RETOUR À L’ENTRÉE DU SITE
TABLE DES MATIERES DE GUIZOT
 
ALLER A LA LISTE DES AUTEURS LATINS
 

Platon

 

 

 

Guillaume de PUY-LAURENS

 

 

Chronique de Guillaume de Puy-Laurens

contenant l’histoire de l’expédition des Français contre les Albigeois

Prologue. 205 - Chapitre ier. Du bienheureux Bernard, abbé de Clairvaux, lequel maudit le château de Vertfeuil, parce qu’il repoussa et ne voulut entendre la parole de Dieu. 208 - Chap. ii. Comment fut le château de Lavaur assiégé, longtemps avant l’arrivée des croisés, à cause des hérétiques qui s’y trouvaient. 210 - Chap. iii. Digression au sujet du songe que fit le vénérable père alors évêque d’Albi. 212 - Chap. iv. De la dispute de ce même évêque avec un hérésiarque, au sujet d’une parabole sur l’apostasie dudit Guillaume de Bérens. 214 - Chap. v. De la généalogie des très illustres personnages les comtes de Toulouse, dans les domaines de qui survinrent en dernier lieu les hérétiques, après que les derniers venus eurent dévié de la route tracée par les premiers fidèles. 216 - Chap. vi. De Fulcrand, évêque de Toulouse, et de son successeur Raimond de Rabastens, déposé de l’épiscopat, et de l’état misérable du siège épiscopal de Toulouse. 218 - Chap. VII. De frère Pierre de Castelnau, légat, et de son collègue maître Raoul, ensemble de dom Foulques, évêque, envoyés pour ressusciter l'épiscopat. 220 - Chap. viii. De dom Diègue, évêque d’Osma, et de saint Dominique, son compagnon, envoyés pour prêcher contre les hérétiques. 222 - Chap. ix. De la dispute solennelle qui eut lieu à Mont-Réal, et fut soumise par écrit à des juges laïques.  225 - Chap. X. Du recours au Siège apostolique après que la prédication n’eut servi de rien à l’expulsion des hérétiques, et de l’origine de l’Ordre des Prêcheurs pour le soutien de la foi 227 - Chap. xi. De Pierre, roi d’Aragon, qui épousa Marie de Montpellier, dont il avait répudié la mère; et de la naissance de son fils, Jacques. 228 - Chap. xii. Du comte Baudouin, frère du comte de Toulouse, né et élevé en France, et que son frère refusa ensuite de reconnaître. 229 - Chap. xiii. Du comte de Toulouse, lequel, après avoir ouï la réponse du roi de France, se rendit près de l’empereur Othon, malgré la défense du roi; et de la prise de Béziers. 230 - Chap. xiv. De la capitulation de Carcassonne, et de l’Ordre établi pour conserver et conquérir le pays. 231 - Chap. xv. De la grande confrérie instituée à Toulouse, et croisée contre les hérétiques et manifestes usuriers. 232 - Chap. xvi. Comment Jacques, fils du roi d’Aragon, fut donné en otage au comte de Montfort. Siège et prise du château de Lavaur. 234 - Chap. xviI. Comment la confrérie de Toulouse alla au siège du château de Lavaur. - 236 - Chap. xviii. De la prise du château appelé Casser, où soixante hérétiques furent brûlés. Le château de Mont-Ferrand est pris. Baudouin, frère du comte de Toulouse, est assiégé et reçu à composition. 237 - Chap. xix. Comment le comte de Montfort fut assiégé dans Castelnaudary, d’où il sortit au secours des siens, et triompha des ennemis; après quoi il rentra dans là place, et le comte de Toulouse leva le siège. 239 - Chap. xx. Comment le Miramolin, roi d’Afrique, fut pris par le roi d’Aragon, et la ville de Calatrava par les Chrétiens. L’année suivante le comte de Montfort met une garnison dans le fort du Pujol, mais elle y est assiégée par les Toulousains, prise et mise à mort. 240 - Chap. xxi. Le château de Muret est assiégé par le roi d’Aragon. Le comte de Montfort vole au secours de sa garnison. Préparatifs pour une bataille en rase campagne. 242 - Chap. xxii. De l’Ordre et issue de cette bataille, en laquelle le roi d’Aragon fut tué, et quantité de nobles avec lui. On fait un grand carnage des gens de Toulouse. 245 - Chap. xxiii. Baudouin, frère du comte de Toulouse, est pris dans son lit par trahison, et condamné par son frère au supplice de la corde. 248 - Chap. xxiv. Comment maître Pierre de Bénévent, cardinal de l’église romaine, fut envoyé légat pour traiter de la paix. Des otages toulousains sont envoyés à Arles, en Provence, et le château de Narbonne est livré. 250 - Chap. xxv. Tradition du château de Foix. 251 - Chap. xxvi. Célébration d’un concile général. Tout le pays est adjugé au comte de Montfort. 255 - Chap. xxvii. Que le comte de Toulouse se retira en Espagne, et que son fils étant venu en Provence, il y fut accueilli par les Avignonnais, et le pays Venaissin se donna à lui. 253 - Chap. xxviii. Comment le fils du comte de Toulouse assiégea le château de Beaucaire, et fut lui-même assiégé par le comte de Montfort. 255 - Chap. xxix. Le comte de Montfort envahit Toulouse, après avoir mis le feu en plusieurs endroits. 256 - Chap. xxx. Comment le vieux comte de Toulouse, revenant d’Espagne, récupéra cette ville. 258 - Chap. xxxi. Après la mort du comte de Montfort, son fils, Amaury, ayant levé le siège, retourne à Carcassonne, et assiège Castelnaudary. 261 - Chap. xxxii. Comment Louis, fils du roi Philippe, après avoir pris La Rochelle, reçut le château de Marmande à composition, et assiégea Toulouse. 263 - Chap. xxxiii. Foucaud de Brigier, et Jean, son frère, sont tués dans un combat, et subissent le châtiment de leur méchanceté. 264 - Chap. xxxiv. Comment le comte de Toulouse trépassa, saisi de mort subite, excommunié, mais donnant signes de repentance; et que son corps est encore sans sépulture. 266 - Chap. xxxv. Louis, roi de France, assiège la cité d’Avignon, et la prend par composition, 271 - Chap. xxxvi. Le roi Louis, à son retour en France, meurt à Montpensier, château fort en Auvergne. 273 - Chap. xxxvii. Le château d’hauterive se rend au comte de Toulouse; le château de Bécède est assiégé et pris.  278 - Chap. xxxviii. Comment on démantela Toulouse; et des autres dommages qui lui furent faits. 278 - Chap. xxxix. Après le démantèlement de Toulouse, on s’en prend au comte de Foix, dont les domaines sont envahis jusqu’au Pas de la Barre. On traite de là paix avec le comte de Toulouse, laquelle est conclue à Paris. 280 - CHAP. xl. Comment Toulouse fut réconciliée à l’église, et comment un concile y fut célébré. Inquisition contre les hérétiques et schismatiques. 283 - Chap. xli. Après le départ du seigneur Romain, cardinal diacre de Saint-Ange, l’évêque de Tournai est envoyé avec le titre de légat. Mort de dont Foulques, évêque de Toulouse. 288 - Chap. xlii. Après la mort de dom Foulques, frère Raimond, prieur provincial de l’Ordre des Prêcheurs, en Provence, est élu évêque. Le comte de Toulouse compose certains statuts, selon qu’il avait été convenu en présence du roi. 290 - Chap. xliii. De l’inquisition, et de quelle manière elle fut ordonnée l’archevêque de Tienne est envoyé pour légat. Comme on perdit et recouvra le faubourg de Carcassonne. 293 - Chap. xliv. Comment les prélats, se rendant par mer au concile où ils avaient été appelés par le souverain pontife, furent pris par les pirates de l’empereur Frédéric. 299 - Chap. xlv. Comment on traita du mariage entre Sancie, troisième fille du comte de Provence, et le comte de Toulouse. 302 - Chap. xlvi. Le comte de Toulouse va en cour de Rome et près de l’empereur Frédéric. Dans l’intervalle, le château de Montségur est pris, et environ deux cents hérétiques y trouvés sont jetés au feu. 306 - Chap. xlvii. Comment le comte de Toulouse tint une cour en cette ville, et en icelle furent un grand nombre de nobles et plusieurs autres faits chevaliers. Le concile de Lyon est célébré. 308 - Chap. xlviii. Le roi de France assiège, chemin faisant, un certain château ayant nom la Roche, et de là descend à la plage d’Aigues-Mortes. Le comte de Toulouse se met en route vers la mer, et meurt l’année suivante. 312 - Chap. xlix. Comment, après que le roi de France eut dépassé les confins de Damiette, fut tué son frère Robert. 315 - Chap. l. Des discordes qui éclatèrent entre le roi d’Angleterre et quelques-uns des siens. Lui-même est pris dans un combat. 321 - Chap. li. Comment le roi de France passa la mer, vint contre le roi de Tunis, et mourut; et comment, trêve étant faite, l’armée revint en arrière. 325 - Chap. lii. Philippe, roi de France, vient au pays de Toulouse avec une grande armée contré le comte de Foix, qu’il ramène prisonnier en France. 326