TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES
TABLE ALPHABÉTIQUE DES. MATIÈRES Le premier chiffre romaiiiindique le liyre; le second chiffre romaiiiindique le chapitre; le chiffre arabe indique le paragraphe. P signifie la préface au traité des Parties des animaux; D signifie la dissertation sur l'authenticité de ce traité; P M signifie la préface au traité de la Marche des animaux; M signifie ce traité ; M D signifie la dissertation sur l'authenticité de ce traité ; ii signifie note. ABEILLES, influence du liquide qui leur tient lieu de sang, sur leur intelligence, II ii 5. — cause de leur intelligence, II iv 3. — leur trompe et leur dard, II xvii 13. — leurs organes d'alimentation, IV v 4. — nombre de leurs ailes ; leur nature, IV vi 2. — quatrième ordre des insectes, IV vi 2 n. — position de leur dard, IV vi 6. — position de leurs pattes et usage quelles en font, IV vi 9. — direction de leur vol, M x 4. ACALEPHES et CNIDES, animaux qui sortent de toutes les divisions admises ; leur organisation ; participent de la nature de la plante et de l'animal, IV v 30. — nom conservé par la zoologie moderne pour les orties de mer ; leur classification ; sont distincts des testacés, IV v 30 n. ACCEPTIONS diverses du mot de Nécessaire, I i 9. — diverses du mot de Chaud, II ii et suiv. ACCROISSEMENT venant toujours de la nourriture, II iii 6. ACEPHALES TESTACES, sont bivalves ; leur mouvement, IV vii 1 n. ACTE propre de l'être le plus divin, c'est-à-dire de l'homme, IV x 6. ACTES COMMUNS, et actes propres, définition de ces expressions dont l'emploi devra être fréquent en histoire naturelle, I v 11. ACTION simultanée des ailes et des pattes dans le vol des oiseaux, M x 1. — de la queue des oiseaux et des poissons, faisant fonction de gouvernail, M x 3. ADMIRATION d'Aristote pour la sagesse de la nature, II vii 2 a. — habituelle d'Aristote pour la nature, II x 14 n. — bien connue d'Aristote pour la sagesse de la nature, III xiv 19 n. — d'Aristote pour la nature dans toutes ses œuvres, IV x 14 16 n. — d'Aristote pour les œuvres de la nature, M viii 1. — d'Aristote pour les œuvres de la nature, M xiv 5 n; xvii 4 n. AFFECTION morbide qui ne se produit cjue sur les moutons, et dont ils meurent, III ix 10. — affections et actes, définition de ces expressions, dont l'emploi devra être fréquent en histoire naturelle. I v 13. AGASSIZ, (1807-1873). nature de ses travaux; son pays natal; ses voyages ; ses œuvres principales; exposition analytique de son « Essai sur l'espèce et la classification en zoologie " , P ex et suiv. — croit à une pensée divine dans l'univers, P exi et suiv. — analyse de ses admirables travaux sur l'espèce et la classification, P cix et suiv. — partisan des causes finales, P cxiii. — sa conviction inébranlable sur l'espèce, contraire à l'opinion qu'en a soutenue Buffon ; ses arguments irréfutables démontrent une intelligence infinie, opposés à la décevante doctrine du matérialisme, P CXIII. — cité sur la constitution du règne animal; son opinion sur la chaîne des êtres, P CXIII. — arguments nombreux, tirés tous de l'histoire naturelle, par lesquels il démontre une intelligence infinie dans l'univers, P cxv et suiv. — objections qu'il oppose au transformisme et qu'il emprunte à la zoologie, P cxvi et suiv. — aperçu de la seconde partie de son ouvrage, qui s'applique à la classification ; son opinion sur Cuvier, sur Darwiiiet sur leurs travaux; valeur de ses vues neuves et hardies, P cxxi. — sa critique de la classification de Cuvier, P cxxii. — question qu'il faisait relativement au problème de la vie ; confirmation inattendue de ses arguments, P CLXIX et suiv. AILES, relation des ailes et des pattes des insectes ; leur nombre, IV vi 1 2. — chez les oiseaux, tenant la place de membres antérieurs de l'homme et des auadrupèdes, IV xii 2 8. — des oiseaux, force de leurs muscles, IV xii 9 n. — action simultanée des ailes et des pattes dans le vol des oiseaux ; de la flexion et de l'extension des ailes pleines et des ailes divisées en plumes, M x 1 2. — des oiseaux, remplaçant les membres antérieurs ; leur rôle in-dispensable ; leur position, M xv 1 et suiv. — leur utilité pour la station et pour la marche des oiseaux; leur position, M xv 2 n. ALBINUS ET BOËRHAAVE, cités pour leur superbe et utile édition des ouvrages anatomiques de Vésale, P LXXVII. ALBERT LE GRAND, place qu'il occupe à la Renaissance du xiiie siècle ; son étude et son enseignement sur Aristote : auteurs auxquels il demande la forme de son ouvrage ; service au'il a rendu à la science de ces temps ; ses disciples ; ses efforts héroïques, P LXXII. — son rôle admirable en histoire naturelle durant le Moyen-Age, P LXXII. — service signalé qu'il a rendu à la science du temps de la Renaissance au xiiic siècle. P LXXIII. — ses commentaires cités sur la réapparition de la zoologie descriptive, P LXXV. — a contribué à la rénovation de la physiologie comparée et de la zoologie d'Aristote ; reconnaissance qui lui est due ; mouvement 'études qu'il faut rapporter à son influence, P LXXV et suiv. ALEXANDRE LE GRAND, cité à propos de l'étude de la physiologie comparée, P LIV. — état de la science à son époque, P LIV et LVIII. ALEXANDRIE, l'école médicale d'Alexandrie n'a pas fait de physiologie comparée, PLVIII. — cette école citée sur la physiologie comparée, P LIX. ALIMENT, traité d'Aristote sur l'aliment, ou Traité de la Nutrition, trois citations qu'en fait le Traité des Parties; regrettable perte de cet ouvrage, D cxcvi. ALIMENTATION, traité de l'ali-mentation ou de la nutrition, mentionné par Aristote dans d'autres ouvrages, n'est pas parvenu jusau'à nous, IV iv 3 n. Voir Nutrition. ALIMENTATION, ses organes chez les animaux qui n'ont pas de sang, IV v. — des mollusques et des crustacés, IV v 1 n.— ses organes chez tous les animaux inférieurs, IV v 32. — différences que ces organes présentent, IV v 36. ALIMENTS, théorie des aliments citée sur les résidus de la nourriture, II vii 16. ALLURE de certains quadrupèdes, M i 5 n. — des deux membres du même côté, M xiv 2 et n. — spéciale que le dressage a su imposer à quelques animaux quadrupèdes, M xiv 2 n. ALPHABET SANSKRIT, groupement de ses consonnes et rang quelles y occupent, III i n. AMBROISE PARE, son mérite, ses travaux physiologiques, P LXXX. AMBLE, sa définition, M xiv 2 n. AME. soiiique le naturaliste doit prendre dans celte étude, I i 25. — sa supériorité sur la matière, I i 26. — considérée comme le siège des facultés de nutrition, de sensibilité, de locomotion et de pensée, II i 15 n. — supposée dans le cerveau ; son œuvre propre, II vii 4.— son rapport aux éléments ; ses facultés, II vii 4, n. — son siège, III v 2 n. Traité de l'âme d'Aristote ; son caractère P iii. — cité sur le problème de la vie, auquel Claude Bernard assigne une date trop récente, P CXXXIII. — cité sur les deux principaux caractères de la vie animale, P cxxxii. — cité sur la biologie, P CLVIII. — cité sur le sens dans lequel doit être compris le mot âme, I i 25 n. — son objet, 1 i 27 n. — cité sur l'intelligence et les choses intelligibles, I i 27 n. — cite les vers d'Empédocle sur la composition des os, I i 36 n. — cité sur la faculté nutritive des plantes et des animaux, I v 2 n. — cité sur les organes des sens; sur l'objet sensible et la sensation; sur la sensibilité; allusion qu'y fait l'auteur, II i 12-15 n. — cité sur les rapports des sens avec l'encéphale, II vii 3 n. — sur le rapport de l'âme aux éléments, II vii 4 n. — cité sur la sensibilité ; sur la théorie de la vision ; sur le diaphane, II viii 1 2 a. — cité sur la théorie spéciale de la vision, II x 7 n. — sur la théorie de l'ouïe, II x 10 n. — cité sur les fonctions es-sentielles attribuées au cœur, III iii 12 n. — cité sur la sensibilité constituant l'animal et la vie, III iv 13 n. — cité pour 1 omission de la théorie de la sensibilité dans cet ouvrage, III v 3 n. — son caractère ; principe dont il fait son étude, M xix 3 n. — ouvrage dans lequel on trouve la pensée du philosophe grec sur l'inépuisable sujet du mouvement, P M 276. — citation qu'en fait le traité de la Marche des animaux, annonçant des études psychologiques, M D 319. Voir Aristote. AMIDES, leur organisation, II viii 5. ANALOGIE des genres; difficulté de cette distinction, I iv 3. — différence de l'analogie et de la ressemblance, I iv 6 n. — ce qu'Aristote entend par cette expression, I v 9. — Analogie des reptiles et des poissons, IV i 1 2. ANALYSE des quatre livres du traité des Parties des animaux, P v. — du traité de la Marche des Animaux, P M 276. —difficulté et délicatesse de l'analyse de la vie, P LVII et suiv. — spectrale, sa découverte récente, P CLXX. — chimique, ses progrès dans la connaissance de la composition du sang, III v 10 n. ANATOMIE et Histoire des Animaux citées sur la méthode suivie pour les veines et le cœur, III v 13. — anatomie comparée, une de ses parties les plus curieuses, II xvii 12 n. ANATOMIE et physiologie comparée, application de ces noms au traité des Parties des animaux, P iii. — anatomie comparée, science qu'Aris-tote a créée sans avoir créé le mot, P iii, et M i 1 n. — résumé de son histoire, P LIV et suiv. ANATOMIE comparée, ouvrage admirable de Cuvier, P xci et suiv. — citée sur sa méthode, I i 3 n.— sa première leçon, citée sur les conditions de la science et de l'art, 11 5, n. — citée sur l'étude du mouvement et des organes par lesquels il se produit dans toute la série animale, I i 6 n. — citée sur le grand et infaillible principe qui y revient à chaque page, 117 a. — citée sur le principe producteur, I i 16 n. — citée pour des idées analogues à celles d'Aristote sur la définition de la vie, I i 22 n. — citée sur l'idée et les conditions nombreuses de la vie, l i 25 n. — citée sur les organes du mouvement, et sur ceux des sensations, I i 28 n. — sur les plumes et sur les solipèdes, I iii 2 n. — citée sur les rapports d'analogie que présentent les poissons et les oiseaux, I iv 2 n. — méthode que Cuvier y a suivie, I iv 5 n. — justifiant les vues d'Aristote sur les fonctions et les actes des animaux, II i 8 n .— sur les os de la main, II i 9 n. — citée sur l'étude de l'organisation du cœur, II i 16 n. — citée pour les erreurs qu'Aristote commet sur les viscères, II i 17 n. — citée sur les diversités innombrables dans l'organisation des animaux, et le but poursuivi par la nature, II ii 2 n. — citée sur des idées analogues à celles d'Aristote concernant les fonctions organiques, II ii 3 n. — sur les mammifères et les poissons, II ii 6 n. — citée sur la chaleur comparative des animaux, II ii 7 n. — citée sur la théorie moderne de la chaleur et de son action, II ii 19 n. — sur la respiration, II ii 23 n. — citée sur le suc gastrique ; sur l'œsophage; pour des idées analogues à celles d'Aristote sur les animaux qui ne sont pas fixés au sol ; répète l'expression énergique de Boër-aave ; citée sur la digestion depuis les dents jusqu'aux excréments, II iii 8 9 n. — citée sur la bile ; sur les organes de la digestion ; sur étude des mâchoires et des dents, II iii 4-7 n. — citée sur la digestion, II iii 11 n. — citée sur la formation du chyle et l'action des vaisseaux lymphatiques, II iv 6 n. — citée sur les dents des ruminants, II v 3 n. — sur les sécrétions, II v 6 n. — sur l'étude de la moelle, II vi 1 n. -- citée sur le cerveau ; origine de la moelle épinière , vii 1 n. — citée sur la fontanelle ; sur les sutures du crâne, II vii 14 15 n. — citée sur les os qui composent le squelette ; sur leurs jonctions et leurs mouvements, II ix 1 n. — citée pour une longue étude des jonctions des os, et des diverses espèces d'articulations, II ix 5 n. — citée sur les os des oiseaux ; sur les os des reptiles et leurs vertèbres ; sur l'étude des tendons et des os, II ix 10 12 n. — citée sur l'étude des dents, II ix 14 n. — citée sur les organes des poissons ; sur la nature de leur vue, II x 7 n. — cilée sur les rapports de la vue et de l'ouïe, II x 10 n. — sur les sens du goût et du toucher, II x 13 n. — citée sur l'étude des organes de l'ouïe ; sur l'organisation intérieure du labyrinthe, du tympan, des osselets, II xi 2 n. — sur les oreilles des oiseaux, II xii 5 n. — citée sur les appareils protecteurs de la vue, II xiii 12 n. — sur la troisième paupière des oiseaux, II XIII 5 n. — citée sur l'organisation de l'œil chez les oiseaux, II XIII 6 ni. — citée sur les yeux des insectes et des crustacés, II XIII 7 n. — sur les yeux des poissons, II XIII 8 n. — citée sur les sourcils et les cils, II xv 2 n. — sur l'organe de l'odorat ; sur les mâchoires, et sur leurs mouvements et leurs formes, II xvi 1 n. — sur la trompe de l'éléphant, II xvi 4 n. — citée sur la description de l'appareil respiratoire des poissons et des insectes, II xvi 9 n. — citée sur le toucher chez l'homme et dans les animaux, II xvi 14 n. — sur la langue des animaux, II xvii 1 n. — méthode de ses études sur la voix des animaux, II xvii 4 ii . — citée sur la langue des lézards et des serpents ; sur les insectes, et sur les poissons ; sur la langue considérée comme organe mobile de déglutition ; sur le sens du goût chez les poissons, II xvii 6 7 n. — citée sur la langue des poissons ; sur la mâchoire inférieure du crocodile, II xvii 8 9 11 n. — sur l'organisation des dents dans les diverses espèces d'animaux, III i 1 2 n. — citée sur les dents des poissons, III i 8 n. — sur la respiration, III i 9 n. — citée sur les organes de la digestion, III iii 1 n. — sur l'organe indispensable à la respiration ; sur la nature de l'œsophage, III iii. 3 n. — citée sur l'épiglotte, et les animaux qui en ont une. III iii 7 n. — sur le larynx des oiseaux, III iii 8 n. — citée sur la composition du cœur ; sur les différences du cœur des cochons avec celui des autres mammifères, III iv 19 20 n. — citée sur le rôle et la position du foie dans l'organisme entier de l'animal ; sur la fonction de la rate, III iv 12 n. — sur le cœur et les nerfs, III iv 15 16 n. — citée sur la forme et le volume du poumon dans tous les animaux qui en ont un, III vi 3 5 n. — citée sur la forme du foie ; sur la division de la rate ; sur la division du cerveau de l'homme ; sur la division des poumons ; sur la fonction de la rate, III vii 1-3 n. — sur le. foie des lièvres et des poissons, III vii 4 n. — citée sur la digestion ; sur les animaux qui ont du sang ; sur le volume et la position de la rate, III vii 8 9 n. — sur le diaphragme, III vii 13 n. — sur les animaux qui ont une vessie, III viii 1 n. — sur la vessie de la tortue, III viii3 n. — citée sur les reins des chéloniens ; sur la différence des reins des oiseaux et des reins des mammifères, III ix 1 n. — sur les reins des phoques, III ix 3 n. — citée sur la position des reins, III ix 6 n. — citée sur le cœur des mammifères, des oiseaux, des reptiles, des poissons ; sur les organes de la circulation chez les animaux sans vertèbres, III xii 1 n. — sur la vésicule du fiel ; sur la nécessité de la bile, III xii 3 n. — citée sur la rate chez les vertébrés et chez l'homme, III xii 4 n. — sur l'objet du canal alimentaire ou intestinal, III xiv 2 n. — citée sur les différences que présente l'estomac chez l'homme et chez les animaux, III xii 4 n. — sur la différence fondamentale des oiseaux et des mammifères ; sur les différences des dilatations successives de l'estomac chez les diverses espèces d'oiseaux, III xiv 9 n. — citée sur la description du gésier du héron ; pour sa longue étude sur les dents des poissons, III xiir 11 12 n. — sur la description de l'estomac du cochon ; sur les différences nombreuses des intestins ; sur la longueur des intestins dans les mammifères, III xiv 16-18 n. — citée sur les rapports du canal intestinal et l'élaboration plus ou moins longue des aliments, III xiv 20 n. — citée sur la théorie des quatre éléments, qu Aristote adopte toujours, IV i 3 n. — sur la différence dans la sécrétion de la bile ; sur la situation de la vésicule du fiel, IV ii 1 ii — citée sur le foie des poissons et leur vésicule ; sur l'action de la bile dans la digestion et dans l'organisme entier ; sur le foie, alimenté par le sang veineux, IV ii 4-7 n. — citée sur le mésentère ; sur la place des épiploons, IV iii 1 n. — sur les variétés que présente l'épiploon dans les seuls mammifères, IV iii 2 n. — citée sur les mésentères, sur les vertèbres ; sur la digestion en général ; sur une métaphore employée par Aristote, IV iv 1 2 n. — citée sur les yeux des insectes ; sur leur saut, IV vi 9 10 n. — citée sur l'ostéologie du cou chez le loup et le lion, IV x 5 n. — (Os de la. main, muscles de la main) citée sur le rôle de la main, sur le pouce, IV x 18 19 n. — citée sur le nombre des doigts dans les reptiles, IV x 22 n. — citée sur les mamelles et leur conformation dans la série animale ; sur la différence de la disposition du ventre et de l'abdomen, et de celle de la poitrine et du thorax, IV x 29 30 n. — citée pour les théories particulières d'Aristote sur l'émission du sperme, IV x 33 n. — sur les vertèbres dans l'homme. IV x 35 n. — citée sur la conformation des pieds des solipèdes, IV x 40 n. — citée sur la langue des reptiles ; sur l'organe du goût ; sur les organes des sens chez les quadrupèdes ovipares ; pour une expression sur les poissons, IV xi 2 n. — importance que Cuvier attache à la fonction des mâchoires ; sa théorie sur les conditions d'existence pressentie par Aristote : citée sur les molaires chez les mammifères, IV xi 7 8 n, — explication de l'absence du cou chez les serpents, IV, xi, 11 12 n. — citée sur les palmipèdes et les fissipèdes, IV xii 22 n. — citée sur le bec des oiseaux ; sur le nombre d'os dont est composée leur épaule, IV xii 5 7 n. ANATOMIE comparée de Cuvier, citée sur sa théorie du mouvement, P M 307. — citée sur la nutrition des insectes, M i 2 n. — citée sur le saut des animaux; sur le jeu de leurs flexions, M iii 1 4 n. — citée sur les profondes différences dans la station droite chez les animaux et chez l'homme, M v 4 n. — citée sur la reptation, M vii 6 n. — citée sur le saut des insectes, M viii 3 n. — sur des considérations de mécanique et de statique, M ix 1 n. — citée sur le mouvement des ailes de l'oiseau, M ix 10 n. — citée sur les conditions de locomotion chez les bipèdes ; sur la définition de l'extrémité de la cuisse, M xii 3 5 n. — sur l'allure des chevaux de course, M xiv 2 n. — analyse des principes d'après lesquels Cuvier a construit cette œuvre de génie, où l'on peut retrouver bon nombre des théories d'Aristote, P xciii et suiv. — a été le plus constant labeur du naturaliste français, P CLI. ANATOMIE comparée, partie de la zoologie, sa définition, P CXLVIII. — objet de l'anatomie. de la zoologie descriptive et de la physiologie comparée ; confusion de ces trois sciences dans l'œuvre d'Aristote, P CXLVIII. -- leur ordre respectif. P CLIII. — la première des sciences zoologiques selon Cuvier, P CLI. — sa prééminence sur les deux autres sciences naturelles ; science par laquelle Cuvier inaugurait ses immortels travaux; ses relations avec la zoologie descriptive, P CLI. — anatomie comparée, physiologie comparée, cercle dans lequel se meuvent ces sciences, P CLIII. ANATOMIE comparée de M. Gegenbaur, citée sur les mol-lusques, II viii 6 n. — citée sur la nature des os des poissons et leurs vertèbres, II ix 13 n. — citée sur les organes de l'ouïe, II xi 2 n. — citée sur le seul conduit pour les deux excrétions chez les invertébrés, IV x 31 n. ANATOMIE descriptive de M. Jamain, citée sur quelques os isolés dans l'homme, II ix 1 n. — citée sur la description du diaphragme, III x 4 n. ANATOMIE et physiologie animales de M. Edmond Perrier, citée sur la formation du chyle et l'action des vaisseaux lymphatiques, II iv 6 n. — citée sur la distinction du car-tilage et de l'os, II ix 12 n. ANATOMIE, théories qu'acceptait Aristote, mais que nous ne connaissons pas, II i 10 n. — détails physiologiques, inconnus a Aristote ; leur découverte, II i 15 n. — Aristote ne connaissait pas la distinction des nerfs et des muscles, III iv 16 n. — anatomie des entrailles, assez avancée dès l'époque d'Aristote, III xiv 22 n. — difficulté et délicatesse de l'anatomie et de la physiologie des viscères, II i 17 n. — observations anatomiques sur les veines et leur principe, III iv 9. ANATOMIE actuelle, citée sur cette expression : "Le centre phrénique", III x 1 n. — citée sur la théorie de la sensation, II i 12 n. ANATOMIES, citations des Dessins anatomiques et de l'Histoire naturelle sur la disposition des veines, II iii 10. — ouvrages spéciaux d'Aristote désignés par l'auteur sous ce nom, III v 13 n. — descriptions anatomiques d'Aristote ; regret de leur perte, IV v 16 n. — perte regrettable des nombreux ouvrages consacrés par Aristote à cette étude, IV x 32 n. Voir Aristote et Dessins. ANATOMISTES , utiles emprunts que la plupart ont faits à la mécanique, M ix 1 n. — leur opinion sur le cordon dorsal des insectes, III iv 1 n. ANAXAGORE, allusion à sa théorie de l'intelligence, I i 18 n. — apprécié et admiré par Aristote, I i 30 n. — réfutation de sa théorie sur la maiiide l'homme, II i 9 n. — réfutation de son opinion sur la respiration, III i 9 n. — réfutation de sa théorie sur la bile, IV ii 4. — prétend que l'homme est le plus intelligent des êtres, parce qu'il a des mains ; réfutation de cette théorie, IV x 14. — réfutation d'une de ses théories, IV x 14 n. — réfutation de sa théorie sur la respiration des poissons dans le Traité de la Respiration, IV XIII 10 ANAXAGORE, réfuté par Aristote sur la maiiide l'homme, P LIII. — attribue à l'organisation des mains l'intelligence de l'homme, P ibid. — son erreur relativement à l'organisation de la main, contre laquelle se prononçait Galien avec Aristote. P LXVII. — cité sur sa conception de l'idée de Dieu, P civ. — cité sur sa théorie d'une intelligence dans l'univers, P cxxi. — proclame, le premier entre tous les philosophes, que l'intelligence régit l'univers, P CLXXIII. — cité pour prouver l'action d'une intelligence infinie dans l'univers, P ibid. ANAXIMENE, allusion à sou système, I i 19 n. ANCIENS, rôle de leur principe de la matière dans l'étude de la nature, I i 18. — leur science sur le monde comparée à la nôtre, I v 1 n. — leur ignorance du thermomètre, dif-ficulté pour leurs théories sur la chaleur, II ii 7 n. — observaient avec soiiila température, II ii 9 n. — leur mesure de la chaleur, II ii 12 n. — difficulté qu'ils avaient à déterminer la limite du chaud et du froid, II ix 18 n. — leur système des quatre éléments, à l'aide desquels on essayait d'expliquer la composition de tous les corps, II ii 19 n. — distinction qu ils faisaient des deux espèces de sang, II iv 17 n. — leur connaissance sur la nature de la lymphe, II vii 8 il. — leur théorie des quatre éléments qui entraient dans la composition matérielle des corps, et durée de cette théorie, II vii 12 n. — leur théorie du vide, II x 10 n. — leur ignorance des veinules, III v 9 n. — éléments qu'ils supposaient dans le sang, III v 10 n. — leur thétyon répondant aux ascidies de la zoologie actuelle, IV v 17 n. — leurs divisions des téthies, IV v 30 n. ANDRONICUS DE RHODES, cité pour les œuvres d'Aristote que Varron avait pu connaître, P LIX. — cité sur la place que doit occuper le premier livre du traité des Parties des animaux, D cxcix. ÂNE indien est solipède ; n'a qu'une corne, dit-on, III ii 4. — n'a qu'un estomac, III xiv 4. — n'a pas du tout de fiel, IV ii 2. — position de ses mamelles, IV x 28. ANGUILLES,leurs nageoires; n'ont pas celles du ventre, IV XIII 5. — nature de leurs écailles, IV XIII 14 n. — manière dont elles se meuvent dans l'eau, représentée par une figure, M vii 6. ANIMAL, distinction de l'animal et de la plante, II i 15 n. — distinction de l'animal, de la plante, et du minéral, II v 4 n. — sa définition, II viii 1 et P CLIV. — passage de l'animal à la plante ; difficulté de cette question, s'adresser à l'étude es zoophytes pour la résoudre, IV x 12 n. ANIMAUX, leur caractère ne peut servir à les classifier, I iii 11 n. — application de l'ancienne méthode de division, qui les étudie par genres, I iii 13. — qualités communes à tous ; qualités spéciales à quelques-uns, I v 8. — deux espèces de parties dont ils se composent; fonctions de ces parties, II i 8. — organisation des animaux de tout ordre ; ses diversités innombrables; but qu'y poursuit la nature, II ii 2 n. — principes auxquels la nature de beaucoup d'animaux se rattache, II ii 7. — influence de la composition du sang sur leur intelligence et sur leur naturel, II iv 2. — de leur caractère et de l'influence que peut avoir la composition du sang, II iv 4 5 n. — dureté plus ou moins grande dans leurs os, II îv 8 10. — qui n'ont pas de sang n'ont jamais de graisse ni de suif ; qui ont plus particulièrement du suif et de la graisse, II v 2 3. — gras, veillissent plus vite, et ils sont plus souvent impuissants, II v 5. — observations sur les animaux jeunes par rapport à la moelle, II vi 1. — nature diverse de la moelle dans les animaux ; animaux qui n'en ont pas, II vi 2 3. — ceux qui ont du sang ont un cerveau, II vii 5 6. — leurs différents sens, II viii 2 n. — leur organisation diverse, II viii3 et suiv. — parties qui leur sont les plus indispensables, II x 1. — rapprochement des animaux et des plantes, comme on le comprenait au temps d'Aristote, I x 1 n. — chez lesquels l'intestiiin'est qu'un sac sans issue, et dont les excréments ressortent par la bouche, II x 2 n. — n'ont pas de cils aux deux paupières, II xiv 1. — leurs queues ; leurs crinières ; longueur de la queue en raison inverse de celle des poils qui la garnissent, II xiv 3 4. — compensations qu'établit la prévoyance de la nature dans leur constitution générale, II xiv 4 n. — leurs lèvres ; destinées à protéger les dents, II xvi 11. — disposition de leur langue, II xvii 1. — ils ont tous le désir de la nourriture, II xvii 12. — organisation de leurs dents et de leur bouche, que les dents environnent et qu'elles constituent, III i 1. — trois classes d'animaux qui ont des dents proprement dites, III i 2 n. — qui respirent, III i 9 ni. — cause qui fait que les animaux à plusieurs doigts n'ont pas de cornes, III ii 2. — qui ont deux cornes les ont en raison de ce qu'il y a deux parties dans le corps, gauche et droite, III ii 5. — unicornes, explication de cette anomalie, III ii 5 6. — tels animaux ont une épiglotte, et tels autres n'en ont pas, III ii 7-10. — qui ont des viscères, III iv 1. — position de leur cœur, et nécessité de cette position, III iv 6. — qui ont un cœur; ceux qui n'en ont pas, III iv 11 n. — disposition de leur cœur; animaux dont le cœur a un os, III iv 14 16. — les trois cavités du cœur dans les grands animaux, III iv 17. — influence de leur cœur sur leur caractère, III iv 20. — amphibies qui ont des poumons, III vi 2. — maigres, et feuilles desséchées de certaines plantes ; observation sur leurs veinules, III v 8. — à poumon ont seuls une vessie ; causes de cette organisation, III viii 5. — qui ont une vessie : animaux qui n'en ont pas, III viii 1 n. — à écailles et à carapace n'ont pas de vessie; exception pour les tortues marines et terrestres, III viii 2 3. — dépourvus de reins ou rognon» ; qui ont le poumon sanguiiiont des reins, III ix 1 2. — ceux qui ont du sang ont un diaphragme, III x 1 2. — différences de leurs viscères pour le nombre et pour l'organisation, III XII 1. — animaux sans fiel, III XII 3. — variétés de leur rate selon les espèces, III xii 4. — diversités de leurs estomacs selon les espèces, III xiv 4 5. — à double rangée de dents, nature de leurs estomacs ; les deux différences qu'ils présentent, III xiv 4 16. — à plusieurs estomacs, ont la présure; estomac dans lequel elle se trouve ; cause qui fait qu'ils ont la présure, III xv 1 2. — pourvus de sang, position de leur bile, IV iii 1. — dépourvus de bile, IV ii 1 n.— qui n'ont pas du tout de fiel, IV ii 2. — terrestres ou aquatiques, qui ont du sang ; leur épiploon, IV iii 2. — qui n'ont pas de sang, description de leurs organes d'alimentation, IV v. — différence qu'ils présentent avec les animaux qui out du sang, IV v 1. — inférieurs, leurs rapports avec les plantes, IV v 30. — inférieurs, description de leurs organes d'alimentation et différences que présentent ces organes, IV v 32 36. — exsangues, disposition de leurs pieds, IV ix 1. — qui ont du sang et qui sont vivipares, étude sur leurs parties extérieures, IV x 1. — à pieds fourchus, leur organisation, IV x 10. — exsangues, cause de leur constitution, pareille aux nains, IV x 15. — leurs moyens de se défendre comparés à ceux qu'emploient les hommes, IV x 16 17. — position différente de leurs mamelles, IV x 25. — nature de leurs jambes ; rôle et usages de leurs queues, IV x 37-39. — à pieds fourchus, formant, selon Buffon, une quarantaine d'espèces, IV x 40 n. — qui ont du sang, sont les quadrupèdes ; les autres dépourvus de pieds; étude de leurs parties extérieures et usage de ces parties, IV xi. — organisation et rôle de leurs mâchoires, IV xi 9. — comparaison de leur organisation avec celle des oiseaux, IV xii 2 3. — sorte de gradation au Aristote établit entre eux, IV XIII 1 n. — qui marchent et qui sont saltigrades ; leurs deux modes de locomotion ; condition commune d'un point d'appui pour les uns et pour les autres, M ni 12. — des conditions de leur mouvement; du jeu de leurs flexions, M iii 2 4 n. — le haut dans les animaux et dans les plantes, M iv 1-3 n. — position de leur droite, M iv 9 n. — à deux pieds ; leur haut et leur devant sont déterminés ; direction de leur haut, M v 1 3. — doués d'un mouvement propre; leur genre de locomotion, M vi 3 n. — qui ont du sang, nombre de leurs appa-reils de locomotion ; mouvement le plus marqué chez eux ; différence entre les animaux qui ont du sang et ceux qui n'en ont pas, M vii 1 2. — sans pieds; leur mouvement par quatre appareils, dont on peut retrouver les équivalents dans les flexions, M vii 4. — dont la locomo-tion est encore plus lente que celle des reptiles, M viii 2 n. — leurs pieds sont toujours en nombre pair, M vii 4. — dépourvus de pieds ; façons dont se produisent leurs mouvements, M ix 7. — sans pieds, ce que l'auteur entend par cette appellation ; leur manière de se mouvoir, M ix 7 n. — qui ont plus de quatre pieds; procédé de leur mouve-ment, M xiv 4. — ne peuvent être observés que sous trois aspects, P CXLVII. — rapprochements entre les diverses classes d'animaux selon leur mode de locomotion, P M 274 et suiv. ANNONCE d'études sur les végétaux, II x 2. — du traité de l'Ame, comme suite naturelle du traité de la Marche des Animaux, M xix 3. ANTHROPOLOGIE, science que le xixe siècle se flatte d'avoir inventée, et dont on trouve les premières t. aces dans le livre que Pline a consacré à l'homme, P LXIII. ANTIQUITE, ses théories de chimie, II vii 12 n. — citée sur la découverte de la circulation du sang, III iv 17 n. — se servant des victimes fies sacrifices pour des observations nombreuses, III iv 23 n. — ses connaissances insuffisantes, au temps d'Aristote, sur la distinction des veines et des artères, III v 5 n- — sa théorie sur la respiration, III vi 1 n. — ses études sur la rate, III xii 4 n. — sa théorie des quatre éléments, IV iii 3 n. — ses études sur la physiologie comparée, P LIV et suiv. — citée sur l'histoire de la zoologie descriptive, P CLIV. — sa part dans le domaine de la physiologie comparée, P LXXII. — seul témoignage dans l'Antiquité qui démontre directement l'authenticité du traité des Parties, P D cxciii. — citée sur l'étude de la Marche des Animaux, dont l'initiative lui appartient exclusivement, P M 273. AORTE et la grande veine, explication du trajet de ces veines et de leur position dans les animaux qui ont du sang, III v 2 4. — rapports de l'aorte et de la grande veine, III v 12. - distinction de l'aorte et de la grande veine, III vii 6 7 n. APODES, leur définition. M v 3 n. — sens dans lequel sont le haut et le devant chez ces animaux, M v 1. — leur position moyenne, M v 3 4. APPAREILS locomoteurs, leur minimum, leurs flexions en sens inverses chez l'homme, chez l'oiseau, chez les quadrupèdes vivipares et ovipares, M ii 4. — leur nombre dans les bipèdes, M i 2 n. — leur mouvement diagonal chez les quadrupèdes, M i 5. — pour le mouvement do locomotion chez les animaux : leur nombre, M vii I. APPENDICES intestinaux dans les poissons et dans les oiseaux ; position de ces appendices, III xiv 13 14. ARABE, son catalogue cité sur l'authenticité du traité des Parties des Animaux ; copie la liste d'Hésychius, P D cxci. — son catalogue ne donne que trois livres, au lieu de quatre, au traité des Parties des Animaux, P D cxci. — son catalogue cité sur le traité de la Marche des Animaux, M D 318. ARETE dans les animaux aquatiques renfermant la moelle : nature de cette moelle, II vi 4-5. — des poissons, dont la moelle semble unir les vertèbres, II vi 5 6 n. ARISTOTE a réfuté à l'avance les commentateurs qui veulent déplacer le premier livre des Parties des Animaux, I i 1 n. — son opinion sur la manière d'apprécier un ouvrage d'histoire naturelle, I i 1 n. — preuve de son excellente méthode, I i 4 ii — cas qu'il fait de la méthode des mathématiciens, qui n'est au fond que la sienne. I i 7 n. — distinction qu'il fait toujours des deux nuances du Nécessaire, I i 9 n. — recommande une réforme, I i 13 A. — a tenu compte en histoire naturelle des opinions de ses devanciers, I i 13 n. — cas qu'il faisait d'Empédocle, le philosophe sicilien, I i 15 n. — principe des causes finales, sur lequel il n'a jamais hésité et qu'il a répété sous toutes les formes, I i 29 n. — explication de l'origine des choses, qu'il a toujours combattue : cause de son admiration pour Anaxagore, I i. 30 n. — cite des vers d'Empédocle sur la composition des os, dans le Traité de l'Ame. I i 36 n. — son traité sur la Respiration réfute des théories anté-rieures à la sienne, I i 38 n. — sa critique des classifications tentées avant lui, I ii 3 n. — sa méthode ; proscrit absolument la dichotomie, I iv 7 n. — a cpnsacré des études spéciales à quelques-unes des fonctions communes à tous les animaux, I v 13 n. — la marche qu'il a suivie dans sa zoologie, au début de la science, il y a vingt-deux siècles, est absolument celle de Cuvier, II i 1 n. — revient, sans peut-être en avoir conscience, à la théorie platonicienne des Idées, II i 4 n. — ses vues sur les fonctions et les actes des animaux, II i 8 n. — son admiration pour l'organisation de la maiiide l'homme ; il réfute Anaxagore, II i 9 n. — son erreur sur la matière des viscères et celle du cœur, II i 16 it. — formule qu'il aime à employer souvent, II ii 11 n. — a pressenti la théorie moderne qui, dans la respiration et l'entretien de la vie, voit une combustion, II ii 19 n. — ses théories cosmologiques, II ni 1 n. — formes de son style, II iii 8 n. — a expliqué le premier l'ordre nécessaire dans l'étude de la digestion, II iii 7 n. — ne connaissait pas les vaisseaux chyliferes et lymphatiques, II iii 9 n. — ingénieux procédé auquel il a pensé le premier, II iii 10 n. — exactitude et profondeur de ses observations sur le sang, II iv 3 n. — avait fait de nombreuses expériences sur la composition du sang, II iv 5 n. — a ignoré la formation du chyle et l'action des vaisseaux lymphatiques, II iv 6 n. — son erreur sur le cerveau ; son admiration pour la sagesse la nature, II vii 1 2 n. — ses théories sur l'organisation du cerveau, dans lesquelles on peut trouver comme un reste des théories platoniciennes, II vu, 5 n. — forme de style qui lui est assez habituelle, Il x 1 n. — ses travaux personnels sur la botanique ; son ouvrage sur les Plantes en deux livres, II x 2 . — son admiration pour la nature, II x 14 n. — grand principe qu'il a mis en lumière, II xiv 2 n. — s'excuse d'une digression à propos des cils, II xiv 6. — a été un des premiers à proclamer les privilèges de l'homme, II xvi 11 n. — son grand principe des causes finales qu il a cent fois répété et toujours soutenu, III i 5 n. — forme de style qu'il a employée rarement, III i 6n. — son hommage à la sagesse de la nature, III ii 12 n. — son erreur sur le pharynx, III iii 1 n. — conjecture touchant cette erreur, III iii 12 n. — division qu'il a toujours suivie pour ses descriptions dans l'Histoire des Animaux, III iv 2 n. — ses théories sur la nature du cerveau, III iv 7 n. — son hommage à la sagesse de la nature, III iv 9 n. — son erreur sur l'origine des vaisseaux qui contiennent le sang, III v 2 n. — forme de style qui lui est peu habi-tuelle, III v 7 n. — n'a pas connu la véritable fonction des poumons, III vi 1 n. — contredit son assertion sur la vessie et les reins de la tortue d'eau douce, III ix 2 n. — nouveau témoignage de son admiration pour la sagesse de la nature, III xi 2 n. — son étude remarquable de la rate, bien qu'il ne connaisse pas ses fonctions, III xii 4 n. — son ouvrage spécial sur la Nourriture des animaux n'est pas parvenu jusqu'à nous, III xiv 3 n. — son admiration bien connue pour la sagesse de la nature, III xiv 19 n. — détails prouvant le grand soiiiavec lequel il avait disséqué, III xiv 20 n. — précaution anatomique qu'il recommande souvent et qu'il pratiquait avec soin, III xiv 22 n. — ses travaux anatomiques et détails qui en témoignent, IV ii 3 n. — preuve à l'appui des dissections auxquelles il a dû se livrer, IV ii 4 n. — ne pouvait pas savoir que le foie est alimenté par du sang veineux ; conjecture de quelques commentateurs à ce sujet, IV ii 6 n. — son erreur sur le principe de la sensibilité, IV v 2 n. — a joint d'uue manière systématique des dessins spéciaux a ses descriptions zoologiques, IV v 16 n. — sa théorie de la sensibilité conservée par la science comme un de ses principes fondamentaux, IV v 32 n. — a varié plus dune fois dans sa théorie d'un organe servant à un ou plusieurs usages, IV vi 8 n. — théorie qui lui est chère, et qu'il ne manque jamais de rappeler, IV vii 1 n. — son erreur étrange sur l'ostéologie du cou chez le loup et le lion, IV x 5 n. — a senti profondément la grandeur et le privilège de l'homme, parmi tous les animaux ; son admiration des œuvres de la nature, IV x 13 et suiv. — théorie qu'il a souvent exposée dans ses ouvrages d'histoire naturelle ; dans les autres, il varie sur cette théorie, IV x 24 n. — sorte de gradation qu'il établit entre les animaux, IV XIII 1 n. — importance qu'il attache au nombre des nageoires, IV XIII 7 n. — il réfute, dans le traité de la Respiration, Anaxagore, Démocrite et Diogène d'Appollonie, sur la respiration des poissons, IV XIII 10 n. — sa théorie ordinaire sur la sagesse de la nature, IV XIII 12 n. — a fait, dans tout son traité des Parties des Animaux, de la physiologie comparée, IV xiv 4 n. — sa classification des phoques et des chauves-souris, IV XIII 18 n.
ARISTOTE, ses ouvrages nombreux
de physiologie ; citation de ceux qui nous ont été conservés, P iii.
— leur caractère, P iii. — sa physiologie appuyée sur une anatomie
curieuse et attentive ; ses Descriptions et ses Dessins anatomiques
perdus pour nous, P iv. — sa méthode en histoire naturelle, P v et
suiv. — son premier livre du traité des Parties, cité sur les
rapports de la philosophie et des sciences, P vi. — admirateur
passionné et obser-vateur de la nature, P x. — pages magnifiques que
cette admiration lui inspire, ibid. — cité pour prouver l'action
d'une intelligence infinie dans l'univers ; le premier entre tous
les penseurs ; sa croyance aux causes finales, P x. — proclame qu'il
n'y a pas de hasard dans la nature : expression de son admiration
pour la nature dans les plus belles pages qu'ait inspirées ce sujet
; son enthousiasme égal au Cœli enarrant des Psaumes; placé à côté
de David, P xi. — importance qu'il attache au sang et à sa
température ; son analyse minutieuse de ce liquide, P xv. — réfute
Anaxagore sur la maiiide l'homme, P LiiI. — sa mort prématurée et le
destiiide ses manuscrits expliquent l'irrégularité de la dernière
portion du traité des Parties, P LiiI. — seul a constitué la science
de la physiologie, P LVII. — père de la zoologie, de la physiologie
et de l'ana-tomie ; ses héritiers et ses successeurs dans sa
famille, P LVII et suiv. — services qu'il a rendus à l'histoire
naturelle ; cité sur l'origine de la science, P LVIII. — vénéré à
Alexandrie et à Athènes presque autant qu'il le fut par notre
Moyen-Age, P LIX. ARISTOTE, soiiiqu'il a toujours pris dans ses ouvrages ; méthode qu'il a le premier préconisée ; sa croyance aux causes finales, M I i n. — il a créé la science de l'anatomie comparée, sans avoir créé le mot, M I i ii — père de la méthode d'observation, placée ii la tète de tous ses ouvrages principaux ; sa gloire, M II i n. — ses ouvrages sur les plantes ; a fait faire la botanique par son disciple Théophraste, M IV i n. — son erreur sur un genre de locomotion ; ne connaissait pas les serpents amphisbènes, M vi 3 n. — principe qu'il a toujours professé, sur les traces de Platon et de Socrate, M viii 1 n. — attention avec laquelle il a étudié les diverses phases que présente la marche dans l'homme, M ix 5 n. — sens qu'il prête au mot d'Epaule, M xiii 3 n. — un des défenseurs les plus autorisés de la théorie de l'optimisme, M xv 3 n. — attribue au naturaliste la véritable étude de l'âme, M xix 3 n. ARISTOTE, science que son génie a créée ; honneur qui lui revient, P M 274 et suiv. — ses différentes études sur le mouvement, P M 275. — son ouvrage sur le Mouvement dans les Animaux, P M 276. — et sur la Marche des Animaux, irf., ibid. — se montre dans sa Physique le précurseur de Descartes, de Newton et de Laplace, P M 276. — cité par Claude Perrault, qui n'accorde pas au père de la science toute l'estime qui lui est due, P M 301. — il a frayé le chemiiià la science de "la nature, P M 316. — appréciation de ses labeurs : place qu'il tient dans l'histoire de la science et dans la science elle-même ; son génie ; sa gloire, M D 320. ART, histoire de l'art intéressée à une indication d'Aristote, M XI v n. ARTERE, rôle de la trachée-artère : nécessité de sa position ; réfutation de l'opinion de ceux cjui soutiennent que c'est par 1 artère que l'animal reçoit et avale sa Dois son, III iii 4 et suiv. — sa direction. III iii 12. Voir Trachée-artère. ARTERES, ne sont pas distinguées des veines au temps d'Aristote, III iv 8 n. — principales du mésentère, IV iv 3 n. ARTICULATIONS de la voix se partagent entre la langue et les lèvres, II xvi 13. ARTISTE, sa manière de modeler un animal, comparée à la manière dont la nature le construit, Il ix 6. ASTRONOMIE , progrès qu'elle avait déjà faits au temps d'Aristote, I i 7 n. ATHEISME, sa vogue ; motifs des savants qui y adhèrent, P CLXIX. — sorti du transformisme ; dangers de ces théories pour la science ; objections contre ces doctrines dé-cevantes, P CLXX. — son action sur la science moderne ; ses causes, P CLXXVII. ATHENEE, cité sur l'authenticité du traité des Parties des Animaux ; autre ouvrage qu'il 'désigne en citant souvent le traité des Parties, P D CXCI. — son erreur sur le prétendu Ve livre du traité des Parties des Animaux, D CXCI. ATHLETES qui sautent avec des haltères, preuve de la nécessité d'une base pour le mouvement, M iii 4. ATRABILAIRES, irritabilité des gens atrabilaires, IV ii 2 n. ATTITUOE de l'homme, qui est seul de tous les animaux à l'avoir, IV x 6.— pour se mettre en défense et pour lancer quelque chose, prouvant le commencement du mouvement par la droite, M iv 9. AUBERT et WIMMER (MM.), éditeurs et traducteurs de l'Histoire des Animaux, cités sur la définition du crocodile terrestre, II xvii 7 n. — sur l'identification du mot de carpes, II xvii 11 n.— catalogue de leur édition et traduction de l'Histoire des Animaux, cité sur l'amia. IV ii 1 n. — la table de leur édition de la Génération des Animaux citée sur la nutrition, IV îv 3 n.— leur catalogue cité sur l'identification des teuthies ou teuthides, IV v 6 n. — leur catalogue cité sur l'identilication des crustacés ; sur les héracléotes. IV viii l 3 n. — leur catalogue cité sur le crocodile terrestre des Grecs, IV xi 2 n. — leur catalogue cité sur l'identification du nom de Crex, IV xii 22 n. — sur les grenouilles marines ; sur l'identification du cordyle, IV XIII 2 n. — leur catalogue cité sur l'identification du cordyle et du batos, IV XIII 4 n. — cité pour leur édition de l'Histoire des Animaux, D CCCII. — leur édition et traduction de l'Histoire des Animaux citée pour une interprétation erronée d'un renvoi à un passage, D id.f ibid. — leur catalogue en tête de leur édition et traduction de l'Histoire des Animaux, cité sur l'identification des kestres, M vii 7 n. — sur la classification des batos, M ix 11 n. — leur catalogue cité sur le can-thare, M x 4 n. AUTHENTICITE du traité des Par-tics des Animaux, D CXCI et , suiv. — indubitable du traité de la Génératiou, D CXCVII .— du traité de la Marche des Animaux, M D 318. — du traité de la Marche ou Lo-comotion des Animaux, M D 319. — du traité de la Marche ou Locomotion des Animaux, M D 321. AUTRUCHE (moineau de Libye), conformation de ses pieds, IV xii 22 n. — ses deux natures ; rangée par la zoologie moderne, parmi les échassiers brévipennes ; nature de ses plumes et de ses doigts, sur laquelle Aristote se trompe ; sa course rapide ; appelée struthio-camelus dans la no-menclature actuelle, IV xiv 1 3 n.— ou moineau de Libye, description de sa double organisation, IV xiv 1-4. AUTRUCHES d'Amérique et d'Australie ont trois doigts, IV xiv 2 n. AVERROËS (1120-1198), cité pour les traductions dans lesquelles Albert le Grand a étudié Aristote, P LXXII. — ses travaux en histoire naturelle, P LXXII et suiv. AVICENNE (980-1037), cité pour les traductions dans lesquelles Albert le Grand a étudie Aristote, P LXXII. — ses travaux en histoire naturelle, P LXXII et suiv.
B
BACON, inventeur soi-disant de la méthode d'observation, pratiquée et comprise deux mille ans avant lui, I i 7 n.— gloire que les savants modernes font à tort remonter jusqu'à lui, et qu'ils croient partager, I v 14 n. — précepte qui date de lui soi-disant, mais qui ne peut être contesté au génie grec, P viii.— critique et attaque qu'il a négligées contre la renommée universelle d'Aristote, P D CXCVIII. BAËR (Ernest de), (1827), ses beaux travaux cités pour ce qu'il y a de vrai dans la théorie de la cellule, P CLXIII. — ses travaux sur l'œuf humain, P CLXIII. BALEINE, a un poumon, III vi 2. BALEINES, leur évent ; rôle et dis-position de lèvent dans les cétacés, IV xiii 16 17. BANQUET, de Platon, traduction de M. V. Cousin, cité sur la représentation des Amours auxquels les peintres prêtaient des ailes, M xi 5 n. BARTHEZ, son ouvrage : " Nouvelle Méchanique des mouvements de l'homme et des animaux " , cité sur les différences dans la station droite chez les oiseaux et chez l'homme, M v 4 n. — cité sur la reptation, M vii 6 n. — cité sur le mouvement des ailes de l'oiseau ; passage d'Aristote qu'il cite et qu'il approuve, sur les poissons plats ; explication qu'il donne de la manière de nager de ces poissons, M ix 10 11 n. — cité sur une comparaison qu'emploie Aristote; Barthez n'a pas eu à la lui emprunter, M x 3 n. — célèbre professeur de Montpellier ; son ouvrage " Nouvelle Méchanique des mouvements de l'homme et des animaux "; sa théorie personnelle sur le principe vital ; auteurs qu'il critique pour leur opinion sur les causes du mouvement, P M 302. — son ouvrage sur la Nouvelle méchanique des mouvements de l'homme et des animaux, P M 302 et suiv. — chancelier de l'université de médecine à Montpellier ; origine de son ouvrage ; appréciation de cet ouvrage, P M 302 et suiv. BAS et haut dans l'animal, III x 2. — et haut dans les animaux et dans les plantes ; leur définition ; différence de leur position, M iv 1-3. — haut et milieu, chez les animaux et dans les végétaux, M v 3 4. — corrélation in-time du haut et du bas, de la droite et de la gauche ; il n'y a de part et d'autre qu'un seul et même principe pour les deux, M vi 4 5. — rapport du bas et du haut au principe du mouvement dans animal, M vi 6 n. BASE, nécessité d'une base pour les mouvements de locomotion, M ni 3 4. BASSINET, du foie ; sa définition ; nom qu'il reçoit en se ré-duisant, III ix 3 n. BATOS, poisson peu connu ; son identification, IV xii 4 n. — nombre et position de ses nageoires, IV XIII 4 8. — nature de sa peau, IV xiii 14. — incertitude sur l'identification de ce poisson ; supposé être de la famille des raies, IV xii 8 n. — natation spéciale de ce poisson, M ix 11. — impossibilité presque complète d'identifier ce poisson, M ix 11 ni. BATTEMENT du cœur dans l'homme, et sa cause, III vi 4. BEC des oiseaux, matière analogue aux os ; son emploi ; sa nature, II iv 14 15. — des oiseaux ; différences du bec selon les espèces ; selon les usages auxquels il sert, et selon le secours dont l'animal a besoin, III i 12-15. — description du bec des palmipèdes, III i 14 n. — des oiseaux, organes qu'il remplace chez ces animaux, IV xii 3. BECLARD (M. J.), son traité élémentaire de physiologie humaine, sixième édition, cité sur l'organe du goût, IV xi 4n. — son Traité élémentaire de physiologie humaine, cité sur la droite dans les animaux, M iv 9 n. BEGAIEMENT et BREDOUILLEMENT, venant d'un défaut dans l'organisation de la langue, IV xvii 3. BELIER, longueur de ses intestins, III xiv 18 n. BELL, Charles (1811), ses découvertes sur le fluide nerveux, P xxvi. — ses expé-périences sur la moelle épinière, P xxvi. BELL-PETTIGREW (M. J.), son ouvrage : " la Locomotion chez les animaux ", cité sur le principe des causes finales et de l'optimisme, M ii 2 n. — cité sur le jeu des flexions dans les animaux, M iii 4 n. — analyse de son ouvrage, P M 310 et suiv. — Voir Peltigrew. BELLINI de Florence, élève de Borelli, et chef avec lui de la doctrine iatro-mathématique, P M 294. BELON, son initiative en zoologie descriptive, P LXXXI. BERNARD, Claude, sa découverte de l'élaboration du sucre par le foie, IV ii 6 n. — confesse son ignorance au sujet de la formation de la graisse, P XXIV. -- (1813-1878), sphère dans laquelle il s'est mû ; incertitudes de ses théories ; interprétations auxquelles elles se prêtent ; mérite de ses découvertes ; analyse et critique de ses théories, P cxxiii et suiv. — nature de ses travaux, P cxxiv. — adopte le langage du spiritualisme ; secret qu'il n'a pas livré à ses lecteurs : partisan de la cellule ; distinction qu'il fait dans toutes les fonctions organiques ; son erreur sur l'objet de la psychologie et de la physiologie, P cxxvii. — son erreur relativement à la date de l'étude de la physiologie, P cxxxii. — admiration qu'il a pour Bichat ; adversaires qu'il croit devoir combattre ; son assertion sur l'origine des choses, P cxxxii. — critique Descartes, Leibniz et Cuvier, P cxxxii. — son erreur au sujet des rapports de la philosophie et de la science, P cxxxiv. — critique qu'il adresse à la philosophie ; doctrines auxquelles il incline ; sa croyance ; éclat et influence de ses travaux de physiologie humaine ; sa réputation parmi ses contemporains, P cxxxiv. — son irritation peu sage contre la philosophie, P CLXXXII. — Voir Claude Bernard. BERTRAND de Saint-Germain, son ouvrage sur Descartes, physiologiste, P LXXXIV. — démontre l'influence que les idées physiologiques de Descartes ont exercée au xvii« siècle, P id., ibid. BETES à cornes, leurs estomacs multiples ; sont des ruminants, III xiv 5 7. BICHAT, son génie, P xc. — son anatomie générale, ouvrage durable ; regrets de sa mort prématurée (1802), P ibid. — et Cuvier, cités pour leur détinition de la vie, opposée à celle de Claude-Bernard, P cxxv. — admiration que Claude-Bernard a pour lui. P CXXII. BILE, différence dans sa sécrétion : son rôle dans la digestion, IV ii 1 n. — sa position dans les animaux qui ont du sang, et spécialement dans les poissons et les reptiles ; erreurs sur sa fonction. IV ii 12. — dans l'homme, dans les moutons et les chèvres de Naxos et de Chalcis, IV ii 3. — nature de la bile dans ses rapports avec le* sang, IV ii 5. — sa définition ; théories anciennes sur la corrélation de la bile et de la longévité ; son utilité ; est nécessaire dans tous les animaux, IV ii 7 8. — son action sur la digestion et sur l'organisme entier n'a été bien connue que de notre temps, IV ii 5 n. — sa définition ; son objet, IV ii 7 n. — son organe spécial dans le foie ; sa définition, IV ii 8 n. BIOGRAPHIE universelle de Michaud, citée sur l'appréciation élogieuse que fait Cnvier du traité de physiologie d'Albert de Haller, P Lxxxviii. — art. de Cuvier, citée sur les œuvres de Vicq d'Azyr, P xc. BIOLOGIE, une des questions les plus importantes qu'elle puisse se proposer, II ii 23 n. — nom aussi nouveau que cette science ; ouvrage d'Aristote dans lequel on en aperçoit quelques linéaments, P CLVIII. — ce qu'on entend par ce mot, P CLVIII. BIPEDES, du nombre de leurs appareils de mouvement, M i 2n. — leur haut et leur devant, M v 1 n. — leurs flexions démontrées par des figures graphiques, M xiii 2. BIVALVES, leur organisation : leur ressemblance avec les turbines, IV v 14 15. — position de leur micon et de leur œuf, IV v 18 19. — difficulté à expliquer ce que Aristote appelle leur œuf, IV v 19 n. — et univalves, leur organisation analogue à celle des plantes : position de l'organe qui sert à les nourrir, IV vii 2 3. BLAINVILLE (1829), ses ouvrages cités à côté de ceux de Cuvier, P cvii. BLESSURES au bas ventre, provoquant le rire, III x 6. BLITMENBACH (1794), son ouvrage sur l'anatomie comparée, P xcii. BOA-CONSTRICTOR, nombre de ses vertèbres, dont 252 portant les côtes, IV xi 12 n. BOËRHAAVE, son expression énergique sur les vaisseaux absorbants des viscères, répétée par Cuvier, II iii 9 n. — le premier des médecins et des chimistes de son temps (1668-1738), P LXXXV. — et Albinus, cités pour leur superbe et utile édition des ou-vrages anatomiques de Vésale, P LXXVII. BOEUFS, nécessité de leur manière de paître, II xvi 4. — différence des cornes des bœufs femelles avec celles des taureaux, III i 7. — espèces dont le cœur a un os, III iv 16. — nombre et fonctions des estomacs du bœuf, III xiv 7. BONASES ou bizons, leurs cornes recourbées l'une vers l'autre; leur moyen de défense, III ii 3. BORELLI (1608-1679), sa patrie ; professeur d'anatomie à Pise et à Florence ; mathématicien plus encore que médeciiiet physiologiste ; chef de la doctrine Iatro-mathématique avec son élève, Bellini, de Florence; ouvrage qui a fait sa renommée, et qui est dédié à Christine de Suède, P M 293. — ses travaux sur la locomotion des animaux, P M 294. — a fait abus des mathématiques, P M 296. — critiqué par Barthez: ses erreurs mathématiques réfutées par Varignon et par un grand nombre de mathématiciens, P M 304. BOTANIQUE de Théophraste, disciple d'Aristote. M iv 1 n. BOUCHE, sa fonction ; sa définition ; son travail sur les aliments, II iii 7-9. — et langue des poissons et des crocodiles, ii xvii 7 et suiv. — des mollusques, des crustacés. des testacés, des insectes, II xvii 12 13. — son rôle; ses diverses fonctions; pour la respiration; pour le combat ; pour le langage, III i 9 10. — organisation de la bouche du crocodile, IV xi 10 n. — variétés des formes de la bouche dans les poissons ; de la bouche des dauphins et des sélaciens, IV xiii 12. — et dents des animaux, P XL. BOUDDHISTES de l'extrême Orient ; leurs doctrines citées par rapport à celles du transformisme, P CLXVIII. BOURSE de l'encre chez les seiches, chez les polypes et les calmars, IV v 8 n. BRAHMANES, cités pour les sciences qu'ils ont cultivées, P CLXXXV. BRANCHIES dans les crustacés ; leur position; leur nombre, IV viii 5 n. — des sélaciens ; leur nature ; leur mouvement, IV XIII 9 10 n. — des poissons; leur organisation dans les sélaciens; leur nombre et leur dimension, IV XIII 9-11. — leur nombre et leurs variétés, IV XIII 11. — Aristote ignorait leur véritable usage, IV xiii 17 n. BRAS, leur balancement dans la course, servant de point d'appui dans les mouvements de locomotion, M iii 4. — flexion des bras et des pieds chez l'homme, M xii 5 6. BREDOUILLEMENT, II xvii 3. BRIDGEWATER, traités de ce nom. à la gloire de Dieu, P CLXXIX. BUBALES, leurs moyens de défense, III ii 3. BUCCINS, leur organisation. IV v 14. — leur manière de se mouvoir. M iv 10. BUCCINOÏDES, leur coquille en spirale, IV vii 2 n. BUFFON, son étude spéciale sur la méthode en histoire naturelle, I ii n. — sa distinction entre les animaux sauvages et les animaux domestiques, I iii 12 n. — cité sur le début nécessaire de la science zoologique, I v 11 n. — cité sur la trompe de l'éléphant, II xvi 4 n. — sur le nombre de ses doigts et de ses ongles ; sur les jambes de l'éléphant, II xvi 5 n. — cité sur le principe des causes finales d'Aristote; son étude du cochon et du sanglier, III i 5 n. — cité sur le résultat de la surabondance de graisse dans les moutons, III ix 10 11 n. — et Cuvier, soin avec lequel ils ont étudié la question de la génération, III xiv 3 n. — son Discours sur la nature des oiseaux, cité pour l'appareil qui remplace chez les oiseaux celui de la mastication chez les mammifères, III xiv 9 n. — cité sur le caecum du lièvre, III xv 2 n. — Description de l'homme, citée sur l'étude d'une partie de l'organisation humaine, IV x 36 n. — faisait des orangs la première classe des singes, IV x 38 n. — cité sur les animaux à pieds fourchus, formant, selon lui, une quarantaine d'espèces, IV x 40 n. — Discours sur la nature des oiseaux; ses généralités sur la nature des oiseaux, à comparer avec celles d'Aristote ; son énumération des qualités particulières et distiuctives de l'oiseau, IV xii 1 n. — Discours sur la nature des oiseaux, cité pour la force des muscles des ailes des oiseaux, IV xii 9 n. — cité sur les autruches, dont on a fait un ordre à part sous le nom de Coureurs, IV xiv 3 n. BUFFON n'a pas fait de physiologie, P LXXXV. — ses profondes études sur la génération ; son opinion sur l'anatomie comparée et la physio-logie comparée; service éminent qu'il rend à ces sciences ; beauté et éloquence de son style, P LXXXVI. — cité sur l'histoire de la zoologie descriptive, P LXXXVI. — ses théories sur la terre dépassées par celles de Cuvier, P xciii. — repousse la théorie de l'échelle des êtres, P ci. — son opinion contraire à celle d'Agassiz sur la classification des êtres; méthodes qu'il proscrit par un scrupule de pieuse vénération ; son admiration pour la nature, P cxiii. — ne croit pas aux espèces et aux genres, P cxiii. — son opinion sur la chaîne des êtres, P cxiii. — cité sur la définition de l'histoire naturelle, P CXLVII. — cité pour le conseil qu'il donne à la science, P CLIX. — son admiration pour la nature ; sou opinion sur les causes finales. P CLXXIII. — cité pour prouver l'action d'une intelligence infinie dans l'univers, P CLXXIII. BUFFON, spiritualiste autant que Perrault ; n'a pas consacré une étude spéciale au mouvement; son " Discours sur la nature des animaux " ; sorte de protestation qu'on peut trouver, dans les généralités de cet ouvrage, contre le sensualisme, P M 301. — s'est peu occupé de la loco-motion des animaux, P M 301. — Discours sur la nature des oiseaux, cité sur une assertion analogue à celle d'Aristote se rapportant au vol des oiseaux, M x 7 n. — son admirable étude de l'homme ; sa description de l'homme, M xi 1 n. — son étude sur l'enfance; observations qui lui ont échappé, M xi 2 n. — cité pour des détails sur l'organisation de l'oiseau, M xi 3 n. — et Cuvier, point fort cu-rieux dans l'organisation de l'oiseau dont ils se sont peu occupés M xi 3 n. — partie de l'anatomie de l'éléphant sur laquelle il n'a pas insisté, M xiii 2 n. BUSSEMAKER, son édition d'Oribase, P LXX. BUT, définition de cette expression, dont l'emploi devra être fréquent en histoire naturelle, I v 10.
C
CABANIS, son opinion sur les rapports du physique et du moral dans
les animaux, III v 20 n.
commentateurs contre Aris-tote, I iv 7
n. et I v 14 n. — du Mumus d'Esope contre la disposition des cornes
du tau-reau. III ii 7. — d'Anaxagorc sur la constitution de l'homme
réfutée, IV x 14-16. CROCODILE sa définition ordinaire, II XVII 7 n.
— organisation de sa bouche et de sa langue, qui est soudée à la
mâchoire inférieure, laquelle est, par exception, immobile; sa
manière de vivre, II, xvii 8-11. — conformation de sa langue ; de sa
mâchoire inférieure, II xvii 9 n. — cause
F
FABRICE d'Acquapendente, élève et successeur de Fallopio à Padoue; époque de sa mort, P LXXX. — ses travaux physiologiques, P LXXXI et suiv. — ouvrages dans lesquels se trouve sa physiologie comparée; continue l'étude d'Aristote sur la Marche des Animaux; quarante ans professeur à Padoue ; titres qui le font regarder comme un des pères de la physiologie comparée dans les temps modernes, P LXXXI i. — professeur éminent d'anatomie à l'Université de Padoue; sa mort; son ouvrage important sur la locomotion des animaux; ne cache point à ses élèves ce qu'il doit à Aristote, P M 291. — son étude des deux traités aristotéliques sur le Mouvement et la Marche des Animaux ; titre de son ouvrage, qui reproduit et complète la pensée du philosophe grec. P M 292. FACETTES nombreuses de l'œil des insectes, II xiii 7 n. FACULTES qu'Aristote prête toujours à 1 âme, II vii 4 n. FAITS à observer d'abord dans les choses de la nature, pour en expliquer ensuite la cause et l'origine, II 13. — d'abord les constater en étudiant la nature, et ensuite en expliquer les causes, I v 8. — constatation des faits avant d'en expliquer les causes, II i 1. — attestant la nécessité de quatre appareils chez les animaux pourvus de sang, pour leur mouvement de locomotion, M vii 2. Voir Observation. FALLOPE, cité sur la première des règles qu'a tracées Aristote en histoire naturelle, P vi. — (Falloppio), élève de Vésale. professeur dans plusieurs universités italiennes et à Padoue ; habile anatomiste ; époque de sa mort ; ses études de vivisection ; son horrible aveu ; son silence sur la physiologie comparée et l'anatomie comparée. P LXXIX. — maître et prédécesseur de Fabrice d'Acquapendente. P M 291. FESSES chez l'homme ; cause de leur organisation ; leur nature, IV x 36. FEUILLES desséchées de certai-nes plantes et animaux maigres ; observation sur leurs veinules et leurs nervures, III v 8. FIBRES, leur rôle dans le sang: leur nature, II iv 1. — théorie des libres se rapportant a celle des quatre éléments, II iv 1 n. — effets de la présence ou de l'absence des libres dans le sang, II iv 5. FIBRINE, son rôle; cause prin-cipale de la coagulation du sang, II iv 1 n. — son action sur le sang, II iv 4 n. FIGURE graphique, représentant le mode de progression des serpents et de quelques poissons, M vii 6. — démontrant les quatre espèces de flexions, M xiii 12. — indiquée par Aristote, et que la tradition n'a pas conservée, M XIII 1 n. FIRMIN DIDOT, l'édition des classiques grecs citée sur une négation indispensable, et sur une nuance d expression, M xvii 12 n. FISSIPEDES OU polydactyles; divisions de leur pied, III II 2 n. — nombre et disposition de leurs doigts, IV xii 22. FIXITE dans les espèces présentes; témoignages ancieus à l'appui de cette théorie, P CLXII. FLAMANTS, action des pattes dans le voler de ces oiseaux de grand vol, M x 4. FLEXIONS des doigts chez l'homme, IV x 19-21. — des appareils locomoteurs en sens inverses chez l'homme, chez l'oiseau, et chez les quadrupèdes vivipares et ovipares, M i 3 4. — dans certains animaux, opposées à celles de l'homme, D i 4 et n. — dans les animaux; comparaison de la théorie d'Aristote avec celle de la science moderne, M iii 3 n. — par lesquelles progressent les animaux sans pieds, M vii 4. — combinaison de la flexion et de l'extension dans les mouvements de progression, M ix 1 et suiv. — et extension, des ailes pleines et des ailes divi-sées en plumes, M x 2. —. conditions générales de la flexion qui ne peut avoir lieu sans un point a'inertie, M xii 1. — leurs différences dans l'homme, dans les quadrupèdes et les oiseaux, M xii 2. — du pied et du bras, M xii 5. — des pattes de devant des quadrupèdes, M xii 7 et suiv. — les quatre espèces possibles, démontrées par des figures graphiques ; leur disposition dans les membres, et causes auxquelles tient cette disposition, M xiii 1-4. — des pattes chez les oiseaux, M xv 1. — particulières chez les polypodes privés de sang, M xvi 2. — oblique des pieds chez les crabes, M xvii 1. FLUXIONS, théorie des fluxions d'après Hippocrate ; leur origine, II viii 8 n. FOIE et cœur; se distinguent dès les premiers instants de la naissance, III iv 2. — dans les animaux, le foie ne peut être ni le principe du sang ni le principe de la sensibilité; sa position, III iv 12. — rôle important qu'il remplit dans l'organisme entier de l'ani-mal ; sa grosseur; sa position, III iv 12 n. — et rate; leur organisation; difficulté et incertitude des observations sur ces deux viscères, III vii 1 3. — plus nécessaire que la rate dans les animaux ; rôle de l'un et de l'autre dans la digestion et la coction des aliments, III vii 5 7. — et cœur, sont les deux seuls viscères indispensables dans tous les animaux; leur destination, III vii 8. — difficulté à définir la forme du foie, III vii 1 n. — son rapport avec le reiiidroit, III ix 6 ii. — chez les oiseaux; sa figure; sa position; sa couleur; particulièrement dans l'homme et dans les autres mammifères, III xii 2 n. -- dans les animaux ; variétés de sa couleur; ses fonctions importantes pour la santé, III xii 2 3. — sa fonction propre; son volume dans les poissons, IV ii 1 n. — sa con-stitution dans les animaux; sa douceur et son âcreté ; sa couleur et son goût, IV ii 6. — fonction indispensable que, seul de tous les viscères, il puisse accomplir, IV ii 8. — alimenté pardu sang veineux; détail qu Aristote ne pouvait pas savoir, IV ii 6 n. FONCTIONS communes à étudier plutôt que chaque animal eu particulier, I i 4 et suiv. — de dénomination pareille, qui présentent néanmois une énorme différence sous le rapport de la forme, I i 6. — des parties similaires et non-similaires, dans l'organisation des animaux, II i 8 9. — de la bouche ; première phase de la digestion; fonctions succes-sives des autres viscères, II iii 7 8. — nécessité d'étudier les fonctions plutôt que les espèces, P vi. FORMATION des parties non-similaires, II i 10 11. FORME, rapports de la forme et de la matière, Il i 5. FORME de style assez habituelle à Aristote, II x 1 n. — peu habituelle dans Aristote, III v 7 n. FORMULE d'Aristote pour affir-mer que l'être complet existe avant le germe qu'il produit, et qui doit produire plus tard un être semblable, I i 15 n. — péripatéticienne, II i 5 n. — qu'Aristote aime à employer souvent, opposant la raison à l'observation, la réalité à la théorie, II ii 11 n. — habituelle à Aristote, I v 14 n. — aristotélique : " L'homme engendre l'homme " P CLV. FOURMI, son organisation, I iii11. — cause de son intelligence, II iv 3. — organisation de sa bouche; sa nature, II xvii 12. — ses organes d'ali-mentation, IV v 4. — son organe d'alimentation, IV vi 6. FRAGMENTS de Théophraste, cités pour son étude sur les poissons qui peuvent vivre plus ou moins longtemps hors de l'eau, IV XIII 7 n. FRANTZIUS (M. le Docteur de), cité sur un passage altéré, II x 10 n. — cité pour un chan-gement de leçon qu'il propose, III vi 7 II. — sa remarque sur la vessie et les reins de la tortue d'eau douce, III ix 2 n. — son édition des Parties des Animaux, confond les ascidies avec le thétyon des Anciens (téthyon); sa note citée sur les corpuscules noirs, IV v 17 n. — trouve la théorie du passage de l'animal à la plante une des plus importantes de toute la science, IV x 12 n. — cité sur un passage altéré, IV x 24 n — pense qu'il y a quelque erreur au sujet de la queue de la torpille; cité sur la grenouille marine d'Aristote, IV XIII 2 ii ; — son opinion sur une application au têtard des grenouilles, IV xiii 4 n. — son édit. et trad. du traité des Parties des Animaux (1853); soutient les arguments en faveur du déplacement du premier livre de cet ouvrage; ordre dans lequel le savant éditeur place les livres de ce traité, D cciii. FROID, sa nature spéciale; il n'est pas une simple privation; son action, II ii 18 19. — et chaud, én puissance ou en réalité, II ii 21 22. FROIDEUR et humidité du cer-veau, II vii 14 15. Voir Cerveau.
G
GALIEN, cité sur l'a première des règles qu'a tracées Aristote en histoire naturelle, P vi. — et Celse, illustres médecins qu'ils citent souvent, P LVIII. — sa science exclusivement médicale ne s1 attachant qu'à la physiologie humaine; empereurs desquels il a été médeciii; incertitude sur la date de sa mort; sa patrie ; ses voyages ; ses relations, PLXV — ses nombreux ouvrages; analyse d'une de ses œuvres qui reproduit l'ouvrage d'Aristote, en ce qui concerne la physiologie hu-maine; ses sentiments et ses idées tout aristotéliques; ses rapprochements et ses diver-gences avec Aristote, P LXVI. — cité sur l'anatomie; emprunte ses théories pour sou raité de l'Usage des Parties à celles d'Aristote, P LXVII. — son silence sur la physiologie comparée; son goût pour les théories subtiles ; question qu'il traite dans son ouvrage sur la méthode thérapeutique; sa critique contre la méthode de Platon et d'Aristote, P LXVIII. — son témoignage à l'appui de l'authenticité du traité des Parties des Animaux; son traité " de usu partium " sorti tout entier de celui d'Aristote; comparaison de ces deux ouvrages; son génie profite des découvertes anatomiques de l'école alexandrine; son admiration pour les travaux d'Érasistrate et d'Hérophile, D CXCII. — ses emprunts au traité des Parties des Animaux, D CXCII. — emprunt qu'il fait à Aristote sur la constitution merveilleuse de la maiii; sa réfutation des théories aristotéliques, D CXCIII. — son témoignage démontrant directement que le traité des Parties est authentique, D CXCIV. GALLINACES, leur port; leur vol; leur nourriture, IV xii 12 n. — leur marche, IV xii 14 n. GANT que revêtaient les mé-decins, dès le temps d'Hip-pocrate, pour certains pansements ou certaines opérations, IV ix 10 n. GASSENDI, critiqué par Barthez pour son opinion sur les causes du mouvement, P M 304. GAUCHE, distinction de la gauche et de la droite; ces parties sont plus ou moins apparentes, selon que l'animal a des organes plus spéciaux et plus distincts, M iv 5 6. — preuves d'une gauche et d'une droite, M iv 7 9 et n. Voir Droite. GEGENBAUR, son manuel d'Anatomie comparée, cité sur la méthode à suivre en histoire naturelle, I iv5 n. — cité sur Tétude de la moelle épinière, II vi 1 n — cité sur les mollusques, II viii 6 n. — cité sur la nature des os des poissons et leurs vertèbres, II ix 13 ii. — cité sur les organes de l'ouïe, II xi 2 c. — cité sur le seul conduit pour les deux excrétions chez les invertébrés, IV x 31 n. GENERALITES présentées par Aristote sur les oiseaux, à comparer avec celles qu'ont présentées Buffon et Cuvier, V xii 1 n. GENERATION, ses rapports avec la substance, II i 4. GENERATION des animaux, ordre et sujet de cet ouvrage d'Aristote, II i 1 n. — cité sur la nourriture des êtres, II iii 12. — cité sur des matières dont l'une est le principe de la génération et dont l'autre est faite pour elle, II vii 16. — cité sur le sperme et le lait, II vii 16 n. — cité sur la Libye, II ix 8 n. — cité sur le sperme et sur le lait, II îx 17 n. — cité à propos d'un traité sur la croissance et la nutrition, III v 6 n. — cité sur les parties déterminées dans les animaux qui ont du sang, IV iv 4. — son objet ; le chef-d'œuvre zoologique d'Aristote, IV iv 4 n. — cité sur l'étude du sperme et de son action ; désigné par l'auteur, IV x 31 32 n. — cité sur l'étude de l'organisation intérieure chez l'homme, et sur les organes sexuels, IV x 32. — cité sur l'analogie de l'œuf et du lait, IV xi 14. — cité sur l'absence de nombril chez les oiseaux; sur la position de leurs testicules, IV xii 10 23. — traité indiqué par l'auteur, IV xii 23 n. — cité pour une même observation faite dans l'Histoire des Animaux sur la vessie de la tortue, IV xiii 15 n. — ouvrage dont la profondeur n'a guère été surpassée, IV xiv 4 n. — place que ce traité occupe dans le système zoologique d'Aristote, P ii. — son authenticité indubitable, D cxcvi. — citations qu'en fait le traité des Parties, D cxcvi. — allusion que fait ce traité et qui compte pour une citation explicite du traité des Parties, D cxvii. — suite et complément régulier du traité des Parties, M xix 3 n. Voir Aristote. GENIE de la Grèce, comparé au génie moderne relativement au début de la science, P LXXI et suiv. GENRES, leur constitution; leur séparation ; leur classification, I iv 2 6. GENS atrabilaires; leur irritabilité, IV ii 2 n. GEOFFROY Saint-Hilaire (18181, Etienne, ses ouvrages cités à côté de ceux de Cuvier, P cvii. GERME, double sens dans lequel il faut le considérer, I 1 32 et n. GERVAIS (M. P.), sa zoologie, citée sur les yeux des insec-tes, II xiii 7 n. — citée sur la partie de la langue qui donne plus particulièrement la sensation delà saveur, IV xi 3 n. GESIER des oiseaux; sa fonction, III xiv 8 11. — sa description, III xiv 9-11 n. — des mollusques, pareil à celui des oiseaux ; motif de cette organisation, IV v 6 7. — des céphalopodes, comparé a celui d'un oiseau, IV v 6 n. GIBBONS, leur conformation, IV x 38 ii. GIRAFE, son allure spéciale, M xiv 2 ii. GLANDES particulières qui produisent le liquide dont la sueur est composée ; leur ré-partition; leur organisation, III v 9 n. GLOUTONNERIE des poissons, III xiv 15. GOUVERNAIL, comparaison de son action sur les bateaux avec celle de la queue des oiseaux sur leur vol, M x 3-4. GRADATION qu Aristote établit entre les animaux, IV xiii 1 n. GRAISSE et suif; leurs rapports avec le sang; utilité et danger de ces matières dans l'or-ganisation animale, II v 1 4. — son rôle dans l'organisme général des animaux, II v 1 ii. — des reins, qui en ont plus que les autres viscères ; sa formation ; est le rempart des reins, III ix 7-9. — et suif; leur rôle dans les animaux, III ix 7-9 n. — du rein et influence qu Aristote y attribue, III ix 7 ii ; III ix 10 n. — théorie d'Aristote sur la graisse; théorie de la science actuelle ; sa différence du suif, P xx. — analyse de la graisse par Aristote, qui la distingue du suif, P xx. — analysée par la chimie actuelle, P xxi. — erreur de quelques naturalistes sur la confection de la graisse dans les animaux, P xxiii. — ignorance sur sa formation, P xxiv. GREC, époque de la décadence du génie grec, P LXX. GRECE, on y mangeait des escargots, comme on en mange chez nous, IV v 13 n. GRECE au temps d'Alexandre; source d'où est sortie la science, P LIV. — nouvel hommage à la Grèce; germes qu'elleavait enfantés et qu'elle léguait au monde, dans le champ de la physiologie comparée, P LXXI. — services qu'elle a rendus en physiologie à l'esprit humain, ibid. — son influence sur l'intelligence moderne, ibid. — citée sur les sciences que comprend la philosophie a son début, P CLXXXIV. — mère de la philosophie et des sciences, P CLXXXV. — gloire qui lui re-vient à elle seule, M ii 1 ii. GRECS, l'animal qu'ils appelaient le crocodile de terre défini, en opposition au cro-codile d'eau, IV xi 2 n. GRENOUILLES marines, leur conformation; leur queue, IV xiii 2. — position de leurs nageoires, IV xiii 8. — développement du têtard, IV xiii 4 ii.. GUENONS, leur conformation, IV x 38 n. GUËPES, position de leur dard; leur nature, IV vi 6. — direction de leur vol, M x 4.
H
HALICARNASSE, ville principale de la Carie, sur le bord de la mer en face de l'île de Cos, patrie d'Hérodote, III x 7 n HALLER (Albert de), cité sur la première des règles qu'a tracées Aristote en histoire naturelie, P vi. — (1708-1777), anatomiste, botaniste, poète, savant presque universel ; son grand traité de physiologie; seconde édition de cet ouvrage ; appréciation élogieuse qu'en fait Cuvier, P LXXXVII. — son traité de physiologie humaine, P LXXXVII et suiv. — nomenclature des matières qu'il traite et qui sont celles d'Aristote ; n'apprécie pas assez le naturaliste grec ; sa physiologie comparée; partage l'admiration d'Aristote pour la nature ; sa prodigieuse activité, P LXXXVIII. — ses écrits un siècle avant Claude Bernard ; ses découvertes ; respect que mérite son nom, P CXXXII. — critiqué par Barthez pour son opinion sur les causes du mouvement, P M 304. HANCHE chez les oiseaux; sa conformation, IV xii 19 20. — des oiseaux, qui fait comme une double cuisse, M xi 3 4. HANNETONS, nombre de leurs ailes; leur nature. IV vi 2 .— leur classification ; nombre de leurs pattes et de leurs ailes; forment le premier ordre des insectes, I\ vi 2 n. — direction de leur vol, M x 4. HARVEY, cité sur la première des règles qu'a tracées Aris-tote en histoire naturelle, P vi. — (1578-1658), médeciiide Jacques IER et de Charles IER; sa découverte de la circulation du sang; sa physiologie comparée; son admi-ration pour Aristote ; perte de sou opuscule sur la locomotion des animaux, P LXXXIII. — ses expériences ingénieuses et décisives sur la circu-lation du sang, P LXXXIII et suiv. — ses travaux physiologiques, ibid. — sa belle découverte de la circulation du sang, II iii 3 n. — ses travaux sur la circulation du sang, III iv 8 n. — sa découverte de la circulation du sang, III iv 17 n. — sa découverte de la circulation du sang, III vi 1 n. HAUT et bas dans l'animal, III x 2. — et bas, dans les animaux et dans les plantes ; leur définition; ce qui les constitue; différence de leur position, M iv 1-3. — haut dans l'animal et haut dans la plante, M iv 1-3 n. — et devant, chez les bipèdes, Mv 1 ni. — coïncidence du haut et du bas dans l'homme avec le haut et le bas de l'univers, M iv 2n; M v 3 n. — et devant, dans les animaux à deux pieds, dans les quadrupèdes, les polypo-des et les apodes, M v 1. — milieu et bas, chez les animaux et dans les végétaux ; leur disposition, M v 3 4. — et bas; leur corrélation intime pareille à celle de la droite et de la gauche ; il n'y a de part et d'autre qu'un seul et même principe pour les deux, M vi 4 5. — rapport du haut et du bas au principe initial du mouvement, M vi 6 n. HEITZ. son ouvrage sur les écrits perdus d'Aristote, D CXCI. — constate qu'Athénée en citant souvent un traité des Parties veut désigner un autre ouvrage, D ibid. HEMOPTYSIES, III v 11 HEMORRHOÏDES, III v 11. HEMYDE OU EMYDE, identification de ce reptile dans la classification moderne, II viii 5 n. — n'a ni vessie ni reins ; cause qui fait que cette tortue n'a ni l'un ni l'autre de ces deux organes, III ix 2. HENRI Etienne, son Thésaurus linguae graecte, cité à l'appui de l'emploi du mot de Ptile, M xv 4 n. HERACLEOTES, leurs pieds ; nature de leurs pattes, IV viii 3 4. — identification de ces crustacés ; origine de leur nom, IV viii 3 n. HERACLITE, son mot sublime sur l'omniprésence des dieux, I v 5. — importance que son école donnait à l'élément du feu, II vii 4 n. — cité pour son mot sublime: Dieu est partout dans l'univers, P X. — ses systèmes sur le flux universel des choses et la mobilité de tout ce qui est, comparés au transformisme contemporain, qui les dépasse, P CLXVII. HERISSON de mer, propriété toute spéciale qu'il possède parmi les crustacés, IV v 15. — son organisation singulière; ses cinq dents et ses œufs ; sa micon ; sa forme ; le nombre de ses œufs est nécessairement impair ; ses cinq estomacs; emploi de ses piquants, IV v 17-25. — organisation des hérissons de mer; leur partie mangeable; leurs prétendus œufs, IV v 17 18 n. — forme sphérique du hérisson de» mor, IV v 21. — de mer, situation de leurs cinq ovaires; leurs cinq dents; n'ont pas cinq estomacs; composition de leur corps, IV v 21 n. — leur forme. IV vii 2. HERODOTE, sa patrie, III x 7 n. HERON, description de son gésier, III xiv 11 n. —action des pattes dans le vol de cet oiseau de grand vol, M x 4. HEROOPHILE, contemporaiiide Théophraste et d'Erasistrate, illustre médecin; ses découvertes dans la pathologie et la physiologie de l'homme; la physiologie générale lui échappe, P LVIII et suiv. — cité par Galien relativement à l'école Alexandrine, P LVIII. — grand anatomiste ; sa pra-tique de la vivisection dans l'école Alexandrine, P LXXIX. — admiration que ses travaux inspiraient à Galien, D CXCIII. HESYCHIUS indique trois livres au lieu de quatre pour le traité des Parties des Animaux, D CXCI. — son catalogue cité sur l'authenticité des Parties des Animaux; nombre des livres donnés par lui à cet ouvrage, ibid. — ne cite pas le traité de la Marche des Animaux, D M 318. HINDOU, l'esprit hindou cité pour la seule science qu'il ait comprise et cultivée, P CLXXXV. HIPPOCRATE, sa description de la consomption dorsale, II vi 1 n. — son traité des Lieux dans l'homme, édit. et trad. Littré, cité sur la théorie des fluxions, II vii 8 n. — cité sur l'attention que de son temps la médecine donnait déjà aux affections de la rate, III xii 4 n. — cité sur l'intestiiigréle et le gros intestin, qu'il parait avoir distingués, III xiv 22 n. — édit. et trad. E. Littré. traité de l'Officine du médecin, cité sur la difficulté de savoir de quel instrument de chirurgie Aristote veut parler, IV ix 10 n. — cité sur l'origine de la science, P CXLII. — perfection de ses observations, P ibid. HISTOIRE naturelle, méthode à suivre dans cette science, I i 3. — distinction qu'elle peut faire entre les animaux sau-vages et les animaux domes-tiques, I iii 12 n. — méthode qu'elle doit adopter, I iii 13 et n. — méthode à suivre dans cette étude, I v 5 8. — naturelle d'Aristote et Dessins anatomiques sur la disposition des veines, II iii 10. — de la nature, M i 6. — ouvrage qu'Aristotc entend désigner par là, M i 6 n. — citation qu'en fait le traité de la Marche des Animaux; ouvrage désigné par cette appellation, qui est peut-être unique dans toutes les œuvres d'Aristote, D M 319. HISTOIRE naturelle, sa longue immobilité au point où le génie d'Aristote l'avait conduite, P LXXI. — nécessité qui s'impose à cette science, P CXLIV. — sa définition ; signification de cette expression, P CXLV. — emploi de cette expression; Son sens vrai et ses limites, P CLXV. — sciences qui la dépassent, P CLXXXI. HISTOIRE des Animaux, déclaration d'Aristote sur l'ordre des traités qui font suite à cet ouvrage I i n. — citée sur une formule fréquemment employée par Aristote, pour affirmer que l'être complet existe avant le germe qu'il produit, et qui doit donner plus tard un être semblable, l I 15 n. — citée sur l'expression de parties similaires, I i 20 ii — citée sur la locomotion de l'homme, I i 28 n. — citée sur l'analogie dans les organes des animaux, I v 8 n. — citée sur le mot de Membres, I v 13 n. — citée sur les parties qui composent chaque animal, II 1 1. — sa place, selon la pensée de l'auteur, et selon l'ordre logique; sujet dont elle traite, II i 1 n. — citée sur les parties similaires et les par-ties non-similaires, II i 3 n. — citée sur les parties simi-laires, II i 7 10 16 n. — sur le principe des veines, II i 17 n. — citée sur les parties similaires, II ii 1 n. — sur un exemple, II ii 2 n. — allusion à cet ouvrage par l'auteur lui-même, II iii 10 n. — citée sur la longue étude des abeilles, II iv 3 n. — citée sur les os du lion, II vi 3 n. — sur la nature du cerveau; sur sa sensibilité, II vii 2 3 n,. — sur le nombre 'des méninges, II vii 7 n. — citée sur les maladies des animaux, II vii 9 n. — sur une théorie du cerveau de l'homme; sur la station droite de l'homme; sur la fontanelle, II vii 13 14 n. — citée sur la théorie du cœur, II ix 4 n. — sur la Libye, II ix 8 n. — citée pour des détails analogues sur les os du lion; du dauphin; sur les sélaciens, II ix 9 11 n. — citée sur l'organisation des dents; sur la distinction des parties similaires et des parties non-similaires; sur l'étude particulière du lait, II ix 14-17 n. — citée sur la division des parties essentielles à l'animal, II x 1 2 n. — citée sur la méthode à suivre en histoire naturelle ; sur la station de l'homme, II x 3 4 n. — citée sur le sang et les excrétions en général, II x 5 n. — citée sur la nature de la tête, II x 9 n. — sur la position de l'ouïe, II x 11 n. — citée pour la description du phoque, II xii 1 n. — était sous les yeux de Cicéron quand il écrivait les admirables pages de son traité de Naturà Deorum, III xv 1 n. — citée pour les mêmes détails et les mêmes expressions, dans la description du nez de l'éléphant. II XVI 2 n. — citée sur la voix des oiseaux, II xvii, 5. — citée sur la voix des animaux, II xvii 5 n. — citée sur le sens du goût chez les poissons; sur les crocodiles de rivière, II xvii 7 n. — citée sur les pourpres ; sur les aiguillons des insectes, II xvii 13 n. — citée sur cette expression : Les dents en scie ; observations analogues sur les dents, III i 4 5 n. -- citée sur le scare; sur les fonctions de la bouche, III i 8-10 n. — citée sur le bec des oiseaux de proie ; sur les grimpeurs et les pics, III i 12 n. — citée sur les cornes des quadrupèdes, III ii 1 n. — sur le lion ; sur l'àne indien, III ii 3 4 n; sur l'oryx, III ii 5 n. — citée sur le sang et ses fonctions diverses ; pour les théories d'Aristote sur le système veineux dans l'homme; sur la description du cœur et sa position, III iv 3 5 ii — citée sur l'homme pris pour type; sur le système des veines de Syennésis de Chypre, III iv 6 7 n. — sur les théories du cœur, III iv 8 n. — citée sur l'étude du cœur, III iv 13 n. — sur la diflérence de position du cœur chez les poissons, III iv 15 n. — citée sur la description du ca»ur, III iv 17 n. — sur une erreur concernant la communication du foie avec le poumon, III iv 23 n. — citée pour les théories anatomiques d'Aristote concernant le système veineux; pour sa réfutation des théories de ses devanciers sur le système vasculaire, et ses idées personnelles sur le même sujet, III v 1 2 n. — citée sur les animaux d'une excessive maigreur, II v 6 8 n. — et Anatomies, citées sur la méthode suivie pour les veines et le cœur, III v 13. — citée sur le système veineux tel qu*Aristote le comprend, III v 13 n. — citée sur le changement d'opinion d'Aristote concernant l'organisation du poumon, III vi 8 n. — citée sur les reins, III vii 7 n; III ix 1 n. — citée sur l'élaboration de l'urine; sur la position des reins, III ix 5 6 n. — sur l'étude de la graisse et du suif, III ix 7 10 n. — citée sur les animaux qui n'ont pas de sang, III x 8 n. — citée sur l'étude de la rate, III xii 4 n. — sur les estomacs des ruminants, III xiv 5 n. — allusion qu'y fait l'auteur, III xiv 8 n. — et Dessins anatomiques, cités sur la position respective et les formes diverses des estomacs des ruminants, III xiv 8. — citée sur les dents du scare, III xiv 12 n. — citée sur la comparaison des oiseaux et poissons, III xiv 13 n. — citée sur une théorie des deux types d'estomac, III xiv 16 n. — citée sur le mot grec de Archos, III xiv 19 n. — sur les estomacs des ruminants, III xv 1 n. — citée sur le rapport entre les serpents et les lézards; sur la ressemblance des serpents et des poissons, IV i 1 2 n. — sur les viscères, IV i 6 n. — citée sur les moutons et les chèvres de Naxos et de Chalcis, IV ii 3 n. — sur l'âge des chevaux; sur les cerfs et leur longévité, IV ii 1 n. — citée sur l'épiploon et sa place, IV iii 1 n. — citée sur les mollusques et les crustacés en général, IV viii. — sur l'étude approfondie de l'abeille; sur les mouches et les fourmis, IV v 4 n. — sur le limaçon, IV v 5 n. — citée sur la seiche et son encre; sur les crustacés ; sur l'organisation entière des testacés, IV v 8 et suiv. n. — et Descriptions anatomiques, citées sur la constitution des crustacés, des testacés et des mollusques, IV v 16. — citée sur les lépades et le hérisson de mer ; sur des différences d'organisation; sur les téthves qu'Aristote rapproche du hérisson de mer, IV v 15-17 n. — répète les mêmes détails donnés presque mot pour mot sur les hérissons de mer, IV v 20 n. — citée sur les œufs des oursins ; désignée pour l'étude des éponges. IV v 24 26 n. — sur la enide ou aca-lèphe, IV v 30 n. —citée sur la mytis des mollusques ; sur les crustacés, IV V 32 n. —sur l'étude des insectes; sur l'étude particulière de la cigale; sur les éphémères, IV v 35 37 n. — Dissertation sur la composition de l'histoire des animaux, citée sur le désordre dans la liiidu quatrième livre, IV v 38 n. — citée pour l'étude générale sur les insectes, IV vi 1 n. — sur les canthares ; sur les dents et la langue des insectes, IV vi 3 5 n. — citée sur les scorpions, IV vi 6 n. — citée sur l'étymologie du mot grec de Saut, chez les insectes, IV v. 10 n. — sur le genre «les solèues, IV vii 2 n. — sur le mouvement des crustacés, IV vii 1 n. — citée sur les Héracléotes; sur l'organisation du homard ; sur la comparaison de la femelle et du maie de la langouste ; sur l'élude «les dents en général, IV viii 3 et suiv. n. — et Descriptions anatomiques, citées sur les crustacés, IV viii8 n. — citée sur l'organisation des mollusques, IV ix 1 n. — et ouvrages d'anatomie, à propos des organes sexuels, IV x 32. — citée pour une étude annoncée sur les parties de l'animal ; pour le cerveau, IV x 1 et suiv. n. — citée sur l'erreur étrange d'Aristote concernant l'ostéologie du cou chez le loup et le lion, IV x 5 n. — citée sur la poitrine, IV x 23 n. - citée sur les mamelles de divers animaux ; sur la conformation des pieds de l'éléphant, IV x 25 26 n. — allusion qui y est faite par l'auteur, IV x 32 n. — citée pour les théories particulières d'Aristote sur l'émission du sperme, IV x 33 n. — sur la manière dont urinent les qua-drupèdes, IV x 34 n. — citée sur la conformation de l'homme, IV x 35 n. — sur la nature des jambes chez les quadrupèdes; sur le singe; sur les queues des animaux; sur le rôle de l'osselet, IV x 37 et suiv. n. — sur les ongles; sur les mains, IV x 44 n. — son but est purement descriptif et différent du traité des Parties, IV xi 1 n. — citée sur la langue du crocodile; sur la langue des poissons, des ser-ents, des phoques ; sur la signification d'un mot du texte; sur le sens du mot " Dents carnassières », IV xi 2 et suiv. n. — citée sur la synonymie douteuse du mot de carapaces; sur la paupière supérieure des crocodiles de rivière; sur les oiseaux; sur une erreur énoncée concernant les pieds du crocodile ; pour la longue étude sur les dents. IV xi 6 n. — citée sur l'étude du cou ; sur les fonctions des mamelles ; sur la nourriture analogue au lait; sur les différents modes de flexion dans les animaux; sur leurs queues ; sur le chamé-léon, IV xi 11-15 n. — citée sur les ailes de l'oiseau; sur l'organe du bec ; sur la répartition des sens chez les animaux en général; sur le cou des animaux, IV xii 2 3 n. — citée sur les flexions dans les membres des animaux ; sur l'organisation de l'œuf; sur les ergots des oiseaux; sur la conformation de sa hanche, IV xii 7 et suiv. n. — citée sur la crex ; sur la conformation singulière des pieds du torcol ; sur les testicules intérieurs des oiseaux, IV xii 22 23 n. — citée sur la queue des trygons; sur les grenouilles marines, IV xiii 1 2 n. — citée sur le cordyle ; sur le batos et le trygon ; sur l'anguille et le congre; sur la traduction du mot de kestres, IV XIII 4 5 n. — citée sur le nombre des nageoires chez l'anguille, IV XIII 7 n. — citée sur la grenouille marine ; po-ur son étude générale sur les poissons comparés aux autres animaux, IV xiii 8 9 n. — et Descriptions anatomiques, citées sur le nombre et la dimension des branchies des poissons, IV xiii 11. — citée pour une même observation sur le mouvement des poissons, IV XIII 12 n. — citée pour des répétitions sur les testicules des poissons ; sur la vessie de la tortue ; pour les généralités sur les poissons ; sur la respiration du dauphiii; renvoi qu'Aristotc fait à cet ouvrage, dans son traité de la Respiration, sur le mécanisme de la respiration chez les cétacés à évent. IV xii 15 17 n. — citée sur les rapports du phoque et de la chauve-souris, IV xiii 18 n. — citée sur le nombre con-sidérable d'œufs du moineau de Libye, ou autruche, IV xiv 3 n. HISTOIRE des Animaux, son début et note cités sur la question de la méthode, M i 1 n. — sujet de cet ouvrage, M i iii. — citée sur la locomotion des animaux, M i 5 n. — désignée par l'auteur, qui en rappelle le caractère général, M i 6 n. — citée sur le principe dont il faut toujours tenir compte en histoire naturelle ; sur les distinctions des différentes dimensions de la grandeur ou de l'espace, M ii 2 n. — citée sur le haut et le bas dans l'homme, coïncidant avec le haut et le bas de l'univers, M iv 2 n. — sur le sens de l'expression : le Tout, M iv 3 n. — théorie qui y est exposée sur le mouvement, citée sur la singulière expression de « les Entrailles de terre », M iv 5 6 n. — citée sur les turbines, M iv 10 n. — l'auteur semble se référer à cet ouvrage en parlant des turbines et des crustacés, M v 3 n. — citée sur des observations se rapportant aux insectes qui n'ont pas de sang, M vii 2 n. — citée pour des détails sur les murènes ; sur le lac de Siphées, M vii 7 n. — citée sur la manière de nager des poissons plats; sur le batos, M ix 11 n. — citée sur lecanthare; sur l'identification du porphyrion, M x 4 n. — citée sur les langoustes ; sur les psettes, M xvu 1 3 n. — sur la nature des pinces des crabes, M xix 2 n. HISTOIRE des Animaux, place qu'elle occupe dans le sys-tème zoologique d'Aristote, P ii. — citée sur la distinction des parties similaires et des parties non-similaires, P xi et suiv. — citée sur l'étude des parties complexes et non homogènes, P XI et XXIV. — cet ouvrage n'a pas eu de pré-cédent, P LIV. — mention que fait Cicéron d'un passage de cet ouvrage sur les grues, P LX. — emprunts et citations que fait Pline de cet ouvrage, P LXI. — citations qu'en fait le traité des Parties; ouvrage connexe au traité des Des-criptions et Dessins anatomiques, D CXCIV. — authenticité de cet ouvrage, D CXCIC. — lacune qu'on suppose dans cet ouvrage ; sorte d'introduction qu'on veut lui prêter; plan qu Aristote s'y trace, D CC. — édit. et trad. de MM. Aubert et Wimmer, interpré-tation erronée d'un renvoi d'un passage, D CCII. — et trailé des Parties, différence entre les sujets de ces deux ouvrages, D CCIII. — citée pour la durée de l'interruption de cette étude, P M 291. Voir Aristote. HISTOIRE des plantes de Théophraste citée sur l'épipètre et sa propriété particulière. IV v 28 n. HOLOTHURIES, leur différence avec les éponges ; vie de ces êtres qui n'ont aucun des cinq sens, IV v 27. — leur orga-nisation compliquée, IV v 27 n. HOMARDS, leur organisation; explication au sujet de leur mutilation, IV viii 5 7 n. HOMMAGE d'Aristote» à la sagesse de la nature. III ii 12 ii ; III iv 9 n, et passim. Voir Aristote. HOMERE, cité sur une téte parlant encore en roulant aans la poussière, III x 6. — interprétation erronée d'un de ses vers traitant d'une tête d'homme parlant encore au moment où il reçoit le coup mortel ; variante dans le texte d'Homère au temps d'Aristote, III x 6 n. HOMME, entre tous les animaux a le cerveau le plus considérable; cause de sa station droite, II vii 13. — raison de sa station droite, II vii 13 n. — privilège de l'homme ; sa supériorité sur le reste des êtres; sa station droite; organisation de sa téte qui n'est pas charnue; erreurs à ce sujet, II x 3 4 9. — sa supériorité sur le reste des êtres. II x 4. — sa vue; appareils qui la protègent, II xiii 1. — jeu de ses paupières, II xiii 2. — est le seul animal à avoir des cils aux deux paupières, II xiv 2. — raisons qui font que sa tête est couverte de poils, II xiv 5. — rapports que la conformation de l'oiseau peut avoir avec la sienne, II xvi 10 n. — organisation particulière de ses lèvres destinées à deux lins; nature, usage et fonctions de sa langue; mollesse de ses chairs, II xvi 11-14. — double usage de sa langue; son organisation ; bégaiement et bredouillement, II xvii 2 3. — organisation de ses dents ; rôle des dents pour l'ar-ticulation delà parole, III i 2. — observations sur sa denture, III i 2 n. — son visage; est le seul animal qui se tienne droit, III i 15. — position de son cœur et nécessité de cette position, III iv 1 n — position particulière do son cœur, III iv 14. — le seul animal chez qui le cœur batte; cause de ce battement, III vi 4. — sa station droite, III vi 7. — causes de sa station droite; degrés de chaleur dans son intérieur, III vi 7 n. — nature et maladies de ses reins, III ix 3. — graisse maladive des reins chez l'homme, III ix 11. — est le seul animal qui rie, III x 5 8. — situation de sa rate; sa forme et son volume, III xii 4 n. — longueur de ses intestins, III xiv 18 n. — sa bile, IV ii 3. — sa station droite; sa nature; son essence ; les parties supérieures de son corps sont les moins lourdes, IV x 6. — haute estime de sa nature, que Socrate a proclamée le premier, IV x 6 n. — Aristote a senti profondément sa grandeur et son privilège parmi tous les animaux, IV x 13 n. — étant le plus intelligent des êtres est seul à avoir des mains; réfutation de la théorie d'Anaxagore, IV x 14. — sa supériorité sur le reste des animaux se manifestant dans la conformation de sa main, presque autant que dans les facultés de son intelligence, IV x 16 n. — ses moyens de se défendre, comparés à ceux des animaux, IV x 16 17. — largeur de sa poitrine ; position, nature et usage de ses mamelles, IV x 23 24. — disposition de ses organes sexuels, IV x 33. — organisation particulière de ses jambes et de ses parties inférieures, IV x 35. — sa conformation, IV x 35 et n. — n'a pas de queue, IV x 37. — organisation particulière de ses pieds, IV x 43 n. — véritable raison de la conformation de son pied; fonction de sa main, IV x 43 n. — cause du mouvement de ses mâchoires, IV xi 7 8. HOMME, ses organes de locomotion ; flexions de ses appareils locomoteurs en sens inverses, M i 3 4. — son association à l'intelligence infinie, qui éclate partout dans la nature, M ii 1 n. — le haut et le bas dans l'homme coïncidant avec le haut et le bas de l'univers, M iv 2 n; M v 3 n. — exemple frappant dans l'homme prouvant quel est le point de départ du mouvement, M iv 11. — opinion qu'avaient Aristote et les plus savants naturalistes sur sa prééminence, M iv 11 n. — haut et devant dans l'homme; direction du haut, M v 1 3. — hommes de grande taille, qui marchent voûtés par des flexions analogues à celles des animaux sans pieds, M vii 5. — étude des diverses phases que présente sa marche, M ix 5 n. — sa conformation relativement aux conditions de la station droite, M xi 1. — développement qu'exige sa station droite, M xi 1 n. — différence de sa station droite avec celle de l'oiseau; ne peut avoir d'ailes comme les Amours des peintres, M xi 5 6 et II. — faculté de voler qui aurait pu s'accorder avec son organisation. M xi 6 n. — différences de ses flexions avec celles des quadrupèdes et des oiseaux. M xii 2. — manière dont il fléchit ses pieds et ses bras, M xii 5 6. — opposition cl harmonie des flexions de ses membres, tantôt concaves, tantôt convexes, M XIII 2 3. HOMME, c'est par l'homme qu'Aristotc commence ses études physiologiques, P XXXIV. — étude des parties complexes et non homogènes, P ibid. — importance de l'étude qui s'ap-plique à l'homme, P CLXI. — le plus complet des êtres, P M 279. HUITRES, leur organisation, II viii 4. — leur organisation, IV v 22. — et peignes, leur classification selon Cuvier, IV v 22 n. — dureté de leur tégument, IV xvii 1 2. HUMEURS de l'œil, II xii 1 n. HUMIDE et sec, sens divers de ces termes, selon qu'on les considère en puissance ou en acte; application à l'étude du sang, II iii 1-4. HUMIDITE et froideur du cer-veau, II vii 14 15. HYPOTHESE de Claude Bernard sur l'objet de la physiologie, P CXXX. HYPOTHETIQUE, expression ap-pliquée au Nécessaire, quand il est compris sous la restric-tion d'une hypothèse supé-rieure, IV ix 11 n.
I
IATRO-MATHEMATIQUE, doctrine dont le chef est Borelli, avec son élève Bcllini, de Florence, P M 294. IDEE de Dieu, dans le monde ancien et dans le monde mo-derne ; horreur qu'elle inspire a certains savants ; sa définition selon Kant, P CLXXVIII. IDEES platoniciennes, théorie qu'Aristote a toujours com-battue et à laquelle il revient cependant sous une autre forme, I v 5 n. IDEES à priori, science où elles sont nécessaires; sciences où elles doivent être soigneuse-ment éliminées, P CLXV et suiv. ILIADE d'Homère, interprétation erronée d'un vers sur une téte d'homme, parlant encore au moment où il reçoit le coup mortel, III x 6 n. IMPERISSABLES et incréées, application de ces deux épithè-tes solennelles, I v 1 n. INCREEES et impérissables, ap-plication de ces deux épitliè-tes solennelles, I v 1 n. INDE, ses systèmes philosophi-ques, cités par rapport au transformisme, P CLXVIII. — n'a pas connu d'autre science que la philosophie, P CLXXXV. — citée sur les sciences que comprend la philosophie à son début, P CLXXXV. INDICATION d'études à faire, IV v 38. Voir Aristote. INERTIE, point d'inertie, M vi 2. INFLUENCE qu'Aristote a exercée sur l'Antiquité et sur le Moyen-âge, P CLXXV. INGUINALES, nom de certaines mamelles chez les solipèdes, IV x 25 n. INITIATIVE du mouvement, M iv 5 n. INSECTES, leur organisation particulière, II viii 8. — n'ont pas de paupières; dureté et mobilité de leurs yeux, II XIII 7. — structure de leurs yeux, II xii 7 n. — organe par lequel ils sentent les odeurs, II xvi 9 n. — explication de leur respiration, II xvi 9. — leur organe des saveurs, II xvii 7 n. — organisation de leur bouche; leur nature, II xvii 12. — leurs viscères; le cor-don dorsal leur tient lieu de cœur, III iv 1 n. — leur cœur, III iv 11 n. — absence de vessie chez les insectes, III viii 2. — diifërence qu'ils présentent avec les animaux qui ont du sang, IV v 1. — organes de leur alimentation; leurs dents et usage qu'ils en font, IV v 4. — position du principe de leur sensibilité; lusectes chez lesquels cet organe devient parfois double, IV v 35. — composition de leur système nerveux; lieu où Aristote place chez eux la sensibilité; leur tube digestif, IV v 36 n. — différences qu'ils présentent entre eux ; leur organisation ; relation de leurs pattes et de leurs ailes; nombre de leurs ailes; leur nature diverse; causes et objet de leur segmentation, IV vi 1-3. — leurs parties les plus apparentes; nombre de eurs espèces ; nombre de leurs pattes et de leurs ailes, IV vi 1 n. — rapports des insectes et des plantes ; leur dard ; sa position ; ses usages à l'extérieur et à l'intérieur ; en devant ou en arrière, IV vi 4-7. — comparé à l'éléphant, IV vi 5 n. — conformation de leur bouche, IV vi 6 n. — organes qui leur servent à diviser les matières solides, IV vi 6 n. — différences dans la longueur de leurs pattes ; leur vue, IV vi 9 et n. — nombre et position de leurs pattes; insectes qui sautent; organisation de leurs pattes, IV vi 9 10. — leur appareil buccal, IV xii 3 n. INSECTES, opinion de Cuvier sur leur nutrition et sur leur sang, M i 2 n. — vivent après avoir été coupés; ressem-blance de leur constitution à celle d'un animal que l'on formerait de la réunion de plu-sieurs animaux, M vi2 3. — leurs flexions à l'appui de leurs mouvements, M vii 4 n. — mode et cause de locomotion de certains d'entre eux, M viii 3 n. — nature de leurs ailes, M x 2 n. — sans élytres, direction de leur vol, M x 4. INSTRUCTION, en quoi elle consiste, I i 2. INTELLIGENCE, ses rapports avec le sang, II iv 2 . — infinie de la nature, II xiv 2 4. — ce qu'on doit entendre par ce mot, P CLXXI. — sa définition, P CLXXI et suiv. — infinie se manifeste dans l'univers, P CLXXI. INTESTINS, leur double fonction d'absorption et d'excrétion, III xiv 2 3. — à la suite de l'estomac; différences nom-breuses qu'ils présentent dans les animaux, III xiv 17 et suiv. — conformation générale de l'intestiiidans les animaux; diverses parties qui le forment, III xiv 17 18. — leurs différences nombreuses ; leur longueur daus les mammifères, dans l'homme, dans les ruminants, dans les soli-pèdes, III xiv 17 18 n. — et estomac, chez les quadrupèdes ovipares et chez les reptiles, IV i 1. — dans les divers animaux, P L. INTRODUCTION au Règne animal de Cuvier, citée sur les conditions de la science et de l'art, I i 5 n. — du Règne animal de Cuvier, citée sur les questions les plus générales qui y sont traitées, P L: et suiv. — qu'on veut prêler à. l'Histoire des Animaux, et qui ne s'y rapporte pas, P D CXCVIII et suiv. IOULES, nom grec conserve par la science' moderne à toute une famille d'arthropodes chi-lognathes, IV v 35 n; — ont un double principe de la sensibilité, IV v 35; VI vi 1 n IRREGULARITE dans la dernière portion du traité des Parties, s'expliquant par la mort prématurée de l'auteur et par le destiiide ses manuscrits,P LIII. IRRIGATIONS dans les jardins pratiquées chez les Grecs, III v 7-9 n.
J
JAMAIS (M.), son Anatomie descriptive, citée sur quelques os isolés daus l'homme, II ix 1 n. — citée sur la description du diaphragme, III x 4 n. JAMBES de l'éléphant comparées par Buffon à des piliers ou à des colonnes massives, II xvi 5 n. — de l'homme, leur organisation particulière; leur nature charnue, IV x 35. — leur action successive dans les mouvements de progression, M ix 5 6. — parties qui les constituent, M xi 3 n. JEJUNUM, colon, caecum, parties qui forment l'intestiiidans les animaux, III xiv 18-22. — explication de ce mot ; cause de cette appellation, III xiv 22 n. JEUNESSE et vieillesse, traité d'Aristote, cité sur le principe des sensations, II x 6 n. — dans les Opuscules psychologiques, cité sur les fonctions essentielles attribuées au cœur, III iii 12 n; III iv 9 n. — cité sur une théorie et sur des expressions reproduites du traité des Parties, qui y est cité par l'auteur, III iv 10 n. — cité sur la théorie de la sensibilité, III v 3 n. — cité sur les rapports des insectes et des plantes, IV vi 4 n.. — caractère de cet ouvrage, P IV. JUDAÏSME, cité pour prouver l'action d'une intelligence infinie dans l'univers, P CI.XXIII. JUGEMENT singulier en Carie, à propos d'une tête parlant après avoir été coupée, III x 7. JUSTINIEN, cité à propos de l'étude de la physiologie comparée, P LXXI. — fermeture des écoles payenues sous son règne, P CXLIII.
K
KANT, sa déliiiilion de l'idée de Dieu, P CLXXVIII. KESTRES. espèce de poissons qui se trouvent dans le lac de biphées; n'ont pas les na-geoires du ventre, IV XIII 5. — identification incertaine de ces poissons. IV xiii 5 n. — du lac de Siphées; nombre de leurs nageoires; leur marche, M vii 7. — identification incertaine de ces poissons, M vii 7 n. KOITER, de Nuremberg, élève de Fallope et d'AIdrovande, ses travaux; sa physiologie comparée; époque de sa mort, P LXXXI. KULB (M. le docteur Ph.-H.), sa traduction allemande, 1857, du traité des Parties des Animaux; il accepte les arguments, d'ailleurs peu fondés, en faveur du déplacement du premier livre de cet ouvrage, P D CCIII.
L
LAC de Siphées, ou l'étang, contrée où il se trouve, M vii 7 n. LAFONTAINE, sujet d'une de ses plus jolies fables, III ii 3 n. LAIT, sa légèreté dans les ani-maux à un seul estomac em-pêche la présure; différences du lait dans les animaux à cornes, et dans ceux qui n'ont pas de cornes, III xv 2. — son analogie dans les vivipares avec l'œuf des ovipares, IV xi 14. LAMARCK, ses idées de transformisme vivement combattues par Cuvier; aberrations dont sa doctrine a été l'origine, P CIII. — ses ouvrages cités à côté de ceux de Cuvier, P CVII. LANCISI, cité pour les planches d'Eustache, qu'il avait retrouvées et publiées un siècle après lui, P LXXXII. LANGKAVEL, dernier éditeur du traité des Parties, Leipzig, 1868; son opinion sur le déplacement du premier livre de ce traité, P D CCIII. — son édition du traité des Parties des animaux, ibid. LANGOUSTES, leur organisation, II viii 4. — comparaison de la femelle et du maie, IV viii 5 n. — distinction des langoustes et des crabes, IV viii 2 n. — position de leur nageoire, IV ix 12. — usage qu'elles font de leurs pieds; e leur queue, M xvii 12. — leur classification, M xvii 1 n. LANGUE, sa double organisation, II x 12 n. — sens dont elle est l'organe; sa division, II x 13. — de l'homme, pouvant à la fois percevoir les saveurs et servir au langage ; répartition des articulations entre la lan-gue et les lèvres, II xvi 12-14. — ses usages, II xvi 12 n. — sa position dans la plupart des animaux ; chez l'homme ; sa nature ; son double usage; son organisation, Il xvii 1-3. — des oiseaux et des quadrupèdes, II xvii 4. — des ovipares; laugue bifurquée des serpents et des lézards, II xvii 6. — des lézards et des serpents; du chaméléon, II xvii 6 n. — et bouche des poissons et des crocodiles, I xvii 7 et suiv. — des poissons; sa seule fonction. II xvii 8 n. — du crocodile et sa conformation, II xvii 9 n. — étude sur la langue dans les diverses espèces d'animaux, Il xvii 14 n. — son mouvement admirable, III iii 8 9. — chez les poissons ; ses fonc-tions chez les animaux; sa forme chez les serpeuts, IV xi 3-5. — incertitude, même aujourd'hui, sur la partie qui fournit surtout la sensation de la saveur, IV xi 3 n. — son organisation chez les divers animaux, P XXXVIII. LAPLACE, cité par Claude Bernard à propos de la physiologie actuelle, P CXXXII. — cité sur la Physique, ouvrage dans lequel Aristote se montre son précurseur, P M 276. LARYNX chez les oiseaux, III iii 8 n. LATREILLE, collaborateur au Règne animal de Cuvier; son opinion sur l'étude d'Aristote concernant les langoustes, IV viii 1 n. — cité sur les crabes et les langoustes ; cité sur les maïas ; sur les pieds des crabes; sur les carides, IV vii 2 n. LAVOISIER, cité à propos de la physiologie actuelle. P CXXXII. LEIBNIZ, cité sur la prodigieuse activité d'Albert de Hallcr, qu'il a dépassée, P LXXXIX. — combattu par Claude Bernard, P CXXXII. — sa définition de la " perennis quœdam philosophia » comparée à celle d'Aristote, P CLXXXVIII. LEOPARDS, nombre de doigts à leurs pieds, IV x 22. LEPADES OU ECUELLES, nom conservé par la zoologie actuelle ; son application; identification de ces coquillages, IV v 15 n. LE VERRIER, sa découverte de Neptune, à l'appui du prin-cipe des causes finales, M ii 1 n. LEVIERS, théorie des leviers en histoire naturelle, procédé banni d e la science, P M 297. LEVRES dans les animaux; leur organisation particulière chez l'homme, et fins auxquelles elles servent, II xvi 15. — utilité des lèvres chez l'homme, P XXXVIII. LEWES, critique d'Aristote; sou opinion sur le traité des Parties des Animaux; son éloge non suspect du traité des Parties, P LIV. LEZARDS, leur langue bifurquée, II xvii 6. — description de leur langue, II xvii 6 n. — organisation de leur poumon, III vi 5. — rapport des lézards et des serpents, IV i 1 n. — forme de leur langue, IV xi 5. — explication de la disposition de leurs membres sur le côté, M xv 5; M xvi 4. LIBYE, grands vivipares qui se trouvent dans ce pays, II ix 8. — vaste champ de récits fabuleux et légendaires qu'elle offrait aux Ancieus, II ix 8 n. LIEUX du corps, importance relative des lieux où les princi-pes du mouvement sont placés, M v 5. LIEVRE, seul, des animaux à un estomac qui ait de la présure : ce qui en est cause, III xv 12. — dimensions de son caecum, III xv 2 n. — sa façon d'uriner, IV x 34. LINNE, opinion qu'il partage avec Aristote sur l'importance du nombre des nageoires, IV xiii 7 n. LINNE, nomeuclateur de génie ; ses études spéciales, P LXXXV. — grande estime que Cuvier professait pour lui, P XCII. — cité sur l'histoire de la zoo-logie descriptive, P XCII. — cité sur la définition de l'Histoire naturelle, P CXLVII. — cité pour prouver l'action d'une intelligence infinie dans l'univers, P CLXXIII. — son admiration pour la nature; son opinion sur les causes finales, P CLXXIII. LION, ses OS n'ont pas de moelle, II vi 3. — dureté de ses os, II ix 9. — sa crinière, II xiv 3. — nature et force de son cou, IV x 5. — erreur d'Aristote sur l'ostéologie du cou du lion; nombre et disposition de ses vertèbres, IV x 5 n. — nombre de doigts à ses pieds, IV x 22. — position de ses mamelles, IV x 25. — sa façon d'uriner, IV x 34. LIQUIDES naturels dans les animaux, dès leur naissance, II vii 16. LIT, sa définition, I i 20 n. LITTRE, citation dans son Dictionnaire, Article suif, d'un passage de Buffon sur la différence de la graisse et du suif, II v 1 n. — édit. et trad. du traité des lieux dans l'homme d'Hippocrate, citées sur la théorie des fonctions, II vii 8 n. — la table générale de son Hippocratc, citée sur la rate, III xii 4 n. — édit. d'Hippocrate (Aphorisme, Epidémies), citée sur l'intestiiigrêle, et le gros iutestin, qu'Hippocrate paraît avoir distingués, III xiv 22 n. — traité de l'Officine du médeciiid'Hippocrate, cité sur la difficulté de savoir de quel instrument de chirurgie Aristote veut parler, IV ix 10 n. — édition de Pline, citée sur la prétention de Pline, légitime pour un citoyen de Rome, d'avoir seul célébré la nature, P CXLVI et LXIII. — sa belle expression de Moment créateur, P CLV. LIVRES sur la Philosophie, cités par Aristote; il y donnait la définition des deux sens de la nécessité, I i 34. — ordre des livres du traité des Parties des Animaux; arguments en faveur du déplacement du premier livre de cet ouvrage, D CC. LOCOMOTION, siège unique de la locomotion, de la sensation et de la nutrition, II I 15. — dans les animaux ; énumération des questions qu'elle présente, M i 2. — dans les animaux; question sur la manière dont elle s'y accomplit, M i 3 n. — ses modes chez les saltigrades et chez les animaux qui marchent, M iii 1. — privilège exclusif des ani-maux qui ont du sang, et qui sont pourvus de deux ou quatre appareils, M vii 1. — ses conditions dans les quadrupèdes, M xii 7. — origine de toutes les recherches qui, dans ces derniers temps, ont été faites par rapport à cette étude, M xiv 1 n. — le mouvement diamétral peut seul lui donner la stabilité et la durée, M xiv 3. — particulière des crabes, M xiv 5 ; M xvi 3; xvii 2. — résumé sur la locomotion en général, M xix 3. — théorie de la locomotion chez les animaux, P M 275 et suiv. — les quatre appareils nécessaires de la locomotion, P M 281. — animale, reprise et continuation de cette étude au xvii0 siècle, P M 293. — ou Marche des Animaux; au-thenticité de ce traité, D M 317 et suiv. LOCOMOTION des animaux, ou-vrage de Fabrice d'Aquapendente, publié un an avant sa mort, PM 291. LOCOMOTION chez les animaux, titre d'un ouvrage de M. J. Bell Pettigrew, cité sur le principe des causes finales et de l'optimisme, M ii 2 ii — cité sur le jeu des flexions dans les animaux, M iii 4 n. — cité sur la reptation, M vii 6 n. — sur le mouvement des ailes de l'oiseau, M ix 10 n. — cité sur l'analyse des mouvements des chevaux et des animaux du même genre, M xiv 3 n. — citation d'une heureuse expression sur le vol des oiseaux, qui est c la poésie du mouvement », M xv 1 n. — cité, P M 310. Voir Pettigrew. LOGIQUE, objections soulevées en son nom contre les théo-ries décevantes du transformisme et de l'athéisme, P CLXII. — Aristote en est le fondateur, P D CLXXXVIII. — L'histoire naturelle n'est pas l'école de la logique, comme le croyait Cuvier, P CVI. Loi générale de la nature, M xi 6- — supérieure de toute classification, P VI. LONGET (1841), ses expériences sur la moelle épinière, P XXVI. — ses découvertes sur le fluide nerveux, P XXVI. LONGEVITE, traité d'Aristote, dans les Opuscules psycholo-giques, cité sur les animaux qui n'ont pas de sang, III x 8 n. —et Brièveté de la vie ; caractère de cet ouvrage d'Aristote, P IV. LONGUEUR des intestins dans les mammifères; dans l'homme ; dans les ruminants ; dans les solipèdes, III xiv 18 n. LOUP, nature et force de son cou, IV x 5. — erreur d'A-ristote sur l'ostéologie de son cou ; nombre et disposition de ses vertèbres, IV x 5 n. — nombre des doigts de ses pieds, IV x 22. LUTTEURS, leur reptation dans la palestre, M ix 4. LYMPHE, sa définition; sou rôle nécessaire, II iv 6. — sa circulation dans les vaisseaux ; analyse récente de sa nature spéciale, II iv 6 n. — époque de la connaissance de sa na-ture proprement dite, II vii 8 n. LYNX, sa façon d'uriner, IV x 34. — de la famille des félidés; sa disparition de l'Europe; se distingue par les pinceaux de poils dont ses oreilles sont ornées, IV x 34 n.
M
MACHINE animale, ouvrage de M. Marey, cité sur les conditions du mouvement dans l'animal, M iii 2 n. — cité sur le mouvement des ailes de l'oiseau, M ix 10 n. — cité sur l'analyse des mouvements des chevaux et des animaux du môme genre, M xiv 3 n. — ouvrage de M. Marey, cité, P M 310. MACHOIRES et dents, importance que les médecins et les grands zoologistes y ont attachée. II iii 7 n. — inférieure des crocodiles, et son immobilité, II xvi 9. — leur rôle chez les animaux; leur organisation, IV xi 7 8. — importance que Cuvier attache à leurs fonctions. IV xi 7 n. — mâchoire d'en haut chez le crocodile; erreur d'Aristote sur son mouvement, IV xi 9 n. MAGENDIE(1822), ses expériences sur la moelle épinière, P xxvi. — ses découvertes sur le fluide nerveux, P xxvi. — époque à laquelle il a rendu la physiologie expérimentale, P CXXXII. MAÏAS, leurs pieds; nature de leurs pattes, IV viii 3 4. MAiiide l'homme, admiration d'Aristote pour son organisa-tion, mal comprise par Anaxagore, II i 9 n. — sa description ; la supériorité de l'homme sur le reste des animaux dans sa conformation, presque autant que dans les fa-cultés de son intelligence, IV x 15 16 n.. — son utilité pro-digieuse ; analyse générale faisant comprendre son rôle, IV x 17 18 n. - son admirable conformation: flexions et disposition des doigts ; rôle du pouce et des ongles, IV x 18-21. — explication concise de sa fonction, IV x 43 n. — son organisation admirable, P LIII. — explications que donnent Aristote et Anaxa-gorc de sa destination ; Galien est de l'avis d'Aristote, P LXVII. MAITRES de métrique, leur en-seignement sur les différences que présentent les lèvres et la langue dans la prononciation, II xvi 13. MALADIE des reins chez l'homme, III ix 3 11. — spéciale des moutons, III ix 12. MAMELLES, leur position différente chez l'homme et les autres animaux, IV x 24-30. — chez les solipèdes ; leur positiou ; leur appellation ; leur nombre, IV x 25 n. — leurs fonctions et leur place dans les vivipares, IV xi 13. MAMMIFERES, longueur de leurs intestins, III xiv 18 n. MANTEAU, rapports entre le manteau et les pieds chez les seiches, lestcuthieset les polypes, IV ix 8. MANUEL d'anatomie comparée de M. Gegenbaur, cité sur la méthode à suivre en histoire naturelle, I iv 5 n.. — cité sur la théorie de la moelle épi-nière, II vi 1 n. MANUEL d'anatomie comparée de M. de Siebold, un des premiers ouvrages où les doc-trines darwiniennes sont appliquées à la classification et à l'étude des animaux, P CVIII. MANUSCRITS d'Aristote et leur destin, D CCIV. MARC-AURELE cité à propos de Galien, qui a été son contemporaiiiet son médecin, P LXVI. MARCHE des animaux, distinction entre le saut et la marche, M iii 1 n. — des serpents et de quelques poissons, M vii 5-7. — des serpents, M viii 1 et suiv. — de homme; étude des conditions diverses qu'elle présente, M ix 5 n. — locomotion des animaux dépourvus de pieds, M ix 7. — des psettes, comparée à celle des borgues, M xvii 3. MARCHE, traité de la Marche des animaux, d'Aristote, cité sur les fonctions communes aux animaux, 1 i 4 n. — cité sur la cause qui fait que les serpents sont dépourvus de pieds, V xi 1. — distinction à faire de ce traité et de celui du Mouvement dans les Animaux, IV xi 1 n. — cité sur la flexion des jointures, et sur la cause de la longueur plus ou moins grande de ii queue chez les ovipares, IV vi 14. — indiqué par l'auteur, qui y renvoie à Histoire des Animaux pour les différents modes de flexion dans les animaux; cité sur la queue des oiseaux, IV xi 14 n. — les traités de la Marche et du Mouvement des animaux, cités sur les causes qui font que les poissons qui ressemblent aux serpents n'ont pas de nageoires, et que les serpents, n'ont pas de pieds, IV iii 6. — cité sur les kestres de l'étang de Siphées, IV xiii 6 n. — objet spécial de ce traité, M ii 4 n. — résumé de ce traité d'Aristote, qui regarde surtout la locomotion dans les animaux, M xix 3 n.. — traité de la Marche ou Locomotion des animaux, et traité du Mouvement dans les animaux, cités dans le traité des Parties; distinction à faire entre ces deux ouvrages, parfois confondus, D CXCVII. — caractère de cet ouvrage, P iv. — son principal mérite; sa place dans l'histoire de la science et dans l'encyclopédie aristotélique, P M 273 et suiv. — analyse de ce traité, P M 276 et suiv. — ou Locomotion des animaux; authenticité de cette étude, D M 317 et suiv. — leurs théories communes, D M 318. MAREY (M.), son ouvrage intitulé : "la Machine animale », cité sur les conditions du mouvement dans l'animal, M iii 2 n. — cité sur le mouvement des ailes de l'oiseau, M ix 10 n. — cité sur l'analyse des mouvements des chevaux, et des animaux du même genre, M xiv 3 n. — son ouvrage, La machine animale, cité, P M 310. MATERIALISME, ses théories fausses et désolantes, combattues par Agassiz dans son c Essai sur l'Espèce et la Classification en zoologie t, P CXV. — condamné, P CLXXIII. MATHEMATICIENS, leur méthode dans leurs démonstrations d'astronomie, I i 7. — grand cas qu'Aristote fait de leur méthode, I i 7 n.. — leur opinion sur les conditions du mouvement, M iii 2 n. MATHEMATIQUES, abus des mathématiques dans une question toute physiologique, P M 296. — Borelli abuse de leur emploi en physiologie, ibid. — erreurs de Borelli, réfutées par Varignou, et un grand nombre de mathématiciens, P M 304. MATIERE, ses rapports avec la forme, II 15. — des éléments, faite en vue des parties similaires, II i 7. — rapport entre la matière et l'esprit, dont est composée la nature de l'homme, IV x 7 n. — matières du corps, analogues aux os ; leurs emplois ; leur nature ; leur étude renvoyée à des ouvrages ultérieurs et plus spéciaux, II ix, 14-16. — ne peut si elle seule constituer la vie, P CLXXI. MAYOW, critiqué par Barthez pour son opinion sur les causes du mouvement, P M 304. MECANIQUE, le principe que pose Aristote pour le mouvement, est un des premiers et des plus essentiels, M ix 1 n. — des animaux, ouvrage de Claude Perrault, cité sur le principe des causes finales et de l'optimisme, M ii 2 n. — cité sur la reptation, M vii 6 n. — cité sur le mouvement des ailes de l'oiseau, M ix 10 n. — ouvrage de Claude Perrault, théories qui y sont exposées sur le mouvement animal, P M 297. — nouvelle des mouvements de l'homme et des animaux, ouvrage de Barthez, cité sur une comparaison qu'a faite Aristote, M x 3 n. — cité sur le mouvement des rfiles de l'oiseau ; pour un passage d'Aristote sur les poissons plats; pour l'explication de la manière de nager toute spéciale de ces poissons, M ix 10 11 n. MECANISME du saut chez les insectes, IV vi 10 n. MECKEL (1828), mérite de son 31 ouvrage d'anatomie comparée, P CVII. — a réuni dans son ouvrage la classification et l'anatomie comparée, P CVII. MEDECINE, moyens par lesquels elle peut immensément servir l'histoire générale de la vie, P LXXII. MEDECINS, importance qu'ils attachent à l'étude des mâchoires et des dents, II iii 1 n. — espèce de gant dont ils se servaient, dès le temps d'Hippocrate, pour certains pansements ou certaines opérations, IV ix 10 n. — de l'Antiquité, cités comme les héritiers de la physiologie comparée d'Aristote, P LX et LXIV. — et naturalistes du dix-huitième siècle, études dont ils se sont occupés, P LXXXIII. MEMBRANE, sa nature; conditions qu'elle doit remplir pour être utile, III xi 1. — qui enveloppent les viscères ; celles du cœur et du cerveau sont les plus fortes ; raisons de cette organisation, III xi 1 2. MEMBRES OU organes, contenant des parties diverses qui se résolvent définitivement en parties similaires, II i 8 n.. — leur position se correspondant en diagonale, M iv 9 n.. — nécessité de leur équilibre dans les mouvements de progression, M ix 2 3. — dirigeants ; leur flexion dans la locomotion, M xii 3 4. — leurs flexions chez l'homme; leur opposition et leur harmonie; tantôt concaves, tantôt con-vexes, M XIII 3. — leur disposition sur le côté dans les quadrupèdes ovipares, M xv 5. MEMOIRES deXénopbon, cités sur la haute estime pour la nature de l'homme, que Socrate a proclamée h» premier, IV x 6 n.. MENINGES du cerveau; leur nombre, d'après une anatomie plus attentive, II vii 7 n. MENSTRUES et semence chez les femelles ; renvoi à des études ultérieures, IV x 31 32. MERTRUD et DAUBENTON, cités pour le service éminent que Buffon a rendu à l'anatomie comparée et à la physiologie comparée, P LXXXVI. — lettre de Cuvier à Mertrud, P XCIII. MESENTERES, leur direction ; leur fonction, IV rv 1 2 n. — et épiploon, ne sont que des pro-longements du péritoine, IV iii1 n; IV iv 1 n. — définition du mésentère, IV iv 1 n. — ses artères principales, IV iv 3 n. — sa position; son organisation ; ses fonctions et son objet dans les animaux qui ont du sang, IV iv 1-3. — comparaison de ses racines, qui sont les veines, avec les racines des plantes, IV iv 3. METAPHORE, à remarquer dans le style d'Aristote, Il iii 8 9 n. — dont se sert Cuvier en par-lant des vaisseaux chylifères, et qu'Aristote avait déjà em-ployée, IV iv 2 n. METAPHYSIQUE d'Aristote, son début cité sur les conditions de la science et de l'art, I i 5 n. — citée sur les grands progrès qu'avait déjà faits l'as-tronomie au temps d'Aristote, I i 7 n. — citée sur le nombre des causes, I i 8 n. — sur la distinction des deux nuances du Nécessaire, II 9 n. — simplement indiquée par Aristote, III 11 12 ii. — citée sur le cas que faisait Aristote d'Empédoclc, le philosophe sicilien, I i 15 n. — citée sur un principe des anciens philosophes ; sur les deux sys-tèmes de Diogène d'Apollonie, d'Anaximène et de Thalès, I i 18 19 n. — citée sur la philosophie antérieure à Anaxagore, I i 23 n. — sur la définition du mot de Nature, I i 25 n. — citée sur l'origine du monde et des êtres mor-tels, I i 30 n. — citée sur le germe, I i 33 n. — sur les deux faces de la nécessité, 11 34 n. — citée sur Démocrite, et sur le mérite qu'Aristote attribue à Socrate de s'être occupé surtout de définitions, I i 37 n. — ou philosophie première; cas qu'on en fait dans notre siècle, I v 3 n. — ouvraçe auquel l'auteur semble faire allusion, I v 3 n. — citée sur le système de Thalès concernant les fonctions organiques du corps, II ii 3 n. — citée sur l'austère peinture qu'Aristote y a faite de la philosophie, P CLXXXVIII. METAPHYSIQUE, sa définition selon Arislote; sa nécessité pour les idées à priori, P CLXXXII. — sa véritable utilité méconnue en général par les savants, P CLXXXI. — puéril effroi qu'elle cause à quelques savants ; sa définition ; remarque d'Aristote sur cette science, P CLXXXI. Voir Aristote. METEOROLOGIE d'Aristote; l'auteur semble y faire allusion, I v 3 n. — ouvrage auquel Aristote fait allusion, II i 2 n. — allusion à cet ouvrage, sur la chaleur et le froid, II ii 11 n. — allusion à cet ouvrage, II II 20 n. — citée sur l'action du sec et de l'humide, dans les théories cosmologiques d'Aristote, II iii 1 n. — citée sur la théorie de la pluie, II vii 8 n. — rapport sous lequel elle peut intéresser la zoologie, Il vii 9 n. METHODE en général ; méthode à suivre en histoire naturelle, I i 1 et 3. — méthode qu'Aristote compte suivre en histoire naturelle, I i 1 n. — à laquelle se sont arrêtés tous les grands naturalistes, I i 3 n. — preuves de l'excellente méthode qu'Aristote a toujours rigoureusement suivie, I i 4 n. — d'Aristote et de Cuvier, pour l'étude des fonctions communes aux animaux, I i 7 n. — des mathématiciens; cas qu'en fait Aristote, I i 7 n. — erreur des Modernes sur la méthode comprise et pratiquée deux mille ans avant Bacon, son inventeur soi-disant, I i 7 n. — de démonstration, dans les choses de la nature, I i 11. — excellent conseil que l'auteur a toujours essayé d appliquer, I i 36 et ,n. — de division par deux; son caractère, l ii 1 n. — de division; suite de la critique de cette méthode, I iii 1. — de division par deux; inconvénient inévitable qu'elle présente I iii 6. — ancienne méthode de division, pourétu-dier les animaux par genres, I iii 13. — que doit adopter l'histoire naturelle, I iii 13 et n. — de division; sa condamnation absolue, I iii 15-18. — véritable en histoire naturelle, I iv 1. — que Cuvier a suivie dans son Anatomie comparée, I iv 5 n. — à suivre dans l'histoire naturelle, I v 7 8. — générale d'Aristote, I iv 7 n; I v 14 n. — de division; son insuffisance, II 1-3. — deux conditions de la méthode qu'Aristote a toujours suivie, et qui est la vraie, III iv 10 n. — importance que l'auteur y attache, III v 13 n. — exposée et adoptée dans le petit traité de la Marche des Animaux, M i 1 n. — son application à l'étude de la nature, M i 1. — son application à l'histoire naturelle, M ii 1. — d'observation; le père de cette méthode est Aristote, M ii 1 n. — d'observation, qu'Aristote essaie d'appliquer, M vii 2 n. — en histoire naturelle ; question exposée dans tout le premier livre du traité des Parties des Animaux, P v. — tracée magistralement par Aristote, P v et suiv. — de la dichotomie platonicienne, combattue par Aristote et par Galien, PLXIX. — objections soulevées en son nom contre les théories déce-vantes du transformisme et de l'athéisme, P CLXII. METHODE et style du traité des Parties des Animaux, D CVCIX. — en histoire naturelle ; sa nécessité, D CCI. METRIQUE, maîtres de métrique, enseignant les différences que présentent les articulations de la langue et des lèvres,II xvi 13. MICHAUD, Biographie univer-selle, citée, P LXXXVII. MICHEL D'EPHESE, son jugement cité à l'appui de l'authenticité du traité de la Marche des Animaux, D M 318. MICON, excrétion qui se trouve dans tous les crustacés, et qui est particulièrement bonne à manger, IV v 13. — paraissant se coufoudre avec la my-tis ou encre des céphalopodes, IV v 13 n. — chez les hérissons de mer ; sa position chez les turbines, les unival-ves et les bivalves, IV v 18. — des échiuodermes; incertitude sur la nature de cette matière, IV v 18 n. MICROSCOPE, facilitant l'élude sur la composition du sang, II iv 1 n. — son emploi, cité à propos des veinules, III v 9 n. MILAN, dimension de sa rate, III vii 9. MILIEU, ses définitions, III iv 9. — haut et bas chez les animaux et dans les végétaux ; leur disposition, M v 3 4. MILNE EDWARDS (Henri), cité sur la première des règles qu'a tracées Aristote en histoire naturelle, P vi. — doyen et chef respecté des naturalistes français ; appréciation et analyse de son ouvrage intitulé : "Leçons sur la physiologie et l'anatomie comparée de l'homme et des animaux ", P CXXXVII et suiv. — d'accord avec Agassiz sur la constitu-tion du règne animal, P CXXXIX. — son opinion sur la chaîne des êtres et sur les quatre embranchements de Cuvier; sur le transformisme; conseils utiles et prudents par lesquels il termine son ouvrage, P CXL. — cité sur la définition de l'histoire natuturelle, P CXLVII. — son grand et complet ouvrage ; " Leçons sur la physiologie et l'anatomie comparée de l'homme et des animaux ", cité, P M 310. MOBILE, différence du mobile et du moteur, M ii 4. MOBILITE des yeux dans les in-sectes, II XIII 6. MODERNES, leur erreur sur la découverte de la méthode d'observation, I i 7 ii . — gloire qu'ils auraient tort d'affecter et qui revient à la Grèce toute seule, M ii 1 n. — cités sur l'austère peinture qu'a faite Aristote de la phi-losophie ; gloire qui leur revient dans la science de la physiologie comparée, P CLXXXVIII. — leurs progrès dans les sciences, P CLXXXVIII. MODES de locomotiou chez les saItigrades, et chez les animaux qui marchent, M ii 1. MOELLE, elle est une modifi-cation du sang ; sa nature diverse, II vi 1 2. — sa différence avec le sang ; sa com-position, II vi 1 n. — sa grosseur, II vi 3 n. — son origine, II vi 4 n. — épinière, erreurs sur ses rapports avec le cerveau, II vii 1. — épinière, sa grosseur, II vi 3 n. — masse qu'elle forme chez les mollusques, IV v 32-33 n. — analyse d'Aristote, P XXIV. — analyse de la chimie actuelle, P XXV. — sa définition ; étude qu'en a faite la physiologie moderne par ses observations microscopiques, P ibid. MŒURS de peuplades féroces, qui n'ont guère changé depuis le temps d'Aristote, dans l'Asie Mineure, III x 8 n. MOINEAU de Libye, ou autruche, divisions de ses doigts ; différences qu'il offre avec le reste des oiseaux, IV xii 22. — description de sa double organisation, IV xiv 1 n. MOLINIER, son édition d'Oribase. P LXX. MOLLESSE des chairs de l'homme, II xvi 14 MOLLUSQUES, leur caractère spécial, II viii 4 n. — leur organisation, leur nature ; disposition de leur chair, II viii 6-7. — organisation de leur bouche; leur nature, II xvii 12. — leur organisation singulière ; leur classification selon Cuvier et Aristote, IV viii. — différence qu'ils présentent avec les animaux qui ont du sang ; leurs deux dents, IV v 1 n. — leur œsophage ; leur gésier pareil a celui des oiseaux ; motif de cette organisation ; leur encre, IV v 6 7 8. — céphalopodes, organes oui servent à leur nutrition, IV v 3 n. — leur différence avec les crustacés et les testacés, IV v 16. — leur mytis, nature et posi-tion de cet organe dans ces animaux ; siège principal de leur sensibilité; leur organe analogue au cœur, IV v 32-34. — organisation obscure de ces animaux ; siège de leur cerveau ; leur mytis, IV v 32 n. — soiiiavec lequel Aristote avait fait l'anatomie de ces animaux , IV v 34 n. — sa description générale à comparer avec celle qu'en donne Cuvier, IV min. — leur organisation ; disposition de leurs pieds, IV ix 1 n. — la cause qui fait que l'orifice des excréments se trouve chez eux près de la bouche, IV ix 5. — nature de leur peau, IV îx 5 n. — nature et mouvement de leurs pieds qui peuvent être pris pour des bras, IV ix 6 n. — leurs tentacules sont des armes redoutables, IV ix 10 n. — leur devant et leur derrière, confondus dans le même sens, M v 3. MOMUS d'Esope, sa critique de la disposition des cornes du taureau ; justification de la nature, III ii 7. — personnage auquel le fabuliste prêtait ses idées bizarres, III ii 7 n. — réfutation de ses théories, III ii 8 10 n. — dans la mythologie, est le dieu de la moquerie, III ii 7 n. — réfutation des théories du Momus d'Esope, III ii 8 n. MONDE, cause à laquelle il faudrait rapporter son origine, si toutefois il en a une, I i 30. — explication de sa constitution combattue par Aristote, I i 30 et n. MONDINO, voir Mundino. MORAL, ses rapports avec le physique chez les animaux, III iv 20 n. MOT sublime d'Heraclite sur la présence des dieux, I v 5. MOTEUR, différence du moteur et du mobile, Mi i 4. MOTU locali animalium secundum totum (de), ouvrage de Fabrice d'Acquapendeute, répondant aux traités aristotéliques sur le Mouvement et la Marche des animaux, P M 292. MOTU animalium (de), ouvrage de Borelli, dédié à Christine de Suède ; sa préface dédica-loire ; a fait la renommée de l'auteur, P M 294. MOUCHES, leur trompe et leur dard, II xvii 13. — leurs organes d'alimentation, IV v 4. — nombre de leurs ailes ; leur nature, IV vi 2. — leur classification ; forment le septième ordre des insectes ; leur organisation, IV vi 2 n. — position de leurs pattes, et usage qu'elles en font, IV vi 9. MOUTONS, différence de leurs cornes avec celles des fe-melles, III i 7. — maladie qui se produit en eux et dont ils meureut, III ix 10. — cause de leur maladie, III ix 10 12 n. — leur suif; explication de leur maladie, III ix 11 12. — nombre et fonctions de leurs estomacs, III xiv 7. — et chèvres de Naxos et de Chalcis, leur bile, IV ii 3. MOUVEMENT de l'artère et de la langue, organisation admirable, III iii 8 9. — de systole et de diastole, III iv 16 n.. — familier aux poulains, IV x 10 n. — des poissons, IV XIII 10. — rapidité du mouvement des squales-séla-iens, IV XIII 10 n. — diagonal, des appareils locomoteurs chez les quadrupèdes, M i 5. — mouvements qui déterminent la locomotion et le déplacement des êtres, M ii 4 n. — qu'Aristote a surtout en vue dans le traité de la Marche des animaux, M iii 1 n. — partie par où commence le mouvement de locomotion dans chaque animal, M iv 5. — initiative du mouvement, M iv 5 n. — c'est la droite qui le commence ; son point de départ, M iv 7 9. — sa division nécessaire en deux parties, l'une qui se meut, l'autre qui est immobile ; point commun à toutes deux, M vi 1. — sa condition essentielle, M vi 1 n. — en avant ; le mouvement en arrière dans les animaux ne leur est pas naturel, M vi 3. — de locomotion, privilège exclusif des animaux qui ont du sang, et qui sont pourvus de deux ou quatre appareils, M vii 1. — par quatre appareils des animaux sans pieds, et dont on peut retrouver les équivalents dans leurs flexions, M vii 4. — ses conditions générales, M ix 1. — général des volatiles, M x. — diamétral ; sa description ; sa nécessité, M xiv 1 et suiv. — répandu dans l'univers entier, P M 275. — sa définition ; ouvrages daus lesquels Aristote étudie plus ou moins cette question, P M 275. — ses directions au nombre de six, P M 277. — traités dans lesquels on trouve la pensée du philosophe grec sur cet inépuisable sujet, P M 276. — Traité du mouvement dans les animaux, ouvrage d'Aristote, compris parmi les Opuscules psychologiques, cité sur les fonctions essen-tielles attribuées au cœur, III iii 12 n; III iv 9 n. — cité sur le cœur, compare à un animal dans un animal, III iv 16 n. — cité sur la théorie de la sensibilité, 111 v 3 n. — son objet exclusif; distinction à faire de ce traité avec celui de la Marche des animaux, IV xi 1 n. — dans les animaux et Marche des animaux, traités d'Aristote, cités sur les causes qui font que les poissons qui ressemblent aux serpents n'ont pas de nageoires , et que les serpents n'ont pas de pieds, IV xiii 6. — indiqué par l'auteur, par rapport aux serpents, IV XIII 6 n. — cité pour les principes généraux du mouvement, M ii 4 n. — caractère de cet ouvrage d'Aristote, P iv. — traité du Mouvement dans les animaux et traité de la Marche ou Locomotion des animaux, cités dans le traité des Parties ; distinction de ces deux ouvrages parfois confondus , D CXCVII. — dans les animaux, ouvrage d'Aristote, P M 276. — traité du Mouvement dans les animaux et traité de la Marche des animaux, distinction à faire entre ces deux ouvrages, quoiqu'ils aient des théories communes ; ouvrages dont le premier traité fait partie, D M 317. — dans les animaux, allusion que fait cet ouvrage au traité de la Marche des Animaux, D M 318. MOYEN-AGE, cité sur la place que doit occuper le premier livre du traité des Parties des Animaux, D CXCIX. MOYENS de défense que la na-ture a ménagés aux animaux, III ii 2. — comparés à ceux qu'emploient les hommes, IV x l6 17. MULET, n'a qu'un estomac, III xiv 4. — n'a pas du tout de fiel, IV ii 2. MULLER (Jean), cité sur la pre-mière des règles qu'a tracées Aristote en histoire naturelle, P vi. — ses ouvrages cités à coté de ceux de Cuvier, P CVII. MUNDINO, cité sur la première des règles qu'a tracées Aris-tote en histoire naturelle, P vi. — professeur de Bologne, ses travaux anatomiques, au xiv° siècle, P LXXVI. — (Mundinus Ramondino), mort en 1326 ; composition de son œuvre remarquable intitulée : "Dec omnibus humani corporis interioribus membris anathoinia > ; ibid. MURENE, poisson qui se rapproche du serpent ; n'a pas de nageoires ; sa manière de se mouvoir, IV xiii 5. — les murènes n'ont pas de na-geoires ; leur marche, M vii 7. MUSCLES des ailes des oiseaux, sont les plus forts de toute la création, IV xii 9 n. MUSEES anatomiques, leur richesse, grâce à Buffon, P LXXXVI. MUTILATION chez quelques ho-mards, IV viii 7 n. — des scolopendres, explication des effets qu'elle produit, M vii 5 6. MYTIS des mollusques, nature et position de cet organe, IV v 32 33. — sa définition, IV v 32 n..
N
NAGEOIRES chez les seiches, les teuthies et les polypes ; leur position, leur dimension et leur usage, IV ix 12. — comparées à des espèces de raines, IV XII 16 et n. — des poissons ; leur nombre, IV xiii 3. — variétés dans leur position, IV xiii 7 8. — leur position chez les poissons, M xv 3. NAGEURS, oiseaux nageurs, nature et utilité de leur bec, III i 14. NAINS, leur difformité générale dans tous les animaux, excepté l'homme ; leur définition, IV x 8. — définition générale du nain, IV x 8 n. NARINES, leur disposition : — leur fonction spéciale pour la respiration, II x 13 14. NATATION, explication de la natation des poissons, selon qu'ils ont plus ou moins de nageoires ; — natation spéciale des poissons plats, M ix 10 11. NATURA Deorum (de), traité de Cicéron, cité sur les emprunts faits à Aristote, d'une l'ouïe d'idées sur la bonté de la nature ; admiration qu'inspire cet ouvrage, II xv 1 n. Voir Cicéron. NATURALISTE, son devoir, I 1 3 n. — méthode à laquelle les naturalisées se sont arrêtés, I i 3 n. — soiiiqu'il doit prendre dans son étude sur lame, I i 25. — inconvénients qu'il doit braver, I v 4 n. — cités sur le début nécessaire de la science zoologique, I v ll n. — modernes, leur théorie sur la moelle dans les animaux, II vr, 7 n. — opinion de certains naturalistes sur le cerveau, combattue à tort par Aristote, II vii 1 n. — leurs croyances aux causes finales, M i 1 n. — principe sous lequel les grands natu-ralistes se sont tous rangés, M ii 2 n.. — qui n'ont pas distingué le saut des autres espèces de mouvement chez Iss animaux, M iii I n. — leur opinion sur la prééminence de l'homme, M iv 11 n. — leur description de la station droite chez les oiseaux et chez l'homme ; profondes différences qu'ils ont signalées, M v 4 n. — qui reproduisent la description qua faite Aristote des oiseaux de grand vol, M x 4 n. — son devoir dans l'étude de la nature, P x. — et médecins, du XVIII* siècle ; étude dont ils se sont occupés, P LXXXV. — cités pour leur opinion sur la classification des êtres, P CXXII et suiv. — leurs opinions contraires à celle d'Agassiz sur l'espèce et la classification des êtres, P CXXII. — utilité pour le naturaliste à être philosophe, P CLXXXII et suiv. NATURE, nécessité hypothétique qu'on y observe, l i 11 n. — formelle, supérieure a la nature matérielle, I i 21. — les deux aspects qu'elle présente, comme cause initiale du mouvement, ou comme but final. I i 25. — sa définition, I i 31 et n. — sa nécessité ; place qu'y tient la nécessité, I i 31 35. — ralentissement de l'étude de la nature, I i 37. — véritable méthode pour l'étu-dier, I iv 1 et suiv. — admiration qu'elle inspire ; ses œuvres toujours faites en vue d'une certaine fin, I v 5 6. — des diverses parties dans les animaux, II ii 1. — propre du sang, question traitée après l'examen du chaud et du froid, II ii 7. — particuculière du sang, nombreuses modifications qu'elle cause dans le caractère des animaux et leur sensibilité, II iv 2 6. — manière dont elle a organisé le cerveau, II vii 5. — des os et des veines, leurs resssemblances et leurs différences, II ix 1. — sa manière de construire un animal, comparée à la manière dont l'artiste le modèle, II ix 6. — admirable disposition des organes des sens dans l'homme et dans les animaux, II x 11 14. — sa prévoyance dans les appareils protecteurs de la vue. Il, XIII 2 n. — sa merveilleuse prévoyance, qui ne fait jamais rien eu vain, II xiii 8. — son intelligence infinie, II xiv 2 4. — sa prévoyance ; compensations qu'elle établit dans la constitution générale des animaux, II xiv 4 n. — sa prévoyance ; elle ne fait rien en vain, III i 5. — divers moyens de défense qu'elle a ménagés aux animaux, III ii 2. — sa justification contre le Momus d'Esope, III ii 7. .— sa sagesse dans la composition des cornes, III ii 9 11. — sa prévoyance en cas de position défectueuse de l'artère, III iii 8. — sa prévoyance en séparant le haut et le bas dans l'animal, et en laissant la pensée dans uuc région plus calme, III x 2. — nouveau témoignage d'admiration d'Aristote pour la sagesse de la nature, III xi 2 n. — admiration bien connue d'Aristote pour sa sagesse, III xiv 19 n. — but qu'elle se propose toujours, IV ii 5 n. — membraneuse de l'épiploon, dans les animaux, terrestres ou aquatiques, qui ont du sang, IV iii 3. — son objet en donnant la sensibilité à divers animaux, IV v 35. — diverse des insectes, IV vi 2. — la nature n'employé qu'un or-gane à une seule fonction, toutes les fois qu'elle le peut. IV vi 8. — sa prévoyance daiis la distribution des organes, IV viii 6. — des quadrupèdes et des hommes ; des mollusques, des testacés et des crustacés, représentée graphiquement par une ligne droite recourbée d'une extrémité à l'autre, IV ix 3 4. — rapports que la nature a mis entre le manteau et les pieds des seiches, des teuthies et des polypes, IV ix 8. — et essence de l'homme, IV x 6. — haute estime de la nature de l'homme, que Socrate a proclamée le premier, IV x 6 n. — la sagesse de la nature attribue l'instrument à qui qui peut s'en servir ; elle a donné la maiiià l'être capable de pratiquer le plus d'industries et le plus d'arts, IV x 14 16. — des jambes de l'homme et des autres animaux, IV x 35. — sagesse de la nature, qui ne fait rien en vain, IV xiii 3. — histoire de la nature, M i 6. — admiration d'Aristote pour ses œuvres, M viii 1. — sa loi générale. M xi 6. — sa sagesse dans toutes ses œuvres, M XII 3. — admiration d'Aristote pour «es œuvres, M xiv 5 ii ; xvii 4 n. — sa sagesse, M xvii 5. — Aristote proclame qu'il n'y a pas de hasard dans la nature ; admiration et enthousiasme qu'elle lui inspire ; la nature ne fait jamais rien eu vain, P x. — histoire de la nature, expression unique dans les œuvres d'Aristote, D M. NAVIRE, comparaison de la forme de sa proue avec la conformation des oiseaux de proie, M x 7. — comparaison de la marche d'un navire de charge avec le vol des coléoptères , M x 5. NAXOS, citée pour ses moutons et ses chèvres, et pour l'excès de leur fiel, IV ii 3. NECESSAIRE, acceptions diverses où se prend ce mot, I i 9. — distinction qu'Aristote fait toujours des deux nuances de ce mot, 1 i 9 n. — explication des théories ordinaires d'Aristote sur le nécessaire hypothétique, IV ix 11 n. NECESSITE absolue ; nécessité hypothétique dans les choses de la nature, 1 i 9. — choses auxquelles elle s'applique, et choses auxquelles elle est inapplicable, I i 12. — ses deux faces définies dans les livres d'Aristote sur la Philosophie ; sa place dans la nature, I i 34 et suiv. — résultant dune hypothèse ; conditions qu'elle exige, I i 35 n. — bannie de l'étude de la nature par Déinocritc et Socrate, I i 37. — significations diverses de ce mot, I i 38. — de la position de l'artère et du pharynx, III iii 12. — qu'Aristote appelle hypothé-tique, M xi 1 n. — et cause de la conformation des pieds chez les polypodes privés de sang, M xvi 2 3. NEPTUNE, découverte de cette planète par M. Leverrier, M ii I n. NERFS de mouvement et nerfs de sensibilité,distinction attribuée à Rufus et que lui-même rapporte à Erasistrate, P LXV. NERITES, leur organisation, IV v 14. NEVROPTERES, leur appareil buccal, IV xii 3 n. NEWTON, cité sur la Physique, ouvrage dans lequel Aristote se montre son précurseur, P M 276. NEZ de l'éléphant, son organisation toute particulière, II xvi 2 et suiv. — chez les reptiles et les oiseaux, II xvi 7. NIOBE changée en pierre, exemple cité à l'appui de la théorie sur la vie, I i 25 n. NOMBRIL, il n'y en a pas chez les oiseaux, IV xii 10. NOURRITURE des animaux et des plantes ; d'où ils la tirent ; ses élaborations successives ; ses rapports avec le sang, II iii 6 11. — tous les animaux la recherchent avidement, II xvii 13. — et excréments chez les animaux, organes que la nature a destinés à leurs élaborations successives, III xiv 19 20. — des oiseaux, IV xii 6 n. NOUVELLE Méchanique des mouvements de l'homme et des animaux, ouvrage de Barthez, cité sur les profondes différences dans la station droite chez les oiseaux et chez l'homme, M v 4 n. — citée sur la reptation, M vii 6 n. — résumé de la théorie personnelle de Barthez sur le principe vital, P M 302 et suiv. Voir Barthez. NUTRITION, siège unique de la nutrition, de la locomotion et de la sensation, II i 15. — généralité de cette fonction dans toute la nature animée, II ni 6 n. — des végétaux, II iii 8 n. — l'organe de la nutrition détermine le haut dans l'animal et dans la plante, M iv 3 n. — Traité de la Nutrition, ouvrage d'Aristote, qui n'est pas parvenu jusqu'à nous, III v 6 n. — l'ouvrage spécial d'Aristote sur cette question n'est pas parvenu jusqu'à nous, III xiv 3 n. — le traité de la Nutrition ou de l'Alimentation, mentionné encore par Aristote dans d'autres ouvrages, n'est pas parveuujus-qu'à nous IV iv 3 n. — traité de la Nutrition, ouvrage perdu d'Aristote, P iv.
O
OBLIQUITE de la marche des crabes, M xiv 4 5 ; M xvi 3 ; xvii 2. Voir Crabes. OBSERVATION, première règle de la méthode d'Aristote ; erreur des Modernes sur sa découverte ; elle avait été comprise et pratiquée deux mille ans avant Bacon, son inventeur soi-disant, II 7 n. — méthode recommandée par Aristote, P viii. — des faits, recommandée avant tout par Aristote, P M 277. — anatomiques d'Aristote sur les veines et leur principe, III iv 9. — insuffisantes des Anciens sur la corrélation de la bile et de la longévité, IV ii 7 8. ODORAT, sens intermédiaire entre ceux du toucher et des saveurs, II x 6. — et ouïe, dans les poissons et autres animaux semblables, II x 7. ŒIL, sa constit ttion, II xii 1 et n. — organisation de l'œil et de la pupille, II xiii 2. — son organisation chez les oiseaux, Il xiii 1-6 et n. ŒSOPHAGE, fonction spéciale de cet organe, III iii 1 n. — organe du cou ; son rôle et son organisation; son point de départ ; sa position; sa nature. II iii 1-3. — sa nature, III iii 3 4 n. — sa position, III iii 5 n. — sa direction, III iii 12. — position nécessaire de l'œsophage, III iii 3. — de l'artère et du pharynx, III iii 12. — des céphalopodes, IV v 6 n. ŒUF, dans les bivalves, difficulté à expliquer ce que Aristote prend pour leur œuf, IV v 19 n. — des hérissons de mer, IV v 17. — leur grosseur pendant les pleines lunes; nécessité de leur nombre impair, IV v 20 21. — analogie de l'œuf chez les ovipares avec le lait des vivipares, IV xi 14. ŒUVRES conservées d'Aristote et œuvres ravies par le temps, leur nombre extraordinaire, P iv et suiv. — inachevées d'Aristote et regrets qu'elles nous inspirent, D cciv. OISEAU et OISEAUX, division vulgairement reçue qui les distingue «les poissons, malgré leurs analogies, I iv 2 n. -- nature de leurs os, II ix 10. — nature de leurs os; leur force; leur légèreté, II ix 10 n. — cause qui fait qu'ils n'ont pas d'oreilles, II xii 1. — organisation de leur œil, II xiii 1-6 et n. — appareils qui protègent la vue des oiseaux pesants, II xiii 1. — jeu de leurs paupières ; leur vue peu longue, II xiii 3. — de proie, leur vue perçante ; élévation prodigieuse de leur vol, II xiii 6. — n'ont pas de cils, II xiv 2. — leur nature ; leur organisation ; impossibilité qu'ils aient un nez, II xvi 8. — leur bec tenant lieu de dents et de lèvres, II xvi 10. — rapports que la conformation de l'oiseau peut avoir avec celle de l'homme, II xvi 10 n. — définition de leur voix, II xvii 4n. — organisation de leur langue ; voix variées des petits oiseaux ; ils se communiquent et s'instruisent entre eux, II xvii 4 5. — leur bec leur tient lieu de bouche ; différences du bec selon les espèces ; selon les usages auxquels il sert, et selon le secours dout l'animal a besoin,. III i 12-15. — ouverture de leur larynx, III iii 8 n. — nature de leur poumon, III vi 5. — degrés de leur chaleur intérieure, III vi 1 n. — dimension de leur rate, III vii 11. — absence de vessie chez les oiseaux, III viii 2. — quelques-uns ont des espèces de reins fort larges, III ix 1. — leur foie se rapproche de celui des vivipares ; couleur de leur foie ; leur organisation, III xii 2. — figure, position et couleur de leur foie, III xii 2 n. — différences que présente leur estomac ; leur gésier et sa fonction ; leur nourriture. III xiv 8-11. — appareil qui remplace chez eux celui de la mastication chez les mammifères, III xiv 9 et suiv. n. — cause de leur constitution pareille aux nains, IV x 11. — leurs paupières ; leur vue perçante ; leurs mâchoires, V xi 7. — organisation commune à tous les oiseaux; leur différence entre eux n'est que du plus au moins ; comparaison de leur organisation à celle des autres animaux, IV xii 12. — leurs ailes ; leur bec ; longueur de leur cou, suivant leur genre de vie ; flexions de leurs pattes, IV xii 2 et suiv. — particularité essentielle qui le sépare du reste des êtres, IV xii 2 n. — dont le cou dépasse le longueur des pattes, IV xii 3 n. — leur genre de vie ; leur nourriture ; leur constitution ; caractère essentiel de leur or-ganisation ; os qui leur est particulier, omis dans la description d'Aristote, IV xii 6 7 n. — nature de leur poitrine ; absence de nombril chez les oiseaux ; puissance ou faiblesse de leur vol, IV xii 9-11. — n'ont pas de nombril, IV xii 10. — n'ont pas d'ombilic; partie qui peut-être y répond, IV xii 10 n. — à serres crochues et à ergots ; nature de leurs corps ; usage de leurs moyens de défense, IV xii 12. — conformation de leur hanche ; leur nature ; nombre et disposition de leurs doigts, IV xii 20-23. — cause de la longueur de leur cou, IV xii 19 n. — erreur sur l'assimilation de leur bassiiià une cuisse ; position de leur tronc ; explication de Cuvier sur la cause qui fait qu'ils ne peuvent se teuir droits, IV xii 20 21 n. — ne se tient pas droit comme l'homme; conformation de sa hanche; nombre et disposition de ses doigts, IV xii 20-23. — masse de son corps, IV xiv 3. OISEAU, ses organes de locomotion ; flexions de ses appareils locomoteurs en sens inverses de ceux de l'homme, M i 3. — du haut et du devant dans ces animaux, M v 1. — vol des oiseaux et mouvement général des volatiles, M x 1 et suiv. — leur mouvement avec quatre appareils ; nécessité de l'action simultanée de leurs ailes et de leurs pattes, M x 1. — de grand vol, action de leurs pattes dans le vol, M x 4. — de proie, rapidité de leur vol ; conformation de leur tête, de leur cou et de leur thorax en vue du vol ; légèreté relative de leurs parties postérieures, M x 7 8. — leur c^ueue, calculée de manière a aider la locomotion, M x 8 n. — description qu'en fait Cuvier, M x 7 n; xi 3 n. — leur conformation par rapport à la station droite; organisation de leur hanche, qui fait comme une double cuisse ; sa fonction remarquable ; ne peuvent pas être droits comme l'homme, M xi 3 5. — sa conformation générale, M xi 3 M. — son organisation particulière, M xi 3 M. — sa station droite ; différences qu'elle présente avec celle de l'homme, M xi 5 n. — différences de leurs flexions avec celles de l'homme et des quadrupèdes, M xii 2. — flexions de leurs pattes ; rapports de leur nature avec celle des quadrupèdes ; rôle indispensable de leurs ailes, M xv 1 et suiv. — palmipèdes, leur organisation; position et nature de leurs pattes ; utilité de la disposition de ces pattes, M xvii 5. — comparaison des oiseaux et des poissons ; leurs différences ; leurs rapports à certains égards ; position des ailes chez les uns et des nageoires chez les autres ; différence de leur queue, M xviii 1 2. OMBILIC, ce qui le représente chez les oiseaux adultes, IV, xiii 10 n. ONDULATIONS nécessaires de la marche des auimaux saus pieds, et manières dont elles se .produisent, M ix 7. ONGLES, matière analogue aux os; leurs emplois; leur nature, II ix 14 15. — chez l'homme, leur conformation, IV x 21. — leur rôle ; différents chez l'homme de ce qu'ils sont chez les animaux, IV x 21 n. — Galien critique la théorie d'Aristote sur les ongles, P LXVIII. ONYCHOTEUTHIS, espèce de calmar, ainsi nommée dans la zoologie moderne, IV ix 7 n. OPHIDIENS, raison pour laquelle ils méritent spécialement le nom de reptiles, IV xi 2 n. — leur organisation ne comporte guère de cou, IV xi 11 n. — leur reptation est un des phénomènes de locomotion les plus remarquables, M viii 1 n. OPPOSES, servant à la méthode de division ; leurs différences, 1 iii 10. OPTIMISME, application de ce principe qu Aristote empruntait à l'école Platonicienne, IV x 15 et n. — principe qu'Aristote a toujours sou-tenu, IV xi 12 n; et IV xii 16 n. — principe posé par Aristote, M ii 2. — naturalistes qui s'y sont rangés ; sa nécessité pour la science, M ii 2 n. — qu'Aristote a toujours professé, sur les traces de Platon et de Socrate, M viii 1 n. — principe qu'Aristote invoque ordinairement, M xi 6 n. — application nouvelle qu'Aristote fait de cette théorie, dont il est un des défenseurs les plus autorisés, M iv 3 n. OPUSCULES psychologiques, ou Parva naturalia, d'Aristote, cités sur les fonctions des animaux, I i 4 n. — cités pour le traité de la Respiration, daus lequel Aristote réfute des théories antérieures à la sienne, I i 38 n. — cités sur des études spéciales qu'avait faites Aristote de quelques fonctions communes à tous les animaux, I v 13 n. — cités pour le traité spécial qu'Aristote a consacré au Sommeil, à la Veille, à la Vieillesse, etc., II ii 10 n. — traité spécial de la Respiration, cité pour les opinions qu'Aristote y réfute sur la respiration, III i 9 n. — les traités du Sommeil, de la Jeunesse, du Mouvement, cités sur les fonctions essentielles attribuées au cœur, III iii 12 n; III iv 9 n. — cités sur la théorie de la sensibilité, III v 3 n. — traité de la Longévité, cité sur les animaux qui n'ont pas de sang, III x 8 n. — du Sommeil, cité sur le traité de l'Alimentation ou nutrition, mentionné encore par Aristote dans d'autres ouvrages, IV îv 3 n. — traité de la Respiration, cité sur l'étude des branchies, IV xiii 9 n. — et Histoire des Animaux, cités sur le renvoi qu'y fait Aristote, dans son traité delà Respiration, pour le mécanisme de la respiration chez les cétacés à évent, IV xiii 17 n. — d'Aristote, leur caractère, P iv. — le traite du Mouvement dans les animaux, cité pour les principes généraux du mouvement, M ii 4 n, — cité sur le jugement des commentateurs dans l'Antiquité, relativement à l'au-thenticité du traité de la Marche des animaux, D M 318. — cités sur des ouvrages qui en font partie, D M 318. OPUSCULES de M. Titze (1819 et 1826), cités sur le déplacement du premier livre du traité des Parties des animaux, D cc. ORANGS, sont les singes proprement dits ; Buffbn en faisait sa première classe ; leur conformation, IV x 38 n. ORDRE admirable de l'univers, I i 30. OREILLES dans les quadrupèdes; leur position apparente et réelle; leur utilité, II xi 1. ORGANES, qui se résolvent défi-nitivement en parties similaires, II i 8 et n. — sens divers de ce mot, II ii, 12 n. — intérieurs, dépendant du cœur, dans les animaux ; leur composition ; leur nature, II i 16 17. — des poissons, II x 7 n. — de la voix et ses emplois divers, II xvi 13 n. — différences des organes qui, dans les animaux, leur sont utiles à l'attaque et à la défense, III i 6 7. — dans lequel la nature a réuni diverses fonctions : pour la respiration, pour le langage et pour le combat, III i 10. — différents, que renferme le cou, III iii 1. — destinés à l'élaboration successive des aliments, III xiv 19. — de l'alimentation, chez les animaux qui n'ont pas de sang, IV v 1 et suiv. — de l'alimentation, chez tous les animaux inférieurs, IV v 32. — différences qu'ils présentent, IV v 36. — sexuels, chez l'homme et leur dispo-sition spéciale, IV x 33. — qui se trouvent dans la tète es poissons, IV xiii 9. — locomoteurs ; leur nombre variable, mais toujours pair, M i 1 3. — correspondants à ceux des autres animaux oui servent à la locomotion, M i 3 n. — des sens chez l'homme et leur direction, M iv 4 n. ORGANISATION diverse des animaux, II viii 3 et suiv. — des insectes et des mollusques, tout l'opposé de celle des crustacés et des testacés, II viii 6. — générale du système osseux dans les animaux, en vue des flexions et des mouvements, mais surtout en vue de la solidité et de la conservation du corps, II ix 5. — de la tête de l'homme, qui n'est pas charnue ; erreurs à ce sujet, II x 4. — double, des sens et dans la langue, II x 12 n. — de l'œil et de la pupille chez l'homme et chez certains animaux, II xiii 2. — de la langue de l'homme et des animaux, II xvii 2. — du . diaphragme dans les animaux qui ont du sang, III x 3. — singulière des hérissons de mer, IV v 17. — organisation humaine, IV x 35 36 n. — double de l'autruche, ou moineau de Libye, IV xiv 1 et suiv. ORIBASE, sa patrie ; médecin et ami de l'Empereur Julien ; son immense collection, faite par l'ordre de l'empereur ; aperçu de cet ouvrage ; incertitude sur ses études de phy-siologie comparée, P LXIX. — ses travaux physiologiques, P LXIX et LXX. — médecins fameux auxquels il a emprunté son utile recueil ; médeciiide Julien, P LXX. ORIGINE des choses, théorie combattue par Aristote, I i 30 n. — du monde, cause à laquelle il la faudrait rapporter, si toutefois il a une origine, I i 30. ORIGINE de la moelle et des os,II vi 4 n. ORTHOPTERES, second ordre des insectes ; nombre de leurs pattes, IV vi 10 n. ORYX OU Pasan, n'a qu'une corne et le pied fourchu ; explication de cette anomalie, II ii 5 6. -- Os du crâne de l'homme et des quadrumanes, II vii 15 n. — leur rôle dans les animaux, et râle des parties correspondantes ; leur cause; leur na-ture propre, Il viii 3. — de la seiche ; sa composition ; son emploi, II viii 1 n. — et veines, leurs ressemblances et leurs différences, II ix 1. — qui composent le squelette, et os isolés dans l'homme, II ix 1 n. — comparaison du système des os et du système des veines, II ix 1 3 n. — nécessité de leur continuité ; leur principe, II ix 2 4. — objet de leurs jonctions entre eux, II ix 5 n. — leur dureté plus ou moins grande, II ix 8 10. — des oiseaux, leur nature ; leur force ; leur légèreté, II ix 10 n. — rapport des os et des cornes ; rapport des cornes avec les os et les crocs, III ii 12. — rôle qu'ils jouent relativement aux mus-cles, III vi 1 n. — et veines, leurs rapports, P xxxii. — ce qu'il y a de commun entre eux, ibid. OSSELET, son usage dans les animaux qui l'ont, et sa position, IV x 41 42. — rôle de l'osselet dans les animaux qui ont cet os, IV x 41 et n. OSSEUX, système osseux dans les animaux, son organisation générale en vue des flexions et des mouvements, mais surtout eu vue de la solidité et de la conservation du corps, Il ix 5. OSTEOLOGIE, erreur d'Aristote sur les os du cou chez le loup et le lion, IV x 5 n. OUÏE et vue, pourquoi ces deux sens sont surtout dans la tète, II x 6. — l'une est à la circonférence, et l'autre en avant, II x 11. — et odorat, dans les poissons et autres animaux semblables, Il x 7. — ses rapports avec la vue, II x 10 n. — étude sur ses organes ; une des moins avancées de toute la science, Il xi 2 n. OURS, leur toupet de crins ; leur queue, II xiv 3 4. OURSINS DE MER, leur organisation ; leur partie mangeable ; leurs prétendus œufs, IV v 17 18 n. — situation de leurs cinq ovaires; leurs cinq dents; n'ont pas cinq estomacs; composition de leur corps, IV v 21 n. — leur division en cinq compartiments, IV v 23 n. — leur mouvement ; leurs pieds, IV v 24 n. OUTARDE, nombre de ses doigts, IV xiii 22 n. OUVRAGES spéciaux d'Aristote sur quelques fonctions communes aux animaux, I i 4 n. — divers d'Aristote, cités par lui-même, I i 11. — d'Aristote, auxquels l'auteur fait allusion, II i 2 it. — d'Aristote, cités sur l'action et les causes du froid, II ii 20. —. divers d'histoire naturelle, cités sur les rapports des sent avec l'eucéphale, II vii 3 n. — d'Aristote, sur les Plantes en deux livres, II x 2 n. — spéciaux d'anatomie, qu'Aristote avait composés, III v 13 -- cités par Aristote sur la différence du suif et de la graisse, III ix 7. — d'Aristote, cités par l'auteur sur les animaux qui vivent encore longtemps après qu'on les a décapités, III x 8. — d'Aristote, qui traitent de la Génération et de la Nourriture, cités par lui sur l'explication de la double fonction des intestins, III xiv 3. — d'Anatomie et Histoire des animaux, cités à propos des organes sexuels, IV x 32. — consacrés par Aristote à l'anatomie, ne sont pas parvenus jusqu'à nous, IV x 32 n. — perdus d'Aristote, sur les plantes, M iv 1 n. — d'Aristote, consacrés à la théorie du mouvement, P M 275. — physiologiques d'Aristote, cités par Claude Perrault, P M 301. OVIDE, ses vers admirables sur l'homme, M v 3 n. OVIPARES, organisation de leur langue ; inutile pour la fonction de la voix, II xvii 6. — dimensions et nature de leur rate, III vii 11. — différences de leurs viscères avec ceux des poissons et des vivipares, III xii 2. — quadrupèdes ovipares, étude de leurs intestins et de leur estomac, IV 11. — rapprochement de leur forme de celle des vivipares ; leur langue, IV xi 2. — forme de leurs dents ; leurs organes des sens, IV xi 5.
P
PACHYDERMES à sabot; leurs stylets, qui représentent deux doigts latéraux, IV x 21 n PALAIS des poissons ; sa nature, II xvii 11. PALEONTOLOGIE, science créée par les recherches de Cuvier sur les ossements fossiles, P XCIII. PALMIPEDES, nature et utilité de leur bec, III i 14. — description de leur bec, III i 14 n. — longueur de leur cou suivant leur genre de vie, IV xii 3. — longueur de leur cou, IV xii 3 n. — leurs pieds divisés, IV xii 4. — conformation de leurs pieds, IV xii 16 n. — leur organisation ; disposition de leurs pieds, IV xii 15 16. — nombre de leurs doigts, IV xii 22. — ordre qu'ils forment dans la zoologie moderne; nature de leurs tarses, M xvii 3 n. PAON, direction de son vol, M x 3. — inutilité de sa queue relativement au vol, M x 6 et n. — époque où il a toute s;i queue; celle où il la perd, et celle où il la reprend, M x 6 n. PARE (Ambroise), cité sur la première des règles qu'a tracées Aristote en histoire naturelle, P vi. — le plus savant des anatomistes français de son temps ; rois dont il a été le chirurgien; son principal ouvrage; son étude de physiologie comparée dans son « Livre des animaux et de l'excellence de l'homme » ; époque de sa mort, P LXXX. PARENT, critiqué par Barthez pour son opinion sur les causes du mouvement, P M 304. PARMENIDE et EMPEDOCLE, leurs contradictions sur les principes du chaud et du froid dans les animaux, II ii 8. PARMENIDE, sa théorie du chaud et du froid; ses travaux physiologiques, II ii 8 n. PARTIES similaires dans les animaux et parties non-similaires , formant la seconde et la troisième combinaisons des premiers éléments, II i 3. — similaires et non-similaires, dans l'organisation des animaux; fonctions des unes et des autres ; simplicité des parties similaires; complexité des parties non-similaires, II i 7-12. — similaires et parties non-similaires; rôle des parties liquides et solides, sèches et molles, II ii 1-4. — liquides et solides du corps, II ii 3 n. — définition de cette expression, dont Temploi devra être fréquent en histoire naturelle, il v 13. — similaires, matières qu'elles comprennent, II viii1 n. — essentielles des animaux, à l'exclusion des plantes; nouvelles considérations sur cette étude, II x 1 et suiv. — essentielles à l'animal, II x 1 n. — diverses, qui forment l'intestiiidans les animaux, III xiv 18. — distinction entre les parties similaires et les parties non-similaires, P xii. — liquides, indispensables au développement de l'animal, P xiii. — similaires, étude physiologique d'Aristote sur ces parties, P xxxiv. — complexes et non homogènes, P xxxiv. —étude physiologique d'Aristote des parties similaires ou élémentaires des animaux. P xxxiv et suiv. — partie de l'animal qui comprime ; partie comprimée dans ses mouvements de locomotion, M iii 5. — du mouvement, l'une qui se meut, l'autre qui est immobile; point commun à toutes deux, M vi 1. — postérieures du corps des oiseaux de proie; leur légèreté relative, M x 8. — rapport des parties supérieures et des parties inférieures du corps de l'animal, M xi 1. PARTIES des animaux, traité d'Aristote, théorie de la méthode en histoire naturelle, placée au début de cet ouvrage d'a-natomie comparée, I i 1 n. — ordre suivi par l'auteur dans cet ouvrage; sujet qu'il y traite; II i 1 n. — Dissertation sur la composition de cet ouvrage, citée sur le désordre de la fiiidu quatrième livre, IV v 38 n. — son objet est d'expliquer le mécanisme des fonctions de chaque orgaue et de chaque viscère, IV xi 1 n. — objet de cette étude dans le premier livre tout entier, M i 1 n. — sujet de cet ouvrage, M i 1 n. — cité sur l'identification du halos, M ix 11 n. — cité sur la maiiide l'homme et sa prodigieuse organisation, M xii 7 n. — indication de la suite et du complément régulier de cet ouvrage, M xix 3 n. — place que ce traité occu4 e dans le système zoologique d'Aristote ; caractère de cet ouvrage ; analyse de ses quatre livres, P i et suiv. — science inaugurée dans cet ouvrage, V iii. — sujet du premier livre de cet ouvrage, P v. — emprunts que Pline a faits à ce traité, P LXII. — authenticité de cet ouvrage d'Aristote, D cxci. — appréciation impartiale de cet ouvrage, D cxcviii. — nouvelle preuve de l'authenticité de ce traité, D cxcviii. — ce traité est une théorie de physiologie et d anatomie comparée, D ccii. — et Histoire des Animaux; différence entre les sujets de ces deux ouvrages, D cciv. — cité pour la durée de l'interruption de cette étude, P M 290. — ses citations du traité de la Marche des Animaux, D M 318. — travaux auxquels on le compare, D M 320. Voir Aristote. PARVA NATURALIA , opuscules psychologiques d'Aristote, cités sur les fonctions des animaux, II 4 n. Voir Opuscules. PASCAL, son mot cité sur l'intelligence de l'homme et la richesse infinie de la nature, P xvi. — seul a surpassé la profonde et éloquente tristesse de Pline, en parlant de l'homme, P i.xiii. — son ciron. P CLXIV. PASSAGE de l'animal à la plante; difficulté de cette question, IV x 12 n. PASSEREAU de Libye (autruche), a des cils ; explication de son organisation renvoyée à une étude ultérieure, II xiv 1. Voir Autruche. PATRIZZI , veut déplacer le premier livre du traité des Parties des Animaux, D cc. — hypothèses qu'il avance dans ses Discussions péripatétiques pour le déplacement du traité des Parties des Animaux, D ibid. PATTES, relation des pattes et des ailes des insectes, IV vi 1. — des insectes; différences dans leur longueur, IV vi 9 et n. — des insectes; leur nom-bre et leur position ; organisation des pattes dans les insectes cjui sautent, IV vi 9 10. — action simultanée des pattes et des ailes daus le vol des oiseaux, M x 1. — leur action daus le vol des oiseaux de grand vol, M x 4. — de devant des quadrupèdes; leurs flexions, M xii 7 et suiv. — leurs flexions chez les oiseaux, M xv 1. — leur organisation chez les oiseaux pal-mipèdes; utilité de leur disposition pour nager, M xvii 5. PAUPIERES, leurs fonctions, II xiii 1n. — différences du jeu des paupières chez les différentes espèces d'animaux, II xiii 2 et suiv. — troisième paupière des oiseaux; des quadrupèdes ovipares, II xiii 5 6 n. — des oiseaux, IV xi 6. PEAU des mollusques, IV ix 5 n. — des poissons, IV xiii 14. PEIGNES, leur organisation , IV v 22. — et huîtres, leur classification selon Cuvier, IV v 22 n. — leur organisation, IV vii 2. PENSEE, son rapport avec le cœur, III x 3. — d'Aristote, reproduite en termes simples et grands par Pline : " nudum et iiinudà humo ", IV x 16 n. PERES et fondateurs de la physiologie comparée, daus les temps modernes, P LXXVII. PERGAME, en Mysie, patrie de Galion, P LXVI. PERIPATETISME, ses progrès dans la physiologie, inaugurée par le maître, P LVIII. — cité sur l'idée de Dieu, P CLXXIX. PERRAULT (1613-1688). Claude, géomètre et architecte, n'a pas commis la même faute que Borelli ; son ouvrage " De la Méchaniijue des animaux " ; ses théories sur le mouvement animal, fondées sur des recherches anatomiques fort étendues, P M 297. — ses travaux mis en parallèle avec ceux de Borelli, de Fabrice et d'Aristote; cas qu'il fait du père de la science, P M 298 et suiv. PERRAULT (Claude), son ouvrage «le la Méchanique des Animaux, cité sur le principe des causes finales et de l'optimisme, M II 2 n. — cité sur la reptation, M vii 6 n. — cité sur le mouvement des ailes «le l'oiseau, M îx 10 n. —son ouvrage sur la Méchauique des Animaux, P M 297. — analyse de cet ouvrage, ibid. et suiv. PERRIER (M. Edmond), son ouvrage : Auatomie et physiologie animales, cité sur la formation du chyle et l'action des vaisseaux lymphatiques, II iv 6 n. — cité sur la distinction du cartilage et de l'os, II ix 12 n. PERROQUET, nature de sa langue. II xvii 4 n. PETTIGREW (M. J. Bell), citation de ses travaux spéciaux sur la locomotion chez les animaux ; appréciation de ses recherches ; courte analyse de son ouvrage, P M 310. n — admirateur passionné de la nature comme Agassi/.; très-sérieux progrès qu'il au-ra fait faire à la science de la locomotion, P M 311 et suiv. PETTIGREW (M. J. Bell), cité sur les causes finales et l'optimisme, M ii 2 n. — son ouvrage sur la Locomotion chez les animaux, cité sur la reptation, M vii 6 n. — sur le mouvement des ailes de l'oiseau, M ix 10 n. — cité sur un mot unique pour l'aile de l'insecte et pour l'aile de l'oiseau, M x 2 n. — cité sur l'analyse des mouvements «les chevaux, et «les animaux du même genre, M xiv 3 n. — son heureuse expression sur le vol, mouvement des oiseaux, M xv 1 n. — son excellent ouvrage sur la Loco-motion chez les animaux, P M 310. — analyse de cet ou-\rage, ibid. et suiv. Voir Bell Pettigrew. PHARYNX, erreur d'Aristote sur cet organe, III iii 1 n. — conjecture au sujet de cette erreur, III iii 12 n. — office que le pharynx remplit ; sa nature, III iii 14 n. — organe du cou; sa destination; sa nature ; rôle du pharynx dans ia voix, III iii 1 4. — manière dont il supplée à l'épiglotte chez les animaux qui n'ont pas de poumon ; nécessité de sa position; sa direction, III iii 8 12. PHEDRE de Platon, trad. de M Y. Cousin, cité sur la représentation des Amours, auxquels on prêtait des ailes, M xi 5 n. PHENOMENES communs que présentent tous les animaux, I i 3. PHILIPPE II, cité à propos de Vésale, son médecin, dont il fut Je défenseur contre les persécutions aveugles de l'Inquisition, P LXXVIII. PHILOSOPHES antérieurs à Aristote ; leurs théories sur la production des choses, I 113. — anciens; leur principe de la matière dans l'étude de la nature, I i 18. — doctrine à laquelle seule ils s'étaient arrêtés presque tous, I i 21 n. — leur doctrine. I i 31 n. —- critique de leur méthode de division, I ii 1. — condamnation absolue de leur méthode de division par deux, I iii 15-18. — leurs contradictions sur le chaud et le fr«>id dans les animaux II ii 7 8. — hypothèse de quelques-uns sur l'àme de l'animal, II vii 4. — les plus savants ont cru à une peusée divine dans l'univers; P CLXXIII. PHILOSOPHIE, de la Philosophie, ouvrage d'Aristote, cité,I i 34. — sujets dont traite la philosophie. I v 3. — aristotélique, grand principe qu'elle a mis en lumière, II xiv 2 n. — considérations générales qui lui appartiennent bien plus qu'à l'histoire naturelle, IV x 4 n. — de la Nature, sortie de l'école de Schelliug ; son peu de fondement; citée à propos de la doctrine de Darwin, P cxxii. — rapports de la philosophie avec la science, PCXLV. — du xixe siècle, abime dont elle s'est dégagée, grâce surtout à M. V. Cousin, P CLXXVII. — grecque, citée pour sa conception «le l'idée de Dieu, P CLXXVIII. — ses rapports avec les scieuces spéciales, P CLXXX. — son devoir exclusif envers les autres scieuces, P CLXXXI. — sa prédominance sur les autres sciences, P CLXXXI. — ses relations avec la science, P CLXXXII. — rapports de la philosophie et des sciences ; questions qu'elle a étudiées, P CLXXXII. — sa véritable notion, P CLXXXIV. — sciences qu'elle comprend à son début; source de tout savoir dans la Grèce et dans l'Inde, P CLXXXIV. PHOQUE, particularité que présente son organisation, II xii 1 et n. — seul parmi les vivipares n'a pas d'oreilles, II xii 2. — nature de ses reins. III ix 3. — formation de ses reius, III ix 3 n. — n'a pas de liel, IV ii 2. — forme de sa langue; sa nature, IV xi 5. — conformation de sa laugue, IV xi 5 n. — son organisation équivoque, IV xiii 18. — phoques rapprochés des chauves-souris ; organisation de leurs pieds et de leurs doigts. IV xiii 18 n. — leur mouvement; leur nature imparfaite, rapprochée de celle des crustacés, M xix 1. — quadrupède incomplet; sa classification; caractère secondaire dans cet animal, M xix 1 n. PHRENIQUE, mot qui dans la langue grecque répond à ce mot ; son application, III x 3 n. PHYSIOLOGIE; détails physiologiques et anatomiques inconnus à Aristote; leur découverte, II i 15 n. — difficulté et délicatesse de la physiologie et de l'anatomie des viscères, II i 17 n. — moderne, son étude sur l'encéphale par rapport aux nerfs et aux sensations, II x 12 n. — citée sur l'organisation de la vue chez les pigeons, Il xiii 3 n. — ses observations sur les rapports nécessaires des viscères entre eux, IV x 4 n. — générale ou biologie; une de ses questions les plus curieuses et les plus difficiles, c'est le passage de l'animal à la plante, IV x 12 n. — moderne, citée sur l'étude du cou des serpents, IV xi 11 n. — comparée, qu'Aristote a faite dans tout son traité des Parties des Animaux, IV xiv 4 n. —comparée, de M. G. Colin, 2e édit.. citée sur la partie de la lan-gue qui donne plus particulièrement la sensation de la saveur, IV xi 3 n. — comparer, de M. G. Colin, citée pour le saut des animaux et pour le jeu de leurs flexions, M iii 14 n — moderne, citée sur la prédominance de la droite dans l'animal, M iv 7 n. — comparée de M. G. Colin, citée sur les profondes différences dans la station droite chez les oiseaux et chez l'homme. M v 4 n. — citée sur la reptation, M viii 6 n. — moderne, citée sur la cause du nombre pair des pieds chez les animaux, M viii 4 n. PHYSIOLOGIE, origine de celte science, P ii. — comparée, anatomie comparée ; application de ces noms au traité des Parties des Animaux, P iii. — d'Aristote, appuyée sur une anatomie curieuse et attentive, P iv. — comparée, science fondée par Aristote, trois cent trente ans avant l'ère chrétienne. P iv. — comparée, étude remplissant les trois derniers livres du traité des Parties des Animaux, P xi. — moderne, son étude sur la graisse et ses observations, P xxi. — moderne, supériorité de ses études sur le cerveau, comparées à celles d'Aristote, P xxxi. — du Timée de Platon, P LV. — avant Aristote; physiologie de Platon dans le Timée, P LV. — fondée par Aristote: son his-toire après lui, P LVI et suiv. — revue historique de cette science; progrès qu'elle a faits depuis Aristote, P I.MI et suiv. — résumé de son histoire, P LVII et suiv. — oubliée pendant de longs siècles de stérilité, P LXXII. — ses progrès en quatre siècles, P LXXX et suiv. — époque où l'idée complète de cette scieu-cv a été entrevue et presque conquise. P LXXXII. — résumé de son histoire, P CXL. — son état actuel, P CXLV. — comparée, partie de l'histoire naturelle ; sa définition, P CXLVIII. — difficulté et profondeur de cette science, P CXLVIII. — comparée, objets de la physiologie, de la zoologie et de l'anatomie comparée; confusion de ces trois sciences dans l'œuvre d'Aristote, P CLI. — leur ordre respectif, P CLII et suiv. — comparée, anatomie comparée : cercle dans lequel se meuvent ces sciences, P CLII et suiv. — dernière des sciences qui se partagent le règne animal ; son étude ardue; profondeur de cette science; causes qui l'ont portée à se faire une science expérimentale, P CLIII. — son rôle, P CLIII. — la plus difficile des sciences zoologi-ques, P CLIII. — ne doit pas être purement expérimentale, P CLVI. — conclusion sur la physiologie comparée d'Aristote, P CLXXXVIII. — comparée de M. G. Colin, citée, P M 310. — travaux de physiologie qui depuis deux siècles ont été consacrés à la même question qu'étudie le traité de la Marche des Animaux, D M 319. PHYSIOLOGISTES , ou Physiologues, leurs systèmes sur les origines et les causes de la figure des êtres, I i 23. — modernes, leur explication du rire, III x 5 n. — leur opinion sur les conditions du mouvement, M III 2 n. — contemporains, leur étude du vol et de la natation, qu'ils rapprochent à l'exemple d'Aristote, M ix 10 n. PHYSIOLOGUES OU physiologistes, leur erreur sur les sens qu'ils accouplent avec les éléments. II i 13. PHYSIQUE d'Aristote, ouvrage auquel il fait allusion, II i 2 n. — citée sur la distinction des deux nuauces du Nécessaire, I i 11 12 n. — citée sur le cas qu'Aristote faisait d'Empédo-cle, philosophe sicilien, I i 15 n. — citée sur une comparaison entre les produits de l'art et les produits spontanés, I i 16 n. — citée sur un important ouvrage d'Aristote, dans lequel il parlait des deux faces de la Nécessité, I i 34 n. — est une théorie générale du mouvement, D M 276. — théorie complète du mouvement ; Aristote s'y montre le précurseur de Descartes, de Newton et de Laplace, P M ibid. — citée pour les principes généraux du mouvement. M ii 4 n. PHYSIQUE, son devoir dans l'étude de rame; choses abstraites qu'elle n'a point à étudier, I i 27 29. — et chimie modernes, leurs théories sur les distinctions de la chaleur, analogues à celles d'Aristote, II II 21 n. — ses rapports avec le moral dans les animaux, III iv 20 n. PIEDS de l'éléphant ; leur fonction ; leur inaptitude naturelle, II xvi 5. — des crustacés et leurs usages divers. IV viii 4. — des mollusques et leur disposition, IV ix 1. — chez les mollusques, peuvent être pris pour des bras; leur nature; leur mouvement, IV ix 6 n. — des seiches, leur nombre ; leur grandeur : leur mouvement, IV ix 8 n. — rapports entre les pieds et le mauteau chez les seiches, les teuthies et les polypes, IV ix 8. — des quadrupèdes, soli-pèdes, fissipèdes, polydactyles, IV x 40, — de l'homme, leur organisation particulière ; leurs divisions ; longueur des doigts, IV x 43 44. — pied de l'homme, véritable raison de sa conformation, IV x 43 n. — de l'homme ; embarras à le mieux expliquer de nos jours que ne le fait le naturaliste grec, IV x 43 44 n. — pieds des oiseaux; leur organi-sation ; leur disposition, IV xii 16 18. — de l'animal toujours en nombre pair, P M 282. — définition du pied; ce nom semble être tiré, dans la langue grecque, du mot de Plan, M v 2. — sa définition moins complète que l'auteur ne semble e croire, M v 2 n. — pieds des animaux sont toujours en nombre pair; impossibilité de marcher sur trois pieds, M viii 3 4. — flexion des pieds et des bras chez l'homme, M xii 5 6. — des langoustes, faits pour nager et non pour marcher; des crabes, faits pour marcher plus que pour nager; leur flexion oblique, M xvii 1. PIGEON, jeu de ses paupières, II xiii 3. — dimension de sa rate, III vii 9. PINCES, matière analogue aux os, leur emploi ; leur nature, II îx 14 15 n — des crabes et leurs différences, IV viii 6. — droite des crabes, indiquant qu'il y a en eux une sorte de droite et de gauche, M xix 2. PIQUANTS des hérissons de mer, et leur emploi, IV v 25. PLACE du traité des Parties des animaux clans le système zoologique d'Aristote, P 1 et suiv. PLAN qu'Aristote se trace dans l'Histoire des animaux, et qui se déroule daus les neuf livres dont l'œuvre entière est composée, D M cci. PLANTE. distinction de la plante et de l'animal, Il i 15 n. — rapprochement des plantes cl des animaux, comme on le comprenait au temps d'Aristote, II x 1 n. — organisation de quelques-unes, IV v 28. -- leurs rapports avec les animaux inférieurs, IV v 30. — rapports des plantes et des insectes, IV vi 4. — leur organisation analogue à celle des testacés, IV vii 3. — fonction de leurs racines ; position et formation de la graine, IV x 12. — le haut de la plante est sa racine, P M 278. — dimensions de l'étendue qui s'y retrouvent, mais dont la position est renversée, M iv 12. — haut dans la plante, et haut dans l'animal. M iv 1-3 n. — organe de nutrition qui représente le haut dans les plantes, M iv 3 n; M v 3 n. — direction de leur haut; cause de cette disposition, M v 3 n. — Aristote annonce des études ultérieures sur la nature qui leur est propre, II x 2. — traité des Plantes, mis à tort parmi les œuvres d'Aristote, II x 2 n. PLATON, ses dialogues cités sur l'application de la dichotomie, I iii 1 n. — son école; allusion qu'y fait Aristote, I iii15 n. — son Timée, cité pour la solennité de son style, malgré les imperfections qui le déparent, I v 3 n. — ses théories physiologiques, citées à propos des théories aristotéliques sur l'organisation «lu cerveau, II vii 5 7 n. — maître d'Aristote; leurs théories communes ou opposées. II x 3 n. — son Timée, réfutation de l'opinion qu il y exprime sur la respiration. III i 9 n. — son Timée, cité sur des métaphores peu habituelles à Aristote. III x 2 n. — son Timée, trad. V. Cousin, cité sur les distinctions des différentes dimensions de la grandeur ou de l'espace, M ii 2 n. — son Timée, trad. V. Cousin, cité sur les sens de l'expression : le Tout, M iv 3 n. — cité sur le fondement de l'optimisme, M viii 1 n. — le Phèdre et le Banquet, trad. de M. V. Cousin, cités sur la représentation des Amours, auxquels on prêtait des ailes, M xi 5 n. — sa physiologie humaine, P LIV. — valeur physiologique de son Timée, P LV. — sentiments sur la nature exprimés dans le Timée, P LV et suiv. — ce qui manque à sa physiologie ; sa vraie gloire, P LVII. — son Timée traduit par Cicéron,, P LIX. — sa méthode de dichotomie dans le Sophiste et le Politique, combattue par Aristote et par Galien, P LXIX. — cité pour prouver l'action dune intelligence infinie dans l'univers, P CLXXIII. PLATONISME, Aristote revient à la théorie des Idées, sans peut-être eu avoir conscience, en traitant d'une des théories les plus importantes de son système, II i 4 n. PLINE, reproduit une pensée d'Aristote " Nudum et nuda humo » ; cité sur une explication qu'il n'a pas recueillie, IV x 16 17 n. — son histoire naturelle analysée, P LXI ; citée passim. — son Encyclopédie ; sou admiration pour Aristote ; emprunts qu'il fait à l'Histoire des animaux et au traité des Parties ; son défaut; mérite de sa vaste compilation ; progrès de sa physiologie comparée, P I.XI et suiv. — cité comme héritier de la physiologie comparée d'Aristote, P LXII et suiv. — les premières traces de la science de l'anthropologie, que le xixc siècle se flatte d'avoir inventée, se trouvent dans le septième livre de son Histoire naturelle ; manière dont il a parlé de l'homme, surpassée par Pascal seul, P LXIII. — cité sur l'expression d'Histoire naturelle, qu'il a employée le premier; son en-cyclopédie ; son intention ; sa prétention légitime pour un citoyen de Rome, P CXLV. — a parlé le premier d'histoire naturelle, P CXLV. — analyse sommaire de son ouvrage, P CXLVI et suiv. — édition et traduction de M. E. Littré, ses nombreuses citations des ouvrages d'Aristote à l'appui de l'authenticité du traité des Parties des animaux ; son étude spéciale des parties dont se compose le corps des animaux. D M CXCII. — connaît, mais ne cite pas le traité des Parties des Animaux, D cxciii. PLONGEURS, leurs instruments pour respirer et pouvoir rester au fond de la mer, II xvi 3, — l'art du plongeur dans l'Antiquité. II xvi 3 n. PLUIE, théorie de la pluie, à l'époque où Aristote la conçoit, II vii 8 n. PLUMES des oiseaux, leurs divisions, IV xii 2. — de l'autruche, leur particularité, IV xiv 1 n. PLUTARQUE, ses emprunts à la zoologie d'Aristote, D cxcii. — ouvrage auquel il parait s'être attaché, en reproduisant les travaux d'Aristote, D ibid, PODOPHTHALMES, la science moderne les distingue parmi les décapodes: leur définition. M xiv 5 n. POETE, son « Caelum que tueri etc. ", est la répétition d'une pensée d'Aristote, M v 3 n. Voir Ovide. — imagination des poètes rêvant des ailes pour.l'homme, M xi 6 n. POIDS DU CORPS, son déplacement successif sur l'une et l'autre jambe dans la locomotion, M xii 3. POILS, relation étroite des poils et des cils, II xiv 1 et n. — dans les animaux et leur utilité, II xiv 2 et suiv. POINT précis où se fait la sépa-. ration de ce qui nourrit et de ce qui ne peut plus nourrir, dans le corps des animaux, III xiv 21 22. — d'inertie, théorie sur cette question, M vi 2. — nécessité d'uu point d'inertie dans les mouvements de progression, M ix 1. POISSONS, division vulgairement reçue qui les distingue des oiseaux, malgré leurs analogies, I iv 2 n. — conformation de leur arête, dont la moelle semble uuir les diverses vertèbres, II vi 5 6 n. — leur organisation, II viii 3. — leurs deux grandes divisions, dont la nomenclature moderne a conservé quelque chose, II viii 3 n. — ont une arête à la place des os, II ix 10. — leur odorat et leur ouïe, II x 7. — distinction de leurs organes, II x 7 n. — n'ont pas de paupières ; dureté de leurs yeux, II xiii 7 8. — explication de leur respiration, II xvi 9. — leur appareil respiratoire ; erreur d'Aristote, II xvi 9 n. — organisation de leur bouche et de leur langue ; raison qui fait que la langue est à peine sensible chez eux. II xvii 8 n. — seule fonction de leur langue: conformation de leur bouche, II xvii 8 n. — ont des dents sur la langue et sur le palais ; cause de cette organisation, III i 8. — organisation de leur bouche, III i 11. — n'ont pas de cou, III iii 1. — explication sur la cause de la position de leur cœur, III iv 15. — position de leur cœur, III iv 15 n. — ont des branchies au lieu de poumons, III vi 2. — dimension de leur rate, III vii 11. — absence de vessie chez les poissons, III viii 2. — différences de leurs viscères avec ceux des vivipares et des ovipares, III xii 2. — leurs dents ; leurs estomacs ; leurs appendices intestinaux ; leur gloutonnerie, III xiv 12-15. — leurs dents ; leur différence de forme et de position, III xiv 12 n. — leur organisation générale, III xiv 15 et n. — analogies des poissons et des reptiles; leur différence. IV i 2. — ressemblance des poissons et des serpents, IV i 2 n. — couleur de leurs excréments ; leur estomac et leurs intestins, IV i 3-4. — volume de leur foie ; situation variable de leur vésicule, IV il 1 n. — position de leur bile, IV ii 1-4. — cause de leur constitution, pareille à celle des nains, IV x 11. — leur langue ; leur sens du goût, IV xi 2. — forme de leurs dents; organisation de leurs yeux, IV xi 3. — cause de leur voracité bien connue. IV xi 3 n. — mouvement de leurs mâchoires. IV xi 7. — forme de leur corps ; importance qu'Aristote attache à la description de leur queue. IV xiii 1 n. — leur organisation ; leur conformation générale : leurs nageoirvs et nombre de ces nageoires, IV xiii 1-5. — leur définition essentielle, IV xiii 3. — nombre de leurs nageoires, IV xiii 4 n. — qui ressemblent à des serpents, n'ont pas de nageoires; poissons qui n'en ont que deux, IV xiii 6 7. — variétés dans la position de leurs nageoires ; organisation de leurs branchies, IV xiii 7-9. — conformation de leur bouche, IV xiii 12 1 n. — variétés dans les formes de leur bouche; nature de leur peau; leurs écailles ; n'ont jamais de testicules. IV xiii 12-15. — compares aux autres animaux, IV xiii 15. — leurs organes de locomotion, M i 3. — explication de leur natation, selon qu'ils ont plus ou moins de nageoires, M ix 10. — plats, leur natation spéciale, M ix 11. — principe de leur flexion, M x 2. — position de leurs nageoires, M xv 3. — leur progression, M xv 4. — plats, leur caractère unique parmi les vertébrés, M xvii 3 il. — comparaison des poissons et des oiseaux: leurs différences; leurs rapports à certains égards; position des nageoires chez les uns, et des ailes chez les autres ; différence de leur queue, M xviii 1 2. POITRINE chez l'homme et les quadrupèdes, IV x 23. — des oiseaux, sa nalure, IV xii 9. POLITIQUE. ouvrage d'Aristote cité sur la dichotomie, méthode essentiellement platonicienne, I ii 1 n. — citée sur l'application de la dichotomie, 1 iii 7 n. — citée sur la nature, n'employant un organe qu'à une seule fonction, II xvi 5 n. — citée sur les couteaux de Delphes ; à propos de la louange qu'Aristote adresse à la nature, IV vi 8 n. POLYDACTYLES, fonctions de leurs pieds, II vi 5. — ont une forme de nains, IV x 10. — nombre de doigts à leurs pieds, IV x 22. — leurs pieds; n'ont pas d'osselet, IV x 42. POLYPE D'ARISTOTE, longueur de ses tentacules, garnies de cent vingt paires de ventouses ; changement de couleur de sa peau, IV v 9 1 n. — constitution des polypes, II viii 7. — organisation de leur téte, II viii 7 n. — organisation de leur bouche, II xvii 12. — organisation de leur estomac ; leur gésier pareil à celui des oiseaux; motif de cette organisation, IV v 6 7. — leur encre, emploi qu'ils font de cet organe ; leurs tentacules; leur changement de couleur, IV v 8 9. — disposition de leurs pieds, IV ix 1. — forment la quatrième classe des zoophytes ; distinction, parmi les céphalopodes, des polypes dits d'Aristote, IV ix 4 7 1 n. — leurs différences avec les seiches et les teu-thies ; rapports que la nature a mis eutre leur manteau et leurs pieds, IV ix 6 8. — obscurité sur ce qu'il faut entendre par ce nom, IV ix 9 n. — leur organisation fibreuse ; leurs deux suçoirs ; espèce qui n'a qu'un suçoir unique; position et dimensions de leur nageoire. IV ix 11 12. POLYHODES, sens dans lequel sont le haut et le devant chez ces animaux, M v 1. n — leur position moyenne. M v 3 4. — leur définition, M v 3 n. — vivent après avoir été coupés: ressemblance de leur constitution à celle d'un animal que l'on formerait de la réuniou de plusieurs animaux, M vii 2 3. — auxquels on a arraché des pieds pour que ces pieds fussent en nombre impair ; impossibilité de la locomotion sur trois pieds, M viii 5. — privés de sang; leur organi-sation; ils sont cagneux ; leurs flexions particulières; nécessité et cause de la conformation de leurs pieds, M xvi 1-4. PORCS, multiplicité de leurs mamelles et de leurs petits, IV x 25 n. et 27. PORT DES FARDEAUX, prouvant que le mouvement commence par la droite, M iv 7. POSITION particulière du cœur dans l'homme; position du cœur dans les animaux ; dans les poissons, III iv 14 15. — différence de position du haut et du bas dans les plantes et dans les animaux, M iv 2 3. POUCE, sa conformation ; comparé aux autres doigts ; son office, IV x 19 20 n. — rôle du pouce et des ongles chez rhomme, IV x 19-21. POULAINS, leur hauteur; mouvement, qui, lorsqu'ils sont plus Agés, leur devient impossible, IV x 10. — leur conformation remarquable ; mouvement qui leur est familier, IV x 10 n. POUMON, sa position, III iii 2 n. — sa fonction principale ; son organisation ; il ne contribue en rien au battement du cœur, III vi 1 4. — sa véritable fonction, III vi 1 n. — son organisation, III vi 3. — ses différences selon les espèces ; poumon des quadrupèdes ovipares; poumon des oiseaux, sa nature. III vi 5 6. — sa forme et son volume dans les animaux qui en ont un, III vi 5 n. — ses fonctions générales, III vi 8. — opinion d'Aristote variant d'un ouvrage à l'autre sur l'organisation dit poumon, III vi 8 n. — et cœur, viscères qui paraissent d'une nature uniforme, III vii 1. — des oiseaux et des mammifères, III vii 1 n. — sa division dans les ovipares, III vii 3 n. — son rapport avec la vessie, III viii 1 et n. — relation du poumon et du cou dans la série animale, IV xi 11 n. — son rôle dans l'animal n'a pas été bien compris par Aristote, P XLVI. POUMONS marins, espèce de zoophytes ; leur identification ; leur organisation, IV v 27 n. POURPRES, leur trompe et leur dard, Il xvii 13. — leur organisation, IV v 14. — leur manière de se mouvoir, M iv 10. Pous, leur organisation ; position et nombre de leurs pattes, IV vi 10. PRATIQUE des irrigations chez les Grecs, III v 7-9 n. PRECURSEURS et représentants de la science moderne, P LXXVII. PREDECESSEURS d'Aristote, réfutation qu'il fait de leurs théories sur la respiration. III i 9 n. PREDOMINANCE de la philosophie sur les autres sciences, P CLXXXI et suiv. PREEMINENCE de l'homme, opinion qu'en avait Aristote, et qu'en ont eue les plus savants naturalistes, M iv 11 n. PREFACE à l'Histoire des Animaux, d'Aristote, citée sur les conditions générales d'existence. I i 11n. — citée sur l'objection qu'on pourrait faire aux partisans do l'évolutio-uisme et de la cellule ou monère, I i 15 n. — citée sur le principe producteur, et sur le principe des conditions d'existence. I i 16 17 n. — citée pour la théorie sur laquelle la science de l'histoire naturelle se fonde exclusivement ; sur le principe des causes finales, I i 29 n. — citée sur la théorie des conditions d'existence, I i 35 n. — citée sur la seule méthode qui puisse convenir à la science : sur la classification des êtres ; sur la zoologie moderne, I îv 5 6 n. — citée sur un chapitre qui contient quelques-unes des plus belles pages qui aient jamais été écrites en histoire naturelle, I v 1 n. — citée sur Théophraste, disciple d'Aristote, et son ouvrage de botanique, I v 2 n. — citée sur les impressions personnelles d'Aristote en face de la nature, I v 4 n. — citée sur l'application de la méthode d'ob-servation. I v 14 n. — citée sur une formule péripatéticienne, II i 5 n. — citée sur l'admiration d'Aristote pour l'organisation de la main de l'homme, mal comprise par Auaxagore, II i 9 n. — sur une application particulière du grand principe des causes finales, II i 10 n. — citée sur les travaux physiologiques de Parménide et d'Empédocle, II ii 8 n. — citée sur la nourriture des insectes, II iii 10 n. — citée sur la longue étude consacrée aux abeilles. II iv 3 n. — citée sur la méthode à suivre en histoire naturelle, Il x 3 n. — citée sur un des principes essentiels des théories d'Aristote. II x II n. — citée sur le constant hommage d'Aristote à la sagesse de la nature, III ii l2 n. — citée pour l'opinion de Démocrite sur les viscères des insectes, III iv 1 n. — citée sur la méthode d'Aristote eu histoire naturelle, III v 13 n. — citée sur les Descriptions anatomiques d'Aristote, qui ne sont pas arrivées jusqu'à nous, IV v 16 n. — citée sur le canal alimentaire ou intestiual, III xiv 2 n. — citée sur le sort des Dessins anatomiques d'Aristote, III xiv 8 n. — citée sur les travaux zoologiques d'Aristote, IV ii 4 n. — citée pour la théorie d'Aristote sur un seul organe servant tantôt à plusieurs usages, tantôt à un usage unique, IV vi 8 n. — citée sur une théorie chère à Aristote, et qu'il ne manque jamais de rappeler. IV vii 1 n. — citée sur les Dessins et les Explications anatomiques d'Aristote, IV viii 8 n. — citée sur la théorie de l'unité de composition, appliquée à toute la série animale, telle qu'Aristote pouvait la connaître, IV ix 3 n. — citée sur la haute valeur d'une théorie d'Aristote, IV x 14 n. — citée sur les nombreux ouvrages consacrés par Aristote à I'anatoinie et sur ses Dessins anatomiques, IV x 32 n. — citée pour la théorie de Cuvier sur les conditions d'existence ; sur le grand et solide principe des causes finales, qu'Aristote a cent fois répété, IV xi 8 n. — citée sur des ouvrages d'Aristote qui sont perdus pour nous, lv xiii 11 n. — citée sur les généralités du traité des Parties des animaux. IV xiv 4 n. — citée sur la question de la méthode. M i 1 n. — citée sur le principe des causes finales et de l'optimisme, M ii 2 n. — citée sur une prétendue lacune dans cet admirable ouvrage, D cci. PREFACE au traité des Parties des animaux, citée sur les généralités de cet ouvrage, IV xiv 4 n. — citée sur le style et la méthode de cet ouvrage. D CCI. PRESURE, mot assez réceut dans la langue grecque, au temps d'Aristote ; position de la présure dans les jeunes rumiinants, III xv 1 n. — il n'y a que les animaux à cornes qui en ont; sa place; son origine, III xv 12. — les animaux à un seul estomac n'ont pas de présure, III xv 2. PREVOYANCE de la nature dans les appareils protecteurs de la vue, II xiii 2 n. — de la nature, qui ne fait jamais rien en vain, II xiii 8. — compensations qu'elle établit daus la constitution générale des animaux. II xiv 4 n. — qui ne fait rien en vain, III i 5. — en cas de position défectueuse de l'artère, III iii 8. — en séparant le haut et le bas dans l'animal, et en laissant la pensée dans une région plus calme, III x 2. — dans sa distribution des organes, IV vi i 6. PRINCIPE que la zoologie moderne admet généralement, aussi bien que l'admettait Aristote, I i 16 n. — de la matière, d'après lequel les anciens philosophes ont étudié la nature, I i 18 et suiv. — nouveau, qui réfutera les conséquences sortant de la méthode de division par deux, I iv 7. — qu'Aristote a formulé le premier, et qui inspire toute sa science zoologique, 1 v 5 n. — auquel la nature de beaucoup d'animaux se rattache, II ii 7. — des sensations, est dans le cœur; sens qui en dépendent, II x 6. — de la nature dos animaux pourvus de sang, III iv 10. — de l'aine sensible, séparé du haut et du bas dans l'animal. III x 2. —de la sensibilité et sa position chez les mollusques, chez les testacéset les insectes. !V v 33-35. — de vie, des insectes, IV vi 1. — de vie, dans les animaux et dans les plantes. IV x 12. — des causes finales, qu'Aristote a cent fois répété. IV xi 8 n. — de l'optimisme, qu'Aristote a toujours soutenu, IV xi 12 n. — des causes finales, dont Aristote ne cesse jamais de montrer les applications, IV xii 13 n. — de l'optimisme, qu'Aristote a toujours soutenu, IV xii 16 n. — des causes finales, qu'Aristote a toujours soutenu; sou application, IV xiii 3 n. — généraux de la nature, dont le premier est l'optimisme ; Aristote en a fait le fondement de toute son histoire naturelle, M ii 2. — dont Aristote a fait le fondement inébranlable de toute son histoire naturelle; indication de ce priucipe ; sa nécessité pour la science, M ii 2 n. — du mouvement et de la locomotion, M ii 4. — généraux du mouvement, M ii 4 1 n. — du mouvement ; leurs conséquences, M iii 1. — importance relative des principes de mouvement et des lieux où ils sont placés, M v 5. — commun, d'où partent les mouvements dans l'animal, M vi 6. — de la mécanique; un des premiers et des plus essentiels. M ix 1 n. — des causes finales, invoqué par Aristote plus que par qui que ce soit, et dont il a été le premier à se servir. M xii 3 n. — fondamental, sur lequel Cuvier s'est appuyé dans son Règne animal, et qu'il a invariablement maintenu, P ci. Voir Cuvier. PRIVATION, la division par deux ne peut lui être appliquée. I ni 1 ; I iii 5. — rôle des privations dans l'ancienne méthode de division, I iii 14. PRIVILEGE de l'homme et sa su-périorité sur le reste des êtres, II x 3 4. PROBLEME de la vie, travaux par lesquels il s'est agrandi ; erreur de Claude Bernard, qui lui assigne une date trop récente, P cxxxiii. — critique des théories de Claude Bernard sur cette grave question, P ibid, et suiv. PROBLEMES d'Aristote cités sur la cause de la production de la présure dans un des estomacs des ruminants, III xv 2. — la partie citée par l'auteur et se rapportant à la présure ne nous est pas parvenue, III xv 2 n. — citation qu'en fait le traité des Parties, D cxcvii. PRODUCTION et destruction des choses, ouvrage d'Aristote, cité sur une théorie importante, II i 4 n. — productions spontanées de la nature et productions de l'art, I i 16. PROGRESSION, mode de progression des animaux sans pieds, M ix 7 8. — des oiseaux et des poissons, M xv 4. — singulière du crabe, avançant tous ses pieds à la fois et en sens oblique, M xvii 2. PSAUMES de David, cités pour son admiration de la nature, P xi. — le Cœli enarrant comparé à l'enthousiasme d'Aristote pour la nature, P ibid. PSETTES, incertitude sur l'iden-tification de ces poissons; singularités auxquelles Aristote fait allusion, en parlant de leur nature toute retournée, M xvii 3 n. PSYCHOLOGIE, son objet, 1 i 27 n. — ne peut être sacrifiée à la physiologie, comme le veut Claude Bernard, P cxxviii. PTILES, applications diverses de ce mot, M xv 4 n. PUCES, mode et cause de leur locomotion, M viii 3 n. PULSION et RETRACTION, deux sortes de mouvements, qui servent à déterminer la locomotion et le déplacement des êtres, M ii 4 et n. . PUPILLE, organisation de la pupille et de l'œil, II xiii 2. PURETE du sang plus ou moins grande, III iv 19. PYTHAGORE, cité avec grand éloge sur le début de la philosophie, P CLXXXIV.
Q
QUADRUPEDES, position apparente et réelle de leurs oreilles, II xi 1. — ovipares et à écailles, cause qui fait qu'ils n'ont pas d'oreilles, II xii 2. — ovipares, appareils qui protègent leur vue, II xiii 1. — jeu de leurs paupières, II xiii 3. — formation et nature de leur paupière, II xiii 4. — n'ont pas de cils à la paupière inférieure; utilité de leurs poils, II xiv 2 3. — polydactyles, fonctions de leurs pieds, II xvi 5. — organisation de leur langue; leur voix, II xvii 4. — ovipares, nature de leur poumon, III vi 5. — dimension et nature de leur rate, III vii 11. — étude de leurs intestins et de leur estomac, IV i 1.
— cause de leur constitution, IV x 7. — développement de leurs parties, IV x 9. —
position de leurs mamelles, IV x 25. — femelles, leur façon
d'uriner; disposition de leurs parties posté-rieures, IV x 34 35. —
différences de leurs pieds ; ceux (|iii ont un osselet, IV x 40
42.•— vivipares et ovipares; cause du mouvement de leurs mâchoires,
IV xi 7 8. — cause de la nature de leurs jambes, IV xii 21n. —
vivipares et ovipares, flexions de leurs appareils locomoteurs en
sens inverses; mouvement diaga-nnl de ces appareils, M i 4 5. — leur
locomotion ; leurs appareils opposés à ceux de l'homme, M i 5 n. —
sens dans lequel sout le haut et le devant chez les animaux, M v 1.
— leur position moyenne, v 3 4. — différences de leurs flexions avec
celles de l'homme et des oiseaux, M xii 2.— vivipares, conditions de
leur locomotion ; rôle et flexion de leurs pattes de devant;
explication de leur organisation; utilité de cette organisation pour
l'allaitement de leurs petits, M xii 7-9. — leurs flexions
démontrées par des figures graphiques, M xiu 2. — rapports de leur
nature avec celle des oiseaux, M xv 1. — ovipares, disposition de
leurs membres sur le coté ; explication de cette disposition, M xv
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