Aristote : Morale à Eudème

ARISTOTE

 

DES VERn.S ET DES VICES.

 

ΠΕΡΙ ΑΡΕΤΩΝ ΚΑΙ ΚΑΚΙΩΝ.

 

 

 

 

DES VERn.S ET DES VICES.

 

ΠΕΡΙ ΑΡΕΤΩΝ ΚΑΙ ΚΑΚΙΩΝ.

 

(APOCRYPHE)

 

 

 

TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES.

N. signifie Morale à Nicomaque; G. signifie Grande Morale; E. signifie Morale à Eudème. Pr. signifie préface; n. signifie note.

Les chiffres romains désignent les livres. Le premier chiffre arabe désigne le chapitre ; le second désigne le paragraphe.

A

ABSENCE, douleur de l' ( ) pour des amis, Ε, VII, 12,18.

ACADEMIE FRANÇAISE, le dictionnaire de l' ( ) ne contient pas le mot d'illibéralité, Ν, IV, 4, 3, n.

ACHILLE, se mesurant contre Hector, Ε, III, 1, 30. — Indiqué sans être nommé, Ν, IX, 8,, 9, n.

ACHILLE ET PATROCLE, cités comme amis, Ν, IX, 10, 6, n.

ACTE, définition de l' ( ) complet, Ν, X, 4,1 et suiv. — Opposé à la simple aptin.de, Ν, 1,6, 8. — Acte et puissance, Ν, I, 6, 8, n. — Est préférable à la faculté, G, I, 3, 4. — Définition de l' ( ) qui n'a point d'autre fin que lui même, G, I, 32, 9. — Est préférable à l'œuvre qu'il produit, Ε, VII, 8, 3. — L' ( ) et la fin se confondent par fois, G, II, 14, 6. — Condition nécessaire de la vertu., Ν, X, 8, 5. — L' ( ) vaut en un sens plus que l'intention, Ε, II, 11,13. — Acte de la vern. est la fin supérieure de l'âme, Ε, II, 1,8. — L' ( ) est un plaisir présent, Ν, IX, 7, 6.— Rapports de l' ( ) et du plaisir, Ν, X, 4, 2. — Rapports de l' ( ) au plaisir, Ν, X, 5, 5. — Est le véritable but du repos, N, X , 6 ,6.

ACTE libre et volontaire, définition de l' ( ) E, II, 8,1 et suiv. Voyez Liberté.

ACTES, deux espèces d'actes : absolus ou relatifs, Ν, I,1,2. — La continuité des ( ) finit par donner de l'habileté, Ν, III, 6, il. — Les ( ) de l'homme n'ont que trois causes possibles, Ε, II, 7,2. — Actes de l'homme divisés judiciairement en trois classes, Ε, II, 10, 21.

ACTION, n'est juste que si elfe est volontaire et libre, Ν, V, 8, 11.

ACTIVITE, indispensable au bonheur, Ν, I, 6, 8.

ADRESSE, définition de l' ( ) G, I, 32,19.

ADULTERE, sa réprobation absolue, Ν, II, 6,18.

AGAMEMNON, pasteur des peuples, Ν, VIII, 11,1. — Cité, N, III, 9,4, n.

AGATHON, Vers d' ( ) cités, N, VI, 1,13. — Cités, Ν, VI, 1, 13, n. — Vers d' ( ), cités, Ν, VI, 3, 4. — Cité, Ν, VI, 3, 4, n. — Cité, E, III, 1, 27. — Fragments de ses poésies, Ε, III, 1, 27, n. — Mot que lui dit Antiphon, Ε, III, 5, 7. — Figure dans le banquet de Platon, id, ibid,, n.

AGE, respect dû à l'( ), Ν ,ΙΧ, 2, 9.

AGREABLE, l' ( ) est à rechercher, et le désagréable, à fuir, Ν, II, 3, 7.

AGRIGENTE, nom de cité, N, VII, 5, 2, n.

AIME, on préfère, en général, être aimé plutôt que d'aimer soi-même, Ν, VIII, 8, 1 et suiv.

AIMER, sens divers de ce mot, E, VII, 6, 17. — Vaut mieux qu'être aimé, G, II, 13, 35. — Vaut mieux qu'être aimé, Ε, VII, 2, 35. — Est plus selon l'amitié que d'être aimé, Ε, VII, 4, 9.

AJAX, son courage dans Homère, Ν, III, 9, 11, n.

ALCMENE, mère d'Hercule, E, VII, 12, 19, n.

ALCMEON, dans Euripide, n'a pas de motifs suffisants pour n.er sa mère, Ν, III, 1, 8.

ALEXANDRE, le Grand, sa cour citée, Ν, VII, 7, 6, n — Aristote a vécu dans son intimité, N, VIII, 7,4, n. — N'a pas commis une méchanceté qu'on lui attribue à tort, Ν, I X, 1, 4, n. — Allusion probable à ( ) Ν, X, 9, 2, n. — Son expédition dans l'Inde indiquée peut-être, G, I, 16, 4, n. — Allusion probable à son expédition dans l'Inde, Ε, II, 10,11, n.

ALEXANDRE, d'Aphrodisée, son témoignage sur Eudème, Pr. cccxi.

ALIMENTATION, doit être modérée pour être profitable, N, H, 2, 6.

ALLIANCES militaires des États, Ν, VIII, 4, 5.

ALOPE l' ( ) de Carcinus, cité, N, VII, 7, 6. — id. ib. n.

AMABILITE, définition de l' ( ), Ε, III, 7, 4. — Définition de l' ( ), G. I, 27, 1 et suiv.

Amants les ( ) sont souvent ridicules, Ν, VIII, 8, 7.

Ambitieux, Portrait de l' ( ) Ν, IV, 4, 3.

Ambition, l' ( ) peut être considérée comme l'excès de la grandeur d'âme, Ν, II, 7, 8.

AmE, biens de l' ( ) opposés à ceux du corps, Ν, I, 6, 2. — A deux parties: l'une raisonnable, l'autre irrationnelle, N, I, 11, 10. — Ses deux parties, raisonnable et irrationnelle, 6, I, 5, 1 et suiv. — Ses deux parties, G, I, 32, 3. — Ses deux parties, Ε, II, 4,1 et suiv. — Ses diverses parties, G, I, 4, 7. — Én.de générale de l' ( ), Ε, II, 1,15. — Ses deux parties, id, ibid. — Division de l' ( ), Ν, VI, 1, 6. — Subdivision de l' ( ), Ν, VI, 1, n. -— Én.de sommaire de l' ( ), G, I, 7 et suiv. — chacune de ses parties peut nous mettre en mouvement, Ν, VII, 3,10. — A la faculté nutritive, Ν, I,11,11 et suiv. — A trois éléments essentiels, Ν, II, 5,1. — Éléments divers de l' ( ), Ε, II, 1,1. — Ses moyens d'arriver à la vérité, N, VI, 2,1. — Union de l'âme et du corps, Pr., xxxiii. — L'activité de l' ( ), conforme à la raison/ est l'œuvre propre de l'homme, Ν. I, 4,14. — Œuvre propre de l' ( ), Ε, II, 1, 7. - Ame du méchant, tableau de ses déchirements intérieurs, N, IX, 4, 8, etc.

Ame, Voyez Immortalité.

Ami de tout le monde, l' ( ) n'aime personne, Ε, VII, 2, 48.

Amis, le sort de nos ( ) nous intéresse et nous importe, N, I, 9, 1. — Sont-ils nécessaires dans le bonheur? Ν, IX, 9, 4 et suiv. — Sont-ils plus nécessaires dans le bonheur que dans l'adversité, Ν, IX, 11,1 et suiv, — Les ( ) sont nécessaires même aux gens les plus indépendants, Ε, VII, 12, n. — Du nombre des ( ), Ν, VIII, 6, 1 et suiv. — Du nombre des ( ) N, IX, 10,1 et suiv. — Du nombre des ( ), G, II, 18,1 et suiv. — Les ( ) ne doivent pas être trop nombreux, Ε, VII, 12,18. — Deux classes d'( ), Ε, VII, 4,8.

Amis, les bons comptes font les bons ( ), Β, VII, 10,16.

Amitié, définition de l' ( ), N, II, 7,14.— Définition admirable de l' ( ), Ε, VII, 2,34. — Théorie générale de l' ( ), Ν, VIII et IX. — Théorie de l' ( ), G, II, 12, 1 et suiv. — Théorie de l' ( ), Ε, VII, 1, 1 et suiv. — Son importance sociale, id., ibid. 2. — Théories diverses sur l' ( ) E, VII, 1, 7. — Explications diverses qu'on en donne, N, VIII, 1, 6. — Explications physiques sont inadmissibles, id, ibid 7. — Admirable théorie de l' ( ) dans Aristote, Pr. cxliii. — Est une sorte de vern., Ν, VIII, 1,1. — Est nécessaire à la vie de l'homme, id. ibid. — Son objet propre, N, VIII, 2, 1 et suiv. — Ses conditions essentielles, Ν, VIII,  2, 3.—Ses trois espèces, id. ibid, 3,1. — Est de trois espèces, G, II, 13, 15. — Trois espèces diverses d' ( ), Ε, VII, 2, 9. — Espèces diverses d' ( ), Ε, VII, 11, 5. — Ses rapports à la justice, Ν, VIII, 1, 4. — Ses rapports à la justice, Ν, VIII, 9, 1 et suiv. — Ses rapports à la concorde et a la bienveillance, Ε, VII, 7,1 et suiv. — Est le lien des États comme des individus, Ν, VIII, 1, 4 — Varie avec les formes de gouvernements, Ν, VIII, 11, 1 et suiv. — L' ( ) varie avec les diverses formes de gouvernement, Ε, VII, 9, 1 et suiv. — ( ) morale, amitié légale, Ν, VIII, 13, 5. — Se perd souvent par un trop long silence, Ν, VIII, 5, 1. —L' ( ) peut subsister dans l'inégalité, Ε, VII, 3, 1 et suiv; et 4, 1 et suiv.— l' ( ) peut subsister malgré l'inégalité, G, II, 13, 28. — L' ( ) est .une association, Ν, VIII, 12, L — Est surtout caractérisée par la vie commune, N, VIII, 6, 3. — Ne peut exister envers l'esclave, N, VIII, 11, 6. — Ne va guère sans l'estime, N, VIII, 8, 2. — Consiste plutôt à aimer qu'à être aimé, Ν, VIII, 8, 4. — Limites de l' ( ) G, II, 13,6. — Ses mécomptes, G, II, 13, 23. — Par vern., la plus belle et la plus durable de toutes les amitiés, Ν, VIII, 3, 6. — . L' ( ) par vern. est la seule amitié véritable, Ε, VIII, 2, 23. — L' ( ) n'est durable qu'entre les gens de bien, G, II, 13, 21. — L' ( ) doit se former lentement, pour être durable, Ν, VII, 3, 9. — L' ( ) ne se forme qu'avec le temps, Ε, VII, 2, 40·. —- L* ( ) véritable n'existe pas pour les Dieux ni pour les Rois, N, VIII, 7, 4 et 6. — L'intérêt n'est pas le fondement de l' ( ), Ε, VII, 6,1, et suiv. — ( ) par intérêt, est la plus exposée à se rompre, N, VIII, 13,4. — ( ) par intérêt, E, VII, 2,14, — ( ) par intérêt, de deux espèces, légale et morale, Ε, VII, 10, 1β. — ( ) morale, E, Vil, 10, 16 et suiv. — L' ( ) est accompagnée de plaisir, Ε, VII, 2,32. — Plaisirs délicats et relevés de l' ( ) E, VII, 12, 14.

AMITIE. L' ( ) doit être sacrifiée à la vérité, N. I, 3,1.

Amitiés, comparaison des trois espèces d' ( ), Ν, VIII, 4, 1 et suiv. — Dans l'égalité, Ν, VIII, 6, 7. — Dans l'inégalité, id. ibid. 7, 1 et suiv. — Comment il faut rompre les ( ), N, VIII, 13,1, et suiv. —CGomment il faut agir en cas de rupn.res des ( ), G, II, 19 ; et suiv.

AMMONIUS, cité Pr, cclxx.

Amour. L' ( ) n'a pour objet que le bien, G, II, 13, 8 — Rôle de l' ( ) dans les rapports des êtres entre eux, N, VIII, l, 3.—L' ( ) est souvent pins fort que nous. Ε, II, 8,20. — Ne s'adresse qu'à un seul être, Ν, IX, 10,6.—L'( ) peut suppléer la justice, Pr. CXLV. - Amour de soi, théorie de Ρ ( ) VII, 2,14.

AMOURS honteux, Ν, VIII, 4,1.

AMUSEMENTS. Les ( ) ne sont faits que pour préparer au travail, Ν, X, 6, 6.

AMACHARSIS, sa maxime sur l'utilité des amusements, Ν, X, 6, 6.

ANACHARSIS, Voyage du jeune ( ),cité, Ν, IV, 8, 6, n.

ANALYSES de Socrate citées, N, VI, 11, 3.

ANALYTIQUBS, les ( ) cités, N, VI, 2,3, Id., ib., 4. — Premiers ( ) cités, Ν, VI, 2, 3, n, et 4.— Derniers ( ) cités, Ν, VI, 2,1, n. -, id., ib., 2 et 3. — Derniers ( ) cités, Ν, VI, 4, 8, n. — Derniers ( ) cités, Ν, VI, 5, 2, n. — Derniers ( ) cités, Ν, VI, 6,7, n. id, VI, 7, 3. — Derniers ( ) cités, Ν, VI, 9, 3, n, et 4. — ( ) cités, Ν, X, 7, 2, n.—Derniers ( ), cites, G, I, 1, 24, -( ) cités, G, II, 8, 15. — ( ) Pre-asiers cités, G, H, 8, 15, n. — Derniers ( ) cités, G, I, 32, 13. — ( ) Cités, Ε, I, 6, 6. —Premiers ( ) id. ib., n. — ( ) Cités, Ε, II, 10, 22. —Derniers, id. ib., n.  — ( ) Cités, E, II, 6, 7. — Derniers ( ) cités, Ε, II, 6, 7, n. — Premiers ( ) cités, Ε, VII, 14, 5, n. — Analytiques cités dans la Morale, Pr. CCLXVI.

ANAXAGORE, cité, Ν, VI, 5, 3, n. — Id., id, ibid., 8, n. — Cité, Ν, VI, 5, 8. — Cité, Ν, VI, 11, 8, n. — Sa maxime sur le bonheur, Ν, X, 9, 3. — De Clazomène, sa belle réponse sur le bonheur, Ε, l, 4, 4. — Son admirable réponse sur l'ordre de l'univers, Ε, I, 5,9.

ANAXANDRIDE, mot d' ( ) N, VII, 10, 3. — Cité, Ν, VII, 10, 3, n.

ANCIENS, causes de leur supériorité morale, Pr., CCXL.

ANDRONICUS DE RHODES, sa paraphrase supposée de la Morale à Nicomaque, Ν, I,1, 5, n.—Cité pour la paraphrase de la Morale, Ν, II, 7,1, n. — Ses travaux sur Aristote, Pr., CCLXIX. — Sa paraphrase de la Morale à Nicomaque, Pr., CCLXXI.

ANDROMAQUE, pièce d'Antiphon, Ε, VII, 4,9.

ANES les ( ) mêmes ont du courage, quand ils ont faim, Ν, III, 9, 11.

ANIMAUX les ( ) ne sont courageux que sous l'aiguillon de la douleur, Ν, III, 9, 11. — N'ont ni libre arbitre ni raisonnement, Ν, VII, 6, 8. — Sont incapables de bonheur parce qu'ils ne pensent point, Ν, X, 8, 8. — Ne peuvent être heureux, Ε, I, 7, 3. — Les ( ) n'ont pas de réflexion, Ν, III, 3, 2. — Les ( ) agissent par une sorte de nécessité, Ε, II, 8, 6. — Ont parfois une sorte d'association entr'eux, Ν, VIII, 12, 7, n. — Leur sensibilité bornée, Ε, III, 2, 10. — Confondus à tort avec les choses inanimées, E, 11,8, 5, n. — ( ) Inférieurs, tels que les vers, les crabes, etc., G, II, 9,13.

ANONYME DE MENAGE cité sur un ouvrage prétendu d'Aristote, Ν, 1,10, 7, n.

ANONYMES. Il y a beaucoup de choses qui n'ont pas reçu de nom, Ν, II, 7, 2.

ANTHOLOGIE, citée, Ν, VII, 8, 3, n.

ANTINOMIE de la raison pratique selon Kant, Pr., CLXXVII.

ANTIPHON, son mot à Agathon, Ε, III, 5, 7. — Sophiste, maître de Thucydide, id., id., n.

ANTIPHON, sa pièce d'Andromaque citée, Ε, VII, 4, 9 et n.

ANTIQUITE a connu et estimé autant que nous les sentiments de famille, Ε, VII, 10,9, n.

ANTIQUITE toute l' ( ) a cru aux devins, Ε, II, 8,21, n.

ANTISTHENE, cité, Ν, X, 1, 2, n. — Cité, G, II, 9, 1, n. — id., ib. 27, n.

APATHIE, condition fréquente de la vern., Ε, II, 4, 4.

APELLIGON DE TEOS, ses travaux sur Aristote, Pr., CCLXIX.

APIS, Le bœuf ( ) adoré en Egypte, E, 1, 5, 6.

APOLOGIE de Socrate par Platon, citée, Ν, VII, 10, 4, n — Citée, Ε, II, 7, 4, n.

APPETIT nuances diverses de l' ( ), G, I, 11, 2.

APTIn.DE opposée à l'acte, N, I,6, 8. Voyez Acte.

ARCHERS, les ( ), pièce d'Eschyle, Ν, III, 2, 5, n.

ARCHITECTONIQUE OU fondamental, mot appliqué par Aristote à la Politique, qu'il regarde comme la science souveraine, Ν,  I,  1, 3, n.

ARCHITECn.RE définition de l' ( ), N, VI, 3, 2.

ARCHITECn.RE de Lesbos, citée, Ν, V, 10, 7.

AREOPAGE, acquitte Eschyle accusé de sacrilège, Ν, III, 2, 5, n.

AREOPAGE, un de ses jugements, G, I,15, 2.

ARGENT, impuissance de l' ( ) à payer certains services, Ν, IX, 1, 8. — Argent, possession permanente et peu utile, E, III, 4, 4.

ARGIENS, les ( ) défaits par les Spartiates, Ν, III, 9,15.

ARIANE, aimée par Thésée, E, III, 1,17, n.

ARISTIPPE cité, Ν, VII, 11, 3, n. — Cité, Ε, I, 1, 7, n.

ARISTOCRATIE, forme de constin.tion politique, Ν, VIII, 10,1 et suiv.

ARISTOPHANE, ses deux genres de comédie, Ν, IV, 8,6, n.

ARISTOTE, sa modestie, Ν, I, 5,1, n. — Sa modestie, Ν, III, 4, 20, n. — Se blâme lui-même d'une digression, Ν, 1,2,10, n. — Son erreur en citant Homère, Ν, II, à,3, n —Se trompe peut-être en citant Homère, Ν, III, 9, 4, n. — Fait probablement des citations de la théorie d'Eudoxe sur le plaisir, Ν, X, 2, 1 et suiv. — Avait joint des dessins à son Histoire des animaux, N, II, 7,1, n. — Emprunte peut-être aux Sophistes une définition, N, III, 7, 2, n — Avait l'habin.de de se promener après dîner, Ε, I, 2, a, n. — A cru peut-être aux devins, E, III, 8, 21, n. — Très-humain envers ses esclaves dans son testament, Ν, VIII, 11, 6, n. — A vécu dans l'intimité des rois, N, VIII, 7, 4, n. — A vécu à la cour de Macédoine., Pr. CL. — Son expérience des affaires, Ν, X, 10, 20, n. -  Attache de l'importance aux proverbes, Ν, IX, 8, 2, n. — Ses ouvrages encycliques, exotériques et de pure philosophie, Pr. CCLXIII. — Tient le plus grand compte des opinions de ses devanciers, Ν, I, 9,1, n. — Rapproché de Leibnitz pour son éclectisme historique, Ν, I, 6, 8, n — Imite Platon, Ν, I, 4, 13, n — Avait fait un ouvrage spécial sur les doctrines de Speusippe et de Xénocrate, N, 1, 3, 8, n. — Réfuté dans ses critiques contre la théorie des Idées, id. ibid. 15, n. — Blâmé pour une de ses objections contre la théorie des Idées, N, I, 3, 8, n. — Critique Platon avec respect à propos de la théorie des Idées, relativement au bien en soi, Ν, I,3,2. — Ses critiques injustes contre la théorie des idées, Ε, 1, 8,3, n.— Emprunte un mot à Platon, Ν, I, 11,18, n. — N'a pas bien compris, la théorie du Bien en soi, Pr. cxxiii. — Résume le Philèbe de Platon, Ν, X, 2, 3. — Justifie une théorie de Platon, N, III, 9, 6, n. — Quelques traits de sa théodicée, N, VIII, 12, 5, n.— Condamne le suicide, N, III, 8,13, n. — Expression magnifique sur l'immortalité de l'homme, Ν, X, 7, 8, n. —Semble croire à l'immortalité de l'âme, N, 1,9, 4, n. — A tort de se croire plus pratique que Platon et Socrate, Pr. cxxv. — Pense de la vern. comme Platon et les Stoïciens, Ν, I, 8, 8, n. — Se trompe en croyant que l'én.de des législations avait été tout à fait omise avant lui, N, X, 10, 22, n. — Sa politique annoncée et analysée par lui-même, Ν, X, 10, 23. — Blâmé pour avoir laissé quelqu'obscu-rité dans des théories sur le but de la vie, Ν, I, 4, 3, n. — Blâmé pour avoir substin.é le bonheur à la vern., id., ibid., 5, n. — Introduit une question neuve sur le bonheur, Ν, I, 10, 1, n. — Sa théorie définitive sur le bonheur, Pr. CXLVII. — Se contredit sur les rapports de la vern. et du bonheur, Ν, I, 8, 10, n. — Se contredit sur la théorie du bonheur et le bien suprême de la vie, Ν, I, 6, 14, 15,16, n. — Son optimisme, Ν, I, 7,5, n. — Défendu contre une critique de Kant, Ν, I,1,6, n,— Fait une comparaison ingénieuse et très-pratique sur le but de la vie, kL, ibid., 7, n.

Aristote divise les biens en deux classes : biens qui sont dans l'âme; biens qui sont en dehors de l'âme, Ν, I, 6, 2, n. — Sa théorie de la liberté, plus ferme que celle de Platon, Pr. cxxxvi. — Elève un doute inutile et dangereux, Ν, I, 4, 10, n. Son admirable théorie sur la vern., Ν, I, 8, 4, n. — Fait une admirable analyse de la vern., Ν, II, 4, 8, n. — Sa théorie admirable de la vern., Pr. cxxxi. — Ne tient pas assez de compte des dispositions nan.relîes, Ν, II, I, 6, n. — Doute que la morale ait des régies précises et éternelles, Ν, II, 2, 3, n. — Son admirable théorie de l'amitié, Pr. CXLIII. — Son admirable théorie de la famille, Pr. CXLVI. — N'a jamais douté de l'amitié, ainsi que Kant le suppose, Pr. CXCIII. — Excelle dans, les portraits moraux, Pr. cxxxviii. — Son admirable portrait du magnanime. Pr. cxxxix. — Comparé a Kant et à Platon, Pr. ccvi. — Erreur énorme qu'il commet en mettant la politique au-dessus de la Morale, N, L, 1, 9, n. - Id. ibid., 11, n. — A eu tort de subordonner la Morale à la Politique, Pr. cxvii. — A tort de mettre la Politique au-dessus de la Morale, Pr. cxiii. - Se trompe sur le rôle de la Politique, N, I, 11,2, n.—Se trompe sur le rôle de la Politique, Ν, I, 7,8, n. — Se trompe en croyant que la science morale ne peut avoir aucune précision, N, L, 1, 17, n. — A tort de croire que la science morale est peu susceptible de précision, Pr. cxxi. — Précision admirable de ses analyses morales, Pr. cxxviii. — Blâmé pour sembler interdire à la philosophie l'én.de des causes, Ν, I, 2, 9, n. — Belles considérations par lesquelles il termine la Morale à Nioomaque, Pr. I, et suiv. — Exposé de sa doctrine morale, Pr. CVI. — A confondu l'âme avec le corps; Pr. CXIIL — Forme admirable qu'il donne à la science, Pr. cxi. — A eu tort de donner le bonheur pour but suprême à la vie, Pr. cxiii. — Plus mystique que Platon, Pr. CXLIX. — Donne une indication trop vague, Ν, I, 1,1, n. — Donne une indication trop vague de quelques unes de ses théories, Ν, I, 4, 7, n. — Indique vaguement un de ses ouvragée, Ν, I, 7, 3, n. — Trop peu précis dans une de ses théories, Ν, 1,2, 4, n. — Désigne Platon sans le nommer, id., ibid., 5, n. — Désigne implicitement Platon sans le nommer, N, I, 7,1, n. — Combat les Sophistes, qui nient le principe de la Morale, Ν, I,1,10, n.

ARROGANCE, excès de la dignité morale, G, I, 25, 1 et suiv.

ART, son rapport avec les choses, Ν, VI, 3, 3.

ARTISTE dupé par un roi, E, VII, 10, 32; N, IX, 1, 4,

ARTISTES, les ( ) se forment souvent par la pratique, Ν, II, 1, 6. — Sont pleins d'amour pour leurs œuvres, Ν, IX, 7, 3.

ARTS différentes espèces d' ( ) Ε, I, 4, 2. — Les ( ) se perfectionnent avec le temps, Ν, I, 5, 1. — Les ( ) ont le bien pour but commun, Ν, I,1, 1. — Leur subordination entr'eux, id., I, 1, 4. — Les ( ) sont moins exacts que les sciences, Ν, III, A, 9.

ASCETIQUE morale de Kant, Pr., ccxxii.

ASPASIUS, sa scholie fort importante, Ν, VII, 12, 2, n. — Sa scholie très-importante, Pr. ccxcii. — Cité, N, VIII, 1, 7, n.

ASSOCIATION, diverses espèces d' ( ) dans les sociétés humaines G, l, 31,15 et suiv. — Association politique, comprend toutes les associations particulières, N, VIII, 9, 5. — Espèces diverses de l' ( ) Ε, VII, 9, 2. — Association de Capitaux, Ν, VIII, 14, 1.

ATHENEE cité, Ε, III, 2,11, n. Cité par M. Spengel, Pr. CCLXXXVI.

ATHENES, sa rivalité contre Mégare, Ε, VII, 2,14. — Déteste Mégare, Ε, VII, 10,14.

ATHENIENS, délicatesses de la Société athénienne, Ν, IX, 1,10, n.

ATHLETES de profession, Ν, III, 9,8.

ATRABILAIRE , portrait de l'homme ( ), N, IV, 5, 9.

ATREE citée, Ν, VII, 5, 2, n.

ATTICISME, sa renommée est justifiée, Ν, IV, 8,1, n.

ATTICUS, ses critiques contre la Morale d'Aristote, Pr.,cccxxiiii.

ATTRIBUTS ordinaires du bonheur, Ν, I, 6,1.

AULU-GELLE cité, Pr., CCLXX.

AUTONOMIE de la volonté, Pr., XIX.

AUTONOMIE de la volonté selon Kant, Pr., CLXIX.

AUTORITE, est indispensable, Ν, X, 10,12.

AVARICE, défaut dans l'emploi de la richesse, Ν, IV, 1, 3. — Sa définition, Ν, IV, 1, 27. — Comparé avec la prodigalité, id., ibid., 29. — Mise au-dessous de la prodigalité, id. ,ibid., 30 et suiv.

AVARICE, définition de l' ( ), G, I, 22, 1 et suiv. — L' ( ) est plus blâmable que la prodigalité, N, IV, 1, 40.

AVARICE, nuances diverses de l' ( ) Ε, III, 4, 5.

AVEUGLES, ont une excellente mémoire, Ε, VII, 14,23.

 

Β

 

BADINAGE, le ( ) de Socrate est fort gracieux, Ν, IV, 7,16, n.

BANQUET DE PLATON, Ν, VIII, 1, 4, n.

BARNI, sa traduction excellente de Kant, N, III, 3, 1, n. — Sa traduction de la Critique de la Raison pratique de Kant, Ν, I, 1, 6, n. — Sa traduction de la critique de la Raison pratique de Kant, N, III, 10, 5, n. — Sa traduction de Kant, Pr., xi et xiv. — Sa traduction de Kant,  Pr., XI.VI. — Pr., cxxvii. - — Sa réfutation de Kant, Pr., CLXXVI.

BARTHELEMY, Pabbé ( ) cité, N, IV, 8, 6, n.

BASE, carré par la ( ), en parlant d'un homme, N, I, 8, 5.

BASSESSE, définition de la ( ) G, I,23,1 et suiv.

BAVARDS, les ( ) ne sont pas des intempérants, Ν, III, 11, 2.

BAVIERE, Mémoires de, l' Académie des sciences de ( ), Pr., CCLXXXV.

BAVIERE, Mémoires de l'Académie des Sciences de ( ) cités, G, I, 6, 3, n.

BEAUTE MORALE, théorie de la ( ), Ε, VII, 15,1 et suiv.

BELLEROPHON, tragédie, citée, Ν, V, 9,1, n.

BELLEROPHON, pièce d'Euripide, G, II, 13, 25, n.

BEOTIENS les soldats ( ) lâchèrent pied à Hermaeum, N, III, 9, 9, n.

BERLIN, édition de ( ), Ε, II, 7, 4, n.

BERLIN, édition de ( ), citée, passim.

BESOINS naturels du boire et du manger, M, III, 12, 3.

BESOINS, brutaux de l'homme, Ε, I, 5, 5.

BESOINS COMMUNS, lien de la société, Ν, V, 5, 3.

BESOINS se faire le moins de ( ) qu'on peut, Pr., CCXL.

BETES, les ( ) ne sont courageuses que sous l'aiguillon de la douleur, Ν, III, 9,11. — Les ( ) bravent souvent la mort pour sauver leurs petits, E, VII, 1, 13. — Les ( ) n'ont pas de vrai courage, E, III,1,17.

BIAS cité, N, V, 1,16.

BIEN, définition du ( ), G, I, 1,11. — Le ( ) étant dans toutes les catégories ne peut être l'objet d'une science unique, G, I, 1, 18. — Acceptions diverses de ce mot, Ε, I, 8, 7. — Sens divers de ce mot, Ε, VII, 2, 8. — Le ( ) est du fini suivant les Pythagoriciens, Ν, II, 6, 14. — Objet commun de tentes les actions de l'homme, Ν, I,1,1, — Sa définition approuvée, id, ibid. — Il relève de la science politique, id., I, 1,9. — Identique pour l'individu et pour l'Etat, id., I, 1, 12. — Diversité des systèmes qu'il provoque, id., I, 4, 44. — Le (), but de toute l'activité de l'homme, G, I, 4. 40. — Le () est la fin véritable de l'homme, Ε, II, 10, 28. — Le ( ) est la fin véritable de la vertu, G, 1,18, 1 et suiv. — Le ( ) ne peut se confondre avec le plaisir, N, vii, 11, 4 — Le () est à rechercher et le mal à fuir, N, II, 3,7. — Le () est la chose en vue de laquelle on fait tout le reste, Ν, I, 6, 1. — Le () est l'objet de tous les désirs, Ε, VII, 2,3. — Le () seul est l'objet de l'amour, G, II, 13, 8. — Le () est le milieu, Ν, VIII, 8,8. — Le () doit être recherché surtout dans la vue de le rendre pratique, Ν, I, 3, 14. — Bien suprême, but de tous nos vœux, Ν, 1,4, 6. — Il faut le connaître pour régler sa vie sur ce but supérieur, id., I,1,7. — La science du () relève de la politique, souveraine de toutes les sciences, id., I,1,11. — Confondu avec le bonheur, id. I, 2, 2. — Le () doit être parfait et définitif, N, I, 4, 3. — Recherche du (), G, I, 2, 8. — Deux méthodes pour cette recherche, et, ibid., 9. — Définition du (), Ε, I, 8, 1 et suiv. — Bien absolu, le () absolu est-il l'objet des désirs de l'homme, Ε, VII, 2, 26. — Le () réel et non apparent est l'objet de toutes les actions de l'homme, Ν, III, 5, 1. — Bien en soi, Aristote n'a pas bien compris cette théorie de Platon, Pr., cxxiv. — Bien en soi, Ν, I, 2, 5. — Critique des théories de Platon, id, 1,3,1 et suiv. — Critique du ( ), Ε, I, 8, 11.

Biens de diverses espèces, E, VIl, 15, 3. — Division des (), G, I, 2,1. — De quatre espèces, id., ibid., 4. — Autre division, id., ibid., 5. — Division des ( ) de l'âme, du corps et du dehors, G, I, 3, 1. — Diversité essentielle des biens que l'homme poursuit, Ν, I,  3, 11 et suiv. — Biens naturels, Ε, VII, 15, 3. — Différentes espèces de ( ), Ε, I, 7, 4. — Division des ( ), Ε, II, 1 et suiv. — Divisés en trois classes, Ν, I, 6, 2. — Les () de l'âme sont les plus excellents, id., ibid. — Biens de l'âme, division des ( ), G, I, 3,2.— Biens extérieurs indispensables au bonheur, Ν, 1,6,14.

Biens divins de Platon, G, 1, 2, 1, n.

Biens divins, Pr. xxii.

Bienfaiteurs, leur rapport à leurs obligés, Ν, IX, 7, 1 et . suiv. — Rapport des () et des obligés, E, VII, 8,1 et suiv.

BIENFAITS, considérations diverses sur les ( ), Ν, IX, 7,1 et suiv.

BIENVEILLANCE, théorie de la ( ),Ν ,IX, 5, 1 et suiv. — La ( ) n'est pas de l'amitié, G, II, 14, 9. — Théorie de la ( ), id., ibid, —Son rapport à l'amitié, Ε, VII, 7,1 et suiv. — Origine de l'amitié, G, II, 13, 40. — La ( ) doit être réciproquement connue pour devenir de l'amitié, N, VIII, 2, 4. — Définition de la ( ) G, 1, 29,1 et suiv.

BOISSEAUX DE SEL, proverbe sur l'amitié, Ν, VIII, 3, 8.

BOISSEAUX DE SEL, proverbe sur l'amitié, Ε, VII, 2, 46.

BON GOUT, définition du ( ), dans les relations de société, N, IV, 8, 5.

BON SENS, définition du ( ), N, VI, 8, 4. — Définition du ( ) G, II, 3,1 et suiv.

BON TON, définition du ( ) dans les relations de société, N, IV, 7 et suiv.

BOSSUET s'est servi de la Morale à Nicomaque pour l'éducation du Dauphin, Pr. iv. — instruit le Dauphin avec la Morale a Nicomaque, Pr. CLI.

BOUFFON, portrait du ( ), N, IV, 8, 3.

BOUFFONNERIE, définition de la ( ), G, 1, 28,1 et suiv. — La ( ) est l'excès de la gaieté, N, II, 7,13.

BOUDDHISME, Ses doctrines déplorables, Pr. CCXII.

BOUILLIER, sa traduction de Kant, Pr. cxcvii.

BONHEUR, le ( ) mérite notre respect plutôt que nos éloges, Ν, I, 10,1. — Aristote a pour le ( ) une sorte de fétichisme, Pr. cxv. — Le ( ) est le principe de toutes nos actions, Ν, I, 10, 8. — Le ( ) est le bien définitif et complet, N, I,4, 5. — Il est indépendant, id., ibid., 6. — La fin de tous les actes possibles de l'homme, id., ibid., 8.— Confondu avec le bien suprême, N, I, ,2, 2. — Diversité des opinions qu'on s'en fait, id., I, 2, 3, selon les situations où l'on se trouve, id., I, 2, 4. —On le juge par sa propre vie, id., I, 2,10. — Ne se confond ni avec les plaisirs, ni avec la gloire, ni même avec la vertu., id., I, 2,13. — Aristote confond à tort le ( ) avec le souverain bien, Pr., cxxiii. — Le ( ) confondu d'ordinaire avec la prospérité, N, I, 6,4. — Ses conditions, id., ibid. — Confondu souvent avec la fortune, Ν, I, 6,16. — Sa définition répétée, Ν, I, 6, 13. — Le ( ) ne peut se passer des biens extérieurs, id., ibid., 14. — Ses conditions très-nombreuses et très-diverses, id., ibid., 16. — Aristote explique et justifie la définition qu'il en a donnée, N, I, 6,1 et suiv. — Théorie du ( ) selon Aristote, Pr. cxi. — Résumé de la théorie du ( ), Ν, X, 6, 1 et suiv. — Le ( ) parfait consiste dans la pensée, Ν, X, 7, 7. — Confondu avec la contemplation, Ν, X, 6, 8. — Définition du ( ) N,X, 7, 1 et suiv. — Définition du ( ), G, 1, 3, 2. — Sa définition, ses conditions, G, I, 4, 3 et suiv.—Sa définition, Ε, II, 1, 9. — Définition du ( ), E, 1,7, 2 et suiv.—Privilège de l'homme id., ibid — Théorie du ( ), E, VII, 14,1 et suiv.— Le ( ) est essentiellement un acte, G, I, 4, 5 et suiv. — Théories antérieures sur le ( ), Ε, I, 3, 1 et suiv. — Théorie du ( ), Ε, I,1,4 et suiv. — Opinions ordinaires sur le ( ),
id., ibid., 7. — Ses caractères et ses attributs divers, N, I, 6, 1. — Esquisse du ( ), Ν, VII, 12, 3. — Peut-on apprendre à être heureux? Ν, I, 7,1. — Son origine, id., ibid. 2.—Le ( ) est une chose divine en ce monde, id., ibid., 3. — Est le prix de nos efforts, id., ibid., 5. — Le ( ) peut-il être enseigné comme la vertu., Ν, I, 7,1, n, — Le ( ) dépend en partie de nous, Ε, I, 3, 5. — Définition du ( ), Ε, I, 4,1 et suiv. — Le ( ) se contente de peu de biens extérieurs, Ν, X, 9, 1 et suiv. — A-t-on besoin d'amis quand on est dans le ( ) Ν, IX, 9,1 et suiv. — Le ( ) pour être réel doit durer longtemps, I, 4,16. — Il faut qu'il ait duré toute la vie pour être complet, N, I, 7,11. — Opinion que s'en fait Anaxagore, Ε, I, 4, 4. — Théorie définitive d'Aristote sur le ( ) Pr., CXLVII. — Aristote le prend à tort pour but suprême de la vie, Pr., cxii. — Le ( ) et la vertu. marchent presque toujours ensemble dans le monde, Pr., xxx.

BONITZ, M. H. ( ), sa dissertation sur la Morale d'Aristote. Pr., ccxcv.

BRAHMANE, le ( ) pouvait tuer le tchandala ou paria qui le touchait, E, II, 8, 19, n.

BRANDIS, son histoire de la philosophie ancienne, Pr., CCLVI. — Cité sur les trois rédactions de la Morale, Pr. cccviii. — Communique à M. Spengel une scholie d'Aspasius, Pr. ccxc

BRASIDAS, cité, Ν V, 7,1, et n.

BRAVOURE, la ( ) ne désespère jamais, Ν, III, 8,11.

BRUCKER, ses critiques peu justes contre la Morale d'Aristote, N, 1, 6, 11, n. — Trop sévère pour la Morale d'Aristote, P. CL.

BRUTALITE, définition de la ( ), G, II, 7,1 et suiv. — Définition de la ( ), G, II, 8,33. — Moindre que le vice, Ν, VII, 6, 9.

BRUTALITE, de certains besoins de l'homme, E, 1, 5, 5.

BRUTE, la ( ) ne possède pas le principe supérieur, N, VII, 6, 9.

BUT, on doit toujours se proposer un ( ) dans la vie, E, 1, 2, 1 et suiv.

BUT DE LA VIE placé dans les biens de rame, N, I, 6,3.

BYZANCE, douane de ( ), E,  VII, 14, 5.

 

C

 

CADAVRES, on a l'habitude de les conserver en Egypte, Ε, VII, 1, 14.

CALLICLES, ses arguments cités, Ν, V, 7, 2, n.

CALLISTHENE , son Histoire grecque, Ν, IV, 3, 21, n.

CALYPSO, Ν, II, 9, 3.

CAMARADES, rapports des ( ) entr'eux, Ν, VIII, 12, a.

CAMARADE, étymologie de ce mot en grec, Ε, VII, 10,1, n.

CAMELEON, comparaison ingénieuse qu'en tire Aristote, Ν, I, 8, 3, n.

CAMERARIUS, Cité Ν, I, 3, 1, n.

CAPITAUX, association de ( ), N, VIII, 14, 4.

CARACTERES, définition de certains ( ) moraux, Ε, II, 3, 5 et suiv.

CARCINUS, cité, Ν, VII, 7, 6, n.

CARTHAGE, citée, Ν, VII, 5, 2, n.

CASAUBON, cité, Ν, VII, 11,1, n. — Variante qu'il propose, E, VII, 4, 9, n, — ité, Pr. CCLXXVIII.

CATECHISME moral de Kant, Pr. CCXXIII.

CATEGORIES, citées, Ν, II, 8, 5, n. — Citées, Ν, V, 1,5, n. — Citées, Ν, X, 3, 3, n. — Citées, Ε, I, 8, 7, n.

CATEGORIES indiquées dans la Morale, Pr. CCLXV.

CAUSE, l'homme est une ( ), Ε, II, 6,1 et suiv.

CAUSE, recherche de la ( ), E, 1,6,2. —11 ne faut pas toujours rechercher la ( ) des choses pour les bien comprendre, N, I, 5, 3.

CAUSE FINALE de deux espèces, Ε, II, 10,19.

CARRE PAR LA BASE, Ν, 1,8,6, n, expression de Simonide employée par Platon et Aristote, id., ibid.

CELTES, les ( ) exagèrent le courage jusqu'à ne pas craindre les flots soulevés, Ν, III, 8, 7. — Leur courage insensé, Ε, III, 1, 25.

CERCLE, quadrature du ( ), impossible, Ε, II, 10, 11. — Il est difficile de trouver exactement le centre d'un ( ), G, I, 9, 6.

CERCYON, cité, Ν, VII, 7, 5.

CHANGEMENT, le ( ) continuel est nécessaire à la faiblesse de l'homme, Ν, VII, 13, 8.

CHANTEUR, abusé par un roi, Ν, ΙΧ, 1, 4; E,VII, 10, 32.

CHATIMENTS, les ( ) sont des remèdes moraux, Ν, II, 3, 4.

CHIRON renonce à être immortel, Ε, III, 1, 27. — Centaure précepteur d'Achille, id., ibid, n.

CHOSES, les ( ) notoires pour nous, et notoires en soi, N, , 2, 8. — On ne peut pas aimer vraiment les ( ) inanimées, Ν, VIII, 2,3.—Théorie sur les différents usages des ( ), Ε, VII, 13, 1 et suiv.

CHRISTIANISME, ses idées d'humanité, Ν, V, 12, 8, n. — Moins éloigné moralement du paganisme qu'on ne le croit d'ordinaire, Pr., ccx.

CICERON croit que la Morale a Nicomaque est de Nicomaque fils d'Aristote, Ν, I,1,1, n. — A sans doute imité un passage d'Aristote dans les Tusculanes, N, I, 2,11, n — Attribue la Morale à Nicomaque au fils d'Aristote, Pr. CCLXXI. — Cité, Ν, IV, 5,11, n — Cité, Pr. XL.

CIMON, son opulence, E, III, 6, 4.

Circé, Ν, II, 9, 3, n

CITOYEN, rapports d'affection des ( ) entr'eux, Ν, VIII, 11, 4. — Rapports essentiels des ( ) en¬tr'eux, G, I, 31,16.— Limites de leur nombre quant à l'Etat, N, IX, 10,3 .—Tous les ( ) ne sont pas aptes indistinctement au pouvoir, G, II, 5, 7. — Les ( ) plus braves que les soldats à Hermaeum, Ν, III, 9,9. — Citoyens, leurs devoirs en fait d'opinions politiques, Pr., CCXLIX.

CIVILISATION, la ( ) ne corrompt pas les âmes, Pr., CCXLI.

CLAZOMENE, patrie d'Anaxagore, E, I, 4, 4.

CLEARQUE, tyran fameux, G, II, 8, 33.

CŒUR le ( ) a aussi son intempérance, Ε, II, 7, 9.

CŒURS, le plaisir est le chemin des ( ), E, VII, 2, 28.

COLERE, théorie de la ( ) N, IV, 5, 7. — La ( ) n'est pas volontaire et réfléchie, Ν, II, 5, 4. — Aveuglements de la ( ), G, II, 8, 25. — La ( ) ne doit pas se confondre avec le courage, N, III, 9, 10. — Ses rapports au courage, Ν, III, 9, 12. — La ( ) est un excès dont le contraire n'a pas de nom spécial, N, II, 7, 10. — Effets de la ( ), Ν, VII, 6, 4 — Il n'y a pas d'insulte dans la colère, Ν, VII, 6, 6 — Sens particulier de ce mot, G, I, 11, 2, n. — La ( ) est une sorte d'intempérance, Ε, II, 7, 9. — La ( ) est une nuance de l'appétit, G, I, 11, 2.

COMEDIE ancienne et nouvelle, Ν, IV, 8, 6.

COMMENCEMENT le ( ) est plus que la moitié en toutes choses, Ν, I, 5, 3.

COMMUN, Aristote tient trop de compte du sens ( ) Pr., cxxii.

COMMUNAUTE entre amis, N, VIII, 9, 1.

COMPARAISON de la sagesse et de la prudence, Ν, VI, 10,1.

COMPLAISANCE, définition de la ( ), Ν, II, 7, 14.—Défaut de dignité morale, G, I, 26, 1 et suiv.

COMPLAISANT, définition du ( ), Ν, IV, 6, 9. — Définition du ( ), Ε, III, 7, 5.

COMPTES, les bons ( ) font les bons amis, Ε, VII, 10, 16.

CONCORDE, théorie de la ( ) N, IX, 6,1 et suiv. — Théorie de la ( ), G, II, 14, 13. — Son rapport à l'amitié, Ε, VII, 7, 1 et suiv.

CONDITIONS les ( ) de la vertu., au nombre de trois, Ν, II, 4, 3.

CONJECTURE rôle de la ( ) dans l'acquisition de la vérité, G, I, 32, 7.

CONNAISSANCE, qui fait la gravité de la faute, Ν, VII, 3, 5.

CONNAITRE, difficulté de se ( ) soi-même, G, II, 17, 6.

CONRART a traduit le portrait du magnanime, Ν, IV, 3, 1, n.

CONSCIENCE, description de la  ( ), Pr. xvii.

CONSTITUTIONS, Recueil des ( ) Ν, X, 10, 23; Pr., CCLXVII.

CONSTITUTIONS, ne sont pas partout identiques, Ν, V, 7, 5.

CONSTITUTIONS politiques de diverses espèces, Ν, VIII, 10,1 et suiv.

CONTEMPLATION, confondue avec le bonheur, Ν, X, 8, 8. — Bonheur qu'elle donne. Ε, I, 4, 4. — Plaisir de la ( ), Ν, X, 7, 4. — De Dieu, Ε, VII, 15,16.

CONTRAIRE, le ( ) recherche le contraire, G, II, 13, 2.

CONTRAIRES, théorie des ( ) rappelée, Ν, VIII, 8, 8, n. — Rapports des ( ), Ν, V, 1, 4. — Rapports des ( ) entr'eux, E, II, 5, 4. — Opposition régulière des ( ), E, II, 10, 27.

CONTRAIRES, rapport des ( ) en amitié, Ε, VII, 5, 5.

CONTRAIRES de la vertu. par excès ou par défaut, G, 1, 9,1 et suiv.

CORISCUS, E, VII, 6, 14.

CORNELIUS NEPOS, cité sur Thémistocle, Ε, III, 6,5, n.

CORONEE, ville, Ν, III, 9, 9, n.

CORPS, union de l'âme et du ( ) Pr., xxxiii. — Instrument congénial de l'âme, Ε, VII, 9, 2. — Biens du ( ) opposés à ceux de l'âme, N, 1, 6, 2.

COUPABLE, peut-on être ( ) envers soi-même ? G, I, 31, 31.

COURAGE, théorie du ( ), Ν, III, 7,1 et suiv. — Idée générale du ( ), id., ibid., 3 et suiv. — Le ( ) se rapporte surtout à la mort, id., ibid., 6 ; se montre dans les dangers de la guerre, id., ibid., 8. — Limites du ( ), N, II, 8, 2. — Théorie du ( ), G, I, 29, 1 et suiv. — Milieu entre la crainte et la témérité, Ν, II, 7, 2. — Le ( ) a cinq espèces distinctes, N, III, 9,1 et suiv. — Courage civique, id., ibid. — Rapports du ( ) à la colère, id., ibid., 12. — Nobles motifs du vrai ( ), id., ib. 14. — Le ( ) est une vertu de la partie irrationnelle de l'âme,  N, III, 11,2. — Le () vient souvent de l'habitude, N, III, 9, 6. — Le () ne doit pas se confondre avec la colère, N, III, 9, 10. — Le vrai (} n'est produit ni par la colère, ni par l'espoir, ni par l'ignorance, N, 10, 9,12 et suiv.— Ses conditions, Ν, III, 10,1 et suiv.—Le () affronte la mort, tout en regrettant la vie, Ν, III, 10, 4. — Théorie du (), Ε, III, 1,1 et sniv. — Le vrai ( ) est une soumission aux ordres de la raison, id. ibid., 12. — Ses cinq espèces, id„ ibid, 15. — Ses rapports à la justice, G, II, 5, 9,

Courageux, définition de l'homme (), Ν, III, 8, 6.

Cousin, sa traduction de la Métaphysique d'Aristote, citée  N, VII, 13, 9, n. — N, X  8, 7, n. — Sa traduction de la Métaphysique, G II, 17, 4, n. — Sa traduction de la Métaphysique, E, II, 10, 17, n. — Sa traduction de la Métaphysique, Ε, VII, 12, 6, n.. — Sa traduction de Platon. Pr., l et suiv. — Pr., ccxxxviii  — Sa traduction de Platon citée N, I, 2, 7, n. — Sa traduction de Platon citée, Ν, I, 3,1, n. — Sa traduction de Platon citée, Ν, I 8, 6, n — Cité, Ν, IIΙ, 1, 10, 2, n. —  Cité, N, III, 9, 6, n. — Cité, N. III, 10, 2, n. — Cité, Ν, IV, I , 20, n. - Ν, X, 1,1, n. — N, X, 2, 3, n. - Cité, Ν, X, 2, 11, n - Cité, Ε, II, 7,4, n. — Ν, X, 10, 3, n. — Son édition de Descartes, Pr., cxxii. — Son ouvrage sur le Vrai, le Beau et le Bien, E, I,1, 8, 3, n.—Son ouvrage sur le Vrai, le Beau, et le Bien, G, I, 1, 12, n.

Cousin, V. (). Voyez Platon.

Crabes, animaux inférieurs, G, II, 9,13.

Crainte la ( ) n'est pas volontaire et réfléchie, N, II, 5, 4.— Il faut distinguer parmi les objets de (), Ν, III, 7, 3. — Quels sont les vrais objets de () 7, N, III, 8,1 et suiv.

CraTYLE de Platon, cité, H, V, 4,9, n. — Cité, H, VII, 11, 2, n.

Cresphonte, pièce d'Euripide, Ν, III, 2, 5, n.

Crète, théâtre des exploits de Thésée, Ε, III, 1,17.

Crétois les législateurs des ( ) et des Lacédémoniens se sont surtout occupés de la vertu, N, I, 11, 3.

Critique historique en philosophie, principe excellent que donne Aristote, Ν, I, 6, 6, n.

Critique de la Raison pratique de Kant, analyse de la ( ), Pr., CLXXII.  Voyez Kant.

Crocodile, ses rapports avec le roitelet, Ε, VII, 2,17.

CrOEsus, son entretien avec Solon rapporté par Hérodote, II,, 7,12, n. — Sa conversation avec Solon, Ε, II, 1,10.

Croyances, importance décisive des ( ) morales, Pr. ccix.

Cyclopes, leur gouvernement intérieur, Ν, X, 10, 13.

Cynique, école ( ), définition qu'elle donne de la vertu, Ν, H, 3, 5, n. — Ecole () citée, N, VII, 11, 3, n.

CYNIQUES les philosophes ( ) Indiqués, G, II, 9,13, n.

CYPRIS nommée, Ν, VII, 6,6, n.

Cyrénaïque école () citée, N, VII,  17, 3, n  — Ecole ( ), N, X, 1, 2, n.

Cyropédie de Xénephon, N, VIII,10, 4, n.

 

D

 

DANSEUSES, marchant sur les mains, Ε, VII, 11, 2.

Darius, G, II, 14, 10.

David l'Arménien, son témoignage sur les ouvrages d'Aristote, Pr. CCLXXVI.

Débauché le ( ) commet ses fautes par son libre choix, N, VII, 3,2. — Plus vicieux que l'intempérant, Ν, VII, 7, 3. - Ne sent point de remords, N, VII, 8,1. —Le ( ) ne se confond pas avec l'intempérant, G, II, 8, 29 et 60.

Délibération, sa définition et ses limites, Ν, III, 4, 1. — La ( ) doit se confondre avec l'intention, N, III, 3,16. — La ( ) ne s'applique qu'aux moyens et jamais au but, N, III, 4, 11. — A le même objet que l'intention, id., ibid, 17. — Sa définition, N, VI, 7, 1, 2, 3 et 4. — Objet propre de la ( ), E, 11,. 10, 10.

Délits, différence qu'on doit faire entr'eux, Ν, V, 5, 3. — L'intention en change la nature, Ν, V, 8, 3, 4, 5, 6, 7.

Délos, inscription de ( ), Ε, I, 1, 1. — Inscription de ( ), N, 1, 6, 13.

Delphes, inscription de ( ), G, II, 17, 6, n. — Précepte de ( ), Pr. XLIX.

Démocratie, déviation de la République, N, VIII, 10, 3.

DémodocUs, son mot centre les Milésiens, Ν, VII, 8, 3.

Denys, méchanceté qui lui est attribuée par Plutarque, Ν, IX, 1, 4, n. — Sa férocité, G, II, 8, 33.

Denys d'Halicarnasse, cité par M. Spengel, Pr., ccxvii.

Derniers analytiques, cités, Ν, I, 2, 8, n. —Cites, Ν, I, 5, 3, n. Voyez Analytiques.

Descartes, cité sur la puissance supérieure des démonstrations métaphysiques et morales, Ν, I, 1, 17, n. — Refuse la pensée aux animaux, N, X, 8, 8, n. — Cité, Pr. cxxii.

Désir, théorie du ( ), Ε, II, 7, 6. — Son rapport à l'intention, Ν, III, 3, 4. — Le ( ) est une nuance de l'appétit, G, l, 11, 2. —- Le ( ) plus dénué de raison que la colère, Ν, VII, 6,3.

DESIRS naturels, Ν, III, 12,1 et suiv. — Désirs communs, désirs spéciaux, id., ibid. — Distinction entre les plaisirs et les ( ), N,VII, 4, 6.

DESSINS, explicatifs de l'Histoire des animaux d'Aristote, N, II, 7, 1, n.

DESTIN, le ( ) est parfois un pilote excellent, E, VII, 14, 6.

DETTE DE RECONNAISSANCE, il faut toujours la payer avec usure, Ν, IX,  2, 5.

DEVINS, les ( ) ne sont pas maîtres d'eux, Ε, II, 8, 21.

DEVOIR, le ( ) est la règle du vrai courage, N, III, 8, 6 — Le ( ) ne doit jamais fléchir devant l'intérêt, Pr. cxvii. — Apostrophe fameuse de Kant au ( ), N, III, 19, 5, n. — Apostrophe de Kant au ( ), Pr. CLXXXIV.

DEVOIRS, actes qu'i faut mettre au nombre des ( ), Ν, V, 11, 1. — Réciproques des individus les uns à l'égard des autres, N, VIII, 9, 4. — Diversité des ( ) dans la société, Ν,  IX, 2, 7.

DIDOT (FIRMIN), variante que son édition d'Aristote propose dans la Morale à Eudème, E, VII, 4, 9, n. — Son édition d'Hérodote, Ε, VII, 2, 17 .— Son édition des fragments du Recueil des Constitutions d'Aristote, Ν, Χ, 10, 23, n. —Son édition des fragmenta d'Agathon, Ε, III, 1, 27.— Cité, Ν, X, 9, 3, n, et passim. Voyez Firmin Didot.

DIEU est au-dessus de nos louanges, et ne mérite que notre respect, Ν, I,10, 5. — Accepte tous les sacrifices qu'on lui offre, Ε, VII, 10, 28. — Jouit d'un plaisir éternel, N, VII, 13, 9. — L'acte éternel de ( ) est de se contempler lui-même» N, X, 8, 7. —Est le bien, Ε, I, 8, 7. — Ne fait que du bien, E, VII, 10, 15. — Ne peut être l'auteur du désordre, G, II, 10, 3. — Est seul supérieur à la science et à l'entendement, E, VII, 14, 22. — Son indépendance, G, II, 17,3. — Est absolument indépendant, Ε, VII, 12, 2. — Son indépendance n'a pas besoin d'ami, E, VII, 12, 16. — Ne peut rendre aux hommes une affection réciproque, Ε, VII, 3, 4 et 4, 5.

DIEUX, leur condition éternelle, Ν, V, 9, 17. — Bienfaisance des ( ) envers les hommes, N, VIII, 12, 5. — L'homme ne peut jamais s'acquitter envers les ( ), N, VIII, 14,5. — Aiment l'homme vertueux, Ν, X, 9, 5. - Les ( ) n'ont besoin de rien, N, X, 8, 7. — Idées basses qu'on s'en fait vulgairement, id., ibid. — Les ( ) n'ont pas d'amis,. N, VIII, 7, 4. — Les ( ) sont au-dessus de nos louanges et ne méritent que le respect, X, I, 10,3, — Combattus par Niobé, Ν, VII, 4, 6.

Difformités du corps, les() sont parfois volontaires, Ν, III, 6, 14.

Dignité, définition de la ( ) morale, G, I, 26, 1 et suiv.

DIOGèNE Laërce, cité, N, VII, 11, 1, n. — Ν, VIII, 11, 5, n — Cité, Ν, I1,10, 5, n. — Cité, Ν, I, 3, 8, n. — Cité sur les Ouvragée Encycliques d'Aristote, N, I, 2, 13, n, — Ses témoignages peu exacts sur les ouvrages d'Aristote, Pr. cclxxiv.

Diomède est plein de courage dans Homère, Ν, II, 9, 7. — Cité, N ,V, 9, 7. — Compagnon d'Ulysse, Ν, VIII, 1, 2, n.

Dioscures, mot du Lacédémonien qui ne veut pas les appeler à son aide, Ε, VII, 12, 20.

Discernement moral, règles du ( ), E, VII. 3, 6.

Dissentiments dans les liaisons où l'un des amis est supérieur, Ν, VIII, 14, 1 et suiv.

Dissertation sur les trois ouvrages de morale conservés sous le nom d'Aristote, Pr. CCLV et suiv.

Dissertation préliminaire, citée, Ν, V, 9, 8, n. — Citée, N, VI, 3,1, n; et passim.

Disposition morale de l'homme, Ν, VII, 7,1.

Dispositions, un des trois éléments de l'âme, G, I, 7, 1 et suiv. — Théorie des ( ) de l'âme, G, I, 7, 1 et suiv.

Dissimulation, définition de la ( ),G, I,30, 1 et suiv.

Divin, élément ( ) dans l'homme, Ε, VII, 14,23.

DOUCEUR, théorie de la ( ), N, IV, 5, 1 et suiv. — Théorie de la ( ), G, I, 21,1 et suiv. — Sa définition, N, II, 7,10. — Définition de la (), Ε, III, 3,1 et suiv.

DOUCEUR, la théorie de la ( ) placée autrement dans la Morale à Nicomaque que dans les deux autres morales d'Aristote, Ν, IV, 1,1, n.

Douleur, nature de la ( ), N, X, 2, 11. — Il importe à la politique d'étudier le plaisir et la ( ), N, VII, 11, 1 et suiv. — Est un mal qu'il faut fuir, Ν, VII, 12, 1 et suiv. — Contraire du plaisir, 14., ibid. — L'homme fuit absolument la ( ), N, VIl, 13, 2. — Son influence sur nos déterminations, Ε, II, 10, 28. —La ( ) nous fait souvent fuir le bien, Ν, II, 3, 1. — La ( ) détourne souvent du bien, G, I,16, 11. — Ses rapports à la vertu, N, 1, 6, 1 et suiv. — Ses rapports à la tempérance et à l'intempérance, Ν, III, 12,6.

Droit subordonné par Kant a la Morale, Pr; ccii.

Droite raison, la ( ) est la règle du sage, Ν, III, 12, 8, n. — Recommandée par Platon avant Aristote, id., ibid.

Droite raison. Voyez Raison.

Droits réciproques des individuels les uns à l'égard des autres, N, VIII, 9, 3.

Dualité de l'homme, Ε, VII, 15,16.

 

E

 

Eau, son rapport au feu. G, II, 13, 30.

Echange en nature remplacé par la monnaie, Ν, V, 5, 13. — Rôle de l' ( ) dans la société, N,  IX, 1,1.

Eclectisme historique recommandé par Aristote, Ν, I, 6, 6, n.

Ecole Écossaise, sa théorie du sens commun, Ε, 1, 6, 1, n.

Ecoles grecques, leur théorie du souverain bien défendue contre Kant, Pr. cxxvii.

Economique, importance de la science ( ), Ε, I, 8, 20.

Économique d'Aristote, citée, Ε, I, 8, 20, n.

Ecossaise, école ( ) attache une grande importance au sens commun, N, X, 2, 4, n.

édition d'Aristote donnée par l'Académie de Berlin, citée, N, II, 8, 5, n. — E, VIII, 10, 8, n; et passim.

éducation, influence de l' ( ) Ν, X, 10, 6. — A Lacédémone, II, X, 10,13. — Publique, Ν, X, 10, 14. — Particulière, id. ibid. - — Théories sur l' ( ), Pr. ccxvi. — Son importance, Pr. ccxxv. - — L' () doit toujours être sévère, Pr. ccxxx.

égalité, milieu entre le plus et le moins, Ν, V, 4, 6. — Définition de l'Γ ( ), G, I, 31,3. — L' ( ) est l'amitié, Ν, VIII, 8, 6. — Amitiés dans l' ( ), Ν, VIII, 6, 7. — Des deux amis, E, VII, 10, 10. — L' () est une des causes de l'amitié, Ε, VII, 3, 1 et suiv.; et 4, 1 et suiv. — Numérique, ( ) proportionnelle, Ε, VII, 10, 11. — Proportionnelle, G, I, 32, 7.

égoïsme, théorie de l' ( ), G, II, 13, 42. — Définition de l' ( ), G, II, 15,1 et suiv. — Définition de l' ( ), Ε, III, 7, 5.—Limites où il convient de le renfermer, Ν, IX, 8, 1 et suiv. — Du méchant, Ε, VII, 6, 12. — De l'homme de bien, id. ibid., 13. — Louable ( ) du bien, Ν, IX, 8, 11.  — De la vertu, N, IX, 8, 9. — Source prétendue de l'amitié et de toutes les affections, N, IX, 4, 1 et suiv.

égypte, adore le bœuf Apis, Ε, I, 5, 6. — On a l'habitude en ( ) de conserver les cadavres, E, VII, 1, 14.

éléphant, L' () de Pyrrhus n'effraie pas Fabricius, Ν, III, 9, 15, n.

éloges, théorie des ( ), Ν, I, 10, 7. — Traité des ( ), ouvrage présumé d'Aristote, Ν, 1,10, 7, n.

Empédocle, cité, Ν, VII, 3, 8. - — Ses vers difficiles, cités, N, VII, 3, 8, n. — Cité, Ν, VIII, 1, 6. — Son explication sur les habitudes d'une chienne, G, II, 13, 2. — Son explication des habitudes d'une chienne, Ε, VII, 1,8.

ENCYCLIQUES, ouvrages ( ) composés par Aristote, Ν, I, 2,13. — On en ignore le sujet, id. ibid. n. — Singulière explication d'Eustrate à cet égard, id. ibid. — Ouvrages ( ) d* Aristote, Pr. CCLXIII.

ENDYMION, son sommeil éternel, Ν, X, 8, 7. — Son sommeil éternel, Ε, 1, 5,7, n.

ENFANT, l' ( ) ne peut être heureux, Ν, I, 7,10. — On ne peut pas dire que l' ( ) soit heureux, G, 1, 4, 6. — L' ( ) n'est pas tout à fait responsable de ses actes, E, II, 8, 5. — Aucun ( ) vainqueur aux Jeux Olympiques, n'a été couronné étant homme fait, N ,ll, 2, 6, n.

ENFANTS, les ( ) sont d'abord privés de raison, G, II, 9, 31. — La pétulance des ( ) comparée à l'intempérance, Ν, III, 13. 5. n. — Les ( ) n'ont pas de réflexion, Ν, III, 3, 2. — Leurs appréciations insensées, Ν, X, 6, n.— Le 'sort de nos ( ) nous intéresse et nous importe, Ν, I, 9,1. — Sont un lien de plus entre les parents, Ν, VIII, 12, 7. — Leurs devoirs envers leurs parents, N, VIII, 7, 2. — Rapports d'affection des parents et des ( ), N, VIII, 12. 2. — Leurs devoirs envers leurs parents, Ν, VIII, 12, 5. — Doivent assurer la subsistance de leurs parents, Ν, IX, 8.

EN SOI, formule de la théorie des Idées défendue contre Aristote, N, 1, 8, 5, n.

ENTENDEMENT, partie supérieure de l'homme, Ν, X, 7,1 et suiv. — Est un principe divin dans l'homme, Ν, X, 7, 8. — Est tout l'homme, Ν, X, 7, 9. — N'a besoin de rien en dehors demi-même, Ν, X, 8, 6.— Principe et fin, Ν, VI, 9, 5. — S'applique aux extrêmes, Ν, VI, 9, 3. — L' ( ) s'applique à la connaissance des principes, G, I, 32,18. — note de l' ( ) dans l'acquisition de la vérité, G, I, 32, 7.

ENTêté, l' ( ), ses rapports avec le tempérant, Ν, VII, 9, 4.

ENVIE, définition de l' ( ), N, II, 7,16. —Définition de l' ( ), G, I, 29,1 et suiv. — Description de l' ( ), Ε, III, 7, 1 et suiv. — Réprobation absolue de l' ( ), Ν, II, 6,18.

ENTHOUSIASTES, les ( ) ne sont pas maîtres d'eux, Ε, II, 8, 21.

EPHORE, cité d'après Eustrate, Ν, III, 9, 9, n.

EPICHARME, une de ses expressions citée, Ν, IX, 7, l. — Id. ibid., n

épictète, cité comme homme de courage, Ν, III, 7, 5, Sa piété, Pr. CLIV.

ÉPICURE cité, N, VII, 11, 3, n. Voir Kant

épicurisme adopte une fausse définition de la vertu., Ν, II, 3, 6, n.

EQUITE, définition de l' ( ), G,. II, 2,1 et suiv.

ERIX ou ERYX, ville de Sicile, Ν, III, 11, 10, n. — Ville de Sicile, E, III, 2,12, n.

ERREUR n'est jamais absolue, Ν, I, 6, 6, n.

ESCHYLE révèle indiscrètement les Mystères, Ν, III, 2, 5 —Ses pièces perdues, où il rêvélait les mystères, Ν, III, 2,5, n.

ESCLAVE, rôle de l' ( ), Ν, VIII 11, 5. — Il n'y a pas d'amitié possible envers lui, id., ibid., 6.

ESCLAVE ne peut jouir du bonheur, Ν, X, 6,7.

ESCLAVES trop zélés, G, II, 8. 24.

espérance, plaisir pour l'avenir, Ν, IX, 7, 6.

ESPOIR, l' ( ) donne souvent du courage, Ν, III, 9,13.

ESPRIT de Société, théorie de l' ( ),Ν, IV, 6,1 et suiv.

ESTIME, l' ( ) ne va guère sans l'amitié, N, VIIÏ, 8, 2.

ETAT, l' ( ) ne vit comme les individus que par la modération, Pr. LIIII. — Ressemble à la famille, Ν, VIII, 10, 4.— Limites de l' ( ) quant au nombre des citoyens, Ν, IX, 10, 8 — Ses rapports aux individus, qui le composent, Ν, viii, 9, 6. — L' ( ) ne doit pas avoir sur les individus autant de pouvoir que les anciens lui es donnaient, Ν, I, 2,  1, n. — L' ( ) n'est qu'une association, E, VIIl, 9,1.

ETAT par excellence, Ν, X, 10, 23.

ETAT, l'homme d' ( ) ) doit connaître les choses de l'âmne, Ν, I, 11,7.

ETATS, les ( ) ont besoin de l'amitié pour subsister, Ν, VIII, 1,4.

ÊTRE, acceptions diverses de ce mot, Ε, I, 8,7.

étude de la nature, Ν, VII, 13, 6.

ETYMOLOGIE mauvaise donnée par Aristote, Ν, VII, 11, 2, n.

EUDEME, ses travaux suivant, M. Spengel, Pr. CCXCVI.  — Supposé à tort l'auteur de la Morale à Eudème, Pr. cccv. — Voyez Spengel, Fischer, et Fritzsch.

EUDOXE, sa théorie du plaisir justifiée sur un point. Ν, I, 10, 5 et n. — Sa théorie du plaisir, Ν, V, 2, 1 et suiv. — Citations; probables qu'en fait Aristote, id, ibid. — Cité, N, X, 2,18, n. — Ν, X, 2, 18. — Réfuté peut-être dans le Philèbe de Platon, Ν, X, 2, 13, n.. — Ses théories morales, G, I, 1, 9, n. — Cité, Ε, I,1. 7, n. — Cité par Diogène de Laërte, Pr. CCLXXV.

EURIPE, son flux et son reflux, Ν, IX, 6, 3.

EURIPIDE, son Alcméon cité par Aristote, Ν, III, 1, 8. —Vers d' ( ) cités, Ν, V, 9,1, n. — Vers d' ( ) , cités, Ν, VI, 6, 3, n. — Cité, Ν, VII, 15, 9, n.. — Cité, Ν, VIII, 1, 6. — Ν,  IX, 6, 2, n. — Cité, G, II, 13, 25. — Cité, G, II, 13, 29. — Cité, E, VII, 11, 2. — Id. ibid., n. — Indiqué, Ν, VII, 13,9. — Id., ibid, n.—Cité sans être nommé, Ν, IX, 9, 1. — Id. Ibid, n. — Cité sans être nommé, E, VII, I, 9 et 10. — Cité sans être nommé, Ε, VII, 2, 2. — Cité sans être nommé, Ε, VII, 53. — id., ibid., n.. — Cité sans être nommé, Ε, VII, 5, 4, n. — ld., ibid., 5, n. — Sa pièce de Cresphonte, Ν, III, 2, 5, n.

Eurysthée persécute Hercule, E, VII, 12,19.

Eusèbe cité, Pr. CCLXXIII.

Eustrate, son explication inadmissible sur les ouvrages Encycliques d'Aristote, Ν, I, 2, 13, n.. — N'est peut-être pas l'auteur du commentaire sur sa morale, N, X, 5, 8, n.—Son commentaire cité, Ν, I, 1, 5, n. — Son commentaire cité, Ν, I,1, 1, n. — Ν, I, 3, 8, n. — Cité, Ν, I, 7, 3, n. — Cité, N, I,10, 8, n. — Cité, N, I, 7, 1, n. — Cité, N, III, 6, 22, n. — Cité, Ν, III, 9. 9, n. — Cité, N, IV, 3, 21, n. — Cité, N, VIII, 1, 7, n. — Ν, IX, 10, 2, n.

Εvénus, vers d' ( ) cités, N, VII, 10, 4, n. — Cité, Ε, II, 7, 4, et ibid, n.

Excès, soit en trop, soit en moins, également redoutable pour la vertu. Ν, H, 2, 6. Voyez Milieu et Vertu.

Exercices du corps, doivent être modérés pour être utiles, Ν, II, 2, 6. — Pr. CXCVII. — Les ( ) procurent du plaisir, M, III, 11,10.

ésotériques, Artstote cite ses ouvrages Exotériques sur l'âme, Ν, I,11, 9.

exotériques, ouvrages ( ) d'Aristote, Pr. cclxiii.

Expérience, L' ( ) suffit parfois pour donner du courage, Ν, III, 9, 6. — Le temps seul la procure, Ν, VI, 6, 4. — Utilité bornée de l' ( ), Ν, Χ, 10, 16.

Extérieurs, biens ( ) opposés à ceux de l'âme et du corps, N, I, 6, 2. — Voyez Biens.

Extrêmes, rapports des () entr'eux et avec le milieu, Ν, II, 8, 6. — Difficultés de les bien juger, id. ibid., 47.

 

F

 

FABRICIUS, son courage imperturbable devant l'éléphant de Pyrrhus, Ν, III, 9,15, n.

Faculté, la simple () est au-dessous de l'usage, G, I, 3, 3.

Facultés ou puissances de l'âme, Ε, II, 2,5. — Un des trois éléments de l'âme, Ν, II, 5,1,— Un des trois éléments de l'âme, G, I, 7, 1 et suiv. — Termes auxquelles elles s'appliquent, Ν, VI, 9, 1.

Faims, plusieurs acceptions de ce mot, Ν, V, 9., 11.

Fait, le ( ) est souvent le vrai et le seul principe, Ν, 1,2, 9.

FAITS, les ( ) sont la mesure des théories, Ν, X, 9, 4.

Famille, la ( ) est le modèle de l'Etat, Ν, VIII, 10, 4. — La ( ) source de l'amour, de l'Etat et de la justice, Ε, VII, 10, 9. — Antérieure à l'Etat, Ν, VIII, 10, 7. — L'homme est surtout un être de ( ), Ε, VII, 10, 5. — Affections de ( ), Ν, VIII, 12, 2. — Liens de ( ), G, II, 14, 2 et suiv. — Affections de ( ), Ε, VII, 12, 1 et suiv. — Education dans le sein des ( ), Ν, X, 10, 14. — Sentiments de la ( ) plus répandus qu'on ne croit, dans l'antiquité, Ν, VIII, 7,2,n.— Théorie admirable de la ( ) dans Aristote, Pr. cxlvi. — Rôle de la ( ) dans l'éducation, Pr. cc.xxvii.

Fanfaron, définition du ( ), G,  IV, 7, 2.

Fanfaronnerie, définition de la ( ), G, I, 30, 1 et suiv.

Faste grossier, le ( ) est le contraire de la magnificence, Ν, IV, 2,18.

Faute, la ( ) est toujours volontaire, Ν, III, 6,10.

Faute, connaissance qui en fait la gravité, Ν, VII, 3, 5.

Fautes, différences des ( ), N, V, 3, 12.

Femme, ses rapports à son mari, Ν, VIII, 7,1 et suiv. - Ses rapports au mari, G, I, 31,18. — Association de la ( ) et du mari, N, VIII, 10, 5, 11 et 3. Voyez Mari.

Fermeté, la ( ) consiste h résister, Ν, VII, 7, 4.

Feu, son rapport à l'eau, G, II, 13, 30.

Firmin Didot, son édition des Classiques grecs citée passim.— Voyez Didot. — Son édition d'Euripide citée, N, VII, 1, 9, n. — Son édition d'Euripide, E, VII, 1, 9, n.. - Cité, G, II, 13, 25, n. — Cité, G, II, 17,1, n.. - Cité, N, VII, 11, 1, n.

Fils, ses rapports à son père, Ν, VIII, 7,1 et suiv. — Est toujours le débiteur de son père, Ν, VIII, 14, 5. — Ses liens avec le père, G, II, 14, 4. -  ( ) qui frappe son père; son excuse ridicule, G, II, 8, 20.

FISCHER, M. A. M. ( ), sa dissertation sur la Morale d'Aristote, Pr. ccxcvi.

Fin, la () est toujours le meilleur, Ε, II, 1, 4. — La ( ) par sa nature est toujours bonne, E, 11, 10, 25. - La ( ) n'est jamais l'objet de la science, E, II, 11, 5. — Est le principe même de la pensée, id. ibid., 6. -— La ( ) est évidemment l'objet de la volonté, Ε, II, 10, 7. — La () se confond avec l'acte, G, II, 14, 6. — Rapports de la ( ) et de l'oeuvre, Ε, II, 1,3.

Fins, ( ) les deux espèces de fins absolues ou relatives, Ν, I, 1,2.— Distinctions des ( ) et des moyens, G, I, 2, 6.

FLATTERIE, définition de la ( ), Ν, II, 7,14. — Définition de la  ( ), G, I, 29,1 et suiv. — Définition de la ( ), Ε, III, 7,4.

FLATTEUR, définition du ( ), N, IV, 6, 9.

FLATTEURS, on aime en général les ( ), et pourquoi, Ν, VIII, 8,1 et suiv. — Bien accueillis des tyrans, Ν, X, 6, 3, n.

FLEGMATIQUE, définition du caractère ( ), N. II, 7,10.

FLUTE à deux tuyaux, Ε, VII, 10, 5.

FONDEMENTS de la Métaphysique des Mœurs, analyse de cet ouvrage de Kant, Pr. CLX. Voyez Kant.

FORCE, définition de la ( ) et de la nécessité, Ε, II, 8, 3.

FORCE OU contrainte morale, théorie de la ( ), G, I, 13, et suiv.

FORCE majeure, définition de la ( ),N, III, 1, 3.

FORTUNE, théorie de la ( ), G, II, 10,1 et suiv, — Ses vicissitudes diverses, Ν, I, 8, 7. — Confondue souvent avec le bonheur, Ν, I, 6, 16. — On tient davantage à la ( ) qu'on a gagnée soi-même, Ν, IV, 1, 20. — La ( ) n'arrive guère qu'à ceux qui la cherchent, id. ibid., 21. — La ( ) acquise est plus précieuse qu'un héritage. Ν, IX, 7, 7. — La ( ) contribue au bonheur, G, II, 10, 12.

FORTUNE du pot, recevoir les gens à la ( ), E, III, 6, 3.

FORtuné, nuance de ce mot comparé au mot d'heureux, N, I, 11, 9, n.

FOULE, perversité incurable de la ( ), Ν, X, 10, 4.

FRANCHISE, définition de la ( ), Ν, IV, 7, 7.

FRERES, rapports des ( ) en-tr'eux, Ν, VIII, 10, 6, et 11, 4. — Leurs rapports d'affection réciproque, Ν, VIII, 12, 3.

FRICTIONS, les ( ) procurent du plaisir, Ν, III, 11, 10.

FRITZSCR, M. A. T. H. ( ) le dernier éditeur de la Morale à Eudème, Pr. cccii et suiv. — Cité, Ν, VII, A, 3, n. — Cité, N, VII, 4, 3, n.— N, VII, 12, 2, n. — Cité, Ε, 1,7, 4, n.. — Cité, E, II,1, 17, n. — Cité, E, VII, 13, 1, n.

FROID, portrait de l'homme ( ), E, III, 7, 9.

FUNERAILLES, devoir de figurer aux ( ) de ses parents, Ν,  IX, 2, 7.

 

G

 

Gaieté, définition de la ( ), N, II, 7,13.

Galères de l'Etat équipées par de simplet particuliers, Ν, IV, 2, 9.

Garve, traducteur de la Morale d'Aristote, ses excellentes remarques sur la Morale à Nico-maque, N, I, 1, 9, n. — Blâme avec raison une digression d'Aristote, N, I, 1, 18, n. — Ne tient pas assez de compte de certaines théories d'Aristote, N, I, 3,16, n. — Blâmé dans une de ses critiques contre Platon et Aristote, Ν, 1,7,1, n. — Sa critique contre Aristote, N, II, 8, 1, n.

Gaulois. Voyez Celtes, Ν, III, 8,7, n.

Généralités, les () sont toujours un peu vides en morale, Ν, II, 7,1.

Génération, tout plaisir n'est pas une ( ), N, VII, 11, 9. — Les plaisirs ne sont pas une ( ), N, X, 2, 9.

Généraux, les ( ) sont souvent obligés de donner des ordres cruels pour prévenir la lâcheté de leurs soldats, Ν, III, 9, 5.

Générosité, sa définition, N, IV, 1, 6.

Gens de bien, les ( ) se plaisent mutuellement, G, II, 13, 26. — Leur amitié seule est durable, G, II, 13, 21.

GIPHANIUS, cité, Ν, III, 6, 22, n. — Fait un bel éloge d'un des chapitres de la Morale à Nicomaque, Ν, IX, 4, 10, n.

Gloire, la ( ) est le but des esprits actifs et distingués, Ν, I, 2,12. — N'est pas le bonheur, id., ibid.

Glaucus, cité, N, V, 9, 7.

Gorgias, de Platon, cité, X III, 1, 8, n. — Cité, N, III, 7, 4, n. — Cité, Ν, V, 5,16, n. — Cité, Ν, V, 7, 2, n. — Cité, Ν, V, 11, 7, n. — Allusion probable qu'y fait Aristote, N, VIl, 12, 4. n. — Cité, Ν, X, 10, 18, n.. — Cité, Ε, I, 5, 12, n.

Gosier, est le siège du goût chez les animaux, Ε, III, 2, 12.

Gourou, nom du précepteur spirituel dans l'Inde, Ν, IX, 1, 9.

Goût, le siège du ( ) dans les animaux est surtout dans le gosier, Ε, III, 2,12. — Les plaisirs du ( ) peuvent être pris avec intempérance, Ν, III, 11, 9.

Goûts, monstrueux et féroces, Ν, VII, 5, 2. — Bizarres et maladifs, M, VII, 5, 3.

Gouvernements, théorie des diverses formes de (), Ν, Vlll. 10,1 et suiv.

Gouvernement, espèces diverses de (), E, VII, 9, !4.

Grâce, propre de la ( ), N, V, 5, 5.

Grâces, temple des ( ), sa place dans la ville, Ν, V, 5, 5.

Grammaire, les règles de la ( ) sont invariables, Ν, III, 4, 8.

Grammairiens; leurs recherches, E, II, 10,13.

Grande morale, tome II, pages 1 et suiv. — Traité inachevé, G, II, 19, 1 et suiv. — Citée, Ν, V, 10, 2, n. — Analysée, Pr. cccxxi.

Grandeur d'âme, théorie de la ( ),N, IV, 3, 1 et suiv. — G, I, 23, 1 et suiv. — Théorie de la ( ), E, III, 5, 1 et suiv. — Définition de la ( ), E, III, 5, 15.

GrandEUR D'ÂME, Voyez Magnanimité.

Gravité, définition de la ( ) Ε, III, 7, 5.

Grèce, Immenses services qu'elle a rendus à la science morale, Pr, xliv.

Grèce, héritage moral que nous lui devons, Pr. ccix et ccxiv.

Grossièreté, définition de la ( ), N, IV, 8, 3. — Définition de son contraire, Ν, VII, 1, 1.

Guerre, la ( ) est surtout l'épreuve du vrai courage, N, III, 7, 8. — Se fait toujours en vue de la paix, Ν, X, 7, 6.

Gymnaste, son rôle spécial, E, II, 11, 4.

Gymnastes, les ( ) réglaient la nourriture de leurs élèves, N, II, 6,7, n.

Gymnastique, la ( ) est un art très-précis, Ν, III, à, 8. — La ( ) expose aux fatigues et à la douleur, Ν, III, 10, 3. — Louée, N, V, 11, 7.—Son utilité, Ε, I, 8, 8.

Gymnastique, utilité générale de la ( ), Pr. ccxxxii.

Gymnastiques, utilité des exercices ( ), pris avec mesure, Ε, II, 5, 6.

 

H

 

Habile, l'homme ( ) peut être Intempérant, G, II, 8, 45.

Habileté, théorie de l' ( ), G, I, 35,18. — L' ( ) s'acquiert par la continuité des actes, Ν, III, 6, 11. — Peut devenir de la fourberie, Ν, VI, 10, 9.

HABITUDE plus facile & changer que la nature, N, VII,  10, 4. — Influence de l' ( ) sur le plaisir, Ν, X, 5, 2. — L' ( ) est le fond même de la vertu morale, Ε, II, 2, 1 et suiv. — Influence morale de l' ( ) selon Aristote, Pr. cxxx.

Habitudes, importance suprême des ( ) dès l'enfance, N, II, 1,7. — Un des trois éléments de l'âme, N, II, 5,1. — Nous no disposons de nos ( ) qu'au début, Ν, III, 6, 21.

Hamie, nom d'une femme anthropophage, citée, N, VII, 5,2, n.

Hasard, contraire de la raison et de l'Intelligence, G, II, 18, 2. — Théories sur le ( ), E, VIII, 14, 1 et suiv. — Limites dans lesquelles il s'exerce, E, VIl, 14, 9, et 19. — Deux sortes de ( ), Ε, VII, 14, 24. — Effets divers du ( ), E, VII, 14, 6.

HECTOR est plein de courage dans Homère, Ν, III, 9, 2. — Il menace ses inférieurs de punir leur lâcheté, id., ibid., 4. — Son courage dans Homère, G, I, 19, 8. —Son courage, Ε, III, 1, 30. — Cité, Ν, VII, 1,1.

HEINSIUS, éditeur de la paraphrase attribuée à Andronicus de Rhodes sur la Morale à Nicomaque, Ν, I, 1, 5, n. Son édition de la paraphrase de la Morale à Nicomaque, Pr. CCLXXI. — Son édition d'Hésiode citée, N, I, 2 9, n.

HELENE en présence des vieillards de Troie, Ν, II, 9, 6.

HERACLITE, cité sur la difficulté de se vaincre soi-même, Ν, II, 3, 10, n. — Cité, Ε, II, 7, 9. — Cité, Ν, VII, 3, 4, n. — cité, N, VIII, 1, 6. — Cité, Ν, X, 6, 8. — Sa conviction imperturbable dans ses propres idées, G, II, 8, 12; id., ibid., n. Blârnait une pensée d'Homère, Ε, VII, 1, 11. — Désigné sans être nommé, Ε, VII, 1, 9, n.

HERCULE , sa mère préfère qu'il soit loin d'elle plutôt que de le voir souffrir, E, VII, 12, 19.

HERDER a une belle page sur la Philia des Grecs, Ν, VIII, 1,1, n.

HERITAGE, est moins précieux que la fortune qu'en a acquise soi-même, Ν, IX, 7, 7.

HERMAEUM, bataille célèbre en ce lieu, Ν, III, 9,9.

HERMENEIA d'Aristote, cité, Ν, H, 8, 6, n.—Citée, E, VII, 14, 20, n.

HERODICUS, le médecin, E, VII, 10, 31, n.

HERODOTE rapporte l'entretien de Solon et de Croesus, Ν, I, 7,12. n. — Cité, Ν, X, 9, 3, n. — Cité, E, II, 1, 10, n. — Cité sur le roitelet et le crocodile, E, VII, 2,17.

HEROÏSME de la vertu., Ν, IX, 8, 9.

HESIODE cité, N, 1, 2, 9. — Cité, Ν, III, 10,2, n. — Cité, N, V, 8,1, n. — Ν, VII, 12, 6, n..— Ν, VIII, 1,6, n. — Cité sans être nommé, Ν, IX, 9, 10, 1, id., ibid., n. — Cité indirectement, Ν, IX, 1, 6, n. — Cité sans être nommé, Ε, III, 1, 9, n.

HEUREUX, nuance de ce mot comparé au mot de fortuné, N, I, 8, 9, n. —Il y a des gens heureux dans toutes leurs entreprises malgré leurs folles, E, VII, 14, 2 et suiv.

HIÉRON, la femme d' ( ) interroge Simonide, Ν, IV, 1, 26, n.

Hippocrate, le médecin, a montré combien la philosophie peut être utile à la médecine, N, I, 3, 16, n.

HIPPOCRATE cité, Ν, III, 4, 8, n. — ( ) le géomètre, trompé par tes douaniers de Byzance, E, VII, 16, 5.

HISTOIRE des animaux, d'Aristote, avait des dessins explicatifs, N, II,7,1, n.

HISTOIRE générale de Polybe citée, Ν, VII, 2, n.

HOBBES cité, Ν, IX, 9,2, n.. — Croit à l'insociabilité de l'homme, id., ibid. — Croit à la méchanceté naturelle de l'homme, Ε, VII, 2, 31 et 34.

HOMÈRE, cité par Aristote, N, II, 9, 3. — Cité, N, II, 9, 3, n.— Cité, Ν, II, 9, 6 n. — Cité, E, III, 1, 30. — Peinture qu'il fait des gouvernements anciens, N, III, 4, 18. — Cité, Ν, III, 9, 2. — Cité, Ν, III, 9, 18. — Un vers cité par Aristote ne se retrouve pas dans te texte aciien, N, III, 9,10, n.. — Compare Ajax. à un âne, Ν, III, 9, 11, n. — Cité, N, III, 11, 7, n. — Cité sur tes plaisirs de la jeunesse, N, III, 12,1. - — Cité sans être nommé, Ν, IV, 2,3. — Vers d' ( ) cités, Ν, V, 9, 7. —Cité, Ν, V, 6,7, n — Vers d'( ) cités, Ν, VII, 5, 4. — Cité, Ν, VI, 5, 4, n.. — Cité, N, VII, 1, 1. — Cité, Ν, VII, 1, 1, n. — Vers d' ( ) cités, Ν, VII, 6, 5.. — Cité, Ν, VII, 6, 5, n. — Cité, N, VIII, 1, 2. — Cité, Ν, VIII, 10, 4. — Cité, Ν, VIII, 11,1. —Cité, N, IX, 8, 9, 11. —  Indiqué, Ν, X, 10, 13. — Expression remarquable citée de lui, E, III, 7, 6. — Cité, G, I, 19, 8. — id. ibid., n. — Pensée d' ( ), blâmée par Héraclite, Ε, VII, 1,11.

HOMME, l' ( ) a une œuvre propre à remplir, en tant qu'homme, Ν, 1,4,10. —- C'est l'activité de l'âme conforme à la raison, id., ibid., 14. — L' ( ) est surtout un être intelligent, Ν, IX, 4,3. — L' ( ) est bon par nature, E, VII, 2, 31, 57. --L' ( ) est une cause libre et raisonnable, E, II, 6,1 et suiv. — L' ( ) est le seul être libre, E, II, 8,5.—L' ( ) est essentiellement libre, G, I, 10, 5 et suiv. — L' ( ) seul est susceptible d'être heureux, N, I, 7, 9.— Est te seul être qui puisse être heureux, Ε, I, 7, 2.—La faiblesse de l' ( ) a besoin d'un changement continuel, Ν, VII, 13, 8. — Homme, sa disposition morale, N, VII, 7, 1. — Sa dualité, Ε, VII, 15,15. — L' ( ) a en lui un élément divin, Ε, VII, 14, 23. — Son privilège et son but suprême, c'est de pouvoir contempler Dieu, E, VII, 15, 16. — L' ( ) est une plante du ciel, selon Tintée, Pr. XCIX. — La partie supérieure dans l' ( ), c'est l'entendement, Ν, X, 7,1 et suiv. — Êtres dont la nature est plus divine que la sienne, Ν, VI, 5, 7. — Est éminemment sociable, Ε, VII, 12, 15. — Est surtout un être de famille, VII, E, 10, 5. — L' ( ) est éminemment sociable, Ε, VIl, 10, 2.— Est nécessaire à l'homme, Ν, VIII, 1, 3. — Et lui est sympathique, id., ibid. — Dans quel cas on dit qu'il est intempérant, Ν, VII, 4, 4. — L' ( ) tempérant sait changer d'opinion, Ν, VII, 9, 3. — Intempérant, se repent de ses faiblesses, N, VII, 8,1. — Peut être guéri, id., ibid., 1.—Prudent, possède toutes les vertus, Ν, VII, 2, 5.

HOMME DE BIEN, tableau de la conscience de l' ( ), Ν, IX, 4, 4. — L' ( ) peut être l'ami du méchant, G, II, 13,10. — L' ( ) peut-il être l'ami de l'homme de bien ou du méchant?, G, II, 13, 18 et suiv. — L' ( ) n'est pas égoïste, G, II, 2,15,1 et suiv.— Dans quel sens il peut l'être, id., ibid., 16,1 et suiv.

HOMME DE BIEN, est le seul juge des choses, Ν, X, 5,10. — Amour qu'il se porte a lui-même, E, VII, 6,13.

HOMME HONNÊTE, définition de l' ( ), N, V,10, 8.

HOMMES, les ( ) doivent un amour reconnaissant aux Dieux, N, VIII, 12, 5. — Leurs passions trop souvent grossières, Ν, I, 2, 11.

HOMMES D'ETAT, leur habileté e*t toute pratique, Ν, X, 10,18. — Les vrais ( ) sont fort rares, Ε, I,5,12.

HONNÊTE, l' ( ) est meilleur que le juste, Ν, V, 10,2. — Rectification de la justice, Ν, V, 10, 8.

HONNETETE, définition de l' ( ), G, II, 1,1 et suiv.

HONNETETE PARFAITE, résumé de toutes les vertus, G, II, 11,1 et suiv. — Théorie de P ( ), E, VII, 15,1 et suiv.

HONNEUR, l' ( ) avec le devoir est la règle du vrai courage, N, III, 6, 8. — ( ) récompense des supérieurs. Ν, VIII, 14, 2.— L' ( ) rétablit l'égalité entre les amis inégaux, Ε, VII, 10, 13. — Diverses espèces d' ( ), Ε, III, 5, 10.

HONTE, la ( ) qui fait rougir, Implique toujours quelqu'honnêteté, Ν, IV, 9, 6.

HONTE, Ν, IV, 9, 1 et suiv. Voyez Pudeur.

HOSPITALITE, est une liaison intéressée, N, VIII, 3, 4. — Genre de liaison qu'elle produit, Ν, VIII, 12,1. — L' ( ) produit des amitiés très-solides, G, II, 13, 46.

HOSTILITE, définition de l'esprit d' ( ), G, I, 29,1 et suiv.

HUMAIN, Aristote ne recherche que le bien purement ( ), Ν, I, 11, 5.

HUMANITE, idées d' ( ) propres aux Stoïciens, M, VIII, 12, 3, n.

HUMBLES, les situations les plus ( ) n'excluent pas la vertu., Ν, X, 9, 2.

 

I

 

IDEES, critique du système des ( ), relativement au bien en soi, Ν, 1, 3, 1 et suiv. — Réserve d'Aristote dans cette critique, parce que ce système a été soutenu par des personnes qui lui sont chères, id., ibid. — Critique de la théorie des ( ), G, I, 1, 22. — Critique de la théorie des ( ), Ε, I, 8, 3 et suiv. — Critique injuste d'Aristote contre la théorie des ( ), Ε, I, 8, 22, n. — Il y a certaines ( ) plus fortes que nous, Ε, II, 8, 22.

IGNORANCE, l' ( ) peut causer des actes involontaires comme la force majeure, Ν, III, 2, 1. — Ne doit pas être confondue avec le vice, id,, idid. 3. — Punie par les législateurs, Ν, III, 6, 9. — L' ( ) produit souvent le courage,. Ν, III, 9,. 18. — est cause des actes involontaires,  E, II, 9, 3.

ILIADE citée, N, III, 9, 10, n. — Citée plusieurs fois, N, III, 9, 6, n. — Ν, III, 11,7, n.— Citée, Ν, III, 12,1, n. — Voyez Homère.

ILION citée, Ν, VI, 1,13.

ILLIBERALITE, emploi de ce mot justifié, Ν, IV, 1, 3, n.

IMMORTALITE de l'âme, admise implicitement par Aristote, N, I, 9, 4, n.. — Opinion douteuse d'Aristote sur l' ( ), N, III, 3, 7, n.

IMMORTALITE progressive de l'homme, Ν, X, 7, 8.

IMPARTIALITE, définition de l' ( ),N, II, 7,18.

IMPASSIBILITE, qualité rare, E, III, 2, 4.

IMPERATIF catégorique dans le système de Kant, Pr. CLXVIII.

IMPUDENCE, définition de l' ( ), Ε, III, 7, 3. — Défaut de modestie, G, I, 27,1 et suiv. — Définition de l' ( ), Ν, II, 7,15.

INCOUPE, mot forgé pour rendre un mot grec analogue, E, III, 2,1, n.

INDE, Citée, G, I, 16, 4 — E, II, 10,11. — Allusion probable à l'expédition d'Alexandre dans l' ( ) G, I, 6, 14, n..- E, II,10, 11, n.

INDEPENDANCE, théorie de l' ( ), G, II, 17, 1 et suiv. — A-t-elle besoin de l'amitié id., ibid. — Elle n'appartient qu'à Dieu, G, II, 17, 3 et 5. — Définition de l' ( ), E, VII, 12,1 et suiv.— N'exclut pas l'amitié? id., ibid., 4 et suiv. — Avantages et dangers de l' ( ) morale, Pr. CCXLII.

INDIENS cités, G, I,16, 4; id., ibid., n.

INDIGNATION (Némésis), N, II, 7,16. — Théorie de l' ( ), G, I, 25,1 et suiv.

INDIVIDU, l' ( ) existe surtout par le principe divin qu'il porte en lui, Ν, IX, 8, 6.— Est surtout constitué par l'entendement, N, X. 7, 9. — Un ( ) ne peut à lui seul avoir tous les avantages, E, I,1,1, — Ses rapports moraux avec ses semblables, Pr. CCXLVI.

INDUCTION, emploi de l' ( ), Ε, II, 1, 3. — Emploi de l' ( ), E, VII, 15, 5.

INEGAL, son milieu, Ν, V, 3,1.

INEGALITE, Ses rapports avec l'injustice, Ν, V, 2,9. — ( ) caractère de l'injustice, Ν, V, 3,1. — Amitié dans l' ( ), Ν, VIII, 7,1 et suiv. — L'amitié peut subsister dans l' ( ), Ε, VII, 3, 1 et suiv. ; et 6, 1 et suiv.

INFORTUNE, épreuve des véritables amis, Ε, VII, 2, 50.

INIQUITE, expression qui comprend l'idée de l'injustice, Ν, V, 1, 11.

INJUSTICE, définition de l' ( ), Ν, V, 1, 8. — Méthode pour étudier l' ( ),N, V, 2, 1.

INJUSTICE, l' ( ), tout ensemble excès et défaut, Ν, V, 5,16. — Définition de l' ( ), G, II, 5,1 et suiv. —- Ne s'éprouve jamais volontairement, Ν, V, 9,8. — Peut se commettre envers soi-même, id.., ibid., 9. — L' ( ) envers soi-même est-elle possible? G, I, 31, 27. — Question de savoir si l' ( ) est possible contre le méchant, G, II, 5 ,5.

INSCRIPTION de Délos, sentence morale, Ν, I,6,18. — Id., Ε, I, 1,1. Voyez Délos.

INSENSIBILITE, Ν, II, 7, 3. — L' ( ) à regard des plaisirs est fort rare, Ν, 12, 7.

INSOLENCE, définition de l' ( ), G, I, 23, 1 et suiv.

INSTINCT, nuances diverses de l' ( ), G, I,11, 2. — Doit obéir à la raison, Ε, II, 8, 5.

INSTINCT DIVIN de tous les êtres, Ν, VII, 12, 7.

INTELLECTUELLE, la vertu ( ), Ν, II, 1,1. — A besoin d'enseignement, id., ibid.

INTELLECTUELLES, vertus () et vertus morales, Ν, I, 11, 20. — Voyez vertus.

INTELLIGENCE, l' ( ) est le fond même de l'homme, Ν, IX, 4, 3. — Objet unique de l' ( ), Ν, VI, 1, 10. — Son importance, id., ibid., 12. — Très-différente de la sensation, G, I, 32, 5. — Ne s'applique qu'aux choses où il peut y avoir doute, Ν, VI, 8, 1. — Se borne à juger, id. ibid., 2. — Bonheur de l' ( ), Ν, X, 8, 4. etc. — Le bonheur de l' ( ) n'a aucun besoin extérieur, Ν, X, 8, 6. — Voyez Entendement, Science.

INTEMPERANCE et plaisir, théorie de l' ( ), dans le 6e livre de la Morale à Eudème, reproduction textuelle du 7elivre de la Morale à Nicomaque. — L' ( ) est surtout relative aux plaisirs du toucher et du goût, Ν, III, 10, 9.—S'applique surtout aux sens du goût et du toucher, Ε, III, 2, 9. — Définition de l' ( ), N, III , 12, 4. — Comparaison de l' ( ) et de la lâcheté, Ν, III,13, 1 et suiv. — L' ( ) est toujours volontaire, id., ibid., 4. — Opinion de Socrate sur l' ( ), N, VII, 2,1 et 2. — Son contraire, Ν, VII, 1, 1. — Louable ( ), Ν, VII, 2, 7— Rien n'est spécial à cette passion, Ν, VII, 3, 12. — Blâmée comme un vice, Ν, VII, A, 3. — Blâmable et méprisable, Ν, VII, 4, 7. — Deux causes de l' ( ), N, VII, 7, 8. — Théorie sur l' ( ) et le libre arbitre, G, I,11, 3, et 12,1 et suiv. — Théorie de l' ( ), G, II, 6, 1 et suiv.; et 8, 1 et suiv. — l' ( ) est-elle involontaire? G, I,31, 30. — De deux espèces, G, II, 8,35. — Ses objets spéciaux et ses limites, G, II, 8, 10 et 22. — Théorie de l' ( ), E, III, 2, 1 et suiv. — Comparaison de l' ( ) et de la tempérance, Ε, II, 8, 6. — Est toujours volontaire, id. ibid. 9.

INTEMPERANT, proverbe appliqué, à l' ( ), N, VII, 2, 10. — Etudes sur l' ( ), N, VII, 3, 2, 3, 4, 5. — Portrait de l' ( ), Ν, VII, 8, 6. — En.des sur l'intempérant, N, VII, 2, 4.

INTEMPERANT, applications diverses du mot d' ( ), Ν, VII, 1, 8.

INTENDANT, rôle de l' ( ) dans la famille, G, I,32, 31.

INTENTION, l' ( ) est indispensable pour constin.er la vertu, N.  II, 4, 3. — Théorie de l' ( ), Ν, III, 3,1, — Son rapport au désir, N, III,3, 4. — A la passion, id., ibid., 6.—A la volonté, id., ibid, 7. — Au jugement, id., ibib., 10. — L' ( ) ne s'applique qu'aux choses qui dépendent de nous, Ν, III, 3, 9. — Condition nécessaire de la vertu., Ν, X, 8, 5. — Change la nature du délit, Ν, V, 8, 2. — Importance morale de l' ( ), G, I,15, 1 et suiv. — Théorie de l' ( ), E, II, 10,1 et suiv. — Ne se confond pas avec la volonté, id., ibid. — Se compose du jugement et de la volonté, E, II, 10,14. — L'homme ne l'a pas à tout âge, ni dans toute circonstance, id., ibid.,18. — L' ( ) est plus louable que l'acte, Ε, II, 11,13.

INTENTIONS, il faut surtout regarder aux ( ) pour apprécier les gens, Ε, II, 11,11.

INTERET, opposé au devoir, formes diverses qu'il revêt, Pr. XXXVIII.

INTERET, théories qui fondent l'amitié sur l' ( ), E, VII, 1,14. — Cause de l'amitié, N, VIII, 3, — L' ( ) suit la vertu., G, II, 13, 25. — Varie sans cesse, N, VIII, 3, 3. — L' ( ) change sans cesse, G, I, 32, 16. — L' ( ) varie sans cesse, G, IUI, 13, 21. — Amitié par ( ), de deux espèces, légale et morale, Ε, VII, 10, 16.

INTERPOLATION, possible dans le texte de la Morale à Nicomaque, Ν, III, 6, 21, n. — Et désordre probable dans la Grande Morale, G, II, 11, 4, n.

INTIMITE, douceur de l' ( ), N, IX, 12,1 et suiv. — Voyez Amitié.

INVOLONTAIRE, définition de l' ( ),N, III, 1,11 et 12.

INVOLONTAIRES, les choses ( ) sont toujours pénibles, Ν, III, 2,13.

INVOLONTAIRES, deux espèces d'actes ( ), l'un par force majeure, l'autre par Ignorance, N, III, ch. 1 et ch. 2. Voyez Volonté et Liberté.

IPHIGENIE, pièce d'Eschyle, N, III, 2, 5, n.

IRASCIBILITE, sa définition, N, II, 7,10. — Théorie de l' ( ), N, IV, 5, 2. — Défaut fréquent, E, III, 5,3.

IRONIE OU dissimulation, E, II, 3, 7, n.

IRRAISONNABLE, la partie ( ) de l'âme est double, Ν, I, 11, 18.

IVRESSE, punie par les législateurs, Ν, III,6, 8. — Les délits commis dans l' ( ) sont doublement coupables, G, I,31, 25.

 

J

 

JEUNESSE, la ( ) n'est pas propre à l'én.de sérieuse de la politique, N, I,1,18.—La ( ) est une sorte d'ivresse, Ν, VII, 13,6. — Se lie surtout par le plaisir, Ν, VIII, 3, 5.

JEUX Olympiques, belle comparaison qu'Aristote en tire, N, I, 8, 8, n.

JOUISSANCES corporelles, leur rapport avec la mollesse, Ν, VII, 6, 5.

JUGES, parfois nommés médiateurs, N, V, 4, 7.

JUPITER, père des dieux et des hommes, Ν, VIII, 10, 4. — On ne sacrifie pas toutes les victimes à ( ), Ν, IX, 2, 6. — N'a pas à lui seul tous les hommages des humains, Ε, VII, 11, 3. — Chèvre qu'on immole à ( ), Ν, V, 7,1. — Prend pitié des premiers humains, Pr. LII.

JUSTE, le ( ), diversité extrême des opinions et des systèmes qu'il provoque, Ν, V, 1,14. — Le ( ) ou la justice selon la loi, G, I, 31,1 et suiv. — Définition du ( ), Ν, V, 1, 8. — Définition du ( ), Ν, V, 2,6. — Moins bon que l'honnête, Ν, V, 10, 2. — Proportion géométrique du ( ), N, V, 3, 9. — Egalité suivant la proportion arithmétique, Ν, V, 4, 3. — Implique quatre éléments, Ν, V, 3, 4. — Définition du mot grec, Ν, V, 4, 9.

JUSTICE, théorie de la ( ), Ν, V, — Méthode pour étudier la ( ), N, V, 1, 1. —Théorie de la ( ), G, 1, 31,1 et suiv. — La ( ) a deux espèces, id., ibid., 1 et suiv. — Théorie de la ( ) dans tout le livre 4 de la Morale à Eudème, reproduction textuelle du livre

5 de la Morale a Nicomaque. — Définition de la ( ), Ν, V, 1,15, — Définition de la ( ), G, 1, 31, 23. — La () est une égalité pro-portionnelle, G, 1,31, 7, — La () confondue avec l'égalité, G, 1,31,3. — Deux espèces de ( ), Ν, V, 2,12 et 13. — Ses appli¬cations, Ν, V, 9, 17. — Diffé¬rentes espèces de (), Ν, V, 9, 12, — Justice domestique dif¬fère de la ( ) civile, W, V, 6,6.— Justice proportionnelle, lien de la société, Ν, V, 5, 4. — Justice réparatrice, proportion qu'elle doit suivre, JN, V, 4, a.
JUSTICE, sa rectification, II, V, iO, 3. — Relative, fl, V, il, 9. — Ses rapports au courage, G, II, 5,9. — Ses rapports à l'a¬mitié, Ν, VIH, 1,4. — Ses rap¬ports à l'amitié, Ν, VIII, 9,1 et suiv. — La () varie avec les formes de gouvernement, Ε, VII, 9,1 et suiv. — Admirable théo¬ries de la ( > dans Aristote, Pr. ciLi. — ( ) politique, justice lé¬gale, Pr. cxi.
JUSTICE ne peut jamais sup¬pléer l'amour, Pr. CXLV.



KANT blâme à tort la méthode d'Aristote et des anciens pour étudier la morale, Ν, 1,1, 6, n.
— Son apostrophe au devoir, N, III, 10,4, n. — Cité, Ν, V, 10, n.
— Cité, Pr. XL — Cité,Pr. XLVI.
— Sa critique peu fondée contre les Ecoles Grecques, Pr. cxxvi.
— Cité, Pr. cxxxm. — Sa cri¬tique peu exacte contre la théo¬rie du souverain bien dans les Ecoles Grecques. Pr. CXXVL — Exposé général de sa morale, Pr. CLVIII. — Défauts de sa mé¬thode, id, ibUL — Analyse de son ouvrage, Fondements de la métaphysique des mœurs, Pr. CLX. — Son ouvrage sur les Principes métaphysiques de la morale, Pr. CCLVI. — Sa Cri¬tique de la raison pratique, Pr.
'LXXH, — Sa théorie du souve¬rain bien, Pr. CLXXXII. — Ses hésitations sur la liberté, l'im-mortalité, et l'existence de Dieu,, l>r. CLXXIX. — A inauguré les jrreurs de la philosophie con-temporaine en Allemagne, Pr. :LXXXII. — Son étrange doctrine mr la liberté, Pr. CLXXJIL — — Sa doctrine de l'autonomie de la volonté, Pr. CLXIX. — Ses deux ouvrages des Principes métaphysiques de la morale et des Principes métaphysiques du droit, Pr. cxc. — Interprète audacieusement les dogmes du christianisme, Pr. ce — Subor-donne le droit et la politique à la morale, Pr. ccu. — Se trompe sur la théorie de l'amitié dans Aristote, Pr. exem. — Altère






une opinion d'Aristote sur IV mitié, Pr. CXC.UL — Cité, Ε, 11, il, 13, n. — Son erreur sur une pensée d'Aristote, Ε, VII, 12, 18, n. — Ne croit pas à l'amitié, Pr. cxciv. — Se trompe en retranchant la théodieée à la philosophie, Pr. cxcv. — Ses mérites, Pr. ocv. — Comparé à Platon et à Aristote, Pr. ccvi.
— Ses théories sur l'éducation. Pr. ccxvu. — Ses conseils ad¬mirables de morale, Pr. ccxvu.
— Sa manière de comprendre le précepte de Delphes, Pr. ccxxxvui. — Sa Métaphysique des mœurs, Ν, III, 3,1, M. — Sa maxime sur la bonne volonté, G, 1,18,1, n.
KART, Voyez Barni.



LABRUYERL n'égale pas Aris-tote dans les portraits moraux, Pr. cxxxviu.
LACEDEMONE a attaché un grand intérêt à l'éducation des citoyens, Ν, X, 10,13.
LACEDEMONIEN, mot d'un ( ) qui ne veut pas appeler lesDios-cures à son aide, Ε, VII, 12,20.
LACEDEMONIENS, les législa-teurs des () et des Cretois se sont surtout occupés de la vertu, N, 1,11,3. — Les () ne s'occupent pas des affaires des Scythes, N, 111, a, 6> — Les () ne parlent dans une ambassade aux'Athé-niens que des services qu'ils en ont reçus, Ν, IV, 3, 21.
LACHE, définition du ( ), Ν, 111 8,10.
LACHES de Platon, cité, Ν, III, 8, a, n. — Cité, N, 111,9, 6, n.— Cité, G, I, 19, α, η. — Ε, III, 1, 15, n.
LACHETE, la () désespère aisé-ment, Ν, III, 8,11. — Comparai-son de la () et de l'intempérance, Ν, III, 13, 1 et suiv. — La ( ) n'est pas toujours volontaire, id., idib., 3.
LADRE, portrait du ( ), Ν, IV, 1,36.
LANCETTE, instrument de mé-decine, G, II, 13,15.
LANGAGE, impuissance du ( ), pour rendre une foule de nuan¬ces morales, Ν, II, 7,11.
LANGUEUR, espèce de mol-lesse, Ν, VII, 7, 5.
LAKOCIIEFOLCAULT, allusion à ses Maximes, Ε, VU, 1,17, n. — Son système a des antécédents dans l'antiquité, Ε, VU, 6,1, n.
LATOON, temple àDélos, Ε, I, 1,1.
LBCLERC (J.-V.), sa traduction de Cicéron, Ν, IV, 5, 11, n. — Sa traduction de Cicéron, Pr.
CCLXXI.
LEGISLATEUR, rôle du ( ), N, X, 10,17. — LEGISLATEURS, leur but est de





former les citoyens à ta vertu, Ν, II, 1, 5. — Les () croient à la liberté morale de l'homme, puisqu'ils le punissent dans cer-tains cas, Ν, ΠΙ, β, 6. —Les () doivent se rendre bien compte des notions de volontaire et d'in-volontaire, Ν, III, 1, 2. — Rôle moral des (), Ν, X, 10,10. — Ont divisé les actes de l'homme en trois classes, Ε, H, 10,21.
LEGISLATEURS, les ( ) des Cre-tois et des Lacédémoniens se sont surtout occupés de la ver¬tu, Ν, 1,11,3.
LEGISLATION, ses rapports avec lajustice, Ν, V, 1,12.
LEIBNITZ, rapproché d'Arîs-tote pour son principe d'éclec¬tisme historique, Ν, I, 6,6, tu
LBSBOS, son architecture, ci¬tée, Ν, V, 10,7.
LIAISONS AMOUREUSES, Ν, VIII, 4,1.
LIBERAL, portrait de l'homme ( ) et généreux, Ν, IV, 1,12 et suiv.
LIBERALITE, la () se fait le plus aimer parmi toutes les ver¬tus, Ν, IV, 1, 11. — Théorie de la (), Ν, IV, 1, 1 et suiv. — Sa définition, ût, ibid. — La () est un milieu entre la prodigalité et l'avarice, Ν, II, 7, à. — Théorie de la ( ), G, I, 22, 1 et suiv. — Théorie de la ( ), Ε, III, A, 1 et suiv.
LIBERTE, Analyse de la ( ), N, III, 1,3. — Théorie de la () par
Aristote, Pr. cxxKvi. — Le ( ) de l'homme est incontestable, G, 1,10, h et suiv. — Théorie de la [ ), G, I, 11, 1 et suiv. — Théorie de la ( ) morale de rhomme, G, 1,12,3. — Théorie delà ( ), Ε, II, 6, 1 et suiv. —-Définition de la ( ), Pr. xvni. — Son rapport à la raison, E, H, 9, 1 et suiv. — La ( ) se confond avec la volonté, Ε, II, 7,11. — La () peut toujours s'exercer même dans les circonstances les phis graves, Ε, II, 8, 16.
LIBERTE, étrange doctrine de Kantsur la (), Pr. CLXXIII. — Théorie de la ( ) dans Kant, Pr. ccxxi.
LIBERTINS, les ( ) montrent souvent du courage pour satis¬faire leurs passions, Ν, ΠΙ, 9, 11.
LIGNE DROITE, la ( ) n'est pas étudiée de la même manière par le maçon et le géomètre, N, 1, 5,2.
LIVRES, l'étude des () est peu utile pour la pratique des choses, Ν, X, 10,21.
LOGIQUE D'ARISTOTE, la (> ci-tée, Ν, VI, 2, i,n. — Citée pour la théorie des contraires, Ν, VIII, 8,8, n. — Citée, Ν, X, 10•, 16, n.
Loi, sa force nécessaire, N, X, 10,12. — Ses lacunes, Ν, V, 10, lu — Comparée à la règle de plomb, Ν, V, 10, 7. — Prescrip¬tions de la ( ), Ν, V, 2,10. —Or¬




MO



dounaaces diverses de la ( ), N, V, 1, la. — Ses rapports avec les vern.s et les vices, id., ibib. — Ce qu'elle n'ordonne point, elle le défend, Ν, V, 11,1.
Loi, qui interdit les procès entre amis, Ε, VII, 10,19.
Lois, leur objet dans l'État, N, V, 1,13. — influence des {) sur l'éducation, Ν, X, 10,8.
Lois, recueils de ( ), Ν, X, 10, 21. — Yoyez Constin.tions.
Lois DE PLATON, citées, Ν, II, 3,2, n. — Citées, Ν, III, 8, a, ».
— Citées, Ν, V, S, £3. n. — Ci¬tées, Ν, V, 8,6, n. — Citées, N, VII, 2,1, n. — Citées, Ν, X, 1,1, n. — N,X, 10,10, n. — Ε, II, 10, 21, n.
LORTET, sa traduction de Kant, Pr. CXÇVIL
LOUANGE, la ( ) ne s'applique qu'à des choses secondaires et relatives, Ν, 1,10, 2.
LOURDAUD, portrait du ( ), N, IV, 7,15.
LYSIS de Platon, cité, G, II, 13,35, n. — Cité, Ε, VII, a, 9, n.



MAGISTRAT, ses rapports avec les autres citoyens, Ν, V, 1,16.
MAGISTRATS, leur noble sa¬laire, Ν, V, 6, 5.
MAGNANIME, portrait du ( ), Ν, IV, 3, 2 et suiv.
MAGNANIMITE, théorie delà {), Ν, IV, 3,1 et suiv. — Théorie de la ( ), G, I, 23,1 et suiv. — Id., Ε, III, 5,1 et suiv.
MAGNANIMITE, admirable théo-rie de la ( ) dans Aristote, Pr. cxxxix.—VoyezGrandeurd'âme.
MAGNIFICENCE, son rapport à la libéralité, Ν, II, 7, 6. — Théorie de la ( ), Ν, IV, 2,1 et suiv. — Théorie de la ( ), G, I, 2α, 1 et suiv. — Définition de la ( ), Ε. III, 6,1 et suiv.
MAGNIFICENCE, la ( ) n'est én.-diée qu'après la magnanimité, dans )a Grande Morale et la Mo¬rale à Eudème, Ν, IV, 2, 1, n.
MAGNIFIQUE, portrait du ( ), Ν, IV, 2, 5. — Portrait du ( ), E, 111,6,1 etsuiv.
MAINS, ambidextres, G, I, 31. 20. — Marcher sur les mains, Ε, VII, 13,2.
MAITRES, vénération que les élèves doivent à leurs ( ), Ν, IX, 1, 8, — Les ( ) ne sont pas les seuls à donner l'éducation mo¬rale aux enfants, Pr. ccxxviu
MAL, le ( ) est de l'infini sui¬vant les pythagoriciens, N, U, 6, là.
MAL, il n'y a jamais nécessité de faire le ( ), Ε, II, 11,10.
MALES, oiseaux ( ) partageant avec les femelles les soins de la maternité, E, VIL, 6,7.
MALHEUR, épreuve des véri-tables amis, Ε, VU, 2, 50. —


Doit-on rechercher ses amis quand on est dans te malheur ? E, VIl, 12, 22.

MALVEILLANCE, définition de la ( ), Ν, II, 7,16. — Définition de la ( ), G, I, 25, 1 et suiv. — Sa réprobation absolue, Ν, II, 6, 18.

MANIERES d'être morales, définition des ( ), Ε, II, 2. 6.

MARC-AURELE, beauté de sa morale, Pr. XLV. — Sa piété, Pr. CLVI.

MARGiTEès ( ) d*Homère, clté, Ν, VI, 5, A. — Id.. ibid, n.

MARI, ses rapports à la femme, Ν, VIII, 7,1 et suiv. — Association du ( ) et de la femme, N, VIII, 10, 5, et 11, 5. — Ses rapports à la femme, G, I, 31,18.

MARIAGE , grandes idées d'Aristote sur le ( ), N, VIII, 12, 7. — Utilité et beauté du ( ), E, VII, 10, 8.

MARINS, les ( ) bravent aisément la mort par l'habitude du danger, Ν, III, 7, 10.

MATHEMATIQUES , la réalité dans les ( ) n'a rien d'obscur, N, VI, 6, 5.

MAUX, les ( ) du corps sont souvent imputables à la faute de celui qui les souffre, Ν, III, 6, 14.

MAXIMES platoniciennes, citées, Ν, VI, 10,10, n, id., ibid., 5.

MECHANT, description de ses discordes intérieures, Ε, VII, 6, 12. — Le ( ) se laisse surtout égarer par le plaisir, Ν, II, 3,7. — Discordes intérieures du cœur du ( ), Ν, IX, 4, 7. —Le ( ) ne peut jamais s'aimer lui-même, N, IX, 4, 16. — Le ( ) aime à changer sans cesse, N, VII, 13, 9, — Comment le ( ) peut plaire à l'homme de bien, Ε, VII, 2,57.—Le ( ) est égoïste, G, II, 15,1 et suiv, — Le ( ) peut-il être l'ami du méchant? G, II, 13, 20 et suiv. — Le ( ) peut-il avoir des amis? G, II, 13, 5.

MECHANTS, les ( ) ne peuvent être amis, Ε, VII, 2, 18 et 43.

MEDECIN, en quoi consiste son art? Ν, V, 9,16. — Son rôle spécial, Ε, II, 11, 4.

MEDECINS, leurs délibérations sur les maladies, Ε, II, 10,13.

MEDEE tue Pélias en voulant le ressusciter, Ε, II, 9,2, n.

MEDIATEURS, nom qu'on donne aux juges pour indiquer que la justice est un milieu, Ν, V, 4, 7.

MEDICAL, sens divers de ce mot, Ε, VII, 2, 9.

MEGARE déteste Athènes, E, VII, 10,14. — Sa rivalité contre Athènes, Ε, VII, 2, 14.

MEGARIENS, les ( ) sont fameux par la somptuosité déraisonnables de leurs représentations dramatiques, Ν, IV, 2, 18.

MENAGE, anonyme de ( ), cité sur un ouvrage prétendu d'Aristote, Ν, 1,10, 7, n.

MéNéXènE, cité, Ν, I,19, 7, n.

ΜΕΝΟΝ, le ( ) cité Ν, VI, II, 3, n. — Cité, Ν, VII, 2, 1, n. — Ν, X, 10, 3, n. — Ν, X, 10,18, n.—Cité, G, I,1, 7, n.

MELANCOLIQUES, Ν, VII, 13, 6. — Visions des ('), Ε, VII, 14, 23.

MENSONGE, divers motifs du  ( ), N,1V, 7, 10, et suiv,

MENTOR, était adroit sans être prudent, G, I, 32, 20. — Id., ibid., n.

MERCURE apporte aux premiers humains la pudeur et la justice, Pr. LII.

MERE, rôle de la ( ), dans l'éducation des enfants, Pr. ccxxix. -— Vénération et tendresse qu'on doit à sa ( ), Ν, IX, 2, 8.

MERES, aiment davantage leurs enfants, Ν, IX, 7, 7. — Leur tendresse pour leurs enfants, Ε, VII, 6, 7.

MEROPE, sa conduite involontaire envers son fils, Ν, III, 2, 5.

MESINTELLIGENCES, cause des ( ) en amitié. Ν, IX, 1, 3.

MESQUINERIE , portrait de l'homme mesquin, Ν,  IV, 2, 18. — Définition de la ( ), G, I, 24, 1 et suiv.

MESURES , différences entre les ( ), N, V, 7, 5.

METAPHORE, proscrite par Aristote en philosophie, G, I,1, 21, n. — Proscrite de la philosophie, Ε, I, 8,14.

METAPHYSIQUE d'Aristote, citée, N, 1, 3, 7, n. — Citée sur l'immortalité de l'âme, N, I, 9, 4, n. — Citée sur les Pythagoriciens, Ν, II, 6, 7, n. — Citée, N, II, 8, 5, n.— Citée, Ν. VI, 2,1, n. - Citée, N, VI, 5, 2,n.- Id, ibid., 8, n. — Ν, VII, 13, 9, n. — Citée pour la théorie des contraires, Ν, VIII, 8,8, n. — Citée, Ν, VIII, 12, 5, n.—Ν, X, 8, 7, n.— Ν, X, 2, 17, n. — Citée, Ν, X, 4, 3, n. — Ν, X, 7, 2, n. — Ν, X, 7,9, n. — Ν, X, 8, 3, n. — Ν, X, 10, 23, n. — Ν, X, 10,16, n. — Citée, G, II, 17, 4, n. — Gitée, Ε, I, 4, 4, n. — Citée, Ε, I, 8, 20, n. — Citée, Ε, H, 6, 3, n. — E, 11, 7, 4, n. — Citée, Ε, II, 10, 19, n. — E, VII, 12, 6, n. — Ε, VII, 12, 8, n. — Id., ibid., 17, n. — Citée, ( ), E, VII, 12, 8, n. — ld, ibid., 17, n. — Ε, VII, 14, 21, n. — Indiquée dans la Morale, P. ccxiv. — Cite la Moraie, Pr. CCLXI. — ( ) des Mœurs de Kant, Ν, III, 3,1, n. — ( ) des Mœurs, Ε, VII, 12,18, n.

METAPONTE, ville de la grande Grèce, Ε, III, 1,17, n.

METHODE, varie avec les principes, Ν, I, 5, 3. — Règles générales de la ( ), G, I,1, 21. — Idées générales de la ( ), Ε, I,1 2. — Idée générale de la ( ), E, I, 7, 1. — A suivre dans les études morales, Ε, I, 6, 1 et suiv.— ( ) générale de la science morale, Ε, II, 1,21. — A suivre dans l'étude du bien, Ε, 1,8,12. — De morale pratique recommandée par Kant, Pr. ccxix.

METHODOLOGIE morale, de Kant, Pr. ccxxxvi.

METOEQUE, étranger qui ne jouit qu'en partie des droits de citoyen, Ε, III, 5,20.

MICHEL D'ÊPHESE, auteur probable du commentaire sur la Morale à Nicomaque, Ν, X, 5,8, n.

MiLésiens, mot de Démodocus contre les ( ), N, V,1,8, 3.

MILIEU, définition du ( ) en général, Ν, II, 6, 5. — Son influence, id., ibid.,  9. — En morale, is,, ibid, 11. — Son rapport avec les extrêmes, Ν, II, 8,2.—Difficulté de le bien juger, id., ibid., 7. — Que prescrit la raison, Ν, VI, 1,1. — Le ( ) est le bien, Ν, VIII, 8, 8.— Rôle du ( ) entre les extrêmes, G, I, 9,1 et suiv. — Difficultés pratiques de trouver le ( ) et de s'y tenir, Ν, II, 9, 7. — Rôle général du ( ), Ε, II, 3,1 et suiv.— La théo¬rie du ( ) défendue, Pr. cxxiii.

MILON, sa voracité, Ν, II, 6, 7. — Id., ibid., n.

MILTIADE, père de Cimon, E, III, 6, 4, n.

MINOTAURE, tué par Thésée, E, III, 1,17, n.

MISANTHROPE de Molière, cité à propos des amitiés banales, E, VII, 2, 68, n.

MODESTIE, la ( ) n'est pas une vertu, Ν, II, 7,15. — Définition de la ( ), G, I, 27, 1 et suiv.

MŒURS, à quelle partie de l'âme se rapportent les ( ), Ε, II, 2,3.

MOLIERE, cité à propos des amitiés banales, Ε, VII, 2, 68, n.

MOLLESSE, ses rapports aux jouissances corporelles, Ν, VII, à, 5. — Définition de la ( ), N, VII, 7, 7. — Définition de la ( ), 6, II, 8, 28.

MONNAIE, moyen d'échange, Ν, V, 5,8. — Sa définition en grec, id., ibid., 9. — Ne conserve pas toujours sa valeur, id,, ibid., 12. — Rôle de la ( ) dans les échanges, Ν, IX, 1, 2. — Rôle social de la ( ), G, I, 31,12.

MONTAIGNE, cité, Ε, VII, 12, 14, n.

MORALE, la ( ) est subordonnée par Aristote à la politique, N, 1, 1, 9 et suiv. — N'est pas susceptible d'une grande précision, id, 1,14. — La ( ) fait partie de la politique, G, I,1,1. — La  ( ) est supérieure à la politique, Pr. CXVII. — Mise à tort au-dessous de la politique par Aristote, Pr. cxvii.—Placée par Kant au-dessus de la politique et du droit, Pr. CCIL — Eternité de ses principes, Pr. ccxv. — La ( ) a des principes inébranlables, Ν, I,1,15, n. — La ( ) doit viser surtout à la pratique, E, 1, 3,1 et suiv. — La science ( ) ne doit pas s'occuper uniquement de théorie, Ν, II, 2, 1. — La ( ) doit surtout s'occuper de régler les plaisirs et les peines de l'homme, Ν, II, 3,9. — Indécision inévitable, selon Aristote, de la science morale, N, II, 2, 3. — La science ( ) peu susceptible de précision suivant Aristote, Pr. cxxi.—L'idée de ( ) implique l'idée d'habitude, G, I, 6, 3. — Étymologie du mot qui signifie ( ) en grec, G, I, 6, 2.— Histoire abrégée de la science ( ), G, 1,1, 5 et suiv. — La ( ) d'Aristote cite d'autres ouvrages d'Aristote, Pr. CCLIX. — Cite d'autres ouvrages d'Aristote, Pr. CCLXIII.

MORALE à Nicomaque. Le plus complet des ouvrages moraux d'Aristote, Ν, I, 1, 1, n. — Cicéron penche à l'attribuer à Nicomaque, fils d'Aristote, id., ibid. — Désordre dans la suite de quelques pensées, Ν, I, 9, 1, n. — Désordre probable dans le texte, Ν, 1,11,1, n. — Analysée, Pr. cccx. — Passage qui est peut-être interpolé, N, III, 6, 21, n. — A servi à Bossuet pour l'éducation du Dauphin, Pr. iv.

MORALE à Nicomaque, Grande morale, Morale à Eudème. Ordre différent de quelques théories dans ces trois ouvrages, Ν, IV, 1, 1, n.

Grande Morale, Citée, Ν, VII, 7, 8, n. — Citée, VI, 1, 2, n. — Grande ( ), traité inachevé, G, II, 19, 2. — Analysée, Pr. cccxxiii.

MORALE à Eudème, Analysée, Pr. cccxx. — Désordres divers dans le texte, Ε, VII, 12 et 13.— Voyez Aristote.

MORALE. La vertu ( ), N, UU,1, 1. — A besoin d'habitude, id., ibid.

MORALES, vertus ( ) et intellectuelles, N, I,11, 20. — Livre VI tout entier de la Morale à Nicomaque.

MOROSES, les gens ( ) sont peu portés à l'amitié, Ν, VIII, 5 ,6.

MOROSITE, définition de la ( ), N, II,7,14.

MORT, sent-on encore quelque chose après la mort? Ν, I, 7, 14. — S'intéresse-t-on à ses parents et à ses amis ? id. ibid., 15. — Après la ( ) s'intéresse-t-on encore à ce qui concerne les enfants et les amis qu'on a eus sur la terre? Ν, I, 9, 4. — L'homme courageux affronte la ( ) tout en regrettant de mourir, N, III, 10, 4. — La crainte de la ( ) est la vraie mesure du courage, Ε, III, 1, 22.

MOTS nouveaux qu'Aristote se voit obligé de forger, Ν, II, 7, 11.

MOUVEMENT, le plaisir n'est pas un ( ), Ν, X, 2, 9. — Voyez Plaisir.

Traité du Mouvement d'Aristote, Cité, Ν, VI, 10, 10, n.

MURET, cité, Ν, III, 6,22, n.

MYSTICISME, Ν, X, 8, 8, n.

MYTHOLOGIE, critiquée par Aristote et Platon, Ν, X, 8, 9, n.

 

N

 

NATURALISTE, sens de ce mot en grec, Ε, VII, 1, 8, n.

NATURE, les lois de la ( ) sont immuables, Ν, II, 1, 2. — La ( ) ne donne rien au hasard, G, II, 10,2. — Les dons de la ( ) ne dépendent pas de nous, Ν, X, 16, 6.

NAVIGATION, la ( ) est un art peu précis, Ν, III, 4, 8.

NECESSITE, théorie de la ( ), G, I,13,1 et suiv. — Définition de la ( ), G, 1,14, 1. — Définition de la ( ) et de la force, E, II, 8,3.

NECTAR, confondu par ignorance avec le vin, G, II, 7,17.

NEGLIGENCE, la ( ) est quelquefois le signe de la grandeur d'âme, Ε, III, 6 ,7.

NEMESIS, ou la juste indignation, Ν, II, 7,16, n. — Définition de ce mot, G, I, 25, 1 et suiv. — Ε, II, 3, a, n. — Ou la juste indignation, Ε, III, 7, 2.

NEOPTOLEME, cité, N, VII, 2, 7. — De Sophocle, cité, Ν, VII, 9, 4. — Cité, Ν, VII, 9, 4, n.

NICOMAQUE, fils d'Aristote. Cicéron lui attribue la Morale à Nicomaque, Ν, I,1,1, n.; et Pr. CCLXXII. Voyez Morale à Nicomaque et Aristote.

NIOBE, citée, Ν, VII, 4, 6.

NOMBRES, critique de la théorie des nombres, Ε, I, 8,12 et 13.

NOMISMA (monnaie), explication étymologique de ce mot grec, G, I,31,12.

NOTOIRES, choses ( ) en soi, et ( ) pour nous, Ν, I, 2, 8.

NUANCES qu'il faut distinguer dans les choses, Ν, VI, 3, 1.

NUTRITIVE, la faculté ( ) est la faculté inférieure de l'âme, N, I,11,14, — Partie ( ) de l'âme G, I, 4, 7.

 

Ο

 

OBLIGES, rapports des ( ) et des bienfaiteurs, Ε, VII, 8,1 et suiv.

ODEURS, il ne peut guère y avoir d'intempérance en ce qui concerne les ( ), Ν, III, 11,5. — Espèces diverses des ( ), Ε, III, 2,11.

ODYSSEE, citée, Ν, III, 9,10, n.

ŒDIPE, pièce d'Eschyle, N, III, 2, 5, n.

ŒUVRE, rapport de l' ( ) et de la fin, Ε, II, 1,3. — Double sens de ce mot, Ε, II, 1, 5. — Est au-dessous de l'acte qui la produit, Ε, VII, 8, 3.

OLIGARCHIE, déviation de l'aristocratie, N, VIII, 10, 3.

OLYMPIE, théorie fastueuse envoyée à ( ) par Thémistocle, E, III, 6, 4.

OLYMPIQUES, jeux ( ), très-belle comparaison morale qu'en tire Aristote, Ν, I, 6, 8, n. — Voir Jeux ( ).

OPINION, l' ( ) individuelle varie sans cesse, N, III, 5, 3.

OPTIMISME inventé peut-être par Platon, Pr. cxxv. — D'Aristote, Ν, I, 7,5, n.

OPUSCULES d'Aristote, cités, Ν, I,11,12, n. — Cités,N, VII, 5, 1, n.

ORESTE et Pylade, cités comme amis, Ν, IX, 10, 6, n.

ORESTE, tragédie d'Euripide, G, II. 17,1, n.

ORGANISATION humaine, l' ( ) a ses limites, Ε, III, 1, 24.

ORGANON, cité, Ν, I, 5, 1, n.

OSTENTATION, définition de l' ( ), G, I, 24,1 et suiv.

OUÏE , il ne peut y avoir d'intempérance dans les plaisirs] de l' ( ), N, III, 11, 4.

OUVRAGES de pure philosophie d'Aristote, Pr. CCLXIV.

OVIDE, allusion à ses vers sur l'amitié, Ε, VII, 1, 16, n.

 

P

 

PAGANISME plus rapproché de nous moralement qu'on ne le croit, Pr. ccx.
PAIX, objet de la guerre, N, X,7,6.
PAMMENE, sa dispute avec Py-thon, Ε, VII, 10, 31.
PANSCH, M. CH. ( ), son travail sur la Morale à Nicomaque, Pr.
CCLXXXV.
PARDON, sentiment du ( ) rare dans l'antiquité, Ν, III, 1,1, n.
PARENTE, l'affection de la ( ) est spéciale, Ν, VIII, 12,1. . PARENTS, leur devoirs d'affec¬tion envers leurs enfants, N, VIII, 7, 2. — On ne peut jamais s'acquitter envers ses ( ), Ν, VIII, 14,5.—Rapports d'affection des ( ) et des enfants, Ν, VIII, 12, 2 et suiv.—Leurs devoirs dans l'é-ducation des enfants, Pr. ocxxv.
PARTAGES, répartition rela¬tive dans les ( ), Ν, V, 3, 5 et 6.
PASSION, définition de la ( ), E, II, 2, lu — La ( ) résiste souvent à la raison, ιΝ, X, 10, 7. — La ( ) ôte toute domination de soi, Ε, II, 8, 22.
PASSIONS, un des trois élé-ments de l'âme, Ν, II, 5, 1. — Un des trois éléments de l'âme* G, I, 7, 1 et suiv. — Rapports des ( ) & la raison, G, II, 9, 28. — Vont jusqu'à nous rendre fous, Ν, VU, 3,7.—Le sage n'en conçoit ni de violentes ni de mauvaises, Ν, VII, 2,6.
PATERNEL, le pouvoir ( ) n'est pas suffisant pour l'éducation, Ν, XV, 10,12.
PATERNITE, ses bienfaits, N, VIII, il, 2 n.
PATRIOTISME ancien, mérite uotre respect, N, 1, 2, 1, n.
PATROCLE et Achille, cités comme amis, Ν, IX, le, 6, n.
PAUVRETE, moyen de vern., Ν, X, 8, 4, n.
PEDAGOGIQUE , ouvrage de Kant, Pr. cci. — Pr. ccxxxui. —
— Pr. CCXLVII. — Voyez Kant PEINE, la ( ) do talion, son rap¬port avec la justice, Ν, V, 6, 3.
— Rapport de la ( ) à la tempé¬rance et à l'intempérance, N, III, 12, 6.— La ( ) nous détourne souvent de la vern., Ν, H, 3,1.
PEINES, leur rapport avec la fermeté, Ν, VII, 4,1.
PELIAS, les filles de ( ) le n.è¬rent sans le vouloir, Ε, II, 9,2.
PENSEE, le plaisir de la( ) n'implique aucun besoin anté¬rieur, Ν, VII, 11, 8. — La ( ) se confond avec la vie dans l'hom¬me, Ν, IX, 9, 7. — Plaisir et di¬gnité delà ( ), Ν, X, 7, 5.— Acte de la ( ) n'a que lui-même pour but, Ν, X, 7, 7. — Diversité des actes de la ( ), G, I, 17, 1 et suiv. — La ( ) donne un plaisir sans mélange, G, II, 9, 8.
PERE, rapportsdu ( ) à son fils, Ν, VIII, 7,1 et suiv. — Limites des devoirs envers un ( ), Ν, IX, 2,1 et suiv. — Ses liens avec le fils, G, II, la, a.
PERE, rôle du ( ) dans l'éduca¬tion des enfants, Pr. ccxxix.
PERICLES, Aristote fait allusion à ( ), Ν, IV, 2, 9, n ; et 12, n. —
Cité, IS, VI, A, 5. — Cité, Ν, VI, 11, 8, n.
PERSE, la ( ) citée, Ν, V, 7,2.
PERSES, chez les ( ), le pouvoir est despotique, N, VIU, 1Θ, 4.— G, II, 14,10.
PERVERSITE, ne mérite jamais d'indulgence, Ν, VII, 2, A. — Ressemble aux maladies chro-niques, Ν, VII, 8,1. — En quoi elle diffère de l'intempérance, id., id., 3.
PETITESSE d'âme, opposé de la magnanimité, IN, IV, 3, 30. — Opposée à la magnanimité, N, IV, 3, 4. — Définition de la ( ), E, UI, 5, 18.
PEUPLE, Platon respecte les croyances religieuses du ( ), Pr. cxxni.
PRALARIS, ses atrocités, N, VII, 5,2. — Ses goûts dépravés, id., id., id., 7. — Cité, N, VU, 5, 2, n. — Sa férocité, G, II, 8, 33.
PHANIAS, disciple d'Aristote, Pr. ccxci.
PHEDON de Platon cité, N, VU, 10,4, n. — Voyez Platon.
PHEDRE, le ( ) de Platon, cité, N, VU, 10, 4, η. — Ν, VUI, 4,1, n. — Cité, Ε, II, 7, 4, n.
PHENICIENNES , pièce d'Euri-pide, Ν, IX, 8, 2.— id., ibid., n.
PHIDIAS, cité, Ν, VI, δ, 3. — Id.,id., n.
PHILANTHROPE, Ν, VIII, 1,3.
PHILEBE de Platon, cité, N, VU, il, 8, n. — Id., ibid., 9 et
M, ». — îtt, ibid.. 12, tt. — N,
VII, 13,1, n. — Cité, Ν, X, 1, 1,
n. —N,X, 2, 3, η. —Ν, X, 2,
7, n. — tfcci, 11, «. — Cité,
G, II, 9, 2, n. — /rf., .m, 10,
n. — Pr. LIX. — Voyez Platon.
PHILU des Grecs, vantée par Herder, Ν, VIII, 1, 1, n. — N,
VIII, 14, 3, n. — Ν, VIII, 7, 1,
n.
PHILIPPE, Aristote a vécu dans son intimité, Ν, VIII, 7, 4, n.
PHILOCTETE de Sophocle, cité, Ν, Vn, 2, δ, n. — Cité, Ν, VII, 2,7. — Cité, Ν, VII, 9, ά,η.
PHILOCTETE d'Euripide, cité, Ν, VI, 6,3, n.
PHILOCTETE, le ( ) de Théo-decte, cité, Ν, VII, 7, 6,
PHILOLAOS , son mot sur la force irrésistible de certaines idées, Ε, II, 8, 22.— Pythagori¬cien, antérieur à Socrate, Ε, II,
8, 22, n.
PHILOSOPHIE des choses hu-maines, belle expression d*Aris¬tote, appliquée à la morale et à la politique réunies, Ν, 1,1,13, n. — Philosophie des choses hu¬maines, Ν, X, 10, 22.
PHILOSOPHIE, vénération qu'on doit aux maîtres qui vous ont appris la ( ), Ν, IX, I, 8. — Plai¬sirs admirables de la ( ), Ν, X, 7, 3. — La ( ) mal comprise du vulgaire, Ν, II, 4, 6. — Ne con¬siste pas en de vaines paroles, id. ibid. — La ( ) n'agit jamais immédiatement, Pr. viu.
PHILOSOPHIQUE, la vie ( ), E, 1, 4,2.
PHILOXENE d'Erix, gourmand célèbre, Ν, III, 11,10. — Fa¬meux gourmand, Ε, ΙΠ, 2,12.
PHRATRIES, espèce d'associa-tions, Ε, VII, 9, 3.
PHYSIOLOGISTES, qu'il faut con-sulter sur l'intempérance, N, VII, 3,12.
PHYSIQUE d'Aristote, un de ses principes les plus importants, Ν, I, 7, 5, n. — Citée, Ν, X, 3, 3, n. — Citée, Ε, VII, 15,16, n. — Indiquée dans la Morale, Pr. CCLXV. *
PIERRON et ZEVORT, leur tra-duction de la Métaphysique d'A-ristote, Ε, II, 10,19, n.
PINDARE, cité, N, VI, 1 13, n.
PIRITHOOS et THESEE, Ν, IX, 10, 6, n.
PITIE, sentiment de la ( ) rare dans l'antiquité, Ν, III, 1,1, n.
PITTACUS, sa loi contre l'i¬vresse, Ν, III, 6, 9, n.— Cité, N, IX, 6, 2, &, ibid., n. — Sa loi contre l'ivresse, G, 1, 31, 25, n.
PLAINTE, la ( ) est toujours un signe de faiblesse, Ν, IV, 3,28, n.
PLAINTES en amitié, Ν, VII1, 18,2.
PLAISANTERIE, justes limites dans l'emploi de la ( ), Ν, IV, 8, 2 et suiv. — Règles de la ( ), E, • III, 7, 8.
PLAISIR, il importe à la morale et à politique d'én.dier le ( ) et la douleur, Ν, VII, 11, 1, et suiv. — Théorie générale du ( ), Ν, VII, 11, 3 et suiv. —Opinions diverses sur le ( ), id, ibid. — La théorie du ( ) dans le 7* livre de la Morale à Nicomaque est peut-être interpolée, Ν, VII, 11, 1, Λ—Théorie du ( ), Ν, X, 1 et suiv. — Analyse des théories antérieures, Ν, X, 1, 2 et suiv,
— Id., ibid., 2,1 et suiv. — Théorie du ( ), G, II, 9,1 et suiv.
— Discussion des théories anté-rieures, t'a*., ibid., 3 et suiv. — Double théorie du ( ) dans la Mo¬rale à Nicomaque, Pr. CCLXXXVIL Considérations sur le ( ), E, VII, 15,11. — N'est pas le bien suprême, Ν, VII, 11, 6. — Mais il peut être un bien, id., ibid., 7. — De diverses espèces, id., ibid. — Le ( ) n'est pas le souve¬rain bien, Ν, X, 2,16. — Le( ) est un bien, G, II, 9,10. — Il est de différentes espèces, id., ibid., 12. — Le ( ) n'est pas le souve¬rain bien, Ν, X, 2,18. — Le ( ) est indivisible, Ν, X, 31, 1 et suiv. — N'est pas un mouve-ment, Id. ibid. — Le ( ) n'est pas une génération, G, II, 9, a.
— Le ( ) n'est pas un mouve¬ment ni une génération, Ν, X, 2,9. — Réfutation de théories antérieures à celle d'Aristote sur le ( ), Ν, X, 3,1 et suiv. — Sa nan.re propre, Ν, X, 2,11.— Conditions nécessaires du -( ), Id., iHd., 16. — Le ( ) placé par
Eudoxe au-dessus de la louange, Ν, 1,10, 5. — Ses rapports à l'acte, Ν, X, 5, 5. — Rapports du ( ) et.'de l'acte, Ν, X, a, 2. — Est recherché par tous les êtres, G, II, 9, 20. — N'est pas un obstacle à l'action, ici., ibid., 21. — Ses rapports avec la vie, Ν, X, a, 7. — Le ( ) a été nourri et s'est développé avec nous dès notre enfance, Ν, Π, 3,8. — Son importance dans tous nos actes, Ν, II, 3, 7. — Son influence presque souveraine, id. ibid., 8. — Moyen de se défendre des entraînements du ( ), Ν, II, 9, 6, — Entraînements du ( ), N, III, 13, 2. — Le ( ) ne nous con-traint jamais, Ν, III, 1,11. —Le ( ) est un signe manifeste que nous faisons des progrès dans la vern., Ν, II, 3,1. — Dangers du plaisir qui nous pousse au mal, id., ibid. — Ses rapports à la vern., G, 1,6,1.—Le ( ) pousse souvent au mal, G, 1,16,11. — Le ( ) est le chemin du cœur, E, VII, 2, 28. — Cause de l'amitié, Ν, VIII, 3, 1 et suiv. — Le ( ) accompagne l'amitié, Ε, VU, 2, 32. — Le ( ) suit la vern., G, H, 13,23. — Que donne l'espoir de la vengeance, Ε, III, 1, 26. — Vie de ( ), Ε, I, a, 2. — Son in¬fluence sur nos déterminations, Ε, II, 10, 28. — Ne gêne pas l'exercice de la raison, N, Vil, 11,12.
PLAISWS, empêchent de pen¬eer quand ils sent trop vifs, Pf, Vil, il, o. — Doux sortes de ( ), N, VU, a, 2. — Ne sont pas le bonheur, Ν, I, 2,11. — Va¬riété des ( ) suivant les indivi¬dus, Ν, III, 12, 2. — Leur rap-port avec la tempérance, Ν, VII, 6, 1. — Distinction entre les désirs et les ( ),N, VII, a, 6. — Différentes espèces de ( ), Ν, X, 5,1 et suiv.— ( ) du corps, plai¬sirs de la sagesse, Ν, VII, 11,14. —( ) du corps et plaisirs de Time, H, III, 11,2. — Nécessaires, N, VII, A, 2. — En.de sur les ( ), N, Vil, 13,1 et suiv. — Corporels, peuvent contribuer au bonheor, Ε, ï, 5, 13. — Les ( ) dn tou¬cher et du godt provoquent sur» tout l'intempérance, Ν, III, 11, 9.
PLAISIRS du vulgaire, ne sont pas de vrais plaisirs, N, 1,6,10.
PLARn.S, n'ont qu'une exis¬tence inférieure, Β, I, 5,7.
PLATON, cité sans indication spéciale, Ν, I, 1,1, n. — A eu raison de mettre la morale au-dessus de la politique, Ν, I, i, 0, n. — N'a pas confondu comme Aristote le devoir et le bonheur» Ν, 1,2, %n. — Désigné par Aris¬tote qui ne le nomme pas, Ν, I, 2, 5, n. — Cité par Aristote, id., ibid,, 7, «. — Approuvé pour sa méthode relative A l'én.de des principes, Ν, I, 2, 7. — Critique de sa théorie des Idées, relati¬vement au bien en soi, Ν, I, 3,1 et suiv. — A peut-être fourni λ Aristote sa fameuse maxime sur les rapports de la vérité et de l'amitié, Ν, 1,3,1, n.— Défendu contre les critiques d'Aristote, Ν, I, 3,14, n. — En quoi sa mo¬rale est supérieure A celle d'A¬ristote, Ν, I, 4, 5, n. — Imité par Aristote, Ν, I, 4, 13, n. — Divise les biens en deux classes: biens humains, biens divins, N, 1,6, 2, n. — Désigné implicite¬ment par Aristote, Ν, I, 7,1, ru — Fait de l'Idée du bien, la première de toutes les Idées, I, 7,5, n. — Emprunte une mé¬taphore à Simonide, Ν, I, 8, 6, U. — Les Lois citées, Ν, II, 3, % n. — Loué par Aristote, Ν, II, 3* 2. — Sa théorie du plaisir, N, If, 0, 7, n, — N'a pas én.dié la liberté aussi profondément qu'Aristote, h, III, 1, i, n. — Cité, N, 111,2, 2, n. — Critiqué indirectement par Aristote, N, III, 2,11, n. — Sa théorie do vice, Ν, III, 2,11, n* — Cité, N, III, δ, 4, *.— Cité, N, 111,6,1, ». — Critiqué indirectement par Aristote, id,, ibid., 4, ft. — Id., ibid., 12, ru — id., ibid., 13, n. — Réfuté indirectement par Aristote, Ν, III, 6,16, n. — Cité, Ν, III) 7, 4, n. — Cité, N, III, 8,4, n. — Une de sesthéo* ries justifiée par Aristote, W, MI, 9,6, n. — Défend de rendre le mal pour le mal, Ν, IV, n. — Grâce exquise de ses dialogue», 37
N,1V, 8,1»*. — Cité, H, V, 3, 13, M. —dté,N,V# 7, a, *• — Plétrlt le suicide, Ν, V, 11,Ι,η.
— Clté,N, Υ,ΙΙ, 3> M. — Cité, Ν, VI, 10,10, Λ. — Cité, Ν, VI, 5, 8, ». — Les étymologie* qu'il donne dans le Cratyle ne valent rien,N, VII, 11, 2,n. — Cité, N, VIL, 11, 10, a. — Cité, X, Vlll,7,2,rt, —• Cité, Ν, VII, 2, *, a. — Sa théorie sur la vern. citée, Ν, VII, *, 2, m — Cité, Ν, VII, 2, 10, H. — Objection contre sa doctrine, N, VU, 2,10. —Gmdamae le suicide, Ν,ΙΙΙ, 8, 13, n. — Cité, Ny VIII, 9,5, n.
— Sublimité de sa théodioée, N, VIII, 12, 5, n. — A trop souvent sacrifié l'individu à l'État, Idi iéûL, 7, n. —Ses principes sur la nan.re de l'homme, Ν, IX, s* 6.*.— Cité par Aristote, Λ, X, 2,3. — A peut-être eu en vue dans le Philèbe de réfuter Eu* doxê, Ν, X, 2,13, a. — Citant Théognis, Ν, X, 10,8, n. —Exa* gère l'influence de la loi sur l'Individu, Ν, X, 10,9, n. — Ses travaux en morale, Ο, I, i, 8. — ( ) et Socrate défendus contre Aristote, G, 1,1,7,n.— Critiqué par Aristote,G, 1,1,10 et suiv., n.—Sens qu'il donné au mot de colère, G, 1,11, 2, n. — A eu raison de faire une théorie gé-nérale du bien, G, 1,1,17, n.— Cité sur le bien, mobile de l'homme, G, 1,18,1, a. — Cri¬tiqué indirectemenl par Aris¬tote, G, 1, 22, n. — A fondé sa république sur l'égalité propor-tionnelle, G,I, 31, 8, — Une de ses théories politiques critiquée, G, 1,31,8, n. — Indiqué, G, II, 9,2, a. — Itt, ibid., 10, ft. — Id.,ibid., 27, n. — Id., ibid. 30, n. — Cité, Ε, I, 8,1, n, — Indi¬qué, Ε, 1,6, 3, n. — Défende contre Aristote, Ε, 1,8,3, n. — Indiqué, Ε, 1,8, la, n. — Indi¬qué, Ε, I, 8,11 et 12, *. — Ci¬té, Ε, II, 7, a, n. — A cru peut-être aux devins, E, 11,8, 21, *. — Indiqué sans être nommé, E,
II, 11,1, n.
PLATON, Ses hésitations sur la liberté, Pr. LXV. — Exposé de sa doctrine morale, Pr. xLvuet suiv. — Inséparable de Socrate moralement, id., ibid, — Cité, Pr. L et suiv. — Est peut-être rinventeur de l'optimisme, Pr. cxxv. — Bioins mystique qu'A-ristote, Pr. GXLIX. — Respecte les croyances populaires, Pr. cxxnL — Comparé à Kant et h Aristote, Pr. ccvi. — Le ptas grand des nmralistes, id., ibid.
PLEURESIE, sa gravité, Ν, V, 11,8.
pLOTm, cité, Pr. ccLXxnt. PLVTAaoca, Cité, Ν, IX, 1, a, a. — Cité sur Thémistocle, E,
III, 6, a, n.
PLUTCS d'Aristophane cité, N. ΐν,β,β,η.
PLEURS, les ( ) sont ne signe de faiblesse, Ν, IX, 11, a.

PORM» héroïques cités par Aristete, Ν, I, 7, il.
POETES sont pleine d'amour pour leurs œuvres, Ν,. IX, 7, 3»
POLITESSE, la () est une sorte de devoir, G, II, 4,1 et sulv. — Définition de la ( ), Ε, III, 7, 7.
POLITIQUE d'Aristote citée sur le bien, but de toutes les actions humaines, Ν, I, 1,1, M. — D'A¬ristote, citée sur la distinction des actes, Ν, I, 1,2, ». — Rap¬prochée de la Morale à Nico-maque, Ν, I, 2, 15, ». — Citée, Κ, 1, 4, 6, n.—Citée, Ν, I, 4, là, ft. — Irf., ibi(L, 1δ, tu — t<k, ibid., I, 5,3, H. — Citée, Ν, I, 8, 8, ». — Citée, Ν, 1,11, 3, ». — Citée, Ν, II, 2, 6, », — Citée, N, 11, 3, 18, n. —Citée sur la gym-nastique, Ν, II, 6, 7, ». — Citée, ϋ, II, 9,4, n, — Citée, Ν, III, β, 8,«.—Citée, N, 111, », ex¬citée, Ν, IV, 1, 7, n. — Citée, N, IV, 8, 12, M. Citée, Ν, V, 1, 13, ». —Citée, Ν, V, 2,11, ». — Ν, V, 3,1, ». — Citée, Ν, V, 3,
5, ». — Citée, Ν, V, 5, 4, ». —• Citée, Ν, V, 5,8, ». —Citée, Ν, V, 8, 3, ». — Citée? N, V, β, β, ».— Citée, N,V, 7,5,».—Citée, N,V1, 5,8, ». — Citée, Ν, VI, 10,1, ». —Citée, Ν, VU, 5, 2, H.— Citée, K, VII, 6, 9, ». — Citée, Ν, VII, 7, 6, ». — Citée, IN, VIII, 1, 4, ». — Citée, Ν, VIII, 9, 5, ». — N, VIII, 10,»;l,»;2,»;3,n;4, »;
6, »; β, ». — Citée, Ν, VIII, 11, 5, ». — Citée, Ν, IX, 6» 2. n. —
Citée, fl, IX, •, », n.—«tée, IX, 9,9, * — Citée, Ν, IX, 19, 8, ». — Citée, S, X, 4, 6, ».— Ν, X, 5,19, ».— Citée, Ν, X, 8, 5, ». — M, ibid,, β, ». — /<£, ièW., 7, n, — W., UiitL, 8, η. ~ Ν, X, 7, 2, ». — Citée, Ν, X, 19, 8, ». —Cité*}, Ν, X, 19,12, ». — UL, ibid., 13, ». — Ν, X, 19,22, n. — Citée, G, I, 31, 18, ». — ULt itott, 25, ». — Citée, Ε, I, 4,2, ». — ld., <6W., 5, 4, ». — Citée, Χ, 1,8, 28, ». — Citée, E, III, 4, 5, ». — Citée, Ε, VII, 2, 3, ». — Citée, Ε, VII, 9, 1, » ; 2, » ; 3, »; et 4, ». — Ε, VII, 19, 9, ». — K, Vil, 19,15, η. — Ε, Vil, 12, θ, ». — Ε, VII, 15, 7, ».
PoLiTtoui d'Aristote* cite plusieurs fols la morale, Pr. ceux. — CHée dans la morale, Pr. ceux. — Indiquée dans la morale, Pr. ccutv.
POLITIQUE, ( ) est la science souveraine et architectonlqtie, Ν, I, 1, 9. — Ne doit pas être étudiée par la jeunesse, qui n'y est pas propre et qui est trop passionnée, M., I, i, 18. — Son but est de former l'âme des ci¬toyens, Ν, I, 7, 8. — La () doit étudier jusqu'à un certain point la psychologie, N, 1,11,7.—La ( ) doit étudier les plaisirs et les peines de l'homme, Ν, H, 8,10. — La science ( ) doit étudier le plaisir et la douleur, Ν, VII, 11, 1 et suiv. — Enseignée par les Sophistes, Ν, X, 10,18. — La ()



comprend la morale et la domine, G, I, 1, l. - La  ( ) a pour but la recherche du Dieu suprême, G, I, 1, 10. — Rôle et limites de la science ( ), G, I, 1, 15. — La ( ) est la plus  haute de toutes les sciences, Ε, I, 8, 20. — Le but principal de la ( ) est de provoquer l'union entre les citoyens, Ε, VII, 1, 2. — Mise à tort au-dessus de la morale par Aristote, Pr. CXVIL — La ( ) relève de la morale, Pr. CXVII. — Subordonnée par Kant à la morale, Pr. ccii.

POLITIQUE, la vie ( ), Ε, I, 4, 2. — Agitations continuelles de la  ( ) Ν, Χ 7, 6.

POLITIQUE de Platon, le ( ) cité, E, I, 5,12, n.

POLUS dans le Gorgias de Platon, Pr. LIII.

POLYBE , cité, N, VII, 5, 2, n.

POLYCLETE, cité, Ν, VI, 5, 3.

POLYDAMAS, ses reproches effraient Hector, G, I,19, 8.

PORPHYRE, cité sur les travaux d'Andronicus, Pr. CCLXX. — Cité, Pr. COLXXIII. ~ Son témoignage sur les ouvrages d'Aristote, Pr. CCLXXV.

PORTRAITS moraux par Aristote, Pr.cxxxviii.

POSSESSION et usage, distinction profonde faite par Aristote, N, I, 6, 8, n.

PRIAM, Ses revers à la fin de sa vie, N, I,7, 11.

POSTULATS de la raison pratique selon Kant, Pr. CLXXVIII.

POTIERS, leur haine entr'eux est proverbiale, N, VIIl, l, 6.

POUVOIR, le ( ) doit-être attribué à la raison, Ν, V, 6, n.

PRATIQUE, la science monte doit s'occuper surtout de la ( ), N, II, 2,1.—La ( ) est indispensable pour former la vertu, N, II, 4, 1.  Importance de la ( ) Ν, X, 10,1 et suiv.— La morale doit viser surtout à la ( ), Ε, I, 3,1 et suiv.

PRECISION, la ( ) ne peut pas être la même dans tous les sujet qu'on étudie, N, II, 5, 2.

PREDESTINATION, problème de la ( ),E, VII, 14,1, n.

PREFERENCE, théorie de la ( ), N, III, 3, 1.

PREFERENCE réfléchie, théorie de la ( ), G, 1, 16, 1 et suiv.

PREMEDITATION, la ( ) doit se confondre avec l'intention, N, III, 3,16. —Les législateurs ont grande raison d'en tenir compte, Ε, II, 10, 21.

PRIAM, ses malheurs devenus proverbiaux, Ν, I, 8, 9. — Cité, Ν, VII, 5,1.

PRIMITIF, le ( ) est l'universel, Ε, VII, 2, 11.

PRINCIPE Platonicien adopté par le Stoïcisme, N, VI, 1,1, n.

PRINCIPE souverain de l'individu, Ν, X, 8, 6.

PRINCIPES , l'âme divisée en trois ( ),N, VI, 1, 8.

PRINCIPES, diversité des ( ). Ε, II, 6, 3. — Il y a deux méthodes pour les étudier : en partir, ou y remonter, Ν, I, 2,7.— Méthodes diverses pour les atteindre et les connaître, Ν, I, ,5, 3.— ( ) propres, principes communs, G, I,1, 24.

PRINCIPES métaphysiques de la morale, par Kant, Pr. CLXVI.

PRINCIPES métaphysiques de la morale, et

PRINCIPES métaphysiques du droit, deux ouvrages de Kant, Pr. cxc.

PRINCIPES métaphysiques du droit par Kant, Pr. CCI.

PRODICUS médecin, E, VII, 10, 31.

PRODICUS de Céos,le Sophiste, Ε, VII, 10,31, n.

PRODIGALITE, excès dans l'emploi de la richesse, Ν, IV, 1, 3. — Sa définition, Ν, IV, 1, 27. — Comparée avec l'avarice, id., ibid., 29. — Mise au-dessus de l'avarice, id., ibid., 30 et suiv. — Définition de la ( ), G, I, 22, 1 et suiv. — Ses espèces diverses, E, III, 4, 7. — La ( ) est moins blâmable que l'avarice, Ν, IV, 1, 40.

PRODIGUE, définition du ( ), Ν, IV, 1, 5.

PROGRES, le ( ) des arts et des sciences est amené par le temps, Ν, I, 5,1.

PROPORTION, sa composition, Ν, V, 3, 7 et 8. — La ( ) égalise les amis, Ν, IX, 1,1.— Est souvent la véritable mesure des choses, E, VII, 10, 33.

PROPOSITIONS, deux sortes de ( ),N, VII, 3, 6.

PROSPERITE excessive ne contribue pas au bonheur, Ν, VII, 12,5. — Confondue d'ordinaire avec le bonheur, Ν, I ,6, 4.

PROTAGORE, sa manière de fixer le prix de ses leçons, N, IX, 1,5. — A le premier mis ses leçons à prix, Ν, IX, 1, 5, n. — A souvent raison contre Socrate, Pr. LXVII.

PROTAGORAS de Platon cité, Ν, I, 8, 6, n. — Cité, N, III, 9, 6,n. — Cité, Ν, III, 10, 2, n. — Cité, Ν, VI, 11, 5, n. — Cité, N, VII, 3, 1, n. — Ν, X, 10, 18, n.

PROVERBE, Une seule hirondelle ne fait pas le printemps, Ν, I, 4, 16. — Cité par Aristote : Le commencement est plus que la moitié, Ν, 1, 5, 3, n. — Appliqué à l'intempérance, Ν, VII, 2, 10.— Sur l'amitié, Ν, VIII, 1, 6. — Sur les conditions de la véritable amitié, Ν, VIIl, 3,8. — Sur l'amitié, Ν, VIII, 5,1. — Sur la communauté entr'amis, Ν, VIII, 9,1. — Sur les affections qui résultent de la parité d'âge, N, VIII, 12, 4. — Divers ( ) sur l'amitié, Ν, IX, 8, 2. — Sur l'amitié des gens honnêtes, Ν, IX, 12, 2. — Divers ( ) sur l'amitié, G, II, 13, 2.—Divers ( ) sur l'amitié, G, II, 17,5. — Sur l'amitié, Ε, VII, 1, 7. — Sur la fausse amitié, E, VIl, 2,14, — Sur l'amitié, E, VII, 2, 53. — Sur l'amitié, Ε, VII, 10, 16. — Ε, VII, 10, 21. — Sur l'éloignement des amis, Ε, VII, 12, 11. — Sur leur liaison, id., ibid., 13.

PROVERBES, sagesse populaire des nations, Ν, IX, 8, 2, n.

PRUDENCE, qualité qui déte¬mine la conduite, Ν, VI, 4,8. — Est une vertu et point un art, id., ibid., 7. — Ne s'oublie jamais, id., ibid.,, 8. — Définition de la ( ), Ν, VI, 4,1. — N'est ni la science, ni l'art, id., ibid., 3. —Son objet, Ν, VI, 5, 9. — Définition de la ( ), id., ibid., 10. — Inférieure à la sagesse, Ν, VI, 11, 7. — Ses rapports avec la science politique, Ν, VI, 8,1. — Ne s'applique qu'aux faits particuliers, Ν, VI, 6, 4. — Pas de  ( ) sans vertu, Ν, VI, 10, 10. — Rôle de la ( ) dans l'acquisition de la vérité, G, I, 32, 7. — Ses rapports à la sagesse, G, I, 32, 18. — Questions diverses sur le rôle de la prudence, G, I, 32, 28.

PUBERTE , crise redoutable, Pr. ccxxxiv.

PUDEUR, la ( ) ne peut pas être considérée tout-a-fait comme une vertu, Ν, IV, 9,1. —  Sied surtout à la jeunesse, id. ibid., 3. — Définition de la ( ), E, III, 7, 3.

PUISSANCE et acte, Ν, I, 8, 8, n.

PYLADE et Oreste, cités comme amis, Ν, IX, 10, , n.

PYRAMIDES d'Egypte, rappelées, Ν, IV, 3, 2, n.

PYRRHUS, l'éléphant de ( ), n'effraie pas Fabricius, N, III, 9, 15, n.

PYTHAGORE, ses travaux en morale, G, I,1, 6.

PYTHAGORICIENS, leur système sur le bien en soi préféré à celui de Platon, Ν, I, 3, 7. — Les ( ) ont placé le mal dans la classe de l'infini, Ν, II, 6,14. — Les ( ) condamnent le suicide, Ν, III, 8, 13, n.. — Leur doctrine, Ν, V, 5,1. — Cités, Ν, V, 5, 12, n. — Leur manière de rompre les amitiés, Ν, IX, 1, 5. —Les ( ) se trompent sur le fondement de la justice, G, I, 13, 14.—Ν, X, 2, 7, n. — Ε, VII, 12, 8, n.

PYTHON, se dispute avec Pammène, Ε, VII, 10,31.

 

Q

 

QUALITES, qui sont des dons de nature, Ν., VI, 9, 4.

QUERELLEUR, définition du caractère ( ), Ν, IV, 6, 9.

QUINET, sa traduction excellente d'Herder, M, VIII, 1,1, n.

 

R
 

RAISON, l'activité de rame conforme à la ( ), est l'œuvre propre de l'homme, Ν, I, 4, 14. — La  ( ), faculté supérieure de l'âme, Ν, I, 11,15. — Ses divisions, id.,  ibid. — La droite ( ) seule guide l'homme, Ν, II, 2, 2. — La ( ) domine tous les désirs dans l'homme tempérant, N, III, 13, 9. — La ( ) s'identifie avec l'individu même, Ν, IX, 8. 8. — Vivre selon la ( ), Ν, IX, 8, 6.— Impuissance fréquente 4e la  ( ) contre la passion, Ν, X, 10, 7. — Théorie de la droite ( ), G, 1, 33,1 et suiv. — Théorie de la droite ( ), G, II, 19,1 et suiv., — Théorie de la droite ( ) annoncée, E, II, 5, 10. — La droite ( ) doit régler l'emploi de la richesse, Ε, III, 4,1. — Rapports de la ( ) aux passions, G, II, 9, 28. — La ( ) indique les limites de plaisir, Ε, VII, 15, 13. — Elle doit dominer toutes les autres facultés, id.; ibid., 14.— La ( ) doit combattre l'instinct, Ε, II, 8, 5. — La ( ) doit toujours commander aux passions, E, 11,18,3. — Son rapport à la liberté, Ε, II, 9, 1 et suiv. — La ( ) constitue le vrai courage, Ε, III, 1,12.

RAISON. Voyez Droite Raison.

RAISONNABLE, la partie ( ) de l'âme est double, Ν, I,11,19.

RECOLTE, la ( ) est l'époque des sacrifices et des réunions solennelles, Ν, VIII, 9, 7.

RECONNAISSANCE, la ( ) s'adresse surtout à celui qui donne, N, IV, 1, 8. — La ( ) est assez rare, N, IX, 7, 1 et suiv.

RECRIMINATIONS en amitié, N, VIII, 13, 2. — En amitié, Ε, VII, 10, 22.

RECUEIL des Constitutions, ouvrage d'Aristote, cité dans la Morale, Pr. CCLXVIII.

RECUEILS généraux de Lois et de Constitutions, Ν, X, 10, 21.

REFUTATIONS des Sophistes, citées, Ν, I, 5,1, n.. — id., ibid, 3, n. — Citées, Ε, VII, 6, 14, n.

REGLE de plomb comparée a la loi, Ν, V, 10, 7.

REGULUS, cité, Ν, III, 1, 8, n.

REID, cité, Ν, VI, 1,11, n.

RELIGION, erreur de Kant sur la ( ), Pr. CXCVIII.

REPENTIE, signe d'un acte volontaire et coupable, Ν, III, 2, 1 et 7.

REPOS, le ( ) n'a Jamais lieu que pour préparer l'acte, Ν, X, 5,6.

REPUBLIQUE ou timocratie, espèce de constitution politique, S, VIII, 10,1 et suiv.

REPUBLIQUE de Platon, citée, Ν, 1,2, 7, n. — Citée sur les rapports de la vérité et de l'amitié, <N  l, 3,1, n. — Citée, Ν, I,11, 15, n. — Citée, Ν, III, 8, 4, n. — Citée, Ν, IV, 1, 20, n. — Citée, Ν, V, 1, 1, n — Citée, Ν, VIII, 1, 14, n. — Citée, Ν, X, 10,18, n — Citée, G, 1,19, 4, n. — Citée, G, I, 32, 30. — Citée, Ε, I, 5,12, n. —Citée, Ε, 1,5, 15, n.—Citée, E, I, 1,7, n.

RESERVE, définition de l'esprit de ( ),N, IV, 7, 3.

RESPECT, le ( ) ne s'applique qu'aux choses supérieures qui sont au-dessus de la louange, Ν, 1, 10, 2. — De l'inférieur pour le supérieur, N, VIII, 14, 4, n. — Définition du ( ), G, 1, 26, 1 et suiv.

RESPECT humain, définition du ( ), E, III, 7, 3.

RESPIRATION, traité de la ( ), Cité, Ν, VII, 3, 8, n.

RESPONSABILITE morale, Ε, II, 6, 12.

RESSEMBLANCE, la () fait l'amitié, Ν, VIII, 8, 6.

RÊVES, les ( ) des hommes vertueux sont meilleure que ceux du vulgaire, Ν, I, 11, 13.

REVUE des Deux Mondes. Voir Villemain, Ν, VIII, 3, 4, n.

RHADAMANTE, cité, Ν. V, 2.

RHETORIQUE d'Aristote, citée, I,1, 8, 6, n. — Citée, Ν, IV, 1, 26, n. — Citée, Ν, V, 1,1, n. — Citée, N, VII, 7, 6, n. — Citée, Ν, VII, 10, 3, n..— Citée, N, VIII, 3, 4, n. — Citée, Ν, VIII, 3, 5, n. — Citée, E, II, 7, 4, n. — Citée, Ε, III. 5, 7, n.

RHETORIQUE à Alexandre n'est pas d'Aristote, Pr. ccxc.

RICHESSE, la ( ) ne peut à elle seule donner le bonheur, N, I, 12, 5.

RITTER, M. Henri ( ), cité sur les trois rédactions de la Morale, Pr. CCCVII.

ROI, abusant de la confiance d'un chanteur, Ν, IX, 1, 4 — Dupant un artiste, E, VII, 10, 32.

ROIS, leur antique pouvoir d'après Homère, Ν, III, 4, 18. — Les ( ) ne peuvent avoir d'amis, Ν, VIII, 7, 4.

ROITELET, ses rapports avec le crocodile, E, VII, 2, 17.

ROYAUTE, forme de constitution politique, N, VIII, 10, 1 et suiv.

RUPTURES des amitiés, Ν, IX, 3,1 et suiv. — Mesure et douceur qu'il y faut mettre, id., ibid. 5. — Ν, VIII, 13, 2. — Procédés qu'il faut garder, G, II, 19,1 et suiv.

RUSTICITE, définition de la ( ), Ν, II, 7,13. — Définition de la ( ), Ν, IV, 8, 3. — Définition de la ( ), G, I, 28,1 et suiv.

 

S

 

SACRIFICES, se faisaient d'ordinaire à l'époque de la récolte, N, VIII, 9, 7.

SAGE, son inaltérable sérénité et sa résignation, Ν, I, 8, 8. — Portrait du ( ) et de sa tempérance, Ν, III, 12, 8. — Portrait du ( ), Ν, Χ, 9, 6. — Le  () des Stoïciens, Ν, Χ, 9, 6, n. — Portrait du ( ), G, II, 8, 38. — Portrait du ( ), Ε, III, 2,7 et suiν.

SAGES, leur constance inébranlable dans le bien, Ν, 1, 8, 5.

SAGESSE, le plus haut degré de la science, Ν, VI, 5, 1 et 2. — Etymologie du mot ( ) en grec, Ν, VI, 6, 5. — Partie de la vertu, Ν, VI, 10, 5. — Plaisirs sérieux de la ( ), Ν, X, 7, 3. — Rôle de la ( ) dans l'acquisition de la vérité, G, I, 32, 7. — Ses rapports a la prudence, G, 1, 32, 16.

SANG, liens du ( ), G, II, 14, 1 et suiv.

SAPHO, citée, Ν, VII, 6,5, n.

SARDANAPALE, cité, N, 1, 2, 11. — Son prétendu bonheur, E, 1, 5,10.

SATYRUS surnommé Philopator, cité, Ν, VII, 4,6. — Cité, N, VII, 4, 6, n.

SAUVAGES du Pont, cités, N, VII, 5, 2.

SAVOIR, double sens de ce mot, G, II, 8, 13. — Double sens de ce mot, Ε, 11, 9, 4.

SAVOIR vivre, définition du ( ), Ε, III, 7,7.

SCHLEIERMACHER Cité, Ν, VII, 11,1, n — id., ibid., 2, n. — A tort de critiquer la théorie d'Aristote sur les vertus morales et intellectuelles. Pr. cxxx. — Ses travaux sur les trots Morales d'Aristote, Pr. CCLXXVIII.

SCIE, instrument, E, VII, 10, 1.

SCIENCE, rôle de la ( ) dans l'acquisition de la vérité, G, 1, 32, 7. — Source de bonheur, E, I  4,4 et 5. 9. —Plaisirs sérieux de la ( ), Ν, X, 9 3. — La ( ) cause de vifs plaisirs, Ε, VII, 2, 33. — Supérieure à la vertu, N, X, 7, 1 et suiv. — Confondue avec la vie, Ε, VII, 12, 8. — Etats moraux, dans lesquels la ( ) ne peut servir à rien, N, II, 3, 7. — Notion précise de la ( ), Ν, VI, 2, 2, id., id.. 3. — La () ne s'adresse jamais qu'à un petit nombre d'hommes, Pr. v.

SCIENCE morale, son étendue, sa méthode, ses applications, Pr. ι et suiv. — Ses devoirs dans notre temps, Pr. vii. — Sa supériorité sur toutes les autres sciences, Pr. ix. Voyez Morale.

SCIENCES, les ( ) ont le bien pour but commun, Ν, 1, 1, 1, — Leur subordination entr'elles, id., 1,1, A. — Elles relèvent toutes delà politique, id., 1, 1,10. — Leur exactitude plus grande que celle des arts, N, III, 4, 0. — Les ( ) se perfectionnent avec le temps, Ν, I, 5,1. — Différences des ( ), Ε, I, 6, 16. — Les ( ) ne s'occupent jamais de juger leur propre but, G, I, 1,14. — Les ( ) ne s'occupent jamais de la fin même qu'elles poursuivent. E, II, 11, 5. — Ne sont que d'heureux hasards, selon Socrate, E, VII, 14, 11.

SCYTHES, les ( ), Ν, III, 4, 6. — Mollesse des rois ( ), Ν, VII, 7, 6.

SEMBLABLE, le ( ) recherche le semblable, G, II, 13, 2. Voyez Amitié.

SEMBLABLES, rapports des ( ) en amitié, Ε, VII, 6, 2 et suiv.

SÉNÈQUE, cité, Ν, VII, 7, 6, n.

SENS commun, Aristote tient le plus grand compte du ( ), N, I, 9, 1, n. — Aristote attache une grande importance au ( ), Ν, X, 2, 4, n. — Aristote tient trop de compte du ( ), Pr. CXXIII.

SENSATION, très-différente de l'intelligence, G, I, 32, 5.

SENSIBILITE, confondue avec la vie, N, LX, 9,7.
SERVICE, à qui doit-on rendre surtout ( ) dans les cas douteux, E, VII, 11,1 et suiv.

SICYONE, ville, Ν, III, 9,16.

SIMONIDE trouvait la fortune préférable à la sagesse, Ν, IV, 1, 25. — Sa réponse blâmable à la femme d'Hiéron, Ν, IV, 1, 26, n.. — Sa conduite basse et honteuse, id., ibid. — Belle métaphore dont il se sert, Ν, 1,8, 6, n.

SIMPLICIUS cité, Pr. CCLXX. — Son témoignage sur les ouvrages d'Aristote, Pr. CCLXXVI.

SISYPHE, pièce d'Eschyle, N, III, 2, 6, n.

SOCIABILITE de l'homme, E, VII, 10, 2.

SOCIABLE, l'homme est un être ( ), N , IX, 9, 2.

SOCIETE, théorie générale de la ( ), N, VIII, 9, 6. — La ( ) civile repose sur l'égalité proportionnelle, G, I, 31, 9. — Ses fondements essentiels, Ε, VII, 10,1 et suiv.

SOCIETES particulières dans la grande société politique, N, VIII, 9,7.

SOCRATE, sa dignité ne se dément pas devant la mort, N, III, 1, 8, n. — A pensé que le courage est une science, Ν, III, 9, 6. — Défend de rendre le mal pour le mal, Ν, IV, 5,11, n. — Caractère spécial de son ironie, Ν, IV,, 7, 14. — Son badinage est fort gracieux dans les dialogues de Platon, Ν, IV, 7, 16,  n. — Cité, Ν, VI, 5, 8, n. — Ses analyses, citées, N, VI, 11, 3. — Cité, N, VII, 2, 1, n. — Phénomène moral indiqué par ( ), N, VII, 3, 14. — A su être heureux sans aucune fortune, N, 1, 14, n — Pauvre toute sa vie, Ν, X, 8, 4, n. — Son opinion sur l'intempérance, N, VII, 2, 1, et 2. — Ses travaux en morale, G, I, 1, 7. — Théorie de ( ) sur la vertu, G, 1, 10, 1 et suiv. — Nie la liberté dans l'homme, id., ibid. — Ses erreurs en morale, G, I, 1, 26. — Se trompe en croyant que le vice est involontaire, G, II, 8,5. —Cité, G, II, 17, 6, n — A eu tort de confondre la vertu avec la raison, G, I, 32, 25. — Son erreur sur le courage, G, 1,19, n. — Son opinion sur le courage militaire, Ε, II, 1, 15. — Faisait du courage une sorte de science, Ε, III, 1, 28.— Appelé le vieux Socrate, G, II, 8,2. — Appelé le vieux Socrate, E, I, 5, 15. — Appelé le vieux Socrate, Ε, VII, 1, 14. — Son mot sur les sciences, Ε, VII, 14, 11. — Modèle de la vertu parfaite, E, VII, 15, 2, n.

SOCRATE et PLATON critiqués indirectement par Aristote, G, 1, 11, 3, n. — et 12, 3, n. — Ont hésité sur la question de la liberté, G, 1,10,1, n.

SOCRATE n'a pas raison contre Protagore, Pr. LXVII, — Inséparable de Platon en morale, Pr. XLVII. — Grandeur incomparable de son personnage, id., ibid. — Mémoires de Xénophon sur ( ), Ν, VI, 11, 3, n. — Cités, id. ibid., 6, n.

SOCRATIQUE, doctrine ( ), citée, N, VII, 2, 4, n.

SOLDATS, les ( ) n'ont souvent du courage que pour obéir a leurs chefs, Ν, III, 9, 4. — ou par habitude, id., ibid., 6. — Les ( ) moins braves que les citoyens à Hermœum, Ν, III, 9, 9.

SOLDATS mercenaires, N,  VIII, 9, 6, n.

SOLENNITES sacrées avaient lieu d'ordinaire à l'époque de la récolte, Ν, VIII, 9, 7.

SOLITUDE, mauvaise à l'homme, Ν, IX, 9, 2 et 6.

SOLON, sa maxime sur la manière de juger le bonheur, Ν, I, 7,12 et 14. —Son entretien avec Crœsus rapporté par Hérodote, Ν, I, 7, 12, n. — Cité, Ν, V, 1, 16, n. — Sa maxime sur le bonheur, Ν, X, 9, 3. — Sa maxime sur le bonheur, Ε, II, 1, 10. — Sa conversation avec Crœsus, E, II, 1,10, n.

SOMMEIL, durant le ( ), la vie végétative a plus d'activité, N, 1,11,12. — Inertie des facultés, Ν, 1,11,13.

SOPHISTE le ( ) de Platon, cité. X, VII, 2,1, n.

SOPHISTES, les ( ) nient le principe de la morale, Ν, 1,1, 10, n. — Aristote emprunte peut-être aux ( ) une définition, Ν, III, 7, 2, n. — Effets de leurs raisonnements, Ν, VII, 2, 8. — Précautions qu'ils prennent avec leurs élèves, Ν, IX, 1, 7.— Se vantent d'enseigner la politique, Ν, X, 10,18. — Id. ibid., 20. — Cités, Ν, III, 5, 3, n. — Cités, Ν, V, 7, 1, n. — Cités, N, VII, 10, 4, n. — Leur vanité, Ε, I, 8,22. — Subtilité des ( ), Ε, VII, 6,14. — Id., ibid., n.

SOPHOCLE, son Philoctète, cité, Ν, VII, 2, 7. — Son Philoctète, cité, Ν, VII, 9, 4. — Cité, Ν, VII, 9, 4, n.

SOUVENIR, plaisir pour le passé, Ν, IX, 7, 6.

SOUVERAIN bien, théorie de Kant sur le ( ), Pr. CLXXXII.

SMINDYRIDE le Sybarite, son prétendu bonheur, Ε, I, 5,10.

SPARTIATE, s'habiller à la ( ), Ν, IV, 7, 15.

SPARTIATES, les ( ) vainqueurs des Argiens, N, III, 9, 16. — Expression favorite des ( ), N, VII, 1,2. — Leur vertu, E, VII, 15, 7.

SPENGEL, son mémoire sur les trois Morales d'Aristote, Pr. CCLXXXV. — Croit que la Morale à Eudème est d'Eudème de Rhodes, Pr. CCLXXX. — Trouve que la Grande Morale est le plus complet des trois ouvrages, Pr. CCLXXXVI. — M. ( ), son mémoire sur les trois ouvrages moraux d'Aristote, cité, G, I, 5 3, n. — M. ( ), cité, Ε, I, 7, 4, n.

SPEUSIPPE, son système sur le bien en soi est analogue à celui des Pythagoriciens, Ν, 1, 3, 7—  Ouvrage qu'Aristote avait fait sur sa doctrine, d'après Diogène Laërce, Ν, I, 3, 8, n. — Cité, N, I, 1,1, n. — Son erreur sur la nature du plaisir, N, VII, 12,1. — Ses théories morales, G, I, 1, 9,, n. — Indiqué, Ε, I, 3, 12, n.

STOÏCIENS, les ( ) ne permettaient point la plainte au sage, Ν, IV, 3, 28, n. — Cités, N, VIl, 11, 3, n.—Les ( ) recommandent la pauvreté, Ν, X, 8, 4, n. — Le sage des ( ), Ν, X, 9, 6, n.

STOÏCISME , son principe en morale, Ν, I, 6, 11, n. — Adopte une fausse définition de la vertu, Ν, II, 3, 6, n. — Le ( ) exagère un principe d'Aristote, N, III, 5, 5, n. — La formule générale du ( ) est peut-être empruntée d'Aristote, Ν, III, 12, 8, n. — Autorise le suicide, Ν, V, 11, 1, n. — Principe adopté par lui, N, VI, 1, 1, n. — Cité, Ν, VII, 12, 4, n. — Ses idées d'humanité, N, VIII, 12, 3, n. — Recommande l'impassibilité, Ε, II, 4, 4, n.

STOÏCISME grec, exposé général du ( ), Pr. CLI.

STRATONICUS, son opinion sur les odeurs, Ε, III, 2, 11.

SUBSTANCE, la catégorie de la ( ) est antérieure à celle de la relation, Ν, II, 3, 2.

SUICIDE, le ( ) est en général une lâcheté, Ν, II, 8, 13. — Déshonneur qui s'y attache, N, V, 11,3. — ( ) du méchant dévoré d'ennuis, Ν, IX, 4, 8 et 9. — ( ) du méchant provoqué par son désespoir, Ε, VII, 6,15.

SUPERIEUR, le ( ) aime moins qu'il n'est aimé, N, VIII, 7, 2. — Le ( ) est aimé; mais il aime peu, Ε, VII, 3, 4, et 4,1 et suiv.

SUPERIORITE de l'un des deux amis, Ν, VIII, 7,1 et suiv. — ( ) de l'un des deux amis, E, VIl, 10,10.

SURPRISE, la ( ) est l'épreuve du vrai courage, Ν, III, 9,15.

SYLLA transporte à Rome les manuscrits d'Aristote, Pr. CCLXX.

SYLLOGISME tiré des universaux, Ν, VI, 2, 3. — L'intempérant ne connaît que le dernier terme du ( ), Ν, VII, 3, 10. — Théorie générale du (), G, II, 8, 15.

SYMPATHIE naturelle pour lu sert de nos enfants et de nos amis, Ν, 1, 9,1. — ( ) origine do l'amitié, G, II, 13, 40.

SYSTEMES de morale, examen de quelques ( ), Pr. XLIV. — N'étudier que tes plus beaux, id., XLV.

 

T

 

TABLEAU des vertus et des vices, Ν, II, 7, 1. — ( ) synoptique des vertus, Ε, II, 3, 4. — ( ) des vertus et des vices, E, III, 3,1. — ( ) des vertus et des vices, Ε, III, 5,16.

TACT, définition du ( ) dans les relations de société, Ν, IV, 8, 5.

TALION, Le ( ) paraît être le juste absolu, Ν, V, 5,1. — Son rapport avec la justice, Ν, V, 6, 2. — Le ( ) n'est pas le fondement de la justice, G, I, 31, 14.

TCHANDALA ou paria, le ( ) ne pouvait sous peine de mort toucher un Brahmane, Ε, II, 8,19, n.

TEMERAIRE, le ( ) n'est souvent qu'un fanfaron, Ν, VIII, 8, 8.

TEMERITE, la ( ) peut être poussée jusqu'à la démence, N, III, 8,7.

TEMPERANCE, théorie de la ( ), Ν, III, 11,1 et suiv. — Vertu de la partie irrationnelle de l'âme, id.  ibid. — S'exerce relativement aux plaisirs du corps, id. ibid, 2, et à certains plaisirs du corps, id, ibid., 3. — La ( ) est un milieu entre l'insensibilité et la débauche, N, II, 7, 3. — La ( ) n'est pas une vertu très-pure, Ν, IV, 9, 7. — Théorie sur la ( ), Ν, VII, 2, 6 et 7. — Consiste a dominer ses passions, Ν, VII, 7, 1. — Théorie de la ( ), G, II, 6, 1, et suiv. et 8, 1 et suiv. — Théorie de la ( ), G, 20 1 et suiv. — Comparaison de la ( ) et de l'intempérance, Ε, II, 8, 6. — Est toujours volontaire, id. ibid., 9. — Théorie de la ( ), Ε, III, 2, 1 et suiv. Voyez Intempérance.

TEMPERANT, portrait de l'homme ( ), Ν, III,12, 8. — Portrait de l'homme ( ), N, III,13, 9.— Portrait de l'homme ( ), Ν, VII, 9, 5.

TEMPS, le ( ) perfectionne les arts et les sciences, I, 5,1.

TESTAMENT d'Aristote, N, VIII, 11, 5, n.

THALES, cité, Ν, VI, 6, 8. — Cité, Ν, VI, 5, 8, n.M. — Cité, N, VI, 10, 1.

THEATRE, attention diverse des spectateurs au ( ),  Ν, X, 5, 4.

THEMISTOCLE, sa vanité déplacée quand il envoya une théorie à Olympie, E, III, 6, 4.

THEODECTE, poète tragique, cité, Ν, VII, 7, 6, n — Cité, E, VII, 10, 9, n.

THEODICEE d'Aristote comparée à celle de Platon, N, VIII, 12, 5, n.

THEOGNIS, deux vers de ( ), cités, Ν, I, 6, 13, n. — Cité, N, V, 1,15, n. — Cité, Ν, IX, 9, 7.— Cité, Ν, IX, 12, 2, n. — Cité, N, X, 10, 3, n. — Cité, Ε, I,1,1, n. — Cité, Ε, III, 1, 29. — Cité, E, VII, 2, 40.—Cité, E, VII, 10, 21.

THEOPHRASTE, ses manuscrits, Pr. CCLXIX. — N'égale pas Aristote dans les portraits moraux, Pr. CXXXVIII.

THEORIE, il faut toujours vérifier la ( ) sur les faits, Ν, X, 9, n.

THEORIE platonicienne, citée, N, VII, 2, 2, n.

THEORIE, cérémonie publique chez les anciens, Ν, IV, 2,2. — ( ) fastueuse, envoyée à Olympie par Thémistocle, Ε, III, 6, 4.

THEORIES sur les plaisirs antérieures à celle d'Aristote, Ν, X, 1, 2 et suiv. — IId. ibid., 2,1 et suiv.—Utilité limitée des ( ) morales, Ν, X, 10,1 et suiv. — ( ) de différentes espèces, Ε, I, 6, 2.

THERSITE, modèle du bouffon insipide, Ν, IV, 8, 3, n.

THESEE tue le minotaure, E, III, 1,17, n.

THESEE et Pirithoüs, cités comme amis, Ν, IX, 10, 6, n.

THETIS, ne rappelle pas à Jupiter les services qu'elle lui a rendus, Ν, IV, 3, 21.

THUCYDIDE, élève d'Antiphon, le sophiste, E, III, 5,7, n.

THTESTE, cité, N, VII, 5, 2, n.

TIMEE de Platon, cité, N, VII, 2,1, n. — Cité, Ν, VII, 5, 2, n. — Cité, Pr. XCIX.

TIMIDITE, définition de la ( ), Ν, IV 9,1 et suiv. — Sied bien à la jeunesse, id, ibid., 3. — Excès de modestie, G, I, 27,1 et suiv.

TIMOCRATIE OU république, espèce de constitution politique, Ν, VIII, 10,1 et suiv.

TISSOT, M. ( ), traducteur de Kant, cité, Pr. cxxxiii. — Cité, Pr. ccxvii, — Cité, Pr. CLXVI. — Cité, Pr. CXCVII. — Cité, Pr. ccxxiv, — Cité, Pr. ccxxxiii. — Cité, ccxxxviii. — Cité, Pr. CCXLVII. — ( ) et son jeune fils, traducteurs de Kant, Pr. cci. — Sa traduction de la Métaphysique des mœurs, de Kant, E, VII, 12,18, n. — Voyez Kant

TOPIQUES d'Aristote, cités, N, I, 2,13, n.

TOUCHER, les plaisirs du ( ) sont surtout ceux de l'intempérance, Ν, III, 11, 9. — Le sens du ( ) est le siège de tous les plaisirs de l'intempérance, N. III, 11, 10. — Le plus commun de tous les sens, id., ibid. — Le ( ) est le sens où s'exerce surtout l'intempérance, E, III,  2. 12.

TRAITE de l'âme, d'Aristote, cité, Ν, I, 4,12, n. — Cité sur l'immortalité, Ν, I, 9,4, n — Cité, Ν, I,11,10, n.— Id., ibid., 11, n. — Probablement indiqué par Aristote, Ν, I, 11, 8, n. — Cité, Ν, VI, 1, 5, n. — Id., ibid., 8, n. — Id., ibid,, 10. — Cité, N, VI, 2,1, n. — Cité, Ν, VI, 5, 2, n. — Cité, Ν, VI, 6, 7, n. — Cité, Ν, VI, 9, 3, n. — Cité, Ν, VI, 10, 6, n. — Cité, Ν, VII, 5,1, n. — Ν, IX, 9, 7, n. — Cité, Ν, X, 4, 1, n. — Ν, X, 7, 2, n. — N, X, 10, 23, n. — Cité, G, I, 4, 1, n. et VII, 8,9, n. Indiqué indirectement par l'auteur de la Grande Morale, G, I, 5,1, n. — Cité, G, I, 32, 4 et 5. — Ε, III, 2, 11, n. — Ε, VII, 12, 6, n. — E, VII, 14, 21, n.—Ε, VII, 15,16, n..

TRAITE de l'âme d'Aristote, sa grande erreur, Pr. cx.

TRAITE de Pâme, indique la Morale, Pr. CCLXI. — Voyez Aristote.

TRAITE des Éloges, ouvrage prétendu d'Aristote, Ν, I, 10, 7, n.

TRAITE du Monde, n'est pas d'Aristote, Pr.

TRAITE du Mouvement, indiqué par Aristote, Ν, X, 3, 3.

TRAITE sur la Philosophie, par Aristote, E, VII, 15, 16, n.

TRAITE de la Sensation, par Aristote, Ε, III, 2, 11, n.

TRAITE du Sommeil et de la Veille, par Aristote, Ν, I, 11, 12, n. — Voyez Aristote.

TRANSLATION, espèce de mouvement, Ν, X, 3, 3.

TRENDELENBURG, M. ( ) cité, Pr. CCLXXXV.

TRULLARD, sa traduction de Kant, Pr. cxcvii.

TYRANNIE, déviation de la royauté, Ν, VIII, 10,2. — Sous la ( ), il n'y a ni amitié ni justice, Ν, VIII, 11,5.

TYRANNION, le grammairien, ses travaux sur Aristote, Pr. CCLXX.

TYRANS, les ( ) ne sont pas à vrai dire des prodigues, Ν, IV, 1,23. — Les ( ) ne peuvent pas être appelés des avares, N, IV, 1, 38. — Les ( ) aiment les flatteurs, Ν, X, 6,3.

 

U

 

ULYSSE, cité, Ν, VII, 2, 7. — Ses conseils, Ν, VII, 9, 4. — Compagnon de Diomède, N, VIII, 1, 2, n.

ULYSSE, choix qu'il fait d'une vie nouvelle dans les enfers, Pr. LXXVIII.

UNIVERSEL, résultat des faits particuliers, Ν, VI, 9 3. — Fondement de toutes les sciences, N, Χ, 10, 16. — L' ( ) est le primitif, E, VII, 2, 11.

USAGE, préférable à la faculté, G, I, 3,3. — ( ) des choses, direct ou indirect, Ε, III, 4, 3. — ( ) des choses est de différentes espèces, Ε, VII, 13, 1 et suiv.

USAGE et possession, distinction profonde faite par Aristote, Ν, I, 6, 8, n.

UTILE, l' ( ) est à rechercher ; le nuisible est à fuir, N, II, 3, 7. — Voyez Intérêt.

 

V

 

VANITEUX, portrait du ( ), N, IV, 3, 30. — Définition du ( ) Ν, IV, 7, 2.

VEGETATIVE, la vie ( ), commune à tous les êtres vivants, Ν, I, 11, 11.

VEILLE, la ( ) est un état perpétuel de fatigue, Ν, VII, 13, 5.

VENGEANCE, plaisir de la ( ), Ν, IV, 5,11. — L'espoir de la ( ) fait plaisir, Ε, III, 1, 26.

VéNUS, plaisirs de ( ), Ν, III, 11, 9. — Sa ceinture, citée, N, VII, 6, 5. — ( ) Uranie, Vénus populaire, Pr. XCVUII.

VéRACITé, définition de la ( ), Ν, IV, 7,4. — Définition de la ( ), Ν, II, 7,12. — Définition de la ( ), G, I, 30,1 et suiv. — Définition de la ( ), E, III, 7, 6.

VéRITé, objet de deux parties de l'âme, Ν, VI, 1,14. — Moyens d'arriver à la ( ), Ν, VI, 11,1. — La ( ) est accessible à l'âme de cinq manières, G, I, 32, 7.

VERS d'Hésiode cités sans nom d'auteur, N, VII, 12, 6.

VERS, animaux inférieurs, G, II, 9,13.

VéRITé, la ( ), premier devoir lu philosophe, Ν, I, 3, 1. — Préférable à l'amitié, id. ibid.

VERTU, théorie de la ( ), dans le second livre de la Morale à Nicomaque et au début du troisième. — La ( ) est meilleure et plus précise qu'aucun art, N, II, 6, 9. — Placée au dessus de la gloire, N, I, 2,13.—A elle seule, ne peut faire le bonheur, id., ibid. — L'activité de l'âme dirigée par la ( ) est l'œuvre de l'homme, Ν, I, 4, 15. — La ( ) est pleine de charmes, Ν, I,6, 6 — Elle n'a pas besoin de l'appendice du plaisir, id. ibid. 11.. — Peut-elle être enseignée ? Théorie de Platon sur ce point, Ν, I, 7,1, n. — Sa constance et sa durée, Ν, I, 8, 5. — La ( ) reste sereine au milieu des plus rudes épreuves, Ν, I, 8, 7. — La ( ) est l'objet des travaux de l'homme d'État, Ν, I, 11, 2. — La  () se perd également par les excès en trop on en moins, II, 2, 6. — ( ) se fortifie par la pratique, id. ibid., 9. — La ( ), ses rapports aux plaisirs et aux peines, Ν, II, 3, 3. — Mauvaise définition qu'on en donne, Ν, II, 3, 5, — Définition plus exacte, id., ibid, 6. — Mauvaise définition de la ( ), Ν, II, 3, 5. — Bon emploi du plaisir et de la douleur, Ν, II, 3, 6. — La ( ) réside surtout dans l'intention de l'agent, Ν, II, 4, 3.— Sa définition, Ν, II, 6, 15. — ( ) milieu entre deux vices, id. ibid. — Et en même temps une extrémité et un sommet, id., ibid., 17. — Difficulté et mérite de la ( ), N, II, 9, 2. — La ( ) ne se rapporte jamais qu'à des actes volontaires, Ν, III, 1,1. —Il n'y a pas de ( ) sans intention, Ν, III, 3,1. - La ( ) est volontaire comme le vice ; réponse à une objection, Ν, III, 6, 16. — La ( ) est essentiellement volontaire, Ν, III, 6, 2. — La ( ) exige trois conditions, N, II, à, 3. — La ( ) mal comprise du vulgaire, Ν, II, 4, 6. — La ( ) est toujours volontaire et réfléchie, Ν, II, 5, 4. — N'est pas une simple faculté, id., ibid., 5. — Elle est une habitude et une qualité, id., ibid., 6. — Elle est un complément de l'œuvre qu'on produit, id., ibid., 6, 2. — La ( ) est une sorte de milieu, Ν, II, 6, 13. — Deux espèces de ( ), Ν, VI, 11, 1. — Théorie de la  ( ), N, VI, 11, 4,1 et 5. — Son contraire, Ν, VII, 1,1.— Enseigne à juger le principe de nos actes, Ν, VII, 8, à. — L'amitié est une sorte de ( ), Ν, VIII, 1,1. — Base véritable de l'amitié, Ν, VIII, 3,1 et 6. — La ( ) n'obéit qu'à l'intelligence et à la raison, Ν, IX, 8, 8. — Lutte de ( ) entre les deux amis, Ν, IX, 11,6. — La ( ) est la mesure des choses, Ν, X, 6,5. — Deux conditions nécessaires de la  ( ), Ν, X, 8, 5. — La ( ) peut s'exercer dans les situations les plus humbles, Ν, X, 9, 2. — La ( ) aimée des Dieux, N, X, 9,5. — Il faut étudier la ( ) surtout pour la pratiquer, G, I,1,1. — Sa définition, G, I, 4, 19, ibid., 5,1 et suiv. — La ( ) est une sorte de milieu entre l'excès et le défaut, G, I, 5, 3.— Ses rapporte au plaisir et à la douleur, G, I, 6; 1 et suiv. — Ses deux contraires en excès et en défaut, G, I, 9, 1 et suiv. — La ( ) peut-elle s'acquérir? G, I, 19,1 et suiv. —La ( ) vise au but et aux moyens de l'atteindre, G, I,17,8. — Sa fin véritable est le bien, id., ibid., 18,1 et suiv. — La ( ) fait que la fin qu'on poursuit est bonne, Ε, II, 11, 8. — Éléments principaux dont la ( ) se compose, G, 1,32, 24. — Définition rectifiée de la ( ), G, 1,32, 26. — La ( ) ne peut jamais être excessive, G, II, 5,12. — Ses rapports à la raison et aux passions, G, II, 9, 39. — La ( ) ne recherche point le plaisir et l'intérêt et ne les fuit pas, G, II, 13,25. — La ( ) doit être surtout pratique. Ε, I, 5, 18. — Sens divers de ce mot, E, II, 1, 2. — L'acte de la ( ) est la fin supérieure de l'âme, E, II, 1, 8.— Définition générale de la ( ), E  II, 1,94. - La ( ) se rapporte aux peines et aux plaisirs de l'homme, E, II, 1, 25.. — Théorie de la ( ) morale, Ε, II, 2,1 et suiv. — Toute ( ) est relative aux plaisirs et aux peines de l'homme, Ε, II, 4,3.— La ( ) se rapporte aux plaisirs et aux peines, E, II, 10, 29. — Son influence sur les intentions, id., ibid., 11, 1 et suiv.

VERTU, théorie admirable de la vertu dans Aristote, Pr. cxxxi. .— Pour l'acte, de ( ), trois conditions sont requises, Pr. cxxxi. — Est volontaire et ne dépend que de l'homme, Pr. cxixv.

VERTU, la ( ) et le bonheur marchent presque toujours ensemble dans le monde, Pr. xxx.

VERTU intellectuelle et morale, N, II, 1, 1.

VERTU morale, la ( ) n'est pas naturelle en nous, elle se forme par l'habitude, Ν, II, 1,2. — La ( ) tient souvent aux passions, Ν, X, 8, 2. — La ( ) consiste dans certains milieux, E, II, 3, 3. — Théorie de la  (),E, II, 5, 1 et suiv.

VERTU parfaite, théorie de la ( ),G,. II, 11, 1 et suiv.

VERTUEUX, on n'est ( ) qu'à la condition d'aimer la vertu et de s'y plaire, Ν, 1,6, 11. — L'homme ( ) est celui qui sait bien user des plaisirs et des peines, N, II, 3,7, et 10. — L'homme ( ) est la règle et la mesure de tout, Ν, III, 5,5.

VERTUS, division des ( ), Ν, VI, 1, 4. — Aptitudes morales, M, VI, 10, 1. - Théorie des deux  (), Ν, VI, 11, 2. — Opinion de Socrate sur les ( ), Ν, VI, 11, 5. — Ne viennent qu'après la science et la sagesse, Ν, X, 8, 1 et suiv. — ( ) et vices ne sont pas des passions, Ν, II, 5, 3.

VERTUS intellectuelles et morales, Ν, I,11, 20. — Deux espèces de ( ) morales et intellectuelles, E, II,1,19.

VERTUS INTELLECTUELLES, théorie des ( ), dans le 5e livre de la Morale à Eudème, reproduction textuelle du 6e livre de la Morale à Nicomaque. — ( ) intellectuelles, E, II, 4, 1.

VERTUS morales, Ε, II, 4,1. — ( ), dans quelle partie de l'âme elles sont, G, I, 5, 1. — Ne sont pas innées, parce qu'elles sont le résultat de l'habitude, G, I, 6, 3.

VERTUS naturelles, E, III, 7, 11.

VERTUS morales et intellectuelles, défense de cette théorie, Pr. cxxix.

VERTUS et vices, traité apocryphe des Vertus et des Vices, tome III, pages 467 et suiv.

Vice, mauvais emploi du plaisir et de la douleur, Ν, II, 3,6. — Le ( ) est volontaire comme la vertu, Ν, III, 6, 18. — Le ( ) est toujours volontaire, Ν, III, 6,18.

VICES et vertus ne sont pas des passions, Ν, II, 6, 3. — On blâme ceux qui sont volontaires, Ν, III, 6, 15.

VIE, trois genres de ( ) : sensuelle, politique, et contemplative, N, I, 2,10 et 18.—La ( ) est profondément chère à tous les êtres qui en jouissent, Ν, IX, 7, 4. — La ( ) à elle toute seule est bonne et agréable, Ν, IX, 9,9. — Surtout pour les gens de bien, id., ibid. — La ( ) confondue avec la sensibilité, Ν, IX, 9, 7; et avec la pensée dans l'homme, id., ibid., — Rapports de la ( ) au plaisir, Ν, X, 4, 6. — Amour de la ( ), id., ibid. 7. — Il faut toujours se proposer un but dans la ( ), Ε, I, 2,1 et suiv. — Trois genres de vie, E, I,4, 2. — Ses misères, Ε, 1, 5, 1, et suiv. — Trois genres de ( ) principaux, Ε, 1, 5,13. — La ( ) est une chose désirable, Ε, VII, 12, 7. — Confondue avec la connaissance, id., ibid., 8.

VIE de nutrition, commune à l'homme et aux animaux, N, I, 4,12.-  ( ) de sensibilité, également commune, id., ibid., — ( ) de la raison et de l'intelligence, spéciale à l'homme, id., ibid.; 13.

VIE commune, la ( ) caractérise surtout l'amitié, N, VIII, 5,3. — Agrément de la ( ), E, VII,, 5, 4. — Il n'y a que tes amis qui paissent en apprécier la douceur, E, VII, 12, 21,

VIE future, s'intéresse-t-on encore dans la ( ) aux enfants et aux amis qu'on a eus ici-bas? N, I, 9, 6. — Voyez Ame et Immortalité.

VIEILLARDS, importance de leurs conseils, Χ, VI, 9, 5. — Les ( ) sont peu portés à l'amitié, Ν, VIII, 5, 6.

VIEILLESSE, est intéressée, N, VIII, 3, 4. — Respect dû à la  ( ), Ν, IX, 2, 9.

VILLEMAIN, M. ( ), sa traduction excellente de quelques morceaux de la Rhétorique d'Aristote, Ν, VIII, 3, 4, n.

VIOLENCE, théorie de la ( ), G, I,13, 2.

VIVRE selon la raison, principe Platonicien, adopté par Aristote et par le Stoïcisme, N, IX, 8, 6, n.

VIVRE, c'est toujours connaître, Ε, VII, 12. 8.

VOLONTAIRE et involontaire, analyse de ces deux idées, N, III, 1,1.

VOLONTAIRES, actes ( ), leur définition, Ν, III, 2, 8.

VOLONTE, la ( ) est invincible, Ν, III, 1, 12, n. — Sa différence avec l'intention, Ν, III, 3, 7. — N'a pour objet que le bien. N, III, 5, 2. — Théorie de la ( ), G, I, 11, 1 et suiv, — La ( ) est une nuance de l'appétit, G, I, 11,9. — Théorie de la ( ), E, II, 7,1 et suiv. — La ( ) se confond avec la liberté, Ε, II, 7, 11. — L'objet de la ( ) est éminemment la fin qu'on se propose, Ε, II, 10, 7. — La ( ) dans l'ordre de la nature s'applique toujours au bien, E, II, 10,27. — Voyez Liberté.

VOLONTE, autonomie de la ( ), selon Kant, Pr. CLXIX.

VOYAGES, les ( ) peuvent faire voir combien l'homme est nécessaire à l'homme, Ν, VIII, 1, 3.

VRILLE, instrument, E, VII, 10, 4.

VUE, il ne peut y avoir d'intempérance dans les plaisirs de la ( ), Ν, III, 11,4. — Influence de la ( ) sur l'amour, Ν, IX, 5, 2. - La ( ) des yeux bleus n'est pas en général perçante, Ε, VII, 14, 9.

VULGAIRE, le ( ) comprend mal la vertu et la philosophie, N, II, 4,6. — Perversité immuable du ( ), Ν, X, 10, 4. — Sa légèreté, E, I, ,3, 2.

 

X

 

XéNOCRATE, cité, Ν, I,1, n. — Ouvrage qu'Aristote avait fait sur sa doctrine, d'après Diogène Laërce, Ν, l, 3, 8, n. — Cité, N, VII, 2, 3, n. — Indiqué, Ε, I, 8, 12, n.

Χénophante, cité, Ν, VII, 7, 6. — Cité, Ν, VII, 7, 6, n.

Xénophon, son Histoire grecque citée, Ν, III, 9,18, n. — Ses Mémoires sur Socrate, Ν, III, 8, 6, n. — Son Histoire grecque, N, IV, 3, 21, n. — Ses Mémoires sur Socrate, Ν, VI, 10,3, n. — Sur la Cyropédie, Ν, VIII, 10, 4, n.

XErxès, cité, Ν, VIII, 5, 8, n.

 

Y

 

Yeux bleus, les ( ) n'ont pas en général la vue perçante, E, VII, 14, 9. —Observation confirmée par la physiologie, id., ibid.., n.

 

Z

 

ZELL, M. ( ), son édition de la morate à Nicomaque, citée, N, I, 4, 8, n..— Cité, N, III, 6, 22, n, — Cité, Ν, VII, 11, 3, n. — Cité, Ν, IX, 4,10, n.

ZELL , ses notes sur la morale à Nicomaque, Pr. CCLVI.

Zévort et Pierron, leur traduction de la Métaphysique d'Aristote, E, II, 10,19, n.

FIN DE LA TABLE ALPHABÉTIQUE.