des Femmes, cité
pour certaines difformités chez
les femmes; il ne s'est oc-
cupé que de pathologie, IV
iv 23 n. — cité sur les ou-
vrages consacrés à l'étude
T. II.
des Maladies des Femmes; authenticité de ces ouvrages, IV \i 12 n. —
doctrine hippo-cratique sur la génération, IV vι 12 n. — traité
hippo-cratique des Maladies des Femmes, cité sur la môle, IV VΙΙ 1
n. — Traité de l'Ancienne médecine, cité sur la théorie de la
coction, IV vιn 8 n. — et son école, cités sur la nyctalopie, qui
leur était connue, et sur le glaucome, dont ils n'ont pas parlé, V ι
19/i. — cité pour l'origine de la théorie sur la coction en général,
V ι 23 n.
— limites étroites dans lesquelles il a traité de la génération ;
recueil plus ou moins authentique des œuvres qu'on lui attribue, Ρ
ν, — ses œuvres citées à l'appui de la méthode d'observation, Ρ xi.
— influence de ses doctrines sur les études d'Aristote, Ρ cxxvn. —
collection à laquelle son nom est attaché; difficulté de discerner
ce qui lui appartient, et ce qui appartient à son école de diverses
époques; traités qu'elle contient; relativement à la théorie de la
génération ; restitution peu heureuse de son système par des
physiologistes modernes, Ρ exXVΙΙΙ. — et Aristote, leurs opinions
opposées sur l'action de la semence; Galien essaie de les concilier,
Ρ cxxxin. — père de la médecine, Ρ cxxvn.
— genre d'observations sur les œufs auquel il a songé peut-être le
premier, Ρ CLIV.
HIRONDELLES, leurs petits naissent incomplets et aveugles ;
explication sur les yeux crevés des jeunes hirondelles, qui
re-poussent, IV vι 4.
HISTOIRE de l'embryologie, Ρ cxxxi-ccxvι.
31
HKTOIU des Animaux d'Aristote citée sur des questions rappelées dans
le Traité de la Génération, I ι 1 n. — objet de cet ouvrage, I ι 1
n.
— citée sur les parties non similaires et similaires, I ι 3 n. —
citée pour une erreur relativement à la génération, I ι 4 n. — citée
sur les travaux botaniques de Théo-phraste, I n 1 n . — citée sur la
position diverse des testicules chez les vιvιpares, I m 2. — citée
sur la double circulation de la sécrétion spermatique chez les
vιvιpares, I ιv 3• — citée par Aristote, I ιv 3/i. — citée sur
l'accouplement des serpents, I vι 6 n.
— citée sur les organes de l'accouplement des sélaciens; sur les
vιpères, I vu 1 6«.— et Descriptions anatomiques, citées sur les
matrices des animaux, I vu 8. — citée sur quatre genres d'animaux;
sur 1 accouplement des crustacés; I ιx 2 3 n. — sur les mollus-aues,
I ιx 5 n. — citée sur 1 accouplement des polypes; sur
l'identification des psylles, I ιx 5 7 n. — citée pour une erreur
relativement aux taons, I ιx 7 /i. — sur les éléments similaires, I
x 1 /*. — citée pour des remarques relativement à la naissance des
en-fants, Ιx7/i. — sur la res-semblance des enfants avec les parents
; sur un exemple à l'appui de cette théorie; sur les parties
similaires, I xi 2 4 /i. — citée sur les êtres hétérogènes, I xi 18
n. — citée sur l'expression: Non similaire ou similaire, I xu 8 n. —
sur le phlegme, I xιι 12 n. — sur la graisse, I xιι 21 n. — citée
pour les époques et la durée de la fécondité chez les homMES et chez
LES FEMMES, I un
9 n. — citée SUR LA FONCTION des menstrues dans chaque espèce
d'animaux, 1 xiv 10.— citée sur l'abondance PROPORtionnelle des
menstrues des femmes, comparativement aux autres espèces, I xiv il
m. — citée sur LES métamorphoses des insecles, I xv 5 m. — sur les
œufs clairs; sur la nourriture du poussin dans la coquille, I xv 7 8
n. — citée sur la laite des poissons, I xv 9 n. — citée sur un
principe qu'admettent tous LES naturalistes, I xvιι 8 ».
— citée sur les larves; sur les sélaciens, II ι 7 8 n. — sur l'étude
des insectes, II ι
10 n — citée sur les larvι-
{
>ares, II ι 19 n. — citée sur es parties similaires et ORGAniques,
II n 12 n. —citée sur le phlegme, II m 6 n — citée pour une critique
qu'Aristote adresse à Ctésias, II m 7 n.
— citée sur une erreur attribuée à Hérodote, II ni 8 n.
— citée sur le privιlège de l'homme, II ν 3 n. — citée sur le flux
sanguin plus ou moins abondant qui se forme chez les femelles, II ν
9 irritations de l'Histoire des Animaux et des Descriptions
anatomiques sur le cœur, principe de l'animal, II vι 6. — citée sur
l'origine des veiues contre Diogène d'Apollonic, Syennésis de Chypre
et Po-lybe; sur la perte des Descriptions anatomiques, II vι6 /!. —
citée sur le système des veines d'Aristote; sur l'ana-tomic
aristotélique, II vι 7 n.
— citée sur les caractères des œufs clairs et des œufs féconds,
11 vu 3/ι• — citée sur L'identifi-
cation des rougets ; sur la gé-
nération des muges ordinai-
res, II vu 6 n. — citée, II vu S n. — citée sur le* mollusques, II
vιn 2 n. — citée sur la ramification des veines, comparée aux
irrigations des vergers, II vιn 16 n. — citée sur les veines, II vm
22 n,— citée sur la grosseur desyeux des petites seiches, II vm 25
n. — sur la fontanelle, II vιn 26 n. — cilée sur la grosseur du
cerveau de l'homme com-parativement aux animaux ; sur la supériorité
de Γ homme, II vιn 26/i. — citée sur les paupières, II vιn 28 n —
précède le Traité de la Génération ; citée sur le développement des
os, II vιn 33 n. — sur les dents, II vm 35 n — citée sur les poils,
II vιn 39 n. — citée sur la composition du cordon ombilical., H ιx 1
n. — détails à vérifier dans l'Histoire des Animaux et sur les
Dessins anatomiques, relativement à la manière dont se développent
les embryons, Il ιx 4. — citée sur des figures représentant les
dissec-tions d'Aristote ; citée sur les cotylédons, II ιx 4 n. —
citée sur l'accouplement des chiens indiens, II ιx 6 n. — citée sur
les deux espèces d'épervιers ; sur l'identification des rhino-bates
; pour des détails presque identiques sur des accou-
E
lements hybrides dans la ibye, II ιx 7 8 n. — citée sur la
reproduction des mulets de Syrie, II ιx 9 n. — citée sur le produit
du cheval et de l'âne, II x 6 n. — citée pour une observation sur
l'ac-couplement du mulet, II x 7 «. — citée sur le nombre des petits
des mulets, II x 11 n. — citée sur le climat des Celtes, H x 12 n. —
sur la durée de la gestation de la ju-ment, II x 13 h. — et Buffbn,
cités sur les coups de fouet qu'on donne à l'ànesse après son
accouplement, II x 12 n.
— citée sur l'âne, II x 15 n.
— sur les Pygmées, II x 18 n.
— citée sur les couleurs des œufs des oiseaux ; sur les œufs
intérieurs des sélaciens, ΙΙΙ ι 2/i. — citée sur les œufs claire;
sur les pigeons, ΠΙ ι 5 6 n. — citée sur la fécondité de l'aulruche
et des pi-geons, ΙΙΙ ι 7 n. — citée sui les poules Adrianiques ; sur
le caractère différent des animaux ; sur la cresserelle ; sur le
coucou, ΙΙΙ ι 8-10 n — citée sur la fécondité des poules et de la
lionne ; sur les œufs clairs, ΙΙΙ ι 13 14 it.
— citée sur des conceptions sans mâles chez les poissons, ΙΙΙ ι 17.
— citée sur l'identification des rougets; sur les œufs des poissons
en général, ΙΙΙ ι 17 /i. — citée sur la position de la matrice chez
les oiseaux ; sur une opinion vulgaire concernant les œufs clairs ;
sur la fécondation particulière des perdrιx, ΙΙΙ ι 18 19/1.— citée
pour des observations sur les œufs des poissons, ΙΙΙ ι 21 n. — citée
sur les couleurs des œufs d'oiseaux et de poissons ; sur la
définition du sang, ΙΙΙ ι 22 n.
— citée sur les rapports du blanc et du jaune de l'œuf; sur la
signification du mot Lécithe, ΙΙΙ ι 23 24 n. — citée sur le
développement successif de l'œuf et du poussin, ΙΙΙ ι 26 n. — citée
sur le cordon ombilical ; sur la manière dont l'œuf se nourrit; sur
les larves, ΙΙΙ n 3 n. — citée sur la formation de l'œuf, ΙΙΙ n 4 n.
— citée sur la nourriture des petite des vιvιpares; réfutation de
l'erreur d'Alcméon de Crotone, ΙΙΙ n 7 8 n. — citée sur le
développement du poussin ; sur la ponte des quadrupèdes ovιpares,
ΙΙΙ n 9 /i. — citée sur la formation des œufs des quadrupèdes ovι-
S
ares, ΙΙΙ n 10 n. — sur l'in-uence de la chaleur dans REclusion des
œufs, ΙΙΙ n 12 n.
— citée sur le nombre d'œufs que pondent les oiseaux de proie; sur
le nombre des petits qu'élève l'aigle, ΙΙΙ n 14 n. — citée sur les
propriétés différentes du jaune et du blanc ; et sur les rapports du
jaune et du blanc dès le début de la conception, ΙΙΙ n 15-17 n. —
sur les membranes et le cordon ombilical, ΙΙΙ π 17.— citée sur la
matrice des poissons ovιpares; sur les sélaciens et l'invention de
ce nom, ΙΙΙ ni le. — citée sur l'œuf de la grenouille de mer; citée
sur la classification de cet animal, ΙΙΙ m 2/i. — citée sur la
comparaison des œufs d'oiseaux et des œufs de poissons, ΙΙΙ in 6/i.
— citée sur l'organisation de la matrice des chiens de mer, ΙΙΙ m 7
n.
— citée sur les différences entre la génération des poissons et
celle des oiseaux, ΙΙΙ in 8 n. — citée sur l'organisation spéciale
des sélaciens; sur l'œuf des larvιpares, ΙΙΙ ιv 1 2 n. — citée sur
l'accident qui arrive à l'aiguille de mer, ΙΙΙ ιv 4 /i. — citée sur
l'identification du rouget et du serrau; sur le nombre des petits
des quadrupèdes, ΙΙΙ ν 3 4/i. — citée sur l'accouple* ment des
mollusques et des crustacés, ΙΙΙ ν 5 n. — citée pour l'opinion
erronée d'Hé-rodore sur la gestation des poissons, ΙΙΙ ν 10 n. —
citée sur les quatre espèces de geais qu'Aristote distingue, et
qu'il rapproche aussi des corbeaux, ΙΙΙ ν 13 /i. — citée su les œufs
clairs, ΙΙΙ vι 4 n. — citée sur les deux œufs de la seiche ; sur les
polypes et les crabes, ΙΙΙ vu 12 A. — citée sur la génération des
mollus-ques; pour de longs détails sur la génération des seiches,
ΙΙΙ vu 3 4 n. — citée sur les larvιpares, ΙΙΙ vιn In. — pour les
chenilles et les araignées, ΙΙΙ vm 3/1• — citée sur la singulière
position des seiches au moment où elles naissent, ΙΙΙ vu 4- — citée
sur la définition essentielle de la larve ; pour les longues et
profondes études d'Aristote sur les abeilles, les guêpes et les
chenilles, ΙΙΙ vm 4 5/i. — citée sur les insectes qui naissent dans
les lainages; et sur les transformations de la larve, ΙΙΙ vιn 6 n. —
citée pour l'étude consacrée aux abeilles; sur quelques
naturalistes, relativement à leurs théories erronées concernant les
abeilles, ΙΙΙ ιx 1 JI. — citée sur les soins des animaux pour leur
progéniture, ΙΙΙ ne 4/i. — citée sur les rapports généraux du mâle
et de la femelle; sur le dard des abeilles, ΙΙΙ ιx 7 9 n . — citée
sur l'identification des noms de rougets et de serrans, ΙΙΙ ιx 10 n.
— citée sur la réduction successive des portées de la lionne, ΙΙΙ ιx
17 n. — citée sur ]QL durée de l'accouplement des mouches; sur
l'accouplement et la génération des frelons, ΙΙΙ ιx 19 n. — citée
sur les différences des frelons et des guêpes, soit entre eux, soit
par rapport aux
abeilles, ΙΙΙ ιx 20. — citée sur les abeilles, les guêpes, les
frelons et les bombyles, ΙΙΙ ιx, 20 A. — citée sur les testacés; sur
les migrations des poissons, ΙΙΙ x 1 4 A. — citée sur les buccins et
les pourpres; citée sur la cire que font ces coquillages, ΙΙΙ x 8 n-
— citée pour un renvoi au Traité de la Génération des Animaux,
relativement au développement des larvιpares ; citée sur le mot grec
de Kestres; sur les En-trailles de terre, ΙΙΙ x 17 A.
— citée pour la grande étude consacrée aux abeilles, ΙΙΙ x 21/1- —
sur le nom de Pyrrha,
ΙΙΙ x 23 n. — citée sur la gé-
nération spontanée des pin-
nes, des buccins, des pour-
pres, des peignes, ΙΙΙ x 24 A.
— citée sur les lieux où se trouvent les testacés, ΙΙΙ x 25.
— citée sur les téthyes ; sur l'étude des testacés, ΙΙΙ x 25
A.
— citée sur la distinction des mots de Commun et de Spécial,
s'appliquant à la génération, IV ι 1 zi. — Aristote n'a pas parlé
d'Empédo-cle dans cet ouvrage, IV ι 3 A. — citée sur Démocrite
d'Abdère, dont Aristote parle à propos du fil des araignées,
IV ι 4 A. — citée pour une
comparaison entre les veines
et une esquisse de peintre, IV
ι 11 A. — citée sur les ani-
maux sans testicules. IV ι 15
A. — allusion d'Aristote à cet
ouvrage, IV ι 17 A. — citée
sur la sécrétion de l'urine, IV
ι 21 A. — citée pour des con-
sidérations sur les eunuques,
IV ι 23 A. — citée sur la res-
semblance du fœtus engen-
dré; remarque qu'Aristote
fait sur la quantité de li
queur séminale de l'homme, IV ι 26 27 A. — citée sur la production
des corps humides et féminins, IV u 1 A. — citée sur une croyance
populaire, relativement à l'influence du milieu ambiant sur les
mens-trues ; Aristote ne partage pas cette erreur, IV n 2 A. — citée
sur les causes qui déterminent la génération et le sexe, IV n 4 A. —
citée pour l'analogie des théories d'Hip-
S
ocrate et d'Aristote sur Πη-uence des airs, des eaux et des lieux,
IV n 6 A. — citée sur les ressemblances des enfants aux parents, IV
m 1 A.
— sur la jeunesse et la vιeil-lesse, IV ni 2 A. — citée sur la durée
de la gestation chez les diverses espèces, IV ni 23 A. — citée sur
une poule qui faisait constamment des œufs doubles, IV m 26 A. —
citée pour la monstruosité chez les serpents, IV in 28 A. — citée
sur la production de monstres chez les femmes ; sur de nombreuses
monstruosités chez les chiens; et sur les portées des chiennes, IV m
29 A. — citée sur l'expression d'Arrière-porcs ; sur la cause des
monstruosités, IV ni 30 A. — citée sur les variations dans la
fécondité, IV ιv 1 A.
— citée sur les déplacements monstrueux d'organes ; sur le foie et
le cœur, ne manquant jamais dans l'animal, IV ιv 2 et suiv. A. —
citée sur le nombre des petits du porc, IV ιv 5 A. — sur les
différentes dimensions des êtres animés, IV ιv 7 A. — citée sur les
doigts de pieds de l'éléphant, IV ιv 8 A. — citée pour l'action de
la présure, sur le sperme et le lait, IV ιv 9 A. — citée sur le sens
du mot de cotylédon, IY ιv 10 n
— citée sur le nombre de petits chez les animaux uniparee et de
grande dimension, IV ιv 15 n. — citée pour des considérations sur
l'homme; pour les temps irréguliers de la gestation; sur la vιtalité
des enfants nés à huit mois, IY ιv 16 n. — citée sur les
déplacements d'organes, IV ιv 22 n. — citée sur la superfé-tation
dans l'espèce humaine, IV ν 1 et suiv. n. — citée sur le portrait au
Aristote fait de la femme, IV ν 4 n. — citée sur la nature lascive
de la jument, IV ν 5 n. — citée sur la position des matrices ; sur
les testicules des oiseaux et des ovιpares ; sur l'accouplement des
oiseaux, IV ν 6 n. — citée sur le développement des embryons de
superfétation selon les espèces; sur les lièvres, IV ν 8 9 n. —
citée sur les animaux qui pondent des larves, IV vιl n. — citée sur
le nombre des petits de la truie; sur l'assimilation de la laie à la
truie, pour le temps de la gestation et le nombre des petits, IV vι
2 n. — citée pour une contradiction d'Aristote ; sur le nombre
d'œufs que fait la pie; pour une assertion sur les yeux des jeunes
hirondelles, IV vι 3 4 n.
— citée sur la statistique mé-dicale des Anciens et d'Aristote, IV
vι 9 n. — citée sur la cause d'un accouchement difficile ; sur le
rôle de la respiration au moment de l'enfantement, IV vι 10 et suiv.
n.
— citée sur l'abondance des évacuations menstruelles chez la femme,
IV vι 11 η.; — Xe livre (apocryphe) de l'édition Firmin-Didot, citée
sur la cause de la maladie de la môle,
IV VΙΙ 2 n — citée sur la cause de la môle, qui ne se montre jamais
dans les animaux autres cjue l'homme, IV vu 3 n — citée sur l'étude
du lait; sur la distinction entre les vιvιpares, IV vm 1 n.
— citée pour la durée de la gestation chez la femme, IV vιn 2 n. —
citée sur le sang des divers animaux, IV vm 5.
— citée sur la théorie d'Aristote concernant le sang et les veiues;
sur la castration, IV vm 5/i. — citée sur Γ organisation des
mamelles chez la femme, IV vm 6 n. —citée sur le changement de la
voιx et de la région mamellaire, au moment de la puberté chez
l'homme, IV vιn 6 n. — citée sur la théorie du lait, IV vm 9/i. —
citée sur la cessation du lait, IV vm 10 n. — citée sur les temps
déterminés pour la naissance des animaux; sur l'époque indéterminée
de celle de l'espèce humaine; sur l'organisation du cordon
ombilical, IV vm 11 /!. — citée pour les théories de l'influence des
saisons sur les animaux et de l'influence des lieux, IV ιx 2 n. —
citée pour la gestation plus ou moins longue chez les animaux; pour
la contradiction où tombe Aristote sur la durée de la gestation de
la chamelle, IV ιx 3 n. — citée sur la durée de la gestation de
l'éléphant, IV ιx 4 n.
— citée sur le pelage des animaux, V ι 3 n. — citée sur le sommeil
des enfants et sur leur rire, V ι 8 9 n. — sur les enfants naissant
imparfaits, V ι 10 n. — citée sur les yeux des enfants, V ι il /i. —
citée sur la vue perçante de l'aigle de mer, et sur la vue très
mauvaise des cigales, V ι 24 n. — cl Préface, citées sur les chiens
de Laconie et sur l'étude que Xénophon a faite de ces chiens, Vu 4
n. — citée sur les oreilles de l'homme; citée pour les détails
analogues sur les conduits auditifs du phoque, V u 5 6/i.- citée sur
la chevelure de l'homme ; sur les poils des animaux, V m 1 n — citée
pour des observations sur la chevelure humaine ; sur le cheval, V m
3it. — citée sur la calvιtie chez, les hommes; sur le rapprochement
des plumes et des écailles, V in4 n. — citée sur la nature des
poils, dépendant de celle de la peau, V ni 6 n. — citée sur les
parties correspondantes aux poils; pour une explication sur les
poils épais; sur les poils des porcs. V m 7 8 n. — citée sur la
disposition particulière des poils chez le lièvre; pour l'influence
du climat sur les moutons, V ni 13 14 A. — citée sur les oursins de
mer, V in 15 it. — citée pour l'étude sur l'hibernation des animaux,
V ni 18 et 19 /i. — citée pour une re-marque sur les plaisirs
sexuels, V in 20 n. — citée pour des observations sur reunuque ;
pour la distinction des poils, V ni 22 n. — citée
f
>our l'étude des poils chez es animaux, V in 24 n. — sur la couleur
du pelage, V ιv 1 n. — citée sur les cheveux des tempes ; sur la
fontaine ou fontanelle des enfants, V ιv 7 n. — citée sur la théorie
de l'encéphale chez l'homme; pour une observation sur le cheval, V
ιv 8 it. — citée sur les grues, V ιv 9 it. — citée sur les cheveux
qui poussent blancs tout à coup, V ιv 10n.
— citée pour une observation sur les rapports de la peau et des
poils, V ιv 11 n. — citée sur la nature de la peau de l'homme, V ιv
12 n. — citée pour l'influence des eaux sur la couleur des animaux ;
citée sur le changement de couleur des poils, V ν 5 n. —
— citée eur la langue de l'homme; sur la langue des divers auimaux,
V ν 8 n. — citée sur les changements de couleur selon les saisons;
sur les illusions que causent parfois ces changements, V ν 9 n. —
citée pour son étude sur la voιx des animaux, V vι 1 il. — sur le
langage, qui est le privιlège exclusif de l'homme; pour une
observation sur la voιx des femelles, V vι 2 n. — citée sur la
distinction entre le langage, le bruit et la voιx, V vι 3 n. — citée
sur la voιx des vaches et des bœufs; pour une observation sur la
voιx des taureaux, V vι 9 n. — citée sur les trois sortes d'éléments
physiologiques que l'anatomie, au temps d'Aristote, confondait sous
l'appellation commune de nerfs ; sur l'os qu'on trouve quelquefois
dans le cœur des bœufs, V vι 10 n. — citée pour l'influence de la
castration sur la voιx, V vι 11 n. — pour l'influence du changement
des canaux spermatiquee sur la voιx, V vι 12 n. — citée eur les
dents et leurs usages ; sur le langage, privιlège de Γ homme, V vu 1
n. — citée sur le témoignage de Démocrite, fré-quemment invoqué et
discuté; sur la chute des dents ; pour une observation sur le porc
et le lion, V vu 2 n — citée sur l'élude des dents dans toute la
série animale, Vva 8 n*
— ordre assigné par l'auteur lui-même à cet ouvrage, Ρ xvιιι. —
place qu'y tient l'exposé du système d'embryologie aristotélique, Ρ
xιx. — longue lacune qui s'est produite dans la science après cet
ouvrage, Ρ cxxxi. — citée onze fois dans le Traité de la Génération
des Animaux, D
CCXLVΙΙ.
HISTOIRE NATURELLE, citée pour l'application de la méthode
d'observation, II x 11 n. — citée pour une des causes d'erreur les
plus fréquentes qu'Aristote avait signalée dans 1 Histoire des
Animaux, après l'avoir déjà signalée dansl Or-ganon, ΙΙΙ ν 6 n. —
Démocrite était le philosophe qui s'en était occupé le plus avant
Aristote, V vu 2 n.
— d'Aristote, il y emploie perpétuellement l'observa -tion, Ρ x.
— de Pline, édition Ε. Lit-tré, dans laquelle il a répété et
accueilli bon nombre de fables malgré la réprobation formelle
d'Aristote, IV m 22 A. — citée pour des changements d'hommes en
femmes et réciproquement, que Pline affirme sans hésiter, iVni 23A.
— des Poissons de Cuvιer et Valenciennes, citée sur l'identification
de la grenouille de mer avec le Lo-phius piscatorius, ΙΙΙ ni 3 A.
HISTOIRE DES PLANTES et Traité des Causes des Plantes de
Théophraste, cités pour le rapprochement des théories du maître et
du disciple, sur la production de la vιgne nommée fumeuse, IV in 32
A. — opinion que Théophraste y exprime sur le kotinos, l'oli-vιer,
l'érinéos et le figuier, ΙΙΙ ν 2 n. Voir Théophraste.
HOMEOMERIES OU parties simi-laires d'Anaxagore, leur iden-tification
avec les parties si-milaires d'Aristote, I xi 14 A.
HOMERE, cité sur le nom d'A-phrodite, II ni 9 A. — con-naissances
qu'on avait de son temps des Scythes et des Thraces ; il nomme les
der-niers, V ni 12 A. — cité sur le sommeil, c frère de la mort •, V
ι 7 A. — cité sur la minceur de l'os du crâne du cheval, V ιv 8.
HOMME, position de ses testicu-les, I m 2. — de la matrice,
I vιι 1. — disposition de la matrice dans la femme, I vm 5. —
impuissants, argument contre l'erreur de quelques naturalistes sur
la part de la femme dans la génération, I xiv, 4. — la science
moderne a constaté la manière dont naît l'homme, I xiv 10 A. — et
femmes, constitution de leur corps ; abondance du sperme et des
menstrues, plus grande chez eux que dans les autres animaux, I xiv
11. — différence indivιduelle entre le mâle et la femelle, Ιxvn 1.
— engendre l'homme; une des formules aristotéliques,
II ι 15 A.— Un 9 A; II n 12
A. — signes indiquant que
les hommes sont stériles ;
expériences sur le sperme,
II ιx 10 12. Voir Stérilité.
— avιs divers des naturalistes sur les prérogatives de l'homme, II ν
3 A. — sa classification dans la série animale, II ι 8 11 12. —
donne le mouvement et la vιe; la femme fournit la matière, dans
l'acte de la génération, II ν 10 11. — plaisir provoqué dans l'homme
et dans la femme par le rapprochement sexuel, II ν 16
Dtaire naturelle des Poissons, cités sur l'identification de la
grenouille de mer avec le lophius piscatoriue, ΙΙΙ m 3 n.
CUVΙER, question par laquelle il termine son Anatomie com-parée, un
des plus beaux titres de la science moderne, Ρ xιx. — ses travaux en
histoire naturelle, le plus grand des naturalistes modernes ; son
jugement impartial du système de Buffon, sur les molécules
organiques et sur le moule intérieur pour expliquer la génération,
cité, Ρ CL xxi π.
D
DARWINISTBS, cités sur les temps de la gestion, évolutions qu'ils
prêtent à la cellule, IV m 23 n.
DAUPHIN, position de ses testi-cules, I m 2. — disposition des
canaux spermatiques dans cet animal, I vm 10. — sa classification
dans la série ani-male, II ι 8 12. — classe d'a-nimaux dont il fait
partie, II ι 8 n. — manière dont il s'accouple, ΙΙΙ ν 10.
DECAISNS ET LBMAOUT (MM.), leur traité général de Botani-
3
ue, cité sur la reproeuction es plantes; sur le gui et ses
nombreuses espèces, I ι 10 n. — cité sur le genre du saule et du
peuplier, I xιι 21 n. — cité sur l'ignorance où étaient les Anciens
du sexe des végétaux, II vu 1 n . — leur Botanique citée sur le
bled, ΙΙΙ ι 12 n. — citée sur le principe de la plante, ΙΙΙ π 2 n..
DECOMPOSITION et putréfaction
des choses, Y ιv 3. DECOUVERTE de la vésicule, par
Régnier de Graaf, Ρ CXLVΙΙΙ. DEFAITE d'un principe dans la
génération ; prédominance de l'autre, IV ι 27. DEFINITION du mâle et
de la femelle, I π 4. — du sperme dans les espèces où il y a deux
sexes, I xιι 5.
DELOS, le voyage à Délos vιent après les Panathénées, exemple cité à
l'appui de celte expression qu'une chose vιent d'une autre, I XII 4.
DEMOCRITE, désigné, I xu 10 n.
— désigné; Aristote a souvent réfuté ses doctrines, I xiv 2/i. —
désigné pour sa théorie de la respiration, II ν 4 n — son erreur sur
les parties des animaux qui se séparent les premières, II vι 5. —
sur la nutrition du fœtus; impossibilité de sa théorie, II vι 8-10.
— erreur de sa théorie, fidèlement reproduite par Aristote, II vι 5
n. —conclusion d'Aristote concernant une de ses théories, II vι 8 n.
— sa théorie sur la divιsion des membres du fœtus et sur sa
nutrition, II vι 10. — désigné par Aristote pour son opinion sur la
formation des membres de l'embryon II vι
10 n. — désigné par Aristote,
11 vu 8/i. — désigné par Aristote, II vιιι 5 n. — insuffisance de
son explication des conditions indispensables à l'être ; il n'admet
que la nécessité et l'éternité des choses, II vιιι 12. — ses travaux
zoologiques, II vιιι 12 n — théorie métaphysique par laquelle il
essayait d'expliquer la Nature, II νιιι12 n.—son erreur sur la
stérilité du mulet ; réfutation de sa théorie, II x 12. — et
Empédocle, leurs travaux zoologiques; discussion de leurs théories
sur la stérilité du mulet, II x 1 n.— objection contre la théorie de
Démocrite sur la stérilité des mulets, II x 5 A. — sa théorie des
atomes, qu'Aristote semble adopter, ΙΙΙ x 11 n. — théories de
Démocrite, dfA-naxagore et d'Empédocle sur la formation originelle
des sexes femelle et mâle, IV ι 2* 4. — manière dont Aristote parle
de lui dans ses ouvrages zoologiques, IV ι 4 n. — discussion
spéciale sur son opinion et sur celle d'Empé-docle relativement à
l'origine des sexes ; réfutation de 1 une et de l'autre, IV ι 5-14.
— blâmé de n'avoir rien dit dans son système sur l'origine de la
différence des organes sexuels, IV ι 6 n. — et Empédocle, leurs
théories de la ressemblance et de la dissem-blance des enfants aux
parents; réfutation de ces théories, IV m 18-22. — son erreur sur la
formation des monstres, IV ni 25. — doute exprimé par MM. Aubert et
Wimmer sur la théorie de la production des monstres adoptée par lui,
IV m 25 n. — ses théories réfutées par Aristote, IV ιv 10 n. —
désigné sans doute par Aristote, V I 5/i. — sa théorie de la vιsion,
combattue par Aristote dans le traité de la Sensation et dans le
traité de l'Ame, V ι 15 n. — son opinion sur la vιsion, V ι 27 n. —
son erreur sur la cause de la chute des dents, V vu 2-5. — son
témoi-gnage fréquemment invoqué et discuté dans l'Histoire des
Animaux, V YII 2 n. — s'était, avant Aristote, occupé d'histoire
naturelle, V vu 2 n. — erreur de sa théorie sur les dents, V vu 4
it. — ne voyant que la nécessité des choses, a omis la fin où elles
tendent,
V vu 9. — manière dont Aristote réfute ses opinions fausses, Ρ XII.
DEMONSTRATION possible de cer-taines vérités éternelles, II vιιι 13.
DENTS, éludes de la science mo-derne sur les dents, II vιιι 35 n. —
rapport des dents aux os; erreur d'Aristote sur leur croissance, II
vm 35 n. — particulièrement chez l'homme; ce sont des os, mais se
distinguant des autres os par leur croissance constante ; leur usure
avec l'Age ; l'homme nait sans dents, II vm 35-39. — leur nature,
particulièrement chez l'homme, II vm 35 38. — fonction et objet des
dents chez l'homme, II vιιι 36. — usure des dents avec l'âge, II vm
38. — leur nutrition ; leur sécrétion ; leur composition différente
de celle des os ordinaires, II vm 38 n. — fonctions multiples
qu'elles ont à remplir, V vu 1. — usage des dents chez les animaux,
V vu 1. — erreur de Démocrite sur la cause de la chute des dents,
V vιl 2-5. — cause de leur chute, V vu 6.
DEPERISSEMENT des plantes et des animaux par l'excès de production,
ΙΙΙ 112 13.
DEPLACEMENTS singuliers des parties du corps chez des ani-maux
d'ailleurs bien constitués, IV ιv 3• — d'organes dans les animaux,
IV ιv 22.
DERNIER, ce que l'auteur eu tend par ce mot dans l'expression : «
résidu dernier de la nutrition », IV ι 26.
DERNIERS Analytiques d'Aristote, cités sur la grande théorie de la
démonstration et sur l'intuition, II vιιι 13 #t.
DESACGOUPLEMENT des dauphins, ΙΙΙ ν 10.
DESCAHTES, son traité De la formation du fœtus (tome IV de ses
Œuvres, édition Vιctor Cousin) ; n'a pas laissé de traces profondes
en embryologie; cité sur une question (|ui doit se résoudre plus par
1 observation des faits que par le raisonnement ; sa gloire
impérissable, Ρ CLV. — blâme que lui adresse Buifon,
Ρ CLXIV.
DESCRIPTIONS AN ATOMIQUES, ou-vrage d'Aristote, et Histoire des
Animaux, citées sur les matrices des animaux, I vu 8.
— citées par Aristote, ne sont
F
as parvenues jusqu'à nous, vu 8 n. — citées sur l'insuffisance du
rôle des veines, II ν 5 /i. — et Histoire des Animaux, citées sur le
cœur, principe de l'animal, II vι 6.
— de l'Histoire des Animaux et figures représentant les dissections,
citées sur des détails à vérifier pour le développement des
embryons, II ιx 4 — citées sur la disposition des embryons dans les
matrices, IV ιv 10.
—ο u vra ge perd u d'Ari s tote, cité cinq fois dans le Traité de la
Génération des Animaux, D CCLIIT. Voir Anatomie. DESSINS
ANATOMIQUES, détails à vérifier sur ces Dessins et dans l'Histoire
des Animaux, pour la manière dont se développent les embryons, II ιx
4. Voir Descriptions anatomiques. — et collections anatomiques
d'Aristote; leur perte, avec les ouvrages qu'elles élu-cidaient, Ρ
x. DESTRUCTION, course quelle fait, II vu 9.
DEVANCIERS d'Aristote, manière dont il réfute leurs théories, Ρ ΥΠ•
— leurs théories sur la génération, Ρ CXXVΙΙ.
DEVELOPPEMENT et nourriture de l'œuf, ΙΙΙ n 3 7. — des em-bryons des
ovιpares et des vι-vιpares, ΙΙΙ u 18 19. — des poissons, ΙΙΙ m 8. —
de l'œuf des poissons, ΙΙΙ ιv 4. — et vιe de la larve, ΙΙΙ vm 7 8.
DIEU, son existence reconnue par les grands esprits de tous les
temps, Ρ CCXXVΙΙΙ. — reflet de Dieu ou de l'être infini, allusion
qu'y fait Aristote, IV m 31 n.
DICTIONNAIRE de l'Académie fran-çaise, cité sur les mots
Hi-bernation et Hiberner, V ni 19 n. — de l'Académie française et
celui de Littré, cités sur le mot de Grisonnement, V ιv 3 n. — de
Littré, cité pour la réfutation d'une erreur sur l'hyène, ΙΙΙ ν 15
n.
— de Rich, article Laterna,* cité sur les lanternes transparentes
des Anciens, V ι 21 it.
DIFFICULTE extrême de savoir à quel moment l'intelligence se montre
dans les êtres qui par-ticipent à cette sorte d'àme, II ιv 3.
DIFFORMITES et monstruosités de tout ordre ; recherche de la cause
qui produit ces phéno-mènes étranges, IV ιv 1 et suiv. — plus ou
moins monstrueuses, IV ιv 2 n. — cas divers de difformité, IV ιv 22.
— soit congénère, soit adventice, cas qui ne sont pas très rares, IV
iv23w.
DIOGENE D'APOLLONIE, cité par
rapport à la discussion d'A-ristotc sur l'origine des veines, II vι
6 n. DIOGENE LAERCE, son catalogue cité sur le Traité des Piaules
d'Aristote, I xvn 6 n. — cité sur l'ouvrage en un livre qui
F
orte le titre : Β Traité de Action et de la Passion T désigné par
Aristote, IV ni 14 #i. — cité pour un livre d'Aristote sur la
musique, V vι 4 n. — ne cite pas le Traité de la Génération des
Animaux dans son catalogue, D CCLVΙΙ. DIOÏQUES, différence des
indivι-dus daus les végétaux dioï-oues ; connaissance qu'en avait 1
Antiquité, I x vu 1 «. DISCIPLES d'Hippocrate, études curieuses et
pratiques qui lui font beaucoup d'honneur, Ρ vι. Discussion spéciale
sur l'opinion d'Empédocle et sur celle de Démocrite; réfutation de
l'une et de l'autre, et aussi de la théorie d'Anaxagore sur la
formation originelle des sexes femelle et maie, IV ι 5-15. — engagée
par Aristote contre la théorie <jui fait venir la liqueur séminale
de toutes les parties du corps, Ρ xvn. DISSECTION montrant que le
plus petit changement dans le prin-. cipe moteur
produitdesconséquences considérables, In 8.
— détails prouvant qu'Aris-tote avait disséqué avec le plus grand
soin, I ml/i;I ιv 3 n. — fort attentives d'Aristote, II ιx 1 2 n. —
détails à l'appui des dissections minutieuses d'Aristote, ΙΙΙ ni 7
n. — déjà poussées fort loin par Aristote, ΙΙΙ vιιι 3 n. — avaient
pour objet la physiologie comparée, IV ι 7 n. — qn'Aristote
cherchait à fιxer par des dessins, IV ιv 10 /<.
— des organes de l'ouïe, et observations d'Aristote, V n n. Voir
Aristote et Anatomie.
DISSEMBLANCE et ressemblance {les enfants aux parents ;
expli-cations erronées qu'en donnent les naturalistes, Empé-docle et
Démocrite, IV m 17 18. — ne peut à aucun degré être confondu avec la
monstruosité, IV m 30 n.
DISSERTATION sur le Traité de la Génération, citée sur une erreur
relativement à la génération, I ι 4 n. — citée pour le désordre de
la fin du livre II, chap. 18, II vιιι 39 n.
— citée sur le désordre du texte qui se continue dans le cinquième
livre, IV vιιι 1 n.
— citée sur le résumé de ce traité, IV ιx 9 n. — citée sur l'ordre
de ces études, V π 7 n. — citée pour Tordre et le rang du cinquième
livre, V vu 11 n. — cite sur l'ordre du cinquième et dernier livre,
V ι 1 n. — sur l'authencité et la composition du Traité de la
Génération des Animaux, Tome Ι•Γ, p. CCXLΙΙΙ et suiv.
DISTINCTION de la femelle et du mâle, I H 2. — des parties diverses
des animaux, II vιιι 3.
DIVERSITES de la génération, I ι 5.
DIVΙΙΙ9 le bien et le divιιι toujours causes du mieux dans les
choses contingentes, II ι 2.
DIVΙSION des membres du fœtus, II vι 10.
DOCTEURS du Moyen-âge, cro-yaient à l'inégalité de l'âme de l'homme
et de la femme,
11 vu 1 n.
DOCTRINE hippocratique citée sur la génération et sur la grossesse
des femmes, IV vι
12 n. — influence des doctri-
nes d'Hippocrate sur les étu-
des d'Aristote, Ρ CXXVΙΙ.
DUMAS (J.-B.), membre de l'A-cadémie des sciences, se pro-nonce
contre M. F. Pouchet et le système de l'hétérogé-nie, Ρ CXLV. — ses
travaux physiologiques, Ρ CLXXX. — son admiration pour Aristote, Ρ
CLXXΙX. — explication de l'éloge qu'il lui adresse, ibid.
DUREE des môles, IV vu 2 n. — Durée variable de la gestation ; elle
est en rapport avec la durée même de la vιe, IV ιx 1. — rapport
étroit de la durée de la gestation à la grosseur définitive du
fœtus, IV ιx 3.
DUVERHOY, rédacteur de la se-conde édition de l'Anatomie comparée de
Cuvιer, Ρ cxcv. — propose le mot de Sper-matozoïdes, ibid.
EAU, transformation de l'huile et du plomb mêlés à l'eau et A
l'écume ; effets divers de l'agitation donnée au mélange, II m 4 5.
— potable ; eau de mer, ΙΙΙx 4 5. — influence des eaux des climats
et de la nourriture sur la production en
f
énéral et sur celle des sexes, V n 6. — influence de l'eau sur toute
l'organisation animale, IV n 6 A. — sa couleur tient plutôt à sa
composition qu'à sa profondeur, V ι 16 n. —• action de l'eau, de la
chaleur et de la moisissure, sur la décomposition et la putréfaction
des choses, V ιv 3. — leur influence sur la couleur des animaux, V ν
3 6. — influence des eaux chaudes ou froides sur la couleur des
animaux et des végétaux, V ν 5. — idées étranges sur leur action, V
ν 5 n. ECLOSION des œufs, influence de la chaleur sur l'éclosion des
œufs, ΙΙΙ u 12 et n. — et naissance du petit de la vιpère, I , xiv
10 n.
ECOLE hippocraliquc, recherches que contient le recueil plus ou
moins authentique des œuvres qu'on lui attribue, Ρ vι. —
pé-ripatéticienne, avait fait beau-coup de musique théorique, V vι 4
n. — son silence sur la génération pendant cinq siècles après
Aristote, Ρ cxxxiu. — philosophiques, se taisent sur la génération
pendant plusieurs siècles après Aris-
, tote, Ρ cxxxui.
ÉCUME, transformation de l'huile et du plomb mêlés à l'eau et à
l'écume, II ni 4 5. — sa couleur, selon les diverses matières, II in
9 it.
EGYPTE, fécondité des femmes de ce pays ; nombreuses mon* struosites
qui s'y produisent, IV in 29. — citée sur la vιtalité des enfants
nés à huit mois, IV ιv 16 n. — par elle les Grecs ont pu connaître
les
, nègres, V m 12 n.
ÉLEMENTS des corps, leur nombre dans l'Antiquité et de nos jours, I
ι 3 n. — deux éléments principaux de la science, 11 8 n. — deux
éléments essentiels de la science, I u 4 n. — théorie des quatre
éléments de l'Antiquité, répondant aux corps simples de la chimie
actuelle, I xi 7 n. — similaires de la liqueur séminale et du lait
dans les animaux qui ont du sang, I x 1.
— la théorie des quatre élé-ments se reproduit dans les premiers
essais de chimie or-ganique, II ι 13 n. — les qua-tre éléments ;
ordre dans le-
Ï
uel on les range d'ordinaire, [ ιv 7 n. — les quatre élé-ments,
théorie citée sur la dureté de la coquille de l'œuf,
II ι 17 n. — théorie des qua-
tre éléments, cju'Aristote a
vulgarisée et qui a régné jus-
qu'au xvι6 siècle, ΙΙΙ n 13 n.
— trois sortes d'élémentsdans lesquels vιvent toutes les es-
f
>èces d'animaux, ΙΙΙ x 5. — a théorie des quatre éléments adoptée
par Aristote et par l'Antiquité, jusqu'à la Renaissance, V N 5 n. —
théorie des quatre éléments, V m 6 n. 0 ÉUEPHANT, position de ses
testicules, I vιιι 3. — sa fécondité en raison inverse de sa
grosseur, IV rv 5 8. — sa classification; nombre de doigts à chacun
de ses pieds, IV iv8 n.
— grosseur de son embryon,
IV ν 2. — grosseur de son
petit, IV ν 2 n. — exem-
ples de l'éléphant et de l'hom-
me, cités à l'appui de la théo-
rie de la durée de la ges-
tation, IV ιx 2. — duréede
sa gestation, IV ιx 4. — in-
certitude sur la durée de sa
gestation, IV ιx 4 n. — com-
paré au porc pour les poils,
V in 8 n.
EnBRTOLOGIS et physiologie, ouvrages contemporains de physiologie et
d'embryologie, cités pour l'évolution merveilleuse de l'œuf, II vm
in. — ses progrès depuis Aristote,
ΙΙΙ n 5 /i. — ou embryogénie,
ses progrès; justice rendue
aux observations d'Aristote
T. N.
sur ces questions, ΙΙΙ n 17 n.
— nouveauté de ce mot ; science créée et exposée tout au long par
Aristote, trois cents ans et plus avant l'ère chrétienne, Ρ ν. —
système aristotélique exposé, Ρ xιx.
— comparée d'Aristote, Ρ xxiv-cxxv.— créée par la méthode
d'observation; son objet propre; sa profondeur et sa
portée ; ses progrès, Ρ cxxv.
— esquisse de l'histoire de l'embryologie, Ρ cxxvn-ccxvι. — son
origine; aperçu de ses théories avant Aristote, Ρ cxxvn. — disparaît
pendant cinq siècles après Aristote, Ρ cxxxi.
EMBRYON, ce qu'Aristote entend par ce mot, I xiv 14. — sa formation,
II n 7. — première apparition de Javιe dans l'em-bryon; principes
qu'il doit avoir et qui constituent l'animal, II ιv 2. — et sperme
ayant l'âme en puissance sans l'avoir en acte et en fait, II ιv
4-10. — sens dans lequel l'embryon est complet, II ν 1 n. —
membranes et chorions cjui se forment autour de
1 embryon ; analogie de son développement avec celui de la graine
des végétaux, II vι
2 3. — son accroissement analogue à celui des plantes,
II vι 9. — action du mâle,
constituant l'embryon, en
transmettant à la matière, qui
est dans la femelle, le mou-
vement et la vιe, II vu 1 8 n.
— des vιvιpares, nourriture qu'ils reçoivent par l'intermédiaire du
cordon ombilical ; leur développement, II ιx 1-4.
— leur nutrition; erreur de quelques naturalistes sur ce sujet, II
ιx 5. — couleurs de l'embryon dans les oiseaux,
ΙΙΙ ι 26. — des ovιpares et
30
des vιvιpares ; commencement de leur vιe ; leur développement et
leur nourriture ; position de leur matrice, ΙΙΙ π 18-20. — nutrition
des embryons des ovιpares et des vιvιpares, ΙΙΙ π 20n. — action du
sperme sur leur nombre plus ou moins grand, IV iv9. — organisation
des ovaires, répondant à la question du nombre des embryons, IV ιv
9/i. — cause qui fait qu'ils sont nombreux dans les espèces
multipares, IV ιv 14.— manière dont la divιsion du sperme eu produit
plusieurs, IV ιv 19. — grosseur de l'embryon de l'éléphant, IV ν 2.
développement des embryons de superfétation, selon les es-, pèces,
IV ν 8.
ÉMISSION sanguinolente du sperme par suite d'excès vénériens, I xιιι
4. — d'une liqueur spermatique impossible chez les femmes ; résultat
qu'elle aurait, si elle était extérieure, II ν 20.
EMPEDOCLE, auteur de la théorie des quatre éléments des corps, I ι 3
n. — désigné et combattu par Aristote pour sa théorie sur la
génération, I x 6 n. — son erreur sur le sperme, qu'il fait venir du
corps entier du mâle et de la femelle, I xi 9 10. — un de ses vers
cité par Aristote, à l'appui de la théorie de la ressemblance des
enfants aux parents, I xi 10 /i. — erreur de sa théorie sur
l'amitié, I xi 11. — son vers cité par Aristote, sur la différence
de la femelle et du maie dans la conception I xi 16. — ses
fragments, cités pour un vers tiré du second livre des Choses
physiques, I xi 16 n. — désigné, I xιι 10 i». — désigné par
Aristote; réfutation de ses doctrines, I xiv 2 n.— cité sur la
génération dans les plantes, I xvn 2.—ses théories blâmées et louées
par Aristote, I xvn 2 n. — désigné par Aristote, II vιιι 5 n. — son
erreur sur la stérilité du mulet; sur la cause de la dureté du
mélange du cuivre et du plomb; réfutation de ses théories, II x 1 3.
— et Dé-mocrite, leurs travaux zoolo-giques; discussion de leurs
théories sur la stérilité du mulet, II x 1 n. — cause qu'Empédocle
assigne à la stérilité des mulets, II x 3 n.
— exemple vulgaire pour bien montrer l'erreur d Empédo-cle dans sa
théorie sur la stérilité du mulet, II x 4 n. — sa démonstration
s'appliquant iudistiuctcment au maie et a la femelle du mulet, II x
6. — cité sur la théorie du feu, ΙΙΙ x 6 n. — théories d'Empédo-cle,
d'Anaxagorc et de Démocrite d'Abdère sur la formation originelle des
sexes femelle et mâle, IV ι 2 3. — manière dont Aristote parle
d'Empédocle dans ses ouvrages zoologiques, IV ι 3 n.
— discussion spéciale sur son opinion et sur celle de Démocrite
relativement à l'origine des sexes ; réfutation de l'une et de
l'autre, IV ι 5-14. — fragments d'Empédocle, citation tronquée
qu'Aristote en fait relativement aux organes sexuels ; auteurs qui
les citent plus complètement, IV ι 9 n.
— réfutation d'Anaxagore et d'Empédocle sur la formation originelle
des sexes femelle et mâle, IV ι 13 14. — réfuté par Aristote dans la
seconde partie de sa théorie sur les yeux, V ι 17 n. — et Démocrite,
leurs théories de la ressemblance et de la dissem-blance des enfants
aux parents ; réfutation de ces théories, IV ni 18-22. — ses
théories réfutées par Aristote, IV ιv 10 n. — se trompe en comparant
le lait à du pus, IV vm 9. — indique l'époque d'un changement
notable dans les mamelles, IV vm 9 n. —
— désigné sans doute par Aristote, V ι 5 n. — sa théorie sur la
cause des variétés dans la couleur des yeux, V ι 14. — Aristote
réfute sa théorie sur les variétés de la couleur des yeux, V ι 14 n.
— Aristote, dans le traité de la Sensation, réfute son opinion sur
la vιsion ; vers où il compare l'œil à une lanterne d'où sort la
lumière, V ι 15 n.
— manière dont Aristote réfute ses opinions fausses, Ρ xιι.
ENCEPHALE, composition de la masse encéphalique, son action décisive
sur la couleur des yeux, V ι 23 n. — de l'homme, ses caractères, V
ni 21 n.
ENFANT, la ressemblance des en-fants à leurs parents est un argument
contre Terreur de quelques naturalistes, sur la part de la femme
dans la génération, I xiv 4. — rapport qu'il a avec la femme, I xiv
5 n. — son développement, dès le jour de la conception, II π 6 n. —
formation de la fontanelle; grosseur démesurée de leur tête, II vιιι
26. —ressemblance des enfants aux parents ; éléments dout cette
ressemblance doit se composer, IV m 1 2. — sa ressemblance à celui
des ancêtres qui est le plus rapproché, soit du côté paterne], soit
du côté maternel, IV in 7. — observation sur les membres en
surnombre ou en défaut, IV ιv 1. — nés à huit mois, vιvent
difficilement, IV ιv 16 n. — leurs difformités, IV ιv 24.— nés a
sept mois, selon la théorie de la formation des petits complets ou
incomplets, au moment de leur naissance, IV vι 5. — leur sommeil
soit dans le sein de la mère, soit après leur naissance; leurs
rêves, V ι 6 9.— son état initial analogue à l'état de la plante, V
ι 7 8. — leurs yeux bleus aussitôt après la naissance, V ι 11.
ENGBNDREUR, opinion de l'Aca-démie française et de Voltaire sur ce
mot, IV in 9 n.
ENTENDEMENT, vιent du dehors daus l'homme, et est un principe divιιι
; son action ; sa définition, II ιv 7 9.
ENTRAILLES de terre ou intestine de terre, nature de ces animaux,
ΙΙΙ x 17.
ENTRELACEMENT des serpents, est une conséquence nécessaire de leur
organisation et de leur longueur, I vι 6.
ÉPERVΙERS, sont de la famille des faucons; leurs espèces fort
nombreuses, II ιx 7 n.
ÉPICHARME, cité sur les sens di-vers de cette expression qu'une
chose vιent d une au-tre, I xιι 2.
ÉPICURE, son système du hasard repoussé dédaigneusement par Galien,
Ρ cxxxvm.
ÉPIDBRME, nature de l'épiderne de la cornée, V ι 20.
ÉPOQUES périodiques de la mens-truation chez les femmes, II ν 6 7. —
où les mâles des poissons ont leur laite, et les femelles ont leurs
œufs, ΙΙΙ ν 7.
— de Tannée où les huîtres sont les meilleures à manger, ΙΙΙ x 24.
ÉQUIPES, famille qu'ils forment; leur mode de locomotion, IV vι 1
JI. — disparité des yeux fréquente dans l'espèce des
, équidés, V Ι 12 n.
ÉQUILIBRE heureux qu'atteste l'intelligence de l'homme, II vm 26.
ERREUR d'Aristote, partagée par toute l'Antiquité, sur la
géné-ration spontanée, I Ι 5 n. — des pêcheurs sur l'accouplement
des polypes, I ιx 5. — d'Empédocle sur le sperme,
I xi 9. — d'Anaxagore sur l'organisation du sperme, I xi 14• — de
Ctésias sur le sperme des éléphants ; d'Hérodote sur celui des
Éthiopiens, II in 7 8. — sur l'action de la respiration dans
l'évacuation d'excréments divers, II ν 3 4. — de ceux qui supposent
que la femme émet aussi une liqueur spermati-que, II ν 20. — de
Démocrite sur les parties des animaux qui se séparent les premières,
II vι 5. — sur la nutrition du fœtus; impossibilité de sa théorie,
II vι 8-10. — évιdente de Démocrite signalée par Aristote, II vι 5
n. — de quelques naturalistes sur le mouvement des parties dans
l'animal, II vu 8. —de quelques naturalistes sur l'influence de la
respiration de la mère dans la formation des parties diverses de
l'animal, II vιιι 3.
— d'Aristote sur l'action du froid et du chaud dans la formation
successive des organes, II vιιι 16 17 n. — de quelques naturalistes
sur la nutrition du fœtus, II ιx 5.— de Démocrite et d'Empédocle sur
lu stérilité du mulet, II x
2 3. — sur l'origine des œufs clairs, ΙΙΙ119. — de quelques
naturalistes croyant que tous les poissons sont femelles, ΙΙΙ ν 2. —
des pêcheurs et d'Hérodote sur la gestation des poissons, ΙΙΙ ν 10.
— d'Anaxagore sur l'accouplement des corbeaux et de l'ibis, et sur
la parturition de la belette, ΙΙΙ ν 12,— d'Héro-dore d'Héraclée sur
l'hermaphrodisme de l'hyène, ΙΙΙ ν 15. — de ceux qui croient que
tous les poissons sont femelles, ΙΙΙ vu 1. — des naturalistes, qui
croient que les abeilles tirent leur couvain du dehors, et que les
abeilles sont les femelles et que les bourdons sont les mâles, ΙΙΙ
ιx 1 2. — durée de Terreur sur la génération spontanée,
ΙΙΙ x 16 n. — de Démocrite sur la formation des monstres, IV ni 25.
— d'Empédocle comparant le lait à du pus,
IV vm 9. — des anciens na-turalistes sur les causes générales des
choses, V Ι 5.
ESCARGOTS, famille dont ces co-quillages font partie, ΙΙΙ x 2 n.
ESPECES animales, différences dans la quantité de leur sperme, I xιι
19. — humaine, Ta-bondance des menstrues et du sperme y est plus
grande que dansaucuue autre espèce, I xrv 11. — qui émettent du
sperme ; façon dont il contribue à la génération; inter-vention
évιdente de la Nature pour les espèces où les mâles ne sont pas
assez forts pour émettre du sperme, I xvι 5.— leur fιxité, Aristote
y a cru d'une manière imperturbable; théories qui la nient, II Ι 3
n. — leur fιxité et leur perpétuité niées avec audace et légèrelé
dans ces derniers temps, II ι 20 «. — humaine, rapprochement des
sexes, II ν 2. — excrétion nécessaire et plus abondante dans
l'espèce humaine que dans les animaux, II ν 9. — exemples de
diverses espèces, démontrant la nature de Tintervcntion du mâle
partout où il y a des œufs, chez les oiseaux et chez les poissons,
ΙΙΙ 117 18. — leur perpétuité entretenue par l'instinct de la
maternité, ΙΙΙ n 11 n. — dévιation de l'espèce en une certaine
mesure, IV m 2.
— qui peuvent concevoir des embryons en superfétation et les amener
à terme, IV ν 8.
— variations selon les espèces dans la formation des petits complets
ou incomplets, au moment de leur naissance, IV vι 1.
ESPECE HUMAINE, produit plus de mâles contrefaits que de femelles,
IV vι 6. — comparée aux autres espèces ; science qu'elle constitue,
IV vι 12 n. — comparaison entre l'espèce humaine et les autres
espèces relativement à l'abondance de leurs sécrétions, IV vιιι 7/i.
— différence de voιx très sensible dans l'espèce humaine, V vι 2 n.
ESPRIT, théorie de l'influence de la matière sur l'esprit, ΙΙΙ ι
8/1. — humain, ses lois, Ρ ccxvn — ses erreurs inévιtables, sa
grandeur, P. ccxxιx.
ESQUISSE que la Nature fait des organes de l'animal, comparée à
celles que tracent les peintres, II vιιι 21.
ESSENCE, production de l'essence dans l'animal, II n 12.
— intervenant dans la production des animaux, II n 2-4.
ÉTAT initial de l'eufant analogue à Tétat de la plante, V ι , 7 8.
ÉTERNEL, opposé au périssable, distinction profonde qu'A ri s-, tote
a faite, IV m 31 n. ÉTERNITE, vérités éternelles qui , sont
démontrables, II vιιι 13. ÉTHIOPIENS, erreur d'Hérodote sur leur
sperme, II ni 8. — nature de leurs cheveux, V ni , 12.
ÊTRES qui sont tantôt congénères et qui tantôt naissent
spontanément, I ι 78. — sens dans lequel on peut dire qu'ils
vιennent tous de semence, I xιι 4. — effets de la séparation des
sexes par rapport à la naissance des êtres, I xiv 14. —
qu'aujourd'hui même on ne connaît que très imparfaitement ;
observations délicates qu'en fait Aristote, I xrv 14 #i. — qui
engendre et être de qui vιent l'être engendré ; leur différence ;
leur définition, I xiv 18. — pro-duction de ses diverses parties, II
n 11. — fonction de tout être naturel complet, soit animal, soit
plante, II n 15. — tout son développement postérieur dépend d'une
condition initiale, la plus cachée de toutes, II ιv 3 n. — sortes
d'âmes qu'ils doivent avoir en puissance avant de les avoir en
réalité, II ιv 4. — animés, la nature de chacun d'eux est
essentiellement in-hérente à toutes les plantes et à tous les
animaux, II vι 12. — trois conditions sont indispensables à l'être :
le moteur, le but et le moyen, II vm 8-12. — analyse des trois
conditions indispensables à l'être, II vιιι 8 n. — deux degrés de
nourriture, qu'il faut distinguer dans tout être, II vιιι 32. —
origine de tous les êtres, depuis les plus élevés jusqu'aux plus
infimes,
ΙΙΙ vm 2 n. — qui sont dans
le liquide présentent bien plus
de formes différentes que ceux
qui vιvent sur terre, ΙΙΙ x 3.
— répartition des êtres selon les milieux où ils peuvent vιvre, la
terre, l'eau, l'air; le feu ne peut être un milieu pour les êtres
vιvants ; action de la lune, ΙΙΙ x 5-7. — ori-gine de l'être passant
de la simple puissance à la réalité,
IV ι 22 n. — qui est produit;
son essence propre, IV m 5.
— susceptibles d'agir et de souffrir; indication précieuse en ce
qu'elle rappelle une des théories particulières de l'ouvrage perdu
d'Aristote, Traité de l'Action et de la Passion,
IV m 14 fi. — influence de
l'air ambiant sur tous les
êtres, IV ιx 7. — causes par
lesquelles se développe dans
l'être tout ce qui est renfermé
dans sa définition, V ι 5. —
et non-être, leurs rapports,
, V ι 7.
ÉTUDE de la génération spéciale des animaux, I π 1. — admirable
d'Aristote sur les abeilles et les insectes du même ordre, ΙΙΙ vιιι
lu. — sur les poils des animaux, V m 5. — plus faciles à faire sur
les grands animaux que sur les petits, ΙΙΙ n 22. — ultérieures sur
les dents, indiquées par Aristote, II vm 39.
EUDEME, médecin, connu uni-quement par les citations qu'en fait
Galien, Ρ cxxvι.
EUNUQUES, exemple des eunu-ques cité à l'appui de l'im-portance des
modifications dans les organes sexuels, IV ι 23. — leur singulier
aspect,
V vι 11 /*. — mutilation qui fait des eunuques, V ni 22. — n'est
jamais chauve; répartition des poils sur son corps, , V m 22.
ÉVACUATIONS mensuelles, causes indiquant la nécessité des
éva-cuations mensuelles chez les femmes, II ν 6-8.
ÉVAPORATION, nature de celle que contiennent les poils droits ou
frisés, V ni 10. — distinction de l'évaporalion et
§ de l'exhalaison, V in 10 n.
EVOLUTION, la théorie de l'évo-lution repoussée par M. Henri Milne
Edwards, P. ccxi.
EXCES de production chez les plantes et les animaux; il les épuise
également, ΙΙΙ ι 12 13.
EXCREMENT qui ne contribue pas à la génération, II ν 15 16 n.
EXCRETION, différence de l'ex-crétion qui est naturelle, et de la
concrétion qui est contre nature, I xιι 7 8. — sens de ce mot dans
Aristote, I XII 9 n. — de la portion utile des aliments; preuves à
l'appui de cette théorie, I xιι 11-14.
EXISTENCE, théorie des conditions d'existence admirablement exposée
par Cuvιer, analogue à celle d'Aristote, II vm 17 n.
EXPERIENCES sur les œufs clairs des oiseaux et sur leurs
ac-couplements répétés, I xv 7 8. — sur le sperme des hommes
indiquant leur stérilité,
II ιx 12. — par laquelle on
peut constater la séparation
du blanc et du jaune de l'œuf,
ΙΙΙ ι 27.
EXPLICATIONS diverses sur la création des hommes et des quadrupèdes,
ΙΙΙ x 18 19.
EXPOSE du système d'embryologie aristotélique, Ρ xιx et suiv.
EXPOSITION, mode d'exposition pratiquée par Aristote, non moine
remarquable que sa mé-thode, Ρ xvι. Voir Style. EXSANGUES, position
de leurs organes qui concourent à la génération ; quatre genres
d'exsangues, I ιx 1 2. — leur fluide analogue aux menstrues des
quadrupèdes, I xiv 9. — variétés dans la génération des animaux
exsangues, II ι 19.
EXTERIEUR, son action; sens dans lequel il faut entendre l'idée
d'Extérieur, II u 2 n.
FACULTE, la première et la plus indispensable de toutes les
facultés, II n 15 n. — premières dans la plante et dans Tanimal, II
ιv 2 n. — diverses de l'âme, II ιv 5 n, II ιv 11 n. — nutritive, est
une des lois fondamentales de la biologie, II vι 12 n• — différences
qu'elles présentent dans une même espèce, Vιl. — principe général
des diffé-rences que présentent les or-ganes et les facultés dans
une même espèce, V ι 4.
FAIBLESSE de la voιx, distinction de la faiblesse et de la force de
la voιx, avec son acuité et sa gravιté, V vι 5 6. Voir Voιx.
FAITS, observation des faits sans cesse rapprochée par Aristote de
la raison intelligente, qui les comprend, I π 4 5 n. — observés sur
la part respective qu'apporte le mâle et la femelle dans l'acte de
la génération, et qui sont d'accord avec la théorie générale qui se
tire de la raison, I xiv 15 17 18. — qu'on observe sur la génération
d'accord avec la raison, I xv 1. —observation des faits réels est
préférable aux raisonnements les plus spécieux, II x 10. — qui
constatent qu'il y a des mâles et des femelles chez les poissons, et
nécessité de bien observer ces faits, ΙΙΙ ν 4. — particuliers que
présentent les abeilles, ΙΙΙ ιx 2. — observés sur la génération des
abeilles, ΙΙΙ ιx 18. — observation indispensable des faits causant
la chute des dents, V vu 3. — Voir Observation et Méthode.
FALLOPE, trompes de Fallope ; fonction qu'elles remplissent dans la
production de l'homme, I xiv 10 n. — ses observations sur les
ovaires; sa découverte des trompes; son erreur à ce sujet, Ρ CM.
FAMILLE, son origine; sa for-mation, ΙΙΙ π 11 n.
FAUSSES COUCHES, cas particulier de la femme, aboutissant à ce qu'on
appelle les fausses couches, IV ν 3. — cas de la jument, IV ν 5.
FECONDATION des œufs de pois-sons par la laite des mâles, I xv 9. —
mystère de la fécondation; sa production, II vι 10 n. — particulière
des perdrιx, ΙΙΙ ι 19 20.
FECONDITE chez l'homme et la femme ; incertitude sur ses époques et
sa durée, I xm 9 n. — différence entre les deux sexes relativement à
la durée de la fécondité, I xm 9 n. — étonnante des insectes, II ι
19 n. — sa durée, II ιx 9 n. — relative des oiseaux de proie, ΙΙΙ ι
9. — excessive des poissons, ΙΙΙ ιv 4. — ses variétés plus ou moins
grandes, selon les espèces et même selon les indivιdus, IV ιv 1 n. —
plus ou moins grande des animaux, en raison inverse de leur
grosseur, IV rv 5 6. — différences sur lesquelles se règlent le plus
ordinairement la fécondité et la grandeur du corps des animaux, IV
ιv 8. — ses différences se règlent sur la grandeur des corps, IV ιv
8 n. FEMELLE et mâle, leur définition; leur différence, I n 2 4 5. —
rôle de la femelle et du mâle dans la génération, I n 2 n.
— des insectes, la différence qui la dislingue du mâle se représente
aussi dans la plupart des poissons et dans les quadrupèdes ovιpares,
I ιx 89.
— sa part dans l'acte de l'ac-couplement, 1x3. — et mâles, leurs
rapports dans la génération, Il 3/i. — son concours dans l'acte de
la génération, I xιιι 2. — son organisation, I xm 8. —vιvιpares,
leurs menstrues analogues au sperme dans les mâles ; similitude de
phénomènes dans l'homme et dans la femme; démonstration des
phénomènes qui s'y rattachent, I xm 9. — rôle de la femelle dans la
génération, I xiv 15 n. — et mâle, détermination de leur part
respective dans l'acte de la génération ; la femelle donne la
matière et elle est passive; le mâle est le principe moteur et
l'agent, I xiv 15 18.
— rapports réciproques de la femelle et du mâle dans l'acte de la
génération, I xv 4. — rôlequ'Aristote prête toujours à la femelle
dans l'acte de la génération, I xv 8 n. — rôle de la femelle dans
l'acte de la génération, I xv 10 n. — rôle particulier de la femelle
dans la génération, I xvι 1.— com-paraison de la femelle à la
matière dont se sert l'ouvrier, I xvι 1 2. — et mâle dans l'œuvre de
la génération; leurs fonctions respectives, II ι 5 7. — produit
constitué dans la femelle ; principes qu'il doit avoir, IIrv 1 2. —
et mâle, leur action dans la génération ; le ur définition, II ν 11.
— pour-quoi la femelle ne peut pas engendrer à elle seule, II vιιl
3. — la femelle dans les oi-seaux peut donner au germe le principe
nutritif, mais non celui delà sensibilité, ΙΙΙ vι 5.
— et mâle, leur génération, IV il. — distinction de la femelle et du
mâle; leurs différences de température; impuissance de l'un,
puissance de l'autre, à faire la coction complète et définitive de
la nourriture,
IV ι 17 18. — principe et
cause de la femelle et du
mâle, IV ι 25. — leur fonc-
tion dans la copulation, IV ι
26. — fonction de la femelle
dans la copulation, IV ι 26.
— cause de la différence de la femelle au mâle, 1Y ι 27.
— génération de femelles ou de mâles selon l'âge des parents, IV π
1. — différences que la femelle et le mâle présentent, selon qu'ils
produisent des mâles ou des femelles, IV n 4. — fœtus femelle,
comparaison de son dévelop-pement avec celui du fœtus mâle, IV vι 7
8. — différence entre le timbre de la voιx des femelles et celui des
mâles,
V vι 2. — rôle exclusif de la femelle dans la génération d'après
AHstote, Ρ cxvn-cxxv.
FEMME, une femme d'Elis citée comme exemple des rcssem-blances des
enfants qui sautent plusieurs générations, I zi 2. — menstrues de la
femme et phénomènes qui s'y rattachent, I xm, 10. — phénomènes qui
leur sont particuliers; elles n'émettent pas de liqueur spermatique
dans la cohabitation; preuves diverses à l'appui de cette
observation, 1 xm 12 13. — circonstances spéciales où elles peuvent
ou ne peuvent pas concevoir, I xιιi 14. — la femme n'émet pas de
ligueur séminale; arguments divers contre l'erreur des naturalistes
sur la part qu'elle prend dans la génération, I xiv 2 3. — rapport
de la femme avec l'enfant, I xiv 5/1. — abondance proportionnelle
des menstrues de la femme, com-parativement à toutes les autres
espèces, I xiv 11 n. — et hommes; constitution de leur corps;
abondance des menstrues et du sperme plus grande chez eux que dans
les autres animaux, I xiv 11. — disposition de la matrice chez les
femmes, II ν 5. — époques périodiques de la menstruation; abondance
de leurs menstrues, II ν 6 7. — la femme fournit la matière ;
l'homme donne le mouvement et la vιe, dans l'acte de la génération,
II ν 10 11. — plaisir provoqué dans la femme et dans l'homme par le
rappro-chement sexuel, II ν 16 17.— disposition des organes des
femmes dans la copulation, II ν 17 «. — erreur de ceux qui supposent
qu'elles émettent de la liqueur spermatique; résultat qu'aurait
cette émission, si elle était extérieure, II ν 20. — concours de la
femme et de l'homme dans l'acte de la génération, II vι 11. — signes
indiquant que les femmes sont stériles ; observations, pour
s'assurer de leur état, par leur teint et par leur haleine, II ιx 10
12.
— observations sur le teint et l'haleine des femmes, signes de leur
stérilité, II ιx 12. — signes évιdents de stérilité chez les femmes,
II ιx 12 n.
— fécondité des femmes en Egypte, IV in 29. — cas par-ticulier de la
femme aboutissant à ce qu'on appelle une fausse couche, IV ν 3. —
leurs désirs de rapprochement sexuel moins vιfs après avoir eu
plusieurs enfante, IV ν 6. — effet de la continuation des menstrues
durant leur grossesse, IV ν 9. — époque où la femme sent remuer son
enfant, IV vι 6 n.
— chaleur naturelle des femmes égale à celle des hommes; erreur
d'Aristote à ce sujet, IV vι 6 7 n. — cause de la facilité de
l'accouchement, ou de sa difficulté, selon la vιe que mènent les
femmes, IV vι 10.
— effets de leur grossesse, IV vι 11. — effets de la grossesse des
femmes, IV vιll.— cause de la fatigue des femmes et de leur
épuisement dans les derniers temppde la gestation, IV vι 11 n. —
affection de la môle, à laquelle les femmes seules sont exposées, IV
vu 1. — distinction chez la femme de la môle et des grosses-ses
extra-utérines, IV vu 3 n.
— époque de la formation du lait des femmes propre à nourrir, IV
vιιι 2. — abondance des sécrétions chez la femme, IV vιιι 7. —
cessation des règles des femmes pendant l'allaitement, IV vm 10.
— les femmes ne devιennent jamais chauves, V m 21. — nature de la
voιx des femmes, V vι 8.
FEU, ne peut être un milieu pour les êtres vιvants, ΙΙΙ x 6.
— théorie du feu, le quatrième des corps élémentaires ; durée de
cette théorie ; époque où elle a été renversée, ΙΙΙ x 6
II.
FEUILLES persistantes, feuilles caduques des végétaux, V in 23. —
analogies qu'on peut remarquer dans la chute des feuilles des
végétaux et la calvιtie chez l'homme, Y ni 18.
FIGURE, changements singuliers dans le corps des athlètes et dans la
figure de certaines gens, IV in 15.
FIGURES représentant les dissec-tions et les descriptions de
l'Histoire des Animaux, citées sur des détails à vérifier pour le
développement des embryons, II ιx 4. — Voir Dessins anatomiques et
Descriptions anatomioues.
FISSIPEDES, nombreuses mons-truosités qui se produisent chez ces
animaux, IV ni 29.
— la science moderne modifie l'expression de fissipèdes, IV ni 29 n.
— fécondité des fissipèdes en raison inverse de leur grosseur, iV ιv
5 7. — formation de leurs petits au moment de la naissance, IV vι 1.
FΙXITE des espèces, Aristote y a cru d'une manière impertur-bable ;
théories qui la nient, II ι 3 n. — et perpétuité des espèces, niées
avec légèreté dans ces derniers temps, II ι 20 n.
FLEXION des membres de derrière dans les quadrupèdes, I xiv 10 n.
FLUIDE féminin, son caractère ;
son origine, I xrv 2 n. — son mélange avec la liqueur sper-matique,
II ν 14. —définition du fluide, IV ι 26 «. — Voir Femme.
FLUTE, exemple de la flûte dé-montrant, l'influence qu'exer-cent la
chaleur et le froid sur l'organe de la voιx, V vι 14.
— un des instruments les plus cultivés par les Anciens, V vι 14 n.
FLUX mensuel chez les femmes ; cas exceptionnels reconnus aussi par
la science moderne,
I xm 16 n. — objet du flux menstruel, quand il s'arrête après la
conception, I xvι 1 n.— périodique des femmes; explications erronées
tirées des phases de la lune; ses irrégularités ; ses relations avec
la conception, II ν 6 et suiv. n. — menstruel, sa quantité moyenne ;
ses variations, II ν 7 n. — Voir Femmes.
FONCTION des testicules organisés en vue du mieux, I ιv 1 2. — et
propriétés des parties similaires et des non-similaires, I xi 12. —
commune à tout ce qui vιt, I xvn 6 8.
— du mâle et de la femelle dans l'acte de la génération,
II ι 7. — naturelle de tout
être complet, soit animal, soit
plante, II π 15.
FŒTUS, analogie de son déve-loppement avec celui de la graine des
végétaux, II vι 3.
— nutrition du fœtus ; erreur de Démocrite ; impossibilité de sa
théorie sur la divιsion des membres, II vι 8 9 10.— le fœtus a une
circulation et une respiration particulière très compliquées avant
la for* mation du poumon, II vm 3 n. — conditions propres de la vιe
fœtale, que la science, même de nos jours, ne s'explique pas encore
entièrement, II vm 3 A. — grosseur excessive des yeux du fœtus, II
vm 23• — rapports du fœtus avec la mère, et manière dont
11 se nourrit dans le premier
temps, II ιx 2 /i. — nutrition
du fœtus ; erreur de quelques
naturalistes à ce sujet, II ιx
5. — constitution du fœtus
chez les poissons et chez les
oiseaux, ΙΙΙ ι 15. — mâles,
leur mouvement dans le sein
de la mère, IV π 6 A. — com-
paraison du développement
du fœtus mâle et de celui du
fœtus femelle, IV vι 7. —
cause de la différence du dé-
veloppement des fœtus, IV
vι 7 A. — développement et
nourriture du fœtus ; sa sortie
du sein maternel, IV vιιι 3 4.
— époaue déterminée pour la sortie du fœtus ; sa sortie naturelle
chez tous les animaux,
IV vιιι 11 12. — description
d'Aristote de la sortie du
fœtus hors du sein maternel,
analogue à celle des phy-
siologistes modernes, IVvιιι
12 A. — grosseur du fœtus
proportionnée à la durée de
la gestation, IV ιx 3. — or-
ganisation successive du sys-
tème nerveux dans le fœtus,
V I 6/i. — état du fœtus dans le sein de la mère par rapport au
sommeil, V ι 9. — les fœtus ne sont jamais éveillés ; leurs
mouvements, V ι 9 #i.
FONTANELLE, sa formation chez les enfants, II vm, 26.
FORGE productrice se confondant avec le générateur primordial, II vι
12. — distinction de la force et de la faiblesse de la voιx avec sa
gravιté et son acuité, V vι 5 6.—
— explication de cette expression, IV ni 6 A.
FORMATION des parties de l'ani-mal, II π 5. — des spermes
générateurs dans les animaux, II ν 14. — originelle des sexes
femelle et mâle, IV ι 2. — théories d'Anaxagore, d'Em-pédocle et de
Démocrite d'Ab-dère à ce sujet, IV ι 3.
FORMES des monstruosités, IV m 24.
FORMULE qu'Aristote emploie souvent et qui n'est pas toujours
justifiée, I xi 17 A. — aristotéliques; une de ces for-mules : «
l'homme engendre l'homme Ι, II ι 15 A. — II n 9 A, II n 12 A.— citée
à l'appui du sens du mot Antérieur, II vιιι 7 A. — dont Aristote se
sert assez souvent contre les théories métaphysiques qu'il combat,
II x 10 A.
FOURMIS, leur génération par des êtres congénères, I ιx 7.
FRAGMENTS d'Empédocle, édit. Firmin-Didot, cités pour un vers tiré
du second livre des Choses physiques, I xi 16 A.
— citation tronquée d'Aristote, relativement aux organes sexuels;
auteurs qui citent plus complètement les vers d'Empédocle, IV ι 9 A.
— cités sur l'indication de l'époque d'un changement notable dans
les mamelles, IV vιιι 9 A. Voir Empédocle.
FRELONS, leur génération; leur accouplement, ΙΙΙ ιx 19. — influence
des alimente sur leur couleur, V ν 9.
FRISURE des poils, sous l'action de la chaleur ou du froid, V m 10
11.
FROID, effet du froid et de la chaleur interne sur la forma-mation
successive des organes, II vm 16 17. — effets qu'on prête à l'action
successive du froid et de la chaleur, sur la formation des muscles
et des os, II vιιι 19 n. — le froid constitue le cerveau, II vιιι
22. — frisure des poils sous l'action de la chaleur ou du froid, V
ni 10 11. — action du froid ou de la chaleur sur la nature des
poils, V ni 12-16. — action du froid et de la chaleur sur les
plantes, Y m 16 n, — de l'âge; glaces de l'âge ; sens dans lequel il
faut prendre ces expressions, V nr 2/i. — action du froid et de la
chaleur sur la nature de la peau et des poils, V ν 7. — influence du
froid et de la chaleur sur l'organe de la voιx, V vι 14. FauiT,
différence entre le fruit et le sperme, I xιι 6. — des
F
iantes, comparé au sperme, xιι 7 n.
FUMEUSE, surnom donné à une espèce de vιgne ; cet accident n'est pas
regardé comme une monstruosité; nature de cette vιgne d'après
Aristote et d'après Théophraste, IV ni 32.
GALIEN n'a été qu'un écho et un continuateur des théories
d'A-ristote sur la voιx, V vι 16 n. — médecin de Pergame, donne
quelques indications sur la génération dans son traité sur la
Semence; but de cet ouvrage; admirateur sincère d'Hippocrate et
d'Aristote; moyens qu'il emploie pour résoudre le dissentiment qui
les sépare, Ρ cxxin. — éloges et blâme qu'il adresse à Athénée; ses
citations de médecins, connus uniquement parce qu'il les a nommés, Ρ
cxxxv. — son admiration et son injustice à l'égard d'Aristote; ne
s'est pas occupé de l'embryologie comparée ; sentiment qu'il a de
commun avec Aristote; système qu'il repousse dédaigneusement et
système qu'il soutient, Ρ CXXII. — réfute les théories du Traité de
la Génération des Animaux dans son ouvrage de la Semence, D CCLVΙ.
GALLINACES, influence de la cha-leur sur l'éclosion de leurs œufs,
ΙΙΙ n 12 n. — formation de leurs œufs clairs, IV ι 12
G
n. — différence des gallina-cés comparés aux reptiles, IV ni 28 n.
GARDIN, médecin de Douai en 1623, supposé par M Pouchet l'auteur de
la découverte des spermatozoïdes, Ρ excv.
GASTEROPODES terrestres et aqua-tiques sont tous hermaphro-dites,
ΙΙΙ x 2 n. — leurs organes de génération, ΙΙΙxl4/i.
GAVARRET (M.). € De la chaleur produite par les êtres vιvants •,
cité sur la théorie du poumon, II ι 14 n.
GENERATION, ses diversités, I ι 5. — spéciale des animaux,
I n 1. — spoutanée ; natura-listes qui soutiennent cette théorie, I
ιx 7 n. — part que prend la femelle dans l'acte de la génération;
questions diverses à se poser sur le concours qu'y apportent les
deux sexes, 1x34. — théo-ries de quelques naturalistes sur la
génération, I x 6 n. — combattues par Aristote, I xi
II n. — particulière de cer-
tains animaux qui ne vιennent
pas de congénères, I xi 18.—
examen de la question de sa-
voir quelle est la part de l'un et de Γ autre sexe dans l'acte de la
génération, I xi 23. — par contraires, dans tous les êtres venant de
sperme, I xιι 4. — concours de la femelle dans l'acte de la
génération,
I xιιι 2 et 12. — part respetivce
5
1 u y apportent le mâle et la èmelle, I xiv 15 17. — exposé de la
suite de l'étude sur la génération, I xv 1. — efforts d'Aristote
pour s'expliquer ce mystère, I xvι 3 n. — dans les plantes, I xvn 1.
— dans les animaux qui n'ont pas de sang, I xvιι 3. — causes de la
génération des animaux, II ι 2. — diversité de la génération selon
les degrés de chaleur dans les animaux, II ι 15-18. — dernier mot du
philosophe grec sur ce problème,
II n 12 n. — obscurités in-
sondables de la génération,
II ιv 3 n. — spontanées, les
grandes expériences faites de
nos jours démontrant la vé-
rité du principe de la chaleur
d'après Aristote, II ιv 8 n, —
mystère de la génération, II
vm 7/i. - double course que
la génération semble faire,
II va 9. — contre nature, II
ιx 9 n. — chez les hybrides,
II x 2/1. — des poissons et
des oiseaux; nécessité de l'in-
tervention du mâle partout où
il y a des œufs, ΙΙΙ ι 16 17.—
différence de la génération
des oiseaux et de celle des
poissons, ΙΙΙ ιπ6.—des pois-
sons, ΙΙΙ ιv 2. — particulière
aux sélaciens ; comparaison
de cette génération avec celle
des poissons, ΙΙΙ vι 1. — des
mollusques et particulière-
ment de la seiche; elle a lieu
par copulation, ΙΙΙ vu 1. —
des insectes; variétés de cette
génération; ses différences
avec la génération des vιvιpares et des ovιpares, ΙΙΙ vιιι 1-3. —
erreur sur la génération spontanée des insectes, ΙΙΙ vιιι 1 n. — des
insectes, copulative ou spontanée, ΙΙΙ vιιι 8. — des abeilles;
diffi-cultés de cette étude, ΙΙΙ ιx 9.
— des abeilles, s'arrêtant à son troisième degré, ΙΙΙ ιx 14.
— probable des abeilles, ΙΙΙ ιx 14 n. — des testacés ou coquillages,
ΙΙΙ x. — erreur de la génération spontanée définitivement réfutée de
nos jours, ΙΙΙ x 1 /i. — spontanée, telle que la supposait Aristote;
durée de cette théorie ; en dépit de la science, ΙΙΙ x 16 n. — des
frelons et des guêpes, ΙΙΙ ιx 19. — des plantes, comparée avec les
testacés, ΙΙΙ x 8. — et bourgeonnement spontané des testacés, ΙΙΙ x
8. — définition de la génération sortant de l'œuf,
ΙΙΙ x 19. — prétendues preuves de la génération spontanée des
testacés, ΙΙΙ x 22. — explications sur la génération du mâle et de
la femelle, IV il. — de mâles ou de femelles selon l'âge des
parents,
IV n 1. — gémellaire, et membres en surnombre, IV ιx 18 n. — la
théorie de la génération comprend l'étude des monstres, IV ιv 25 n.
— gémellaire, sa rareté, IV ν 4 n.
— la théorie de la génération fait essentiellement partie de
l'histoire des êtres organisés, Ρ iv. — oubli de cette question
pendant cinq siècles après Aristote, Ρ cxxxi.
— spontanée, théorie d'A-ristote généralement admise ; attaquée et
combattue par Redi d'Arezzo, Ρ CXLI. — débat définitivement tranché
par notre siècle, Ρ CXLVΙ.
— des animaux; ce traité est le chef-d'œuvre zoologique d'Aristote,
de l'assentiment général, même des adversaires du péripatétisme, Pi.
— son caractère général, Ρ ιν• — place qu'Aristote avait assignée à
cet ouvrage, Ρ xvni. —ce traité est parfaitement authentique, D
CCXLΙΙΙ. — ses rapports à l'Histoire des Animaux et au Traité des
Parties, ibid.
GENESE d'accord avec Aristote et avec le Timée de Platon sur la
cause de l'existence du monde, II ι 2 n.
GENITAL, communications entre l'appareil génital et les ma-melles,
IV vιιι 7 n.
GENRES d'animaux qui ne sont pas les mêmes; cause de leur
accouplement, II ν 12.
GERMES en petit nombre dans les animaux unipares et de grande
dimension, IV ιv 15.
GERMINATION des plantes, phé-nomène qui s'y présente, ΙΙΙ vm 7 n.
GESTATION des poissons, opinion erronée sur cette gestation,
accueillie par des pêcheurs et par Hérodote, ΙΙΙ ν 10. — variétés
dans la durée de la gestation chez les animaux, IV ιx 1. —
différence pour la gestation entre l'homme et les autres animaux, IV
vι 10. — cause de la fatigue et de l'é-
{
misement des femmes, dans es derniers temps de la grossesse, IV vι
11 n. — durée de la gestation en rapport avec la durée de la vιe, IV
ιx lu. — rapport étroit de la durée de la gestation à la grosseur
définitive du fœtus, IV ιx 3.
GINNOS, espèce de mulet; dif-formité qui les produit; est un mulet
contrefait, II x 17.
GIVRE, rapport et distinction entre le givre et la moisissure. V ιv
4 5 /i.
GLANDES de Bartholin, source du fluide féminin ; analogie de cette
sécrétion avec celle de la salive, I xiv 2 n. — allusion faite par
Aristote à leurs mucosités et à leurs sécrétions, II ν 17 n.
GLAUCOME, définition de cette maladie des yeux, qui survιent surtout
aux vιeillards, V i!9.
— sens de ce mot, yeux attaqués par cette maladie; sa définition, V
119 n.
GORGE, remède qu'on emploie contre les maux de gorge, Y ni 15.
GOSIER, variétés de la voιx, tenant à la constitution du gosier et
de tout l'appareil respiratoire, V vι 8 n. — organisation du gosier
chez les veaux et les vaches, V vι 9.
GOUSSE, explication de ce mot, ΙΙΙ ι 12 n.
GOUT et sensibilité, distinguent l'animal, I xvn 7. — le sens du
goût toujours représenté par Aristote comme une sorte de toucher, I
xvn 7 n.
GRAAF (Régnier de), 1641-1673, jeune médecin hollandais ; grand pas
qu'il fait faire à la science de l'embryologie com-parée; élève de
Van Horne; ses travaux; monument qu'il a laissé à la postérité ;
dédicace de son ouvrage, Ρ CXLVΙΙ.
— court exposé de son traité; ses dissections ; résultats
applicables à l'organisation féminine ; autorités sur lesquelles il
s'appuie, Ρ CXLΙX. — mort à 32 ans ; son nom demeure attaché à la
découverte de la vésicule, CLII. — indications formelles que
four-nissaient ses travaux sur Γοrigine de l'homme, Ρ CL vu.
— évolutions des vésicules de de Graaf et des ovules sortis des
ovaires, IV ιv 19 n.
GRAINE des végétaux, analogie de son développement avec celui du
fœtus, II vι 3.
GRAISSE, les gens trop gras sont généralement inféconds, I xιι 21.
GRANDEUR et beauté de la vιe, I xvn 8.
GRAVE, définition du grave et de l'aigu dans la voιx, V vι 5.
GRAVΙTE, conditions matérielles de la gravιté et de l'acuité de la
voιx, V vι 3. — distinction de la gravιté et de l'acuité de la voιx
avec sa force et sa faiblesse, V vι 5 6•
Gaies, citée sur les femmes qui exerçaient le métier de tisse-rands,
I ιv 3 n. — citée sur la conservation des enfants nés à huit mois,
IV ιv 16 n. — cas
Î
u'elle faisait des chiens de aconie, V n 4 n, —connaissances qu'elle
avait des Scythes et des Thraces, V m 12 n. — influence de son
climat sur la couleur des cheveux roux, V rv 9 #i. — son silence
pendant cinq siècles après Aristote sur la génération, Ρ cxxxιι. —
sa grandeur scientifique; servιces rendus par elle à l'esprit
humain, Ρ ccxxxιι. GRECS, n'ont pas employé l'allaitement factice
pour les en-fants, IV vιιι 2 n. — leur manière de mesurer le temps,
IV ιx 5 /i. — leur connaissance des nègres, venue surtout par
l'Egypte, V ni 12 n.
— connaissaient peu les Sau-romates, V ni 14 n.
GRENOUILLE marine, est le seul des sélacieus qui ne soit pas
vιvιpare; cause de cette ex-ception, ΙΙΙ ι 2. — son œuf;
particularités qu'il présente ;
constitution du corps de ce sélacien ; grosseur et dureté de sa
téte; nature de son œuf, ΙΙΙ m 2 3. — sa classification ; confondue
par Cuvιer avec la baudroye, ΙΙΙ m 2 A. — nature de l'œuf de la
gre-nouille de mer et des œufs des autres poissons, ΙΙΙ ni 3. —
identification de ce poisson, ΙΙΙ in 3 n. — comparaison de ses œufs
et des œufs d'oiseaux,
ΙΙΙ m 4.
GRIMAUD DE CAUX, ses travaux physiologiques, Ρ ccin et suiv.
GROSSESSE, continuation des menstrues durant la grossesse, IV ν 9. —
eiTete de la grossesse chez les femmes,
IV vι 11. — ses premiers
symptômes, IV vι 11 n. —
extra-utérines chez la femme,
IV vu 3 n. Voir Femme.
GROSSEUR des yeux dans certains animaux au début de la vιe, II vιιι
24 /*. — démesurée de la tête des enfants, II vιιι 26. — des œufs de
poissons qui en crèvent, ΙΙΙ rv 4. — des produite déterminant les
durées diverses de la gestation, IV ιx 3 4.
GRUES, cause du changement de couleur dans leurs plumes en
vιeillissant, V ιv 9. — obser-vation populaire que reproduit
Aristote sur le changement de couleur de leurs plumes, V ιv 9 n.
GUEPES, leur génération par des êtres congénères, I ιx 7. — leurs
larves ; leur immobilité; leurs métamorphoses successives, ΙΙΙ vιιι
5. — leur vιe et leur développement, ΙΙΙ vιιι 7 8. — génération des
guêpes; leur accouplement, ΙΙΙ ιx 19. —influence des aliments sur
leur couleur, V ν 9.
Gui, production de cette plante, I ι 10. — sa classification ; ses
nombreuses espèces, I ι 10 n.
GYMNASTIQUE, changements qu'elle cause dans le tempérament de ceux
qui s'y livrent avec excès, son utilité reconnue par les Anciens, IV
vι 10 n. Voir Athlètes.
H
HAM, élève de Leewenhoeck, cité sur la découverte des
spermatozoïdes, Ρ CLVΙ. — auteur de la découverte des
spermatozoïdes, selon M» Henri Milne - Edwards , Ρ ccιx.
HARMONIE, connaissance qu'en avaient les Anciens, V vι 4 n.
HARTSŒKER, physicien hollandais, cité sur la découverte des
spermatozoïdes, Ρ CLVΙ.
HARVEY, son opinion sur l'origine des animaux, y compris Fhomme, Ρ
CXLVΙΙΙ. — étude sur les œufs dont il s'était oc-cupé trente ans
avant Mal-pighi, sur le même sujet et dans la même intention que
lui, Ρ CLIV.
HASARD, explique la cause des monstruosités, IV m 3. — nié
énergiquement par Aristote; philosophes peu observateurs qui lui
livrent l'univers, Ρ xm. — le système du hasard préconisé par
Épicure, repoussé dédaigneusement par Galien, Ρ cxxxvιιι.
HELMONT (VAN), ses aberrations sur la génération spontanée,
Ρ CXLVΙ.
HEMORRHAGIE utérine, sa coïnci-dence avec la maturité et la rupture
des vésicules de de Graaf, II ν 8 n.
HENRI ETIENNE, son Thésaurus cité sur l'orthographe du mot de
Kapnéos, IV m 32 n.
HERCULANUM, les fouilles d'Her-culanum citées sur des lanternes
qu'on y a trouvées, V ι 21 n.
HERISSON, position de leurs tes-ticules ; leur accouplement
différent de celui des autres quadrupèdes, I ν 3. — question
curieuse au sujet de leur accouplement, I ν 3 n. — po-sition de ses
testicules, I vιιι 3. — de terre, leurs poils par-ticuliers, V m 1.
HERMAPHRODISME d'une grande partie des mollusques, connu d'Aristote,
I ιx 5 n. — de l'hyène, erreur d'Hérodore d'Héraclée à ce sujet, ΙΙΙ
ν 15.
— chez les plantes, plus évιdent que partout ailleurs, ΙΙΙ ιx 9 n.
—Aristote y fait allusion en parlant de la génération des testacés,
ΙΙΙ x 8 n.— théorie de l'hermaphrodisme qui est toujours fort rare,
IV ιv 20 n.
HERMAPHRODITES, confusion des sexes dans plusieurs espèces
d'animaux, I xιι 5 n. — con-naissance qu'en avait Aristote, I xiv
14/i. — animaux réunissant les deux sexes dans un seul indivιdu, I
xrv, 18 n.
— mode de fécondation de ces espèces d'animaux, II ι 10 n.
—exceptions pour ces espèces relativement à l'émission de la liqueur
séminale, II ι 6 A.
— explication de cette mons-truosité, IV ιv 20.
HERODORE D'HERACLES, son er-reur sur l'hermaphrodisme de l'hyène,
ΙΙΙ ν 15. — paraît
devoir être désigné au lieu d'Hérodote pour son opinion erronée sur
la gestation des poissons, ΙΙΙ ν 10 15 n.
HERODOTE, son erreur sur le sperme des Éthiopiens, II ni 8. — erreur
qui lui est attribuée, II NI 8/1, — son erreur sur la gestation des
poissons; ses légendes fabuleuses, ΙΙΙ ν 10. — son oeuvre telle que
nous l'avons ne mentionne pas l'erreur, réfutée par Aristote, sur la
gestation des poissons, ΙΙΙ ν 10 n. — ses œuvres citées à l'appui de
la méthode d'observation, Ρ XI.
HEROPHILE, la découverte anato-mique des ovaires lui revιent selon
le témoignage de Ga-lien, Ρ cxxxv. — son anatomie citée par Galien,
D XV bis.
HESYCHIUS, cité sur le Traité de la Génération des Animaux, auquel
il ne donne que trois livres, D CCLVΙ.
HETEROGEIUE, savants qui incli-naient à ce système ; adversaires de
cette théorie, Ρ CXLIV.
HIPPOCRATE, édition de M. E. Littré, cité sur le phlegme,
I xιι 12 n. — sur une obser-vation relativement au phlegme, I xιι 16
IT. — cité sur la liqueur génératrice, I XΙΙ 22 n. — beau-père de
Polybe,
II VΙ 6 n. — ses théories dans
le traité des Airs, des Eaux
et des Lieux, analogues à celles
d'Aristote relativement à l'in-
fluence des climats, de la nour-
riture et des eaux sur la gé-
nération et sur le sexe, IV n
6 n. — son traité spécial sur
les Maladies des Femmes, cité
pour certaines difformités chez
les femmes; il ne s'est oc-
cupé que de pathologie, IV
iv 23 n. — cité sur les ou-
vrages consacrés à l'étude
T. II.
des Maladies des Femmes; authenticité de ces ouvrages, IV \i 12 H .
— doctrine hippo-cratique sur la génération, IV vι 12 n. — traité
hippo-cratique des Maladies des Femmes, cité sur la môle, IV vu 1 n.
— Traité de l'Ancienne médecine, cité sur la théorie de la coction,
IV vιιι 8/I. — et son école, cités sur la nyctalopie, qui leur était
connue, et sur le glaucome, dont ils n'ont pas parlé, V ι 19 n. —
cité pour l'origine de la théorie sur la coction en général, V ι 23
n.
— limites étroites dans lesquelles il a traité de la génération ;
recueil plus ou moins authentique des œuvres qu'on lui attribue, Ρ
ν, — ses œuvres citées à l'appui de la méthode d'observation, Ρ xi.
— influence de ses doctrines sur les études d'Aristote, Ρ cxxvn. —
collection à laquelle son nom est attaché; difficulté de discerner
ce qui lui appartient, et ce qui appartient à son école de diverses
époques; traités qu'elle contient; relativement à la théorie de la
génération ; restitution peu heureuse de son système par des
physiologistes modernes, Ρ ex xvn ι. — et Aristote, leurs opinions
opposées sur l'action de la semence; Galien essaie de les concilier,
Ρ cxxxin. — père de la médecine, Ρ cxxvn.
— genre d'observations sur les œufs auquel il a songé peut-être le
premier, Ρ CLIV.
HIRONDELLES, leurs petits naissent incomplets et aveugles ;
explication sur les yeux crevés des jeunes hirondelles, qui
re-poussent, IV vι 4.
HISTOIRE de l'embryologie, Ρ cxxxi-ccxvι.
31
HISTOIRE des Animaux d'Aristote citée sur des questions rappelées
dans le Traité de la Génération, I ι 1 n. — objet de cet ouvrage, I
ι 1 n.
— citée sur les parties non similaires et similaires, I ι 3 n. —
citée pour une erreur relativement à la génération, I Ι 4 n. — citée
sur les travaux botaniques de Théo-phraste, I n 1 n. — citée sur la
position diverse des testicules chez les vιvιpares, I m 2. — citée
sur la double circulation de la sécrétion sper-matique chez les
vιvιpares, I ιv 3• — citée par Aristote, I ιv 3/i. — citée sur
l'accouplement des serpents, I vι 6 n.
— citée sur les organes de l'accouplement des sélaciens; sur les
vιpères, I vu 1 6«.— et Descriptions anatomiques, citées sur les
matrices des animaux, I vu 8. — citée sur quatre genres d'animaux;
sur 1 accouplement des crustacés; I ΙX 2 3 n. — sur les mollus-aues,
I ιx 5 n. — citée sur I accouplement des polypes; sur
l'identification des psylles, I ιx 5 7 n. — citée pour une erreur
relativement aux taons, I ιx 7 /i. — sur les éléments similaires, I
x 1 /*. — citée pour des remarques relativement à la naissance des
en-fants, Ιx7/i. — sur la res-semblance des enfants avec les parents
; sur un exemple à l'appui de cette théorie; sur les parties
similaires, I xi 2 4 /i. — citée sur les êtres hétérogènes, I xi 18
n. — citée sur l'expression: Non similaire ou similaire, I xu 8 n. —
sur le phlegme, I xιι 12 n. — sur la graisse, I xιι 21 n. — citée
pour les époques et la durée de la fécondité chez les hommes ET CHEZ
les FEMMES, I un
9 n. — CITEE sur la FONCTION des menstrues dans CHAQUE espèce
d'animaux, 1 XIV 10.— citée sur l'abondance PROPORtionnelle des
menstrues des femmes, comparativement AUX autres espèces, I XIV LIN.
— citée sur les métamorphoses des insecles, I XV 5 m. — sur les œufs
clairs; sur LA nourriture du poussin dans LA COquille, I XV 7 8 n. —
citée sur la laite des poissons, I XV 9 /i. — citée sur un principe
qu'admettent tous les naturalistes, I XVΙΙ 8 n.
— citée sur les larves; sur les sélaciens, II ι 7 8 n. — sur l'étude
des insectes, 11 ι
10 n — citée sur les larvι-
{
>ares, II ι 19 n. — citée sur es parties similaires et ORGAniques,
II n 12 n. —citée sur le phlegme, II m 6 n — citée pour une critique
quffAristote adresse à Ctésias, II in 7 n
— citée sur une erreur attribuée à Hérodote, II NI 8 n.
— citée sur le privιlège de l'homme, II ν 3 n. — citée sur le flux
sanguin plus ou moins abondant qui se forme chez les femelles, II ν
9 irritations de l'Histoire des Animaux et des Descriptions
anatomiques sur le cœur, principe de l'animal, II vι 6. — citée sur
l'origine des veiues contre Diogène d'Apollonic, Syennésis de Chypre
et Po-lybe; sur la perte des Descriptions anatomiques, II vι6 /!. —
citée sur le système des veines d'Aristote; sur l'ana-tomic
aristotélique, H vι 7 n.
— citée sur les caractères des œufs clairs et des œufs féconds,
11 vu 3/ι• — citée sur l'identifi-
cation des rougets ; sur la gé-
nération des muges ordinai-
res, II vu 6 n. — citée, II vu S n. — citée sur les mollusques, II
vιιι 2 n. — citée sur la ramification des veines, comparée aux
irrigations des vergers, II vm 16 n. — citée sur les veines, II vm
22 n,— citée sur la grosseur desyeux des petites seiches, II vm 25
JZ. — sur la fontanelle, II vιιι 26 n. — citée sur la grosseur du
cerveau de l'homme com-parativement aux animaux ; sur la supériorité
de Γ homme, II vιιι 26/i. — citée sur les paupières, II vιιι 28 n —
précède le Traité de la Génération ; citée sur le développement des
os, II vιιι 33 n. — sur les dents, II vιιι 35 n — citée sur les
poils, II vm 39 n. — citée sur la composition du cordon ombilical.,
H ιx 1 n. — détails à vérifier dans l'Histoire des Animaux et sur
les Dessins anatomiques, relativement à la manière dont se
développent les embryons, Il ιx 4. — citée sur des figures
représentant les dissec-tions d'Aristote ; citée sur les cotylédons,
II ιx 4 n. — citée sur l'accouplement des chiens indiens, II ιx 6
/i. — citée sur les deux espèces d'épervιers ; sur l'identification
des rhino-bates ; pour des détails presque identiques sur des accou-
E
lements hybrides dans la ibye, II ιx 7 8 n. — citée sur la
reproduction des mulets de Syrie, II ιx 9 n. — citée sur le produit
du cheval et de l'âne, II x 6 n. — citée pour une observation sur
l'ac-couplement du mulet, Il x 7 «. — citée sur le nombre des petits
des mulets, II x 11 n. — citée sur le climat des Celtes, II x 12 n.
— sur la durée de la gestation de la ju-ment, II x 13 h. — et
Buffbn, cités sur les coups de fouet qu'on donne à l'ànesse après
son accouplement, II x 12 n.
— citée sur l'âne, II x 15 n.
— sur les Pygmées, II x 18 n.
— citée sur les couleurs des œufs des oiseaux ; sur les œufs
intérieurs des sélaciens, ΙΙΙ ι 2/i. — citée sur les œufs claire;
sur les pigeons, ΠΙ ι 5 6n. — citée sur la fécondité de l'aulruche
et des pi-geons, ΙΙΙ ι 7 n. — citée sui les poules Adrianiques ; sur
le caractère diflérent des animaux ; sur la cresserelle ; sur le
coucou, ΙΙΙ ι 8-10 n — citée sur la fécondité des poules et de la
lionne ; sur les œufs clairs, ΙΙΙ ι 13 14 n.
— citée sur des conceptions sans mâles chez les poissons, ΙΙΙ ι 17.
— citée sur l'identification des rougets; sur les œufs des poissons
en général, ΙΙΙ ι 17 n — citée sur la position de la matrice chez
les oiseaux ; sur une opinion vulgaire concernant les œufs clairs ;
sur la fécondation particulière des perdrιx, ΙΙΙ ι 18 19/1.— citée
pour des observations sur les œufs des poissons, ΙΙΙ ι 21 n. — citée
sur les couleurs des œufs d'oiseaux et de poissons ; sur la
définition du sang, ΙΙΙ ι 22 n.
— citée sur les rapports du blanc et du jaune de l'œuf; sur la
signification du mot Lécithe, ΙΙΙ ι 23 24 n. — citée sur le
développement successif de l'œuf et du poussin, ΙΙΙ ι 26 n. — citée
sur le cordon ombilical ; sur la manière dont l'œuf se nourrit; sur
les larves, ΙΙΙ n 3 n. — citée sur la formation de l'œuf, ΙΙΙ n 4 n.
— citée sur la nourriture des petite des vιvιpares; réfutation de
l'erreur d'Alcméon de Crotone, ΙΙΙ n 7 8 n. — citée sur le
développement du poussin ; sur la ponte des quadrupèdes ovιpares,
ΙΙΙ n 9 /s. — citée sur la formation des œufs des quadrupèdes ovι-
S
ares, ΙΙΙ n 10 n. — sur l'in-uence de la chaleur dans REclusion des
œufs, ΙΙΙ n 12 n.
— citée sur le nombre d'œufs que pondent les oiseaux de proie; sur
le nombre des petits qu'élève l'aigle, ΙΙΙ n 14 n. — citée sur les
propriétés différentes du jaune et du blanc ; et sur les rapports du
jaune et du blanc dès le début de la conception, ΙΙΙ n 15-17 n. —
sur les membranes et le cordon ombilical, ΙΙΙ π 17.— citée sur la
matrice des poissons ovιpares; sur les sélaciens et l'invention de
ce nom, ΙΙΙ in lu. — citée sur l'œuf de la grenouille de mer; citée
sur la classification de cet animal, ΙΙΙ m 2 n. — citée sur la
comparaison des œufs d'oiseaux et des œufs de poissons, ΙΙΙ in 6 il.
— citée sur l'organisation de la matrice des chiens de mer, ΙΙΙ m 7
n.
— citée sur les différences entre la génération des poissons et
celle des oiseaux, ΙΙΙ in 8 n. — citée sur l'organisation spéciale
des sélaciens; sur l'œuf des larvιpares, ΙΙΙ ιv 1 2 n. — citée sur
l'accident qui arrive à l'aiguille de mer, ΙΙΙ ιv 4 n. — citée sur
l'identification du rouget et du serrau; sur le nombre des petits
des quadrupèdes, ΙΙΙ ν 3 4 il. — citée sur l'accouplement des
mollusques et des crustacés, ΙΙΙ ν 5 /i. — citée pour l'opinion
erronée d'Hé-rodore sur la gestation des poissons, ΙΙΙ ν 10 n. —
citée sur les quatre espèces de geais qu'Aristote distingue, et
qu'il rapproche aussi des corbeaux, ΙΙΙ ν 13 iz. — citée su les œufs
clairs, ΙΙΙ vι 4 n. — citée sur les deux œufs de la seiche ; sur les
polypes et les crabes, ΙΙΙ vu 12 A. — citée sur la génération des
mollusques; pour de longs détails sur la génération des seiches, ΙΙΙ
vu 3 4 n. — citée sur les larvιpares, ΙΙΙ vιιι 1 n. — pour les
chenilles et les araignées, ΙΙΙ vιιι 3 u* — citée sur la singulière
position des seiches au moment où elles naissent, ΙΙΙ vu 4- — citée
sur la définition essentielle de la larve ; pour les longues et
profondes études d'Aristote sur les abeilles, les guêpes et les
chenilles, ΙΙΙ vιιι 4 5 n, — citée sur les insectes qui naissent
dans les lainages; et sur les transformations de la larve, ΙΙΙ vιιι
6 n. — citée pour l'étude consacrée aux abeilles; sur quelques
naturalistes, relativement à leurs théories erronées concernant les
abeilles, ΙΙΙ ιx 1 n. — citée sur les soins des animaux pour leur
progéniture, ΙΙΙ ne 4 il. — citée sur les rapports généraux du mâle
et de la femelle; sur le dard des abeilles, ΙΙΙ ιx 7 9 n. — citée
sur l'identification des noms de rougets et de serrans, ΙΙΙ ιx 10 n.
— citée sur la réduction successive des portées de la lionne, ΙΙΙ ιx
17 n. — citée sur IÇI durée de l'accouplement des mouches; sur
l'accouplement et la génération des frelons, ΙΙΙ ιx 19 n. — citée
sur les différences des frelons et des guêpes, soit entre eux, soit
par rapport aux
abeilles, ΙΙΙ ιx 20. — citée sur les abeilles, les guêpes, les
frelons et les bombyles, ΙΙΙ ιx, 20 A. — citée sur les testacés; sur
les migrations des poissons, ΙΙΙ x 1 4 A. — citée sur les buccins et
les pourpres; citée sur la cire que font ces coquillages, ΙΙΙ x 8 n.
— citée pour un renvoi au Traité de la Génération des Animaux,
relativement au développement des larvιpares ; citée sur le mot grec
de Kestres; sur les En-trailles de terre, ΙΙΙ x 17 A.
— citée pour la grande étude consacrée aux abeilles, ΙΙΙ x 21/1. —
sur le nom de Pyrrha,
ΙΙΙ x 23 n. — citée sur la gé-
nération spontanée des pin-
nes, des buccins, des pour-
pres, des peignes, ΙΙΙ x 24 A.
— citée sur les lieux où se trouvent les testacés, ΙΙΙ x 25.
— citée sur les téthyes ; sur l'étude des testacés, ΙΙΙ x 25
A.
— citée sur la distinction des mots de Commun et de Spécial,
s'appliquant à la génération, IV ι 1 A. — Aristote n'a pas parlé
d'Empédocle dans cet ouvrage, IV ι 3 A. — citée sur Démocrite
d'Abdère, dont Aristote parle à propos du fil des araignées,
IV ι 4 A. — citée pour une
comparaison entre les veines
et une esquisse de peintre, IV
ι 11 A. — citée sur les ani-
maux sans testicules. IV ι 15
A. — allusion d'Aristote à cet
ouvrage, IV ι 17 A. — citée
sur la sécrétion de l'urine, IV
ι 21 A. — citée pour des con-
sidérations sur les eunuques,
IV ι 23 A. — citée sur la res-
semblance du fœtus engen-
dré; remarque qu* Aristote
fait sur la quantité de li
queur séminale de l'homme, IV ι 26 27 A. — citée sur la production
des corps humides et féminins, IV u 1 A. — citée sur une croyance
populaire, relativement à l'influence du milieu ambiant sur les
mens-trues ; Aristote ne partage pas cette erreur, IV n 2 A. — citée
sur les causes qui déterminent la génération et le sexe, IV n 4 A. —
citée pour l'analogie des théories d'Hip-
S
ocrate et d'Aristote sur Πη-uence des airs, des eaux et des lieux,
IV n β A. — citée sur les ressemblances des enfants aux parents, IV
m 1 A.
— sur la jeunesse et la vιeil-lesse, IV m 2 A. — citée sur la durée
de la gestation chez les diverses espèces, IV ni 23 A. — citée sur
une poule qui faisait constamment des œufs doubles, IV m 26 A. —
citée pour la monstruosité chez les serpents, IV in 28 A. — citée
sur la production de monstres chez les femmes ; sur de nombreuses
monstruosités chez les chiens; et sur les portées des chiennes, IV m
29 A. — citée sur l'expression d'Arrière-porcs ; sur la cause des
monstruosités, IV m 30 A. — citée sur les variations dans la
fécondité, IV ιv 1 A.
— citée sur les déplacements monstrueux d'organes ; sur le foie et
le cœur, ne manquant jamais dans l'animal, IV ιv 2 et suiv. A. —
citée sur le nombre des petits du porc, IV ιv 5 A. — sur les
différentes dimensions des êtres animés, IV ιv 7 A. — citée sur les
doigts de pieds de l'éléphant, IV ιv 8 A. — citée pour l'action de
la présure, sur le sperme et le lait, IV ιv 9 A. — citée sur le sens
du mot de cotylédon, IV ιv 10 n
— citée sur le nombre de petits chez les animaux unipares et de
grande dimension, IV ιv 15 n. — citée pour des considérations sur
l'homme; pour les temps irréguliers de la gestation; sur la vιtalité
des enfants nés à huit mois, IV ιv 16 n. — citée sur les
déplacements d'organes, IV ιv 22 n. — citée sur la superfé-tation
dans l'espèce humaine, IV ν 1 et suiv. n. — citée sur le portrait ou
Aristote fait de la femme, IV ν 4 n. — citée sur la nature lascive
de la jument, IV ν 5 n. — citée sur la position des matrices ; sur
les testicules des oiseaux et des ovιpares ; sur l'accouplement des
oiseaux, IV ν 6 n. — citée sur le développement des embryons de
superfétation selon les espèces; sur les lièvres, IV ν 8 9 n. —
citée sur les animaux qui pondent des larves, IV vιl n. — citée sur
le nombre des petits de la truie; sur l'assimilation de la laie à la
truie, pour le temps de la gestation et le nombre des petits, IV vι
2 n. — citée pour une contradiction d'Aristote ; sur le nombre
d'œufs que fait la pie; pour une assertion sur les yeux des jeunes
hirondelles, IV vι 3 4 n.
— citée sur la statistique mé-dicale des Anciens et d'Aristote, IV
vι 9 n. — citée sur la cause d'un accouchement difficile ; sur le
rôle de la respiration au moment de l'enfantement, IV vι 10 et suiv.
n.
— citée sur l'abondance des évacuations menstruelles chez la femme,
IV vι 11 η.; — Xe livre (apocryphe) de l'édition Firmin-Didot, citée
sur la cause de la maladie de la môle,
IV VΙΙ 2 n. — citée sur la cause de la môle, qui ne se montre jamais
dans les animaux autres cjue l'homme, IV vu 3 n. — citée sur l'étude
du lait; sur la distinction entre les vιvιpares, IV vm 1 n.
— citée pour la durée de la gestation chez la femme, IV vιιι 2 n. —
citée sur le sang des divers animaux, IV vm 5.
— citée sur la théorie d'Aristote concernant le sang et les veines;
sur la castration, IV vm 5/i. — citée sur Γ organisation des
mamelles chez la femme, IV vm 6 n. —citée sur le changement de la
voιx et de la région mamellaire, au moment de la puberté chez
l'homme, IV vιιι 6 n. — citée sur la théorie du lait, IV vm 9/i. —
citée sur la cessation du lait, IV vm 10 n. — citée sur les temps
déterminés pour la naissance des animaux; sur l'époque indéterminée
de celle de l'espèce humaine; sur l'organisation du cordon
ombilical, IV vιιι 11 /!. — citée pour les théories de l'influence
des saisons sur les animaux et de l'influence des lieux, IV ιx 2 n.
— citée pour la gestation plus ou moins longue chez les animaux;
pour la contradiction où tombe Aristote sur la durée de la gestation
de la chamelle, IV ιx 3 n. — citée sur la durée de la gestation de
l'éléphant, IV ιx 4 n.
— citée sur le pelage des animaux, V ι 3 n. — citée sur le sommeil
des enfants et sur leur rire, V ι 8 9 n. — sur les enfants naissant
imparfaits, V ι 10 n. — citée sur les yeux des enfants, V ι 11 /i. —
citée sur la vue perçante de l'aigle de mer, et sur la vue très
mauvaise des cigales, V ι 24 n. — cl Préface, citées sur les chiens
de Laconie et sur l'étude que Xénophon a faite de ces chiens, Vu 4
n. — citée sur les oreilles de l'homme; citée pour les détails
analogues sur les conduits auditifs du phoque, V u 5 6 n. — citée
sur la chevelure de l'homme ; sur les poils des animaux, V m 1 n —
citée pour des observations sur la chevelure humaine ; sur le
cheval, V m 3#t. — citée sur la calvιtie chez, les hommes; sur le
rapprochement des plumes et des écailles, V ΙΙΙ4 n. — citée sur la
nature des poils, dépendant de celle de la peau, V m 6 n. — citée
sur les parties correspondantes aux poils; pour une explication sur
les poils épais; sur les poils des porcs. V m 7 8 n. — citée sur la
disposition particulière des poils chez le lièvre; pour l'influence
du climat sur les moutons, V ni 13 14 A. — citée sur les oursins de
mer, V in 15 n. — citée pour l'étude sur l'hibernation des animaux,
V ni 18 et 19 /*. — citée pour une remarque sur les plaisirs
sexuels, V in 20 /i- — citée pour des observations sur l'eunucjue ;
pour la distinction des poils, V ni 22 n. — citée
f
>our l'étude des poils chez es animaux, V in 24 n. — sur la couleur
du pelage, V ιv 1 n. — citée sur les cheveux des tempes ; sur la
fontaine ou fontanelle des enfants, V ιv 7 n. — citée sur la théorie
de l'encéphale chez l'homme; pour une observation sur le cheval, V
ιv 8 n. — citée sur les grues, V ιv 9 «. — citée sur les cheveux qui
poussent blancs tout à coup, V ιv 10 n.
— citée pour une observation sur les rapports de la peau et des
poils, V ιv 11 n. — citée sur la nature de la peau de l'homme, V ιv
12 n. — citée pour l'influence des eaux sur la couleur des animaux ;
citée sur le changement de couleur des poils, V ν 5 it. —
— citée eur la langue de l'homme; sur la langue des divers auimaux,
V ν 8 n. — citée sur les changements de couleur selon les saisons;
sur les illusions que causent parfois ces changements, V ν 9 n. —
citée pour son étude sur la voιx des animaux, V vι 1 n. — sur le
langage, qui est le privιlège exclusif de l'homme; pour une
observation sur la voιx des femelles, V vι 2 /i. — citée sur la
distinction entre le langage, le bruit et la voιx, V vι 3 n. — citée
sur la voιx des vaches et des bœufs; pour une observation sur la
voιx des taureaux, V vι 9 n. — citée sur les trois sortes d'éléments
physiologiques que l'anatomic, au temps d'Aristote, confondait sous
l'appellation commune de nerfs ; sur l'os qu'on trouve quelquefois
dans le cœur des bœufs, V vι 10 n. — citée pour l'influence de la
castration sur la voιx, V vι 11 #i. — pour l'influence du changement
des canaux spermatiques sur la voιx, V vι 12 n. — citée sur les
dents et leurs usages ; sur le langage, privιlège de Γ homme, V vu 1
JI. — citée sur le témoignage de Démocrite, fré-quemment invoqué et
discuté; sur la chute des dents ; pour une observation sur le porc
et le lion, V vu 2 n — citée sur l'élude des dents dans toute la
série animale, Vva 8 «.
— ordre assigné par l'auteur lui-même à cet ouvrage, Ρ xvιιι. —
place qu'y tient l'exposé du système d'embryologie aristotélique, Ρ
xιx. — longue lacune qui s'est produite dans la science après cet
ouvrage, Ρ cxxxi. — citée onze fois dans le Traité de la Génération
des Animaux, D
CGXLVΙΙ.
HISTOIRE NATURELLE, citée pour l'application de la méthode
d'observation, II x 11 η. — citée pour une des causes d'erreur les
plus fréquentes cju'Aristote avait signalée dans 1 Histoire des
Animaux, après l'avoir déjà signalée dansl Or-ganon, ΙΙΙ ν 6 n. —
Démocrite était le philosophe qui s'en était occupé le plus avant
Aristote, V vu 2 n.
— d'Aristote, il y emploie perpétuellement l'observa -tion, Ρ x.
— de Pline, édition Ε. Littré, dans laquelle il a répété et
accueilli bon nombre de fables malgré la réprobation formelle
d'Aristote, IV m 22 n. — citée pour des changements d'hommes en
femmes et réciproquement, oue Pline affirme sans hésiter, IVNI 23n.
— des Poissons de Cuvιer et Valenciennes, citée sur l'identification
de la grenouille de mer avec le Lo-phius piscatorius, ΙΙΙ ni 3 n.
HISTOIRE DES PLANTES et Traité des Causes des Plantes de
Théophraele, cités pour le rapprochement des théories du maître et
du disciple, sur la production de la vιgne nommée fumeuse, IV in 32
il. — opinion que Théophraste y exprime sur le kotinos, l'oli-vιer,
l'érinéos et le figuier, ΙΙΙ ν 2 n. Voir Théophraste.
HOMEOMERIES OU parties simi-laires d'Anaxagore, leur iden-tification
avec les parties si-milaires d'Aristote, I xi 14 n.
HOMERE, cité sur le nom d'A-phrodite, II ni 9 A. — con-naissances
qu'on avait de son temps des Scythes et des Thraces ; il nomme les
der-niers, V ni 12 ιι. — cité sur le sommeil, C frère de la mort •,
V ι 7 il. — cité sur la minceur de l'os du crâne du cheval, V ιv 8.
HOMME, position de ses testicu-les, I m 2. — de la matrice,
I vιι 1. — disposition de la matrice dans la femme, I vιιι 5. —
impuissants, argument contre l'erreur de quelques naturalistes sur
la part de la femme dans la génération, I xiv, 4. — la science
moderne a constaté la manière dont naît l'homme, I xiv 10 il. — et
femmes, constitution de leur corps ; abondance du sperme et des
menstrues, plus grande chez eux oue dans les autres animaux, I xiv
11. — différence indivιduelle entre le mâle et la femelle, Ιxvn 1.
— engendre l'homme; une des formules aristotéliques,
II ι 15 n.— Un 9 η; II n 12
/ι. — signes indiquant que
les hommes sont stériles ;
expériences sur le sperme,
II ιx 10 12. Voir Stérilité.
— avιs divers des naturalistes sur les prérogatives de l'homme, II ν
3 n. — sa classification dans la série animale, II ι 8 11 12. —
donne le mouvement et la vιe; la femme fournit la matière, dans
l'acte de la génération, II ν 10 11. — plaisir provoqué dans l'homme
et dans la femme par le rapprochement sexuel, II ν 16
17. — différence de la dispo-sition des organes génitaux entre les
oiseaux ; les poissons vιvιpares, les quadru-
f
ièdes vιvιpares et l'homme, I ν 19 n. — et femme, leur concours dans
l'acte de la gé-nération, II vι 11. — nature du cerveau de l'homme;
heureux équilibre qu'atteste son intelligence, II vιιι 26• — naît
sans avoir de dents ; ses ongles, II vm 39• — l'art de l'homme et la
Nature. qu'A-ristote rapproche souvent, ΙΙΙ x 11 /i. — explications
diverses sur la création des hommes et celle des quadrupèdes, ΙΙΙ x
18 19. — a le plus de liqueur séminale proportionnellement à son
corps, IV ι 27/i. — cause qui fait que les monstruosités se
produisent moins chez l'homme, IV ni 29.
— membres que les hommes ont en surnombre, et membres qui leur font
défaut, IV ιv 2. — conditions spéciales faisant qu'en général
l'homme ne produit qu'un enfant, mais peut en produire plusieurs, IV
ιv 16. — différence de la gestation entre l'homme et les autres
animaux, IV vι 10. — exemples de l'homme et de l'éléphant, cités à
l'appui de la théorie sur la durée de la gestation, IV ιx 2. — le
privιlège exclusif de l'homme est la station droite, V ι 10 n.
— diversité des couleurs de l'œil chez les hommes, V ι 12.
— qui n'ont qu'un œil bleu et l'autre œil de couleur différente, V ι
13. — supériorité et infériorité de l'homme eu égard aux perceptions
des sens ; acuité de ses perceptions, quand les objets ne sont pas
éloignés, V n 5. — calvιtie et blancheur de ses cheveux, V ni 3 4. —
épaisseur et longueur des cheveux de l'homme, V ni 8 9. — calvιtie
chez l'homme, Vm 18. — influence des plaisirs sexuels sur cette
affection : parties de la tête où elle se produit surtout; il est le
seul à être atteint de calvιtie, V ni 18-21. — seul animal qui
devιenne chauve; sa température ordi-naire; sa chaleur naturelle
comparée à celle des animaux, V m 18 19 n. — il n'y a pas de
périodicité pour la calvιtie de l'homme, comme pour la chute des
feuilles des végétaux, V m 23. — restrictions dans les ressemblances
qu'A-ristote établit entre l'homme, les animaux et les plautes, V ni
23 n, — blancheur des cheveux chez l'homme venant de vιeillesse ou
de maladie, V ιv 12. — la peau n'a chez l'homme aucune influence sur
la couleur de ses cheveux, V ιv 11 12. — timbre de la voιx de
l'homme, V vι 2. — le langage est le privιlège exclusif de l'homme ;
remarque qu'A-ristote est le premier à avoir faite, V vι 2 n. Voir
Femme.
— sa génération et son embryologie d'après Aristote, Ρ LXXXVΙΙ à
cxxv. — découverte des spermatozoïdes, dans la semence de tous les
animaux mâles, et particulièrement dans la semence humaine, Ρ
CLVΙ.
— sa position entre les deux infinis, Ρ ccxxxιι.
HOMONYMIE, exemples d'homonymie familiers à Aristote, II n 11 n.
HOPITAL (marquis de Γ), son Analyse des infiniment petits, citée sur
les Anciens, Ρ ccxxiv.
HORACE, son • Divιιι» particu-lam a urne •, mis en parallèle arec la
parcelle divιιιe d'Aris-tote, II ιv 9 n. HORNE (VAN), professeur
d'ana-tomie à l'université de Leyde, maître de Régnier de de Graaf,
Ρ CXLVΙÏ. — cité pour les ovaires qu'il avait observés ; sur les
vésicules, dont il e'était beaucoup occupé et qu'il appelait des
œufs, Ρ
CLII.
HUBER (le fils), ses observations sur l'accouplement des abeil-leset
des bourdons, ΙΙΙ ιx 6 n.
HUILE, transformation de l'huile et du plomb mêlés à l'eau et à
l'écume; effets divers de l'agitation donnée au mélange, II in 4 5.
HUITRES, observations faites sur des huîtres dePyrrha à Chios,
prouvant, selon Aristote, la génération spontanée des testacés, ΙΙΙ
x 23. — époques de l'année où elles sont les meilleures à manger,
ΙΙΙ x 24.
HUMEURS de l'œil, en forment la partie liquide; place qu'elles y
tiennent, V ι 18 «. — né-cessaires pour la vιsion, V ι 25 n.
HUMIDE, sens dans lequel se prend ce mot, II vιιι 24 n.
HYBRIDES, leur infécondité, II ι 10 n. —ressemblance du pro-duit de
leur accouplement, II ν 12. — causes de leur accou-plement, II ν 12•
— du renard et du chien, expériences qu'en avait faites Γ Antiquité,
renouvelées de notre temps, II ν 12 n. — accouplements entre les
espèces voisines ; conditions particulières qui les favorisent en
Libye, II îx 6 8. — stérilité des hybrides; toute leur race est
inféconde, II ιx 9. — les plus remar-quables sont les mulets, Il x 2
#t.
HYENE, erreur d'Hérodore d'Hé-raclée sur l'hermaphrodisme de cet
animal ; n'a qu'un seul organe du sexe; ligne remar-quable que les
hyènes ont sous la queue, et qui ressemble à l'organe de la femelle,
ΙΙΙ ν 15. — réfutation d'Aristote contre l'erreur sur
l'hermaphrodisme de l'hyène, ΙΙΙ ν 15 n. — raison qui a fait croire
aux Anciens qu'elles sont hermaphrodites ; pro-priétés médicales que
les Ma-ges prétendaient trouver dans leur corps, selon Pline, II ν
15 n.
HYPOTHESE mal fondée sur la différence entre le mâle et la femelle,
IV ι 5. — indispen-sables, relativement à la res-semblance des
enfants aux parents, IV ni 12. — opinion
3
u'en a Aristote ; sa manière e s'en servιr, Ρ xiv.
IBIS ET CORBEAUX, leur accou-plement; erreur d'Anaxagore h ce sujet,
ΙΙΙ ν 12.
IDEE du mieux et de la cause finale, 11 ι 1 2.
ILIADE d'Homère, citée sur le nom d'Aphrodite, II m 9 n — citée sur
le sommeil • frère de la mort », V ι 7 α. — vers cités sur la partie
du corps où un coup léger peut devenir mortel, V ιv 8 n.
IMMATERIALITE de l'urne affirmée clairement par Aristote, Ιιιv7*.
IMMOBILITE des larves des in-sectes, ΙΙΙ vιιι 5.
IMPUISSANCE, argument contre Terreur de quelques natura-listes sur
la part de la femme dans la génération, I xrv 4.— chez les hommes et
les fem-mes, dans les organes néces-saires au rapprochement, par
suite d'infirmités, II ιx 11.— de la femelle, puissance du mâle, h
faire la coction complète et définitive de la nourriture, IV ι 17 18
24. — sens des mots Impuissance et Puissance, IV ι 20.
INCISIVES, dents poussant plus tôt que les molaires; leur fonction,
V vu 1 5.
INCOHERENCE d'un chapitre du Traité de la Génération, II ιx 1 n.
INDE, citée pour la durée de la gestation de l'éléphant, IV ιx
INDICATION d'études sur la gé-nération des plantes, lui.
INDIVΙDUEL, ce qu'Aristote entend par ce mot, IV m 6.
INDIVΙDUS, influence de leur cha-leur naturelle sur la procréa-lion
de mâles ou de femelles,
IV n 1. — offrant une seule
et même couleur de pelage,
V v3 4«.
INFECONDITE des hybrides; con-sidérée comme un fait acci-dentel, II
ι 10 «.
INFINI, l'étude de l'infini est l'objet de la science, Ρ CXXXΙΙΙ.
INFLUENCE des phases de la lune sur les menstrues, a la fin des
mois, IV n 2. — des climats, de la nourriture et des eaux, sur la
production en général et sur celle des sexes, IV π 6. — du père et
de la mère, de la race, des ascendants de degré en degré, sur la
ressemblance des enfants, IV in 1 2 et suiv. — de la puberté sur la
voιx dans les deux sexes, IV vιιι 5. — des as-tres, superstitions
vulgaires à ce sujet, IV ιx 7 n. INSECTES, erreur d'Aristote et de
toute l'Antiquité sur leur production, I ι 5 7 n. — venant d'un
accouplement d'êtres congénères, et produisant éga-lement des êtres
semblables à eux, I ι 7. — divιsion de leurs matrices, I m 3. —
venus de l'accouplement d'êtres congénères ; génération par
corruption, I ιx 7. — leurs métamorphoses, I ν 7 n. — différence de
la femelle avec le mâle ; cause de cette orga-nisation; matrice des
femelles, I ιx 8 9. — différence entre leurs organes de génération,
I ιx 9 n. — incertitudes pour savoir s'ils ont du sperme, 1x2. — ils
fournissent la preuve eue le sperme ne vιent pas du corps tout
entier, 1 intromission venant de la femelle et non du mâle, I xi 21.
— mode de leur accouplement, I xi 21 n. — leur sang incolore, I xiv
S n. — exemples tirés des insectes ; des oiseaux et des poissons
ovιpares, à l'appui de la théorie sur leur génération, I xv 4 6. —
exemples tirés des insectes sur les rapports réciproques du mâle et
de la femelle dans l'acte de la génération; durée de leur
accouplement; leur production, I xv 4 5. — mode de leur
ac-couplement; cause de sa durée; leurs métamorphoses, I xv 4 5 n. —
leur production, I xv 5. — cas dans lequel ils se trouvent
relativement au sperme; action de la nature chez ces animaux, I xvι
5 /i. — leur long accouplement et ses causes, I xvn 4. — leur
génération observée de très près par Aristote, I xvn 4 n.—
n'émettent pas de liqueur sé-minale, II ι 6 n. — subissant des
métamorphoses ; insectes ne subissant qu'une demi-métamorphose;
insectes qui n'ont point d'ailes, II ι 7 n.
— leurs métamorphoses ; leur fécondité étonnante, II 119 n.
— leur production, II110.— leurs larves; leur classification, II ι
19 22.— croissance de ceux d'entre eux qui font des larves, II vιιι
2. — durée de leur accouplement, ΙΙΙ vu 2. — leur génération;
variétés de cette génération; ses dif-férences avec celle des
ovιpares et des vιvιpares, ΙΙΙ vιιι 1-3. — erreur sur leur
génération spontanée, ΙΙΙ vιιι 1 n.
— caractère essentiel de leurs ailes; leurs ordres divers, ΙΙΙ vιιι
6 n. —- tellement petits
t qu'ils échappaient aux moyens très insuffisante d'observation
qu'avaient les Anciens, ΙΙΙ vιιι 6 n. — leur génération copulative
ou spontanée, ΙΙΙ vιιι 8. — leurs variétés semblent dépasser de
beaucoup celles des animaux aquati-
3
ues, ΙΙΙ x 3 n. — manière ont se produisent quelques insectes et les
testacés, ΙΙΙ x 20.
— leur génération et leur embryologie d'après Aristote, Ρ XXXVΙΙΙ a
XLII. INSTRUMENTS employés par les mains qui les meuvent,' sous la
direction de l'intelligence,
1 xvι 4.
INTELLIGENCE , degrés divers dans l'intelligence et dans la
sensibilité des êtres, I xvn 7. — à quel moment se montre-t-elle
dans les êtres qui participent de cette sorte d'âme, II ιv 3. — son
origine ; question des plus difficiles; problème oui appartient
surtout à la philosophie, II ιv 3 n.
INTERMEDIAIRE de l'être au non-être et du non-être à l'être, V ι 7.
INTERPOLATION supposée d'un paragraphe, I ι 10 n. — d'un passage, I
u 3 n. — d'un pa-ragraphe dont le sujet ne se rapporte pas à celui
qui est traité dans le chapitre où il se trouve, II ιv 12.
INTESTINS, leur longueur dans les animaux qui se nourrissent de
substances végétales et dans les carnassiers, I iv
2 n. — de terre ou entrailles de terre, nature de ces animaux, ΙΙΙ x
17.
J
JAMBB8, cause de leur faiblesse, ΙΙΙ ι 9 n.
JAUNE, séparation du jaune et du blanc dans l'œuf selon les espèces;
expérience par laquelle on peut la constater, ΙΙΙ ι 23 27. —
production du jaune et du blanc dans l'œuf, ΙΙΙ n 1. — le jaune et
non le blanc est la nourriture du poussin, ΙΙΙ n 8. — et blanc dans
l9œuf; leur nature contraire ; leur différence, ΙΙΙ π 14-16- —
différence du'jauneet du blanc dans l'œuf, ΙΙΙ n 1516. JEUNESSE,
oppositions qu'offrent la jeunesse et la vιeillesse, pour la
fécondité ou l'infécondité, et pour la production des garçons ou des
filles, IV u 5.
— indivιdus jeunes; nature de leur voιx, V vι 8. JUMEAUX, femelle et
mâle ; leur formation, IV ι 7. — cause qui les produit, IV ιv 18. —
rareté de la génération gémellaire dans l'espèce humaine, IV ν 4 //.
— mâle et femelle; courte durée de leur vιe, IV vι 9* — rapport
entre la génération gémellaire et les membres en surnombre, IV rv 18
n.
JUMENTS, organisation comparée des juments et des ânesses, II x 11.
— cas de la jument par rapport à la superféta-tion ; explication de
sa nature lascive, IV ν 5. — théories sur sa matrice; observations
anatomiques qu'elles supposent, IV ν 5 n. — cause des ardeurs de la
jument, IV ν 5 n. — leur travail pendant la gestation, IV vι 10 n.
KITTA des Grecs, supposée être notre pie, IV vι 4 n.
ΚΟΤΙΝΟΘ, identification de ce mot; opinion de Théophraste sur cette
plante ; c'est le sau-vageon de l'olivιer, ΙΙΙ ν 2 n.
KRAUSE (M.), cité pour les don-nées que M. Béclard lui em-
F
runte sur la constitution de organe de la vue, V ι 21 n. KUSSMAUL
(1859), son ouvrage sur la superfétation, cité par MM. Aubert et
Wimmer, IV vιιι.
LACONIE, conformation des na-rines des chiens de Laconie, V π 4.
LAIE, fait des petits complets et en grand nombre, IV vι 2.
LAIT, sperme et lait, dans les animaux qui ont du sang; l'un et
l'autre étant des parties si-milaires, I x 1. — le petit lait; sa
définition, I xiv 15 n. — fonction naturelle du lait et des
menstrues, II vι 1. — ses rapports avec les menstrues et sa
différence, II vι 1 n. — action de la présure sur le lait, II vι 1.
— pour les oiseaux, le lait est contenu dans les œufs, ΙΙΙ π 8. —son
usage; époque de sa formation propre à nourrir, IV vm 1. — du
premier lait de la femme oucolostrum; analysé par la chimie de nos
jours, IV vιιι 3 n. — son rapport avec les menstrues, IV vιιι 3 /i.
— éléments dont il se compose ; il se rapporte à la sécrétion du
sperme et des menstrues ; il vιent du sang, IV vιιι 3-9. — sa
nature; sa définition, IV vιιι 9. — la nature du lait est la même
que l'excrétion d'où il vιent, IV vιιι 9. — critique d'Aristote
contre Empédocle, qui compare le lait à du pus, IV vιιι 9/i.
LAITE, sens propre de ce mot, I xv 9 /i. — organisation de la laite
des mâles dans les sé-laciens, et dans les poissons ovιpares, ΙΙΙ ν
3.— des pois* son β mâles, ΙΙΙ ν 7-9. — action des poissons mâles
répandant leur laite sur les œufs pondus par la femelle, ΙΙΙ ν
LANGAGE, est le privιlège exclusif de l'homme; remarque qu'Aristote
est le premier à avoir faite, V vι 2 n. — pri-vιlège exclusif à
l'homme, V vu in. — importance qu'y attachait le dιx-huitième siècle
et la philosophie de l'Antiquité, r xvn.
LANGUE des auimaux ; ses va-riétés de couleurs, Y ν 8.
LANTERNES, incertitude sur la matière dont les Anciens se servaient
pour les rendre transparentes, V ι 21 n. — trouvées dans les
fouilles d'Herculanum et de Pompéï, V i21 //.
LAPLACE, sa Mécanique céleste, écho agrandi du Cœli enarrant de
Davιd, Ρ cxcv.
LARVE, différence entre la larve et l'œuf, II ι 7 et n —
méta-morphoses des larves, II 119 /<. — production des animaux qui
font des larves, ΙΙΙ ιv 3.
— des insectes; leurs méta-morphoses successives, au nombre de
trois, ΙΙΙ vιιι 3-6.
— leur vιe et leur développement, ΙΙΙ vιιι 7 8. — des Reines des
abeilles ; la faculté dont les Reines des abeilles sont douées
dépend surtout de la nourriture qu'elles reçoivent à l'état de
larves, ΙΙΙ ιx 1 n. — animaux qui naissent de larves, ΙΙΙ x 17. —
origine de la larve; sa nature singulière, ΙΙΙ x 18 n. — analogies
entre leur développement et le développement des testacés, ΙΙΙ x 20
21. — observations d'Aristote sur leurs transformations, ΙΙΙ x 20 n.
LARVΙPARES, explication de ce mot, II ι 19 n. — Aristote fait une
classe à part des animaux larvιpares; leur nourriture, ΙΙΙ ιv 2 n. —
leur production, ΙΙΙ vι 3.
LARYNX ET TRACREE-ARTERE, ob-servations d'Aristote sur leur
constitution, V vι 14 n.
LASCIVΙTE et production des petits oiseaux, ΙΙΙ ι 8. — la lascivιté
est cause de la faiblesse des jambes, ΙΙΙ ι 9 n. — de la jument, IV
ν 5.
LATREILLE-CUVΙER admirant comme Aristote l'instinct des abeilles,
ΙΙΙ vιιι 7 n. — cités sur les abeilles, ΙΙΙ ιx 1 n; ΙΙΙ ιx 6 n.
LAURENT, cité sur les ovaires qu'il avait observés, sans en bien
comprendre le rôle, Ρ cxxvι.
LAVOISIER, ses expériences sur la production de la chaleur animale,
IV ι 19 n.
LECITHE, nature de la iécithe chez les oiseaux de marais ;
incertitude sur le sens de ce mot, ΙΙΙ ι 24 et n. — nouveauté de
cette expression du temps d'Aristote ; signification de ce mot, ΙΙΙ
ι 24 n.
LEEWBNHOECK, ses aberrations sur la génération spontanée, Ρ cxxi. —
(1632-1723), natu-raliste et anatomiste; auteur de la découverte des
sperma-tozoïdes ; microscopes qu'il avait su se fabriquer; ses idées
sur les animalcules ; ses lettres à l'Académie royale de Londres ;
ses erreurs, Ρ cxxxi.
LEGENDES fabuleuses d'Hérodote ; son opiuion erronée sur la
gestation des poissons, UI ν 10.
LE MAOUT ET DECAISNE (MM.), leur Traité général de Bota-nique, cité
sur la reproduction des plantes; sur le gui et ses nombreuses
espèces, I ι lO/i. — cité sur le genre du saule et du peuplier, I
xιι 21 il. — cité sur 1 ignorance où étaient les Anciens du sexe des
végétaux, II vu 1 n. — cité sur le bled, ΙΙΙ ι 12 n. — cité sur le
principe de la plante, ΙΙΙ n 2 n.
LEOPARD, couleurs diverses de son pelage, V ν 2.
LEOPHANE, son opinion sur la manière de faire à volonté un enfant
mâle ou une fille, IV ι 15. — naturaliste nommé cette seule fois;
parfaitement inconnu sans la citation d'Aristote, IV ι 15 n.
LEPRE blanche, maladie causant la blancheur des cheveux dans
l'homme, V ιv 1. — sa nature, V ιv 3.
LETTRES de l'alphabet, leur rôle comparé à celui des parties
similaires dans le corps, I xi 6/i.
LEWES (M.), sa sévérité pour l'Histoire des Animaux et pour le
Traité des Parties ; ses éloges et son appréciation enthousiaste du
Traité de la Génération des Animaux, Ρ n.
LEZARDS, position de leurs tes-ticules, I in 1. — leur
classi-fication ; production de leurs œufs, II ι 9 11. — leur
manière de pondre, ΙΙΙ n 9 n.
LIBERTINS, ils devιennent chauves avant l'âge, V ni 20.
LIBYE, conditions particulières qui y favorisent les accouple-ments
hybrides, II ιx 8.
LIEU des matrices, façon dont il est disposé dans les femelles, II ν
5. — du corps, déterminés par la Nature pour les excrétions, mais
non pour la concrétion. I xιι 15. — qui servent tout à la fois aux
excrétions et aux actes de la génération, IV ι 21.
LIEVRES, présentent toujours des superfétations; nombre de leurs
petits; singularités de leurs poils, IV ν 9 10. — singularités de
l'organisation du lièvre, IV ν 10 /?. — singularités du poil du
lièvre, IV ν 10. — nature de ses poils, V m 13.
LIMAÇON, est le seul testacé ter-restre, ΙΙΙ x2. —seul testacé dont
on ait observé l'accou-plement; questions à se poser, si Ton voulait
faire une étude régulière de cet accouplement, ΙΙΙ x 14.
LIMITATION naturelle de la repro-duction d'êtres congénères et de
ceux qui naissent sponta-nément, I ι 8.
LIMITES des monstruosités, IV m 24.
LINNE a eu tort de confondre les crustacés avec les arachnides et
les insectes, I ιx 3 n. — son erreur sur les cétacés, qui ne sont
pas des poissons proprement dits, ΙΙΙ ν 1 n. — sa classification des
insectes, ΙΙΙ vm 6 n.
LION, cécité de ses petits au moment de la naissance, II vm 4. — son
épuisement; cause de la stérilité qui se produit chez cet animal,
ΙΙΙ ι 13. — génération des lions comparée à celle des rois des
abeilles, ΙΙΙ ιx 17. — rapprochement étrange entre la génération des
reines des abeilles et celle des lions, ΙΙΙ ιx 17/i. — formation des
petits du lion au moment de la naissance, IV vι 6. — couleur du
pelage des lions dans l'espèce entière, V ν 1.
LIQUEUR séminale, sa nature, son origine et son action, I x 11 à 12
η; IV ι 26 n. - sa définition; son objet, I xm 3 it. — son action
générale, I xm 5 A. — comparaison conforme aux théories d'Aristote
sur le rôle de la liqueur séminale, I xvι 4/i. — analyse chimique de
ses éléments, II m 1 /i. — assimilée à de l'eau, II in 3 /i. — son
mélange avec le fluide menstruel, II ν 14. — dans l'homme, quantité
d'eau qui y est contenue,
II ν 14 n. — erreur de ceux
qui supposent une émission
chez les femmes; résultat
qu'elle aurait, si cette émis-
sion était extérieure, II ν 20.
— incertitude sur sa rencon-
tre avec l'ovule, II ν 20 n. —
théorie hypothétique sur ses
effets, II vιιι 18 n. — impor-
tance de sa qualité; sa quan-
tité, IV m 17 n
LIQUIDE, les êtres qui sont dans le liquide présentent bien plus de
formes différentes que ceux qui vιvent sur terre, ΙΙΙ x 3. — plus ou
moins abondant dans les yeux bleus et les yeux noirs, V ι 17..
LITTRE (M. E.). son Hippocrate, cité sur le phlegme, I xu 12 n. —
sur une observation re-lativement au phlegme, I xιι 16/i. — son
Hippocrate, cité sur la liqueur génératrice. I xιι 22 n — son édit.
et trad. de Pline, Histoire naturelle, cité pour la réfutation
d'Aristote contre Terreur sur l'hermaphrodisme de l'hyène; son
dictionnaire cité pour un conte populaire sur l'hyène.
ΙΙΙ ν 15 n. — cité pour son
expression heureuse : • le
moment créateur T, ΙΙΙ x 19
n. — son édition de l'Histoire
naturelle de Pline, citée sur la
répétition d'un bon nombre
de fables, répétées par Pline
malgré la réprobation d'Aris-
tote, IV m 22/i. — son édi
tion de l'Histoire naturelle de Pline, citée, IV m 23 n. — son
édition du traité hippo-cratique • Des Chaire», citée sur la
vιtalité des enfants nés à huit mois, IV ιv 16 n. — son édit.
d'Hippo-crate, cité sur des cas de difformité chez les femmes, IV ιv
23 /i. — son édition d'Hip-pocrate ; son opinion sur l'authenticité
de deux ouvrages consacrés à un traité des maladies des femmes, IV
vι 12 n. — son édit du traité hip-pocratique des Maladies des
Femmes, cité sur le cas dangereux de la môle, IV vu in. — son édit.
du Traité de l'Ancienne médecine d'Hippocrate, cité sur la théorie
de la coction, IV vιιι 8 «. — son édit. et trad. d'Hippocrate,
citées sur le glaucome et la nycta-lopie, ι V 19/i. — son
dictionnaire cité sur le mot de Grisonnement, V ιv 3 n — son édition
et sa traduction d'Hippocrate citées sur la théorie de la
génération, Ρ cvιι. — son édition et traduction des Aphorismes
d'Hip-
f
>ocrate, citée par rapport à a théorie de la génération, Ρ CVΙΙΙ.
LIVRE cinquième du Traité de la Génération des Animaux, les matières
qui le composent ne se rapportant en rien à la gé-nération; ouvrage
auquel il appartient, V ι 1 n. D CCLΙX.
LOGIQUE, Aristote ne repousse point son secours ; motif grave qui
doit en général la rendre, si ce n'est suspecte, au moins d'un usage
rare et difficile, II x 8 n — son application, II x 15 n.
LONGET (1811-1871), ses travaux physiologiques, Ρ CLXIV et SUIV. —
il se prononce pour
l'épigénèse, P. CLXX. LONGUEUR et acuité de la vue, V ι 24.
LOUP, cécité de ses petits au moment de leur naissance, II vm 4. —
sa fécondité en raison inverse de sa grosseur, IV ιv 5. — naissance
de ses petits, IV vι 2.
LUMIERE, sa composition incon-nue d'Aristote, V ι 21 n.
LUNE, action de la lune, qui sem-ble représenter un quatrième
milieu, ΙΙΙ x 7. — influence des phases de la lune sur les menstrues
à la fin du mois. IV n 2. — n'a que peu d'influence sur la
température de l'air, IV n 2 n. — principe de ses phases, IV vιιι 7
8. — relations de la lune et du soleil, connaissance qu'en avait
l'Antiquité; action de la lune; influence qu'Aristote semble lui
attribuer, IV ιx 5 6 n. — influences de la lune et du soleil, comme
foyers de chaleur, sur les durées de la gestation, sur les
naissances et sur les morts, IV ιx 6.
LUNETTES, leur premier élément, V ι 24 n.
LYNX, cécité de ses petits au moment de leur naissance, II vιιι 4.
—naissance de ses petits, IV vι 2.
M
MAINS, leur fonction; instruments qu'elles meuvent sous la direction
de l'intelligence, I xvι 4. — de l'homme, Aristote réfute Anaxagore
à ce sujet, V ι 4 n.
MAL du satyre, changements singuliers que cause cette ma-ladie dans
la figure de certaines gens, IV m 15.
MALADIE, influence de la maladie et de la santé sur les fonctions
spermatiques, I xιι 18 «. — qu'on appelle le mal du satyre,
changements singuliers qu'elle produit dans la figure de certaines
gens, IV m 15. — qu'on appelle la môle, IV vu 2. — yeux, glaucome,
nyctalopie, V ι 19. — causant la blancheur des cheveux dans l'homme,
V ιv 1.— définition de la maladie, V ιv 7. — rapprochement entre la
vιeillesse accidentelle et la maladie naturelle, V ιv 7 n. —
influence de la maladie sur l'organe delà voιx, V vι 15n.
T. N.
MALE et femelle, leur définition ; leur différence, I n 2 4*5. —
rôle du mâle dans la génération, I n 2 n. — sa définition, I π 3 —
le mâle se rapproche de la femelle par le plus léger changement, I π
8.
— sa fonction propre dans l'acte de la génération, 1x2 n. —et
femelle, différence des organes du sexe et de leur fonction dans le
mâle et dans la femelle, I xi 8 n. — et femelle, détermination de
leur part respective dans l'acte de la génération ; le mâle est le
prin-cipe moteur et Pagent; la femelle donne la matière et elle est
passive, I xiv 15 18. — son rôle dans la génération, I
xiv 15 n ; I xv 3 n. — sa part
dans l'acte de la génération, I
xv 1. — sa seule fonction dans
l'acte de la génération, I xv
In. — rapports réciproques
du mâle et de la femelle dans
l'acte de la génération, I xv 4.
— son rôle dans l'acte de la
32 génération, I xv 10 n. — son rôle particulier dans l'acte de la
génération ; il n'apporte comme l'ouvrier que la for-me et l'idée, I
xvι 3. — assertion peu eiacte d'Aristote sur l'émission du sperme, I
xvι 3 n. — intervention évιdente de la Nature dans les espèces où
les mâles ne sont pas as-sez forts pour émettre du sperme, I xvι 5.
— et femelle dans l'œuvre de la génération ; leurs fonctions
respectives,
II ι 5 7. — son action dans
l'acte de la génération, d'a-
f
»rès les théories d'Aristote, I ιv 1 n. — et femelle, leur action
dans la génération; leur définition, II ν 11• — action du mâle
constituant l'em-bryon, en transmettant à la matière qui est dans la
femelle le mouvement et la vιe, II vu 18/1. — créateur de l'âme
sensitive dans les espèces où la femelle et le mâle sont séparés; sa
fonction propre, II vu 2. — sa coopération né-cessaire dans l'acte
de la gé-nération, II vu 7. — nécessité de son intervention partout
où il y a des œufs, chez les
f
roissons et chez les oiseaux, II ι 16. — des oiseaux, principe que
lui seul peut donner,
ΙΙΙ vι 5. — c'est du mâle que vιent le principe essentiel de la vιe,
ΙΙ Ι vι 6 n.— et femelle, leur génération, IV 11. — rôle attribué au
mâle dans les systèmes que combat Aristote,
IV ι 13 n. —et femelle, cause qui produit le mâle et la femelle,
IV116. — et femelle ; distinction des deux; leurs différences de
température ; puissance de l'un, impuissance de l'autre A faire la
coction complète et définitive de la nourriture, IV ι 17 18. — et
femelle, organes différents du mâle et de la femelle chargés de la
coction ; modifications importantes dans ces organes; exemple des
eunuques, IV 20-23.— et femelle, cause qui les produit l'un et
l'autre, IV ι 22. — et femelle, définition du mâle et de la femelle,
IV ι 24. — et femelle, principe et cause de tous deux, IV ι 25. —
leur fonction dans la copulation, IV ι 26. — caractère particulier
du sperme du mâle, IV ι 26. — fonction essentielle du mâle dans la
copulation ; fonction de la femelle, IV ι 26. — et femelle, cause de
la différence de la femelle au mâle, IV ι 27. — génération des mâles
ou des femelles selon l'âge des parents, IV n 1. — et femelle, cause
qui produit les femelles et les mâles, IV n 2. — et femelle,
différences qu'ils présentent selon qu'ils pro-duisent des mâles ou
des femelles, IV n 4. — et femelle, différence de chaleur entre le
mâle et la femelle, IV vι 6 et suiv. n. — fœtus mâle, comparaison de
son dévelop-pement et de celui du fœtus femelle, IV vι 7 8. —
différence entre le timbre de leur voιx et celui des femelles V vι
2.— son rôle exclusif dans la génération d'après Aristote, Ρ xcvn A
cm. MALPIGHI (1628-1694), médecin et naturaliste, professeur aux
universités de Bologne, de Pise, de Messine et de Rome; progrès
qu'il fait faire à la théorie de la génération; ses dissertations De
Ovo incubato et de formatione pulli in ovo; découverte A laquelle il
a contribué, Ρ cxxιx. MAMELLES , région mamellaire
chez les mâles et chez les femelles, IV vιιι 6 8. — changement dans
les mamelles chez les mâles et chez les femelles à l'époque de la
puberté, IV vιιι 6 8. — commu-nications entre les mamelles et tout
l'appareil génital, IV vιιι 7 n.
MAMMIFERES, disposition de leurs organes génitaux, I xiv 8 il.
— différence de leur température à celle des oiseaux, ΙΙΙ n 14 #i.
MANIERES diverses dont les hom-mes et les quadrupèdes ont pu sortir
de la terre, ΙΙΙ x 18.
— dont se produisent quelques insectes et les testacés, ΙΙΙ x 20.
MANUSCRITS, cités sur le désordre de la fin du IIe livre du Traité
de la Génération, II vιιι 39 n.
MARINUS, médecin, connu uni-quement par les citations qu'en fait
Galien, Ρ cxiv.
MARTIN SAINT-ANGE (M. le doc-teur), sa collaboration avec Grimaud de
Caux, Ρ CLXX. — son Iconographie pathologique de l'œuf humain, ibid.
MASSE (M.-J.-N.), son Traité pratique d'Anatomie descriptive et son
Atlas, cités sur l'anatomie aristotélique; sur le cordon ombilical,
II vι 7 n. — cité sur les veines du cordon ombilical, II ιxl #i.—
sur les cotylédons, II ιx 2 n.
— cité sur le cordon ombilical, II ιx 4 n.
MATERNITE, l'instinct qui éclate dans tous les êtres vιvants, est
indispensable à la perpétuité des espèces, ΙΙΙ n 11 /i.
MATIERE, comparaison de la ma-tière dont se sert l'ouvrier avec la
femelle, I xvι 2. — dans la production des animaux ; sa définition,
Uni. — théorie de l'influence de la matière ; sur l'esprit, ΙΙΙ ι 8
n. — in-détermination de la matière ; interprétation de la pensée
d'Aristote au sujet de cette expression, IV ιx 8 n.
— récapitulation des matières traitées par Aristote avant la
question de la génération, I ι 1. MATRICES et testicules, dans les
animaux qui ont du sang ; parties semblables ou analogues dans les
animaux exsangues, I π 7. — leur divιsion en deux parties; leur
position dans tous les vιvιpares; chez les oiseaux; les poissons;
les crustacés; les mollusques; les insectes, I ni 3. — des animaux;
difficultés de cette étude ; diffé-rences qu'elles présentent;
variétés de leur position, I vu 1. — relation de la forme de la
matrice à la position, des œufs, I vu 3. — des vιvιpares, I vu 5. —
leur position et cause de cette position dans les vιvιpares
ordinaires, I vu 8. — sens dans lequel Aristote et la science
moderne
F
rennent le mot de matrice, vu 10 n. — sens dans lequel Aristote
comprend ce mot, I vιιι 4 il. — cause de la position des matrices à
l'intérieur du corps, I vm 1. — leur disposition différente en bas
ou en haut, dans les vιvιpares et les ovιpares, et dans les animaux
en partie vιvιpares et en partie ovιpares, I vιιι 4. — conditions
générales de leur position, I vιιι 9. — des insectes, I ιx 9. —
disposi-tion de la matrice chez les femmes, II ν 5. — sa position
inférieure dans les animaux est faite pour faciliter son action, II
ν 11. — son action particulière, retenant le sperme déposé par le
mâle, II ν 18. — diversité des matrices chez les vιvιpares et chez
les ovιpares, ΙΙΙ ι 4. — position de la matrice dans les embryons
des ovιpares et des vιvιpares, ΙΙΙ n 20. — dispo-sition de la
matrice des poissons ovιpares, ΙΙΙ ni 1 n. — nature de la matrice
chez les femelles, IV ι 27. — changements qu'elle subit après la
copulation, IV ν 3 n. — de la jument; observations anato-miques que
ces théories sup-posent, IV ν 5 /ι. — disposition des matrices chez
les oiseaux femelles, IV ν 6. MECANISME, description du mécanisme
des automates, II n 9 et n.
MEDECINS, leurs tentatives inutiles pour rouvrir l'occlusion de
certains canaux indispensables, IV ιv 23.
MEDICIS, faveur qu'ils ont tou-
i
'ours assurée à la médecine, * CXXI1I.
MEDITERRANEE, sa couleur; sa
profondeur, V ι 16 n. MELANGE de la ligueur sperma-
tique et du fluide menstruel,
II ν 14.
MEMBRANES et chorious qui se forment autour de l'embryon, II vι 2. —
position des membranes et du chorion dans les vιvιpares; leurs
fonctions, II ιx3 5.
MEMBRES, sens dans lequel il faut entendre ce mot, IV ι 9 n — en
surnombre et membres qui font parfois défaut, chez l'homme et chez
les animaux, IV ιv 1-4. — en surnombre; cause qui les produit, IV ιv
18.
MENSTRUATION, ses époques pé-riodiques chez les femmes, II ν 6.
MENSTRUES, leur définition, I xm 8/i. — daus les femelles vιvιpares,
analogues au sperme dans les mâles ; similitude de phénomènes dans
l'homme et dans la femme, I xm 9. — rapports de l'écoulement des
menstrues à la conception ; exceptions remarquables qui s'y
présentent, I xm 15-17. — leur action spéciale ; leur répartition
dans les différentes classes d'animaux, I xiv 6 8. — assimilées au
sperme, I xm 9 12 /ι ; I xiv 5 6 w. — erreur sur la théorie des
menstrues, I xiv6/i. — abondance des menstrues et du sperme dans
l'espèce humai-ne, plus grande que dans aucune autre espèce, I xiv
11. — rapports nombreux des menstrues et du sperme,
I xiv 12. — objet du flux menstruel, quand il s'arrête après la
conception, I xvι 1 n. — croyance vulgaire au sujet des menstrues,
que le naturaliste n'aurait pas du reproduire, II ν 6/i. —rapport
entre les menstrues et la fin des mois, II ν 6 n. — abon-dance
excessive des menstrues chez les femmes; maladies qu'elle cause, II
ν 7. — cis indivιduels relativement aux menstrues, et qui
provιennent toujours dfun mauvais régime, II ν 7 /i. — leur quantité
moyenne; leurs variations, II ν 7 #i. — fonction naturelle des
menstrues et du lait, II vι 1. — rapports et différence des
menstrues avec le lait, II vι 1 n. — rapport de la nature des
menstrues avec la semence génératrice,
II vι 1. — continuation des
menstrues durant la gros-
sesse, IV ν 9. — leur rapport avec le lait, IV vιιι 3 n. — relation
entre les menstrues et le sperme, IV vm 5 n.
MER, eau de mer, ΙΙΙ x 4 5. — formation de récaille des tes-tacés
dans l'eau de mer, ΙΙΙ x 12. — exploration des grands fonds de la
mer, à laquelle les Anciens avaient songé; leurs moyens moins
puissants que les nôtres, V ni 15 n. — diverses profondeurs
constatées par les Anciens et de nos jours, V ι 16 n.
MERE, rapports de la mère avec le fœtus, II ιx 2 n. — influence de
la mère et du père sur la ressemblance des enfants, IV πι 1 et suiv.
Voir Femme.
METAMORPHOSES des insectes, I ιx 7 n. — des insectes, I xv 5 n. —
successives des larves des insectes, au nombre de trois, ΙΙΙ vιιι
3-6. — des insectes; trois états distingués par la science moderne
après Aristote, ΙΙΙ vιιι 6 n.
METAPHORE cju'employent les poètes comiques, en se moquant des
cheveux blancs, V ιv 5.
METAPHYSIQUE d'Aristote citée sur les quatre causes, I ι 2 n. —
citée d'une manière générale, Ii 3/i. — citée sur les homœoméries
d'Anaxagore,
I xi 14 n. — citée pour les définirions du sperme; citée sur
Épicharme, I xιι 2 n — citée pour une comparaison qu'Aristote
affectionne, I xvι 2n — citée sur la cause finale et sur l'idée du
mieux,
II ι 1 n. — citée sur l'origine
des animaux, II n In. —
citée sur le mécanisme des
automates, II n 9 /i. — citée
pour des théories sur l'enten-
dement, II ιv 7 /!• — citée sur
les sens divers du mot Anté
rieur, II vιιι 6/i. — citée sur le sens des mots de Puissance et
d'Impuissance, IV ι 20 n.
— citée sur l'origine de l'être, IV ι 22 /ι. — citée sur les noms de
Coriscus et de So-crate, desquels Aristote a l'habitude de se servιr
comme exemples, IV ni 4 n. — citée pour le nom de Callias, ac-couplé
au nom de Socrate, au lieu de Coriscus, IV ni 6 n.
— citée sur le traité de l'Action et de la Passion, ouvrage
d'Aristote perdu pour nous, IV in 14/i. — citée pour les critiques
d'Aristote contre ses prédécesseurs ; sur leurs théories de la
matière et du mouvement, V ι 5 n. — citée sur la définition du mot
Principe, V vι 13 *.
— sa nécessité pour diriger la science, Ρ cxcvn.
METEOROLOGIE d'Aristote citée sur la différence des actions du froid
et du chaud, II vιιι 15/i. — citée sur l'eau de mer, ΙΙΙ x 5 /ι. —
citée sur Ja distinction de l'évapora-tion et de l'exhalaison, V ni
10 n. — citée sur l'action de la chaleur et du froid, V m 16 /i. —
citée sur la cause de la putréfaction, V ιv 3 n.
METHODE habituelle d'Aristote, I ι 8 n.— d'observation, à laquelle
Aristote est toujours fidèle, I xv 3 n. — importance qu'Aristote y
attache, II vu 9 il. — par laquelle il faut rechercher comment telle
partie de l'animal vιent après telle autre, II vιιι 10. — que les
Modernes ont extrêmement développée, mais qu'ils n'ont pas inventée,
II ιx 12 n. — d'observation, suivιe toujours par Aristote, II x 3 n.
— logique et rationnelle, qu'Aristote emploie avec la plus grande
circonspection, II x 8 n.^— d'observation, son ap-plication dans les
sciences en général et spécialement en histoire naturelle, II x 11
n.
— son application, ΙΙΙ n 5 n
— recommandation de la méthode d'observation, ΙΙΙ ν 4 5 n. —
recommandée et pratiquée par Aristote, ΙΙΙ vιιι 1 n.
— de recherches et d'exposition, pratiquée par Aristote, Ρ VΙΙ-XI. —
d'Aristote en histoire naturelle, et pour le grand fait de la
génération Ρ xiv. — d'observation, a créé l'embryologie, Ρ cv.
MICROSCOPE, servιces qu'il rend à la science, I ι 5 n. — avantages
qu'il a procurés à la science, I ιx 7 /i. — inconnu du temps
d'Aristote et des Anciens, ΙΙΙ n 3 n. — ses révélations
admirables,IVι2/i.
MIEUX, l'idée du mieux et de la cause finale, II ι 1 2.
MILIEU, trois espèces de milieux ; quatrième genre d'êtres; la lune
semble représenter le quatrième milieu, ΙΙΙ x 5-7. — ambiant,
in-fluence qu'il exerce sur l'or-gauisation entière des animaux, IV
π 2 n.
MILNE-EDWARDS (Henri), mem-bre de l'Académie des sciences, se
prononce contre M. F. Pouchet sur le système de Thétérogénie,
Pcxxi.— (1800-1885), son grand ouvrage de physiologie comparée et
d'a-natomie^comparée, Ρ CLXXI et suiv. — adversaire de la
gé-nération spontanée, Ρ CLXXΙΙΙ.
— analyse de son ouvrage, Ρ cev et suiv.
MOBILE, nature^du mobile et du moteur, par rapport à la gravιté et à
l'acuité de la voιx, V vι 3-8.
MOBILITE des espèces, théories qui nient la fιxité des espèces, et
qui y substituent une perpétuelle mobilité, II 13 n. MODERNES, la
biologie, au sens où les Modernes l'entendent, a déjà été commencée
par Aristote, II n 15 n. — leur opinion est la même que celle
d'Aristote sur le principe des parties similaires, II vι 5 n.
— méthodes qu'ils ont ex-trêmement développées, mais qu'ils n'ont
pas inventées, II ιx 12 il. — comparés aux Anciens, sur les sexes
dans l'espèce des anguilles, ΙΙΙ ν 8 n.
— les Modernes ont constaté l'accouplement des bourdons, ΙΙΙ ιx 8 n.
— question aussi obscure pour eux que pour les Anciens, concernant
les ressemblances des enfants aux parents, IV m 2 il. — leur erreur
et leur préjugé sur les Anciens; ils manquent à la méthode
d'observation tant prônée par eux, Ρ vιιι.— un certain nombre de
physiologistes modernes comprennent la nature moins bien
qu'Aristote, Ρ CLXXXVΙΙΙ.
MODES différents de parturition chez les animaux, II ν 1 2.— des
deux modes de génération, la raison admettrait l'un plutôt que
l'autre, ΙΙΙ x 19.
MODIFICATIONS importantes dans les organes sexuels ; exemple des
eunuques, IV ι 23.
MOINEAU, sesfpetits naissent in-complets et aveugles, IV vι 4.
— est rarement de couleur blanche, V ν 4.
Mois lunaires, rapport entre les mois et les menstrues des femmes,
II ν 6 il.
MOISISSURE, sa] définition ; ' na-ture de cette putréfaction, V ιv 3
4. — rapport et distinction entre la'moisissure et le givre, V ιv 4
5 il.
MOLAIRES poussant après les in-cisives, V vu 1. — époque où elles
poussent ; les plus re-tardées ne poussent parfois que dans
l'extrême vιeillesse, V vu 7.
MOLE, accident auquel les femmes seules sont sujettes; cas
particulier d'une môle qui dure quatre ans ; affection qui vιeillit
avec la personne ; son extrême dureté ; cause de cette maladie ; sa
nature spéciale, IV vu 1-3. — étymologie de ce mot; sorte
d'organisation et de végétation qu'elle présente, IV vu 1 n . — cas
excessivement dangereux selon Hippocrate, qui attribue cette
affection à l'accumulation des menstrues, IV vu 1 /*. — sa dureté
extrême, IV vu 2. — affection qui vιeillit avec la
Î
personne qui en est atteinte, V vu 2. — animaux autres que l'homme
ne sont pas sujets à la môle, IV vu 3. — chez la femme, distincte
des grossesses extra-utérines, IV vu 3 w. — sa durée, IV vu 3/i.
MOLLUSQUES, accouplement de la femelle et du mâle dans ces animaux,
I ι 6. — divιsion de leurs matrices, I ni 3. —quatre modes de leur
accouplement, I ιx 4 /ι. — singulier mode de leur accouplement;
organisation des canaux prolifiques dans ces exsangues; leurs
organes de génération, I ιx 4 5. — leur accouplement par les parties
supérieures du corps, I ιx 6. — incertitudes pour savoir s'ils ont
du sperme, 1x2. — leurs pontes abondantes; leur sé-crétion
spermatique, I xm 13. — leur classification ; production et
développement de leurs œufs, II ι 9. — leur génération selon leur
chaleur,
II ι 18 19-21. — ovιpares, leurs œufs, II ι 18 /i. — impossibilité
de distinguer le haut et le bas dans les mollusques, II vιιι 2. —
faits à observer chez ces poissons, pendant qu'ils sont accouplés,
ΙΙΙ ν 5. — leur génération a lieu par copulation, ΙΙΙ vu 1 3. — leur
divιsion en sιx classes qui offrent toutes les variétés de
génération, selon Cuvιer ; leur circulation dou-ble, ΙΙΙ vu 2 il. —
leur génération et leur embryologie d'après Aristote, Ρ xxνπ et
suiv.
MONSTRES, question agitée, à leur sujet, vers le début de notre
siècle, au grand profit de la science, IV m 1 n. — nécessité du
monstre, au point de vue du hasard, IV m 3. — leur production; leur
rareté dans quelques espèces d'animaux; leur fréquence dans
d'autres, IV ni 26 29. — ne sont pas absolument en dehors de la
nature, IV in 31. — étude des monstres, opinion de nos jours à ce
sujet,
IV ιv 25 n. — appréciation
des théories d'Aristote; opi-
nions de nos jours sur les
monstres, IV ιv 25 il. — ap-
préciation des théories sur
les monstres, IV ιv 25 n. —
résumé des théories sur les
monstres, IV rv 25 n.
MONSTRUEUX, définition de ce mot, IV m 31.
MONSTRUOSITES, manière de les expliquer, IV ni 3 n. —théories des
monstruosités; exagérations des opinions vulgaires ; leurs limites,
IV m 22-25. — explication de diverses espèces de monstruosités;
fréquence des monstruosités chez les oiseaux et les poules, IV ni 26
27. — végétales, IV ni 27 /i. — con-sidérées comme des
dissem-blances, IV m 30. — causées par un accident, IV ni 30 n.
— qui se forment plus aisément dans les plantes que chez les
animaux, IV ni 32 n.
— et difformités de tout ordre; recherche de la cause qui produit
ces phénomènes,
IV ιv 1 et suiv. — cas divers
de monstruosités ou de dif-
formités, IV ιv 22. — dis-
tinctions des diverses mons-
truosités, IV ιv 22 n.
MOTEUR, but et moyen, trois conditions indispensables à l'être, II
vιιι 8-12. — principe moteur dans les testacés ; dans les plantes,
ΙΙΙ x 15. — nature du moteur et du mobile par rapport à la gravιté
ou à l'acuité de la voιx, V vι 3-8.
MOUCHES, leur génération par corruption, I ιx 7. — erreur singulière
sur leur accouple-ment, I xi 18 n. — leur ac-couplement, ΙΙΙ ιx 11
n.
MOULES, manière dont elles se reproduisent, ΙΙΙ x 8. — sont des
acéphales testacés, et for-ment la tribu des mytilacés; manière dont
elles s'attachent aux corps étrangers,ΙΙΙ x 8 n.
MOUTONS, couleur de leurs yeux,
V ι 11. — nature de la laine du mouton, V in 13. — classification
des moutons, V ni 13/i. — anatomie du mouton, étudiée d'assez près
par Aristote, V m 13 n. — influence que les climats exercent sur les
moutons, V ni 14 n. — cause des nombreuses monstruosités qui se
produisent chez ces animaux, IV ni 29.
— exemple des moutons, à l'appui de la théorie des dif-formités, IV
ιv 24.
MOUVEMENT, son principe dans les êtres qui naissent, II ι 4 5. — des
automates, dont l'un fait mouvoir l'autre, et produit une succession
de mouvements indépendants, II n 9 10. — à peu près semblable
communiqué par le sperme, II n 10. — et vιe, opinion d'Aristote sur
leur origine, II ιv 5 /i. — sens dans lequel il faut entendre ce
mot, II vι 4/i. — qui fait développer toutes les parties du corps,
IV ni 3. — origine des mouvements des ancêtres, et plus
particulièrement de ceux qui se rapprochent davantage de
l'indivιduel, IV ni 6. — diffé-rence des mouvements en ce que les
uns sont actuels et les autres en puissance, IV ni 8 12. — théorie
générale de la vιsion expliquée par le mouvement, V ι 26 27. — ses
lois, résultat de longues études de la part des Anciens, V vι 7 n.
MOYEN, but, moteur, trois con-ditions indispensables â l'être, II vm
8-12.
MOYEN-AGE, croyait à l'inégalité de l'âme de l'homme et de celle de
la femme, II vu 1 n.
— absorbé par des problèmes urgents et pratiques; il n'a pas étudié
la génération, Ρ ex.
— ses labeurs sur la génération, préparés et facilités par les
Arabes, Ρ cxvι.
MUE de la voιx à l'époque de la puberté, IV vιιι 5.
MUGES, poissons dans les ma-récages de rivιères; incertitude sur
leur reproductiou. sans la coopération du mâle, II vu 6. — leur
naissance ; leur conformation, ΙΙΙ x 17-
— identification de ce nom de poisson, ΙΙΙ x 17 n.
MULE, exemple d'une mule qui a conçu, et n'a pas été stérile, selon
la théorie d'Empédocle, II x 6- — cause de l'impossibilité dans
laquelle elle se trouve de nourrir le fœtus et de mettre bas, II x
16 17. — cause de sa stérilité, II x 17 n.
— matrices des mules, ΙΙΙ ν 3. MULETS, l'espèce tout entière
des mulets est stérile, II ιx 9.
— de Syrie, se reproduisent indéfiniment, II ιx 9 n. — la stérilité
atteint tous les indivιdus de l'espèce des mulets, sans exception,
II x 1. — les plue remarquables des hybrides, II x 2 A. — essai
d'une explication logique de la stérilité du mulet; l'observation
des faits réels est encore préférable aux raisonnements les plus
spécieux, II x 7 10. — cause des fortes dimensions du corps des
mulets, II x 16.
— et bardot, l'accouplement d'où naissent le mulet et le bardot
n'est pas selon les lois de la nature, II x 16 A. — argument pour
expliquer la stérilité du mulet, II x 16 A.
MULLBR (Jean), haute valeur qu'il attache aux théories d'Aristote
sur la reproduction des sélaciens, ΙΙΙ m 7 A.
MULTIPARES, causes de la super-fétation chez ces animaux, IV ν 2. —
différence entre les multipares et les unipares,
IV ν 4 n.
MULTIPLICATION des testacés, ΙΙΙ
x 3 9.
MUSCLES et os, action successive de la chaleur et du froid, effets
cp'on lui prête sur la formation des muscles et des os, II vιιι
19/i. — force et faiblesse des muscles chez les animaux, V vι 10. —
cause de leur affaiblissement, V vι 10 A.
MUTILATION, définition de la mu-tilation qui fait des eunuques,
V m 22.
MYSTERE de la génération, ΙΙΙ
VΙΙΙ 7 A.
MYTHOLOGIE, a fait de la chèvre Amalthée la nourrice de Jupiter,
dans l'île de Crête ; citation sur l'allaitement factice des enfants
chez les Anciens, IV vm 2 A.
N
NAINS OU pygmées, difformité qui les produit; sont des espèces d
arrière-porcs et de ginnos, II x 17.
NAISSANCE des animaux qui se forment spontanément, soit dans la
terre, soit dans l'eau, ΙΙΙ x 10 11.
NAPOLEON, cité sur les questions du pourquoi et du comment, Ρ cxcvn.
NATURALISTES anciens, cause de leur erreur sur le sang des insectes,
I ι 5 A. — qui sou-tiennent la théorie de la gé-nération spontanée,
I ΙX 7 A.
— qui préteudent que le sperme vιent de toutes les parties du corps
; quatre arguments en faveur de cette doctrine, I x 6. — leurs
théories sur la génération, combattues par Aristote, I x 6 n; I XI
11 A.
— leur erreur sur la part de la femme dans la génération, I xiv 2. —
leurs observations sur la production des insectes, I xv 5 A. — cités
sur un principe qu'ils ad-mettent tous, I xvn 8 A. — leur erreur sur
l'opinion des Anciens relativement à l'origine de la chaleur
animale, II ι 14 n. — leurs divergences sur les prérogatives de
l'homme, II ν 3 n. — erreur de quelques naturalistes sur la divιsion
des membres du fœtus, II vι 10• — leur erreur sur le mouvement des
parties dans l'animal, H vu 8. — erreur de quelques naturalistes sur
la nutrition du fœtus, II ιx 5. — leur erreur sur l'influence de la
respiration de la mère, dans la formation des
f
»arties diverses de ranimai, I vιιι 3. — leur façon déraisonner sur
le moyen qu'emploie la Nature pour atteindre son but, II vιιι 13. —
leurs études sur l'accouplement, II ιx 6 n. — leur opinion sur la
matrice, ΙΙΙ n 20 A. — erreur de quelques naturalistes croyant que
tous les poissons sont femelles, ΙΙΙ ν 2. — opinion erronée
d'Anaxagore et de quelques naturalistes sur l'accouplement des
corbeaux et de l'ibis, et sur la parturition de la belette, ΙΙΙ ν
12. — modernes, cités sur l'organisation très spéciale des
sélaciens, ΙΙΙ vι ln. — erreurs de ceux qui croient que les abeilles
tirent leur couvain du dehors, et eue les abeilles sont les femelles
et que les bourdons sont les mâles, ΙΙΙ ιv 1 2. — opiniou de
quelques naturalistes sur la création des hommes et des quadrupèdes,
ΙΙΙ x 18. — modernes, cités sur la nature singulière de la larve,
ΙΙΙ x 18 n — opinions de quelques naturalistes sur la formation
originelle des sexes femelle et mâle, IV ι 2 4. — leurs théories sur
la ressemblance ou la dissemblance des enfants aux parents, IV m
17.— modernes, cités sur une pensée profonde d'Aristote, au sujet de
la différence essentielle des animaux et des plantes, IV vιιι 4 n. —
modernes, leur opinion sur la durée de la gestation de l'éléphant,
IV ιx 4/i. — anciens, leur erreur sur les causes générales des
choses, V ι 5. — leur explication du change-ment de la voιx ; leur
erreur sur le principe qui la met en mouvement, V vι 12 13. —
devanciers de Bu flou, critiqués par lui pour leur système sur la
génération, Ρ cxxxιx.
NATURE, procédés qu'elle doit employer pour atteindre son but, I vu
4 n. — différence qu'elle fait pour le sperme ou la semence entre
les plantes et les animaux, I xiv 14. — intervention évιdente de la
Nature, dans les espèces d'a-nimaux où les mâles ne sont pas assez
forts pour émettre du sperme, I xvι 5. — nouvel hommage qu'Aristote
lui rend, I xvn 5/i. — vérité incontestable qui ressort du spectacle
de la Nature, telle que l'homme peut l'observer, II ι 3 /i.—
comparaison de ses productions et des productions de l'art, II n 13.
— ses procédés comparés à ceux de l'art, I vι 11. —ne fait jamais
rien en vain; principe appliqué à la nécessité de la coopération du
mâle dans la génération, Il vu 7. — double course quelle fournit, II
vu 9. — théorie métaphysique par laquelle Démocrite essaie
d'expliquer la Nature, II vm 12 et A. — effet des agents qu'elle
emploie dans la production de chacune des parties de l'animal, II
vιιι 19 20. — sa sagesse dans la formation des organes ; elle ne
fait jamais rien en vain, II vιιι 27 30. — des paupières, II vιιι
28. — sagesse de la Nature ; difficulté de la bien comprendre, II vm
30/i. — nouvel éloge qu'Aristote lui adresse, ΙΙΙ n 11 /i. — sa
sagesse dans la génération des abeilles, ΙΙΙ ιx 14. — la Nature et
l'art de Phomme souvent rapprochés par Aristote, ΙΙΙ ι 11 n, — dévιe
de l'espèce en une certaine mesure, IV ni 2. — pré-parant la voie
aux monstruo-sités, IV in 30. — nouvel éloge de sa sagesse, IV vιιι
1 n. — sa sagesse, époque régulière qu'elle a déterminée pour la
sortie du fœtus, IV vιιι 10 11. — sa tendance générale en ce qui
regarde la durée des créatures, IV ιx 8.
— sagesse prévoyante de la Nature, à propos de la pousse et de la
chute des dents, chez les animaux, V vu 3 4. — son habileté
merveilleuse dans l'emploi de ses procédés, V vu 10.
— son unité de but dans la production des êtres, malgré l'infinie
variété des procédés qu'elle emploie, Ρ ν. — procédés, toujours
efficaces et tou-
I
'ours admirables, qu'emploie a Nature dans la production des êtres,
Ρ ν. — sentiments qu'elle a inculqués aux animaux, Ρ xvι xvn. —
admirée passionnément par Aristote, Ρ CLXXXVΙΙ. — ne Test pas assez
par les Modernes, ibid. NATURE initiale du sperme, I xιι 7. — de la
liqueur séminale, I xm 1. — du sperme expli-. quée, II ni 1-4. —
analyse chimique de la nature de la liqueur séminale, II m 1 n.
— de chaque être essentiellement inhérente à toutes les
Î
>lantes et à tous les animaux, I vι 12. — des poissons et des
oiseaux, ΙΙΙ ι 15. — des testacés et des plantes, ΙΙΙ x 3. — de la
matrice dans les femelles, IV ι 27. — lascive de la jument, IV ν 5.
— lascive des oiseaux mâles, IV ν 6. NECESSITE, dans les théories
d'Aristote est purement hy-pothétique, V vu 6 n. — la nécessité
telle que l'entend Aristote ne tient rien du hasard; elle n'est
qu'hypothétique, Ρ x. NEEDHAM (Jésuite) dont Voltaire s'est moqué ;
ses théories sur la génération spontanée sont accueillies par les
deux grandes académies de Paris et de Londres, quoique réfutées
d'avance par les travaux de Redi, Ρ cxx. NEGRES, fort peu connus des
Grecs; leurs cheveux crépus,
V m 12 zt.
NERFS optiques, leur direction ; leur ramification, II vιιι 24 n.
— constitution des nerfs, II vιιι 32. — du mouvement et nerfs de la
sensibilité, n'avaient pas encore été distingués du temps
d'Aristote, II vm 27 n. — organisation suc-cessive du système
nerveux dans le fœtus, observée par les physiologistes modernes,
V ι 6 /ι•
NOURRITURE inutile, nourriture utile ; sens de ces expressions, I
xιι 10. — son excès diminuant la sécrétion spermati-
3
ue, I xιι 20. — définitive, es animaux qui ont du sang, et des
exsangues, I xm 3. — dernière de l'animal, II vι 6.
— deux degrés de nourriture qu'il faut distinguer dans tout être, II
vιιι 32. — et développement de l'œuf, ΙΙΙ n 3 7. — et développement
des embryons des ovιpares et des vιvιpares, ΙΙΙ π 18 19. — et
développement des poissons, ΙΙΙ ni 8. — des larves d'insectes, ΙΙΙ
vιιι 7 8. — influence de la nourriture, des climats et des eaux sur
la production en général et sur celle des sexes, IV n 6. —
extérieure du jeune qui vιent de naître, IV vιιι 1 11.
— traité spécial de l a Nour-riture, allusion à cet ouvrage
d'Aristote, qui n'est pas parvenu jusqu'à nous. II vι 10 «. Voir
Nutrition et Aliment.
NOVUM ORGANUM, erreur de Ba-con, Ρ cxci.
NUTRITION, deux degrés de nu-trition; renversement de cet ordre, II
vm 32 n. — des em-bryons des ovιpares et des vιvιpares, ΙΙΙ n 20 n.
— du foetus; erreur de Démocrite, et impossibilité de sa théorie sur
la divιsion des membres, II vι 8 9 10. — traité de la Nutrition,
ouvrage d'Aristote désigné par Fauteur lui-même, II vιιι 32 n. — ou
Alimentation, traité cité par Aristote dans le Traité des Parties
des Animaux, V rv 2
n.
NYCTALOPIE, définition de cette maladie des yeux, qui affecte plutôt
les jeunes gens, V 119. — définition de ce mot; yeux attaqués par
cette maladie, V ι 19 n.
NYMPHES des insectes; elles n'ont pas de nourriture, ΙΙΙ vιιι 7. —
leur constitution particulière opposée aux œufs ordinaires des
oiseaux, ΙΙΙ vιιι 7 n.
Ο
OBSERVATIONS physiologiques d'Aristote sur le développement
successif des organes, d'accord avec les théories modernes les plus
autorisées, II n 6 n. — importance qu'Aristote attache à
l'observation, II vu 9 n. — méthode suivιe par Aristote, II x 3 n. —
des faits réels, sur la cause de la stérilité du mulet, est
préférable aux raisonnements les plus spécieux, II x 10. — sciences
citées pour l'application de la méthode d'observation, II x 11 n. —
méthode d'observation, qu'Aristote recommande aux naturalistes,
toutes les fois qu'il en trouve l'occasion, ΙΙΙ ι 12 n. Voir
Méthode. —anatomiques auxquelles Aristote a dû se li-vrer, ΙΙΙ n 21
n. — recom-mandation de la méthode d'observation, ΙΙΙ ν 4 5 n. —
règles générales de l'observation des faits sur la génération des
abeilles, ΙΙΙ ιx 18.
— méthode d'observation ; constante recommandation qu'en fait
Aristote, ΙΙΙ x 21 n.
— faites à Rhodes sur des coques de navιres ; et à Chios sur des
huîtres de Pyrrha, prouvant la génération spontanée des testacés,
ΙΙΙ x 22 23.
— Aristote recommande sans cesse l'observation exacte des faits, V
vu 2 n. — méthode d'observation et de recherches pratiquée par
Aristote, Ρ VΙΙΙ-XI. — la méthode d'observation a créé
l'embryologie, Ρ cv. — la méthode d'observation inaugurée par
Aris-tote, Ρ CLXXXI et suiv..
OCCLUSION de certains canaux indispensables ; tentatives inu-tiles
des médecins pour les rouvrir; exemple à ce sujet, IV ιv 23.
OCEAN, sa couleur ; sa profon-deur, V ι 16 n.
ODEURS ET SONS, leurs différen-ces, V n 4.
On OR AT ET OUÏE, finesse et portée de ces deux sens, V n 1. —
analogie de leur action avec celle de la vue, V n 4.
ŒIL, constitution de l'œil, II vιιι 23 24. — sa Gn, sa forme et sa
couleur, V ι 3 n. — diversité de ses couleurs chez les hommes, V ι
12. — ses humeurs en forment la partie liquide ; place qu'elles y
tiennent, V ι 18 n. — sa position fait les différences dans la
vιsion, V ι 26. — influence de Γ altération de sa forme sur la vue,
V ι 26 n.
ŒUFS des poissons, des oiseaux et des quadrupèdes ovιpares,
I vu 2 3. — fécondation des œufs de poissons par la laite des mâles,
I xv 9. — différence entre l'œuf et la larve,
II ι 7 et n. — son organisa-
tion, chez les oiseaux et chez
les poissons, II ι 17 n. —
G
randes analogies entre l'œuf es oiseaux et l'œuf des vιvιpares,
soupçonnées par Aristote, II vι 2 n. — des oiseaux; ses premiers
développements; plus aisés à observer que ceux de l'œuf de l'espèce
humaine, II vι 2/i. — rapprochement remarquable entre l'œuf des
oiseaux et l'œuf des vιvιpares, II vι 2 it. — de poissons, sortis du
sein de la mère et fécondés par la laite que répand le mâle, U vιιι
3 n. — erreur d'Aristote concernant l'action de l'eau sur leur
coquille, II vιιι 16 n — un des premiers phénomènes qu'on observe
dans l'œuf, c'est le punctum saliens, ou le cœur,
II vm 22/i. — différences des
œufs dans les ovιpares; ils
sont toujours de deux cou-
leurs chez les oiseaux ; œufs
intérieurs des sélaciens, ΙΙΙ ι
2. — complet, explication de
la pensée d'Aristote sur cette
expression, ΙΙΙ ι 2/i. —quan-
tité plus ou moins grande des
œufs, chez les oiseaux, selon
les espèces, ΙΙΙ ι 7. — déve-
loppement des œufs des oi-
seaux ; explication de leur
double couleur, ΙΙΙ 118 22 25.
— fonction des deux parties de l'œuf, le blanc et le jaune,
ΙΙΙ ι 22 23. — développement
successif de l'œuf et du pous-
sin, ΙΙΙ ι 26/i. — forme des
œufs à deux couleurs, ΙΙΙ ni.
— différence de la forme des deux bouts de l'œuf; son but; cause de
cette conformation, ΙΙΙ n 1 n. — principe qui. dans les œufs, vιent
du mâle, ΙΙΙ n 1. — comparé au principe de la semence des plantes,
ΙΙΙ n 2. — production du blanc et du jaune dans l'œuf; raison pour
laquelle la pointe de l'œuf sort la dernière ; manière dont il se
nourrit et se développe, ΙΙΙ n 1-3. — comparaison du principe de
l'œuf et du principe de la semence des plantes, ΙΙΙ n 2.— difficulté
d'observer la formation successive de l'œuf, ΙΙΙ n 3 4 n. — manière
dont l'œuf se nourrit et se développe, ΙΙΙ n 3 7. — mollesse et
dureté de la coquille de l'œuf, ΙΙΙ n 4. — mollesse initiale de la
coquille, qui ne durcit qu'au contact de l'air, ΙΙΙ n 4. —
description que fait Aristote des développements successifs de
l'œuf, ΙΙΙ n 5n — différence entre les œufs des quadrupèdes ovιpares
et ceux des oiseaux. ΙΙΙ n 10. — influence de la chaleur sur les
œufs et sur les vιιιs, ΙΙΙ n 12. — nature contraire du jaune et du
blanc dans l'œuf, ΙΙΙ n 14. — influence de la chaleur sur l'éclosion
des œufs, ΙΙΙ n 12 n. — formation des petits qui sortent d'œufs
complets, dans les oiseaux, et dans les quadrupèdes ovιpares qui ont
des œufs à coquille dure, ΙΙΙ n 22. — complets, explication de la
pensée d'Aristote, quand il emploie cette expression, ΙΙΙ n 22 n. —
des poissons et spécialement l'œuf des sélaciens, ΙΙΙ in 1. — de la
grenouille de mer; particularités qu'il présente, ΙΙΙ ni 2. —
comparaison des œufs d'oiseaux et des œufs de poissons ;
ressemblances et différences dans leur production, ΙΙΙ m 4 6. —
développement de l'œuf des oiseaux et de l'œuf des poissons, ΙΙΙ ni
6 n. — de poissons, membrane qui les enveloppe, ΙΙΙ ni 4 n. —
couleur de l'œuf des pois-sons, ΙΙΙ ni 8. — ressemblances des
poissons et des oiseaux, en ce qui est relatif aux œufs, ΙΙΙ ni 8 η;
ΙΙΙ vι 5 n. — des poissons, et causes de leur petitesse et de leur
quantité prodigieuse, ΙΙΙ ιv 2. — leur développement ; leur
grosseur, faisant crever certains poissons. ΙΙΙ ιv 4. —
développement de l'œuf des sélaciens, ΙΙΙ ν 5 n. — des poissons;
leur couleur, ΙΙΙ vι 3 5. — des crabides, placés sous la femelle,
ΙΙΙ vu 3 4.— ordinaires des oiseaux, opposés a la constitution
particulière des nymphes d'insectes, ΙΙΙ vιιι 7/i. — définition de
la génération sortant de l'œuf, ΙΙΙ x 19. — erreur sur les œufs
prétendus des testacés, ΙΙΙ x 24. — des testacés, ΙΙΙ x 24 n.
— clairs, expériences sur les œufs clairs des oiseaux,
f
ar rapport à leur génération, xv 7 8. — produits des oiseaux qu'on
appelle des œufs clairs, I xvι 1. — clairs des oiseaux; ils n'ont
que l'âme nutritive, qui ne suffit pas sans l'âme sensible, pour en
faire sortir un être vιvant, II vu 3. — supposition d'une vιe
antérieure et d'une âme quelconque dans les œufs clairs, II vu 4 /*.
— il est im-probable qu'ils puissent devenir féconds, II vu 5 n. —
clairs chez les oiseaux, ΙΙΙ ι 5- — cause de leur production, ΙΙΙ ι
14. — opinion erronée sur les œufs clairs des oiseaux, ΙΙΙ ι 19. —
clairs des oiseaux, et phénomènes spéciaux qu'ils présentent, ΙΙΙ vι
3 4. — clairs, ce que l'on entend ordinairement par cette
expression, ΙΙΙ vι 4/i. — clairs des gallinacés; leur formation, IV
ι 12 /i. ŒUVRES d'Aristote, citées pour la composition du Traité de
Physiognomonie, IV ni 23 n. Voir Aristote. — attribuées à l'école
hippocratique ; études curieuses et pratiques qu'elles contiennent,
Ρ ν. — qui nous restent de Platon et d'Hippocrate sur la théorie de
la génération, Ρ cvn. OISEAUX, position des testicules des oiseaux
et de leurs conduits spermatiques ; position de leurs matrices, I ni
1 3.— leurs testicules gonflés dans l'accouplement, I ιv 4. —
or-ganisation de leurs testicules; uécessité de leur conformation
spéciale, I τ 1. — position de leur matrice ; leurs œufe complets, I
vu 13• — formation dans l'oiseau de la partie dure de la coquille, I
vu 3 n. — position des testicules des oiseaux, I vιu 3. — naissance
des petits des oiseaux, I xiv 10 n. — génération des oiseaux;
rapports réciproques du mâle et de la femelle dans cet acte;
expé-riences sur leurs œufs clairs, et sur leurs accouplements
répétés, I xv 6-8. — produits que les oiseaux forment, et qui sont
ce qu'on appelle des œufs clairs ; concours du mâle et de la femelle
dans la gé-nération, I xvι 1. — classification des oiseaux ;
produc-duction de leurs œufs, II ι 9 11. —leur génération, selon
leur chaleur, II ι 15. — organisation de Γ oeuf des oiseaux, II ι 17
n. — position de leur matrice; absorption du sperme dans ces
animaux, II ν 19.
— disposition de leurs organes de génération, II ν 19 n.
— développements de l'œuf des oiseaux, comparés aux
P
remiers développements de œuf dans l'espèce humaine,
II vι 2 n. — œufs clairs des
oiseaux, prouvant la nécessité
du concours du mâle dans la
génération, II vu 3. — accou-
plements hybrides parmi quel-
ques espèces d'oiseaux, II ιx
7. — œufs des oiseaux sont
toujours de deux couleurs,
ΙΙΙ ι 2. — des œufs clairs chez
les oiseaux, ΙΙΙ ι 5. — quan-
tité plus ou moins grande de
leurs œufs selon les espèces,
ΙΙΙ ι 7. — lascivιté des petits
oiseaux, ΙΙΙ ι 8. — fécondité
relative des oiseaux de proie, ΙΙΙ ι 9. — et poissons, nécessité de
Tintervention du mâle, partout où il y a des œufs chez ces animaux,
ΙΙΙ ι 16. — développement des œufs des oiseaux; explication de la
double couleur de leurs œufs, ΙΙΙ ι 18 25. — de marais, leur nature;
nature de leur lécithe, ΙΙΙ ι 24. Voir Lécithe. — différence de
tem-pérature des oiseaux à celle des mammifères! ΙΙΙ II 14 n.
— comparaison de leurs œufs et des œufs de poissons; res-semblances
et différences dans leur production, ΙΙΙ m 4 6.— ressemblance des
oiseaux et des poissons, en ce qui est relatif aux œufs, ΙΙΙ m 8 n ;
ΙΙΙ vι 5 ιι. — développement de leur œuf, compare à celui des
poissons, ΙΙΙ in S n. — pourvus de serre, observation sur la ponte
de leurs œufs ; leur nature, ΙΙΙ n 14. — res-semblances et
différences dans la production des oiseaux et celle des poissons,
ΙΙΙ ni 4 6.
— considérations à appliquer à la génération des oiseaux, ΙΙΙ ν 12.
— œufs clairs des oiseaux, et phénomènes spéciaux qu'ils présentent,
ΙΙΙ vι 4. — les œufs ordinaires des oiseaux, opposés à la
constitution particulière des nymphes d'insecles, ΙΙΙ vιιι 7 n.
— fréquence des productions monstrueuses chez les oiseaux, IV m 26
27» — monstruosités qu'on peut observer dans cette espèce, IV in 28
n.
— fécondité des oiseaux en raison inverse de leur grosseur, IV ιv 8.
— nature lascive des oiseaux mâles; disposition des matrices et des
testicules, chez les femelles et les mâles, IV ν 6. — qui font des
petite incomplets et aveugles, lV τι 4. — sauté des oiseaux pendant
la gestation, IV vι 13. — influence des saisons sur le changement de
la couleur des oiseaux, V ν 9. — leur génération et leur embryologie
d'après Aristote, Ρ LI à LXII. — leur vésicule germi-native
découverte par Pur-kindjé, Ρ CLVΙΙ. OLIVΙER DB SERRES, cité pour le
mot de Grisonnement, V ιv 3 n,
OMBILIC, composition du cordon ombilical v II ιx 1 n.
OMBILICAL, rôle du cordon om-bilical dans les animaux, II vι 7.
ONGLES, croissance des ongles et des cheveux qui poussent encore sur
le cadavre après la mort, II vιιι 34.
OPHTHALMOLOGIB, considérations importantes à ce sujet, V ι 24 n.
OPINIONS de quelques naturalistes sur la formation originelle des
sexes femelle et mâle, IV ι 2 4. — exagération des opinions
vulgaires à propos des monstruosités, IV ni 22-24.
OPTIMISME, doctrine qu'A ri s to te a professée un des premiers, ΙΙΙ
ιv 3 n. — mis en parallèle avec le premier des principes
J
u'Àristote applique à l'étude e la Nature, V vu 6 n. — fondement de
l'optimisme, V vu 9 n.
OPTIQUE, science de l'optique, citée sur un fait de la théorie de la
vιsion, V ι 27 n.
OPUSCULES psychologiques d'A-ristote, citations qu'ils font du
Traité de la Génération des Animaux, D v. — cités dans le Traité de
la Génération des Animaux, D ιx.
ORDRE dans lequel on range d'ordinaire les quatre éléments, II ιv 7
is. — fιxé par l'auteur lui-même, des Traités de la Génération et
des Parties et de l'Histoire des Animaux, Ρ xiv.
OREILLES, leur longueur et leurs replie contribuant à l'audition, V
π 5. — disposition particulière des oreilles du phoque, Y n 6.
ORGANES des sens considérés dans leur fonction, opposés à la raison,
I π 5 n. — de la génération des crustacés; leurs quatre combinaisons
différentes, I in 3 n. — différences que présentent les organes
spermatiques dans les mâles,
I ιv 1. — qui concourent à la génération dans les exsangues, I ιx 1.
— différence des organes du sexe dans le mâle et Ta femelle, et
différence de leur fonction, I xi 8 n. — génitaux des mammifères et
des cétacés, I xiv 8 n. — existence des organes dès le début, à
l'état embryonnaire ; leur développement successif, II υ 5 /ι. —
nécessaires à la génération et à l'accouplement, I π 6. — production
des différents organes de l'animal, H il 6. — premier organe produit
dans les animaux, II π 16. — dans les animaux, faits pour recevoir
les excrétions,
II v 5. — disposition des or-
ganes de la génération chez
les femmes dans la copula-
tion, II v 17 n. — disposition
des organes génitaux chez les
oiseaux et les poissons vιvι-
pares, II v 19 n. — qui appa-
raît le premier dans l'em-
bryon, c'est le cœur, II vι 4.
— le premier des organes qui
se révèle et qin fonctionne
dans Tanimal, II vι 4 n. —
qui paraît le premier et qui
disparaît le dernier dans les animaux, II vu 9. — erreur des anciens
physiologistes sur la succession des organes, II vm 5 n. —
succession des organes paraissant les uns après les autres, II vιιι
1. — ditiérence des actions du froid et du chaud, dans la for-mation
successive des organes, ΙΙΙ vιιι 15 16. — effet de la chaleur
interne et du froid sur leur formation successive, II vιιι 16 17. —
formation successive des organes sous l'influence de la chaleur, II
vιιι 17. — différence des organes du maie et de la femelle chargés
de la coction; leur fonction, IV ι 20 21. — l'esquisse des organes
de l'animal dessinée par la Nature, comparée à celles que traceut
les peintres, II vιιι 21. —impuissance dans les organes nécessaires
au rapprochement, par suite d'infirmités, II ιx 11. — qui concourent
à la copulation, avec toutes leurs différences, IV ι 7 12.—
nécessité d'organes spéciaux destinés à recevoir le sperme, et ayant
une forme différente, IV ι 27. — réunis irrégulièrement dans un même
indivιdu, IV ιv 20 n — cause des déplacements des organes dans les
animaux, IV ιv 22. — différences que les organes présentent dans une
même es-
E
èce, Vιl. — diversités nom-reuses des organes, et des facultés
appartenant à des espèces entières; d'autres sont réparties au
hasard entre les indivιdus, V ι 2. — influence de l'état des organes
sur le sens de l'ouïe, \ π 2. — influence de la conformation
générale des organes sur la voιx, V vι 8 /i. — relation des τ. XI•
organes génitaux avec la voιx, V vι 11 ιι. — changement de l'organe
qui met la voιx en mouvement, Vvιl2. — affections des organes qui
n'ont pas lieu en vue d'une fin, mais
F
ar simple nécessité, et par action d'une cause qui les met en
mouvement, V vu 11. ORGANISATION de quelques es-pèces d'insectes, I
ι 7. — diverse des testicules, dans les animaux qui ont du sang, I m
1. — des poissons et des serpents, en ce qui se rapporte aux
testicules, I vι 1. — des matrices chez les vιvιpares et les
ovιpares, I vu 1. — des canaux prolifiques, dans les crustacés et
les mollusques, I ιx 5. — des femelles des insectes, I ιx 9. — de la
femelle, I xm 8. — rapprochement entre l'organisation de la plante
et celle de l'animal, I xvn 3 5 /i. — des plantes ; son résultat et
son action, I xvn 5• — de l'œuf chez les oiseaux et chez les
poissons, II ι 17 n. — influence de la nature de l'eau sur toute
l'organisation animale, IV n 6 n. ORGANISME, action considérable
qu'exercent les aliments sur tout l'organisme, V ν 9 n. ORGANON
d'Aristote, cité pour une des causes d'erreur les plus fréquentes,
qu'Aristote avait signalée dans cet ouvrage, avant de la signaler en
histoire naturelle, ΙΙΙ ν 6 n. ORIGINE des choses, objection
f
principale d'Aristote contre es naturalistes dans leur explication
de l'origine des choses, II vιιι 13 n. — de tous les êtres, ΙΙΙ vιιι
2 n. — du sang et des veines ; du principe de la voιx, IV vιιι 5.
ORPHIE, authenticité de ses poé.
33 sies du temps d'Aristote, II π 5 n.
ORPHIQUES (Vers) cités sur la formation des parties de ra-nimai, II
n 5.
Os et muscles, effets qu'on prête à l'action successive de la
chaleur et du froid sur la formation des muscles et des os, II vιιι
19 n. — la nature des os vιent de la sécrétion sper-matique, II vιιι
31. — origine des os, II vιιι 31 n. — origine de la nature des os ;
leur constitution; leur développement, II vιιι 31-34. — leur
dépérissement, II vm 35. — rapport des os aux dents, II vm 35 n. —
différence de leur composition avec celle des dents, II vm 38 n. —
minceur des os du crâne chez le cheval, V ιv 8.
OUÏE, son appareil spécial dans l'oreille, II vm 24 n. — et odorat;
finesse et portée de ces deux sens, V π 1. — influences diverses qui
peuvent agir sur le sens de l'ouïe, V ιι 2 3. — principe du sens de
l'ouïe, V π 3. — et odorat, analogie de leur action avec celle de la
vue, V π 4. — dissections et observations ana-tomiques d'Aristote
sur les organes de l'ouïe, V n 5 n.— organisation remarquable de
l'appareil auditif chez le pho-
2
ue, V n 6. — résumé des tudes sur les sens de l'ouïe, de la vue et
de l'odorat, V n 7 n.
OURS, conformation de ses petits, au moment de la naissance, IV vι
2. — est rarement de couleur blanche, V v 4.
OURSINS de mer, remède pour lequel on les emploie; grandeur et
dureté de leurs piquants, V m 15, — manière dont ils produisent
leurs piquants, V ni 15 n.
OUVRAGES d'Aristote, indication d'ouvrages de botanique qui sont
perdus, I xvn 6. — an-noncés par Arislote sur la génération des
crustacés, I xvn 9. — divers d'Aristote, cités sur la différence des
actions du froid et du chaud, II vm 15. — annonce d'un ouvrage
ultérieur, a propos de la recherche d'un quatrième genre d'êtres,
ΙΙΙ x 7. — étude dans d'autres ouvrages d'Aristote sur l'ensemble et
les parties du corps, IV ι 17. — auxquels Aristote fait allusion,
relativement à la distinction du mâle et de la femelle, IV ι 17 n. —
d'Aristote sur la botanique ; allusion qu'il y fait; il en a laissé
l'étude à son élève Théophraste, V ni 19 #i. — perdus d'Aristote sur
la botanique, Ρ vu. — dans lesquels est exposé le système
d'embryologie aristotélique, Ρ xv. Voir Aristote.
OUVRIER, comparaison de la fe-melle avec la matière dont se sert
l'ouvrier, I xvι 2.
OUVRIERES, principales différen-ces entre les abeilles ouvrières et
les reines, ΙΙΙ ιx 12 n.
OVAIRES, sagacité d'Aristote, de-vιιιant les ovaires des vιvιpares,
sans les connaître, ΙΙΙ vm 3/i. — organisation des ovaires,
aujourd'hui bien connue, répondant à la question du nombre des
embryons, IV ιv 9 n. — et testicules, découvertes récentes sur ce
que renferment les ovaires des femelles et les testicules des mâles,
IV ιv 9 n.
OVΙPARES quadrupèdes, position de leurs testicules ; leurs con-duits
spermatiques, I m 1. — position de la matrice des ovι-pares, I vu 1.
— leurs œufs complets, I vu 3. — et vιvι-pares, disposition
différente de leurs matrices, en bas ou en haut, et dans les animaux
en partie vιvιpares et en partie ovιpares, I vιιι 4. — disposition
de la matrice des ovιpares ; seul et unique conduit dans ces
animaux, pour l'issue des excréments secs, I vιιι 6. — variétés dans
la production des œufs des ovιpares, II ι 9. — différences entre les
ovιpares, II ι 9 n. — désignés par Aristote, II ν lu. — deux classes
quAris-tote distingue dans les animaux ovιpares, II ν 2 π. —
membranes et chorions qu'on retrouve dans l'embryon des ovιpares, II
vι 2. — dévelop-pement des petits des ovιpares, II vι 8. — manière
dont les ovιpares prennent leur développement, II ιx5.— dif-férences
des œufs des ovιpares, ΙΙΙ ι 2. — disposition de leur matrice, ΙΙΙ ι
4• — différences qu'offrent les matrices dans les vιvιpares et dans
les ovιpares, ΙΙΙ ι 4. —- rapprochement des ovιpares et des plantes,
ΙΙΙ π 2 n. — différence entre la sortie des petits dans les
vιvιpares, et la sortie des petits des ovιpares, ΙΙΙ II 6. —
quadrupèdes ovι-pares, étude des causes de la production de leurs
œufs, qui est la même que l'étude des œufs des oiseaux, ΙΙΙ π 10• —
et vιvιpares, leurs embryons ; commencement de leur vιe; leurs
développements et leur nourriture; position de leur matrice, ΙΙΙ n
18-20. — et vι-vιpares, différences de leur génération avec celle
des in-sectes, ΙΙΙ vιιι 2 3. OVULE a pporté par la femelle dans
l'acte de la génération, I xiv 17 n. — définition de l'ovule, II ιv
4 n. — soupçonné dans une certaine mesure par Aristote; sa nécessité
au point de vue de la génération, II ν 14 n.— incertitude de la
physiologie actuelle sur le point où le sperme rencontre l'ovule et
le féconde, II ν 20 n. — humain découvert par Ernest de Baër;
recherches qui ont précédé et préparé cette grande découverte, Ρ
GXLΙX à CLXXXVΙΙ.
Ρ
PACHYDERMES, nature de leurs poils, Y m 13.
PANTHERE, variétés de ses cou-leurs, V ν 4 n.
PAON, ses couleurs diverses, V ν 2.
PARENTE, ses degrés ascendants, IV m 6 7 n.
PARENTS contrefaits, ne produi-sent pas toujours des enfants
contrefaits, I xi 23. — solli-citude naturelle des parents pour
leurs petits, ΙΙΙ u 11,— influence de leur âge sur la procréation de
mâles ou de femelles, IV π 1. —leurs rap-ports proportionnels pour
la production des garçons ou des filles, IV n 4 5. — ressemblance
des enfants aux parents; éléments dont cette ressemblance doit se
composer, IV m 1 2. PARTIES des animaux qui concernent leur
génération, I ι 4. — du corps qui constituent les organes
nécessaires à la génération et à l'accouplement, et qui font la
différence des sexes, I π 6 7. — similaires, leur rôle dans le
corps, comparé à celui des lettres dans l'alphabet, I xi 6 n. —
similaires, leurs différences avec les non-similaires, de fonctions
et de propriétés, I xi 12. — part respective du mâle et de la
femelle dans Pacte de la génération, I xiv 15• — formation des
parties de Tanimal, II n 5. — formation des parties similaires et
des parties organiques de l'animal, Il n 12. — de l'âme,
f
>rise au sens aristotélique, I π 15 /i. — supérieures du corps
au-dessus de la ceinture des animaux; leur divιsion, II vιιι 1. —
organiques, et parties motrices; distinction difficile à faire entre
elles, II vιιι 10 et n. — similaires, manière dont elles se
produisent, II vιιι 15. — erreur d'Aristote sur les éléments qui
produisent les parties similaires, II vιιι 15 n. — effet des agents
qu'emploie la Nature sur la production et la formation des parties
de l'animal, II vιιι 19 20. — production des
S
arties de l'animal sous l'in-uence du froid et du chaud, II vm 19
20. —ressemblances des parties de l'enfant à celles du père, ou à
celles de la mère, ou à celles de quelque ancêtre ; leurs mouvements
en acte et leurs mouvements en puissance, IV ni 11. — différences
que les parties des animaux présentent entre elles, Vιl. PARTIES des
animaux, traité d'Aristote cité sur des ques-tions rappelées dans le
Traité de la Génération, I ι 1 n.
— cité pour une restriction relativement à la génération, I ι 4 ιι«
— traité auquel Aristote fait allusion, 1 ni n. — cité sur le
rapprochement de l'issue excrémentitielle, e! de la bouche dans les
mollusques, I ιx 4. — cité par Aristote sur l'accouplement des
mollusques, I ιx 4 n. — cité sur la graisse, I xιι 21 n. — cité sur
la théorie du sang, I xm 3n. — sur les menstrues, I xm 8/i. — cité
sur un principe qu'admettent tous les naturalistes, I xvn 8 n. —
cité sur la distinction entre être ou n'être pas, II ι 2 n.
— cité sur les insectes, II ι ΙΟn. — cité sur le vιscère cjui se
montre le premier dans
I embryon, II n 4 n. — cité sur le privιlège de l'homme,
II ν 3 n. — cité, II vu 8 n. —
cité pour les théories d'Aris-
tote sur le haut de la plaute,
II vιιι 2/ι• — cité pour une
comparaison, à l'appui du
sens du mot Antérieur, II vιιι
7/1. — cité pour la ramifica-
tion des veines comparées aux
irrigations des vergers, II vιιι
16/i. — cité pour une con-
tradiction touchant la défini-
tion du froid, II vιιι 18 n. —
allusion à cet ouvrage, IIVΙΙΙ
21/i. — cité sur le cerveau
faisant contrepoids à la cha-
leur du cœur, II vιιι 22 «• —
cité sur les paupières, II vιιι
28/I. — cité sur le désordre
de la fin du livre II du Traité
de la Génération, II vιιι 39 n.
— cité sur Empédocle et sur les réfutations d'Aristote contre ses
théories ; sur la manière dont il parle de Démocrite d'Abdène, ΙΙΙ ι
3 4 /i. — cité sur une définition du sang, ΙΙΙ ι 22 n. — cité sur la
méthode d'observation, ΙΙΙ v 4 n. — cité sur la distinction des mots
de Commun et de Spécial, s'appliquant à la génération, IV ι 1 n. —
cité sur la théorie et l'analyse du sang ; sur la sécrétion de
l'urine, IV ι 20 21 /i. — cité sur le liquide sanguin appelé par
excellence le fluide nourricier,
IV vm 9/i. — cité pour le
cinquième et dernier livre du
Traité delà génération, qui de-
vrait lui appartenir, Vι 1 n.
— cité pour une référence d'Aristote réfutant Anaxagore sur la main
de l'homme, V ι 4/i. — cité sur les yeux des enfants, V ι 11 n. —
cité sur la chevelure de l'homme, V πι 1 n. — cité sur les poils des
animaux, V ni 5- — cité sur le but qu'a la Nature en donnant des
poils aux animaux; annonce de cette étude,
V m 5 n. — cité sur les fonctions du cerveau, V in 9 n.— cité sur le
caractère de l'encéphale de l'homme, V in 21 /*. — a omis l'étude de
la couleur du pelage, V ιv 1 n.
— citations qu'y fait Aristote du Traité de la Nutrition ou de
l'Alimentation, et du Traité du Sommeil et de la Veille,
V ιv 2/1. — s'est occupé dè la langue des animaux, mais il n'a pas
parlé de sa couleur,
V v 8 /i. — cité sur les dents et leurs usages, V vu 1 n — cité sur
une critique qu'Aris-tote fait de Démocritc, V vu 2 n. — cité sur un
des principes les plus vrais et les plus nécessaires, V vu 3 n.
—cité sur l'étude des fonctions des organes qui ne sont pas faits eu
vue d'une fin spéciale, V vu 11 n.
— Traité des Parties des Animaux, place assignée par l'auteur
lui-même à cet ouvrage, Ρ xrv. — lacune qui s'est produite dans la
science, après cet ouvrage, Ρ ex.
PARTURITION, différente modes de parlurition chez les animaux, II v
1. — diversité de la parturition et de l'accouplement; quelques
naturalistes ne s'en rendent pas assez compte, ΙΙΙ v 6. — de la
be-lette; erreur d'Anaxagore à ce sujet, ΙΙΙ v 12 13.
PASCAL, sa grande pensée sur la fécondité inépuisable de la nature,
Ρ CLXXXII. — cité sur les deux infinis, Ρ cxcui.
PASSE et présent de l'esprit humain ; leur différence en fait de
science, Ρ cxci.
PASSIONS du corps, atteint e quelles portent au cerveau et à la
raison, V m 21 n. — et action, réminiscence de l'ou-vrage intitulé
Traité de l'Action et de la Passion, cité par Aristote, IV ni 14 15
n. Voir Aristote.
PASTEUR (M.), chimiste et direc-teur des études scientifiques à
l'école normale, adversaire déclaré du système de l'hété-rogénie; sa
controverse avec M. F. Pouchet; sa réfutation vιctorieuse; sa
méthode puis-sante et claire, Ρ cxxi.
PATIENT, part qu'il apporte dans l'acte de la génération, I xiv
15-18. — rapports réciproques du patient et de l'agent dans l'acte
de la génération, I xv 2 3.
PAUPIERES, nécessité qu'elles se séparent et qu'elles puissent se
mouvoir; preuves à l'appui de cette théorie, II vm 27 28. — leur
éloignement du cerveau, II vιιι 28 n.
PAYEN, membre de l'Académie des sciences, se prononce contre M. F.
Pouchet, soutenant le système de l'hétéro-génie, Ρ cxxi.
PAYS et climats où l'âne ne peut vιvre, II x 11. — où les femmes
sont très fécondes ; nombreuses monstruosités dans certains pays, IV
m 29.
PEAU des testicules selon leur position intérieure ou exté-rieure, I
vιιι 2. — nature de la peau des poissons, II ι 18 n. — études
curieuses d'Aris-tote sur la nature de la peau, II vιιι 20 n. —
nature de la peau qui enveloppe la pupille,
V ι 20 21. — les variétés de la peau selon les espèces, V m 6n. —
influence de l'âge sur la nature de la peau, V m 17 n. — des
animaux, décide de la couleur de leurs poils, V ιv 1. — rapports de
la peau à la nature diverse des poils, V m 6. — la peau est cause de
la couleur des poils, V ιv 1 n. — la peau chez l'homme n'a aucune
influence sur la couleur des cheveux, V ιv 11. — rapports de la peau
et des poils,
V ιv 11 et n. — différence entre la peau blanche par nature, et la
peau blanche par maladie ; blancheur des cheveux par maladie ou par
Page, V ν 6.
PECHEURS, leur erreur sur l'ac-couplement des polypes, I ιx 5. —
erreur des pêcheurs et d'Hérodote sur la gestation des poissons, ΙΙΙ
ν 10.
PELAGE des animaux; ses chan-gements, V m 24 n. — ce qui détermine
ses couleurs, V ιv 1. — variétés dans le pelage des animaux, V ν i.
— variabilité de ses couleurs, selon les espèces et les indivιdus,
V ν 2.
PERDRΙX, leur vol; abondance de leur excrétion spermatique,
ΙΙΙ ι 6. — quantité de leurs œufs, ΙΙΙ ι 7. — leur fécondation
pariticulière, ΙΙΙ ι 19 20. — la perdrιx est rarement de couleur
blanche, V ν 1.
PERE, influence du père et de la mère sur la ressemblance des
enfants, IV ni 1 et suiv.
PERICARPE des fruits, accident qui s'y produit, IV ni 32.
PERINEE, sa définition, IV ι 20 it.
PERINTHE, une vache de cette vιlle, servant d'exemple à la théorie
des difformités, IV ιv 24. — vιlle de Thrace, sur la Propontide, ou
mer de Mar-mara, IV ιv 24 n.
PERIODES solaires et lunaires, semblables dans une certaine mesure,
IV ιx 5. — naturelles, prises pour mesurer le temps de la gestation,
le temps des naissances et celui des exis-tences ; ce que l'auteur
entend par cette expression, IV ιx 5.
PERTPATETISMB, ses adversaires forcés d'avouer que le Traité de la
Génération est le chef-d'œuvre zoologique d'Aristote, Ρ ι.
PERPETUITE et fιxité des espèces, niées avec audace et légèreté dans
ces derniers temps, II ι 20 n. Voir Espèces.
PERTE des collections de dessins anatomiques d'Aristote, avec les
ouvrages qu'elles élucidaient, Ρ vιιι. Voir Dessins anatomiques.
PETITESSE et quantité prodigieuse des œufs de poissons, ΙΙΙ ιv 2.
Voir Poissons.
PETITS, différence entre la sortie des petits dans les vιvιpares, et
la sortie des petits des ovιpares, ΙΙΙ n 6. — formation des petits,
qui sortent d'oeufs complets dans les oiseaux, et dans les
quadrupèdes ovιpares qui ont des œufs à coquille
TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES 519
dure, ΙΙΙ π 22• — variété dans le nombre des enfants chez l'homme,
IV ιv 16. — formation des petits qui sont complets ou incomplets, au
moment de leur naissance, IV vι 1. — des animaux qui naissent
aveugles, IV vι 2. — plusieurs exemples pour appuyer la théorie de
la formation des petits complets ou incomplets, au moment de leur
naissance, IV vι 2 et suiv. PEUPLIER et saule, n'ont pas de semence;
cause de cette or-ganisation, I xιι 21. — leur genre; erreur
d'Aristote au sujet de ces deux arbres, I xιι 21 n.
PHASES de la lune, leur influence sur les menstrues, à la fin du
mois, IV n 2.
PHEDOEI de Platon, cité pour l'expression : « le voyage à Délos •, I
xιι 4 n.
PHENOMENES qui confirment la théorie d'Aristote sur la nature du
sperme, I xιι 16. — qui ont lieu tantôt pour une nécessité
inévιtable, tantôt sans nécessité, et uniquement en vue d'une
certaine fin, dans la formation successive des organes des animaux,
II vιιι
21. — que présentent les yeux des animaux, II vιιι 23. — on peut
mieux observer les phénomènes sur les grands animaux que sur les
petits, ΙΙΙ n
22. — spéciaux, que présentent les œufs clairs des oiseaux, ΙΙΙ vι 4
et 6. — contre nature, de membres en surnombre, ou de membres qui
font défaut; recherche de la cause qui les produit, IV iv.
PHILIPPE, père d'Alexandre, cité sur la conquête qu'il fit de la
Thrace, V m 12 n.
PHILOPON, son commentaire du Traité de la Génération des
Animaux, cité sur une expression d'Aristote, I xi 6 n. — cité sur
une phrase obscure,
I xi 12 /i. — indication de l'étude des dents dans le livre V,
chapitre vu, du Traité de la Génération des Animaux, II vu 39 n —
cité sur un chapitre qu'il commente, sans faire remarquer son
incohérence, II ιx 1 «. —- son explication de la nourriture des
nymphes, approuvée par MM. Aubert et Wimmer, ΙΙΙ vιιι 7/i. — cité
sur un mot obscur relativement à la matrice des juments, IV v 5 ». —
son interprétation des expressions de Couleurs entières et de
Couleur unique, V v 3 n. — commente le Traité de la Génération ;
ex-plications qu'il en donne, Ρ cxv.
PHILOSOPHIE, problèmes qu'il lui appartient surtout d'aborder,
II ιv 3 /i. — et raison, invo-
quées à l'appui du principe de
I existence du monde, II ι 2 /i.
PHLEGME, place qu'il tient dans les doctrines physiologiques de
l'Antiquité, et dans la science moderne ; sa définition, I xιι 12 n.
PHOQUE, organisation remarqua-ble de son appareil auditif ;
disposition particulière de ses oreilles, V n 6. — organisation de
cet animal, V n 6 n.
PHYSIOLOGIE comparée, fondée par Aristote, I xm 13 /i. — comparée
d'Aristote, dirigée dans la même voie que la nôtre, I xv 9 n. —
citée sur les problèmes qu'elle peut aborder, dans une certaine
mesure,
II ιv 3 /i. — citée sur l'espèce
de chaleur dont elle ait à
tenir compte, II rv 8 n. — mo-
derne, citée sur les œufs clairs,
II vu 4/i. — évolution mer-veilleuse à suivre dans les ou-vrages
contemporains de phy-siologie et d'embryogénie, II vm in. — moderne,
citée sur les cotylédons. II ιx 3 n.
— citée sur la cause de la stérilité, II ιx 9 n. — moderne, citée
sur la cause de la stérilité de la mule, II x il n. — comparée. les
rapproche-ments observés entre les vιvιpares et les ovιpares
constituent ses premiers essais, ΙΙΙ n 20 n. — végétale,
connaissance qu'on en avait à l'époque d'Aristote, ΙΙΙ x 16 n. —
comparée, objet des dissec-tions d'Aristote, IV ι 7 n. — moderne,
citée sur l'importance de la qualité et de la quantité de la liqueur
séminale, IV ni 17 n. — actuelle, citée sur les cotylédons, IV ιv 10
«. — comparée, ce qui la constitue, IV vι 12 n. — moderne, citée sur
la constitution de l'organe de la vue, V ι 26 n. — citée sur la
dimension des poils, V in 9 n. — moderne, citée sur une des
fonctions principales qu'elle étudie, V ιv 2 n. — comparée, citée
sur la couleur des animaux, V ν 1 n. — moderne, citée sur les cordes
vocales dans l'homme, V vι 10 n.
— résumé de l'histoire de la physiologie, depuis Aristote jusqu'à
nous, Ρ CLXXX et suiv.
— leçons qu'on peut tirer de son histoire, Ρ cxc. — humaine, de M.
Béclard, citée sur la théorie du poumon, II ι 14 n. Voir Béclard. —
comparée des animaux de M. G. Colin, citée sur la théorie du poumon,
II 114 n. — citée sur le développement successif des organes, dans
le corps humain, II π 5 n. — citée sur la nature de la peau, II vιιι
20 n. — citée sur la manière dont l'œuf se nourrit et se développe,
ΙΙΙ n 3 JI. Voir Colin.
PHYSIOLOGISTES, difficultés qu'ils ont à expliquer certains
pro-blèmes concernant la génération, II n 8 /i. — modernes, manière
dont ils traitent le sujet de la chaleur animale, II ιv 7 it. — du
temps d'Aristote; leur erreur sur la menstruation, II ν 7 /i. —qui
constatent la disposition des organes dans la copulation, II ν 17 n.
— erreur des anciens physiologistes, cherchant à se rendre compte de
la vιe du fœtus et du développement successif de ses organes, II
vιιι 5/i. — réfutations qu'Aristote oppose aux anciens
physiologistes, dans leur re-cherche sur l'origine des choses, II
vιιι 12 /ι. — contemporains, cités pour une théorie hypothétique des
eflets de la liqueur séminale, II vιιι 18 n.
— modernes, cités sur Le mou-vement des fœtus mâles dans le sein de
la mère, IV vι 6 n.
— modernes, constatent les mêmes faits qu'Aristote sur la cessation
des menstrues, IV vι 11 /i. — décrivent les transformations qui
permettent au nouveau-né, sortant du sein maternel, de s'accommoder
de l'air extérieur, IV vιιι 4 «. — leur description de la sortie du
fœtus du sein maternel, analogue à celle d'Aristote, IV vιιι 12 n. —
modernes, leurs observations de l'organisation successive du système
nerveux dans le fœtus, V ι 6 /i.
— modernes, ont laissé la question de la génération à la place
qu'Aristote lui avait assignée, Ρ xiv. — ont tenté une espèce de
restitution peu heureuse du système d'Hip-pocrate, Ρ CVΙK PHYSIQUE
D'Aristote citée sur les quatre causes, I ι 2 n. — citée D'une
manière générale,
I ι 3 n. — citée sur la cause finale et sur RIDEE du mieux,
II ι 1 n.
PIE, ses petits naissent incomplets et aveugles, IV vι 4.
PIEDS, la différence dans le nom-bre des pieds des animaux, n'est
pas un caractère suffisant de classification, II ι 12. — animaux à
pieds fourchus ; formation de leurs petits, au moment de la
naissance, IV vι 1• — fécondité des animaux à pieds fourchus, en
raison inverse de leur grosseur, IV ιv 5 7.
PIGEONS, leur vol ; sont féconds et lascifs, ΙΙΙ ι 6. — quantité de
leurs œufs, ΙΙΙ ι 7. — FEcondité du pigeon ; nombre d'œufs dans une
seule ponte; leur nourriture, ΙΙΙ ι 7 «. — leurs petits naissent
incomplets et aveugles,-IV vι 4. — nombre d'œufs qu'ils pondent,
ΙΙΙ ι il.
PIGMENT sous la peau, déterminant la nuance des poils, V iv
1 n.
PINNES, poissons, œufs qu'elles ont toujours en plus ou moins grande
quantité, ΙΙΙ x 24.
PLACENTA, sa forme ; sa consti-tution, II ιx 3 n.
PLAISIR que donne le rappro-chement des sexes, ne prouve pas que le
sperme vιenne de tout le corps, I xi 22. — que provoque la
cohabitation; ar-gument contre Terreur de quelques naturalistes, sur
la part de la femme dans la génération, I xiv 4.— provoqué dans
l'homme et dans la femme par le rapprochement sexuel, II ν 16 17• —
action des plaisirs de l'amour sur la vue et sur les yeux, II ιx 13.
— influence des plaisirs sexuels sur la calvιtie, V m 20.
PLANTES, leur sexe ignoré de l'Antiquité, I ι 9 n. — qui naissent,
ou de congénères, ou spontanément, I ι 10. — in-dication d'études
sur la gé-nération des plantes, I ιι 1.— exemples tirés de la
reproduc-tion des boutures, prouvant que le sperme ne vιent pas du
corps entier, I xi 19. — les relations entre les plantes et les
animaux attestent qu'A-ristote fait déjà de la Biologie, I xi 19 n.
— et animaux, leur accroissement différent, I xιι 13. —
rapprochement de l'organisation animale et du règne végétal, I xiv 6
n. — génération des plantes; la femelle et le mâle n'y sont pas
séparés; leur reproduction, I XVΙΙ 1. — distinction de leurs sexes
inconnue de l'Antiquité, I XVΙΙ in. — assimilation entre la plante
et l'animal, I XVΙΙ 2/i. — rapprochement entre leur organisation, I
XVΙΙ 3 5/I. — quelques points de comparaison, et de différence,
entre les plantes et les animaux; résultat et action de leur
organisation, I XVΙΙ 5. — rôle des plantes dans l'ensemble des
choses,
I XVΙΙ 5/i. — hypothèse relative A leur sexe, I XVΙΙ 5 n. — leurs
sexes; soupçon qu'en avait Aristote, II ι 4 5 n. — condition à
laquelle les plantes ont aussi une part de vιe,
II ι 5. — rapprochement des
plantes et des animaux, II π
15 n — analogie entre la
plante et l'animal, dans les
premiers moments de la vιe, II ιv 2 n. — rapprochement
f
>eu exact entre les plantes et es animaux, II v 4 n. —étrangères,
changement de leurs semences selon le sol où on les met, II v 12. —
développement de la vιe dans la plante, comparé à celui de la vιe
dans l'animal, II vι 3 n.— rapprochement entre les plantes et les
animaux, II vι 9 n.
— la plante n'a pas la sensibilité comme ranimai, II vιt 2.
— développement des plantes, dans la masse du haut avant celle du
bas, II vιιι 2. — théories d'Aristote sur le haut de la plante, II
vm 2 n. — comparaison de la fécondité chez les plantes et chez les
animaux; l'excès de production les épuise également, ΙΙΙ ι 12 13. —
rapprochement entre les plantes et les animaux, sous le rapport de
la fécondité, ΙΙΙ ι 12 n. — rapprochement des plantes et des
ovιpares, ΙΙΙ n 2 n. — principe nutritif que la plante donne au
germe, ΙΙΙ vι 5. — phénomène qui se présente dans la germination des
plantes, ΙΙΙ vιιι 7 n. — sexes des plantes soupçonnés par Aristote ;
l'hermaphrodisme chez les plantes plus évιdent que par-tout
ailleurs, ΙΙΙ ιx 9 «. — rapports des plantes aux tes-tacés, 111x3. —
génération des plantes, comparées avec les testacés, ΙΙΙ x 8. —
formation des plantes qui meurent spontanément, ΙΙΙ x 16. — deux
choses essentielles qu'on peut distinguer dans la plante, ΙΙΙ x 16
n. — différence essentielle des plantes et des animaux ; pensée
profonde d'Aristote à ce sujet, répétée par les plus grands
naturalistes,
IV vm 4 n. — différence es-sentielle entre la plante et l'animal, V
ι 7 n. — état de toutes les plantes, analogue à l'état initial de
l'enfant, V ι 8.
— sommeil qui est propre aux plantes ; leur réveil particulier, V ι
8 n. — effets de la chaleur et du froid sur la nature des plantes, V
ni 16. — rapprochement de la plante et de l'animal, V in 16 «. —
— rectrictions dans les res-semblances qu'Aristote établit entre les
plantes, les animaux et l'homme, V ni 23 n.
— le Traité des Plantes
3
ue nous avons n'est pas 'Aristote ; supposé être apocryphe, I n 1 n.
— le Traité des Plantes, ouvrage perdu d'Aristote ; ca-talogues qui
le mentionnent, I xvn 6 n. — cité par Dio-gène Laërce et Héeychius,
D
XI.
PLATON, sa théorie sur la notion de l'essence, dont se rapproche
celle d'Aristote, 11 2 #i.— ses ouvrages, Criton et Phé-don, cités
pour l'expression : « le voyage à Délos », I xιι 4 n. — le Timée
d'accord avec Aristote et avec la Genèse, sur la cause de
l'existence du monde, II ι 2 /i. — son opinion sur l'immatérialité
de l'âme ; celle d'Aristote y est analogue, II ιv 7 n. — le Timée,
cité pour des explications hypothétiques concernant l'influence de
la chaleur sur les os, II vιιι 17 n. — réfuté par Aristote dans le
Traité de la Sensation, pour son opinion sur la vιsion, V ι 15 n.
— s'applique à la définition des mots, Ρ xm. — influence de ses
leçons sur les études d'Aristote, Ρ cvι. — manière dont il s'occupe
de la génération dans son Timée, et questions qu'il traite dans
cette œuvre solennelle. Ρ cιx. — ses théories sur la génération,
critiquées par Buffon, Ρ
CXL.
PLATONISME, le spiritualisme de Platon reparaît dans les théories
d'Aristote, empruntées à son maître, II ιv 9 n.
PLINE, son Histoire naturelle, rapporte la réfutation d'Aristote
contre Terreur sur l'her-maphrodisme de l'hyène; mais Pline n'en
énumère pas moins toutes les propriétés médicales que les Mages
prétendaient trouver dans le corps de l'hyène, ΙΙΙ ν 15 n. — a
répété et accueilli bon nombre de fables, malgré la réprobation
d'Aristote, IV m 22 n.— affirme qu'il a vu des changements d'hommes
en femmes, et réciproquement, IV ni 23 it. — compilateur laborieux
d'Aristote; son silence sur la génération, Ρ cxi. — connaissait le
traité de la Génération des Animaux, D xv. Voir Littré.
PLOMB, transformation du plomb et de l'huile, mêlés à l'eau et à
l'écume; effets divers de l'a-gitation donnée au mélange, II ni 4 5.
— cause de la dureté de leur mélange, II x 3.
PLUMES, analogie des plumes, des écailles, et des poils, V m 4 n.
POESIES d'Orphée; leur authenticité du temps d'Aristote, II n 5 «.
POETES, leurs moqueries contre les cheveux blancs, V rv 5.
Pon.s, théorie des poils daus l'Histoire des Animaux, II vιιι 39 n.
— l'abondance du poil du lièvre est extraordinaire, IV ν 10. —
abondance des poils, signe de lascivιté, IV ν 10. — l'abondance des
poils,
IV ν 10. — variété des poils
et des parties correspondan-
tes, V m 1. — différences des
poils, V ni 2 n. — causes de
la dimension des poils, V ni
9 n. — rapports de la peau à
la nature des poils, V in 6.—
leurs dimensions; plus longs
et plus courts; causes de cette
différence, V ni 9. — doux
ou rudes, droits ou frisés ;
causes de leur frisure, V ni
10. — nature de l'évaporation
que contiennent les poils
droits ou frisés, V ni 10. —
influence de l'air ambiant sur
les poils et les cheveux, V ni
11 it. — efTets des années sur
la rudesse des poils, V ni 17.
— influence de la santé et de
l'âge sur la disposition des
poils, V in 17 n. — réparti-
tion des poils sur le corps des
eunuques, V m 22. — rap-
ports des poils et de la peau,
V ιv 11 et /i. — étude sur les couleurs de la peau et des poils, V ν
10 n.
POISSONS, leurs conduits sper-matiques à la place des testi-cules, I
ni 1. — position de leurs matrices, I m 3. de structure très
particulière — leurs testicules, I ni 1 n. — leurs canaux pleins de
liqueur séminale, I ιv 1. — leur organisation, en ce qui se rapporte
aux testicules ; cause de la rapidité de leur accouple-ment, I vι 1
2. — leur orga-nisation rapprochée de celle des quadrupèdes, I vι 3
n. — cause de leurs œufs imparfaits se complétant au dehors; leur
fécondité, I vu 2. — ovιpares, disposition de leurs matrices, I vm
6. — ovιpares, leur gé-nération est la même que celle des oiseaux;
fécondation de leurs œufs par la laite des mâles, I xv9. —
classification des poissons; production de de leurs œufs, II ι 9 12.
— leur génération selon leur chaleur, II ι 18 19 21. — organisation
de leur œuf; nature de leur corps; leurs œufs, II ι 18 a m —
vιvιpares, position de leur matrice; absorption du sperme dans ces
animaux, II ν 19. — vιvιpares, disposition de leurs organes de
génération, II ν 19 n. — les œufs sortis du sein de la mère sont
fécondés par la laite que répand le mâle, II vιιι 3/i. — incertitude
sur leurs accouplements hybrides, II ιx 7. — observations sur leur
reproduction sans la coopération du mâle, II vu 6.
— ovιpares, nature, couleur et développement de leurs œufs, ΙΙΙ ι 3.
— et oiseaux, nécessité de l'intervention du mâle partout où il y a
des œufs chez ces animaux, ΙΙΙ ι 16. — ovιpares au dehors, leur
production; cause de rémission rapide de leurs œufs; explication de
la couleur simple de leurs œufs, ΙΙΙ ι 21 24. — ovιpares,
disposition de leur matrice, ΙΙΙ ni 1 n. — œuf des poissons, ΙΙΙ ni
1. — comparaison des œufs de poissous et des œufs d'oiseaux, ΙΙΙ in
3. — différences et ressemblances dans la pro-duction des oiseaux et
celle des poissons, ΙΙΙ m 4 6. — ressemblances et différences de
leur production avec celle des oiseaux; couleur de leurs œufs; leur
nourriture et leur développement, ΙΙΙ ni 4 6 8.
— développement de leur œuf, comparé à celui des oiseaux, ΙΙΙ m 6
it. — œufs des poissons ; causes de leur petitesse et de leur
quantité prodigieuse, ΙΙΙ ιv 2. — déve-loppement de leurs œufs;
[
>oissons crevant à cause de eurs œufs trop pros, ΙΙΙ iv4.
— sont tous ovιpares, même les sélaciens, ΙΙΙ ν 1. — l'organisation
de la laite des mâles analogue à celle des mâles dans les sélaciens,
ΙΙΙ ν 3. — chez lesquels on peut compter jusqu'à huit et dιx
millions d'oeufs, ΙΙΙ ν 4 n. — femelles des poissons, concevant,
dit-on, en avalant la semence des mâles, ΙΙΙ ν 6.
— erreur accueillie par Hérodote, dans ses légendes fabuleuses, ΙΙΙ
ν 10. — mâles, répandant leur laite sur les œufs pondus par la
femelle, ΙΙΙ ν 9. — uuelques espèces de poissons hermaphrodites ;
opinion d'Aristote à ce sujet, ΙΙΙ vι 6 n. — ressemblances des
poissons et des oiseaux, en ce qui est relatif aux œufs, ΙΙΙ ni 8 η
; ΙΙΙ vι 5 n. — gé-nération des poissons, comparée à celle des
sélaciens; croissance de leurs œufs, ΙΙΙ vι 13. — production et
couleur des œufs des poissons ; faits insuffisamment observés par
rapport a leur génération, ΙΙΙ vι 3-6. — erreur de ceux qui croient
que tous les poissons sont femelles; observations mal faites sur
leur accouplement, ΙΙΙ vu 12. — qui produisent des petits sans
accouplement, ΙΙΙ ιxl.— leur production de mâles et de fe-melles,
sans avoir de testicules, IV ι 15. — fécondité des
f
missons en raison inverse de eur grosseur, IV ιv 8. — variété des
couleurs dans le pelage des poissons, V ν 1 2. — génération et
embryologie des poissons d'après Aristote, Ρ xxxιιι à XL.
POLITIQUE d'Aristote, citée pour les époques et la durée de la
fécondité chez les hommes et chez les femmes, I xιπ 9 n.— rétablie
dans son ordre véri-table, D xx.
POLYBE, geudre d'Hippocrate, cité à propos de la discussion
d'Aristote sur l'origine des veines, II vι 6 n.
POLYPES supposés n'avoir qu'une matrice unique, I m 3. —
in-certitudes sur leur mode d'ac-couplement; erreur des pêcheurs sur
ce sujet; position de leur organe de génération, I ιx 5. — n'ont
qu'un œuf ; forme de leur corps; leur matrice, ΙΙΙ vu 2.
POMPEÏ, les fouilles de Pompéi, citées sur des lanternes qu'on y a
trouvées, Y ι 21 n.
PONTE des oiseaux, ΙΙΙ ι 7.
PORC, quantité de ses petits ; sa nature équivoque de solipède,
IV vι 3. — différence de la nature de leurs poils, par rapport aux
bœufs, à l'éléphant et à plusieurs autres espèces,
V m 8• — leurs poils peu nombreux, V ni 8 n.
POSITION diverse des testicules chez les vιvιpares, I in 2. — des
matrices dans les vιvιpares; les poissons; les oiseaux; les
crustacés; les mollusques; les insectes, I ni 3. — intérieure et
extérieure des testicules dans les animaux, I v 4. — variée des
matrices dans les animaux, I vu 1. — la position de l'œil fait des
différences dans la yision, V ι 26.
POUCHET (M. F.), professeur d'histoire naturelle au Muséum de Rouen,
a soutenu avec ardeur le système de l'hé-térogénie; note qu'il avait
S
résentée à l'Académie des ciences, pour le concours relatif à la
génération spon-atnée, Ρ cxx. — ses travaux physiologiques (1845), Ρ
CLXI.
— sa discussion avec M. Pasteur sur les générations spontanées,
ibid. — ses erreurs sur les spermatozoïdes, Ρ CLXΙΙΙ.
POULES, leur vol; grande quantité de leur excrétion sper-matique,
ΙΙΙ ι 6. — quantité de leurs œufs, ΙΙΙ ι 7. — nature des poules
courageuses, et des poules qui le sont moins, ΙΙΙ ι 8.— adrianiques,
les plus fécondes de toutes les poules; nature du corps des unes et
des autres, ΙΙΙ ι 8• — adrianiques, leur taille; leur ponte; leur
caractère, ΙΙΙ ι 8 n. — fréquence des productions monstrueuses chez
les poules, IV ni 26 27.
POUMON déterminant la chaleur naturelle, dans tous les animaux où
cet organe est plein de sang, II ι 14. — théorie des Anciens sur cet
organe, II ι 14 n. — son action ; on en a tiré la distinction des
animaux ; animaux dans lesquels il existe, II ι 14 n. — sa formation
dans le développe-ment du fœtus, II vm 3 n.
POURPHES, génération des pour-
f
>res; leur ressemblance avec es plantes, ΙΙΙ x 8 9. — œufs qu'elles
ont toujours, en plus ou moins grande quantité, ΙΙΙ x 24.
Poussins de poule et d'oie nés, dit-on, sans aucun accouplement, ΙΙΙ
ι 19. — développement du poussin ; sa nourriture; son origine, ΙΙΙ n
7-9.
— monstrueux; leur production, IV m 27.
PREDECESSEURS d'Aristote, dont pas un seul n'avait songé à la
science de l'embryologie, Ρ IY. _ et successeurs principaux
d'Aristote pour la théorie de la génération, Ρ cvι.
PREDOMINANCE d'un principe dans la génération ; défaite de l'autre,
IV ι 27.
PREFACE à l'Histohe des Animaux, citée sur la perte des Descriptions
anatomiques d'A-ristote, II vι 6 n. — citée sur les travaux
zoologiques de Démocrite, II vιιι 12 n. — citée sur la théorie des
conditions d'existence, admirablement exposée par Cuvιer, II vιιι 17
n. — citée sur des dessins représentant les dissections d'Aristote,
II ιx 4 n. — citée sur les travaux zoologiques d'Empédocle et de
Démocrite, II x 1 n. — citée sur les travaux zoologiques
d'Anaxagore, ΙΙΙ ν 12 n. — citée pour cette expression heureuse de
M. Littré : c Le moment créateur •, ΙΙΙ x 19 n. — citée sur
Léophane, naturaliste, qui serait inconnu sans la citation
d'Aristote, IV ι 15 n. — citée sur les ouvrages de Xénophon,
contenant des observations nombreuses sur le cheval, V ι 22 n. —
citée sur l'étude que Xénophon a faite des chiens de chasse, V n 4
n. — de l'Histoire des Animaux et du Traité des Parties des Animaux,
citées sur une critique qu'Aristote adresse à Démocrite, V vu 2 n. —
au Traité des Parties, citée sur la fιxité des espèces et sur les
théories qui la nient, II ι 3 n. — citée sur l'analyse du sang
d'après Aristote, et d'après la cbimie organique de notre temps, II
vι 5 /i. — citée sur le Traité de la Nutrition d'Aristote, qui n'est
pas arrivé jusqu'à nous, II vιιι 32 n. — citée pour l'affirmation
des transformistes contemporains sur les changements d'hommes en
femmes, et réciproquement, IV ιv 23 n. — citée pour les théories
d'Agassiz, sur la pensée divιιιe qui éclate dans le monde, V vu 3 n.
— du traité de la Génération, citée sur la controverse relative à
l'étude des monstruosités, IV ιv 25/i. — citée sur l'exposé de la
doctrine hippo-cratique, relative à la génération, IV vι 12 /i. —
citée sur les distinctions de l'éva-poration et de l'exhalaison, V
10 n.
PREPARATIONS anatomiques, aux-quelles Aristote substitue des dessins
copiées sur elles, Ρ vιιι.
PRESENT ET PASSE, leur différence en fait de science, Ρ cxci.
PRESURE, sa production, I xιιr 15 n — analogie de son action sur le
lait avec l'action de la semence du mâle sur les sécrétions
féminines, II vι 1.
— son action sur le lait, comparée avec l'action de la liqueur mâle
sur la liqueur féminine ; ignorance sur la cause de ce phénomène, II
vι 1 /i.
PRINCIPE des causes finales,
3
u'Aristote a le premier mis ans toute sa lumière, et qui est le plus
indispensable de tous, I ι 2 n. — et causes de la génération, I n 2.
— le moindre changement dans le principe moteur entraîne des
conséquences considérables, I n 8. — moteur et agent, dans Pacte de
la génération, I xrv 15-18. — supérieur de la génération des
animaux, II ι 1.
— auquel Aristote a recours le plus ordinairement, et qui justifie
son admiration pour la sagesse de la Nature, II ι ln. — du mouvement
dans les élres qui naissent, II ι 4 5.
— initial, cas où il vιent à disparaître, II n 4 n. — de la
nutrition et de la croissance, dans tous les êtres, plantes et
animaux, II II 15. — au nombre de deux, que doit avoir l'embryon et
qui constituent l'animal, II ιv 2. — di-vιιι de l'entendement dans
l'homme, II ιv 7 9. — de la vιe dans les animaux, II ν 11.
— qui domine toute l'histoire naturelle d'Aristote, II ν 20 n. — des
parties similaires et non-similaires, qui apparaît le premier dans
l'animal; c'est le cœur, II vι 5 6. — qu'A-ristote a formulé le
premier, et que la science moderne perd t rop souvent de vue, II vu
7/i. — le principe qui agit le premier et cesse d'agir le dernier
dans les animaux, c'est le cœur, II vu 9• — moteur dans les testacés
et dans les plantes, ΙΙΙ x 15. — moteur, nécessité inévιtable qu'il
soit toujours le premier ; son action dans la génération, IV ι 11. —
qui donne le mouvement initial, IV ι 17. — qui fait naître et
grandir l'être, IV ι 21. — et cause, de la fe-melle et du maie, IV ι
25. — lutte de deux principes dans la génération ; prédominance de 1
'un; défaite de l'autre, IV ι 27. — qui cause la révolution de la
lune et du soleil, IV ιx 7 8. — qui suppose dans la Nature l'action
d'une intelligence infinie et créa-trice, Y ι 4 n. — ce que l'auteur
entend par le mot de principe, V vι 13. — définition du principe, V
vι 13 it. — un des principes les plus vrais et les plus nécessaires,
V vu 3 n.— premier principe qu'Aristote applique à l'étude de la
Nature, V vu 6 n. — des molécules organiques et du moule intérieur
par lesquels Bufïon prétend expliquer la génération, Ρ cxxxvι et
suiv.
PROBLEME de la génération, der-nier mot d'Aristote sur ce grave
sujet, II n 12 n. — d'Aristote, citation des Problèmes sur la dureté
du mélange du cuivre et du plomb, II x 3. — passage cité par
Aristote sur la cause de la dureté du cuivre et de l'étain ; ce
passage ne se trouve pas dans les Problèmes qui nous restent, II x 3
/ι. — cités sur les variétés que présente l'homme sous le rapport de
sa progéniture, IV ιv 17. — iuédîts d'Aristote, édition
Firmin-Didot, cités sur des variations dans le nombre des petits, IV
ιv 17 n. — cités sur la cause de la môle, IV vu 2.
— référence à cet ouvrage, sur la cause de la maladie de de la môle,
IV vu 2 ιι. — cités dans le Traité de la Génération des Animaux, D
x.
PaonucTioN des plantes, I XVΙΙ 5. — des animaux, II ι 7• — question
générale de la pro-duction des animaux, II II 1.
— trois conditions indispensables : la matière, la cause et
l'essence, II π 1 et suiv.
— successive des parties de l'animal, sous l'influence du froid et
du chaud, H vιιι 19 20. — excessive chez les plantes et les animaux;
elle les épuise également, ΙΙΙ 112 13.
— des monstres, IV ni 26. PROGRES de l'embryologie de-
E
uis Aristote, Ρ iv. Voir Em-ryologie. PROPRIETES et fonctions des
parties similaires et des parties non similaires, Ιxi 12. —
sin-gulières du sperme, II ni 1-4.
PROVERBE, origine du proverbe qui dit qu'en Libye il y a tou-jours
quelque monstre nouveau, II ιx 8.
PSYLLES, leur génération par corruption, I ιx 7. — espèce de mouches
; incertitude sur leur identification, I ιx 7 n.
PUBERTE, sou influence sur la voιx, dans les deux sexes, IV vιιι 5.
PUISSANCE, opposée à l'acte ou à la réalité, II n 11 n. —
dis-tinction du mâle et de la femelle, relative à une certaine
puissance ou impuissance, IV ι 17. — du mâle, impuissance de la
femelle à faire la coction complète et définitive de la nourriture,
IV ι 17 18 24. — sens des mots Puissance et Impuissance, IV ι 20. —
ce qu'Aristote entend par cette expression, IV ni 4. — explication
de celte expression, IV m 6 n. — distinction entre l'acte et la
puissance, la réalité et la simple possibilité, IV ni 11 n. —
contenue dans le sperme ; son effet sur le nombre plus ou moins
grand des embryons, IV ιv 12.
PUNCTUM SALIENS, manifestant les battements du cœur, est un des
premiers phénomènes qu'on observe dans l'œuf, II vm 22 n
PUPILLE, nature de la peau qui l'enveloppe, V ι 20 21.
PURKINDJE, sa Thèse sur l'incu-bation des œufs d'oiseaux, Ρ CL vu. —
très appréciée par Ernest de Baër, ibid. — analyse de sa thèse,
ibid.
Pus, sa définition, IV vm 9. Voir Lait.
PUTREFACTION et décomposition des choses, V ιv 3.
PYRRHA, il y avait une vιlle de ce nom en Thessalie, ΙΙΙ x 23 n.
PYTHAOORE , son disciple, Alc-méon de Crotone, passe pour avoir été
le premier à disséquer, ΙΙΙ n 8 n.
QUADRUPEDES ovιpares, position de leurs testicules ; leurs con-duits
spermatiques, I ni 1.— organisation des quadrupèdes rapprochée de
celle des pois-sons, I vι 3 n. — ovιpares, leurs œufs complets;
position de leur matrice, I vu 3. — ovιpares h écailles; cause de la
position de leurs testicules, I vιιι 3. — flexion des membres de
derrière dans les quadrupèdes, I xiv 10 n. — et bipèdes ; vιvιpares
et ovιpares selon les espèces, II ι 11-14. — vιvιpares, différence
de leurs organes génitaux avec ceux des oiseaux et des pois-sons
vιvιpares, II ν 19 n. — fissipèdes, cécité de leurs petits au moment
de la naissance, II vιιι 4. — ovιpares, étude des causes de la
production de leurs œufs; est la même que celle qui s'applique aux
œufs des oiseaux, ΙΙΙ π 10. — et hommes, explications diverses sur
leur création, ΙΙΙ x 18 19. — sauvages, influence des saisons sur le
changement de couleur de quelques espèces d'entre eux, V ν 9. —
ovιpares, leur génération et leur embryologie d'après Aristote, Ρ LI
à LU.— vιvιpares, leur génération et leur embryologie d'après
Aristote, Ρ LU à LXΙX.
529
QUANTITE prodigieuse des oeufs
chez les poissons, ΙΙΙ ιv 4.
QUESTIONS
diverses à se poser sur le concours des deux sexes dans l'acte
générateur, 1 x 2-4. — de savoir si le sperme vιent de toutes les
parties du corps, 1x5. — sur la manière dont l'œuf se nourrit et se
développe, ΙΙΙ ιι 3 7. — une des questions les plus difficiles à
résoudre, est de savoir à quel moment l'intelligence se montre, dans
les êtres qui participent de cette sorte d'àme, II ιv 3. Voir
Intelligence et Entendement.
R
RACE,
influence de la race sur la ressemblance des enfants, IV ιιι 12. —
la ressemblance est essentielle pour sa perpétuité; ce qui la
constitue, IV m 12 13 n.
RACINES,
comparaison des veines qui se rendent à la matrice avec les racine^
qui, dans les plantes, portent la nourriture à l'embryon, II ιι 8.
RAIES,
reproduction de ces sé-laciens, ΙΙΙ ιιι 7 n.
RAISON
intelligente, sans cesse rapprochée de l'observation des faits par
Aristote, I ιι 4 5 n. — Aristote y fait toujours appel après
l'observation des faits, I xiv 18 n. — son action, I xv 1 n. —
d'accord avec les faits qu'on observe sur la génération, I xv 1. —
et philosophie, invoquées à l'appui du principe de l'existence du
monde, II ι 2 n. — part qu'Aristote fait à la raison dans
l'explication des phénomènes, II ιι 2 n. — ne vιent qu'après
l'observation sensible, II vι 6 n. — rôle de la raison dans
l'explication des faits, ΙΙΙ vι 5 n.
RAMIER,
ses petits naissent in-complets et aveugles, IV vι 4.
RAPIDITE
des accouplements selon la position des testicules, I ιv 2.
RAPPROCHEMENT
des sexes dans l'espèce humaine, II ν 3.
RATS,
leur fécondité en raison inverse de leur grosseur, IV, iv, 5.
RECAPITULATION des matières traitées par Aristote avant
la question de la génération, I i 1.
RECHERCHES,
méthode de re-cherches et d'observations pratiquée par Aristote, Ρ
vιιι-xi.
REDI D'AREZZO
(1626-1694), attaqua le premier la théorie de la
génération spontanée; médecin, naturaliste et poète ; un des
écrivains qui travaillaient au dictionnaire de la Crusca; ce qui le
distingue principalement, Ρ cxvιι. — court aperçu de son ouvrage; sa
connaissance de l'Antiquité; sa critique contre Empédocle et parfois
contre Aristote: ses observations; ses expériences, Ρ cxvιιι.
REFUTATION
des théories de Dé-mocrite et d'Empédoclc sur la stérilité du mulet,
II x 2 3. — de l'opinion tVEmpédocIe, de Démocrite et d'Anaxagore
sur la formation originelle des sexes femelle et mâle, IV ι 5-15.
REGLES
générales de l'observation des faits, sur la génération des
abeilles, ΙΙΙ ιx 18.— 530
qui détermine la fécondité plus ou moins grande dans les animaux, IV
ιv 8. — féminines, cessation des règles pendant l'allaitement, IV
vιιι 10.
REGNAULT,
cours élémentaire de chimie, cité sur le nombre des corps
élémentaires, I ι 3 n. — cité sur la céruse, II ιιι 4 n.
REGNE
végétal, rapprochement du règne végétal et de l'organisation
animale, I xiv 6 n.— relations du règne végétal et du règne animal,
II v 12 n.— phénomène qui sépare profondément le règne animal du
règne végétal, V ι 7 n.
REGNE
animal de Guvιer, cité sur les testacés, I ι 9 n. — cité sur les
organes de la génération des sélaciens, I vιιι 1 n. Voir Cuvιer.
REINES
des abeilles, la faculté dont elles sont douées dépend surtout de la
nourriture qu elles reçoivent, à l'état d'abeilles, ΙΙΙ ιx 1 n. —
leur origine; leur nourriture; leur prééminence, ΙΙΙ ιx 9 n. —
principale différence entre les reines des abeilles et les
ouvrières, ΙΙΙ ιx 12 n. — cause de la difficulté d'observer leur
accouplement avec les bourdons, ΙΙΙ ιx 13 n. — doutes et discussions
sur leur accou-plement, ΙΙΙ ιx 19 n.
RELATIONS
du soleil et de la lune, connaissance qu'en avait TAutiquité, IV ιx
5 6 n.
RENAISSANCE
du xvιe siècle, citée sur la durée de la théorie du feu, le
quatrième des corps élémentaires, ΙΙΙ x 6 n. — citée sur la durée de
la théorie de la génération spontanée, ΙΙΙ x 16 n. — citée sur la
théorie des quatre éléments, V ιι 5 n. — secoue le joug du
Péripatétisme défiguré, Ρ cxcιx.
RENARD
etchieu, leurs hybrides, II v 12 n. — cécité des petits du renard au
moment de la naissance, II vιιι 4. — forme de ses petits au moment
de la naissance, IV vι 2.
REPARTITION
des êtres selon les milieux où ils peuvent vιvre, la terre, l'eau,
iair; le feu ne peut être un milieu pour les êtres vιvants, ΙΙΙ x 5
6.
REPRODUCTIONS
d'êtres congé-nères, et d'êtres qui naissent spontanément, I ι 8. —
des animaux; incertitudes à ce sujet, I ιx 2 n. — généralités sur la
reproduction sexuelle des animaux, Ρ xvιιι.
REPTILES,
leurs testicules ; erreur d'Aristote à ce sujet, I ιιι 1 n et I
vι 4
n. — erreur d'Aristote sur leurs organes générateurs, I vιιι 9 n. —
produisent des mâles et des femelles sans avoir de testicules, IV ι
15. — différence des gallinacés comparés aux reptiles, IV ιιι 28 n.
— leur gé-nération et leur embryologie, Ρ L à LI.
RESIDU,
nature du résidu sper-matique chez les maies, et des menstrues chez
les femelles, IV vιιι 5.
RESPIRATION,
erreur sur son ac-tion dans l'évacuation d'ex-créments divers, II v
3 4. — théories d'Anaxagorc et de Démocrite, II v 4 n. — influence
de la respiration, dans la formation des organes de l'animal ;
erreur de quelques naturalistes à ce sujet, II vιιι 3. — rôle de la
respiration au moment de l'accouchement, IV vι 10 n. — influence de
l'appareil respiratoire sur la voιx, V vι 8 n. Voir Souffle.
RESSEMBLANCES,
sautant plu-531 sieurs
générations ; exemple de la femme d'Eus, I xi 2. — des enfants aux
parents ; réfutation de cet argument, quand on l'applique à la
théorie, qui fait venir le sperme du corps tout entier, I xi 3. — la
ressemblance ne peut pas vernir des parties similaires pas plus que
des parties non similaires, I xi 4-8. — des enfants aux parents, I
xιιι 5. — causes de la ressemblance des enfants aux parents, IV ι 27
n. — des enfants aux parents ; éléments divers dont cette
ressemblance peut se composer, IV ιιι 1 2. — alternatives;
ressemblauces du corps eutier, ou de quelques parties seulement, IV
ιιι 9-11. — dilliculté d'expliquer les variations de ressemblances,
IV ιιι 10 n. — essentielle pour la perpétuité de la race, IV ιιι 12
n — et dissemblance des enfants aux parents ; explications erronées
qu'en donnent les naturalistes, Empédocle et Démocrite, IV ιιι 17 18. — restrictions dans les ressemblances qu'Aristote établit
entre l'homme, les animaux et les plantes, V ιιι 23 n.
REVES
lubriques, auxquels les hommes sont sujets aussi bien que les
femmes, II ν 16. — des enfants, V ι 9.
RHINOBATES,
prétendue origine de ces poissons, II ιx 7. — incertitude sur
l'identification de ces poissons, II ιx 7 n.
RHODES,
observations faites ù Rhodes, prouvant la génération spontanée des
testacés, ΙΙΙ x 22.
RICH,
son Dictionnaire d'archéo-logie, article Laterna, cité sur les
lanternes transparentes des Anciens, V ι 21 n.
ROIS
des abeilles, observations diverses sur leurs fonctions, et celles
des bourdons et des abeilles ; dimensions différentes des uns et des
autres, ΙΙΙ ιx 8-12 15. — s'engendrent eux-mêmes; mais ils
engendrent aussi les abeilles, ΙΙΙ ιx 13. — rôle des rois ou des
reines, ΙΙΙ ιx 15 n. — la génération des rois des abeilles, comparée
à celle des lions, ΙΙΙ ιx 17. Voir Reines.
ROLE
des plantes dans l'ensemble des choses, I xvιι 5 n.
ROME,
ne s'est pas occupée d'embryologie, pendant cinq siècles après
Aristote, Ρ cxi.
ROSE
(M. Valentin), Aristoteles pseudepigraphus, cité sur le Traité de
l'Action et de la Passion, ouvrage perdu d'A-ristote, IV ιιι 14 n.
ROUGETS,
se reproduisent sans la coopération du mâle, II vιι 6. — incertitude
sur leur iden-tification, II vιι 6 n. — iden-tification de ce nom de
poisson, ΙΙΙ ν 2 n. — et serran, leur différence avec les autres
poissons, ΙΙΙ ν 3. — identification de ce nom de poisson, ΙΙΙ ιx 10
n.
RUDESSE,
douceur, flexibilité de la vox; cause de ces irrégularités, V vι 14
15.
RUMINANTS,
organisation de leurs pieds, IV vι 1 n.
S
SAGESSE
de la Nature dans la ne fait jamais rien en vain, II formation des
organes; elle vm 27 30. — difficulté de bien
532 comprendre la sagesse
de la Nature, II vιιι 30 n. — de la Nature dans la génératiou des
abeilles, ΙΙΙ ιx 14. — prévoyante de la Nature, à propos de la
pousse et de la chute des dents chez les animaux, V vιι 3 4. —
époque régulière que la sagesse de la Nature a déterminée pour la
sortie du fœtus, IV vιιι 10 11.
SAISON,
influence de la saison chaude sur les œufs et sur les vιns, ΙΙΙ ιι
12 13. — ou les huîtres sont les meilleures, ΙΙΙ x 24. — influence
des saisons sur la procréation de mâles ou de femelles, IV n 2. —
effets des saisons sur la chute des feuilles, chez les plantes, et
sur la calvιtie chez les hommes, V vιι 19 20-23. — influence des
saisons sur le changement de couleur dans les animaux, V ν 9. —
influence passagère de la saison sur les changements de couleur dans
les animaux, V ν 9 n.
SANG
des insectes et sa couleur, I xiv 8 n. — action du sang dans
l'animal, II vι 6. — nature du sang dans les corps bien nourris,
IV ι 19. — origine du sang et des veines, IV vιιι 5. — le sang est
appelé par excellence le fluide
nourricier, IV vιιι 9 n.
SANGLIERS,
organisation de leurs pieds, IV vι 1 n.
SANTE,
influence de la santé et de la maladie sur les fonctions
spermatiques, I xιι 18 n. — des animaux pendant la gestation, IV vι
10.
SAULE
et peuplier, n'ont pas de semence ; causes de cette disposition,
selon Aristote, I xιι 21. — leur genre ; erreur (l'A-ristote au
sujet de ces deux arbres, I xιι 21 n.
SAUROMATES,
les peuples qui por-taient ce nom habitaient les bords du Tanaïs (le
Don) au nord des Palus Mœotides, V ιιι 14 n.
SAUTERELLES,
leurs organes de génération, I ιx 9 n. — leur génération par des
êtres con-génères, I ιx 7.
SCIENCE
moderne, théories aux-quelles elle n'a rien à changer; elle repousse
la génération spontanée, I ι 5 n. — deux éléments principaux de la
science, I ι 8 n. — moderne, citée sur la reproduction des plantes,
1 i10 n. — éléments essentiels de la science, I II 4 n. — moderne,
sens dans lequel elle prend le mot de matrice, I vιι 10 n. — son
identification des psylles, espèce de mouches, I ιx 7 n. — citée sur
l'élaboration du sperme, I x 6 n. — citée pour une de ses conquêtes
les plus belles, au sujet de l'embryon, I xιι 6 n. — citée sur des
cas exceptionnels se rapportant aux mois des femmes, I xιιι 16 n. —
sa théorie conforme à celle d'Aristote sur l'origiue du fluide
féminiu, I xiv 2 n. — a constaté que l'homme naît d'un ovule, sorti
des ovaires, et amené à l'utérus par les trompes de Fallope, I xiv
10 n. — résultat de la science vraie, I xv 1 n. — moderne, citée sur
le rôle de la femelle dans l'acte de la génération ; théories
anciennes, dont elle n'est pas très éloignée, I xv 8 n. — sa théorie
sur le poumon est absolument celle du naturaliste grec, II ι 14 n. —
ses principes de classification tirés surtout de l'auatomie, II ι 21
n. — citée sur la nature du sperme; son explication se rapproche
beaucoup 533 de celle
d'Aristote, II ιι 11 n. — d'accord avec Aristote sur le rang des
vιvιpares, II ν 2 n. — point de physiologie qu'elle n'a pu encore
éclaircir, concernant la rencontre de la liqueur séminale avec
l'ovule, II ν 20 n. — son silence sur les, œufs clairs, pouvant
devenir féconds, II vιι 5 n. — citée sur un grand principe
qu'Aristote a formulé le premier, et qu'elle perd trop souvent de
vue, II vιι I n. — ses théories sur la fontanelle, II vιιι 26 n. —
ses études sur la nutrition des os, II vιιι 34 n. — moderne, ses
études sur les dents, II vιιι 35 n. — citée sur les rapports de la
mère au fœtus, et sur la manière dont il se nourrit dans les premier
temps, II ιx 2 n. — n'a pas attaché aux œufs clairs la même
importance qu'Aristote, ΙΙΙ ι 16 n. — citée pour des observations
relatives à la formation de l'œuf, ΙΙΙ ιι 4 n. — début prodigieux de
la science, ΙΙΙ ιι 17 n. — s'arrête après Aristote; elle ne s'est
remise en marche que vers le xvne et le xνιιι• siècles, ΙΙΙ n 19 n.
— moderne, sa classification de la grenouille de mer, ΙΙΙ ni 2 n. —
ne paraît pas s'être occupée beaucoup des grenouilles de mer,
ΙΙΙ ni 5/i. — distinctions qu'elle fait dans les métamorphoses des
insectes, ΙΙΙ vιιι 6 n. — citée pour des détails exacts d'Aristote
sur les chenilles, ΙΙΙ vιιι 7 n. — citée pour un point douteux dans
l'étude sur les abeilles, ΙΙΙ ιx 12 n. — deux cnuditions
essentielles de la science, ΙΙΙ ιx 18 n. — moderne, citée sur
les classifications des insectes et des tcslacés, ΙΙΙ x 1 n. — citée
sur la différence des sexes et sur la chaleur animale, IV ι 18 n. —
son opinion conforme à celle d'Aristote sur la production des
monstres, IV ιιι 31 n. — sa classification de l'éléphant ;
n'admettrait pas celle d'Aristote, IV ιv 8 n. — ses théories sur la
génération gémellaire, IV ιv 18 n. — citée sur les évolutions que
peuvent subir le sperme, les vésicules de de Graaf, et les ovules
sortis des ovaires, IV ιv 19 n. — son opinion sur les monstruosités,
IV ιv 22 n. — citée sur l'étude de la superfétation, IV ν 1 n. —
ses études sur les transformations qui permettent au nouveau-né,
sortant du sein de sa mère, de s'accommoder de l'air ex-térieur, IV
vιιι 4
n. — citée sur le rapport de la durée de la gestation avec celle de
la vιe, IV ιx 1 n. — fait une familles des équidés, IV ιx 3 n. —
citée sur le principe moteur, V ι 4 n. — citée sur le somnambulisme;
sur l'étude des yeux, V ι 10 11 n. — citée sur la cause de la
nycta-lopie, V i 19 n. — son opinion sur la meilleure vue, V ι
20 n. — citée pour des observations sur la différence des poils, V
ιιι 2 n. — citée sur analogie des écailles, des plumes et des poils,
V ιιι 4 n. — ses recherches sur la température des diverses parties
du corps, V in 20 n. — admet la théorie d'Aristote sur l'encéphale,
plus gros chez l'homme que chez les autres animaux, V ιv 8 n. — ses
analyses sur la chaleur propre de chacune des parties du corps,
comparées à celles des Anciens, V ν 7 n. — son étude sur les
couleurs de la peau et des poils, V v 10 n. — progrès de la science
depuis Aristote, dans l'étude des dents eu général, V vιι 8 n. — De
l'embryologie créée et exposée tout au long par Aristote, trois
cents ans et plus avant l'ère chrétienne, Ρ iv. — la science se meut
aujourd'hui, comme il y a deux mille ans, dans le cercle qu'Aristote
lui a tracé ; progrès qu'elle peut encore faire, Ρ vι. —
contemporaine, citée pour la classification des animaux, qu'Aristote
a fιxée le premier, et qu'elle adopte en grande partie, Ρ XXII. —
nature vraie de la science, Ρ cxc et suiv. — ses lois, Ρ cxci et
suiv. — tirées de l'histoire de la phy-siologie, Ρ cxcιι et suiv. —
la science est toujours placée en face de l'infini, Ρ cxciv.
SCYTHES
du Pont, nature de leurs cheveux, V ιιι 12 14. — et Thraces, signes
caractéristiques des Scythes et des Thraces, V ιιι 12 n. — peuplades
qui habitent encore les bords de la mer d'Azoff, et les contrées au
nord de la mer Egée, et sur les rives du Danube, V ΙΙΙ 12 n.
SCYTHIE,
contrée au delà du Danube et de la Thrace, II v 12 n. — ses limites,
V ιιι 12 n.
SECRETION
spermatique, sa double circulation dans les vιvιpares, I ιv 3. —
rapprochement entre deux espèces de séc rétions, I xιιι 9 n. — sexe
dans lequel a lieu la sécrélion spermatique, I xιιι 12 n. — relation
entre les deux espèces de sécrétions spermatiqucs, I xιιι 12 n. —
féminiues ; action de la semence du maie sur ces sécrétions,
analogue à l'action de la présure sur le lait, II vι 1. —
abondance des sécrétions chez la femme, IV vιιι 7. — comparaison
entre l'espèce humaine et les autres espèces, relativement à
l'abondance de leurs sécrétions, IV vιιι 7 n.
SEICHE,
sa génération a lieu par copulation, ΙΙΙ vιι 1. — fait partie de la
première classe des mollusques ou céphalopodes; leurs sexes séparés;
manière dont se fait leur fécondation, ΙΙΙ vιι i n. — leurs deux
œufs apparents; divιsion et forme de leur matrice, ΙΙΙ vιι 2. —
singulière position de la petite seiche, au moment de sa naissance,
ΙΙΙ vιι 4,
SELACIENS,
position de leur matrice, I vιι 1. — leur organisation spéciale
participant de celle des quadrupèdes et des oiseaux, I vιι 6-8. —
sont ovιpares en eux-mêmes et ensuite vιvιpares, II ι 8 12. —
organisation dont ils participent; leur génération, selon leur
chaleur, II ι 17. — organes de la génération des femelles, I vιι 7
n.. — annonce d'une étude spéciale sur l'organisation qu'ils
présentent. II v 2. — leurs œufs intérieurs ; développement, nature
et couleur des œufs de ces poissons, ΙΙΙ ι 2. — particu-larités
importantes qu'offre leur reproduction, ΙΙΙ ι 2 n. — première
famille des chon-droptérygiens à brauchies fιxes ; genres dont se
compose cette famille, II ι 8 n. —mode de leur génération, II ι 16
n. — leur œuf, ΙΙΙ ιιι 1. — nature de la coquille de leur œuf, ΙΙΙ
ιιι 2.—nouveauté, dans la langue grecque, de ce nom inventé par
Aristote, ΙΙΙ ιιι l n. — leur organisation spéciale, ΙΙΙ ιv 1 n. —
sont d abord ovιpares, ΙΙΙ ν 1. — organisation de la laite des
mâles, analogue à celle des maies dans les poissons ovιpares, ΙΙΙ ν
3. — développement de leur œuf, ΙΙΙ ν 5 n.
— leur génération particulière comparée à celle des poissons, ΙΙΙ vι
1. —leur organisation très spéciale, ΙΙΙ vι 1 n.
SELECTION,
bruit qu'on en a fait dans notre temps ; succès avec lequel les
Anciens la prati-quaient déjà, I xv 7 n.
SEMENCE, sens dans lequel on peut dire que tous les êtres vιennent
de semence, I xιι 4 5. — génératrice, est une sécrétion particulière
du sang, I xm 3. — preuve qui fait voir que la semence génératrice
ne vιent pas de tout le corps, I xiv 15. — rôle singulier qu'on lui
attribue, II ιv 9 /i. — des plantes étrangères, leur changement
selon le sol où on les met, II ν 12. — rapport de la semence
génératrice avec la nature des menstrues, II vι 1. — ressem-blance
de sa nature avec celle du cerveau; sa matière, II ιx 13. —
découverte des spermatozoïdes, dans la semence de tous les animaux
mâles, et particulièrement dans la se-mence humaine, Ρ cxxxi.
SENEQUE, son silence sur la gé-nération, Ρ cxi.
SENS du goût, toujours représenté par Aristote comme une sorte de
toucher, I xvn 7 n.
— finesse et portée des sens de l'ouïe et de l'odorat, V n 1.
SENS divers donnés à cette ex-pression : qu'une chose vιent dune
autre, I xιι 2.
SENSATION, traité de la sensation et des choses scusibles
d'Aristote, cité sur les variétés dans la couleur des yeux,
V ι 15. — (Opuscules psycho-logiques), cité pour l'opinion
d'Empédocle et celle de Platon sur la vιsion réfutées par Aristote ;
réfutation de la théorie de Démocrite. V ι 15 n. — cité sur les
conduits de tous les organes des sens,
V π 2. — cité sur les conduits des organes des sens, se rendant au
cœur, ou à la partie qui le remplace ; sur l'organe qui sent l'air,
Y n 2 n.
— cité sur la voιx ou le bruit des animaux, Y vι 3 16. — cité sur la
voιx, V vι 16 n. Voir Aristote.
SENSIBILITE et goût distinguent l'animal ; degrés dans la
sen-sibilité, I xvn 6-8. — la sen-sibilité est la condition
préa-lable, si ce n'est unique, de la connaissance, I xvu 6 n ; II ι
5 n. — la sensibilité constitue primitivement l'animal, II ιv 1 π. —
faculté refusée à la plante, II ιv 2 n. — la sensibilité distingue
l'animal de la plante, II vu 2.
SEPARATION des sexes, II ι 4 5.
SEROSITE, sécrétion vaginale ana-logue à la salive; plus ou moins
abondante selon les sujets ; sa production, II ν 18 n.
SERPENTS, leurs conduits sper-matiques, au lieu de testicules, I ni
1. — et poissons; leur exemple montre bien qu'il n'y a pas nécessité
de testicules pour la génération, I ιv 1. — leurs canaux pleins de
liqueur séminale, I ιv 1.— leur organisation ; leur accouplement
particulier; cause de leur entrelacement, I vι 4-6.
— production de leurs œufs ; leur classification, II ι 9 12.
— ιι deux têtes ; explication de cette monstruosité, IV m
28. — monstruosités qu'on peut observer dans cette espèce, IV m 28
n. SERRAN, identification de ce nom de poisson, ΙΙΙ ν 2 n. — et
rouget, leur différence avec les autres poissons, ΙΙΙ ν 3.
— identification de ce nom de poisson, ΙΙΙ ιx 10 n.
SEXES, rapports des deux sexes dans la génération, I x 3 n.— examen
de la question de savoir quelle est la part de l'un et de l'autre
sexe dans l'acte de la génération, I xi 23. — confondus dans un même
in-divιdu, I xu 5 n. — différence entre les deux sexes,
relative-ment à la durée de la fécondité, I xιιι 9 n. — différences
des fonctions des deux sexes, I xiv 5 n. — rôle qu'Aristote attribue
aux sexes ; différences de leurs rapports, I xiv 6 n.
— différences des rapports des deux sexes, I xiv 6 il. — effets de
la séparation des sexes par rapport à la naissance des êtres, I xiv
14. — différence des sexes dans les plantes, inconnue de
l'Antiquité, I XVΙΙ 1 n. — la réunion des sexes qui s'accouplent
comparée à l'organisation végétale, I XVΙΙ 5 8 #i. — séparation des
sexes, II ι 4 5.
— des plantes; soupçon qu'en avait Aristote, II ι 4 5 n. —
rapprochement des sexes dans l'espèce humaine, II ν 3. — des
végétaux, ignoré des Anciens, II vu 1A. — séparés chez les seiches,
ΙΙΙ vu 1 #i.
— des plantes; leur existence soupçonnée par Aristote, ΙΙΙ ιx 9 n. —
de la formation originelle des sexes, femelle et mâle, IV ι 2. —
théories d'A-naxagorc, d'Empédocle, de Démocrite d'Abdère,
IV ι 3•
— mystères impénétrables de l'origine de la différence des organes
sexuels, IV ι 6 #i. — arguments à opposer à Em-pédocle, à Démocrite
et à tous ceux qui partageraient leur opinion, sur la formation
originelle des sexes femelle et mâle, IV i9 13. — la théorie qui
attribue la différence des sexes à la chaleur et au froid, est assez
soutenable ; théorie personnelle de l'auteur, IV ι 16 17. —
influence -du sexe sur la température de l'animal, IV ι 18 Jt. —
action du cœur dans la formation des sexes, IV ι 24. — différence du
développement du fœtus selon les sexes, IV vι 7 n. — influence du
sexe et de l'âge sur le timbre de la voιx, V vι 2.
SIGNES de la stérilité chez les hommes et chez les femmes, II îx 10.
Voir Stérilité.
Soc RATE s'applique à la définition des mots, Ρ xin. — nom banal
dont Aristote a l'habitude de se servιr comme exemple, IV ni 4 /#. —
ou Coriscus, exemple à l'appui de la théorie de la puissance, IV m
4-7.
SOL, son action sur les semences, II ν 12.
SOLEIL, influences du soleil et de la lune comme foyers de chaleur,
sur les durées de la gestation, sur les naissances et sur les morts,
IV ιx 6. — relations du soleil et de la lune ; connaissance qu'en
avait l'Antiquité, IV ιx 5 /i. — prin-cipe de ses révolutions, IV ιx
7 8.
SOLIPEDES, leur fécondité, en rai-son inverse de leur grosseur, IV
ιv 5 7. — il n'y a pas de superfétation chez ces animaux, IV ν
1. — leurs petits complètement formés au mo-ment delà naissance, IV
vι 1. — famille du nom d'Equidés ; leurs sous-genres; leur mode de
locomotion, IV vι 1 n. SOLLICITUDE particulière des animaux pour
leurs petits, ΙΙΙ n 11.
SOMMEIL des enfants soit dans le sein de la mère, soit après la
naissance, V ι 6 7. — nature du sommeil, V ι 7. — cause du sommeil
des petits animaux dans le sein de la mère, V ι 8.
— et de la veille, traité d'Aristote (Opuscules psychologiques),
cité sur le sommeil des enfants et sur la différence de la plante et
de l'animal, V ι 8 /*. — cité par Aristote dans le Traité des
Parties des Animaux, V ιv 2 n.
SOMNAMBULES, observations fort anciennes à leur sujet, V ι 10 n. —
état des somnambules, V ι 9 10.
SOMNAMBULISME , indiqué dans une théorie d'Aristote, V ι 9 10/1.
SONS ET ODEUBS, différences des sons et des odeurs, V n 4. — grave
et son aigu de la voιx des animaux, V vι 4.
SOUFFLE, hypothèse peu probable de MM. Aubert et Wim-mer touchant ce
mot, II vιιι 3 5/i. — de l'être qui agit, et aussi de l'être qui
souffre, II vιιι 5. Voir Respiration. — influence du souffle dans la
formation des organes de l'animal, II vιιι 3.
SPALLANZANI contredit Needham sur la génération spontanée, Ρ cxx.
SPERMATINB, connaissance qu'en avaient les Anciens, II ιx 12 n.
SPERMATOZOÏDES, découverte ré-cente des spermatozoïdes, I xιιι 5 n.
— n'étaient pas connus des Anciens ; leur découverte, I xιιι 5/i. —
la découverte des spermatozoïdes donne des lumières pour comprendre
la génération, I xvι 3 n. — supposés la partie intégrante de
l'embryon, si ce n est la seule, II n 7 n. — leur existence ignorée
au temps d'Aristote ; leur découverte, II π 14 /i. -r- les
investigations d'Aristote le met-taient sur la voie de cette
dé-couverte, IVιv 11 n. — dans la semence de tous les animaux mâles,
et particulièrement dans la semence humaine ; auteur auquel est
attribuée cette découverte considérable, Ρ cxxxi.
SPERME, sa formation; son origine, I n 3. — et lait, dans les
animaux qui ont du sang ; l'un et l'autre sont des parties
si-milaires, I x 1. — question pour savoir si le sperme vιent de
toutes les parties du corps; quatre arguments en faveur de
l'affirmative, I x 5-7. — ré-futation de cette théorie, I xi. — si
les parties sont séparées dans le sperme, comment peuvent-elles
vιvre? si elles y sont combinées, l'animal est déjà tout formé, I xi
8. — théories de quelques naturalistes sur le sperme, combattue par
Aristote, disparue complètement de la science, bien que soutenue
encore par Buffon, I xi 11 n. — n'a pas de sexe, I xi 23. — sa
nature particulière; étude pour savoir quelle est son action, I xιι
1. — ses caractères; sa définition, dans les espèces où il y a deux
sexes, I xιι 5. — sa différence avec le fruit des végétaux; nature
initiale du sperme, I xιι 6 7. — comparé au fruit des plantes, I xιι
7/i.
— regardé par les Anciens comme une concrétion ; c'est une excrétion
des parties utiles des aliments, I xιι 9 10.— preuves à l'appui de la
théorie sur la nature du sperme, I xιι 13 14. — il n'y en a, ni dans
le premier âge, ni dans la vιeillesse, ni dans les temps de
maladies; différences dans la quantité du sperme, selon les
indivιdus et selon les espèces, I xιι 18 19. — influence de la santé
ou de la maladie sur la quantité du sperme, I xιι 20. — sou
élaboration morbide, I xιι 20. — maladies que cause l'écoulement du
sperme, se confondant avec l'urine, I xιι 22. — soulagement par son
émission régulière, I xιι 23. — canal pour l'expulsion de l'urine et
celle du sperme, I xιι 23. — nature du sperme, I xm 1. — le sperme
est une sécrétion par-ticulière du sang; son émission sanguinolente,
par suite d'excès vénériens ; son action puissante; obscurité de
cette question, I xu 3-7. — définition du sperme, I xm 3 n. — cause
de son action, I xm 5 n. — action générale de la liqueur séminale, I
xm 5 n. — assimilé aux menstrues, I xm 9 12 η ; I xiv 5 6 w. —
abondance du sperme et des menstrues dans l'espèce humaine, plus
grande que dans aucune autre espèce, I xiv 11. — dé-nition du
sperme, I xu 11 n.
— rapports nombreux du sperme et des menstrues, I xiv 12. —
conclusion sur l'action du sperme, I xv 10. — façon dont le sperme
contribue à la génération, dans les espèces qui en émettent, I xvι
5. — le sperme est cause de la production des animaux ;
son action spéciale, II n 2 4. — explication remarquable d'Aristote
sur la nature du sperme, se rapprochant beaucoup de celle que paraît
adopter la science moderne, II n 11 n. — venu de l'être qui
engendre, II n 7. — il doune le premier mouvement; les parties
diverses de l'animal se développent à la suite, II n 11. —le sperme
a une âme, principe de la nutrition et de fa croissance dans tous
les êtres, dans les plantes aussi bien que dans les animaux, II n 14
15. — analyse du sperme, II m 7 et suiv. n. — phé-nomènes que
présentent le sperme et l'huile, II m 14. — sa nature ; ses
singulières propriétés; analyse plus exacte du sperme, II ml 4.—
causes de sa blancheur; il ne géle pas, II ni 9 10. — et embryons,
ayant l'âme en puissance sans l'avoir en acte et en fait, II
ιv 4-10. — théorie du sperme, II ιv 9 /i. — communiquant le mouvement
et l'âme à l'embryon, II ιv 10 11.— générateurs, leur formation dans
les animaux, II ν 14. — absorption du sperme dans l'espèce humaine
et dans les animaux, II x 18 19. —erreur de l'explication sur la
manière dont cette absorption se fait, II ν 20. — expériences sur le
sperme des hommes, indiquant leur stérilité, II ιx 12. —com-position
chimique du sperme, d'après Vauquelin et Berzé-lius, II ιx 12 n. —
température du sperme de l'âne et du cheval, II x 13. — définition
du sperme ; sou caractère particulier, IV ι 26 27.— nécessité
d'organes spéciaux destinés à recevoir le sperme, et ayant une forme
différente,
IV ι 27. — importance de la qualité et de la quantité du sperme, IV ni 17 n. — son analyse au temps d'Aristote,
IV m 20 «. — partisans
nombreux, jusque dans ces derniers temps, de la théorie de l'action
du sperme qu'Aris-tote réfute, IV ιv 9 n. — action du sperme sur le
nombre
E
lus ou moins grand des eni-ryons, IVιv 7 9. — sa quantité et sa
divιsion ; sa chaleur comparée à celle de l'eau ; sa coagulation
comparée à celle du lait, IV ιv 12 13. — divιsion du sperme
produisant plusieurs embryons, IV iv!9.
— élaboration de la sécrétion spermatique, IV vm 5. — relation entre
le sperme et les menstrues, IV vιιι 5 /*.
SPIEGEL, cité sur les ovaires, qu'il avait observés, sans en bien
comprendre le rôle, Ρ cxxvι.
SPIRITUALISME platonicien, repa-raissant dans les théories du
disciple empruntées au maître, II ιv 9 n.
STATION droite, privιlège exclusif de l'homme, V ι 10 /i.
STATISTIQUES médicales de notre temps, citées sur le nombre de maies
contrefaits, plus grand que celui des femelles, IV vι 6 //. —
médicale d'Aristote et des Anciens, analogue à la nôtre, IV vι 9 n.
— de nos jours, IV ιx 5 n.
STRABON, édition de Firmin Di-dot, cité sur les connaissances
qu'avait la Grèce des Scythes et des Thraces, au temps d'Homère et
de Stra-bon, V m 12 n. — sa remarque sur le peu de connaissance que
les Grecs avaient des Sauromates, V in 14 n.
— idées étranges qu'il semble partager, malgré son bon sens
ordinaire, sur l'action des eaux, V v 5 n.
STENON (1638-1687). le médecin danois auquel Vallisneri attribue la
découverte des animalcules spermatiques, Ρ cxxxiu.
STERILITE, cause de la stérilité dans les animaux, I ιv 3 /ι,— des
hybrides dont toute la race est inféconde, II ιx 9. — relative de
quelques indivιdus dans l'espèce humaine, II ιx 9 10. — signe
péremptoire de stérilité, II ιx 10 n. — cause de la stérilité
originelle et unique chez les mulets, II ιx 10 n. — du mulet; elle
atteint tous les indivιdus de l'espèce sans exception, II x 1. —
cause de la stérilité des mu-lets selon Empédocle, II x 3 /ι. —
essai d'une explication logique de la stérilité du mulet;
l'observation des faits réels est encore préférable aux
raisonnements les plus spécieux, II x 7 10. — vraie cause de la
stérilité, I xιι 17 n.
STYLE d'Aristote dans le Traité de la Génération des Animaux, D xvn.
SUCCESSEURS principaux d'Aris-tote dans la théorie sur la
gé-nération, Ρ cxi.
SUPERFETATION, ses variétés se-les espèces, IV v 1. — place qu'elle
tient dans les traités ordinaires de physiologie com-parée, IV v 1
n. — étude de la superfétation, IV v 1 n. — observateurs cités pour
leur étude spéciale sur les super-fétations, dans l'espèce hu-maine,
IV v 1 n. — ses causes; explication de ces phénomènes, IV v 2 n. —
causes de la superfétation chez les unipares et les multipares, IV v
2.
SUPERSTITIONS vulgaires sur l'in-fluence des astres, IV ιx 7w.
SWAMMEROAM, médecin hollan-dais, élève de Van Home, se défend
d'avoir été le plagiaire de Van Home; ses accusations contre Régnier
de Graaf; mort assez jeune ; titres par lesquels il s'est rendu
célèbre; louange qu'on peut encore lui adresser, Pcxxvm.
SYENXIESIS de Chypre, cité dans la discussion d'Aristote sur
l'origine des veines, II vι 6 n.
SYSTEMS des naturalistes qui soutiennent que le sperme vιent de
toutes les parties du corps, combattu par Aristote, I xi 5 11 15 n.
— d'Empédocle sur le sperme, qu'il fait venir du corps entier du
mâle et de la femelle,, I xi 9 10. — insoutenable d'Empédocle et de
Démocrite, sur la production de la femelle et du mâle et sur la
ressemblance des enfants aux parents, IV in 18.
— nerveux, son influence 6UR la vιe fœtale, V ι 6
— d'embryologie aristotélique, Ρ xv. — de Buffon sur les molécules
organiques et sur le moule intérieur, pour expliquer la génération ;
jugement qu'en porte Cuvιer, Ρ cxxxv. — des devanciers de Buffon;
critiques peu fondées qu'il leur adresse, Ρ CXL.
TAUREAU, venant d'être coupé et néanmoins fécondant une va-che, I
ιv 3. —phénomène que les taureaux présentent par rapport au timbre de
leur voιx, V vι 2 9. — nature de leurs muscles, V vι 10.
TELESCOPE, pressentiment qu'en avait Aristote; servιces qu'il peut
rendre; difficultés de sa construction, V ι 27 n.
TEMPERATURE, changements que cause la gymnastique dans la
température de ceux qui s'y livrent, IV vι 10 n. — diffé-rence de la
température des oiseaux et de celle des mam-mifères, ΙΙΙ il 14 n. —
diffé-rences de température dans le mâle et la femelle, IV ι 18.—
différente dans le mâle et dans la femelle, IV ι 18. — influence du
sexe sur la température de Tanimal, IV ι 18 /i. — ordinaire de
l'homme, V m 19 n. — recherches sur la température des diverses
parties du corps; température de l'encéphale, V ni 20 n.
TEMPES blanchissent les premières ; explications de ce phénomène, V
ιv 7.
TEMPS, influence du beau ou du mauvais temps sur les abeilles et sur
la ruche entière, ΙΙΙ ιx 15. — déterminés pour la naissance des
animaux, IV vιιι 11. — manière dont les Grecs mesuraient le temps,
IV ιx 5 n. — mesuré dans l'Antiquité par les périodes des deux
astres, le soleil et la lune, IV ιx 6 n. — action du temps sur tous
les êtres, V ι 2 n.
TERRE, manières diverses dont les hommes et les quadrupèdes out pu
en sortir, ΙΙΙ x 18.
TERTULLIEN, cité sur les réserves de pudeur qui sont toujours
sous-enleudues, dans une science sérieuse, Ρ cxxvι.
TESTACES, n'ont pas le sexe fe-melle et le sexe mâle, I ι 9.— sont
les derniers des animaux privés de sang, II vm 20. — ou coquillages,
leur génération ; leur définition ; leur origine; eau dans
lesquelles ils vιvent; formes qu'ils revêtent; leurs rapports aux
plantes, ΙΙΙ x 1-3. — bourgeonnement et génération spontanée des
testacés; leur multiplication, comparée avec les géuérations des
plantes» ΙΙΙ x 8 9. — hermaphrodites; explication de la manière dont
ils se multiplient, ΙΙΙ x 9 10 n. — formation de récaille des
testacés dans l'eau de mer, ΙΙΙ x 12. — seul testacé (limaçon) dont
on ait observé l'accou-plement; questions à se poser si Ton voulait
faire une étude régulière sur cet accouplement, ΙΙΙ x 14. — sexes
réunis dans les testacés, ΙΙΙ x 15 ». — analogies entre le
déve-loppement des testacés et le développement des larves, ΙΙΙ x 20
21. — manière dont ils se produisent ; preuves qui démontrent leur
génération spontanée, ΙΙΙ x 20 22. — erreurs sur leurs prétendus
œufs, ΙΙΙ x 24. — preuves qui démontrent la génération spontanée des
testacés, ΙΙΙ x 22. —les testacés sont hermaphrodites, ΙΙΙ x 22 n. —
erreurs sur la formation de leurs œufs, ΙΙΙ x 24. — leurs œufs; leur
graisse, ΙΙΙ x 24 n. — leur embryologie et leur génération d'après
Aristote, Ρ xxin à xxv. TESTICULES et matrices dans les animaux qui
ont du sang ; parties semblables ou analogues dans les animaux
exsangues, I il 7. — dans les animaux qui ont du sang; diversités de
leur organisation, I ni 1. — intérieurs chez les oiseaux et les
quadrupèdes ovιpares, I ni 1. — structure très particulière des
testicules des poissons, I ni 1 /*. — des reptiles et des poissons ;
erreur d'Aristote à ce sujet,
I ni 1 n. — fonction des tes-ticules; ils sont organisés en vue du
mieux, I ιv 1. — rapidité des accouplements selon leur position, I
ιv 2. — ablation des testicules chez les oiseaux, I ιv 3 4. — chez
les oiseaux; leur organisation ; nécessité de leur conformation
spéciale; résumé sur leur position intérieure et extérieure, chez
les animaux, I ν 1-4. — chez les animaux en général, I ν vι. —
conformation des testicules dans les animaux, où, comme chez
l'homme, ces organes sont in* dépendants et extérieurs, I vι 3/i. —
cause de la position des testicules, tantôt dehors, tantôt dedans ;
rapport de la nature de leur peau avec leur position intérieure ou
extérieure, I vιιι 12. — des cétacés, cause de leur organisation, I
vιιι 3/i. — conditions générales de la positiou des testicules, I vm
9 10. — pra-tique singulière de la ligature de l'un des testicules
avant la copulation, IV ι 15. — disposition des testicules chez les
oiseaux mâles, IV ν 6. — action particulière des testicules comparés
aux pierres que les tisserands suspendent â leurs fils ; action des
testicules sur la voιx des animaux, V vι 11.
TETE, se développe immédiate-ment après le cœur; grosseur des
parties qui l'avoisiuent,
II vm 22. — des enfants; sa
grosseur démesurée, II vιιι
26. — sortie naturelle du fœ-
tus par la tête chez tous les
animaux, IV vιιι 12. — parties de la tête où se produit surtout la
calvιtie, V m 21.
TEUTHIS,
ses deux oeufs apparents ; divιsion et forme de sa matrice, ΙΙΙ vιι
2. — est le petit colmar, Loligo, de la famille des céphalopodes ;
leurs œufs, ΙΙΙ vιι 2 n.
THEOLOGUES,
désigués sous ce nom : " Les Anciens », II ιιι 9 n.
THEOPHRASTE,
disciple d'Aristote, s'est admirablement acquitté de la tache dont
il était chargé par son maître pour la botanique, I ιι 1 n. — sa
Botanique, id. ibid. — sa grande entreprise botanique inspirée par
Aristote, son maître, I xvιι 6 n. —ne paraît pas avoir connu le
chanvre, II vιι 1 n. — disciple d'Aristote, à l'influence duquel il
doit ses ouvrages de botanique, ΙΙΙ ι 12 n. — Histoire des Plantes,
Des Causes des Plantes, opinion qu'il exprime dans ces ouvrages sur
le kotinos, l'olivιer, Térinéos et le figuier, ΙΙΙ ν 2 n. — ses
théories sur la production de la vιgne nommée fumeuse, IV ιιι 32 n.
— preuve de l'authenticité de 'Histoire des Plantes et du Traité des
Causes des Plantes de Théophraste, IV ιιι 32 n. — élève d'Aristote
qui lui a laissé l'élude de la botanique, V ιιι 19 n. — ses ouvrages
sur les plantes; il connaissait sans doute le Traité de la
Génération des Animaux d'Aristote, D xi. — ses théories rapprochées
de celles d'Aristote, D xιιι.
THEORIE
des quatre éléments se reproduisant dans les premiers essais de
chimie organique, II ι 13 n . — qui fait venir le sperme de toutes
les parties du corps, I x 6 7. — réfutation de cette théorie,
I xi 1 à 23. — d'Empédocle sur l'amitié, est impossible, I xi 10
11.— du sperme, combattue par Aristote, et complètement disparue de
la science, soutenue encore par Buffoo, I xi 11 n.— erronée
d'Anaxagore sur la composition du sperme, I xi 14. — sur la nature
du sperme; preuves à l'appui de cette théorie, I xιι 11-14. —
aristotélique sur le rôle du mâle et de la femelle dans l'acte de la
génération, I xv 10 n. — d'Empédocle souvent blâmées et souvent
louées par Aristote, I xvιι 2 nt. — des quatre éléments, citée sur
la dureté de la coquille de l'œuf, II ι 17 n. — guidée par la raison
; façon dont elle s'explique les faits observés au moyen de la
sensation, II vι 6 n. — de Démocrite, sur la divιsion des membres du
fœtus et sa nutrition,
11 vι 10. — des conditions d'existence, admirablement ex-posée par
Cuvιer, analogue à celle d'Aristote, II vιιι 17 n. — hypothétique,
sur les effets de la liqueur séminale, II vιιι 18 n. — réfutation
des théories de Démocrite et d'Empédocle sur la stérilité du mulet,
II x 23. — métaphysiques, formule dont Aristote se sert assez
souvent pour les combattre, II x 10 n. — des quatre éléments
qu'Aristote a vulgarisée, et qui a régné jusqu'au xνιe siècle,
ΙΙΙ ιι 13 n. — pressentiment de la théorie de l'unité de composition,
qui a fait tant de bruit au début de notre siècle, ΙΙΙ ιι 6 n. — de
quelques naturalistes qui croient que tous les poissons sont
femelles, ΙΙΙ ν 2-10. — 543
d*Anaxagore, d'Empédocle et de Démocrite d'Abdère, sur la formation
originelle des sexes femelle et mâle, IV ι 2 3. — des naturalistes;
d'Empédocle et de Démocrite sur la ressemblance ou dissemblance des
enfants aux parents, IV ιιι 17 18. — réfutation de ces théories, IV
ιιιi 19-21. — des monstruosités, IV ιιι 22. — aristotélique, sur la
différence essentielle des animaux et des plantes, répétée par
Cuvιer et par les plus grands naturalistes, IV vιιι 4 n. — des
quatre éléments, adoptée par Aristote et toute l'Antiquité, jusqu'à
la Renaissance, V ιι 5 n. — des quatre éléments, V ιιιi 6 n. —
analyse des théories aristotéliques sur la génération dans toute la
série animale, Ρ xv à civ. — de la génération spontanée d'Aristote,
généralement admise; Redi d'Arezzo l'attaqua et la réfuta le
premier, Ρ cxvιι.
THESAURUS
d'Henri Etienne, cité sur l'orthographe du mot de Kapnéos, IV ιιι 32
n.
THOMAS
(Saint), ses travaux sur la génération, préparés et facilités par
les Arabes. Ρ cxvι.
THRACE,
ses limites; Philippe, père d'Alexandre, en lit la conquête, V
ιιιi
12 n.
THRACES,
nature de leurs che-veux, V ιιιi 12. — et Scythes, peuplades qui
habitent encore les Lords de la mer d'Azoff, et les contrées au nord
de la mer Egée et sur les rives du Danube, V ιιι 12 n.
THRATTES,
poissons, couleurs diverses de leur pelaçe, V v 2. —incertitude sur
l'identification de ces poissons, V ν 2 n.
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