Ἀνεγνώσθη Καισαρίου βίβλος ἐν ηʹ κεφαλαίοις· περιείχετο δὲ ἐκκλησιαστικά, τοῦτο μὲν ῥητῶν ἀναπτύξεις, τοῦτο δὲ συζητήσεων ἐπιλύσεις, κʹ καὶ ςʹ. Ὁ μὲν ἀνὴρ ἔοικε νεάζειν τε καὶ πρὸς γονὰς μὲν λόγων καὶ μάθησιν τῆς τε θυράθεν σοφίας καὶ τῆς ἡμετέρας σφριγᾶν, δεῖσθαι δ´ ὅμως οὐκ ἐλαχίστων, ἵνα συντόμως εἴπω, εἰς τὸ μὴ καταισχύνειν τὰς ὁρμάς.

Πλὴν σαφής τέ ἐστι τὴν φράσιν, εἰ καὶ πρὸς ποιητικὰς ἐκνεωτερίζει λέξεις πολλάκις, καὶ τὸ κοινὸν τῆς συντάξεως μετιών ἐστιν, ὅπου  ἐπ´ ἔλαττον φέρεται καὶ τούτου, καὶ πρὸς τὴν τῶν δογμάτων ἀκρίβειαν ὀλίγων αὐτῷ δεῖ.

Εἰς ἐρωτήσεις δὲ καὶ ἀποκρίσεις μεθ´ ὑποβολῆς προσώπων τὸ τοῦ λόγου σχῆμα πεποίηται. Εἶναι δέ φασι Γρηγορίου, οὗ τὸ θεολόγος ἐπώνυμον, τὸν συγγραφέα ἀδελφόν.

J’ai lu de Césaire un livre en huit chapitres contenant 220 questions ecclésiastiques : une partie pour expliquer le textes, une autre pour résoudre les questions.

On dirait que c'est un auteur qui n'est pas encore à la fleur de l'âge mais en pleine force aussi bien dans les productions littéraires que dans l’érudition en matière de philosophie profane et chrétienne. Il s’en faut toutefois, et de beaucoup, somme toute, qu’il ne gâte ses élans.

Pourtant son style est clair (bien que souvent il innove souvent en se tournant vers les termes poétiques et  tout en suivant la construction, il  tombe à un niveau trop bas, même dans ce domaine. Sur l’exactitude à propos des dogmes, il lui manque peu de choses.

C'est par des questions et des réponses échangées entre interlocuteurs supposés que son ouvrage est composé. On dit que  l’auteur est le frère de Grégoire surnommé le Théologien.