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Oeuvre numérisée par Marc Szwajcer

 

JULES L'AFRICAIN

 

 

NOTICES ET EXTRAITS

DES

MANUSCRITS

DE LA BIBLIOTHÈQUE DU ROI,

ET AUTRES BIBLIOTHÈQUES,

PUBLIÉS PAR L'INSTITUT ROYAL DE FRANCE,

FAISANT SUITE

AUX NOTICES ET EXTRAITS LUS AU COMITE ETABLI DANS L'ACADÉMIE

DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES.

TOME SEIZIÈME.

 

PARIS.

IMPRIMERIE ROYALE.

M DCCC XLVII.

 

 

 


 

 

JULES L’AFRICAIN

Extraits des

CESTES

sur la musique

 

Ces fragments, considérés quant à leur valeur intrinsèque, seraient certainement fort peu dignes d'être reproduits; mais, outre la connexion naturelle qu'ils ont avec l'ensemble de ce travail, en raison de ce qu'il y est fait allusion à un talisman dans lequel les notes de la musique jouent le principal rôle, nous avons pensé qu'ils présentaient assez d'obscurité pour avoir éloigné les traducteurs et rebuté les commentateurs; de sorte qu'ainsi ce seraient ces misérables passages qui auraient, jusqu'à ce jour, mis obstacle à la révision complète d'un texte que les manuscrits nous offrent dans un état si déplorable. Il ne fallait pas moins qu'un motif aussi grave pour nous faire surmonter la répugnance inséparable d'un pareil labeur, surtout lorsque le résultat, sans avoir une grande valeur absolue par lui-même, ne peut tirer quelque prix que de son utilité relative.

Le talisman dont il est ici question consiste généralement en une figure pentagone que les pythagoriciens nomment ,[1] et qui, suivant les Ophites, était le sceau de l'âme purifiée ou initiées ;

On y inscrivait certaines images, certaines paroles, variables suivant l'objet que l'on avait particulièrement en vue, mais toujours accompagnées de signes musicaux qui servaient à les distinguer les unes des autres, en même temps qu'à compléter leurs vertus occultes. L'auteur cite neuf pareilles figures, numérotées ainsi de 1 à 9, et qui étaient vraisemblablement disposées sur un même tableau[2] partagé en carrés ou en triangles, comme nous le représentons ici :

 

Guischardt, aide de camp du grand Frédéric, qui, depuis l'édition de Thévenot et celle de Meursius (Meurs. op. tom. VII, flor. 1746 ), a traduit quelques fragments des Cestes dans ses Mémoires critiques et historiques sur plusieurs points d'antiquité militaire (1773), et non dans ses Mémoires militaires sur les Grecs et les Romains (1758), comme Clavier le dit par erreur (Biographie universelle, article Africain), Guischardt, dis-je, n'a pas du tout compris ce qui est relatif au talisman pentagone; et, chaque fois qu'il rencontre ce mot, il ne le traduit pas autrement que par grimoire, supposant que c'est un ouvrage sur la magie, précédemment composé par l'auteur des Cestes, et auquel celui-ci renvoie.[3]


 

POUR DETRUIRE LES ENNEMIS. (CH. II.)

Il faut préparer comme aliment des pains que vous confectionnerez par la recette que je vais indiquer. Recueillez,[4] sur la fin du jour, les animaux suivants, savoir : la grenouille des arbres[5] (à son défaut, le crapaud) et la vipère (tels que vous les voyez dessinés dans le pentagone parfait n° 1, dans la figure même où l'on a tracé les signes de la proslambanomène du trope lydien, c’est-à-dire un zêta sans queue et un tau couché  [LA[6]]). Enfermez ensemble ces animaux dans un vase de terre dont vous luterez l'ouverture avec de la terre glaise, afin qu'étant ainsi emprisonnés ils ne puissent plus avoir ni air ni lumière. Après un temps convenable, cassez le vase; puis délayez les restes que vous trouverez, dans l'eau destinée à pétrir la pâte; et, de plus, frottez les moules dans lesquels vous ferez cuire le pain, avec cette composition dangereuse même pour ceux qui remploient. Ayant donc préparé une quantité suffisante de ces pains, faites-les prendre aux ennemis comme vous pourrez………….

Quant à la boisson, nous allons leur porter une excellente santé. Il y a trois espèces[7] d'animaux représentés dans le 2e pentagone, auprès des signes de l’hypate des hypates, consistant en un gamma retourné et un gamma droit:  [SI]. Prenez ces animaux qui sont la lamproie et la sangsue ; pilez-les à la musique, ensemble de manière à réduire le tout en pâte. Puis, ayant fait bouillir le mélange dans une grande quantité d'eau, jusqu'à ce que la cuisson ait complètement absorbé la graisse, jetez-le dans les sources où les ennemis doivent puiser leur breuvage. Les corps de tous ceux qui en auront bu, hommes et animaux, s'enfleront peu à peu, et une bouffissure cuisante finira par les envahir entièrement.

POUR CORROMPRE L'AIR. (CH. IV.)

Le thrissus est un serpent de la Thessalie, de couleur rousse, et assez semblable au dragon quant à la longueur.[8] Il s'en trouve aussi beaucoup en Asie; et les Syriens le nomment bathanérathan (il est tel que vous le voyez tracé dans le 3e pentagone, celui qui est marqué des signes de la parhypate des hypates, c'est-à-dire d'un bêta imparfait et d'un gamma renversé :  [UT]). De même, le lion[9] est un autre serpent qui présente diverses espèces : car il y en a un grand et un petit; mais le petit est le plus convenable au but qu'on se propose. Il y en a aussi beaucoup en Syrie. Enfermez ensemble tous ces animaux dans un vase bien couvert et hermétiquement fermé, que vous exposerez aux rayons d'un soleil ardent. Puis, quand le mélange sera bien putréfié, et que la chaleur et le temps auront suffisamment réduit, hâtez-vous de le faire porter vers les ennemis par une personne connaissant les lieux, laquelle ouvrira le vase après l'avoir déposé en quelque endroit, de sorte que les exhalaisons, se répandant à la faveur des vents, ne tarderont pas à infecter l'atmosphère de ceux à qui vous voulez nuire.

POUR LA SECTION D’UN MEMBRE BLESSÉ. [10] (CH. VI.)

Comme beaucoup d'hommes redoutent l'application du fer, qui devient parfois indispensable, craignant bien plus la douleur occasionnée par le remède, que le dommage résultant du défaut de guérison, cherchons à diminuer cette crainte de la souffrance, en donnant aux patients la force et le courage de supporter les opérations. Que le chirurgien ait la main légère, pour pouvoir exécuter facilement et rapidement son amputation, et qu'il se serve d'instruments bien tranchants ; car le fer émoussé est beaucoup plus douloureux. Qu'il soit d'ailleurs accompagné d'un aide toujours prêt à le seconder, et par-dessus tout attentif à étancher le sang de la plaie, employant pour cela un bassin comme il est représenté dans le 4e pentagone, celui qui est marqué des signes, vocal et instrumental, de la corde enharmonique du tétracorde des hypates, c'est-à-dire un alpha renversé et un gamma renversé portant un trait à la partie postérieure.  [UT].

POUR LES BLESSURES FAITES PAR LE FER. (CH. VII.)

Quant à celui que le fer a blessé, voici un moyen d'adoucir la douleur. Il est bon pour cela de graisser le fer qui a fait le mal, et puis d'en frotter la plaie. En outre, on doit prononcer trois fois, en crachant, certains mots latins[11] écrits dans le 5e pentagone, devant lesquels se trouvent les signes de la corde chromatique [des hypates] savoir : un alpha renversé et marqué d’un trait, et un gamma renversé et marqué de deux traits à la partie postérieure[12] :  [RE] ; c'est ainsi que la douleur s'apaisera. Mais, pour le traitement, il faut avoir recours aux enfants d'Esculape, dont l'attouchement a le pouvoir de guérir les blessures, lorsque le malade témoigne de l'empressement à se porter de lui-même au-devant d'eux.

EDUCATION DES CHEVAUX. (CH. VIII.)

Mais que faire à l'individu rétif qui ne veut entendre à rien, et sur lequel l'éducation ni la discipline n'ont rien pu gagner? Il est comme ces animaux féroces dont le caractère indomptable finit toujours par avoir le dessus. C'est en vain que, sous quelques rapports, ils sembleront s'être un peu radoucis : leur ancienne brutalité ne manque jamais de reparaître tôt ou tard. Il en est de même d'un élève intraitable dont la méchanceté est passée à l'état chronique. C'est le cas de recourir aux coups, aux menaces, à la rigueur, et à tous les expédients imaginables. Que l'art soit employé à vaincre la perversité de la nature.

Flattez votre animal, et il ne craindra pas la marque; il ne s'en doutera même pas; et, dès qu'une fois il la portera, il sera dompté. Ainsi donc, dans le creux du sabot du pied gauche de devant, gravez de la main gauche, avec un stylet d'airain, le sixième jour de la lune suivant le calendrier romain, les mots fatalité, nécessité. Le secret de la soumission gît dans cette marque que vous trouvez couchée dans le pentagone n° 6, celui où l’on a tracé les signes de la corde diatonique des hypates, Consistant en un phi et un digamma :  [RÉ].

POUR EMPECHER LBS CHEVAUX DE S'EFFRAYER. (CH. XII.)

Pour empêcher les chevaux de s'effrayer en vain lorsqu'ils voient quelque chose de nouveau, et d'avoir peur même de leur ombre, voici un remède : Suspendez à leur oreille droite la queue d'un certain animal, que vous aurez coupée sur l'individu vivant. Vous en voyez la figure sur le 7e pentagone, sous les signes de l’hypate des mèses : sigma et sigma :  [MI].

POUR EFFRAYER LES CHEVAUX. (CH. XIV.)

Mais nous-même avons trouvé une drogue plus efficace que la prière (l’auteur avait dit que l’on invoquait Neptune), et pins puissante que tous les moyens que vous pourriez employer : c'est la plante dont vous voyez la figure dans le pentagone parfait n° 8, celui où sont tracés les signes de la parhypate des mèses, c'est-à-dire un rhô et un sigma couché:  [FA]. On en met le jus dans des seringues que l’on donne à porter, pour le moment de la bataille, à des hommes équipés légèrement, et de manière à pouvoir se placer sans peine sous la première ligne des combattants. Ceux-ci donc s'avancent bravement et vivement, en brandissant leurs épées. Pour lors, si leurs adversaires sont cuirassés ou suffisamment armés de toute autre façon, cette précaution même contribue à les précipiter dans le danger : car ils ne manquent pas de charger l'infanterie; et, tandis que le premier rang supporte le choc en formant le rempart des boucliers, ceux qui portent les seringues lancent l'euphorbe au nez des chevaux ; or ce suc est terrible même pour les hommes, car il peut les tuer.

L'auteur récapitule, dans ce chapitre, les anciennes histoires où l’on voit les héros, les dieux, vaincus par leurs ennemis, pour s'être imprudemment laissés aller au sommeil. Pour terminer son récit, il raconte la fable de Silène enchaîné par le rot Midas qui l'avait surpris endormi

RECETTE CONTRE LE SOMMEIL. (CH. XXIII.)

Et moi aussi je me flatte de pouvoir faire ici le conducteur de satyres,[13] et d'acquérir une gloire égale à celle des héros que je viens de citer. Pauvres dieux en effet, et triste victoire! Triompher de gens endormis! mais je prétends, moi, prendre celui même qui les enchaîna ; je veux que le sommeil rende les armes à mon habileté, et qu'à moi seul ce puissant seigneur, ce conquérant universel, soit forcé de prêter hommage. Je ferai veiller avec moi, et le roi au conseil, et le soldat en faction, et le brave accablé de fatigues. Oui, sommeil, je me mesurerai avec toi : tu défies toute la nature; eh bien, moi, j'accepte le défi.

Il existe un animal volant au moyen d'ailes membraneuses, habitant les lieux ténébreux, pourvu de mamelles pour nourrir ses petits, comme tous les volatiles vivipares. Or la tête de cet animal, attachée à une ceinture de cuir, donne à quiconque la porte sur soi, la faculté de résister au sommeil.

Autrement : Que l’on enlève à l'animal vivant une aile tout entière ; que l’on porte sur soi ce talisman ; et que l’on s'en serve en guise de coupe à boire, de temps en temps, si l'on ne veut que se tenir légèrement éveillé; souvent, et même continuellement, si l’on veut obtenir une grande insomnie. Il y a plus, si l’on s'abandonnait inconsidérément à cette manière de boire, on perdrait entièrement la faculté de dormir.

 

La Note sur la numération, que j'ai citée au début, avait pour objet principal d'appeler l'attention sur un curieux passage du même auteur, d'où il paraîtrait résulter qu'au iiie siècle de notre ère, les Romains connaissaient l’usage des valeurs de position dans les signes représentatifs des unités des différents ordres. Je crois ne pouvoir mieux terminer les extraits de Jules l’Africain, qu'en donnant ici le texte de se passage, tel que je l'ai restitué et traduit; en même temps que ce sera une manière de reposer l'esprit du lecteur à qui les procédés magiques auront sans doute paru fort peu récréatifs, ce dernier fragment, considéré en lui-même, pourra servir de complément d’Histoire de nos chiffres.

 

Mais, si vous ne voulez que vous divertir en empêchant quelqu'un de sommeiller, coupez la tête à l'animal vivant, et cousez-la dans l'oreiller de celui que vous voulez tenir éveillé; vous pouvez être sûr qu'il ne dormira pas en si méchante compagnie, et que le sommeil fuira bien loin d'un pareil hôte.

O sommeil, tu es enfant de la nuit,[14] et l'oiseau de la nuit triomphe de toi! Tu as des ailes, il est vrai; mais je saurai t'atteindre avec une aile plus puissante que la tienne. C'est ainsi que tu fus vaincu lors de ton mariage avec Pasithée. L'amour ne va pas avec le sommeil ; et voilà pourquoi la perte de ton aile était le gage exigé par Junon pour l'accomplissement de tes vœux. Faut-il s'étonner d'ailleurs que, pour parvenir à son but, cette déesse ait eu recours aux grâces, elle qui déjà avait emprunté la ceinture de Vénus?

Si donc vous avez reconnu ranimai aux caractères que j'ai indiqués (et ce problème n'est certes ni bien obscur, ni difficile à résoudre), vous vous hâterez de célébrer son mérite. Or vous en trouverez la figure dans le pentagone parfait n° 9, auprès des notes de la corde enharmonique des mèses du trope lydien, c'est-à-dire pi et sigma retourné  [FA]. Ces notes sont les dernières.

SUR [LES SIGNAUX PAR] LES FEUX. (CH. LXXVI.)

Les Romains ont encore une invention que je ne puis trop admirer, pour représenter, au moyen des feux, tous les nombres qu'ils veulent. Pour cela, voici comment ils s'y prennent : ils commencent par déterminer des emplacements commodes pour l'emploi des feux, en fixant un lieu sur la droite, un autre sur la gauche, et un troisième dans le milieu ; et ils distribuent, à chacune des places, les divers nombres élémentaires (lettres numérales) qui devront y être représentés, assignant au côté gauche les nombres compris depuis 1 jusqu'à 9, au milieu les nombres compris depuis 10 jusqu'à 90, enfin ceux compris entre 100 et 900, au côté droit.[15]

Ainsi, lorsqu'ils veulent désigner le nombre 1, ils produisent, du côté gauche, une flamme unique; ils en produisent deux quand ils veulent désigner le nombre 2, trois pour le nombre 3, ainsi de suite. Mais, lorsqu'ils veulent désigner' le nombre 10, alors ils allument une fois sur la place du milieu; ils allument deux fois pour le nombre 20, trois fois pour le nombre 30, et ainsi de suite. De même, lorsqu'ils veulent signifier le nombre 100, ils allument une seule flamme à droite; ils en allument deux pour le nombre 200, trois pour 300, et de même pour tous les autres cas.

Or, dans ce moyen de représentation par éléments, on évite l'emploi des grands nombres ; car, pour signaler le nombre 100, on n'allume pas le feu cent fois, mais seulement une fois sur la droite, ainsi que je l'ai expliqué précédemment : cela résulte de l'accord établi entre ceux qui font les signaux et ceux qui


 

[1] C'est ce que les profanes nomment aujourd'hui tout simplement, d'après M. Poinsot, pentagone du second ordre, (Journ. de l’Ecole polytech. Xe cah. tom. IV, p. 16 et 199·)

[2] Nous savons par Pausanias (VII, xxv, 6) que de pareils tableaux étaient employés à consulter le sort (Cf. M. Letronne, App. aux Lettres d'un antiquaire, p. 90.)

[3] Pour plus de détails, je renverrai à une Note sur la numération chez les Romains, que j'ai présentée à l'Académie des inscriptions et belles-lettres, dans sa séance du 31 décembre 1841. (Cf. l'institut, journal, etc., 2e sect. nos 71-72; et v. ci-après.)

[4] Guischardt, trompé par le mot θρόψαντας, traduit ainsi : « Qu'on prépare donc à ses ennemis une nourriture qui sera pour eux ce qu'est celle qu'on donne aux animaux qu'on engraisse la veille de leur trépas.

[5] Ou reinette, kyla arborea. —Pour les divers animaux cités dans ces fragments, la correspondance des noms français avec les dénominations grecques est assez difficile à établir; nous avons adopté la synonymie qui nous a été indiquée par des hommes compétents, comme étant la plus probable. Au reste, la chose est ici de fort peu d'importance.

[6] Pour la traduction en notes modernes, voyez les pages 40, 41, et suiv.

[7] Il n'en nomme cependant que deux.

[8] Probablement la vipère rouge. Nous ferons remarquer, sans toutefois prétendre en rien conclure, l'analogie du nom θρίστος avec le mot θρίσσα, qui désigne, dans Aristote (Hist. anim. IX, p. 941, D), un poisson épineux nommé alota par Théodore Gaza. Plutarque ( De solert. animal, p. 961, E) signale le même poisson θρίσσα comme étant grand amateur de musique : τὴν θρίσσαν ᾀδόντων καὶ προτούντων ἀναδύεσται καὶ προῖένας λέγουσιν. Cuvier a emprunté à Aristote le nom thrisssa, pour l'imposer à un petit genre de sa création, démembrement du genre mystus de Lacépède, appartenant à la famille des clupées, dans laquelle sont comprises les aloses.

[9] Impossible de dire ce que ce peut être que cet animal. — Cf. Philé, 71.

[10] « La musique, dit Chrysanthe (Θεορητικὸν μέγα, p. 211, note β) formait une partie essentielle de la médecine magique et astrologique. »

[11] Cf. Caton, De re rustica (p. 160, éd. Schneider); Pline (liv. XXVIII); Egger, Latini sermonis reliquiae, p. 167 et 347.

[12] Nous devons foire observer que ce mode de notation contredit fa conjecture émise dans la remarque de la page »36.

[13] N'est-ce pas la l'origine de notre expression meneur d'ours?

[14] Cf. les hymnes orphiques.

[15] Cet ordre, qui paraît l'inverse de celui de notre numération, détenait l’ordre direct pour ceux qui recevaient et regardaient les signaux.